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Valko03

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Tout ce qui a été posté par Valko03

  1. Quelques photos de Pantherophis guttatus (Elaphe guttata) AMBER ANERYTHRISTIC A BANDED BLIZZARD BLOODRED BLOODRED AMEL. BLOODRED ANERYTHRISTIC A BLOODRED GHOST BLOODRED OUTCROSSED BLOODRED ROSY BUTTER BUTTER OUTCROSSED CANDY CANE ORANGE CANDY CANE ROUGE CARAMEL CHARCOAL CREAMSICLE OKETEE CREAMSICLE YELLOW CRIMSON FROSTED FROSTED ANERYTHRISTIC FROSTED CREAMSICLE FROSTED GHOST FROSTED SNOW GHOST HYPO. MIAMI HYPOMENALISTIC (HYPO) KISATCHIE LAVENDER LAVENDER HYPO. MIAMI MOTLEY MOTLEY AMEL. BANDED MOTLEY AMEL. HURRICANE MOTLEY ANERY. A MOTLEY ANERY. A HURRICANE MOTLEY BANDED MOTLEY BUTTER MOTLEY CARAMEL MOTLEY GHOST HURRICANE MOTLEY HYPO. MOTLEY MIAMI MOTLEY PASTEL MOTLEY SNOW MOTLEY SNOW HURRICANE MOTLEY STRIPED MIAMI MOTLEY SUNGLOW OKEETEE OKEETEE ABOTT'S OKEETEE REVERSE OKEETEE SUNKISSED PEWTER RODY RAT (KEYS'CORN) SNOW SNOW CORAL SNOW PINK AND GREEN STRIPED STRIPED AMEL. STRIPED ANERY. A STRIPED BUTTER STRIPED GHOST STRIPED SNOW STRIPED SNOW PINK AND GREEN STRIPED SUNGLOW STRIPED VANISHING SUNGLOW ZIG ZAG AND AZTEC ZIG ZAG AND AZTEC ANERY. A ZIG ZAG AND AZTEC CHARCOAL ZIG ZAG AND AZTEC GHOST Source: Raf (Paradis Reptiles) Faites votre choix
  2. Elaphe (Pantherophis) guttata guttata Classic (normale ou "générique") Couleur de fond variant de beige à gris, brun ou orange, orné de selles oranges à rouges avec une bordure variablement épaisse. L’appellation devrait peut-être même être «générique». On accorde souvent l’appellation «normale» ou «classic» à un serpent des blés qui ne présente pas de mutation génétique et qui n’est pas typique d’une population régionale. Miami (type) Beaucoup de serpents des blés observés dans le sud de la Floride arborent une coloration de fond pâle variant de gris argenté à beige, plutôt qu'orangée ou brune plus foncée. Cette couleur de fond claire donne un contraste intéressant avec les selles dorsales orange ou rouge. L'appellation Miami est originalement venue de Rich Zuchowsky, qui fut le premier à tenter d’isoler ces caractéristiques naturelles intéressantes via des efforts de reproduction en captivité. RZ avait acheté son groupe initial dans une animalerie de Miami. O’Keetee (type) Probablement la variation naturelle la plus colorée du serpent des blés. Originalement, l'appellation "Okeetee" désignait un serpent des blés originaire du "Okeetee Hunt Club" en Caroline du Sud. Ces animaux étaient caractérisés d'un riche orangé comme couleur de fond, orné de selles rouge brûlant bordées d'une épaisse bande noire, avec un damier noir et blanc sur le ventre. Aujourd'hui, cette appellation est associée à tout serpent des blés qui présentent cette coloration très recherchée. Il y a plusieurs degrés de "qualité" dans cette variété et il faut avoir vu plusieurs bébés pour être en mesure d'évaluer les couleurs que chaque spécimen risque d'arborer en vieillissant. Toutefois, les bébés chez lesquelles ces caractéristiques sont déjà apparentes sont évidemment des premiers choix pour faire des "Champions". Les mutations Amélanique Gène récéssif simple Un serpent des blés dépourvu de pigmentation noire tant au niveau des écailles que des yeux. La coloration varie de blanc rosé à jaune orangé ou orange rouge, orné de selles orange fluorescent à rouge sang. Il peut y avoir différents degrés de blanc parsemé sur la couleur de fond et les selles et ces dernières peuvent être plus ou moins bordé de blanc. Bref, aussi variable que peut l'être un serpent des blés de coloration normale. L'amélanisme peut se combiné à d'autres mutations pour donner des variétés d'élevage très intéressantes telles que les Lignés albinos, Motley Albinos, Snows, Sunglow etc... Les serpents amélaniques ont les yeux rouge clair et n'ont pas de noir. Amélanique - Candy cane Récéssif simple (amel) + reproduction sélective. Une variante de l'amélanisme obtenue par reproduction sélective. Un peu à l'opposé de la variante Sunglow, on tente ici d'obtenir des spécimens avec la couleur de fond le plus blanc possible, orné de selles contrastantes orange fluorescent ou rouge. Le blanc n'est pas toujours très évident sur les bébés mais dans plusieurs cas va en s'accentuant. Les spécimens arborant beaucoup de blanc même bébé sont voués à la médaille d'or! Amélanique - Reverse O’Keetee Combinaison du type Okeetee et d'amélanisme. On le reconnait facilement par les bordures blanches épaisses autour des selles dorsales et la coloration de fond qui devient orange fluorescent. La couleur de fond des spécimens les plus prisés est presque complètement dépourvue de blanc. Amélanique - Sunglow La variété "Sunglow" est une variante de l'amélanisme sur laquelle on tente d'éliminer le blanc le plus possible. Ce but est atteint principalement par la reproduction sélective mais les ingrédients de base sont l'hypomélanisme combiné d'amélanisme. Certains bébés peuvent être immédiatement pointés dans une portée alors que d'autres demanderont un oeil un peu plus expérimenté. Anérytrique "A" - Black Mutation récéssive simple. L'anérythrisme est une mutation par laquelle l'animal est incapable de produire le pigment rouge. La mutation "Black" (anéry type A) est la première mutation anérythrique à avoir étée décrite chez le serpent des blés. Les spécimens sont généralement gris pâle orné de selles grises plus foncées. En viellissant, la pluspart de spécimens développent du jaune sous le menton et de chaque côté du cou, un résultat de l'accumulation de caroténoides. La mutation "Black" est parfois aussi appelé "Black albinos" (à tort), c'est la mutation anérythrique la plus commune chez le serpent des blés. Anérythrique "B" - Charcoal Mutation récéssive simple. Un second type d'anérythrisme qui fonctionne exactement de la même mannière que l'anérythrique "A" mais qui n'est pas compatible avec ce dernier. Les "Charcoals" sont souvent plus pâles et/ou moins contrastants que les "Blacks" et le jaune est beaucoup plus discret, souvent absent. C'est l'ingrédient de base combiné d'amélanisme, pour obtenir la mutation "Blizzard". Caramel (autre forme d'anerythrisme) Cette mutation relativement récente a été développée par Rich Zuchowsky est une forme d'anerythrisme tout comme les Anérythrique "A" (black) et Anérythrique "B" (charcoal). Cette mutation récéssive élimine le rouge. La nuance pricipale de cette mutation est qu'elle et laisse place au jaune qui est éliminé dans le cas des deux autres formes d'anérythrisme. Originalement, RZ les avait libelé Anérythrique Jaune, simplement pour éviter l'ascention confusive certaine des anerythriques type A, B, C... ainsi de suite. Il trouvait le nom caramel plus descriptif de la coloration adulte que la simple expression type "C" ou Anery jaune. Le caramel est l'ingrédient de base pour faire les doubles mutations Ambers (Caramel + Hypomélanique) et Butter (Caramel + Amélanisme). Hypomélanique L'hypomélanisme est la réduction de la pigmentation noir, manifesté sur les écailles du serpent, mais pas toujours dans les yeux. Cette mutation peut se manifester en réduisant la quantité de pigmentation noir de façon générale sur l'animal, ou en réduisant l'intensité du noir présent sur l'animal. Dans les deux cas, le résultat varie en fonction des autres couleurs dominantes sur le spécimen concerné. La nuance à comprendre entre ces 2 types d'hypomélanisme est que dans le cas d'une diminution d'intensité, les bordures noires autour des selles peuvent être aussi épaisses que sur un serpent normal, mais elles seront plus pâle. Dans l'autre cas, elles peuvent être presque absentes. Dans le hobby, l'appellation Hypo est associée à un spécimen de coloration normale (voir plus haut) qui est hypomélanique. L'hypomélanisme laisse paraître les rouges et les jaunes donnant des