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Filoue11

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  1. J'imagine bien, j'ai vécu un peu la même chose avec mon PR, c'est mon mari qui l'a trouvé enrouler sur le robinet de la salle de bain à 4 ou 5 h du mat, il n'était pas contant du tout.

  2. Filoue a écrit:
    Insolite. Au Havre, le serpent n'a toujours pas été déniché !


    Les pompiers ont démonté le tableau de bord, mais l'animal avait déjà filé.
    ©Johan Collé.


    Les spécialistes dépêchés au Havre n’étaient toujours pas parvenus lundi 9 septembre 2013 à déloger un reptile niché dans une voiture depuis jeudi dernier, en dépit d’un appât de choix : une souris ! Le reptile n’y a pas touché.
    L’automobiliste qui avait découvert un serpent dans sa voiture, jeudi 5 septembre 2013, peut être rassurée (ou pas) : ce n’est pas un python qui s’était lové dans sa boîte à fusibles, mais un colubridé qui serait certainement une couleuvre.

    La voiture réquisitionnée par la sous-préfecture du Havre

    La voiture est néanmoins immobilisée dans la cour de la caserne des pompiers de Caucriauville depuis la fin de semaine dernière ! Une équipe de spécialistes en nouveaux animaux de compagnie, est attendue, lundi 9 septembre 2013. La voiture a été réquisitionnée par la sous-préfecture du Havre.


    Une souris en appât


    La mue de la couleuvre a été retrouvée dans le tableau de bord.
    ©Johan Collé.


    Après avoir démonté le tableau de bord, les pompiers ne sont pas parvenus à attraper l’animal qui se serait déplacé dans la voiture. Pour pouvoir saisir le reptile, ils se sont pourtant dotés d’une souris en guise d’appât et d’un crochet pour permettre de capturer la couleuvre.

       Les couleuvres ne bougent que très peu dans la journée et il est donc difficile de localiser le serpent, en plein jour. Pour parvenir à l’attraper, la voiture a été placée dans un lieu frais : il faudra attendre que les températures baissent pour pouvoir, ensuite, introduire une lampe chauffante qui devrait attirer rapidement l’animal, expliquait le spécialiste, vendredi soir. La technique n’a pas fonctionné…

    À chaque étape, le mystérieux animal se serait faufilé dans une autre partie du véhicule, jouant ainsi à cache-cache avec les pompiers.


    76actu.fr


    Au Havre, le serpent a été retrouvé dans la voiture : c'était un python


    Fin du feuilleton. Des spécialistes ont (enfin) capturé, mardi 10 septembre 2013, le serpent qui était niché dans un Renault Scénic, depuis le jeudi 5 septembre : un python !


    L'hôte indésirable a finalement été délogé dans le tableau de bord mardi 10 septembre 2013 en milieu d'après-midi.


    Le reptile était niché dans une voiture depuis le jeudi 5 septembre ! Après six jours de recherches actives, il a été (enfin) capturé, mardi 10 septembre 2013, vers 15h, par les sapeurs-pompiers de la caserne de Caucriauville au Havre eux-mêmes, après un long feuilleton et le ballet des experts qui s’étaient rendus sur les lieux pour tenter de dénicher le serpent.
    C’est une femme qui avait découvert la présence de l’animal, qui avait mué dans son véhicule. Le serpent avait alors joué au jeu du chat et de la souris avec les pompiers.

    Ce n’était pas une couleuvre, mais un python royal de 1m10

    La voiture – réquisitionnée par la sous-préfecture du Havre – avait été immobilisée plusieurs jours dans la cour de la caserne des pompiers de Caucriauville.

    Une souris en appât

    Après avoir démonté le tableau de bord, les pompiers n’étaient pas parvenus à attraper l’animal qui, a priori, s’était déplacé dans la voiture. Pour pouvoir saisir le reptile, ils s’étaient pourtant dotés d’une souris en guise d’appât et d’un crochet.

    À chaque étape, le mystérieux animal se serait faufilé dans une autre partie du véhicule, jouant ainsi à cache-cache avec les pompiers.

