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Filoue11

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Tout ce qui a été posté par Filoue11

  1. Oui je comprend ce que tu dis, mais je reste persuadé que ça intéresse quelques personnes, ne serait-ce que pour donner l'exemple et donner aussi envie d'en faire autant ou presque.
  2. Comment ça pas grand monde, tu plaisantes ?!! Je suis certaine qu'il y en a beaucoup plus que tu ne le penses et même si ça ne touche qu'une poignée de personnes qui suivent les conseils et prennent exemple, ce sera, je pense une grande victoire !
  3. Les gutts ne sont pas ophiophage, s'il n'ont pas une grande différence de taille, je ne pense pas que cela pose de problème de ce coté. Par contre je ne suis pas sûre qu'il n'y ai pas de problème de domination, ce qui risque de provoquer des pathologies dû au stress sur le dominé, du type anorexie et autres. Mais comme je n'ai jamais tenté l’expérience de la cohabitation, attendons d'avoir d'autres avis.
  4. Oh oh, une nouvelle pièce, de nouveaux terras tous beaux ! Tu ne nous ferais pas vivre l'évolution de ta pièce en photos, Boom's ?!
  5. Hello Choupette Il est possible de maintenir deux gutts dans le même terra, bien sûr, mais il faut savoir que cela peut rendre la surveillance un peu plus compliquée, comme de savoir qui a fait quoi (déjection, régurgitation etc..), ça peut parfois aussi être source de stress pour la bête. Il y a aussi le risque qu'un animal soit "porteur sain" d'un maladie et la transmettre à l'autre. Mais avant tout, pense à faire une très bonne quarantaine à ton nouvel arrivant, c'est absolument indispensable, surtout si tu veux les faire cohabiter.
  6. Filoue11