serpent parfois spectaculairement écarlates. L'hypomélanisme peut être combiné à d'autres mutations résultant d'une multitude de combinaisons génétiques intéressantes telles que Ghost, Crimson, Sunglow, etc... Plusieurs de ces mutations doubles sont décrites ici. Crimson (hypomélanique) Mutation récéssive simple + reproduction sélective(Type Miami). À toutes fins pratiques, il s'agit d'un type Miami, combiné d'hypomélanisme. La coloration de fond est pâle comme se doit l'être un Miami, la pigmentation noire est réduite sur l'ensemble du serpent donnant des selles plus éclatantes. Comme le type Miami varie beaucoup et qu'il y a plusieurs degrés quant à l'hypomélanisme, le crimson est aussi très variable. Motley classic La première lignée de « motley » origine de la collection de docteur Bernard Bechtel, au début des années 80. Il les avait originalement appelé les corns « mutants ». Ces animaux montraient une variété incroyable de coloration passant de selles en formes de cubes (plus tard appelés cube corn par plusieurs), à coloration délavée et selles connectées aux extrémités formant des petits ronds sur le dos (motley classic). Tous avaient un ventre uni blanc/crème, et plusieurs avaient une ligne sur le côté. On utilise encore ces particularités pour identifier un Motley, mais on ajoute au critères les petits ronds sur le dos, ce qu’on appelle le motley classique. Sunglow Motley Double mutation récéssive + sélection. Combinaison des gènes Amélanique Sunglow et Motley. Comme les Sunglow réguliers, les sunglows motley les plus prisés sont ceux avec le moins de blanc. Notre but est d'atteindre des animaux qui en plus d'avoir très peu ou aucun blanc, auront beaucoup de jaune pour enrichir le contraste avec l'orange. Hurricane Patterned Motley Une variation tout à fait incroyable du patron Motley. Le patron Hurricane se défini par une bordure foncée encerclant chacun des petits ronds sur le dos du serpent. Cette bordure, sur un animal noir (anery A), rappel les "o" sur les cartes géographiques américaines, identifiants les villes qui ont été touchées par un ouragan (Hurricane). Striped (Ligné) Mutation récéssive. Les selles dorsales sont remplacées par deux lignes orange brûlé distinctes en bordure de chaque côté du dos, de la nuque jusqu'à la queue, sur un fond orange plus claire. Une ligne plus fainte et mince est généralement présente sur les flancs, plus apparente chez les jeunes. Les jeunes sont généralement beaucoup plus contrastés que les adultes. Le damier ventrale est absent et la coloration du ventre peut être blanche, crême, ou orangé ou un dégradé de ces couleurs. Striped, Albinos Double mutation récéssive. Combinaison des gènes Striped (ligné) et Amélanique. Striped, Hypo Double mutation récéssive. Combinaison des gènes Striped (ligné) et Hypomélanique type "A". Striped, Black (anérythrique A) Double mutation récéssive. Combinaison des gènes Striped (ligné) et Anérythrique "A" Striped, Snow Triple mutation récéssive. Combinaison des gènes Striped (ligné), Amélanique et Anérythrique "A". Le résultat est un serpent blanc ligné de rose ou pêche clair, et blanc. La plupart de nos "Snow Striped" développent beaucoup de coloration rose plutôt opaque, donnant un contraste encore plus intéressant avec le blanc. Ils développent aussi généralement beaucoup de jaune au niveau du cou. Motley-Striped Snow Quadruple mutation . Combinaison des mutations Striped (ligné) et Motley avec les mutations Anérythrique "A" (black) et Amélanique (Albinos) : OUFFF!!!. Le résultat est similaire au "Striped Snow" mais on y ajoute le patron "Motley" à des degrés variables. Snow Double mutation récéssive. Combinaison des gènes Amélanique et Anérythrique "A". Cette mutation double fait en sorte que le serpent n'a ni noir, ni rouge, résultant d'un serpent principalement blanc, avec des teintes jaune ou pêche. Le contraste entre le blanc et les autres couleurs est variable d'un spécimen à l'autre, mais généralement assez consistant dans une même portée. Les selles restent apparentes et les yeux sont rouges clair. Blizzard Double mutation récéssive. Combinaison des gènes Amélanique et Anérythrique "B". Cette mutation double fait en sorte que le serpent n'a ni noir, ni rouge, et la livrée (les selles dorsales) est presque complètement absente. Les yeux sont rouges clair. Ghost Double mutation récéssive. Combinaison des gènes Anérythrique "A" et Hypomélanique "A". En language commun, il s'agit d'un serpent noir et blanc, qui semble avoir été pâli. Les "Ghosts" sont aussi variables que peuvent l'être les deux mutations qui le composent. Comme les spécimens Anérythriques "A" développent souvent beaucoup de jaune au niveau du cou, cette coloration se retrouve aussi chez les "Ghosts". Aztec Une de mes mutations favorite! Le nom"Aztec" est en fait le nom donné à une qualité spécifique de la mutation génétique qui donne un irrégularité à la livrée normale du serpent des blés. La plupart de nos Aztecs sont originalement issus de parents Type Okeetee, leur donnant une coloration absolument spectaculaire dès la première année. Super Aztec Il s'agit tout simplement de nos Aztecs de qualité supérieur à cause de leur livrée ou leur couleur plus consistantes ou éclatantes. Ces serpents sont le résultat d'accouplement de Aztecs avec Aztecs, sélectionnés avec attention depuis maintenant 8 ans. Petit tableau
  3. Alors, je ne sais pas grand chose mais je vais te dire ce que je sais : Pour les animaux exotiques, dangereux ou non, il faut une autorisation. Quand tu vas demander à la commune, ils ne savent pas de quoi tu parles et n y connaissent rien, quand tu vas demander à la police, il ne savent pas non plus et ils te disent de rester discret et de ne pas le chanter sur tous les toits et il ne devrait pas y avoir de soucis. Mais il faut un permis d environnement en fait, qui s'applique a tous les animaux exotique sauf poissons et oiseaux (mais pas sur pour les oiseaux). Pour les non venimeux il parait que c'est pas difficile à avoir si tu montres que tu as des installations sécurisées et que les bêtes sont bien maintenues et que tu t y connais quand meme. Donc une pièce carrelée avec une bonne hygiène, de bonne conditions pr les betes et des serrures aux terras devraient suffir. Pour ce qui est du vénimeux, c est un peu plus délicat. C'est envisageable à condition d'être en possession de tous les antivenins nécéssaires, de disposer d'installations hautement sécurisées et d'une solide expérience dans le domaine. Les voisins proches (dans un rayon de 50 m de ton habitation) sont consultés, la région wallone émet un avis et la décision finale revient à l'administration communale, et je pense qu il faut contacter la dnf. Voilà c est tout ce que je sais sur la législation sur la détention des animaux en belgique malheureusement. Et je n ai pas encore fait une demande type étant donné que je ne bénéficie pas encore d une pièce pour mes animaux. Et leur demander des informations risqueraient de leur mettre la puce à l oreille, donc j attends d avoir une pièce rien que pour ca et hop je me lancerai surement voici ce qui nous interesse : 92 (numéro de rubrique) ACTIVITES RECREATIVES, CULTURELLES ET SPORTIVES A qui faire la demande ? A votre commune en trois exemplaires. La demande peut être introduite de 2 façons différentes: - Soit par dépôt contre récépissé à la commune; - Soit par envoi recommandé avec accusé de réception au Collège des Bourgmestre et Echevins. Annexes dans la demande : Il y a d autres annexes éventuelles ... Les frais : Nous sommes concernés par la classe deux et donc > 125 euro Vous trouverez toutes les autres infos necessaires a cette adresse : http://www.permisenvironnement.be/ ------------------------------------------------------------------------------------- [url]http://formpe.environnement.wallonie.be/html/Permis_Environnement.pdf [/url] Les articles de lois ! Qui a dit que la Belgique etait plus tolérante