    La voiture sera rendue demain à sa propriétaire

    Aujourd’hui, mardi 10 septembre 2013, les sapeurs-pompiers ont appliqué une autre technique :

       Ils ont enfermé la voiture dans un lieu clos et démarré le moteur. Les vibrations du véhicule ont manifestement dérangé l’animal, qui a sorti sa tête au niveau du moteur, côté passager. Après avoir démonté de nouvelles pièces du Scénic, ils ont pu l’attraper. Le python sera remis à une personne agrémentée par la préfecture pour l’accueillir chez elle », explique-t-on au Service départemental d’incendie et de secours (Sdis) de la Seine-Maritime

    La voiture, elle, sera rendue par sa propriétaire demain, mercredi 11 septembre 2013, « quand les sapeurs-pompiers auront remis les pièces du véhicule en place ».

    76actu.fr

  3. 10 septembre 2013, par Pierre Barthélémy

    Découverte d’un étonnant fossile de lézard-requin




    Il y a le requin-lézard – un squale dont la tête et la forme très allongée évoquent celles de ces petits reptiles – et voici désormais l'inverse, le lézard-requin. Si le premier existe encore, le second, lui, a disparu de la surface de la Terre lors de l'extinction qui a aussi sonné le glas de la plupart des dinosaures il y a 66 millions d'années. Ce lézard de la fin du crétacé faisait partie de la famille assez peu connue des saumures, des reptiles marins dotés d'une quantité non négligeable de vertèbres et dont les plus grands représentants flirtaient avec les 18 mètres. Les chercheurs considèrent qu'avant leur brutale disparition, les mosasaures constituaient un groupe de redoutables prédateurs, dotés de mâchoires puissantes.

    Pourtant, dans le cas qui fait aujourd'hui l'actualité, ce n'est pas la tête qui intéresse les chercheurs, mais la queue. C'est un fossile dont le nom de catalogue est ERMNH HFV 197. Il a été découvert en Jordanie en 2009 et, au départ de son histoire, il n'a guère fait parler de lui. Ce n'est qu'en décembre 2011 que le paléontologue suédois Johan Lindgren (université de Lund), en y regardant de plus près, s'aperçoit qu'en plus des os la roche a exceptionnellement conservé, sous la forme d'un film blanchâtre, la trace de tissus mous, de chairs, au niveau de la queue. Comme il l'explique avec deux collègues jordanien et américain dans une étude publiée ce mardi 10 septembre dans Nature Communications, ces traces dressent des mosasaures un portrait différent de celui qu'on avait jusqu'à présent.

    L'image classique du mosasaure, c'est une tête de lézard sur un corps d'anguille, les quatre pattes du reptile s'étant transformées en ailerons permettant de diriger ce grand prédateur dans ses pérégrinations aquatiques. Qui dit corps d'anguille dit une longue queue à bout plat, une allure serpentine et une locomotion avec d'amples mouvements ondulatoires de tout le corps. Voici une vue d'artiste montrant cette reconstitution :



    Ce que l'on découvre sur ERMNH HFV 197, jeune prognathodon d'environ 1,5 mètre encore loin d'avoir atteint sa taille adulte, ce que dessinent ces tissus mous miraculeusement préservés, c'est une queue non pas en spatule mais ressemblant à s'y méprendre à une queue de requin... montée à l'envers. En général, chez les requins, le lobe le plus grand est celui du haut (c'est là que s'achève la colonne vertébrale). Ici, comme on peut le voir ci-dessous et sur l'image composite qui ouvre ce billet, c'est l'inverse :



    La différence peut sembler secondaire mais elle est en réalité importante. Dans le concept "anguille", la longue queue plate conduit à l'hypothèse d'un animal nageur relativement lent, ondulant comme un serpent, capable seulement de courtes accélérations lors d'embuscades. Dans le concept "requin", que certains paléontologues avaient récemment pressenti, on a une véritable nageoire caudale, configuration morphologique qui optimise l'efficacité de la locomotion : le lézard-squale n'a plus besoin de se tortiller dans tous les sens pour avancer car l'espèce de longue pagaie qui prolonge son corps peut se charger de la propulsion. Lors des déplacements, le corps reste plus rigide et la tête peut davantage être maintenue dans l'axe de la nage. Bref, l'hydrodynamique s'avère bien meilleure et le reptile un chasseur encore plus dangereux. Non contents d'avoir d'impressionnantes mâchoires, ces mosasaures devaient être assez rapides, ce qui explique pourquoi certains chercheurs considèrent qu'ils ont récupéré, après la disparition des ichtyosaures il y a 90 millions d'années, le titre de terreurs des mers.

