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BelleMuezza

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Tout ce qui a été posté par BelleMuezza

  1. Un violent séisme secoue la préfecture de Fukushima Un séisme de magnitude estimée à 6,5 a été enregistré dimanche matin dans la préfecture de Fukushima, dans le nord-est du Japon, sans provoquer de risque de tsunami. D'après l'Agence de météorologie, le tremblement de terre a eu lieu à 3h53 du matin. Son hypocentre a été localisé en mer, au large de la préfecture de Fukushima et à 57 km de profondeur. Des secousses d'une intensité 5+ sur l'échelle japonaise graduée de 0 à 7 ont été enregistrées dans la ville de Naraha et le village de Kawauchi, toujours dans la préfecture de Fukushima. L'Agence de sûreté nucléaire et industrielle, la NISA, a annoncé qu'aucun problème n'avait été signalé aux centrales nucléaires Fukushima Dai-ichi et Fukushima Dai-ni. .NHK 31/07/2011
  2. Essai de refroidissement de la piscine du réacteur 4 de Fukushima Dai-ichi Un système de refroidissement de la piscine de stockage du combustible nucléaire usagé est à l'essai à la centrale Fukushima Dai-ichi. La Compagnie d'électricité de Tokyo, Tepco, a commencé dimanche matin les tests de ce système qui doit permettre de refroidir la piscine de combustible du réacteur numéro 4. La température reste élevée dans cette installation. Elle s'établissait à 86 degrés Celsius dimanche matin. La piscine comprend 1535 barres de combustible, bien plus que les piscines des autres réacteurs. Le mur qui la soutient a été endommagé par une explosion le 15 mars. Tepco l'a renforcé avec des piliers d'acier et de béton. Puis les techniciens ont installé un appareil de refroidissement doté d'un échangeur de chaleur, élément essentiel à la mise en place d'un circuit capable de refroidir l'eau de la piscine avant de l'y renvoyer. D'après Tepco, le volume d'eau injectée dans l'appareil sera peu à peu augmenté. Si tout se passe bien, l'entreprise prévoit d'abaisser la température de l'eau à environ 55 degrés d'ici un mois. Le refroidissement des piscines des réacteurs 2 et 3 est déjà assuré. Tepco prévoit de faire de même avec celle du réacteur 1. .NHK 31/07/2011
  3. Le carnet rose 2011 du parc : - 3 chats sylvestres, - 2 chats de Gordoni (l'un des rares félins que je n'ai pu observer lors de ma visite au parc !) - 1 margay, - 2 servals, - 2 chats rubigineux - et 10 makis cattas. D’autres naissances sont attendues avant la fin de l’été, permettant au Parc des Félins de cumuler plus de 100 naissances de félins en moins de 5 ans… Source : .Le parc des félins
  4. Les deux guépards mâles PHOTO A REMETTRE Ils s’appellent Klon et Gena, arrivent tout droit du zoo de Moscou. Ces deux mâles guépards, âgés de 3 ans sont arrivés il y a quelques jours afin de pouvoir s’accoupler avec les femelles déjà présentes au parc. C’est un enjeu majeur pour la conservation de ce félin", souligne Grégory Breton, responsable scientifique du Parc des Félins, puisque actuellement, seule une petite partie de la population captive de guépards dans le monde se reproduit. L’arrivée de ces deux individus va permettre de proposer un plus large choix de mâles à nos femelles et, espérons-le, permettre la naissance de jeunes guépards avant la fin de l’année. En attendant de pouvoir rencontrer nos femelles, Klon et Gena ont pu découvrir tout recemment leur nouveau territoire qu’ils partageront avec Skop, un autre mâle guépard présent au parc depuis 2008. Source : ..Parc des félins
  5. PHOTO dr Le rhinolophe euryale à découvrir... La commune de Sare et le Conservatoire régional d'espaces naturels d'Aquitaine ont invité le mardi 26 juillet les personnes intéressées, à participer à la 15e Nuit européenne de la chauve-souris, aux grottes. Ils sont des centaines de bénévoles qui, tout au long de l'année, étudient ces animaux fascinants et protègent leurs milieux de vie. La cavité des grottes de Sare est le premier site départemental en nombre d'espèces de chauves-souris. Ces mammifères ou chiroptères présentent de multiples facettes et sont les seuls aptes au vol. Douze espèces de ces mammifères ont été recensées dans les grottes parmi les 25 espèces existantes en Pays basque. Deux de ces espèces vivent dans ce milieu souterrain toute l'année : le rhinolophe euryale et le minioptère de Schreibers. Les associations assurent le comptage dans la cavité et leur protection par la préservation de leurs terrains de chasse situés en périphérie, ainsi que la valorisation du patrimoine biologique de ce milieu souterrain. Espèces menacées Ce sont de vrais insecticides naturels par leur capacité d'ingestion : 3 000 moustiques, papillons, coléoptères sont capturés en une nuit par l'une des variétés les plus petites en taille, la pipistrelle, qui ne pèse que de 3,5 à 8 g ! Le comptage a permis d'observer à Sare le rhinolophe euryale (8 à 18 g, comprenant 200 entités), le minioptère de Schreibers (9 à 16 g, une vingtaine de spécimens), le grand murin (28 à 40 g, un millier d'individus). Cependant les espèces sont menacées par les animaux prédateurs, les produits toxiques (pesticides), la modification de l'environnement (disparition des haies) alors qu'elles sont des régulateurs naturels des populations d'insectes et constituent un indicateur écologique. Programme : À 20 heures, rendez-vous était donné devant le portail des grottes de Sare, pour le début de cette Nuit de la chauve-souris. Elle a débuté par la présentation des chauves-souris, de leur biologie et des actions menées pour mieux les connaître et les protéger. Les chiroptères seront peut-être visibles cette nuit-là dans les environs et dans la grotte.... Site Internet : www.nuitdelachauvesouris.com .Sud-Ouest 26/07/2011
