Sylvie381

lol, c'est vrai que pour une personne néophyte, observer une séance de kinésio, c'est spécial...

le travail en CI se passe à un niveau énergétique plus subtil que celui, lourd et dense, de la matière. Comment est-ce explicable rationnellement, je l'ignore. Je sais que d'autres domaines d'applications existent pour travailler sur photo (certains medium, certains guerisseurs, etc). Et comme il n'y a pas QUE des charlatants, je suis bien obligée de constater que c'est possible, mais le pourquoi rationnel, je ne le connais pas. Il faudrait peut-être poser la question à un kinésiologue, plus habitué que moi à décortiquer méticuleusement les actions qu'il pose pour s'intéresser à tel ou tel plan énergétique. Au début de l'apprentissage, on travaillait exclusivement sur photo, puis ensuite, des proprio sont venus avec des chiens. Pour certains, le travail en live s'est révélé être plus facile, pour d'autres non car rester ds un état alpha hors du grand calme de l'apprentissage parce qu'il y a là un chien qui gigote, un proprio qui tousse, etc, c'était plus compliqué. Le we de travail ds une écurie a montré la même chose: on a travaillé avec les chevaux du manège en live et pour certain c'était trop de bruit, trop d'agitation, impossibilité de se concentrer, de se poser, de se laisser aller vers cet état de relaxation particulier. Pour d'autres, ce fut sans souci. On a ensuite partagé des photos entre nous pour causer de nos bestioles, et ça ne pose pas plus de problème. Je me suis déjà posée cette question aussi... Je vais me renseigner.

Bien sur... Mais c'est comme ds tous les apprentissages: il y a un moment où on doit apprendre à filtrer sinon on se sent assailli par trop de messages, de ressenti, de douleur, de souffrance aussi. C'est ce qui m'arrive encore qlq fois avec certains chevaux: je n'arrive pas toujours à filtrer, à "couper l'interrupteur" et cela devient tres envahissant, jusqu'à me faire passer des nuits blanches ds les cas extremes. C'est arrivé avec plusieurs chevaux que jean-marc a eu en consultation, ds des cas d'euthanasie et aussi lors d'une course d'endurance en Angleterre avec un cheval très très mal en point qui hurlait son indignation et son désespoir face au véto qui voulait en finir (le véto local, pas jm). Ce filtrage est nécessaire. Tu imagines, si je devais interpeler toutes les personnes qui n'ont pas une locomotion idéale sous prétexte que je suis kiné, tous les parents qui font du chantage affectif à leur gosse ou qui sont à côté de leurs pompes parce que je suis psy, etc... Ben j'aurais pas fini!! Alors, tout comme on ne demande pas à un artiste peintre de devenir aveugle qd il sort de son atelier, oui, je vois, j'entends, je ressens, je perçois... Mais je laisse glisser beaucoup de choses, qui peuvent rester un temps ds un coin de ma tête, ou non... Sinon ce serait invivable.

He bien c'est pas compliqué. Comme on peut pratiquer en live ou sur photo , il vous suffit de m'adresser par e-mail (sylvie.potier@swing.be) une photo de l'animal concerné et 3 questions précises le concernant. Avec un groupe de travail, nous travaillerons avec votre animal, confronterons nos réponses (garde-fou supplementaire à nos projections) puis nous vous communiquerons les réponses. Prenez le temps de reflechir à "comment" vous posez vos questions, c'est important. Exemple rencontré lors du dernier atelier de CI : Depuis qlq mois, une propriétaire a mis en place un travail plus varié pour son cheval, soit avec elle, soit avec l'aide de X, mais le cheval reste avec un moral limite. Elle souhaite lui demander s'il apprécie le travail en liberté avec X. Le cheval répond un non catégorique. La dame est troublée : elle pensait faire plaisir à son cheval en lui offrant des séances de travail en liberté avec X et voilà qu'elle s'est plantée, etc, etc. On reprécise la question en la reformulant et on apprend que c'est X que le cheval n'apprécie pas, le travail en liberté, avec sa proprio, lui plairait bien mieux. Autre exemple à méditer, le risque des questions tres ouvertes. "qu'est-ce que tu souhaites me dire?", "qu'est-ce que je peux faire pour que tu sois plus heureux?" , etc. Un animal très centré sur lui-même répondra des trucs du style "plus de carottes et moins de boulot", et tout le monde rit c'est clair... d'autres par contre vous bousculent ds vos idées reçues, sur le sens de leur place à vos côtés, etc. Ce n'est pas toujours "simplement drôle", c'est avant tout une porte qu'on ouvre sur une communication qui était presqu'exclusivement à sens unique. Permettre à l'autre de s'exprimer, c'est aussi se préparer à l'entendre et assumer ce qu'on apprend. Ce qui ne signifie pas qu'il faille tout accepter, tout comme un enfant qui vous dit qu'il mangerait bien du chocolat à tous les repas: ok, on entend, mais c'est pas pour ça qu'on accède à la demande intégralement. Mais on est tellement pétris de certitudes...