    Au-delà de cette découverte étonnante qui redessine la silhouette d'une famille méconnue d'animaux préhistoriques, il y a là un magnifique cas de convergence évolutive. Derrière cette expression un peu compliquée se cache l'idée que des êtres appartenant à des familles très différentes du vivant mais soumis aux contraintes d'un même milieu, trouvent au fil de l'évolution des solutions anatomiques similaires pour y faire face. L'exemple le plus évident est celui qui rassemble les thons (poissons), les dauphins (mammifères) et les manchots (oiseaux) qui, tous les trois, ont ce profil fuselé et ces nageoires qui leur permettent de se déplacer rapidement dans ce milieu résistant qu'est l'eau. Dans le cas du prognathodon, la convergence évolutive a conduit les lézards vers une nageoire caudale à deux lobes semblable à celle des requins. Mais les mosasaures n'ont pu imiter les squales jusqu'au bout et survivre à la grande extinction de la fin du crétacé.

    passeurdesciences.blog.lemonde.fr

  4. Un serpent en divagation


    Une habitante de Miquel a eu la désagréable surprise de tomber sur un serpent sur le balcon de sa chambre. L'animal, non venimeux, a été récupéré par son propriétaire qui dispose de toutes les autorisations.

    Ce n'est pas la première fois que ce type d'incidents se déroule en Guadeloupe, mais à chaque fois, elle provoque une grande frayeur.

    Hier matin, un peu avant 6h, une jeune pointoise en a fait l'expérience quand elle aperçoit un serpent sur le balcon de sa chambre.

    Sa mère prévient alors les sapeurs-pompiers qui appellent, de leur côté, l'association SOS Faune Sauvage.

    L'animal, qui n'est heureusement pas venimeux, sera rapidement maitrisé. Par son propriétaire alerté par le « remue-ménage ».

    Il s'agit d'un boa constrictor d'un mètre environ qui regagnera son « domicile », son « maitre » disposant de toutes les autorisations.

    Il faut savoir que la législation française autorise la vente libre de serpents sur le territoire, en estimant qu'il s'agit d'animaux domestiques.

    Mais à partir de quatre boas, elle considère qu'il s'agit d'un élevage. Et cela nécessite des garanties de maitrise, de capacité et des certificats sanitaires.

    En revanche, pour les espèces venimeuses, il faut des autorisations spéciales.



    Karen Bourgeois - DOMactu.com

  5. Tournai: une couleuvre sème le trouble dans un magasin rue Royale


    Ce lundi après-midi, en pleine braderie, un serpent assez indésirable a été découvert au magasin Grey rue Royale à Tournai. Le reptile s’était échappé de l’appartement de ses propriétaires juste au-dessus de l’immeuble. les pompiers ne sont pas parvenus à le capturer, la couleuvre ayant fui dans les égouts.


    Les pompiers ne sont pas parvenus à capturer la couleuvre



    Pour les commerçants, une journée de braderie – même pluvieuse – est toujours bien remplie. Mais chez Grey, à la rue Royale, l’effervescence était encore plus intense qu’ailleurs hier en pleine après-midi. Peu avant 16h, les clients ont vu débarquer une équipe de police et des pompiers super équipés, munis d’une grande caisse blanche.

    Qui semait le trouble de la sorte dans la boutique de vêtements, accessoires et déco ? Une couleuvre ! «  Vers 15h30, une vendeuse est allée aux toilettes et a vu un serpent. Il ne bougeait pas, elle a d’abord cru à un jeu oublié par un enfant. Mais elle est venue me le dire tout de suite  », raconte la patronne du magasin. «  Mon mari est allé voir et il s’est rendu compte que l’animal était bien vivant !  »

    L’homme n’a pas perdu son calme : il a fermé la porte des WC et est allé appeler les pompiers. Une équipe spécialement formée pour pouvoir capturer ces NAC est intervenue mais finalement, la couleuvre est repartie par où elle était venue.

