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mygalio

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  1. Elle est donc bien venimeuse Lionel
  2. Ca, ça m'étonnerais beaucoup! Lionel
  3. Bonjour Kaoma, Tu pourrais citer tes sources quand tu post un sujet qui n'est pas de toi, en l'occurence celui-ci puisque c'est moi qui l'ai fait sur un autre forum dont je suis modérateur. Bref, ce n'est pas grave mais je tenais à te le signaler quand même Lionel
  4. C'est sûr? Une fois on m'a dit l'inverse Oh que oui! Lionel
  5. Bonjour, Ce n'est pas une araignée mais une Arachnide Lionel
  6. Salut Valko, Attention, les photos que tu as mises appartiennent à Jean-Paul Ochem (que l'on voit sur les photos d'ailleurs)... J'espère que tu lui as demandé l'autorisation de les poster ici! Lionel
  7. Voilà le texte original: Extrait de : NATURE|Vol 443|28 September 2006 Nature 2006 PublishingGroup Silk-like secretion from tarantula feet An unsuspected attachment mechanism may help these huge spiders to avoid catastrophic falls. Spiders spin silk from specialized structures known as abdominal spinnerets — a defining feature of the creatures 1,2 — and this is deployed to capture prey, protect themselves, reproduce and disperse. Here we show that zebra tarantulas (Aphonopelma seemanni) from Costa Rica also secrete silk from their feet to provide adhesion during locomotion, enabling these spiders to cling to smooth vertical surfaces. Our discovery that silk is produced by the feet provides a new perspective on the origin and diversification of spider silk. Spider feet have a ‘dry’ attachment system that relies on van der Waals forces generated by thousands of spatulate hairs3. Additionally, small distal claws enhance adhesion to rough surfaces by mechanically interlocking with the substrate. We have discovered that the tarantula A. seemanni (Fig. 1) has a third attachment mechanism, which depends on fibres exuded from nozzle-like structures on its feet. These fibrous secretions (Fig. 2) function as silken tethers and, when laid down on glass plates, appear as ‘footprints’ that consist of dozens of fibres with diameters of 0.2–1.0 micrometres and lengths of 100–2,500 micrometres (for details of analyses, see supplementary information). Individual tarsal silk fibres often start as a flattened plaque. This seems to be secreted as a viscous fluid that solidifies, gluing the thread to the substrate. The function and morphology of the tarantula’s tarsal silk resembles the adhesive agent produced by the spinnerets of the spider Antrodiaetus unicolor 4, as well as the attachment (pyriform) silk that many spiders use to cement their draglines to substrates 2. We induced A. seemanni to walk on vertical glass surfaces in order to observe the contact mechanics of this challenging locomotion. When walking up vertical planes, the spider attached only the distal parts of its tarsi to the substrate. As it started to slip down the glass, silk produced by the tarsal spigots on all four pairs of legs arrested the spider’s descent and allowed it to remain attached to the vertical surface. The spider’s feet were positioned such that the silk-producing spigots were in contact with the glass, while the dense setae in adjacent regions were held off the surface. Our discovery of secreted tarsal silk forces a reconsideration of the evolution of spider silks1,5,6. Depending on its distribution across spider phylogeny, tarsal synthesis of silk could represent the ancestral condition, with silk production from abdominal spinnerets evolving later. Alternatively, because the tarantula clade (Theraphosidae) is a species-rich group that includes the largest known spiders7, tarsal production of silk may have evolved independently as a key innovation to enhance locomotor ability and avert catastrophic falls. Both evolutionary hypotheses are consistent with the homology of legs and spinnerets as arthropod appendages1,5,8. Regardless of whether tarsal silk production is ancestral or secondarily derived, the silk-producing apparatus of spiders seems to be controlled by developmental modules that can be expressed in a variety of body parts. Investigation of the genes involved in tarsal silk production should resolve whether the original function of spider silk was to increase traction or