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Tout ce qui a été posté par Clouso1
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C'est vrai que c'est capotant à regarder. Mais si j'ai envie de faire un sport extrême , je ne mettrais certainement pas la vie de mon chien en danger pour satisfaire mon caprice. Par contre , le chien y retourne avec son maître. Ce n'était pas leur premier saut. Le gars ne semble pas avoir besoin de le forcer car là, ce serait une autre histoire et il n'aurait pas filmé ça. J'ai une amie dont le fils avait un copain qui s'est tué le printemps dernier en faisant ça. Il voulait passer dans un trou de rocher. Sa femme avait réussi mais lui a raté. Clouso
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La personne qui t'a refilé ce chiot.......elle n'a pas pensé que ce serait bien de te donner un petit cours 101 pour apprendre la propreté? Alors , tous les chiots peuvent apprendre à faire leur besoin dehors peu importe la température. C'est l'un ou l'autre. Ou il fait ses besoins à l'intérieur ou il le fait dehors. Pour ma part , je déteste les pipi pads car le chien n'apprend jamais à se retenir et souvent , va décider de faire ses besoins sur autre chose d'aussi attirant qu'un pipipad. , comme un tapis , une douillette , etc. Perso , un chien doit apprendre à faire ça dehors. Il y a plein de post ici, concernant la propreté si tu regardes la section " éducation". Clouso
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C'est ce qu'explique ce vétérinaire. Cette industrie se dépêche à dire que ce sont des cas isolés. Bullshit. Ils font une enquête au hasard = bingo. Des actes de cruauté gratuite , en voulez-vous , en voilà. Que ce soit aux USA , au Canada , au Québec ou ailleurs. Cette industrie agro-alimentaire engage , les yeux fermés ou je dirais plutôt qu'ils s'en crissent royalement , des individus sans scrupules , sans empathie et qui s'amusent à infliger des souffrances abominables à des animaux . Et s'avoir qu'il y a des témoins de leurs gestes ne les dérangent pas du tout. Faut croire que ces témoins font la même chose ou craignent les représailles de leurs chers collègues. Même les vétérinaires ferment leur gueule. Sauf quelques exceptions comme celui qui a écrit ce commentaire. Clouso.
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Jean - Jacques Kona - Boun , Anesthésiologiste , médecin vétérinaire à Centre Vétérina . 17 septembre 2014, à 19:31 " Voici un reportage sous forme de vidéo par caméra cachée, tourné par un agent de Mercy for Animals en septembre 2014: http://www.sliceofcruelty.com/. Il s'agit, une fois de plus (on ne les compte plus!), d'un des "rares" exemples de cruauté volontaire et consciente manifestée par des actes sadiques d'employés de l'industrie de la production animale sur des animaux, des vaches laitières dans ce cas-ci, torturées dans la ferme Winchester Dairy, qui approvisionne en lait le plus gros producteur mondial de fromage mozzarella: Leprino Foods. Ce genre d'actes de barbarie, de haine et de violence primitive, ne se produit pas qu'à l'étranger, nous en avons été témoins également chez nous à de nombreuses reprises et combien n'ont pas été révélés pour le peu qui ont été dénoncés! Tout ceci démontre fortement la nécessité urgente d'un changement de statut juridique des animaux, afin que la législation, notamment au niveau du code criminel, puisse punir sévèrement de tels abus. Cela met aussi l'emphase sur la nécessité d'outils de surveillance, l'un des plus importants étant un système d'enregistrement continu de toutes les installations industrielles où se trouvent des animaux de production, indépendant des opérateurs de ces installations (c'est-à-dire non modifiables par ceux-ci mais par des agents autorisés) et accessible sur internet. Tant que des sanctions sévères (mais aussi strictement appliquées) ne seront pas effectives, ce genre de cruauté ne disparaîtra pas car cet instinct barbare et primitif sommeille dans de nombreux individus, peu importent les mesures mises en oeuvre afin de diminuer le mal-être des animaux dans la production. Toutefois, ce genre d'actes de cruauté ne représente pas la majorité