  4. Il existe 800 espèces de scorpions sur Terre, mais seules quelques espèces présentent un danger pour l’homme. On enregistre 40.000 dècès par an dans le monde , dûs à des piqures de ces animaux. Localisation C’est un animal que l’on trouve dans la bande qui sépare les 45èmes parallèles. On en trouve donc en France, où ils causent 1% des intoxications. Vie de l’animal Animal nocturne. Son activité maximale se situe en soirée. C’est un animal peu agressif et qui vit caché. Sa piqure est un geste de défense, votre comportement est donc primordial. On le rencontre essentiellement en été. Dès l’automne, il hiberne. Description de l’animal Tout le monde connait la forme générale d’un scorpion. Sa queue possède un dard capable d’injecter une quantité variable de poison. Un même scorpion peut tuer ou non, selon la quantité de poison qu’il a inoculé, il faut donc attendre pour mesurer le danger objectif pour la personne. La composition du venin diffère suivant les espèces, et présente donc un danger variable. Ce venin contient diverses substances dont l’action est sélective : mammifères (les plus nombreuses), insectes, crustacés, etc. Les piqures des scorpions les plus dangereux sont peu douloureuses, contrairement aux autres. Ce phénomène est dû à la composition du venin. Les espèces dangereuses pour l’homme se caractérisent généralement par : * des pinces fines * une queue large et triangulaire * leur habitat en milieu aride Parmi les espèces dangereuses qui nous concernent, on trouve : Mortel : Leiurus quinquestriatus (Afrique du Nord, Sahara, Soudan, Egypte, Arabie et d’Israël) Très dangereux : Androctonus australis (Algérie, Tunisie, Lybie, Egypte, Soudan) et Androctonus mauretanicus (Maroc) Description des troubles * hypersudation * priapisme (érection incontrôlée) * myosis (rétraction des pupilles) ou mydriase (dilatation des pupilles) * diarrhée * perturbations cardiaques * râles bronchiques * hypotension * pieds et mains froides * rétention d’urine Le risque de décès chez l’adulte est de 1 à 5 %, plus chez l’enfant ou l’adulte affaibli. Trois niveaux de réactions peuvent être enregistrés : Stade I Signes locaux douleurs engourdissement Les signes s’estompent en 24 heures. Complications possibles : érythème, œdème, gangrène cutanée ou nécrose du doigt ou de l’orteil piqué. Stade II Signes généraux modérés * sueurs * rhinorrhée (le nez coule abondamment) * diarrhée * vomissements * hypertension artérielle * halètements * parfois troubles modérés de la régulation thermique Les signes s’estompent en général au bout de 48 heures. Stade III Signes généraux sévères signes respiratoires graves * étouffement * cyanose (la personne devient gris-bleu) * signes cardiologiques graves * hypertension * troubles du rythme cardiaque signes apparaissant 2 à 3 heures après la piqure, avec un maximum 10 à 16 heures après signes neuromusculaires graves * spasmes * crampes * agitation désordonnée des membres en phase terminale, des signes musculaires généralisés (signes oculaires, convulsions, paralysies...) et une hypertonie en extension apparaissent signes digestifs * nausées et vomissements * diarrhées * ballonnements gastriques * hémorragies digestives Conduite à tenir 1 Tenter d’aspirer le venin avec un "Aspivenin" 2 Entamer un retour vers un centre sanitaire : le danger objectif est difficile à évaluer 3 Rassurer la victime : le danger de mort est faible 4 Traiter la douleur : glace, antalgiques locaux, immobilisation du membre touché. Eviter les opiacés 5 Traiter la fièvre : Paracéthamol 6 Si un médecin est parmi vous : vaso-dilatateur contre l’hypertension 7 Surveiller les dangers vitaux, principalement les signes de détresse respiratoire Les sérums antiscorpioniques sont d’une efficacité controversée, mais semble limiter les effets graves, à condition d’être injectés en intra-veineuse dès le début des manifestations cliniques. Analyse du risque * taille du scorpion : une taille inférieure à 3 cm est un phénomème positif * localisation de la piqure : un piqure au cou, à la tête, au tronc est un phénomène aggravant (diffusion rapide du venin) * âge du sujet : très jeune ou âgé, ce sont des phénomènes aggravants. Il n’y a pratiquement aucun décès chez l’adulte en bonne santé. Après 24 heures de troubles, le plus gros danger vital est passé. Carte d’envenimations :
  5. Tableau concernant le danger du venin des scorpions : Higher taxonomy and phylogeny in scorpions Bothriruridae Bothriurus, Brachistosternus, Brandbergia, Brazilobothriurus, Centromachetes, Cercophonius, Lisposoma, Orobothriurus, Pachakutej, Phoniocercus, Tehuankea, Thestylus, Timogenes, Urophonius, Vachonia Buthidae Afroisometrus, Akentrobuthus, Alayotityus, Ananteris, Androctonus, Anomalobuthus, Apistobuthus, Australobuthus, Babycurus, Baloorthochirus, Birulatus, Buthacus, Butheoloides, Butheolus, Buthiscus, Buthoscorpio, Buthus, Centruroides, Charmus, Cicileus, Compsobuthus, Congobuthus, Darchenia, Egyptobuthus, Grosphus, Hemibuthus, Hemilychas, Himalayotityobuthus, Hottentotta, Iranobuthus, Isometroides, Isometrus, Karasbergia, Kraepelina, Lanzatus, Leiurus, Liobuthus, Lissothus, Lychas, Lychasioides, Mesobuthus, Mesotityus, Microananteris, Microbuthus, Microtityus, Neobuthus, Neogrosphus, Odontobuthus, Odonturus, Orthochirus, Orthochiroides, Parabuthus, Paraorthochirus, Pectinobuthus, Plesiobuthus, Polisius, Psammobuthus, Pseudolissothus, Pseudolychas, Pseudouroplectes, Razianus, Rhopalurus, Sabinebuthus, Sassanidothus, Simonoides, Somalibuthus, Somalicharmus, Thaicharmus, Tityobuthus, Tityopsis, Tityus, Troglorhopalurus, Troglotityobuthus, Uroplectes, Uroplectoides, Vachoniolus, Vachonus, Zabius Chactidae Auyantepuia, Brotheas, Brotechactas, Cayooca, Chactas, Chactopsis, Guyanochactas, Hadrurochactas, Nullibrotheas, Teuthraustes, Vachoniochactas Chaerilidae Chaerilus Diplocentridae Bioculus, Cazierius, Didymocentrus, Diplocentrus, Heteronebo, Nebo, Oiclus, Tarsoporosus Euscorpiidae Euscorpius, Megacormus, Plesiochactas, Troglocormus Hemiscorpiidae Habibiella, Hemiscorpius Heteroscorpionidae Heteroscorpion Iuridae Anuroctonus, Calchas, Caraboctonus, Hadruroides, Hadrurus, Iurus Liochelidae Cheloctonus, Chiromachetes, Chiromachus, Hadogenes, Iomachus, Liocheles, Opisthacanthus, Palaeocheloctonus Microcharmidae Ankaranocharmus, Microcharmus, Neoprotobuthus Pseudochactidae Pseoduchactas Scorpionidae Heterometrus, Opistophthalmus, Pandinus, Scorpio Scorpiopidae Alloscorpiops, Dasyscorpiops, Euscorpiops, Neoscorpiops, Parascorpiops, Scorpiops Superstitioniidae Alcran, Sotanochactas, Superstitionia, Typhlochactas Troglotayosicidae Belisarius, Troglotayosicus Urodacidae Urodacus Vaejovidae Paravaejovis, Paruroctonus, Pseudouroctonus, Serradigitus, Smeringerus, Syntropis, Uroctonites, Uroctonus, Vaejovis, Vejovoidus
  6. ÉCHELLE DE DANGEROSITÉ. Mise en garde Cette échelle ne tien pas compte des allergie probable des personnes piquées, une personne allergique au venin peut avoir un choc anaphylactique et en mourir ! Sans danger. - Stade 1 - Douleur au point de l’inoculation, sensation de brûlure et de fourmillement et/ou engourdissement qui s’estompes en moins de 24 heures. Très douloureux voir un médecin - Stade 2 - Douleur au point de l’inoculation, sensation de brûlure et de fourmillement et/ou engourdissement et/ou diarrhée et/ou sueurs et/ou vomissement qui s’estompes en moins de 48 heures. Toxique, demande une visite à l’hôpital. - Stade 3 - Les mêmes troubles que le stade 2 s’amplifies accompagnés de problèmes respiratoires et/ou cardiaque et/ou altération de la conscience. Très toxique composé les secours. - Stade 4 - Les même troubles que le stade 3 accompagné d’insuffisance respiratoire aigue, lutte, humus a la bouche, dysfonction cardiaque, œdème pulmonaire, augmentation de la tension artérielle, accident cérébraux vasculaire, hémorragie interne, état de choc. Hautement toxique, fréquemment mortel, composez les secours. - Stade 5 - Les mêmes troubles que le stade 4 accompagné d’hyperthermie + de 40°C. Convulsions, œdème aigu du poumon, coma. La mort survient dans 10% des cas 24 heures après la piqûre. * Source http://www.e-monsite.fr/scorpuspark
