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Tout ce qui a été posté par peri
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Coût de réalisation et de stockage de paillettes.
peri a répondu à un(e) sujet de aurélie3 dans Forum Reproduction Canine
Tiens, tiens. Bienvenue au club. Nous avons un collectif, de tous les grugés de Vetagrosup, qui attendent le résultat de la cassation, puisque Vetagrosup ayant perdu tous les procès, en instance et appel, et même essayé de se faire payer la moitié des factures en échange de notre renoncement à poursuivre la procédure, s'est pourvu en cassation pour faire durer, ....et faire payer encore plus d'éleveurs( et sans doute de faire en sorte qu'au dénouement, les responsables aient pris la retraite). Et comme d'habitude, silence radio de la SCC, censés par contrat représenter les éleveurs. -
En tant que citoyen, nous avons la chance d'avoir accès à des informations par internet qui sont soigneusement éliminés des info " nationales en JT. Après le médiator, les scandales des prothèses mammaires, maintenant de hanche, nous ne pouvons que constater les scandales de conflit d'intérêt au mépris de la santé des personnes. Vous pensez bien qu'avec les animaux, et le peu d'organisation des éleveurs et propriétaires, ils sont tranquilles, et ne vont pas arrêté de sitot la commercialisation, sauf... si on collecte les cas à leur place et qu'on fait du bruit.
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Ci dessous un extrait de rapport sur les vaccins. En ce qui me concerne, cette nouvelle ne fait au contraire qu'augmenter mon inquiétude concernant les vaccins. Le fait de mélanger ensemble un grand nombre de vaccins est une méthode connue des laboratoires pharmaceutiques pour compliquer la preuve d'effets indésirables. Car plus il y a de vaccins dans l'injection, plus il devient difficile de prouver qu'un effet indésirable précis est lié à un des vaccins. Il faut un nombre de cas déclarés d'effets secondaires négatifs beaucoup plus important pour obtenir un niveau de preuve statistiquement fiable. Or, cette tactique se développe justement au moment où le grand public réalise que les effets indésirables des vaccins sont tout sauf négligeables. Des effets secondaires inquiétants Un nombre alarmant d'études scientifiques mettent actuellement en lumière les dangers des vaccins. Il ne s'agit plus de mises en garde émanant de mouvements associatifs marginaux ou à tendances sectaires. Non, c'est maintenant la communauté médicale internationale elle-même qui exprime ses doutes, voire ses inquiétudes. Le British Medical Journal, une revue mondialement connue et respectée pour sa rigueur scientifique, a publié le 30 janvier 2013 une étude démontrant que le vaccin contre la grippe H1N1 Pandermix avait causé des milliers de cas de narcolepsie chez les enfants, une maladie grave et incurable, sans que cette catastrophe ne soit compensée par des vies sauvées par ailleurs par ce vaccin. (1) Une association, quoique plus faible, a aussi été établie entre le vaccin contre la grippe et la maladie de Guillain-Barré (paralysie). (2) Le Gardasil, vaccin contre papillomavirus et le cancer cervical, est aujourd'hui au centre d'un scandale qui n'en finit pas. Selon le décompte effectué par l'association Sanevax, ce vaccin est relié à 29 003 effets adverses graves et au moins à 130 décès. (3) Le vaccin contre l'hépatite B, lui aussi, est fortement critiqué. Il est accusé de tuer les cellules du foie, alors qu'il est précisément supposé protéger contre une maladie du foie. (4) D'autre part, le 21 novembre 2012, le Conseil d'Etat français a reconnu que l'aluminium dans le vacc in hépatite B avait été la cause d'une terrible maladie invalidante, la myofasciite à macrophages, dont souffre depuis 1996 un employé de la ville de Paris, permettant à cette personne d'être indemnisée. (5) Des milliers de personnes, qui n'ont pas eu l'idée de porter plainte, pourraient être dans le même cas. Les vaccins peuvent en effet contenir diverses substances notoirement toxiques même à faibles doses comme le formaldéhyde (cancérigène), le mercure (neurotoxique), l'aluminium (neurotoxique) ou le phénoxyéthanol. Les jeunes enfants sont particulièrement vulnérables à ces substances, qui peuvent affecter de façon dramatique leurs fonctions nerveuses et immunitaires. Ces molécules sont employées comme adjuvants pour renforcer l'efficacité des vaccins en stimulant la réponse immunitaire. Ainsi les personnes prédisposées génétiquement peuvent voir leur immunité s'emballer et déclencher alors une maladie auto-immune, comme la fameuse myofasciite à macrophages, le syndrome de Guillain-Barré ou le syndrome des antiphospholipides, des effets secondaires rares et graves mais parfaitement connus.