  6. Robert Pinet est un simple pêcheur venu soutenir l'initiative. Avec désolation, il constate l'assèchement du bras principal du Né. Du côté de La Grave, entre Gimeux et Merpins, l'affluent de la Charente peut être traversé à pied. En chaussures de ville, à certains endroits. Et la situation est pire pour les autres bras de la rivière, complètement à sec. «C'est terrible, ce qui est en train d'arriver», déplore ce passionné. Photo C. P. Pour éviter la tragédie, l'Association de pêche et de protection du milieu aquatique a organisé le 27 juillet une pêche de sauvetage, afin de rejeter tous les poissons dans la Charente. Depuis le 15 juin, les pêcheurs ont sauvé 900 kilos de poissons, dont 2 800 truitelles, sur près de 100 kilomètres de rivière. Ils pourraient continuer jusqu'à cet hiver, en cas d'été indien. Pour les aider, quatre jeunes en service civique volontaire se sont engagés pour six mois dans le sauvetage piscicole. Cédric Clouet, Laure Fontaine, Aurélia Doublet et Kevin Boyer viennent d'Angoulême. Ils ont entre 19 et 25 ans et sont détachés par le Conseil régional, leur employeur officiel. Après une formation d'une semaine, les quatre jeunes gens participent à la pêche électrique de sauvetage : du courant électrique est diffusé pour assommer les poissons et les faire remonter. Ils sont ensuite transportés dans des cuves oxygénées. Les jeunes, encadrés par l'association Unis-Cité, contribuent également à la veille pour l'Observatoire régional de l'environnement, en calculant le nombre de kilomètres de rivière à sec ou en rupture d'écoulement. Le service civique leur offre par ailleurs une « formation citoyenne » et un accompagnement professionnel. «En plus d'aider lors d'une situation d'urgence, je peux rencontrer plein de personnes, c'est agréable», témoigne Aurélia Doublet, volontaire de 20 ans, qui a commencé une formation en alternance en soins des animaux. Tous les ans, les pêcheurs doivent venir au secours des poissons. Mais, cette année, l'urgence était à son comble. « Nous avons dû commencer les opérations deux mois plus tôt. Il faut intervenir avant que tout soit complètement à sec », indique Alain Piot, vice-président de la Fédération de pêche et de protection du milieu aquatique. La pluie de ces derniers jours n'a pas suffi à améliorer la situation. Entre 30 et 60 millilitres sont tombés en dix jours. Pas de quoi remplir les nappes alluviales. « Or, quand la nappe se vide, la rivière aussi », précise Alain Piot. Une raison, selon lui, pour ne pas autoriser la reprise de l'irrigation. Au 1er juillet, 660 kilomètres de rivière étaient à sec ou en rupture d'écoulement sur la Charente. La situation a empiré depuis. Alain Piot estime à 900 kilomètres, désormais, l'étendue des dégâts. Le pêcheur est plutôt inquiet : «La situation exceptionnelle de cette année se reproduit de plus en plus souvent, avec une augmentation de la mortalité piscicole.» Une solution à long terme serait de faire évoluer les pratiques agricoles. Mais aussi de réaménager les cours d'eau pour favoriser la circulation de l'eau et éviter ainsi l'assèchement total de certaines portions. .Source : Sud-Ouest 28/07/2011
  7. Les marais rétais sont connus pour leurs oiseaux et leur salicorne mais moins pour leurs moutons. Pourtant, en se baladant du côté des Portes ou de Loix, impossible de ne pas remarquer le troupeau qui broute tranquillement, de mai à octobre. Toutes ces brebis appartiennent à Ludovic Pannetier, le seul éleveur de l'île de Ré. En 2005, il reprend le marais salant de son oncle et ramène avec lui une cinquantaine de bêtes. Aujourd'hui, il en a 250 sur toute l'île. La raison de cette augmentation est simple : ses animaux préservent la biodiversité. Des paysages autrefois laissés en friche reprennent vie grâce à l'activité de Ludovic Pannetier. « Les moutons nettoient les prairies en régulant la hauteur de l'herbe et en empêchant le développement des ronces », explique-t-il. La Ligue pour la Protection des oiseaux (LPO) et le Conservatoire du littoral ont donc encouragé l'éleveur à augmenter son cheptel. « Avant, la gestion hydraulique de ces parcelles posait problème. Elles étaient soumises aux marées et infestées de moustiques », se souvient Nicolas Gendre, ornithologue à la LPO. « Grâce à l'activité de Ludovic, le niveau d'herbe et d'eau est devenu favorable pour la faune. » Peu à peu, l'environnement s'est transformé, devenant un lieu adapté aux bergeronnettes et aux petits passereaux nicheurs. Avant l'arrivée des moutons, les canards évitaient ces parcelles ; depuis, ils sont revenus. Soucieux de l'environnement, Ludovic Pannetier a aussi pris soin de labelliser son élevage bio. photo hélène Guinhut .Sud-Ouest 28/07/2011