    Pendant ce temps, les policiers ont rapidement identifié les propriétaires de l’animal – une couleuvre inoffensive – à savoir les locataires de l’appartement situé au-dessus du magasin.

    Les patrons de la boutique Grey ne cachaient pas leur colère, d’autant qu’ils avaient déjà subi des dégâts à cause de la ménagerie du dessus… «  La fois dernière, c’est leur furet qui s’était échappé et qui est arrivé dans la cour intérieure  », expliquent-ils.

    sudinfo.be

  6. Valko a écrit:
    Dryas a écrit:
    mon serpent aillant été retrouvé par ma femme, dans les toilettes (en pleine nuit, elle savait pas qu'il s'était barré, je me suis fait défoncer!)
       

     
    Bon l’essentiel est qu'il ait été retrouvé.

    En espérant que willyjouan trouve le sien avant sa femme.



  7. Un serpent constrictor aurait été aperçu dans le nord-Mayenne



    Un serpent de type constrictor, boa ou python, aurait été aperçu par deux personnes entre Gorron et Brecé, la semaine dernière. L’animal, a priori échappé de chez un particulier, mesurerait dans les 2m50 de long. Les pompiers, mobilisés sur les lieux où le serpent aurait été vu, n’ont cependant rien trouvé. La gendarmerie et la mairie de Brecé ont également été avisées. En cas de rencontre avec cet animal, il convient de joindre les sapeurs-pompiers.

    ouest-france.fr

  8. Insolite. Au Havre, le serpent n'a toujours pas été déniché !


    Les pompiers ont démonté le tableau de bord, mais l'animal avait déjà filé.
    ©Johan Collé.


    Les spécialistes dépêchés au Havre n’étaient toujours pas parvenus lundi 9 septembre 2013 à déloger un reptile niché dans une voiture depuis jeudi dernier, en dépit d’un appât de choix : une souris ! Le reptile n’y a pas touché.
    L’automobiliste qui avait découvert un serpent dans sa voiture, jeudi 5 septembre 2013, peut être rassurée (ou pas) : ce n’est pas un python qui s’était lové dans sa boîte à fusibles, mais un colubridé qui serait certainement une couleuvre.

    La voiture réquisitionnée par la sous-préfecture du Havre

    La voiture est néanmoins immobilisée dans la cour de la caserne des pompiers de Caucriauville depuis la fin de semaine dernière ! Une équipe de spécialistes en nouveaux animaux de compagnie, est attendue, lundi 9 septembre 2013. La voiture a été réquisitionnée par la sous-préfecture du Havre.


    Une souris en appât


    La mue de la couleuvre a été retrouvée dans le tableau de bord.
    ©Johan Collé.


    Après avoir démonté le tableau de bord, les pompiers ne sont pas parvenus à attraper l’animal qui se serait déplacé dans la voiture. Pour pouvoir saisir le reptile, ils se sont pourtant dotés d’une souris en guise d’appât et d’un crochet pour permettre de capturer la couleuvre.

    Les couleuvres ne bougent que très peu dans la journée et il est donc difficile de localiser le serpent, en plein jour. Pour parvenir à l’attraper, la voiture a été placée dans un lieu frais : il faudra attendre que les températures baissent pour pouvoir, ensuite, introduire une lampe chauffante qui devrait attirer rapidement l’animal, expliquait le spécialiste, vendredi soir. La technique n’a pas fonctionné…

    À chaque étape, le mystérieux animal se serait faufilé dans une autre partie du véhicule, jouant ainsi à cache-cache avec les pompiers.


    76actu.fr



  9. Aix-les-Bains : un serpent attaque le chat dans l’appartement familial



    Sale soirée pour cette famille aixoise…Samedi vers 19h30, des enfants regardaient tranquillement la télévision dans leur salon, au troisième étage d’un immeuble de la rue Talma à Aix-les-Bains. Leur chat, qui semble intrigué par quelque chose sous le meuble de télévision, bondit soudain en arrière et se sauve sur le balcon. Thibaud, 12 ans, se penche alors pour voir ce qui a pu effrayer l’animal et voit surgir sous son nez un serpent fin et noir !