    Mues consécutives

    Oula oui c'est vraiment bizarre, je n'ai jamais vu ou entendu une chose pareille. C'est peut-être bête ce que je vais dire, mais ça ne pourrait pas être du au traitement de la mycose. Si c'était un traitement cutané, peut-être que c'est une réaction pour éliminé toutes les traces du produit qui sont souvent assez gras. Je sais par exemple que quand on fait un bain d'huile en traitement anti-parasitaire ça déclenche une mue........ Mais bon, là, quatre mues, ça fait beaucoup ! J'espère que ça ne va pas l'épuiser.
  7. BLOIS Un serpent exotique capturé Ce jeune élaphe guttata ou serpent des blés est totalement inoffensif. - (dr) Rencontre insolite, jeudi, en fin d'après-midi, dans un immeuble ancien de la rue Saint-Laumer : un des occupants est tombé nez à nez avec un petit serpent lové sur le palier. Le reptile, manifestement transi de froid, a été facilement capturé et remis en douceur aux sapeurs-pompiers qui l'ont ensuite confié à un éleveur de serpents installé en Vienne. Ce dernier nous a indiqué qu'il s'agissait d'un jeune élaphe guttata ou serpent des blés, un reptile très fréquemment vendu en animalerie. S'est-il échappé de son terrarium ou son propriétaire l'a-t-il volontairement relâché ? La question reste sans réponse. C'est la seconde fois qu'un serpent des blés est capturé dans le département. lanouvellerepublique.fr
  8. Allez ma petite femelle Sceloporus Malachiticus ramenée samedi, du salon de Toulon. Photo prise vite fait pour le concours avant sa quarantaine, histoire de participer.
  9. Oooh, elle est bien jolie cette femelle white side, j'aime beaucoup sa couleur !
  10. La soupe de boa, c’est bon pour la santé Les remèdes traditionnels à base de chair de serpent connaissent un regain d’intérêt sur les marchés du pays. Bouilli, réduit en poudre, il aurait de nombreuses vertus curatives, rapporte Fergana. En Ouzbékistan, les traditions immémoriales de la médecine populaire restent très vivaces. Jour après jour, des quantités de serpents et d’autres animaux que l’on n’a pas l’habitude de consommer s’y vendent dans un but “thérapeutique”. Même si la science est loin d’apprécier ce genre de pratiques, avec un système public de santé qui s’effondre, les méthodes ancestrales attirent de plus en plus de monde. “Efficace contre 1 001 maladies”, proclame un panonceau posé devant un vendeur de serpents installé sur l’un des marchés de Tachkent. Il déroule la liste des maux concernés : maladies de l’estomac, de l’intestin, problèmes cardio-vasculaires, sciatique, hémorroïdes, bronchite, angine, goitre, cancer, migraine, diabète, asthme, affections pulmonaires et rénales, eczéma, troubles de la fertilité chez la femme, etc. A l’en croire, la viande de serpent serait la panacée universelle, un médicament miracle qui guérit tout, et, si elle ne se vend pas en pharmacie, ce n’est qu’à cause du conservatisme des professionnels de la médecine, voire d’un complot de la Faculté. Toutefois, certains médecins diplômés, également spécialistes de la médecine orientale traditionnelle, approuvent ces recettes et vont jusqu’à les recommander. Les recettes proposées n’ont quasiment pas varié depuis l’époque du savant iranien Avicenne, dont l’ouvrage Canon de la médecine, rédigé il y a un millénaire, a figuré pendant des siècles au programme des étudiants d’Orient et d’Occident. Il décrit les vertus curatives du serpent, expliquant comment on le cuisine : bouilli dans de l’eau salée et agrémentée de fenouil, à laquelle on ajoute parfois de l’huile d’olive. Le jus de cuisson, qui se consomme aussi, apporterait d’ailleurs “autant de force que la viande elle-même”. Dans l’Ouzbékistan contemporain, on peut rencontrer des adeptes de l’illustre médecin dans la plupart des recoins des grands marchés. Ce sont parfois des familles entières, enfants compris, qui s’investissent dans cette activité. L’approvisionnement en serpents prélevés dans les régions désertiques du pays est bien organisé. Il ne s’agit toutefois pas de capturer tout et n’importe quoi. Ce que l’on recherche, ce sont les “kour ilon”, c’est-à-dire les “serpents aveugles”, ou les boas nains des sables, Eryx miliares. Le plus souvent, le plat concocté est une soupe de boa. Le processus est barbare, le serpent étant jeté vivant dans de l’eau bouillante. Personne ne prend la peine de le tuer préalablement. La viande réduite en poudre est aussi utilisée, ainsi que la graisse et tout le reste, y compris la peau. La viande séchée et réduite en poudre connaît un succès qui ne se dément pas. Mélangée à de la farine, cette poudre entre aussi dans la préparation de galettes de pain, “pour que la viande ne soit pas trop forte”, selon l’un des commerçants du marché. La graisse est vendue en fioles et flacons, ou sous forme d’amulettes. Le reptile est devenu cher sur les marchés de Tachkent : de 45 à 60 euros, une somme considérable en regard des revenus locaux. Ceux qui ont de petits moyens peuvent se rabattre sur des soins plus abordables, à base de hérisson, qui coûtent un peu moins de 3 euros. En général, les marchands disposent une caisse de hérissons à côté de leur sac empli de serpents. Ils vous demandent pourquoi vous en avez besoin, puis vous expliquent avec prévenance comment les utiliser et contre quelles maladies. En fait, on prête aux hérissons exactement les mêmes vertus curatives qu’aux serpents. La popularité de ces thérapies avait entraîné il y a quelques années l’apparition d’un médicament baptisé Eriksine (“Reptiline”), élaboré à partir de viande de boa des sables. La notice affirmait qu’il participait au renforcement des défenses immunitaires et aidait à lutter contre les affections virales, mais aussi contre les hépatites, la tuberculose et les rhumatismes. Aujourd’hui, ce stimulant a disparu des rayons, mais personne ne sait pourquoi. Peut-être le fabricant n’arrive-t-il pas à s’approvisionner assez régulièrement en “ingrédient vivant” à transformer. La demande crée de l’offre, mais le contraire est vrai également. Toute la chaîne de personnes impliquées dans ce commerce d’animaux “bons pour la santé”, depuis ceux qui les capturent dans le désert jusqu’aux guérisseurs qui les écoulent, ont un vif intérêt à maintenir un important volume de transactions, et à faire en sorte que petits boas et hérissons arrivent sans cesse sur les marchés. Mais Dieu seul sait combien sont réellement “utilisés”… courrierinternational.com