  7. Tous les scorpions ont un venin ! Sur les 1500 espèces connues une vingtaines comportes des risques mortels pour l’homme des Buthidae pour la plus part. Il est impératif de savoir le nom scientifique de l’espèce que vous voulez acquérir. Sans être mortel certains venins peuvent faire de graves dommages et des nécroses irréversibles. Les scorpions sont des animaux à traité avec respect. Voici une liste de la plus part des scorpions a éviter, il sont en ordre alphabétique et non de toxicité et causent plus de 40 000 décès par an dans le monde., 25 % des personnes décédées sont des enfants de moins de 15 ans. - Androctonus amoreuxi. - Adroctonus australis. - Androctonus bicolor aenas - Androctonus crassicauda. - Androctonus mauretanicus. - Buthus occitanus tunetanus. - Centruroides exilicauda. - Centruroides infamatus. - Centruroides limpidus. - Centruroides noxius. - Centruroides sculpturatus. - Centruroides suffusus. - Leiurus quinquestriatus. - Opistopthalmus glabrifons. - Parabuthus transvaalicus. - Tithius serrulatus. Il est conseillé d’avoir un sérum antivenimeux spécifique aux espèces que vous voulez avoir et informé le centre anti-poison des scorpion dangereux que vous possédez. Notons ici qu’il y a 3 espèces protégées par la Convention de Washinton, le Pandinus impérator, Pandinus dictator et Pandinus gambiensis, ils sont dit “ CITES “, Convention on International Trade in Endangered Spicies of wild flora and fauna.
  8. La garde en captivité des amphibiens et reptiles et la loi au Québec Partout au Canada et à plusieurs endroits dans le monde, les animaux de compagnie font partie intégrante de la société et, comme bien d'autres choses de notre quotidien, sont assujettis à des réglementations. Les reptiles n'échappent pas à la régle. Nous vous proposons ici quelques résumés simplifiés des règlements proviciaux (Québec) qui touchent le plus la garde en captivité des amphibiens et reptiles au Québec. Obligations générales: De façon générale, au Québec, si vous gardez un animal en captivité vous êtes assujettis aux obligations suivantes : * Lui fournir de l'eau potable en tout temps et de la nourriture de qualité et en quantité suffisante pour satisfaire ses besoins physiologiques; * Le garder dans un endroit salubre; * Lui donner accès en tout temps à un abri convenant aux besoins de son espèce; * S'assurer qu'il reçoive les soins de santé requis. * Quiconque abat un animal qu'il garde en captivité doit le faire par un procédé qui cause instantanément sa mort ou qui ne lui cause pas de souffrances inutiles. Les amphibiens et reptiles indigènes du Québec Espèces admises à la garde en captivité sans permis Si vous êtes résident du Québec, il n'y a aucun permis requis pour la garde en captivité des espèces indigènes mentionnées au tableau A. Il en va de même pour la possession et la disposition d'oeufs ou de têtards des espèces d'amphibiens indigènes mentionnés au tableau A. Tableau A - Espèces indigènes admises à la garde en captivité sans permis : Classe des reptiles La couleuvre rayée (Thamnophis sirtalis) Classe des amphibiens Le crapaud d'Amérique (Bufo americanus) La grenouille des bois (Rana sylvatica) La grenouille du Nord (Rana septentrionalis) La grenouille léopard (Rana pipiens) La grenouille verte (Rana clamitans) La necture tacheté (Necturus maculosus) Le ouaouaron (Rana catesbeiana) pas plus de 2 spécimens Le triton vert (Notophthalmus viridescens) Le nombre total maximal d'animaux des espèces mentionnées au tableau A que vous avez droit de garder ou capturer est de 10, dont au plus 2 ouaouarons. Il n'y a pas de limite sur le nombre d'oeufs et de têtard des espèces mentionnées au tableau A. Capture des espèces indigènes Aucun permis n'est requis pour la capture, dans le but de le garder en captivité, d'un amphibien ou reptile mentionné au tableau A. Il en va de même pour les oeufs et les têtards des amphibiens mentionnés dans ce tableau. Si vous capturez une des espèces indigènes mentionnées au tableau A, vous devez le faire à l'aide d'un moyen autre que le feu et qui permet de le capturer sans le blesser. La capture de cet animal peut se faire à toute époque de l'année, sauf pour le ouaouaron et pour la grenouille léopard dont la période de capture s'échelonne du 15 juillet au 15 novembre. La capture d'un amphibien mentionné au tableau A peut se faire dans toutes les zones de pêche et de chasse à l'exception des zones 17, 19 partie nord, 22, 23 et 24. (définition des zone ) Vente des espèces indigènes Il est interdit de vendre un animal d'une espèce indigène mentionnée au tableau A, ni les oeufs ou les têtards des amphibiens mentionnés au tableau A. Il est cependant permis de les donner ou de les libérer dans la nature sans permis. Disposition des espèces indigènes Quiconque garde en captivité un animal, des oeufs ou des têtards d'une espèce indigène mentionnée au tableau A peut en disposer, sans permis, autrement que par la vente ou l'abattage. Les amphibiens et reptiles exotiques Espèces exotiques admises à la garde en captivité sans permis Si vous êtes résident du Québec, il n'y a aucun permis requis pour la garde en captivité des espèces exotiques mentionnées au tableau B. Il en va de même pour la possession et la disposition d'oeufs ou de têtards des espèces d'amphibiens exotiques mentionnés au tableau B. Tableau B - Espèces exotiques admises à la garde en captivité sans permis : Classe des Amphibiens Toutes les espèces Classe des reptiles Toutes les espèces sauf: Les Crocodiliens Les lézards venimeux Les serpents venimeux Les tortues marines Les tortues de la famille des Trionichidés (tortues à carapace molle) Nombre maximal admis de spécimens des espèces mentionnées au tableau B. Si vous êtes résident du Québec, il n'y a aucun permis requis pour la garde en captivité, l'élevage ou la vente des reptiles et amphibiens mentionnés au tableau B. Lors de la vente au détail d'un amphibien ou un reptile exotique par un commerçant, celui-ci doit remettre à l'acheteur une fiche de renseignements sur laquelle il doit indiquer le nom de l'espèce, sa taille normale à l'âge adulte et les conditions essentielles à son bien-être. Vente des espèces exotiques Si vous êtes résident du Québec, il n'y a aucun permis requis pour la garde en captivité, l'élevage ou la vente des reptiles et amphibiens mentionnés au tableau B. Lors de la vente au détail d'un amphibien ou un reptile exotique par un commerçant, celui-ci doit remettre à l'acheteur une fiche de renseignements sur laquelle il doit indiquer le nom de l'espèce, sa taille normale à l'âge adulte et les conditions essentielles à son bien-être. Disposition des espèces exotiques Si vous avez un reptile exotique, vous avez le droit de le garder, le vendre, le donner ou l'abattre. Il est interdit de le libérer dans la nature. Règlements municipaux La première restriction que vous risquez de rencontrer concernant les réglementation sur la garde en captivité des animaux, particulièrement les reptiles, est celle de votre municipalité. Cette règlementation ne peut être que moins permissive que tous les autres lois et règlements au dessus d'elle. Par exemple, au Québec, il n'y a aucune interdiction au niveau provincial concernant la garde en captivité des boas constricteurs. Toutefois, à Sherbrooke, tous les boas sont interdits. Informez-vous auprès de votre municipalité ou SPA local de la règlementation et de l'application du règlement concernant les animaux de compagnie.