    Hurlant, il communique sa peur au reste de la famille qui s’enfuit sur le palier. Le père de famille, qui a lui aussi aperçu le reptile, appelle les pompiers. Le temps qu’ils arrivent, celui-ci fait le tour des voisins pour savoir si l’un d’eux aurait égaré un serpent domestique. Sans résultat. A l’arrivée des secouristes, le serpent avait disparu. L’appartement a été retourné : canapé, meuble télé…rien.

    Les secouristes ont estimé que l’animal avait dû regagner le balcon, la porte-fenêtre étant ouverte. Mais la famille, pas rassurée, rechignait à réintégrer le logement après le départ des pompiers. On les comprend…

    ledauphine.com

  10. Australie : il passe ses vacances sur une île déserte à cause d'un alligator géant



    Un amateur de kayak s’est retrouvé pris au piège sur une île déserte située près de l'Australie pendant deux semaines. En cause : un alligator de six mètres qui comptait bien faire de lui son déjeuner. Il voulait passer des vacances de rêve dans un cadre idyllique, mais il a finalement vécu l’enfer. Parti profiter de ses congés au large de la côte australienne, un touriste néo-zélandais s’est retrouvé coincé sur une île déserte pendant pas moins de deux semaines. La faute à un alligator géant qui ne l’a pas lâché d’une semelle.

    Un ami qui ne vous veut pas que du bien Connu sous le nom de Ryan, le vacancier s’était rendu sur l’îlot pour remonter les quatre kilomètres qui le séparaient de la côte nord-ouest de l’Australie en Kayak, explique l’AFP. Seulement, une fois arrivé, l’homme s’est vite aperçu qu’un compagnon de route un peu particulier guettait ses préparatifs. Interrogé par la chaîne de télévision ABC, Don Macleod -qui a secouru l’imprudent samedi dernier- explique : "il m’a dit qu’à chaque fois qu’il s’avançait vers l’eau, le reptile commençait à le traquer. Donc il est resté sur la terre ferme, même s’il n’avait pas beaucoup de réserves d’eau et de nourriture." "Apparemment, cela faisait quinze jours qu’il était là, et il avait très vite compris qu’il ne pourrait partir sans attirer l’attention de cette bête qui vit tout près et qui devait probablement l’épier jour et nuit" a-t-il ajouté. "Tout ce qu’il pouvait faire, c’était économiser son eau potable et ses feux de détresse." Retour sur la terre ferme Une économie qui va finalement s’avérer payante. Après deux semaines d’angoisses et de nuits blanches, Ryan est finalement repéré par Don, qui avait vu ses signaux lumineux au loin. "Je me suis rendu sur l’île et j’ai vu Ryan, qui avait l’air un peu affolé. Il était choqué et soulagé. Et aussi très reconnaissant que quelqu’un vienne le chercher parce qu’il lui restait de moins en moins d’options. C’est un homme très, très chanceux" conclut-il. Depuis ce malheureux épisode, Ryan profite d’un repos bien mérité. Et le plus loin possible de la côte.

    En savoir plus: http://www.gentside.com/insolite/australie-il-passe-ses-vacances-sur-une-le-deserte-a-cause-d-039-un-alligator-geant_art54324.html
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  11. Sur une plage du Liban-Sud, la folle course vers la mer des bébés tortues


    Un bébé tortue sur la plage de l’Orange House.


    Chaque année, Mona Khalil, maîtresse de la Maison orange, assiste ses protégées...

    Dernier vendredi du mois d’août, 6h du matin. Le soleil se lève sur un Liban en proie aux tensions, un pays qui se demande de quoi cette journée sera faite.
    Mais dans ce Liban qui flirte avec la catastrophe, il existe encore quelques havres de paix, comme isolés du bruit et de l’angoisse. La « Orange House » est l’un de ces endroits. Cette maison, située à Mansouri (caza de Tyr, Liban-Sud), est le domaine de Mona Khalil qui, en cet avant-dernier matin d’août, regarde Rami penché sur des seaux orange eux aussi. À l’intérieur, des tortues âgées d’à peine trois jours. Elles ont éclos ici, dans l’ombre du cagibi attenant à la cuisine.
    L’année dernière, les œufs étaient restés sur la plage, et y avaient éclos. Mais cette année, Mona et Rami ont décidé de les placer à l’abri, car il en va de la survie des bébés tortues.