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Les jeunes animaux, comme les BB, n'ont pas un système immunitaire très performant, d'où l'importance du rappel de un an. A trois et quatre mois, le vaccin lepto a un peu plus de chance de prendre qu'à 2 et 3 mois, , puisque il est reconnu qu'il tient moins que les autres, et qu'il faut faire deux rappels par an dans les régions à risque. Riou, la dose était trop forte par rapport à l'immunité de tes jeunes, qui n'ont pas pu gérer le virus avec d'une part leur immunité naturelle ( que l'on peut stimuler), et d'autre part l'immunité acquise par le vaccin. L'immunité naturelle permet de se défendre contre tous les agresseurs ( avec plus ou moins de succès selon son fonctionnement = la santé de l'animal, qui dépend de l'alimentation, de sa complémentation, mais aussi de ses conditions de vie ( des animaux continuellement sous un hangard métallique par exemple verront leur immunité fortement perturbée),l'immunité acquise permet de lutter contre certains agresseurs, ceux contenus dans le vaccin
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Que tout le monde ne soit pas d'accord, c'est sûr, vu le manque à gagner pour certains quand on n'a très peu besoin de leurs services. Mais pour le reste tu as mal lu mes post, avec des chiens blindés, les sorties sont beaucoup moins risquées. Même si les chiens ramènent une saloperie, elle sera en concurrence avec la flore de la maison, alors que dans un chenil bulle, elle aura le terrain libre pour exploser. Je vaccine, avec modération, et effectivement, aucun chien ne sort dans un milieu à risque avant l'age de 3 mois et demi
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L'osteopathie fait partie des méthodes alternatives, où l'on travaille pour avoir un bon fonctionnement général de l'organisme Pour la plupart des maladies et virus, il y a un effet dose. Jusqu'à un certain niveau, l'animal gère son virus ou sa bactérie grâce à son système immunitaire. On travaille donc pour que ce niveau soit le plus haut possible, et que l'animal ne tombe malade que lorsque la dose de virus est trop forte. L'immunité arrive aussi à permettre une auto vaccination avec les germes et virus présents à faible dose, d'où l'importance de ne pas désinfecter abusivement, car il n'y a plus de stimulation de l'immunité, et au moindre contact avec le virus, la maladie flambe.
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Quand j'ai commencé, je voulais absolument avoir affaire à un véto spécialiste chiens et chats. Maintenant, ils ont tellement des dollars dans les yeux à vouloir rentabiliser leur clinique que je les fuis. Le mien est en semi retraite, mais malgré une dizaine de chiens retraités, j'en ai tellement peu besoin que son mi temps ne me pose pas de problème.