des souffrances physiques et psychologiques que doivent endurer les animaux de production. Ces souffrances sont le résultat des pratiques standards de l'industrie, considérées comme la norme et donc considérées comme moralement acceptables. La population humaine ne cesse de croître et la consommation de produits alimentaires dérivés des animaux aussi par conséquent. Le caractère intensif de la production animale est voué à s'intensifier, malgré les mesures de diminution du mal-être animal, croire le contraire serait illusoire. Ces mesures (qu'elles soient motivées par un réel désir de diminuer le mal-être animal ou plutôt pour satisfaire les consommateurs et rester compétitif au niveau économique, sans aucun égard pour l'intérêt des animaux) vont, tôt ou tard, se heurter aux préoccupations économiques de rentabilité. Les souffrances, de nature et d'intensité variables selon les espèces animales exploitées, les types d'élevages et les localisations géographiques, sont présentes dès la naissance et perdurent jusqu'à l'abattage, en passant par toutes les étapes intermédiaires de production, indépendamment des actes "isolés" et "rares" de cruauté consciente et volontaire. En voici une liste qui est loin d'être exhaustive: * séparation des mères de leurs petits, qui peut causer un stress psychologique intense aussi bien chez l'une que chez l'autre. Les parents humains, en particulier les femmes qui viennent d'accoucher, peuvent comprendre cela. Il ne faut pas faire l'erreur grossière de croire que seuls les êtres humains peuvent faire preuve d'instinct maternel et souffrir de la séparation; * élimination brutale des mâles, inutiles du point de vue économique: poussins broyés vivants ou entassés dans des sacs pour y mourir asphyxiés. Qu'il s'agisse d'une usine de production intensive ou bien d'un des rares élevages moins intensifs (mais qui ne peuvent pas satisfaire à la demande d'une population humaine croissante), les poussins mâles restent des mâles et ceux-ci sont aussi inutiles dans l'un que dans l'autre des systèmes. Par conséquent, les oeufs (quelle que soit leur provenance) sont associés à la mort d'une quantité innombrable de poussins mâles, sans oublier les poules elles-mêmes, qui subissent le même sort lorsqu'elles sont arrivées, usées, à la fin de leur vie de production. Dans le cas des vaches laitières, les mâles iront à l'abattoir en jeune âge (même s'il s'agit de races laitières), après avoir souvent été confinés durant toute leur courte et misérable vie. Les femelles auront la "chance" de survivre quelques années (bien inférieures en nombre à celui des années qu'elles seraient sensées vivre normalement) afin d'être inséminées à répétition, de vivre gestations/mises bas après gestations/mises bas et de produire d'énormes quantités de lait par leurs glandes mammaires démesurées...pour finir à l'abattoir, comme leurs petits frères quelques années avant elles, lorsqu'elles ne produiront plus de lait. Finalement, les oeufs et le lait sont associés à la mort des animaux, tout comme la viande mais avec en plus toute une vie de production durant parfois plusieurs années et possiblement associée à divers types de souffrances énoncées dans cette liste non exhaustive; * mutilations diverses, pas toujours effectuées sous anesthésie au moins locale (si celle-ci n'est pas possible ou difficilement réalisable, cela devrait être une raison suffisante à elle seule pour ne pas pratiquer la mutilation!): bec, dents, testicules, queue, cornes, marquage au fer rouge, etc. Certaines de ces mutilations sont infligées sous prétexte qu'elles permettent de protéger les animaux contre eux-mêmes et que sans celles-ci les animaux souffrent davantage des blessures qu'ils s'imposent entre eux. Il s'agit d'un grossier sophisme doublé d'une hypocrisie outrageante car la seule chose contre laquelle ces animaux sont "protégés" avec ces mutilations, ce sont les effets pervers de systèmes de production qui sont situés aux antipodes des conditions naturelles, qui ont pour conséquence l'adoption de comportements inappropriés et de stéréotypies par les animaux; * confinements extrêmes: batteries de cage pour les poules, cages de