    « Depuis la guerre de 2006 (contre Israël), des renards viennent sur la plage. Chaque année, ils sont plus nombreux. Pour protéger les œufs, nous installions des cages en métal autour du nid. Et à 4h du matin, nous nous levions pour assister à la course vers la mer des bébés tortues et nous assurer qu’aucun prédateur (crabe, oiseau ou renard) n’en ferait son petit déjeuner. Mais cette année, les renards ont réussi à atteindre les nids malgré les cages. Nous ne pouvions plus laisser les nids sur la plage jusqu’à l’éclosion. Aucune petite tortue n’aurait survécu. Nous nous sommes donc résolus à déplacer les œufs dans ce cagibi 45 jours après la ponte pour qu’ils éclosent à l’abri. »
    Voilà pourquoi, en ce matin d’août, comme chaque matin de ce mois, Mona et Rami retournent consciencieusement chaque petite tortue tout juste éclose pour vérifier si le point d’attache du cordon ombilical est refermé. Si c’est le cas, elles sont prêtes à gagner la mer.
    Ce vendredi-là, 20 bébés tortues vertes et neuf petites Caretta sont prêtes à prendre le large, sous la surveillance de Mona et du jeune bénévole Rami, qui l’a aidée tout l’été.

    Aujourd’hui, je vis mon rêve

    L’engagement de Mona Khalil pour les tortues remonte à 1999. C’est par une nuit de mai de cette année-là que cette Libanaise aujourd’hui âgée de 66 ans découvre sur la plage de Mansouri une tortue en train de pondre ses œufs. Il n’en faut pas plus pour que Mona décide de s’installer dans la maison posée en bordure de la plage à 200 mètres de là, une maison construite par son père et dans laquelle elle passait tous ses étés, enfant. Laissant sa vie de restauratrice d’art aux Pays-Bas derrière elle, Mona Khalil crée Orange House project en 2000, lorsque le Sud est libéré de l’occupation israélienne, afin de protéger ce lieu de ponte et veiller à ce qu’aucun obstacle n’entrave la course à la mer des petites tortues tout juste écloses.
    « J’ai commencé avec une amie. Nous étions deux femmes, seules. Je ne connaissais rien aux tortues. J’ai écrit à la “Mediterranean Association to Save the Sea Turtles” pour demander de l’aide. On nous a envoyé un biologiste marin qui nous a tout appris. Aujourd’hui, je vis mon rêve », explique Mona, dont les cheveux courts et blancs captent les premiers rayons du soleil.
    Depuis, Mona Khalil collecte toutes les données sur les tortues de la plage de Mansouri et représente le Liban lors des conférences méditerranéennes qui ont lieu tous les trois ans.
    « Quand j’étais petite, c’est la plage publique de Tyr qui était appelée la plage des tortues, car c’est là qu’elles venaient pondre leurs œufs, se rappelle Mona. Mais quand des kiosques ont été installés sur la plage, les tortues ont déserté les lieux. Depuis, elles viennent plus nombreuses pondre sur la plage de Mansouri. »

    Intimidations

    Mona Khalil, qui semble ne jamais se départir d’un pendentif représentant une tortue, se bat depuis 13 ans maintenant pour ces 1,4 km de plage. « Des jeunes hommes pêchaient à la dynamite ici. Toutes les cinq secondes, on entendait boum, boum. J’ai cherché à les empêcher d’utiliser cette technique de pêche. Eux, pour me faire partir, sont venus une nuit tirer en l’air autour de ma maison, pour me terrifier. Mais il n’y a pas moyen que je quitte cet endroit, je reste. Au bout de quelques années, ils ont abandonné », se souvient-elle.
    Protéger le lieu de ponte des tortues est essentiel, car les tortues viennent toujours pondre sur leur lieu de naissance.
    Il y a quelques mois, Mona Khalil a de nouveau tiré la sonnette d’alarme, la municipalité du village menaçant de mettre en œuvre un projet d’aménagement touristique de la plage. Le projet a été suspendu, mais Mona et Rami restent attentifs.
    Et justement, alors qu’ils s’apprêtent à lâcher les tortues vers la mer en ce matin d’août, Mona et Rami constatent qu’un bout de plage, la section F, est la cible d’un empiètement. « Apparemment, la municipalité cherche à faire passer un cours d’eau à cet endroit. Si cela est fait, ça changera l’humidité du sable, et nous devrons alors déplacer les œufs vers l’autre partie de la plage », déplore Rami.