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En 40 ans d'élevage, je n'ai eu la parvo qu'une fois, ramenée de chez le véto, il y a plus de vingt ans. La sur vaccination perturbe gravement l'immunité, et vos chiens et chiots ne sont plus alors capable de se défendre que contre le virus du vaccin, et à la merci de milliers d'autres. Les lobbies des vaccins sont encore plus virulents chez les animaux que pour les humains ( regardez la grippe A, échec total, des dizaines de millions de doses à la poubelle, les gens ont eu un minimum de jugeotte en le refusant, alors qu'au même moment la vaccination obligatoire des moutons contre la FCO a conduit des bergers au suicide, car ils ne supportaient pas d'être trainés au tribunal pour avoir refusé cette vaccination qui avait beaucoup plus d'effets secondaires que de bénéfice). La mauvaise foi de l'AFFSA dans cette affaire a été incroyable. L'immunité, cela se travaille, par un environnement sain ( de l'espace, de la lumière, la gestion des nuisances électromagnétiques), une nourriture sans carences, des oligo. Elever les chiots sous bulle, comme cela se pratique sous le haut diktat de "spécialistes" qui se réfèrent aux porcheries industrielles, c'est catastrophique, car en cochon, il n'y a pas de brassage comme en chien, avec les expositions ou ventes de chiots, et les animaux finissent à l'abattoir, et pas dans le monde normal, plein de virus contre lesquels il n'ont pas pu apprendre à se défendre dans leur bulle. La désinfection en l'absence de maladie est une catastrophe, car on nettoie tous les germes, et les dangereux ont alors la place libre pour exploser. Que ce soit vermifuge ou vaccin, je refuse de faire le cobaye gratuit avec les nouveaux produits, j'ai travaillé 20 ans dans l'industrie pharmaceutique, je sais de quoi je parle. Depuis 30 ans, mes véto me déconseillent la lepto à 2 mois, je ne la fait qu'à 3 mois, avec rappel à 4 mois, c'est le seul rappel que je fais toutes les années, avant l'été, car mes chiens adorent l'eau, et que je ne maitrise pas les rongeurs sur la ferme. CHPPi à 2 mois, CHPPiL à 3 mois, L à 4 mois, et depuis l'épisode de parvo d'il y a 20 ans, jamais un chiot malade après son départ de l'élevage.
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CERCA à Maisons Alfort / insemination / congélation
peri a répondu à un(e) sujet de achelles1 dans Forum Reproduction Canine
Des nouvelles des banques de sperme. Deux procès ont été encore gagnés par des éleveurs dont le CERCA a refusé l'indemnisation suite à la décongélation accidentelle des paillettes stockées ( et non assurées) Quant au CERREC, malgré les deux décisions du tribunal administratif annulant les factures de garde, mes paillettes sont toujours retenues en otage, et Vetagrosup a porté l'affaire en cassation -
LETTRE OUVERTE AU PRESIDENT DE LA SCC
peri a répondu à un(e) sujet de peri dans L'élevage et les formules imposables
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SNPCC SYNDICAT NATIONAL DES PROFESSIONS DU CHIENS
peri a répondu à un(e) sujet de Admin-eleveurcanin dans Forum de discussion canine
De nombreux éleveurs de Corrèze sont en difficulté, ( avec un lien troublant que la plupart ont souligné, d'une remplaçante en élevage peu scrupuleuse, et des contrôles MSA suite à ses passages). Un contrôleur MSA qui décide de leurs heures de travail sans aucune concertation, ni possibilité de discuter, et qui ne se cache pas de dire que les éleveurs canins sont une manne pour une MSA en perte de cotisants. Son calcul des heures de travail dépasse systématiquement les 1200 heures, et pour valider ses chiffres, il fait appel au SNPCC qui les fait exploser. Vous en trouverez des exemples sur notre site www.secadso.fr Il est clair que le SNPCC veut faire disparaitre les cotisants de solidarité. D'autres départements suivent l'exemple de la Corrèze, et font valider les calculs de temps de travail annuels par le SNPCC, toujours en défaveur de l'éleveur. Vous trouverez la grille de calcul d'une éleveuse de race très rare,( MEMBRE DU SNPCC ) avec les commentaires de la présidente du SNPCC sur le fait qu'elle n'a déclaré QUE trois portées dans l'année ( www.secadso.fr) Un pétition est en ligne pour faire invalider cette grille de calcul incohérente et non représentative de notre activité Vous la trouverez sur www.secadso.fr -