gestation pour les truies, absence d'exercice et de plein air pour la plupart des animaux, etc. Les élevages "en plein air" représentent une infime minorité des fournisseurs de produits alimentaires qui se retrouvent dans les assiettes et ils ne peuvent certainement pas satisfaire la demande d'une population humaine sans cesse croissante...pas plus qu'ils ne peuvent garantir l'absence de tous les points de cette liste non exhaustive; * anomalies de conformation anatomique causées par la sélection génétique pour obtenir de plus grandes masses musculaires, toujours plus de gain de masse corporelle toujours plus rapidement: problèmes arthrosquelettiques (déformations osseuses, fractures pathologiques, arthrose), neurologiques (problèmes vertébraux), cardiaques (cardiomyopathies), obstétricaux (disproportion foetopelvienne pour certaines vaches de boucherie exagérément et artificiellement "musclées", qui ne peuvent pas mettre bas naturellement et doivent toujours se faire ouvrir l'abdomen chirurgicalement pour délivrer leurs petits); * gestations et mises bas à répétition; * transports dans des conditions extrêmes: température, absence d'eau et de nourriture, parfois pendant des durées prolongées et sur de longues distances; * abattage (concerne les animaux produits spécifiquement pour la viande mais également ceux produits pour leurs oeufs ou leur lait, qui finissent par s'y retrouver aussi à la fin de leur vie de production): indépendamment de la méthode d'abattage (rituelle ou pas), il est impossible de garantir l'absence de stress psychologique et de souffrance physique lors du processus d'abattage, l'abattage n'est pas une euthanasie au sens strict du terme ("eu" + "thanatos" = "bonne mort", se traduisant par une mort rapide et en douceur, associée à l'absence de stress psychologique et de douleur, ou à la plus petite quantité possible). Il est fort probable que ces deux types de souffrances soient présents chez un nombre significatif d'animaux au moment de l'abattage, que ce soit à cause du système de circulation dans les installations (ex. poulets suspendus conscients par les pattes sur des crochets glissant le long d'un rail et défilant avec la tête en bas jusqu'au poste de décapitation) ou à cause de la technique de mise à mort elle-même (qui ne garantit pas le décès au premier coup, des animaux ayant déjà été vus se débattant dans le bassin d'eau bouillante faisant suite à la supposée perte de conscience). Prétendre le contraire serait aussi illusoire que mensonger et malhonnête; *etc. Toutes ces souffrances ne sont pas forcément présentes dans tous les types de production animale, toutefois aucun type de production n'en est complètement exempt. Etant donnée l'ampleur du système et l'ancrage profond des pratiques industrielles de production animale dans l'économie, sans compter la nécessité de faire du profit à moindre coût, il paraît impossible que toutes ces souffrances soient un jour abolies ou mêmes significativement diminuées si cette production perdure, peu importent les mesures de diminution du mal-être qui pourront être prises. La question est de savoir ce que notre conscience nous permet d'accepter et où notre morale nous fait placer la barre séparant ce qui est acceptable d'infliger aux animaux (tout cela pour un besoin non vital) de ce qui ne l'est pas." Clouso
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J'ai une bulle - foulard jaune
Clouso1 a répondu à un(e) sujet de Saint mom dans Produits et services
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Cette acceptation de ce type de marriage entre cousins - cousines germains ( qui est devenu illégal ) , a entraîné beaucoup de maladies rares et des maladies dégénératives . Un exemple parmi d'autre : l'ataxie de Friedreich. Maladie bien concentré dans une région du Québec . Cousins germains et consanguinité chez les nobles en Europe : il y avait beaucoup de cas de démence et d'autres tares génétiques. Plein de petits villages en Europe ou en Amérique etc , à cause de la consanguinité , on s'est retrouvé avec des maladies dégénératives ou autres. Et ça peut sauter quelques générations avant qu'arrivent les gros problèmes . S'ils font du line- breeding , font-ils du in-breeding au fil des ans car on dit que le in-breeding est une pratique très commune ? Clouso