    Personne ne m’aide

    Dans son combat pour protéger les tortues aussi bien de leurs prédateurs naturels que de la pollution (la plage est nettoyée tous les jours des déchets rejetés par la mer) ou des atteintes d’origine humaine, Mona dit être seule ou presque. « Personne ne m’aide, souligne-t-elle. Je suis allée voir le ministère de l’Environnement où on m’a fait comprendre que la protection des tortues n’était pas une priorité. »
    Alors, pour financer son projet, Mona Khalil loue des chambres d’hôte, invitant ses visiteurs à assister à la ruée vers la mer des bébés tortues. Et elle peut désormais compter sur Rami, ce jeune de Mansouri qui, il y a deux ans, s’est assis derrière elle alors qu’elle protégeait l’accès à la mer de jeunes tortues, et qui, depuis, est présent chaque matin de la saison pour l’épauler. « Il entre à l’université cette année pour étudier la biologie marine, ma relève est assurée ! » se réjouit Mona Khalil.
    Sur le sable, les tortues sélectionnées sont sorties délicatement des seaux orange. Il ne leur faut qu’une seconde pour repérer la mer. La course commence vers les vagues, sous l’œil attendri et les encouragements de Mona.



    lorientlejour.com

  12. Serpent américain dans un immeuble à Mulhouse


    Mardi, vers 22 h, l’équipe animalière des pompiers de Mulhouse a été envoyée rue des Vergers car des riverains avaient aperçu un serpent dans les parties communes de leur immeuble. Ce reptile d’environ 70 cm, rouge, blanc et noir, a été capturé et amené à un spécialiste qui a déterminé qu’il s’agissait d’une couleuvre lampropeltis. On retrouve cet animal, communément appelé serpent-roi, en Amérique du Nord, en Amérique centrale et en Amérique du Sud. Cette couleuvre, inoffensive pour l’homme, semblait, en tous les cas, en mauvais état selon le spécialiste.

    lalsace.fr

  13. Serpents, crocodile et autres reptiles dans un duplex de la rue Hupé à Gatineau




    Des animaux exotiques, notamment des serpents, ont été saisis jeudi en avant-midi au 209 rue Hupé, non loin de la rue Main, dans le secteur Gatineau.

    Les policiers ont mené la perquisition accompagnés du contrôle animalier de la ville de Gatineau.

    L'intervention a été effectuée à la suite de plaintes.

    Des voisins nous ont affirmé jeudi matin, que l'homme qui réside dans le logement du bas au 209 Hupé laissait les reptiles circuler librement dans sa cour arrière.

    Le résidant soutenait également que les reptiles rampaient sur la clôture qui sépare les propriétés.

    Les serpents ont été acheminés vers le Little Ray reptile zoo d'Ottawa, puisque la SPCA ne s'occupe pas de tels animaux exotiques.


    Un crocodilien, un python Royal, cinq serpents, un dragon barbu, un iguane, une tortue serpentine et un chien de race Pitbull ont été confisqués.

    Le propriétaire des animaux, âgé de 24 ans, pourrait être mis à l'amende comme l'expliquait l'agent Pierre Lanthier du service de police de Gatineau, en entrevue sur nos ondes jeudi à l’Outaouais Maintenant.




  14. Un alligator comme trophée de chasse



    Photo Reuters


    Des chasseurs d'alligators ont récemment mis la main sur le plus long et plus lourd jamais trouvé dans l'État du Missippi, selon les autorités de l'endroit.

    Dustin Bockman et ses amis ont en effet capturé le 1er septembre, au lendemain de l'ouverture de la chasse, un monstre de 13 pieds (3,96 m) et 727 livres (330 kg)!

    Brockman, un livreur de colis âgé de 27 ans, et son groupe ont repéré l'animal, un mâle, dans le fleuve Missippi et l'ont suivi pendant deux bonnes heures avant de s'en approcher suffisamment pour l'atteindre d'une lance.