De nombreux éleveurs de Corrèze sont en difficulté, ( avec un lien troublant que la plupart ont souligné, d'une remplaçante en élevage peu scrupuleuse, et des contrôles MSA suite à ses passages). Un contrôleur MSA qui décide de leurs heures de travail sans aucune concertation, ni possibilité de discuter, et qui ne se cache pas de dire que les éleveurs canins sont une manne pour une MSA en perte de cotisants. Son calcul des heures de travail dépasse systématiquement les 1200 heures, et pour valider ses chiffres, il fait appel au SNPCC qui les fait exploser. Vous en trouverez des exemples sur notre site www.secadso.fr Il est clair que le SNPCC veut faire disparaitre les cotisants de solidarité. D'autres départements suivent l'exemple de la Corrèze, et font valider les calculs de temps de travail annuels par le SNPCC, toujours en défaveur de l'éleveur. Un pétition est en ligne pour faire invalider cette grille de calcul incohérente et non représentative de notre activité Vous la trouverez sur www.secadso.fr
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LETTRE OUVERTE AU PRESIDENT DE LA SCC
peri a répondu à un(e) sujet de peri dans L'élevage et les formules imposables
La réunion a réuni une vingtaine de personnes, et s'est terminée autour d'un pot offert par le SECADSO. Pour la plupart, éleveurs corréziens, mais aussi du LOT. La réunion a débuté par la présentation de la mise en règle d'un élevage canin, et les éléments qui permettent à l'éleveur de calculer approximativement ses cotisations MSA, afin de pouvoir détecter d'éventuelles erreurs La non réponse de la SCC n'a étonné personne, la déconnexion de cet organisme de ceux qui la font vivre est de plus en plus problèmatique Il devient d'ailleurs flagrant que la plupart des éleveurs de sélection abandonnent les concours, vu le peu de retours sur les importants investissements, mais cela ne semble pas les toucher plus que le reste. La grille de référence du SNPCC a été dénoncée à l'unanimité, une action nationale va être entreprise, appuyée par des élus. Sur le plan local, le SECADSO se rapproche des chambres d'agriculture comme cela a été fait en Dordogne, afin de mettre en évidence les erreurs dans les calculs de cotisation. Une fois de plus, cette réunion a montré le peu de défense qu'avaient les éleveurs quand ils restaient isolés avec leurs problèmes, et l'importance d'avoir une personne ressource disponible en cas de contrôle, même surprise Le SECADSO a rappelé sa vocation d'organisme formateur, reconnu par VIVEA, le fond de formation agricole, qui prend toute son importance avec l'obligation nouvelle pour les capacitaires, de suivre des formations pour pouvoir garder son certificat de capacité. -
LETTRE OUVERTE AU PRESIDENT DE LA SCC
peri a répondu à un(e) sujet de peri dans L'élevage et les formules imposables
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LETTRE OUVERTE AU PRESIDENT DE LA SCC
peri a répondu à un(e) sujet de peri dans L'élevage et les formules imposables
Le SECADSO a pour vocation d'être à taille humaine, de travailler avec des éleveurs qui ont la possibilité de se rencontrer, pour travailler ensemble, dans le même esprit d'éthique et de sélection. Nous ne demandons qu'à aider la création d'autres structures analogues à la notre, dans d'autres parties de la France. Avec toujours l'idée d'une fédération pour représenter ces structures au plan national. Nous avons sur le site la iste des départements que nous couvrons www.secadso.fr -
LETTRE OUVERTE AU PRESIDENT DE LA SCC
peri a répondu à un(e) sujet de peri dans L'élevage et les formules imposables
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LETTRE OUVERTE AU PRESIDENT DE LA SCC
peri a répondu à un(e) sujet de peri dans L'élevage et les formules imposables
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Les inégalités de traitement entre les départements sont vraiment flagrantes. Dans la Corrèze, les contrôleurs imposent leur grille, et la grille du SNPCC n'a pu être disponible que par l'intermédiaire d'un avocat, dans le cadre d'une procédure. Dans le Lot, le rapport du contrôleur MSA fournit le barême SNPCC, ce qui permet de voir que la concertation éleveur et contrôleur a donné 1212 heures. Après contrôle de la présidente du SNPCC, le temps de travail passe à 1585 heures, avec commentaire de sa part sur des non déclarations possibles, vu le nombre d'adultes par rapport au peu de portées nées. ( en sachant que la race est confidentielle, et donc la commercialisation alléatoire). Qui va continuer à élever des races rares dans ces conditions?