  8. L'animal a été recueilli par le centre régional de sauvegarde des espèces, Charente Nature. .photo Tadeusz Kluba Espèce protégée depuis 1976, la loutre a été longtemps la cible des pissiculteurs... Ce bébé a été découvert coincé dans un grillage... Dans le fond de la cage brillent deux petites billes noires. Les rayons du soleil laissent deviner derrière le grillage un museau allongé, encadré de moustaches argentées.... «Elle est très craintive, il ne faut surtout pas faire de bruit !», chuchote Danièle Frainnet, salariée de Charente Nature. «Elle», c'est le nouveau pensionnaire de ce centre régional de sauvegarde de la faune : un bébé loutre âgé d'à peine trois mois. «Accroupissez-vous, elle n'aime pas quand ses visiteurs sont debout», ordonne la jeune femme, un morceau de poisson à la main. Lorsqu'elle ouvre la cage pour y déposer son offrande, la petite boule de poil se recroqueville, apeurée. Avant de bondir comme un cobra pour rafler sa proie, qu'elle retourne mâchouiller à l'abri des regards. «Elle est très sauvage et c'est tant mieux : cela facilitera sa réinsertion dans le milieu naturel», explique Danièle Frainnet, avant de refermer l'enclos pour laisser la petite loutre grignoter tranquillement. L'animal est arrivé ici au début du mois, dans un sale état. «C'est un particulier de Port-d'Envaux en Charente-Maritime qui nous a contactés. Il avait découvert la loutre coincée dans un grillage», explique la sœur de Danièle Frainnet, Chantal, elle aussi salariée de Charente Nature. «Quand elle est arrivée chez nous, elle avait beaucoup de mal à se déplacer et souffrait de douleurs aux pattes arrières. Aujourd'hui elle va beaucoup mieux», se félicite cette amoureuse de la nature. Si ses pattes ne la font plus souffrir, la petite loutre n'est pourtant pas sortie d'affaire. «Elle est très jeune et sa maman n'a pas eu le temps de lui apprendre à pêcher. On ne peut pas la relâcher tout de suite dans la nature, elle ne survivrait pas longtemps.» Heureusement pour l'animal, une unité spéciale pour les bébés loutres existe au centre de Tonneins, dans le Lot-et-Garonne. Bassins, tunnels, toboggans, les jeunes animaux y apprennent à devenir autonomes avant d'être relâchés. « Une place va se libérer là-bas avant la fin du mois d'août. Elle devra y rester au moins un an, le temps d'apprendre à pêcher sa nourriture elle-même », précise Chantal Frainnet. D'ici là, les deux sœurs continueront de chouchouter l'animal, devenu la mascotte du centre. .Sud-Ouest 28/07/2011
  9. Deux sangliers de plus viennent d'être découverts morts ; ce qui porte pour l'instant le nombre de sangliers morts à 35... toujours sans explication... Photo Sud-Ouest Avec les deux nouveaux cadavres de marcassins découverts hier, la compagnie de sangliers qui vivait dans l'estuaire du Gouessant est quasiment décimée. Les deux premiers animaux ont été ramassés le 7 juillet à 600 mètres du littoral. Et depuis samedi dernier, c'est l'hécatombe. 35 des 38 ou 39 bêtes que compterait la compagnie ont été ramassées, gisant dans la vase et les algues vertes, de part et d'autre du Gouessant. Une rivière qui sépare les communes de Morieux et d'Hillion, dans la magnifique baie de Saint-Brieuc. «Il ne resterait plus qu'une laie et deux ou trois petits. On les trouvera sans doute demain», commentait-on hier, dépité, au pied de la plage de Saint-Maurice à Morieux. Deux agents des Eaux et Forêts transportaient à la hâte le cadavre d'un petit animal dans un sac jaune. Le ballet des tracteurs ramassant les algues vertes se déployait sous les yeux de nombreux badauds. .Cliquez ICI pour lire la totalité de l'article (Sud_Ouest)
  10. Encore un de ces chasseurs peu respectueux de l'environnement et de la faune sauvage... Quand ces irresponsables comprendront que sans les animaux... ou ceux-ci en nombre insuffisant, la planète est en danger... et donc l'homme. Donc en faisant passer l'animal avant l'homme... C'est l'homme qui est à terme protégé....
  11. L'assemblée générale de l'ADCTM se tiendra ce soir, sur fond d'inquiétude. Quelque 500 personnes étaient attendues vendredi soir, à Campagne, pour l'assemblée générale de l'Association départementale des chasses traditionnelles à la matole (ADCTM). Un rendez-vous annuel, qui, en présence des adhérents, des chasseurs landais et des élus locaux, sera consacré au bilan de l'année et à la situation de cette chasse aussi traditionnelle que polémique. «Nous sommes inquiets, car nous ne pouvons pas évoluer au niveau de la chasse au pinson», explique Jean-Jacques Lagüe, président del'ADCTM. «Nous avons des promesses du gouvernement et des élus, mais elles ne sont jamais tenues.» Si la chasse à la matole est un art de vivre pour certains, elle est perçue comme un crime pour d'autres. Et la réglementation concernant ce type de chasse devient de plus en plus sévère. photo archives Nicolas Le Lièvre Pour le président de l'Association départementale des chasses traditionnelles à la matole, la chasse aux pinsons devrait bénéficier d'une dérogation. En 2009 déjà, une directive est venue renforcer la directive européenne de 1979. Mesure qui interdit la chasse avec l'utilisation des pièges à trappe et des filets, et qui classe ortolans et pinsons dans les espèces protégées. Et pour Jean-Jacques Lagüe, la proposition de loi visant à reconnaître à l'animal sauvage le statut d'être vivant et sensible déposée en juin dernier est la goutte d'eau qui fait déborder le vase. «C'est aberrant. Les anti-chasse font passer l'homme après l'animal.» Ce soir, la chasse au pinson devrait être au centre des discussions. «Il y a des dérogations pour l'alouette. Je ne comprends pas pourquoi il n'y en a pas pour le pinson, alors que c'est une espèce en expansion », martèle-t-il. Particulièrement agacé de « l'attitude irrespectueuse » des anti-chasse, le dialogue entre les deux parties semble inenvisageable du côté de l'ADCTM. En novembre dernier, la Ligue de protection des oiseaux avait mené une opération coup de poing pour libérer les oiseaux pris dans les cages. Et si le pinson est un passereau protégé par la loi, l'association ne perd pas espoir. « Ce qui est sûr, c'est qu'on ne lâchera pas le morceau ! ». .Sud-Ouest 29/07/2011