  9. CERTIFICAT DE CAPACITE NON DOMESTIQUE I DEFINITION Le certificat de capacité est un acte individuel de l'administration. Il est donc personnel et incessible. II CONTENU Le certificat de capacité est accordé pour certaines espèces précises, désignées dans la décision, et pour l'exercice de fonctions dans un type d'établissement défini. La compétence du demandeur s'évalue en effet vis à vis de certaines espèces et pour un type d'établissement présentant certaines caractéristiques. Son titulaire doit en demander l'extension soit à d'autres espèces mentionnées par la décision, soit à d'autres types d'établissements, dès lors qu'il envisage une modification des conditions d'exercices de ses fonctions. III DUREE Le certificat de capacité est accordé sans limitations de durée et constitue en ce sens une reconnaissance de compétences personnelles. Dans certains cas particulier, notamment lorsque le postulant n'a pas eu l'occasion par le passé de faire preuve de ses compétences ou qu'il lui est impossible de se prévaloir de certains diplômes, le certificat peut lui être accordé à titre probatoire pour une durée que détermine le préfet après avis de la commission consultative. IV ABROGATION Si le titulaire d'un certificat de capacité se montre incompétent à entretenir des animaux pour lesquels il est certifié, et notamment en cas de fautes graves et/ou répétées, ou si le titulaire a fait l'objet d'une condamnation pour infraction aux dispositions relatives à la protection de la nature, ou à la protection animale, le Préfet peu procéder à l'abrogation totale ou partielle du certificat, à la demande de la DSV (direction des services vétérinaires). Voici les 3 annexes qui composent le Certificat de Capacité non domestique : ANNEXE I A/ Le demandeur établit une lettre de demande "Je soussigné (nom et prénom) présente une demande de certificat de capacité pour la vente et/ou le transit d'animaux d'espèces non domestiques. Je certifie sur l'honneur l'exactitude des informations que j'apporte dans ce dossier" A signer et dater. B/ Il dresse une fiche d'information contenant : - nom - prénom - âge - profession actuelle - adresse de son domicile - numéro de téléphone du domicile C Il joint les pièces suivantes - Fiche d'Etat civil (désormais remplacé par une photocopie de la carte d'identité ou passeport) - Extrait n°3 du casier judiciaire - Un curriculum vitae daté, accompagné des pièces justificatives des déclarations portée (copies de diplômes, attestations d'employeurs etc...) - Le cas échéant, il mentionne sa participation à des associations ou des organismes ayant pour objet la protection ou la connaissance des animaux. - Une note présentant les modalités d'acquisition de ses compétences (études, stages, bibliographie...) et de leur enrichissement en joignant tout document de nature à justifier celle-ci. ANNEXE 2 - projet du demandeur - Ce projet doit être présenté de manière différente selon qu'il s'agit pour le demandeur. - de la régularisation de sa situation de responsable exerçant les fonctions mentionnées dans un établissement existant. - de prendre de nouvelles fonctions de responsable de l'entretien des animaux dans un établissement existant. - de créer un établissement au sein duquel il sera responsable de l'entretien des animaux. - d'un projet de principe destiné à obtenir le certificat de capacité pour un éventuel exercice futur d'entretien des animaux. A/ Cas d'un établissement existant antérieurement à la demande : Il est demandé au postulant d'apporter des informations relatives à l'état initial de cet établissement: - raison sociale - adresse - téléphone - N° d'inscription au registre du commerce - date d'ouverture - superficie de l'établissement - nombre total d'espèces détenues et spécimens de chaque espèce. Il indique également sous forme de tableau : - le nom vernaculaire de chaque espèces - le nom scientifique de chaque espèces - le nombre d'individus mâles, femelles - le nombre d'individus dont le sexe n'est pas déterminé qui peuvent être hébergés dans l'établissement. Ses observations particulières apparaîtront dans une colonne supplémentaire du même tableau. Le dossier doit comporter un plan d'installations, portant précisément l'emplacement des espèces sus-mentionnées, la place de tous les locaux techniques. Il doit également comporter une description détaillée des installations, par ex : enclos, cages, et leurs accessoires, équipements et agencement général des installations. Le dossier décrit le flux des animaux qui traversent l'établissement. - nature (nom scientifique et vernaculaire), volume des espèces concernées, répartition saisonnière des flux. - origine et source des animaux, critère de choix de ces origines et de ces sources, contrôle effectué sur ces éléments. - modalité de transports des animaux reçus. - organisation du stockage des animaux reçus - destination des animaux, précautions prises sur le choix des destinataires. - informations, formation des destinataires sur les animaux détenus, statut de conservation des espèces, réglementation, besoins biologiques, sanitaires, comportement... - modalités de transport des animaux expédiés. Le dossier comporte en outre : - un document relatif au régime alimentaire dont bénéficient les animaux - une pièce permettant d'apprécier la politique menée en matière de santé des animaux - une description de la politique générale menée et des conditions de fonctionnement de l'établissement. - une copie des pièces de contrôle notamment celles exigées par la réglementation (livre journal et inventaires des effectifs, livre de soins vétérinaires...) - éventuellement le programme des travaux qui pourraient être envisagés pour l'amélioration ou le développement de l'établissement. - les comptes annuels des 3 dernières années. - un tableau récapitulatif des résultats obtenus en reproduction s'il y a lieu. Bien entendu, le candidat peut apporter toute information complémentaire qui lui semble nécessaire. B/ Cas d'un établissement à créer : Le projet doit comporter, en hypothèse, toutes les informations ci-dessus énumérées. Si l'emplacement est d'ores et déjà connu, il doit être précisé et décrit. En lieu et place des comptes annuels des 3 derniers exercices, le postulant fournit un compte prévisionnel à 5 ans. ANNEXE 3 Modèle de rapport à établir par les services vétérinaires pour une demande de certificat de capacité Le dossier est succintement résumé : " M.X présente une demande de certificat de capacité pour la vente et/ou le transit d'animaux vivants d'espèces non domestiques dans le cadre de l'établissement Y. Après examen de son dossier et l'entretien avec l'intéressé, je vous fais part de mes remarques et de mon avis sur l'éventuelle attribution du certificat au demandeur ". Les observations et réflexions doivent porter en priorité sur : 1/ Les connaissances du demandeur a/ connaissances théoriques (diplôme ou autres éléments justifiant de connaissances générales dans le domaine, biologie, zoologie...) b/ connaissances pratiques (expérience professionnelle reconnue et attestée permettant de solides compétences zootechniques et sanitaires adaptées à l'établissement). c/ connaissances juridiques (textes législatifs et réglementaires s'appliquant à l'exercice d'une telle activité). d/ capacité d'enrichissement de toutes ces connaissances (parfaire sa formation, moyens qu'utilisent le postulant pour tenir ses connaissances à jour des dernières découvertes). 2/ L'exercice réel de la fonction de responsable chargé de l'entretien des animaux. a/ importance des pouvoirs de décision du demandeur dans l'établissement b/ temps de présence sur les lieux 3/ Le projet a/ démontre-t-il sa crédibilité technique ? (installations, performance et modalités de contrôle) b/ démontre-t-il sa crédibilité financière ? (prévisions réalistes etc...) c/ offre-t-il des garanties vis à vis du bien être des animaux ? (implantations adaptées aux animaux...) d/ offre-t-il des garanties vis à vis de la santé et de la sécurité du personnel ? e/ offre-t-il des garanties via à via de la santé et de la sécurité du public ? 