    Il leur a fallu deux heures de plus pour l'immobiliser. Bockman a fini par abattre l'alligator d'un coup de feu.

    Le groupe a ensuite eu besoin de deux autres heures pour hisser la bête à bord de son embarcation.

    Des alligators encore plus imposants ont déjà été attrapés en Floride, certains pesant plus de 1000 livres (454 kg) et l'un d'eux faisait 14 pieds (4,27 m)!




  15. Une nouvelle espèce d’araignée découverte à Anvers


    Cette araignée chasse mais ne tisse pas de toile.
    Belga




    Une 250e espèce d’araignée a été découverte au mois de mai dans un jardin de la ville d’Anvers, a indiqué lundi la Société Arachnologique de Belgique (Arabel).

    Il s’agit d’une araignée-loup, une petite araignée qui ne tisse pas de toile mais qui chasse - comme un loup - ses proies.

    Entre 2004 et 2008, Arabel avait mené une grande enquête sur les populations d’araignées à Anvers. La société avait recensé 249 espèces différentes, soit plus d’un tiers de toutes les espèces d’araignée recensées en Belgique.

    «C’est une bonne nouvelle que nous avons trouvé autant d’araignées», se réjouit Koen Van Keer, membre de la direction d’Arabel, qui a participé à la découverte de la 250ème espèce au mois de mars. «Cela signifie qu’un biotope urbain peut cacher une riche biodiversité. Mais ces espèces sont sous pression: elles sont petites et vivent dans des espaces trop petits. Elles risquent donc l’extinction.»

    Source : lavenir.net

  16. Saint-Symphorien : un serpent d'1m50 découvert sur la Grand-Place


    Ce jeudi soir, la découverte d'un serpent sur la Grand-Place de Saint-Symphorien a mobilisé jusqu'à tard dans la soirée trois pompiers de Mons ainsi qu'une équipe de la police de Mons-Quévy.





    Peu avant 21h30, un promeneur était en effet tombé nez à nez avec un serpent "corail" (cfr. photo) de plus d'un mètre qui rampait tranquillement sur la Grand-Place. Il a immédiatement contacté les secours. A leur arrivée, les pompiers ont aperçu le serpent de couleurs rouge et noir. Mais la bestiole s'est très vite dérobée à leurs regards pour aller se réfugier sous les roues d'une voiture de marque Ford stationnée sur la Grand-Place.

    Sous les yeux hébétés des riverains, trois pompiers, rejoints ensuite par une équipe de la police de Mons, se sont donc affairés à rechercher le fuyard. Peu avant 23h, ils ont pu faire en sorte de faire redescendre le serpent qui s'était logé dans le moteur vers le bas de caisse, de sorte de pouvoir procéder à son "interpellation". Une capture qui ne s'est pas révélée si évidente, les moyens étant rudimentaires et l'animal n'ayant pas forcément envie d'être dérangé. Le serpent a ensuite été emmené par les forces de l'ordre.


    Source : laprovince.be

  17. Lutte contre la tortue de Floride dans le Lac du Bourget


    Tortue très à la mode dans les années 70 et 80, ce reptile importé a été relâché massivement par les propriétaires quand sa taille est devenue trop imposante. Redoutable carnassier, la tortue de Floride est désormais "persona non grata", notamment dans le lac du Bourget.

       Par Christian Conxicoeur




    Le Parc de la Tête d'Or a créé, en 2006, un centre de récupération des tortues de Floride.

    En effet, la plupart des gens qui avaient acheté ce petit reptile, ignoraient qu'il allait grandir, et que son entretien ne se ferait donc pas sans problème.  

    Vendues en magasin animalier jusqu'en 1997, année où l’Union Européenne a interdit leur importation, les tortues de Floride ont été abandonnées en masse dans la nature où elles sont devenues des prédateurs pour d'autres animaux, chamboulant au passage tout l'écosystème, et provocant la quasi disparition de la tortue autochtone, la Cistude.

    C'est donc pour remédier à cette menace pour notre écosystème que le Jardin zoologique de la tête d'or a ouvert ce centre. Un bon millier de pensionnaires s'y trouve actuellement hébergé.





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