  12. Ce ne sont pas moins de 25 000 personnes qui ont arpenté les sentiers de la réserve zoologique de Calviac l'an dernier et le début de saison 2011 enregistre une hausse de 20 % d'entrées. photo sandrine mercèdre Les lémurs à ventre roux séduisent et attendrissent par leur proximité avec le visiteur. Depuis son ouverture au public le 3 août 2008, la réserve propose aux visiteurs une approche différente de ce type de visite. «C'est un public sensibilisé à la biodiversité qui n'est pas nécessairement celui des parcs zoologiques», explique Emmanuel Mouton, fondateur du site. Pari gagné pour cet amoureux de la nature qui, à chaque endroit du site qui le permet, fait passer un message pour rappeler les bienfaits de l'harmonie de la relation entre l'homme et la nature avec des citations d'écrivains inscrites sur des pancartes. C'est avec un regard neuf sur la nature et une sensibilisation sur les enjeux de la biodiversité menacée que l'on repart. Le public a plaisir à découvrir des espèces qu'il ne connaissait pas et est souvent surpris de la proximité avec les animaux. L'action de la réserve au service de la protection et de la connaissance des espèces menacées a obtenu le label du Programme des Nations Unies pour l'environnement. La dernière naissance date du 28 juin : un fossa qui est isolé de la vue du public pour laisser évoluer la mère en toute tranquillité. De nouveaux pensionnaires sont aussi arrivés : des makis cattas (lémuriens) et des tamarins empereurs. Les sousliks, quant à eux, vont déménager de leur enclos pour permettre une extension de la zone méditerranéenne afin d'accueillir des damans des rochers ; une sorte de grosse marmotte génétiquement le «parent» le plus proche de l'éléphant. Emmanuel Mouton réfléchit également à un projet d'école de la nature qui se réaliserait en partenariat avec les institutionnels pour accueillir les scolaires au cœur du site. Pour célébrer son troisième anniversaire, la réserve convie les visiteurs à écouter un concert de piano-voix de Louis-Ronan Choisy, auteur de la musique du film de François Ozon, « Le Refuge », sorti en 2010. Les visiteurs-spectateurs, attendus dès 18 heures, pourront s'attabler, se restaurer et se laisser porter par la musique à partir de 20 h 30 et jusqu'à la nuit. Pratique : tarif (incluant visite et concert) : 15 euros. Réservations possibles à l'office de tourisme de Sarlat et sur www.fnac.com. La réserve est ouverte tous les jours à partir de 9 h 30. .Sud_Ouest 30/07/2011
  13. Un couple de loutres cendrées a élu domicile dans la zone asiatique du zoo. Ce sont les plus petits individus de leur espèce : elles ne pèsent pas plus de 3kg. Elles auront pour voisins un tigre de Sibérie à l'allure imposante, des panthères des neiges dont la nonchalance est trompeuse, ainsi qu'une famille de pandas. Entre autres pensionnaires de la zone qui a été réservée à l'Asie. Deux loutres cendrées ont fait depuis peu leur apparition au zoo d'Asson. Ce mâle et cette femelle représentent les plus petits individus de leur espèce, puisqu'ils ne mesurent qu'une quarantaine de centimètres de long, et pèsent près de 3 kilos. Presque huit fois moins que leurs lointaines cousines d'Amazonie. Soignés comme des coqs en pâte, les nouveaux venus disposent à Asson d'un habitat bien adapté à leurs besoins. Pas moins de 50 000 euros ont été investis pour aménager l'espace dans lequel elles évoluent. Un vaste enclos dans lequel on trouve plusieurs cascades ainsi qu'un grand bassin bénéficiant d'une filtration biologique. « Ce n'est pas une piscine », explique Luc Lorca, le codirecteur du zoo. « L'eau qu'il contient est colonisée par des micro-organismes. Un écosystème s'y met en place. On a là par exemple des crapauds accoucheurs. Une espèce dont les œufs sont incubés sur le dos du mâle sur lequel la femelle a pondu ». Ajoutez à cela une centaine de tonnes de rochers naturels dont chaque caillou a été scellé inviduellement, afin d'éviter que les loutres jouent avec, et amoncellent des pierres dans le bassin. Photo g. bonnaud Toujours pour soigner l'environnement de ces deux hôtes, de nombreuses plantes tropicales ont également été installées autour du plan d'eau. Qu'il s'agisse de néflier du Japon, de bambous, de palmier de Chine… Quant au menu, il relève du quatre étoiles. Les loutres, qui sont nourries trois fois par jour, mangent aussi bien du poisson que de la chair de poussin, des croquettes pour chat, ou encore une bouillie confectionnée à base de riz, de crevettes, de carottes et de pommes. « Ces animaux sont dotés de dents pointues qui leur permettent d'attraper les poissons, ainsi que de molaires puissantes. Elles leur servent à broyer la carapace des crabes. » Sans être rares, les loutres cendrées sont désormais considérées comme une espèce vulnérable par l'Union internationale pour la conservation de la nature. « En Inde par exemple, elles disparaissent complètement en raison du drainage des terres, de la pollution, et surtout de la déforestation qui touche une partie de l'Asie. » « Comme elles apprécient les mangroves et les zones où l'on trouve des eaux peu profondes, elles sont aussi victimes de l'exploitation systématique de certains secteurs transformés en rizières. » « Aujourd'hui, les loutres se reproduisent plutôt bien dans les zoos. Elles peuvent avoir des portées comprenant jusqu'à quatre petits », poursuit Luc Lorca. Avant d'expliquer que la femelle accueillie en Béarn arrive d'Angers, et le mâle d'un parc situé aux Pays-Bas. « Des précautions seront prises cet hiver pour maintenir hors gel l'eau qui constitue leur environnement naturel. » Le zoo est situé 6, chemin du Brouquet, à Asson. Il est ouvert chaque jour de 9 h à 19 h. Entrée 11 € ; enfants de 3 à 11 ans 7 €. Tél. 05 59 71 03 34 ; info@zoo-asson.org .Sud-Ouest