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LETTRE OUVERTE AU PRESIDENT DE LA SCC
peri a posté un sujet dans L'élevage et les formules imposables
Suite à tous les problèmes rencontrés par les éleveurs de certains départements, nous avons envoyé une lettre ouverte au président de la SCC, ainsi qu'aux membres du comité, pour les interpeller sur ces cotisations abusives. Une réunion est programmée à l'IBIS de Brives Ouest le 11 septembre à 19 h 30 pour permettre aux éleveurs d'être informés, et de s'organiser pour faire cesser ces abus. Lettre ouverte à Monsieur Christian Eymard Dauphin, Président de la Société Centrale Canine Monsieur le Président, Très attentifs à votre nouveau et réel engagement en faveur de la survie de notre vieille institution, la Société Centrale Canine, c’est en tant qu’ acteurs du terrain que sont les éleveurs » (Editorial de C. Eymard-Dauphin dans la Revue de la Cynophilie Française n° 160, 2ème trimestre 2012) que nous vous faisons part de nos vives inquiétudes : « la cheville ouvrière « du monde cynophile, celle qui élève, sélectionne, dépense beaucoup d’argent pour la qualité et le bien être de son cheptel , le présente en expositions canines, et en concours de travail, est en danger de disparition. En effet, les éleveurs de sélection, qui sont l’essence de notre cynophilie actuelle, sont menacés, car pris en étau entre une réglementation administrative de plus en plus lourde, et ignorante de la réalité de notre activité-passion, et une production de masse, clandestine ou d’importation, qui inonde un marché menacé par la crise. Vous écrivez dans votre éditorial que » le but affirmé de la SCC depuis plus de 130 ans est l’amélioration des races canines en France ». Qui d’autre que nous se plient aux directives de sélection : traçabilité, amélioration du cheptel, bonne socialisation des chiots, tests de dépistage… A l’heure où les médias s’emparent de tout accident mettant en cause un chien, transformant nos compagnons en monstre des temps modernes, comment accepter les élevages en batterie, les importations et la production clandestine au mépris de tout bien-être et socialisation. Comment accepter que les éleveurs canins soient systématiquement écartés des instances de décision qui statuent sur leur activité (la profession agricole s’est même émue de l’absence de représentation de l’élevage canin lors de la refonte du code rural). Nous devons affronter des réalités administratives de tutelle (DSV et MSA) très différentes selon les départements. Il y a beaucoup d’improvisation de l’administration par méconnaissance ou manque de réalisme des règles concernant notre activité. Où se trouve le principe républicain d’égalité entre tous les citoyens ? Nous nous réjouissons de la création d’»un service technique à l’élevage » à la SCC, encore faudrait-il que ceux qui sont concernés y soient associés. Vous écrivez « les professionnels les plus performants pratiquent souvent plusieurs activités ». En effet, la plupart des éleveurs de sélection le sont par passion et ont une profession qui leur permet de vivre, et de faire vivre en grande partie leur élevage. Ils sont donc pluriactifs et bénéficient au titre de leur profession d’une protection sociale et cotisent à une retraite. Ils relèvent donc auprès de la MSA du régime de cotisant solidaire, c'est-à-dire qu’ils versent de l’argent à fonds perdu. Les éleveurs sont assujettis selon le temps de travail estimé, et c’est la barre de 1200 heures annuelles qui délimite les cotisants solidaires des cotisants à titre principal. Donc, en deçà de 1200 heures, le cotisant solidaire verse environ 25% de son revenu agricole. Au-delà, le cotisant à titre principal verse environ 45% de son revenu à la MSA, bénéficiant alors de la protection sociale et de la retraite agricole, soit au minimum 2500 euros, même s’il est déficitaire. Nous dénonçons le fait que dans certains départements, la MSA, cherchant à compenser les baisses de cotisations des agriculteurs, décide arbitrairement de faire passer les cotisants solidaires en cotisants à titre principal, souvent avec un effet rétroactif. L’opération est d’autant plus intéressante pour la MSA que l’éleveur doit verser l’assiette minimum de 2500 euros sans avoir besoin d’une couverture maladie qu’il a déjà. Cet arbitraire est d’autant plus scandaleux que dans certains départements, le changement de statut se fait sans concertation avec l’éleveur, mais à l’aide d’une