demain matin à cheval

Oui, c'est le but de la formation : . apprendre à se mettre volontairement en état alpha, donc sur la longueur d'onde ds laquelle les animaux sont en permanence pour pouvoir agir sur commande et non juste en espérant une intuition (qui par nature est fugace, imprévisible et non gérable) . apprendre à vérifier les informations pour s'assurer qu'on est pas en pleine projection (raison pour laquelle il est qlq fois difficile de pratiquer avec ses propres animaux, on les connait (ou croit les connaître) par coeur et on influence les réponses que l'on croit recevoir en les imaginant allègrement)

Et j'en profite aussi pour démystifier la CI. Nous ne lisons pas ds les pensées, nous n'avons ni don ni pouvoir, et ce que nous apprenons, tout le monde peut l'apprendre. En formation, il y a des professionnels certes (véto, éleveurs, fermiers, competiteurs, etc) mais aussi des "monsieur et madame tout le monde" juste en recherche d'un moyen de vivre plus en harmonie avec leur chien, leur chat, ou les oiseaux de leur jardin... Des gens qui sentent bien à quel point ils sont handicapés d'etre toujours si bien compris par leur animal et ne peuvent lui rendre la pareille.

Heuuuuu... avant qu'on ne parle de conspiration manipulatoire mystique et sectaire, mdrrrrr, je précise que Caro a travaillé avec une autre personne que moi.

Je ne m'aventurerai pas dans une croisade pour convaincre qui que ce soit... Je vais juste appuyer sur 1 point La charte des groupes de travail en CI dit clairement qu'il est INTERDIT de réclamer de l'argent pour aider les propriétaires en difficulté. Pour les proprio qui insistent (et dites-vous bien que quand votre chat cesse de polluer votre maison, votre chien d'aboyer toute la nuit, etc, les proprio insistent fort pour payer), un don est permis. Un don en argent de max 20 euro ou en nature en donnant qlq heures à un service animalier qui en a besoin. Mais si une personne formée en CI vous demande de la payer, fixe son prix ou le réclame, vous êtes invités à contacter le dr Anna Evans pour le lui signaler.

Au-delà de se focaliser sur une chanson ou de distraire le cheval, il y a une raison physiologique : pour siffler ou chanter, il faut respirer. Qd le cavalier est stressé, il respire tres mal, trop court, trop haut, et trop superficiellement... Alors impossible d'etre centré. Et par effet boule de neige, les tensions se créent ds les épaules, les pecto (respi haute, courte et superficielle), puis s'étendent le long du dos... Et tout le corps devient inconfortable. Le cheval lui, sent merveilleusement la différence entre un corps de cavalier détendu et cette chose pleine de tensions qui n'est pas en harmonie avec ses propres mouvements. Le cheval est alors "empêché" d'aller de l'avant de manière souple, ce qui est une source d'inconfort et de stress pour lui, ce qu'il traduira en fonction de sa personnalité et de son tempérament. S'ajoute à cela, à un tout autre niveau, la compréhension qu'il a de nos émotions... Qui vient compléter le tableau et rendre tres cohérentes ses réactions de défenses...

c'est un peu différent. Le caoutchouc a une durée de vie moins longue que les pain stopper, il finit par se dechirer, s'effriter ou se durcir. Les pain stopper non.

les commandes sont parties... Mais jm ne sait pas accélérer la poste Courage Caro !

oups, je ne l'ai plus en tete, c'est à Orp le grand ou Orp Jauche... Demande à jean-marc il te repondra plus vite que moi (ma memoire des noms est horrible).