  14. Les Petites Truffes de chiens ont organisé le week-end dernier leur fête annuelle. Samedi et dimanche derniers, si les parents ont emmené leurs enfants faire un tour dans le parc ombragé du collège Saint-Joseph, ils n'en sont probablement pas ressortis indemnes... pour leur portefeuille (1). Soit ils auront sorti un chèque pour offrir un joli toutou à leur progéniture, soit ils auront refusé de céder aux charmes de ces bêtes à poils, et/ou au caprice de leur bout de chou. « Surtout qu'il s'agira de chiots de race, ils sont magnifiques », précise Nadine Arcis, présidente des Petites Truffes de chien, un groupement national d'éleveurs-sélectionneurs. « De plus, on éradique les tares. Par exemple, pour les cavaliers king-charles, cardiaques pour 80 % d'entre eux, un travail est fait sur plusieurs générations pour obtenir des améliorations de leur santé. Si un reproducteur a cette tare, il est aussitôt enlevé du protocole de reproduction. Nous, c'est de la qualité. » Nadine fait ici référence au marché canin qui flirte parfois avec l'immoral, ou tout du moins avec l'obsession de la rentabilité. «On ne vendra pas un jack russell qui aime les espaces et beaucoup bouger à une mamie qui reste chez elle. On pense aux envies des humains, mais aussi à l'épanouissement des animaux.» Cette année, les chats de race ne seront pas de la fête, ni de la vente, en raison du mauvais temps. Néanmoins, un juge venu de Tarbes se déplacera pour procéder aux confirmations de pedigree, au prix de 25 euros, « quand c'est 38 euros sur les salons », ajoute Nadine Arcis. Plus de vingt-cinq races ont ainsi été représentées lors de ce week-end sur cette "île de la tentation canine". Les enfants ont pu prendre des bébés Saint-Bernard dans les bras, les câliner quelques instants, et il sera peut-être alors trop tard pour les reposer.... «On n'a pas tous les jours un Saint-Bernard dans les bras», sourit Nadine, elle-même amoureuse et éleveuse de cette race. Pour s'approprier cette petite merveille, il en coûte 950 euros, «pas beaucoup plus cher que dans un salon, mais avec une tout autre qualité», insiste la présidente. Et pour un york, ce sera sensiblement le même prix. « C'est ce qu'on a le plus vendu l'an passé. Sans doute car ce chien peut se contenter de trois croquettes par jour… » Rien à voir avec les besoins d'un saint-bernard adulte, qui frôlera le quintal sur la balance. Là aussi, parents, ne pourront pas dire qu'ils n'étaient pas prévenus. Photo archives S. L. / Sud-Ouest (1) De 9 à 19 h samedi et dimanche. Une brocante d'accessoires pour chiens et des démonstrations de dressage sont prévues. Tarifs : 3 euros (pour les plus de 12 ans), 1 euro (pour les moins de 12 ans). .Sud-Ouest
  15. Depuis 1996, l'association recueille et soigne des animaux protégés dans son centre de sauvegarde,Charente Nature, installé à Torsac. Le 22 juillet 2011 était un grand jour pour deux faucons crécerelle et une buse. Après avoir passé un an dans le centre régional de sauvegarde de Charente nature, s'être refait une santé dans les volières, ils ont été relâchés pour retrouver leur vie sauvage. « Les faucons nous avaient été ramenés par des gardes-chasses. Ils les avaient saisis chez un particulier qui les avait en cage. À leur arrivée, ils étaient dans un piteux état, gras et avec les plumes cassées », explique Danielle Frainnet, l'« infirmière » du centre. Dans quelques jours, un busard Saint-Martin devrait, à son tour, retrouver la voie des airs. Lui a échappé de peu aux lames d'une moissonneuse. « Les plumes étaient coupées. Il a vraiment eu de la chance, c'est passé très près du coude. » PHOTO Tadeusz Kluba Dans les volières, des martinets noirs, des chouettes effraie, un hibou petit duc, attendent leur tour. Mais, l'« attraction » du moment du centre est une jeune loutre qui est sagement préservée des regards extérieurs. « Elle est encore fragile et on préfère la manipuler au minimum », indique Jean Bernaben, membre du conseil d'administration de Charente nature, en charge du suivi du centre. L'animal est arrivé le 6 juillet, « il nous a été amené par la LPO ( Ligue de protection des oiseaux). Il a été trouvé en Charente - Maritime, coincé dans des grillages », reprend Danielle Frainnet. La loutre, âgée de deux mois et demi ou trois mois est de la grosseur d'un chat. Mais elle n'est qu'en transit à Torsac. Dans les semaines à venir, elle prendra la direction de Tonneins (Lot-et-Garonne) où se trouve un centre d'accueil spécialisé. « C'est le seul en France », glisse Daniellle Frainnet. L'objectif étant, à terme, de la réintroduire son milieu naturel, bien évidemment. Soigner, remettre sur pattes puis relâcher. C'est le pain quotidien du centre de sauvegarde de Torsac, installé depuis 1996 dans une ancienne ferme réhabilitée, au milieu d'un écrin de verdure de 5 hectares. « C'est un terrain qui appartient à la société Sanitra-Fourrier, installé à Ma Campagne. Nous avons un bail emphytéotique de 50 ans. C'est pour nous une garantie de pérennité importante », souligne Jean Bernaben. Chaque année, le centre voit passer entre 500 