grille estimative du temps de travail fournie unilatéralement par la Présidente du SNPCC. Nous dénonçons cette grille aberrante dont voici quelques exemples : Familiarisation des chiots Durée en h/jour Nombre de jours Nombre de chiots Temps annuel en h 0.25 60 39 585 Ainsi, « la familiarisation « de CHAQUE chiot de la portée, de la naissance à 2 mois est estimée à 15 heures de travail (ce qui pour une portée moyenne de 5 chiots prendrait 75 heures, soit 1125 euros, charges sociales comprises, si vous deviez faire faire ce travail par un employé !) Mais heureusement, le vétérinaire, lui, nous fait gagner du temps puisqu’il est capable d’ausculter, vacciner, identifier, remplir le certificat de bonne santé et tous les papiers en 5 minutes par chiot ! Poste 8 Vaccination : chaque chiot doit être vacciné et tatoué (caduque et encore plus long !!!) sans compter le temps pour se rendre chez le vétérinaire, à voir en fonction de la distance qui les sépare Nombre Durée en h Temps annuel en h Chiots 55 0.08 4.40 Selon cette grille fallacieuse, l’éleveur aussi est très fort parfois : il peut nourrir, abreuver, nettoyer et désinfecter 15 adultes en 30 minutes par jour ! Poste 1 : Alimentation, abreuvement, nettoyage, désinfection : Nombre de jours Durée en h/jour Temps annuel en h 365 0.50 182.5 Mais, heureusement cette rapidité d’action auprès de nos chiens est compensée en comptant 30 minutes quotidiennes pour aller promener nos 15 chiens ensemble, tous les jours, après le travail, y compris l’hiver. Poste 2 Sortie : une sortie journalière d’une demi-heure en promenade est un minimum pour le bien-être des animaux, considérant que compte tenu du nombre global de chiens, la sortie est globale. Nombre de jours Durée en h/jour Temps annuel en h 365 0.50 182.50 Dans le département voisin, le Poste 1 : Alimentation, abreuvement, nettoyage, désinfection prend 2 heures par jour, pour cinq chiens de plus, mais rien n’est compté pour la « promenade ». Où est la logique ? Comment peut-on ainsi jouer avec la vie des gens en se basant sur des données aussi peu rigoureuses ? Monsieur le Président, devons-nous voir mourir nos élevages en respectant de telles inepties? Pensez-vous que nos budgets de sélection vont pouvoir se maintenir avec de telles ponctions injustes ? La crise est là, avec de nombreux chiots invendus dans les élevages générant donc des heures de travail supplémentaires, avec des charges qui explosent. Est-il logique, pour les éleveurs qui vont ainsi dépasser la barre des 1200 heures, d’alourdir considérablement les cotisations, alors que leur revenu est en nette baisse ? Il est urgent d’agir ! Il faut faire en sorte que les heures de travail à l’élevage soient TOUJOURS calculées en concertation avec l’éleveur. Il faut faire intervenir la notion de REVENU dans la décision de faire passer un éleveur canin à titre principal, ce qui limitera l’arbitraire, et des conséquences qui peuvent être graves. Il faut prendre en compte les particularités de notre activité, qui impliquent souvent la famille, alors que le statut de conjoint collaborateur n’est pas reconnu pour les cotisants à titre secondaire, et qu’il est difficile de faire la part entre le travail et le loisir. Nous demandons que les éleveurs canins soient représentés par leurs pairs dans les instances qui décident de notre activité, afin de mettre du bon sens, et de la pratique, dans les règlements qui nous concernent. Nous attendons des décisions rapides de la SCC, notre institution-mère, seule habilitée à nous protéger. De la pérennité des éleveurs sélectionneurs dépendra la survie de la cynophilie de demain. Une réunion d’information aux éleveurs est organisée à l’hotel IBIS de Brive la Gaillarde le mardi 11 septembre 2012, à 19 h 30, dans un département où les éleveurs canins sont durement touchés par l’arbitraire et les abus qui en découlent. Votre présence y est vivement souhaitée. Les membres du SECADSO Syndicat des Eleveurs Canins de Dordogne et du Sud Ouest www.secadso.fr -
4 pages de précautions d'emploi pour le panacur. Trop vermifuger développe aussi les résistances, comme pour les antibiotiques. Alors qu'il suffit de faire une copro pour savoir si c'est nécessaire ou non. Ouvrez les yeux, les veto sont devenu avant tout des vendeurs. Les veto qui sont aussi des éleveurs dans mes races sont de véritables catastrophes, avec des notes de 2000 à 3000€ de frais pour une portée, souvent des chiennes vides, ou un chiot.