Si tu veux voir à quoi cela ressemble : http://www.sponsorsrl.it/html/solette.htm C'est en Italie qu'il a été créé... donc tu va parfaire ton italien qlq minutes! Il y a un revendeur en Belgique, rassure-toi

non non, ce sont des plaques de plastic jaune pêtant (3 feuillets de 3 matières specifiques) qui se posent entre la sole et le fer. Elles sont donc clouées avec le fer. Les plaques comprennent aussi 2 aimants qui créent un champ magnétique ds le pied, favorisant ainsi la circulation sanguine. Le pied ne subit donc plus un des effets pervers du fer qui est de refroidir le pied (et qui dit baisse de circulation dit diminution de l'oxygénation des tissus terminaux et donc source de problème ou agravation des problèmes existants). Question entretien : on douche entre la plaque et la sole apres avoir travaillé ds le sable... Et, contrairement aux plaques de sillicone qui "collent" à la sole, le petit espace respirant entre la sole et la plaque suffit à éviter les soucis de champigon, pourriture etc... Mais un caillou ne pourrait rentrer.

Si jean-marc estime que les formes sont trop anciennes, il reste encore la solution des pain stopper. Ils n'agiront en rien sur les formes, mais en absorbant quasi complètement les vibrations dues au chocs du pas sur la route, il rendent un confort important au cheval et l'empêche de s'abimer plus. Pour rappel tres terre à terre (parce que je pense qu'on en avait dejà parlé à propos de fanfan qui en porte maintenant depuis 18 mois), une paire de pain stopper coûte 50 euro et s'utilise durant 3 ferrures.

Oui... En acompagnant jean-marc ds son boulot, j'ai vu des chevaux arrangés moche de chez moche qui retrouvaient un bon confort ensuite. Evidemment, comme je l'ai dit, plus le problème est récent, plus le traitement est efficace. Sur des formes ossifiées, calcifiées, bien ancrées, depuis 15 ans... Il est inutile d'aller dépenser des sous pour ce traitement-là.

Je découvre seulement ce post... sorry. Quand les formes phalangiennes se developpent et ne sont pas encore bien vieilles, le traitement au Tildren est efficace. Le remaniement des densités osseuses qu'il induit est bien connu des professionnels et je sais que certains forumeurs ont déjà connu ce traitement pour leur cheval, ils pourront te dire à quel point il y a eu un "avant" et un "apres". C'est un traitement assez cher je trouve... Mais si ça peut éviter la surenchère des soucis en terme d'arthrose, de boiteries et de douleur chez le cheval pour le reste de sa vie, je trouve que c'est un bon investissement. En pratique, on prend une radio avant pour évaluer l'intéret d'un traitement au Tildren. Et si le traitement est conseillé et appliqué, on peut reprendre des radio x semaines plus tard pour objectiver le resultat. Tous les proprio n'en demandent pas, voir leur cheval à nouveau à l'aise sur ses pieds leur suffise qlq fois. Note aussi que le produit doit être commandé, donc il faut s'organiser pour ne pas se sentir déçu de demander un traitement tellement le cheval a mal et ne pouvoir le soigner que 2 semaines plus tard. Voilà

Et si tu souhaites des cordes supplémentaire à ton arc, tu peux essayer un traitement en fleurs de Bach et une session de communication intuitive pour qu'il t'explique le problème vu de son côté et ce qui pourrait l'aider.

Je ne nie pas que cela existe... loin de là Je me sens juste complètement en dehors de ce fonctionnement...

C'est horrible je trouve... Quoi de plus agréable que de partager son bonheur?

Mais oui!! Et heureusement ! Et plus je rencontre ou contacte de nouvelles personnes de reference du milieu lusitano sur ce thème précis (donc en 1 semaine à peine) et plus je me rends compte des debordements d'un côté et du travail propre de l'autre. Et le travail propre... est superbe.

Wouawwwww... il est mignon! Félicitations !

un ami, c'est qlq'un qui vous connait par coeur... et qui vous aime quand même C'est mignon je trouve...

Dans tout ce que tu décris, je lis plus d'envie que de jalousie (qui est la peur de perdre ce que l'on possède). Ce n'est guère plus confortable... 2 choses: Dans une relation, on est responsable de ce que l'on donne, pas de ce que l'autre en fait. D'autre part, si tu fais tes 50% du chemin vers l'autre... L'autre reste libre de faire ses 50% pour te rejoindre. Donc à toi d'observer comment tu fais les 50% du chemin... Comment tu t'ouvres et donnes à l'autre... Puis lui laisser sa propore responsabilité... Et ça, c'est certainement le plus difficile souvent. Bon courage