4/ L'établissement a/ situation de l'établissement b/ appréciation sur la politique menée au sein de l'établissement, tant technique que sanitaire, juridique, financière. c/ respect de la réglementation - Dispositions relatives à la santé, au bien être, à la sécurité et au suivi des animaux. - Dispositions relatives à la santé et à la sécurité du personnel et du public. - Dispositions relatives à la protection des espèces non domestiques. - Dispositions relatives à l'établissement proprement dit et à la protection de l'environnement. 5/ Les flux d'animaux traduisent ils une bonne prise en compte impératids de protection de la faune sauvage. Par le choix des espèces, des origines, des sources, des volumes. Par le choix des fournisseurs, les garanties exigées, les relations obtenues, les contrôles effectuées. Par le choix des destinataires, les garanties exigées, les relations entretenues, les contrôles effectués. 6 Conclusion Sur le base de ces observations, formuler un avis précis favorable, défavorable, favorable sous conditions en précisant lesquelles, demande de complément d'informations du postulant et conseils en ce sens. Cet avis peut également porter sur une réorientation de la demande, par exemple en ce qui concerne la spécialisation du certificat de capacité par rapport aux réelles connaissances du demandeur de certaines catégories d'espèces animales. * Sources http://www.chez.com/elapheguttata/
  10. Ce que vous voyez sur l'image c'est une araignée nocturne qui a été découverte en Irak par des soldats américains. Après quelques recherches sur cette espèce d'araignée qui porte le doux nom de "camel spider", on peut découvrir, aussi répugnante et grosse soit-elle, qu'elle peut se déplacer à plus de 16 Km/h soit tout de même 3 fois la vitesse d'un homme qui marche (c'est l'une des araignées les plus rapide). Mais pas d'affollement, même si sa morsure peut faire très mal, elle n'est pas mortelle et provoquera tout au pire quelques engourdissement. Dernière chose importante, elle ne s'attaque certainement pas aux hommes ! Au niveau de la photo maintenant, cette araignée n'est pas si grosse qu'elle en a l'air, c'est tout simplement parce qu'elle se trouve relativement près de l'objectif. Les experts lui donne une taille aux alentours des 16 cm de longueur, ce qui est déjà très gros et peut sans aucun doute faire peur lorsqu'on l'a sous le nez. Alors, info ou intox Sources Google. P.S : A mon avis sur la photo il y a 2 spécimens
  11. Introduction : Quel que soit l'animal que l'on décide d'acquérir, certaines règles doivent impérativement être respectées si l'on ne veut pas regretter très vite son geste. Il ne faut jamais acquérir un animal à la hâte, c'est bien connu et valable aussi bien pour un chien, un cochon d'Inde, que pour une mygale, peut-être même plus (il sera très difficile de trouver quelqu'un qui voudra bien s'occuper de l'araignée dont on ne veut plus), à supposer que l'animal n'aie pas perdu la vie par l'inexpérience de son acquéreur empressé ou causé du tort à quelqu'un... Il faut s'intéresser au préalable aux conditions de maintien de l'araignée, à son mode de vie et à son alimentation pour pouvoir prétendre avoir les bases minimum suffisantes à l'élevage de ces mygales. Le choix du premier spécimen est très important et il faut choisir une espèce assez calme et robuste pour débuter telles Brachypelma albopilosa, Grammostola pulchra ou encore Phryxotrichus roseus. Conditions d'élevage: Le terrarium : En verre ou en plastique, le premier s'avérant peut-être plus pratique à long terme (ne se raye pas, garde un aspect neuf après de longues années, mais attention à la casse!) et globalement préférable pour les adultes (terrarium définitif). Les bacs en plastiques, munis de couvercle et spécialement conçus au maintien d'animaux sont tout de même très intéressants pour des tailles d'araignées intermédiaires. Sa taille dépend de celle de l'araignée. Le substrat : Ni sable, ni terre, de la tourbe : Le sable favorise la présence de parasites et plus particulièrement celle d'acariens qu'il faut éviter à tout prix faute de quoi les conditions sanitaires ne seront pas satisfaisantes. La terre, quant à elle peut (selon sa qualité) devenir quelque peu boueuse par excès d'humidité et se transformer en marécage. A utiliser de la tourbe blonde à laquelle il faut ajouter parfois des écorces de pins pour le décor et favoriser les cachettes. La tourbe a plusieurs particularités qui en font un substrat de choix, notamment l'acidité de son pH qui empêche la prolifération microbienne et permet donc de garder ce substrat durant 4 à 6 mois sans risques. De plus, la tourbe a la propriété de retenir jusqu'à 8 fois son volume en eau et garde ainsi l'hygrométrie élevée nécessaire aux mygales dans le terrarium. L'épaisseur du substrat dépend de l'espèce de l'araignée : 5 cm suffisent pour celles qui ne creusent que rarement (Brachypelma par exemple, et toutes les arboricoles je pense) ; pour celles qui creusent volontiers (Acanthoscurria Antillensis) et plus encore pour les souterraines (Hystérocrates Gigas par ex.) l'épaisseur doit être au moins de 10 cm pour les adultes et plus si c'est possible. L'abreuvoir : Il doit être présent dans tous les terrariums, et sa taille doit permettre aux mygales de pouvoir s'y abreuver en trempant leur céphalothorax. La température : Elle doit être de 24 à 30°C suivant les espèces. Les moyens de chauffer les moins mauvais sont peut-être les plaques et cordons chauffants (moins mauvais et non les mieux parce qu'ils apportent une chaleur par le sol qui n'est pas naturelle. Attention: pour les cordons chauffants de forte puissance (> 50 W), il faut surélever le terrarium pour qu'il ne soit pas en contact direct avec le cordon car la chaleur risquerait de fendre le verre. L'idéal est de climatiser l'ensemble de la pièce, solution que j'ai depuis longtemps adoptée mais qui n'est valable que pour des élevages de nombreux spécimens; Il suffit ensuite de placer judicieusement les spécimens selon leur besoin en chaleur: ceux qui nécessitent les températures les plus fortes seront placés dans la partie haute de la pièce, endroit le plus chaud. L'hygrométrie : Elle varie elle aussi suivant les espèces, de 60 à 95 %. Elle peut être facilement obtenue par pulvérisation d'eau. Un taux d'humidité idéal est souvent difficile à obtenir au départ mais avec le temps, on apprend à doser convenablement et à déterminer très précisément l'hygrométrie d'un biotope. La nourriture : Elle est un point très important également et il faut respecter le rapport de taille entre la mygale et les proies. Les juvéniles seront nourris avec des micro grillons, des drosophiles ou des petits vers (fifises). Puis des vers de farine (larves de Tenebrio molitor), des grillons (acheta domesticus), des criquets migrateurs (Locusta migratoria), des blattes mexicaines (Blabera fusca) varient leurs repas. La fréquence dépend de l'âge de la mygale (2 à 3 repas par semaine pour les très jeunes, 1 repas hebdomadaire pour les jeunes de 1 à 2 ans puis 1 repas tous les 10 à 15 jours pour les adultes. Bien sûr, cela dépend de la quantité servie à l'araignée. Quelle nourriture : Les mygales se nourrissent essentiellement de grands insectes, même si des petits mammifères (souris, mulot, …) oiseaux et batraciens peuvent aussi parfois faire partie de leur alimentation. En élevage, je pense qu'il est rare de nourrir ses animaux avec des batraciens et encore plus rare avec des oiseaux (même pour les