et 600 animaux. Principalement des oiseaux, passereaux, rapaces diurnes et nocturnes… Mais aussi des mammifères terrestres, « beaucoup de jeunes hérissons, quelques écureuils aussi », indique Danielle Frainnet. Et des « invités » plus rares ou curieux, outre la loutre déjà citée, comme des chauves-souris ou des genettes. Petite précision, on ne soigne, ici, que les espèces protégées. Ne sont, par exemple, pas concernés, le gibier, « même si ça nous est arrivé d'accueillir un blaireau », confie Jean Bernaben, ni les corvidés (corbeaux, corneilles…) Bien souvent ce sont des jeunes, perdus, tombés du nid pour les oiseaux ou dérangés par l'activité humaine. La seconde cause est les chocs avec les véhicules, « c'est le cas avec les jeunes chouettes qui n'ont pas encore bien établi leur territoire et se retrouvent sur le bord de la route », informe Danielle Frainnet. Les animaux sont ramenés par des gardes- forestiers, des gardes-chasses ou de simples particuliers. « Souvent les gens croient que les oiseaux qui sont hors du nid sont abandonnés, mais, en fait, rien n'empêche les parents de continuer à les nourrir et protéger. » L'autre erreur est de penser que l'on pourra correctement s'occuper d'un animal sauvage en le ramenant chez soi. « Souvent, la nourriture n'est pas adaptée et on nous amène les animaux dans un sale état et parfois trop tard », déplore-t-elle. Le meilleur réflexe est bien de contacter le centre. Et pourquoi pas de devenir bénévole pour donner un coup de main. Justement, le centre en cherche. Contact : 05 45 2481 39 Source : .Sud-Ouest 23 juillet 2011
  16. Au Népal, une association se bat pour améliorer les conditions de vie des chiens errants. La Fondation 30 Millions d’Amis, qui aide de nombreux organismes de protection animale dans le monde, soutient son programme de stérilisation. Dans la capitale népalaise, on dénombre plus de 20 000 chiens errants. Livrés à eux-mêmes, certains sont dans un état de grande détresse dans ce pays parmi les plus pauvres du continent asiatique. Pour diminuer ce nombre, la municipalité de Katmandou a brutalement lancé, il y a quelques années, une opération d’empoisonnement à la strychnine. Une méthode révoltante et extrêmement douloureuse pour les animaux, qui incite Jan Salter à créer, en 2004, le KAT* pour « Katmandou Animal Treatment ». .Photo 30 millions d'amis Une clinique opérationnelle 24h/24 Cette Anglaise installée au Népal a appliqué les méthodes d’Help in Suffering, un grand centre de protection animale situé à Jaipur, en Inde, où elle a travaillé dans les années 1970. Au programme : vaccination, stérilisation des femelles et traitements antiparasitaires pour réduire les risques sanitaires inhérents à la surpopulation des chiens errants. « Chaque année, 200 personnes meurent de la rage, dont de nombreux enfants. Et 16 000 personnes sont soignées pour des morsures de chiens » explique Gregg Tully, l’un des bénévoles du Katmandou Animal Treatment. Un véritable problème de santé publique qui pousse les autorités népalaises à accepter le programme proposé par le KAT, baptisé Animal Birth Control. Les équipes du KAT battent quotidiennement le pavé de Katmandou : « Nous recueillons des animaux blessés par des collisions avec des voitures, souffrant de faim, d’infections, de problèmes de peau ou de tumeurs » poursuit Gregg Tully. Les animaux sont conduits au refuge qui dispose d’une clinique opérationnelle 24h sur 24. Remis sur pied, vaccinés et stérilisés, ils sont relâchés à l’endroit où ils ont été trouvés. A quelques exceptions près : « Les animaux moins débrouillards et plus dépendants des humains pour se nourrir restent alors au centre », précise Gregg Tully. 40 % de femelles stérilisées D’autres sont proposés à l’adoption. Une initiative encore inimaginable il y a quelques années, explique Gregg : « Au Népal, les chiens qui vivent dans les rues ne sont pas comme des animaux de compagnie. Rien n’est fait pour prendre soin d’eux. » Pourtant, des changements notables sont peu à peu observés, facilités par la politique menée par le KAT : pour les chiens comme pour les chats, le centre finance les soins vétérinaires pendant un an. Aujourd’hui, ce travail porte ces fruits : « Le nombre de chiens errants a été réduit d’un tiers, indique Gregg. Et on compte désormais 40 % de femelles stérilisées par le KAT, contre 15 % il y a quelques années. » Le nombre d’animaux malades a quant à lui diminué de moitié. Des résultats très encourageants. L’objectif pour 2015 : que 75 % des chiennes errantes soient stérilisées. La Fondation 30 Millions d’Amis, qui intervient déjà dans ce pays aux côtés de l’association Animal Nepal, a décidé d’allouer une aide financière de 2 000 euros au KAT, dans le cadre de l’opération Animal Birth Control. En savoir plus sur le site du Katmandou Animal Treatment Source 30 millions d'amis