  11. SSSSSS… 4 millions de serpents pour l’hôpital de demain © photos Leo Lewis Bienvenue à Zisiqiao. Habitants : 800. Animaux de compagnie : 0. Animaux sauvages restants : très peu. Serpents extrêmement venimeux : 4 millions. Pour certains, ce petit village chinois de la banlieue de Hangzhou est un véritable film d’horreur. Mais pour les Chinois Zisiqiao est une usine de produits pharmaceutiques à la pointe de la science qui donne espoir aux malades et aux mourants. Et ses restaurants servent une soupe de serpent ratier très correcte. Le village, qui compte un être humain pour 5 000 reptiles, est le centre d’élevage de serpents le plus intensif de la planète. Et il va bientôt gagner en notoriété, assure Yang Hongchang, président de Moganshan Top Foods. Sous peu, Zisiqiao accueillera le premier hôpital au monde à ne proposer que des traitements à base de serpent. Une forte odeur de reptile plane dans le bureau directorial. C’est l’odeur de la bonne santé et des traitements miracles, déclare M. Yang – l’odeur de l’hôpital du XXIe siècle. La clinique s’étendra sur 3 hectares. Financée par des investissements massifs venus de Hong Kong, elle exploitera le venin, la vésicule biliaire, les excréments et les organes sexuels des habitants à la langue fourchue de Zisiqiao. Les patients pour qui la médecine conventionnelle n’a rien pu faire afflueront ici, assure M. Yang. A l’en croire, les rhumatismes et l’artrite ne résistent pas à ses gélules de “poudre de trois serpents”. Cancer, sida, thrombose cérébrale, maladie d’Alzheimer – les grands défis de la santé moderne – finiront tous par céder devant quelques gouttes de poison prélevées sur les 8 millions de crochets du village. Pour beaucoup, M. Yang et les autres éleveurs du village sont des charlatans qui ont un stock énorme de poudre de perlimpinpin à fourguer. Le venin de serpent ouvrira peut-être des perspectives insoupçonnées à la médecine – M. Yang fournit du venin à toute une série de laboratoires respectables d’Europe et d’Asie. Pour autant, ses arguments ne sont pas des plus fiables. Pendant une consultation à laquelle nous avons assisté, il a convaincu un malade que, s’il avait mal au dos, c’était parce que ses vertèbres devenaient épineuses et qu’il serait rétabli en dix jours grâce à des “pilules de serpent”, moyennant 290 yuans [33 euros] seulement. Mais s’il y a des doutes sur les vertus réelles de ces traitements, ceux-ci ne freinent en rien la demande pour les produits à base de serpent en Chine. Elle a même augmenté de près de 75 % par an au cours des quatre dernières années. Les tarifs pratiqués à Zisiqiao constituent des signaux inquiétants pour l’économie chinoise à l’heure où Pékin est confronté à l’inflation et à la possibilité d’une récession rapide. Selon M. Yang, le prix de la vésicule de cobra – le fin du fin – a augmenté de 100 % au cours des trois derniers mois, du fait de l’émergence d’une classe moyenne riche. En revanche, le prix du bébé serpent loup chinois mariné dans de l’alcool de riz, panacée des pauvres, a chuté de 20 % au cours de la même période. “C’est l’économie, soupire M. Yang. Tout va bien pour les riches mais les serpents nous disent que les autres vont mal.” La ferme est une illustration spectaculaire de la production de masse à la chinoise. Dans des enclos de béton brut, chacun de la taille d’un ring de boxe, grouillent 3 000 serpents dont personne ne connaît vraiment le nom mais qui “tuent rapidement”. Derrière des portes cadenassées ondulent des kraits (Bungarus) et des couleuvres de jade (Euprepiophis mandarinus). On nous ouvre une porte qui donne sur une batterie de cages où sifflent et crachent 2 000 couleuvres de l’amour (Elaphe schrenckii). Un des employés arrive cigarette aux lèvres, deux téléphones portables dans une main et tenant de l’autre un sac en plastique rempli de cobras. Pour M. Yang, il n’y a pas vraiment de rapport entre l’absence d’animaux de compagnie et la présence de 4 millions de serpents dans le village. “On fait très attention”, assure-t-il. Un serpent qui s’échappe, ajoute-t-il, c’est moins un tueur potentiel en liberté que de la marchandise perdue. courrierinternational.com
  12. Des amateurs de reptiles volent 19 pythons Alexandre n'a pas su résister à la tentation. Cet amateur de reptiles a été ébloui par la collection d'un habitant de Cadenet chez qui il était allé acheter un python royal. L'idée lui est venue de le cambrioler pour se lancer, à son tour, dans ce commerce ! Avec deux copains, ils sont entrés dans l'appartement par une fenètre et ont fait main basse sur 19 pythons d'une valeur totale de 50 000 €. Ils les ont ensuite amené chez une amie d'Alexandre, à Avignon. Rapidement identifié, le trio de voleurs et la receleuse ont répondu actes hier devant le tribunal correctionnel d'Avignon. Partie civile, la victime assure que pour lui il y a eu une véritable organisation, un vol préparé: d'ailleurs, ils ont dérobé les plus gros serpents, délaissant les plus petits de moindre valeur. Sans faire de lien direct, la partie civile indique que s'il a récupéré tous les serpents, certains sont morts peu après ce vol. Assistée de Me Francoz, la receleuse plaide la bonne foi : elle n'a pas cru son ami quand il lui a dit qu'il avait commis un vol et a accepté naturellement de garder les serpents pour lui rendre service. Les trois voleurs eux plaident coupable et expriment des regrets sur l'audience. Ils sont condamnés à 4 mois de prison avec sursis et la receleuse à deux mois avec sursis. Ils devront verser à la partie civile 3 000 € de dommages et intérêts. la provence
  13. Oui, j'ai connaissance de ces pratiques inqualifiables, je suis outrée, écoeurée et scandalisée pas tant de cruauté de la par d'un tel pays. SIGNE !!! J'ai également fait tourner sur mon FB.
  14. Filoue11