arboricoles), pourtant le régime alimentaire des araignées serait ainsi plus varié et donc meilleur ; Les souris, elles, peuvent représenter un danger, même pour les grandes espèces comme Theraphosa Leblondi ou Lasiodora parahybana ; En effet, il peut arriver que la mygale se fasse blesser par ce mammifère qui n'hésitera pas à mordre ou griffer pour se défendre. Les insectes restent donc un bon moyen de garantir l'alimentation nécessaire. Bien que les mygales ne fassent pas de repas quotidien, la quantité de nourriture à offrir devient vite conséquente lorsque l'élevage compte plusieurs dizaines de spécimens, et c'est pourquoi des élevages menés en parallèles sont la meilleure solution. Les larves de vers de farine mesurent 40 mm à l'état adulte et sont à peine visible pour les plus jeunes, on peut donc les utiliser pour nourrir de très jeunes mygales. Biologie : Comme toutes les araignées, les mygales sont des invertébrés disposant d'un exosquelette (ou squelette externe). Pour grandir, les mygales doivent donc muer. Le corps d'une mygale est constitué d'un abdomen et d'un céphalothorax où viennent s'articuler la paire de pédipalpes et les 4 paires de pattes. Céphalothorax et abdomen sont reliés par un étroit pédicule qui confère aux mygales une grande souplesse. Le céphalothorax : Alors que chez l'insecte la tête et le thorax sont deux parties distinctes, elles sont unies chez la mygale et forme le céphalothorax. Celui-ci est fortement chitinisé, ce qui lui confère sa rigidité. A l'avant, le céphalothorax porte les 2 chélicères sur lesquelles viennent s'articuler les crochets. Il est à noter que l'orifice du canal à venin se trouve sur la face externe, légèrement avant l'extrémité terminale (tout comme chez bon nombre de serpents, et ce afin que celui-ci ne s'obstrue lors de ses manoeuvres). Chez les mygales, les crochets sont articulés dans le sens de la longueur de l'araignée, particularité des orthognates, groupe auquel elles appartiennent (dite araignées primitives) en comparaison au groupe des labidognates qui sont des araignées plus évoluées dont les chélicères s'articulent l'une en face de l'autre, perpendiculairement à l'axe du corps. Le céphalothorax porte les pièces buccales, la paire de pédipalpes ainsi que les 4 paires de pattes servant à la locomotion de l'animal. Les 4 paires de pattes (numérotées patte I à IV de l'avant vers l'arrière) sont composées de 7 segments: coxa (ou hanche), trochanter, fémur, patelle, tibia, métatarse et le tarse qui porte les griffes. Les pédipalpes comportent, eux, 6 segments (métatarse absent) et servent principalement à ce que l'on peut apparenter au toucher. A leur extrémité terminale, les mâles disposent de bulbes copulateurs, réservoirs spermatiques nécessaires à la reproduction. Toujours chez les mâles, un crochet apophysaire (simple ou double) est souvent présent sur les pattes I. Leur rôle consiste à maintenir la femelle (et ses crochets en particulier) dans une position propice à l'accouplement. Bien que les mygales aient une vision très faible, un groupe oculaire de 4 paires de petits yeux est présent à l'avant du couvercle du céphalothorax. Organisation interne : Le céphalotorax renferme les systèmes nerveux, sensoriel et une partie de l'appareil digestif (production des sucs digestifs et acheminement de la nourriture prédigérée dans l'intestin antérieur). Les glandes à venin se trouvent dans les chélicères. L'abdomen : C'est la partie molle de l'araignée, ce qui permet à son volume de varier suivant ses repas. Organisation externe: A son extrémité postérieure se trouvent les 2 paires de filières qui ont pour rôle la production de soie (dont les fonctions sont multiples): 1 paire de filières inférieures et 1 paire de filières supérieures. Juste au-dessus de la base des filières supérieures apparaît l'orifice anal. Sur la face inférieure de l'abdomen, on aperçoit les 4 orifices pulmonaires (4 paires de poumons chez la mygale, absence de trachée) et l'épigyne ou sillon épigastrique (orifice génital) entre les deux poumons antérieurs. Organisation interne: L'abdomen renferme le système circulatoire de la mygale, les appareils reproducteur et respiratoire, les glandes séricigènes (production de la soie) et la continuité de l'appareil digestif (intestins moyen et postérieur) La digestion des aliments se fait en deux temps. Le premier est externe : les aliments sont broyés, puis décomposés, partiellement ou totalement, par les sécrétions des pièces buccales et les sucs digestifs dont ils sont enduits. La bouillie ou le liquide obtenus sont ensuite aspirés, et la seconde phase de la digestion a lieu dans le tube digestif. La mue : La mue est un phénomène clé propre aux invertébrés. C'est en effet le moyen grâce auquel ces animaux peuvent croître. Sans entrer dans les détails extrêmement complexes de la mue, en voici les grandes lignes... Le moment venu, la mygale va donc "sortir" de son ancienne "peau" qui est en fait son squelette externe (exosquelette). Une fois sortie, elle grandit très rapidement avant que sa nouvelle peau ne soit complètement sèche et solide de nouveau. Dans la nature, cette période de mue est très dangereuse pour l'araignée car celle-ci y est extrêmement vulnérable. La vie de la mygale est donc entrecoupée par ces phénomènes fantastiques que sont les mues. 1) Phase de pré-mue : Après une période d'activité dont la longueur dépend de nombreux facteurs tels l'âge de la mygale, l'espèce, ou encore les conditions de maintien, la mygale entre dans cette période de pré-mue. La mygale va se préparer à muer. A ce stade, elle cesse de s'alimenter, sa couleur devient de plus en plus terne car sa future enveloppe corporelle finie sa formation (on peut d'ailleurs la voir par transparence au niveau de son abdomen si une partie est à nue, sans poils urticants). Son activité baisse généralement quelques peu. Cette phase peut durer de quelques jours (chez les très jeunes) à plusieurs mois (chez les adultes, femelles, puisque les mâles ne muent plus un fois l'état adulte atteint). Il ne faut donc pas s'inquiéter de voir une mygale refuser toute nourriture même durant une longue période si sa dernière mue commence à dater. 2) La mue Lorsque le moment sera venu, la mygale va se mettre à tisser une épaisse toile qui la protègera du sol et de ses parasites lors de sa mue. Les arboricoles aussi tissent cette toile de mue. La mygale s'installe sur cette toile dans une position qui peut inquiéter les débutants, en effet, elle est retournée, les 8 pattes en l'air. Elle va rester dans cette position durant de longues heures. Puis, doucement, par des phénomènes de pression interne du liquide interstitiel constitué entre la nouvelle et l'ancienne enveloppe, le couvercle du céphalothorax va se décoller. C'est par l'espace libéré que toute la mygale va passer, en s'extirpant lentement de son ancienne enveloppe. Cette phase est assez longue (environ 1 heure chez les jeunes, 2 ou 3 chez les adultes) et très éprouvante pour l'araignée. Une fois sortie, épuisée, elle restera un moment sur le dos avant de se remettre sur ses pattes. 3) Phase de repos Les couleurs de cette nouvelle mygale à la peau "neuve" sont différentes, très éclatantes chez les adultes et blanc clair, presque transparent chez les très jeunes (photos ci-dessous). On peut repérer les crochets qui sont blanc et rougeâtre. Ils ne seront pas fonctionnels durant les quelques jours qui suivent. La mygale ne peut donc pas se nourrir durant cette période et doit être laissée au calme, loin de tout stress pour lui permettre de récupérer après fourni. L'ancienne peau, abandonnée, est nommée exuvie. Celle-ci est molle et peut être mise en forme pour être ensuite exposée. Voilà vous savez à peu près tout, à vous de choisir votre nouvel "ami" Merci à l'excellent site "Chez Alice"