  17. Au Pérou, une association se bat pour préserver l’incroyable écosystème amazonien. Une aide financière de 3 400 euros allouée par la Fondation 30 Millions d’Amis sera utilisée pour la sauvegarde des singes laineux, une espèce particulièrement menacée. .Photo 30 millions d'amis Fondée en 1997 par Hélène Collongues, l’association Ikamapérou - qui signifie « la forêt là-bas » en langue Jivaro - agit pour la protection de la faune de l’Amazonie péruvienne et la préservation de son habitat. La tâche est rude : dans cette région, de nombreuses espèces sont menacées, à l’instar du singe laineux, du titi des Andes ou de l’atèle, autrement appelé singe araignée. A l’origine de ce triste constat, la destruction des habitats naturels, le trafic d’animaux, et le peu de moyens dont disposent les autorités et réserves naturelles locales pour protéger les primates. Un millier d’espèces endémiques Ikamapérou a donc fondé deux sanctuaires pour sauvegarder ce patrimoine, considéré comme l’un des plus riches au monde. L’un est situé dans la vallée de l’Alto Mayo, tandis que l’autre est implanté dans le bassin de l’Amazone : « Ce sont des zones où vivent plus d’un millier d’espèces endémiques (que l’on ne trouve que dans cette zone, NDLR), précise Hélène Collongues. Et où le taux de déforestation est l’un des plus élevés du pays. » Une situation d’extrême urgence qui a conduit la Française à aménager ces centres de sauvegarde où vivent des primates, mais aussi des reptiles menacés de disparition. Les deux sites accueillent également des spécimens victimes de trafic, pour les réintroduire en milieu naturel. Un véritable fléau entretenu par des pratiques locales : « Les singes laineux sont considérés comme du gibier et sont chassés à très grande échelle, explique Hélène Collongues. Et les particuliers adoptent des singes comme des animaux de compagnie. » Des pratiques encouragées par une impunité quasi totale, bien qu’elles soient illégales. Changer les mentalités locales Des actions sont donc menées auprès de la population par l’association. « Nous diffusons des messages à la radio, ainsi que des spots télévisés où nous avertissons le grand public des dangers de la consommation de la viande de brousse et la détention d’animaux sauvages, notamment pour la santé » précise Hélène Collongues. Une trentaine de familles péruviennes reçoivent une formation pour apprendre l’artisanat si elles s’engagent à ne plus chasser d’espèces menacées. Et les autorités ne sont pas oubliées : l’association leur fournit du matériel - des cages et des gants par exemple - pour qu’elles puissent confisquer en toute sécurité les animaux victimes du trafic. L’aide financière de la Fondation 30 Millions d’Amis sera utilisée pour construire de nouveaux enclos pour les singes laineux. « Les jeunes mâles ne peuvent vivre ensemble et ont besoin d’un territoire bien à eux », précise la présidente d’Ikamapérou. En savoir plus sur le site d’Ikamapérou .Source 30 millions d'amis 26/07/2011
  18. 22 chiens dont 3 chiots, élevés dans des conditions inadaptées, ont été abandonnés volontairement par leurs propriétaires et confiés à la Fondation 30 Millions d’Amis. Une plainte pour mauvais traitements a été déposée, et c’est à présent au TGI de Moulins (03) de statuer sur cette affaire. .Photo 30 millions d'amis Un élevage illégal de chiens a été découvert à Thiel-sur-Acolin (03) par la DDPP* de l’Allier et les gendarmes de Dompierre-sur-Besbre, en avril 2011. Bien que l’enquête soit toujours en cours, les propriétaires ont accepté de confier les animaux à la Fondation 30 Millions d’Amis. Le couple, des retraités qui souhaitaient « arrondir leurs fins de mois », faisait reproduire illégalement les animaux. Maladies parasitaires et cutanées Enfermés pour certains dans des box, les animaux vivaient au milieu des déjections. Au total, 19 chiens adultes, dont de nombreuses femelles pleines, et 3 chiots étaient détenus dans des conditions inadaptées à leurs besoins. En bonne santé, ils souffrent tout de même de diverses maladies parasitaires et cutanées. Ils ont été placés au refuge de Villevaudé en Seine-et-Marne, où ils sont désormais proposés à l’adoption. Le couple devra répondre des « mauvais traitements liés aux conditions de vie » devant le tribunal de grande instance de Moulins (03) à une date qui sera fixée ultérieurement. La Fondation 30 Millions d’Amis, qui s’est constituée partie civile, vous tiendra informé des suites de cette affaire. Pour plus de renseignements, contacter le refuge de Villevaudé au 01 60 26 20 48 *Direction départementale de la Protection des Populations .Source 30 millions d'amis 27/07/2011
  19. Un élevage clandestin a été démantelé par les autorités vétérinaires dans la Meuse. L’ensemble des chiens a été confié à la Fondation 30 Millions d’Amis qui, dans l’attente de leur adoption, prend à sa charge l’ensemble des soins nécessaires. Un contrôle de la DDPP* de la Meuse - prévenue par des promeneurs - a permis la découverte d’un élevage illégal de bichons à Arrancy-sur-Crusnes (55). Pour une prise en charge sanitaire rapide des animaux, la présidente du refuge de l’Etang Bleu - situé à quelques kilomètres des lieux et soutenu par la Fondation 30 Millions d’Amis - a convaincu la propriétaire de signer un acte volontaire d’abandon : 36 bichons, dont de très nombreuses femelles pleines, sont pris en charge et soumis à un premier bilan vétérinaire. .Photo 30 millions d'amis Des séquelles physiques et psychologiques L’enquête révèlera que les chiens étaient enfermés en permanence dans une écurie obscure. Ils souffrent d’abcès, d’otites purulentes et de diverses maladies parasitaires et cutanées. Ni vaccinés ni tatoués, ils souffrent également de malnutrition. « Mais ils sont aussi très atteints psychologiquement, témoigne Martine Schmitt, présidente du refuge de l’Etang Bleu. Certains n’ont jamais été en contact avec l’homme et sont donc particulièrement craintifs, voire un peu sauvages ! » Jusqu’à 2 ans de prison et 30 000 euros d’amende Les chiens sont soignés avant de partir en famille d’accueil, les frais étant entièrement pris en charge par la Fondation 30 Millions d’Amis. « Quand ils seront à nouveau éduqués et sociabilisés, ils seront proposés à l’adoption », indique Martine Schmitt. Si l’ensemble des animaux est parfaitement habitué à la présence de chats et de chevaux, ils n’ont, en revanche, « jamais vu d’enfants » tient à ajouter Madame Schmitt. La propriétaire sera prochainement jugée par le tribunal de grande instance de Verdun (55) - à une date qui n'a pas encore fixée - pour mauvais traitements commis sur des animaux domestiques et élevage illégal. Elle risque 2 ans de prison et 30 000 euros d’amende selon le code pénal. Plus de renseignements : le site du refuge de l’Etang Bleu ou 06 86 50 70 18 *Direction Départementale de la Protection des Population Source : .30 millions d'amis 28/07/2011