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Hier, j'ai rencontré une connaissance qui s'informait de mon Rantanplan. En apprenant sa mort , Samedi dernier , elle me dit: " Ouinnn..........C'est juste un chien" De temps en temps les gens me disent " Voyons, c'est juste un chien ou tu en dépenses de l'argent " juste pour un chien" . Ils ne comprennent pas les distances parcourues, le temps passé ou les coûts que ça implique pour" juste un chien" . Pourtant , plusieurs des moments dont je suis le plus fier sont survenus à cause" de juste un chien" . J'ai passé bien des heures avec , pour seul compagnon ," juste un chien" et je ne me suis jamais senti moindrement seul. Certains de mes moments les plus tristes sont survenus à cause de" juste un chien" et , dans ces jours sombres , le doux contact de" juste un chien" m'a donné du réconfort et permis de traverser la journée. Si , vous aussi, pensez que c'est" juste un chien " alors vous comprendrez probablement des phrases comme juste un ami , juste un lever de soleil ou juste une promesse . "Juste un chien" apporte dans ma vie la véritable essence de l'amitié, de la confiance et d'une joie passionnée. "Juste un chien" fait ressortir la compassion et la patience qui fait de moi une meilleure personne. A cause de" juste un chien" je me lèverai de bonne heure, prendrai de longues marches et regarderai vers le futur. Alors pour moi et les gens comme moi, ce nest pas" juste un chien" mais l'incarnation de tous les espoirs et rêves du futur, le doux souvenir du passé et la pure joie du moment. "Juste un chien" fait sortir ce quil y a de bon en moi et me détourne de mes pensées et des problèmes de la journée. J'espère qu'un jour ils pourront comprendre que ce nest pas" juste un chien" mais l'être qui m'a donné l'humanité et qui ma préservé de n'être que" juste un homme" . Alors la prochaine fois que vous entendrez la phrase" juste un chien"......... souriez parce que cest juste.......... qu'ils nont pas compris . Publié dans Versatile Hunting Dog Magazine en février 2006 , auteur inconnu Clouso.
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Anémie hémolytique auto-immune (nouvelle du 31 octobre ! )
Clouso1 a répondu à un(e) sujet de Gypsie03 dans Parlons chiens
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Anémie hémolytique auto-immune (nouvelle du 31 octobre ! )
Clouso1 a répondu à un(e) sujet de Gypsie03 dans Parlons chiens
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Un chien sème l'inquiétude sur la rue St-Jean à Québec.
Clouso1 a posté un sujet dans Parlons chiens
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Je suis d'accord avec toi , Guylaine. Milou , j'ai toujours été surprises de tous préjugés qu'ont les gens sur les forums et ils sont le reflet de la population générale. Tu vois, tu as des préjugés sur les chiots. Moi , j'en ai adopté 2 de la SPA de Québec. C'est l'éducation que je leur ait donné qui a donné le résultat final. J'ai eu de sacrés bons chiens. Je me rappelle que tu avais déjà eu le goût de devenir éducatrice canine. Quel message aurais- tu transmis à des clients ? Ne prenez pas de chiot car trop de risques de surprises? Tu as déjà mis, je crois , un lien sur le fait qu'on adoptait peu au Québec versus les provinces anglophones. Cette tendance se retrouve sur les forums et pourtant, l'info circule. Clouso
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Pour que le vent vire de bord......faudrait que les gens veuillent adopter des chiens "usagés" . Pas populaire du tout des chiens qui viennent de refuge ou de SPCA au Québec. Si tu ferais un sondage ici et sur d'autres forums canins .....il n'y a pas beaucoup d'aspirants à l'adoption. As-tu déjà posé la question à des gens autour de toi , que tu croises , qui ont un chien .....pour savoir s'il y avait parmi eux des gens qui ce sont tournés vers une SPCA ou refuge ? Clouso
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Quelle croquettes pour Rufus?
Clouso1 a répondu à un(e) sujet de caro2411 dans Nourriture commerciale