  12. Anatomie P.S : N'hésitez pas à complétez ce post car je n'ai pas trouvé grand chose sur l'anatomie du lézard.
  13. Même s'ils ont mauvaise réputation, les serpents venimeux ne représentent qu'une minorité parmi tous les serpents. Environ 250 espèces sont considérées comme dangereuses pour l'homme, soit moins d'un dixième de toutes les espèces, et seule une cinquantaine sont potentiellement mortelles. Sécrétion du venin Sécréter du venin a d'abord été un moyen de maîtriser des proies, bien qu'ils s'en servent également pour se défendre. En général, les serpents classés comme venimeux sont ceux dotés de dents spécialisées, qui injectent du venin profondément dans le corps de leurs proies, bien qu'ils existent quelques espèces sans dents modifiées qui sécrètent du venin. Toxicité Le venin est un mélange complexe de substances chimiques variées, surtout des enzymes qui servait à l'origine à faciliter la digestion des proies. Plus ces sucs digestifs sont concentrés, plus le venin est puissant. Les principaux composants du venin sont des enzymes comme les protéases, qui détruit les tissus, la hyaluronidase, qui augmente la perméabilité des tissus (le venin peut se propager plus rapidement), les phospholipases, qui attaque les membranes cellulaires, et les phosphatases, qui dégradent divers composés chimiques. Le venin de certains élapidés marins est parmi les plus toxiques du monde, parce qu'ils mangent des poissons récifaux, qui s'échapperaient, si le venin n'agissait pas rapidement. Certains serpents ont un venin spécialisé, adapté à des proies particulières, pouvant agir sur un lézard, mais pas sur un oiseau de même taille. Parmi les serpents terrestres, le taïpan du désert Oxyuranus microlepidotus, le mamba noir Dendroaspis polylepis, et le cobra royal Ophiophagus hannah, sont considérés comme les plus venimeux au monde. Le crochet agit comme une seringue, lorsque les mâchoires se referment, le réservoir à venin situé sous le crochet envoie le liquide mortel dans le corps de la victime. Effets de toxicité Celui des nombreux colubridés contient aussi une L-acide-amino-oxydase, substances qui détruit les tissus. Le venin des élapidés terrestres et marins contient des polypeptides basiques, qui bloquent la transmission nerveuse et causent une mort rapide par paralysie du diaphragme, de telle sorte que la victime s'arrête de respirer. Quant au venin des vipéridés, il a un taux de protéases élevé, qui produit des dommages sévères aux tissus entourant le point de morsure et donc une hémorragie abondante. 1. Muscle de la mâchoire 2. Muscle compresseur 3. Fossette sensorielle 4. Maxillaire 5. Canal à venin 6. Crochet (en coupe) 7. Gaine du crochet 8. Glande à venin Mordre une proie La façon dont les serpents venimeux mordent leurs proies varie d'une espèce à l'autre. Les vipéridés ramènent vers l'arrière la partie antérieure de leur corps en une boucle en forme de S, puis se redressent brusquement pour mordre. En même temps, ils ouvrent grand leurs mâchoires et rabattent leurs crochets pour les diriger vers l'avant. Les espèces de la famille des élapidés, mordent rapidement, tandis que certaines vipères fouisseuses mordent de côté. Ces espèces, qui chassent dans des galeries étroites, ont des crochets antérieurs spécialisés qu'il peuvent faire pivoter sur le côté et faire saillir sans ouvrir la bouche. S'attaquer à des lézards Les lézards sont souvent des proies préférées des serpents opisthoglyphes, qui s'accrochent à eux pendant que le venin fait son effet. Avaler une proie morte La vipère tue sa proie avec son venin, avant de la manger. Elle avale la tête en premier, les membres se replient vers l'arrière, ce qui permet au corps de s'enfoncer facilement dans l'œsophage. Venin à action rapide Le serpent venimeux le plus long du monde, le cobra royal, sécrète un venin très puissant et se nourrit exclusivement d'autres serpents. Injecter du venin La plupart des serpents venimeux sont équipés de grands crochets, canaliculés ou sillonnés, pour injecter rapidement le venin. Ils sont situés à l'arrière ou à l'avant de la bouche du serpent. Les serpents opisthoglyphes ont besoin d'avoir une bonne prise sur leurs victimes, afin de pouvoir injecter leur venin. Ils introduisent leur proie au fond de leur bouche, puis enfoncent bien leurs crochets dedans pour faire une morsure profonde dans laquelle s'écoule le venin. Si la proie se débat, le serpent peut mordre plusieurs fois, comme s'il mâchait, jusqu'à ce qu'elle soit morte. Ces serpents ne constituent que rarement une menace pour l'homme. Les serpents protérodontes peuvent mordre une proie, puis la relâcher pour éviter d'être blesser lorsqu'elle se débat. La proie ne peut aller bien loin, et le serpent suit la trace odorante qu'elle laisse derrière elle. * Sources squamata.free.fr/
  14. Bonjour ; Allez voir ci-dessous, cela fais froid dans le dos http://www.herpnet.net/bite/
  15. Bonsoir ; Voiçi un très bon site mais uniquement sur les scorpions http://membres.lycos.fr/scorpionspassions/phpbb/index.php?sid=48d80b27719387386ddcd445c871200a
  16. Bonsoir ; Voilà le lien vers un site traitant des nacs qui m'a l'air firt bien réaliser (suis occupé à le consulter) A.ANACONDA TERRARIOPHILIE ASSOCIATION http://monsite.wanadoo.fr/ANACONDA3/index.jhtml
  17. Valko03

    Tout Les Drivers.Com

    Hello ; Vous rechercher un Drivers pour vos carte graphiques, cartes sons ou tout matériels informatiques alors rendez-vous sur ToutLesDrivers.com http://www.touslesdrivers.com/
  18. Je vous conseil un super site concernant les lézards et tout spécialement les uromastyx. Le gars est spécialisé dans les uromastyx, a écris un super ouvrage sur les uromastyx (je vous le conseil) et il y a même possibilité d'acheté des animaux (Uro et autres lézards) http://www.bebesaurus.com/ N'hésitez pas à le contacter pour tous renseignements sur vos petits protégés
  19. Valko03

    PC Astuces

    Bonjour ; Vous avez des problèmes (graves) avec votre ordinateur alors ne cherchez pas plus loin et inscrivez vous sur PC Astuces, les spécialistes des pannes, virus et autres soucis sont la pour vous aider http://forum.pcastuces.com/
  20. Valko03

    Le Herping

    Sites sur le Herping Forum de herping canadien Http://www.naturama.ca/forum/ Un nouveau forum Http://forum-herpeto.dyndns.org/herpeto/index.php Site proposant des pages naturalistes Http://www.batraciens-reptiles.com Association terrariophile et naturaliste Equatoria Http://www.asso-equatoria.net
  21. Valko03

    Convertion des devises

    Voiçi un petit site qui peut vous être utile en cas d'achat d'animaux à l'étranger ou pour tout autres utilisations de notre cher monnaie, l'euro Vous pourrez éffectuer la convertion en pas moins de 85 devises !
  22. Valko03

    Gecko Online

    Présentation et élevage du Gecko Léopard. Conseils, albums photos, forum. http://www.geckoonline.net/
  23. Et maintenant : J'ai refais un peu le décor de fond avec d'autres plantes (car les autres ne tenais pas) et voilà le résultat :
  24. Voiçi le terrarium de ma smithi. Au début : Avec un peu de déco :
  25. Voiçi le terra de mon Uromastyx Ac., je viens de tout nettoyer aujourd'hui...c'est pas beau cela
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