whether it was later coopted for that purpose. Spinneret silk proteins are encoded by a gene family that has evolved through a series of gene duplications and subsequent modifications for particular tasks 9,10,11. If tarsal silks belong to the same gene family, then comparison of tarsal and spinneret silks should help our understanding of the ancestral function and composition of spider silk. Stanislav N. Gorb*†, Senta Niederegger*†‡, Cheryl Y. Hayashi§, Adam P. Summers||, Walter Vötsch†, Paul Walther¶ *Evolutionary Biomaterials Group, Max Planck Institute for Metals Research, 70569 Stuttgart, Germany e-mail: s.gorb@mf.mpg.de †Max Planck Institute for Developmental Biology, 71076 Tübingen, Germany ‡Institute of Forensic Medicine, Friedrich Schiller University of Jena, 07743 Jena, Germany §Department of Biology, University of California, Riverside, California 92521, USA ||Ecology and Evolutionary Biology, University of California, Irvine, California 92697, USA ¶Electron Microscopy Department, University of Ulm, 89069 Ulm, Germany 1. Shultz, J. W. Biol. Rev. 62, 89–113 (1987). 2. Vollrath, F. & Knight, D. P. Nature 410, 541–548 (2001). 3. Arzt, E., Gorb, S. & Spolenak, R. Proc. Natl Acad. Sci. USA 100, 10603–10606 (2003). 4. Palmer, J. M., Coyle, F. A. & Harrison, F. W. J. Morphol. 174, 269–274 (1982). 5. Bristowe, W. S. Proc. Zool. Soc. Lond. 103, 1015–1057 (1932). 6. Craig, C. L. Annu. Rev. Entomol. 42, 231–267 (1997). 7. Coddington, J. A. & Levi, H. W. Annu. Rev. Ecol. Syst. 22, 565–592 (1991). 8. Damen, W. G. M., Saridaki, T. & Averof, M. Curr. Biol. 12, 1711–1716 (2002). 9. Guerette, P. A., Ginzinger, D. G., Weber, B. H. F. & Gosline, J. M. Science 272, 112–115 (1996). 10. Gatesy, J., Hayashi, C., Motriuk, D., Woods, J. & Lewis, R. Science 291, 2603–2605 (2001). 11. Garb, J. E., DiMauro, T., Vo, V. & Hayashi, C. Y. Science 312, 1762 (2006). Supplementary information accompanies this communication on Nature’s website. Lionel
  8. Attention au taxon: c'est Theraphosa blondi! Lionel
  9. Pas besoin de faire un sondage, on ne peut pas sexer une mygale qui n'est pas adulte avec une photo à vue dorsale... Cela n'est pas un mâle adulte si c'est ce que tu veux savoir...les mâles matures sont gris uniformément et n'ont pas de chevron apparant sur l'opisthosome... Si tu veux connaitre le sexe, mets nous une photo de la face ventrale de ta mygale et on pourra t'aider Lionel
  10. Salut Glenn, Je ne savais pas que tu était dans le coin, ça fait plaisir de t'y voir en tout cas! Concernant ce que tu dis sur cette bête, ce n'est pas impossible, en tout cas on est d'accord tous les deux qu'il s'agit bien d'une Haplopelma, après avec la photo, ce n'est pas très clair. Lionel
  11. C'est une mygale assez répandue en élevage, les éleveurs particuliers (je ne parle évidemment pas d'animalerie) vendent ces spécimens à 30euros pour une femelle adulte. Lionel
  12. Salut Antony, Pour faire court parce que le sujet est vaste, pour déposer un dossier de demande de certificat de capacité d'animaux non domestiques, il faut que tu justifies 3 ans d'élevage avec facture à l'appui pour le prouver. Ceci était pour ceux qui ont déposer leur dossier avant le 30 juin 2006, après cette date, il te faut non seulement les 3 ans d'élevage mais en plus 20h de formation théorique (dispensé au mois d'octobre par le G.E.A) et 50h de formation pratique dispensé par un capacitaire en relation avec les animaux de ta demande avec attestation fourni par le capacitaire pour le prouver. Bon courage. Lionel
  13. Pas de souci, je suis content de pouvoir aider les membres en difficultés malgré mon manque de temps... P.S: David appelle moi au telephone, qu'on se tienne au courant de certaines choses! Lionel
  14. Salut, La photo est suffisamment claire pour identifier ton espèce comme étant une asiatique à coup sure! Je peux même te dire sans me tromper qu'il s'agit d'une Haplopelma et j'irais même jusqu'à dire qu'il s'agit d'une Haplopelma vonwirthi, anciennement appelée Haplopelma sp Viet Nam. Si c'est ta première mygale et que tu n'as pas l'habitude avec ce genre de bête, méfies toi grandement car c'est rapide, agressif, imprévisible et le venin est très toxique... Amicalement, Lionel
  15. OUI ainsi que pour toutes les Arachnides! Lionel
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