    Rouge, orange, noir...

    Exactement ! ^^ Magnifiques bêtes et jolies photos, merci !
  15. Filoue11

    Les Boa

    Très jolies bêtes !
  16. Filoue11

    L'homme qui vole sur l'eau !

    Moi perso, j'ai juste besoin d'un masque d'un tuba, d'une paire de palmes et accessoirement d'un harpon, LOL !
  17. Filoue11

    L'homme qui vole sur l'eau !

    Oh non je ne pense pas, avec le bruit que cela fait y pas de risque. Si tu voyais déjà comme les poissons déguerpissent à la vu d'un plongeur, LOL ! Et pour les plongeurs ma fois c'est comme avec les scooters des mers, les zodiaques etc, si les conducteurs d'engins respectent la règle des 100 mètres autour des bouées de signalisation des plongeurs, il n'y a pas de problème. Mais hélas c'est comme sur la route, il y a des chauffards sur la mer.
  18. Hello Je voulais vous faire partager, le spectacle qui s'est ouvert à moi aujourd'hui lors de ma partie de pêche. Bon la qualité n'est pas top, je n'avais que mon téléphone portable à porté de main. Je vous laisse découvrir.^^
  19. Filoue11

    Pygmy elephant - borneo

    Excellent ! Ça doit être un moment exceptionnelle à vivre.
  20. Quand les serpents s'invitent au collège Pendant trois jours, la salle polyvalente accueille une vingtaine de reptiles. Même pas peur ! Benjamin Goulette avec un boa dans les bras. PHOTO T. D. Jusqu'à demain, vous ne rentrerez plus dans la salle polyvalente du collège La Boétie sans une légère appréhension. À moins de s'appeler Benjamin Goulette et de vivre avec une vingtaine de serpents chez soi. Hier, le steward d'Air France a déménagé sa famille de reptiles sur la terre des collégiens dans le cadre du programme scolaire. C'est Laurent Mathet, son voisin à La Bachellerie et professeur de sciences de la vie et de la Terre, qui en a eu l'idée pour que les élèves apprennent sans avoir l'impression de travailler. « Les sixièmes travaillent la classification des êtres vivants, et les cinquièmes et quatrièmes la reproduction. Quant aux troisièmes, eux aussi peuvent venir voir les serpents en entrée libre, entre midi et deux », explique l'enseignant, qui avait reçu l'aval d'Yves Brouard, son proviseur. « Il m'a juste demandé s'ils étaient venimeux… » Même pas ! Y compris Citronnelle, ce python albinos, qui préfère étouffer sa proie. « Ah bon ? », s'étonne Théa. Avec sa copine Jeanne, elles regardent les couleuvres, seule espèce présentée à ciel ouvert. « J'en ai vu une qui se dorait au soleil dans la forêt, dit Théa, pas vraiment effrayée. Ce sont surtout les adultes qui ont peur, pas fatalement les enfants. Nous, on grandit en recevant l'étiquette que c'est méchant et dangereux », raconte Benjamin, qui commence son exposé. L'anaconda, le plus gros Leçon n°1 : désamorcer une éventuelle angoisse. « Alors les enfants, qui a peur des serpents ? » Il sort une première feuille avec trois petits dessins, qui correspondend au nombre de personnes mortes en France à cause des serpents. Puis une autre feuille, avec 4 000 dessins. « C'est le nombre de personnes tuées lors d'accidents de voiture. » Et enfin une troisième qu'il déroule jusqu'au sol : 60 000 dessins correspondant aux morts liés au tabagisme. « Donc vous voyez, il faut davantage avoir peur de la cigarette que des serpents ! » Implacable. Il enchaîne avec des diapositives montrant Citronnelle, le python, dans les bras de deux petites filles. Théa, très intéressée, reprend Benjamin : « Ah ? Mais je pensais que c'était l'anaconda le plus grand serpent ? » « Bonne question. L'anaconda, c'est le plus gros, mais le python, c'est le plus grand, tu comprends ? » Laurent Mathet sourit, heureux de la participation. « Il faut dire que si ce type d'animation est possible, c'est grâce aux parents d'élèves qui ont donné 5 euros en début d'année pour le foyer socio-éducatif. Qu'ils en soient remerciés. » Par THIERRY DUMAS sudouest.fr
  21. Ah ! Ça fait plaisir de savoir qu'il a été sauvé et relâché, merci Run's
  22. Oups oui, merci, MDR ! D'ailleurs, a-t-on des nouvelles depuis le temps ?
  23. Je veux bien te croire, ça doit être une sacrée angoisse tant qu'ils ne sont pas démarrés. Bon allez tu as fait la moitié du chemin.
  24. Ah ben c'est une bonne nouvelle ça !
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