  20. Une autre photo attendrissante, qui ne doit pas nous faire oublier l'enfer dans lequel se trouvent de nombreux autres animaux dans les zones évacuées... Plus de 4 mois après il y en a encore qui survivent et qui meurent... de faim ! Signez les pétitions pour contribuer à faire bouger les choses... Merci ! Skippy et Réo... Photo JEARS / Annabel Radcliffe Ici on voit Skippy en train d'embrasser Pauline, une bénévole... Tandis que Réo doit probablement se demander quand il pourra le faire à son tour... N'empêche que cette image de "bonheur" réchauffe le coeur... Ces trois photos, celle-ci et les deux précédentes, proviennent de l'abri provisoire de Inawashiro, dans l'une des zones sinistrées, et ont été prises par Annabel Radcliffe, une autre bénévole, lors de l'arrivée de nouveaux rescapés dans l'attente de leur transfert vers des refuges mieux adaptés à Niigata ou Tokushima. Je sais, nous savons tous, qu'il est impossible de sauver tous les animaux et qu'une vie de sauvée est déjà une victoire. Davantage de victoires pourraient être gagnées avec un peu plus d'aide de la part du gourvernement pour donner des moyens humains aux associations en place, assouplir les conditions d'accès aux zones interdites pour les bénévoles (correctement protégés bien sûr)... Et aussi, il ne faut pas le cacher, une aide financière pour pouvoir aider les animaux et forcément leurs propriétaires.... De grâce signez les pétitions... Merci encore pour eux !
  21. Photo JEARS / Annabel Radcliffe Pouvez-vous résister à ce petit minois de minou? (moi non) Ce minou sera bientôt à la recherche d'une famille d'accueil près de l'un de nos abris. Si vous vivez dans la préfecture de Shiga ( www.JapanCatNet.com ) ou Tokushima ( www.heart-tokushima.com ). Peut_être pourriez-vous envisager de devenir famille d'accueil pour ce gentil et beau chaton, ou l'un des animaux de compagnie rescapés...? Si vous êtes prêt à les aider envoyez un e-mail à foster@JEARS.org afin que nous puissions commencer le processus de demande d'accueil provisoire ou définitif selon votre choix...
  22. Des nouvelles un peu plus réjouissantes : Photo JEARS / Annabel Radcliffe Ces petits loulous sont dans un abri provisoire en attendant d'être transférés dans l'un des refuges de JEARS à Niigata ou Tohushima... Comment sont-ils arrivés là ? Il semble que cette question soit sans réponse si j'en crois les commentaires : [color:add9=#000]Maintenant, comment est-ce arrivé?
  23. Oui, je te comprends... On peut dire que nous avons le même sentiment... Et si j'ai mis également ces pétitions ici, c'est dans l'espoir qu'elles soient vues par davantage de monde, car c'est le sujet le plus lu du forum... Pourrais-tu, sauf si tu l'as déjà fait, mettre ses deux pétitions sur d'autres forums. Je m'occupe d'Apart'Chat... Merci !
  24. Des pluies torrentielles touchent les préfectures de Niigata et de Fukushima Dans le nord du Japon, les pluies diluviennes qui s'abattent sur les préfectures de Niigata et de Fukushima ont causé des inondations et augmenté les risques de glissement de terrain. La mort d'un homme a été confirmée et 5 personnes sont portées manquantes dans ces deux préfectures. Depuis mercredi, des précipitations de plus de 650 millimètres ont été enregistrées dans certaines régions de Fukushima et pas moins de 600 à Niigata. Les autorités ont émis des ordres ou des conseils d'évacuation, concernant quelque 390 mille personnes dans 22 municipalités. L'agence de la Météorologie appelle la population à rester vigilante face aux risques d'inondations, de glissements de terrain, d'orages et de vents violents. .NHK 30/07/2011
  25. L'Unicef lance un appel à l'aide pour les enfants de Somalie L'Unicef, le Fonds des Nations unies pour l'enfance, appelle la communauté internationale à venir en aide aux enfants, souffrant de la grave famine qui touche le sud de la Somalie. On estime à 1 million 250 mille le nombre des enfants qui ont un besoin urgent d'aide dans ce pays de l'Afrique de l'Est. Dans une déclaration publiée vendredi, Rozanne Chorlton, la représentante de l'Unicef pour la Somalie, souligne que les enfants dans le sud de la Somalie doivent être aidés d'urgence, qu'un trop grand nombre sont déjà morts et que beaucoup courent de grands risques si une action n'est pas lancée sans plus tarder. L'ONU rappelle que, depuis le mois de mars, l'Afrique de l'Est est touchée par la sécheresse la plus grave depuis plusieurs décennies. Des dizaines de milliers de personnes ont péri de malnutrition et près de 13 millions ont besoin d'aide. Les Nations unies ont lancé un appel à des secours d'urgence d'environ 2,5 milliards de dollars, mais la moitié seulement a été obtenue jusqu'ici. NHK 30/07/2011
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