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Nanou49

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Tout ce qui a été posté par Nanou49

  1. Merci je vais donc être patiente :zen: :zen: j’y arriverai il n’y a pas de raison
  2. Téquibou ma donné un site ou l’on explique ce que l’éleveur doit nous remettre (Copie du site) Un certificat de vente devenu obligatoire (sauf s'il y a facture) doit comporter : les coordonnées du vendeur et de l'acheteur - les caractéristiques du chiot ( sexe, couleur, race, ..) - les origines du chiot - la liste des papiers remis - la destination de l'animal (compagnie - reproduction - ...) - l'absence de signe clinique de maladie - la date de vente - N° d'inscription du dossier des chiots à la SCC - Montant du prix de vente et conditions de paiement - Garanties accordées et montant du remboursement en cas de vices cachés - Adresse des vétérinaires du vendeur et de l'acheteur LOF Les "papiers" du chiot sont en fait le Certificat d'inscription au Livre des Origines Françaises, de couleur rose que vous recevrez lorsqu'il aura 3 mois environ, il ne s'agit ni de la carte de tatouage, ni du carnet de santé ni d'un bout de papier griffonné !!! Par contre, vous n'aurez pas ce document au moment de la vente. En effet, l'éleveur n'envoie les papiers d'inscription à la Société Centrale Canine qu'après le tatouage des bébés, il faut donc quelques semaines avant de recevoir le certificat LOF. Mais sur le certificat de vente, vous devez avoir un numéro de dossier d'inscription, donc en cas de doute ou de retard, vous pouvez appeler la SCC ( 01.49.37.54.54) qui vous renseignera sur l'état d'avancement du dossier. L’éleveur ma remis une facture mais il n’y a pas le numéro d’inscription au lof, j’essaye en vain d’appeler la SCC il sont toujours en communication.
  3. Bonjour, Je voudrais faire confirmé Alcane mais Quand j’ai acheté Alcane l’éleveur ma fourni un contrat de vente et ma dit que je recevrai le lof plus tard, je viens de recevoir la carte d’identification de la SCC, mais j’ai vu dans différent post qu’il fallait un certificat de naissance pour faire confirmé le chiot, à ce jour je n’est toujours rien reçu est ce normal ? Le lof on le reçoit au bout de combien de temps ? Petite précision j’ai acheté Alcane le 19 janvier 2006 ça fait deux mois Que faut il faire pour avoir ces documents ? Je commence à devenir suspicieuse envers l’éleveur pourquoi ne ma t’il pas remis ce certificat de naissance ? J’aurai besoin de quelques conseils
  4. Le chien est être vivant, certes adapté à notre mode de vie, mais également porteur de besoins propres et de certaines exigences ! Et ce n'est qu'en respectant celles-ci, en les prenant en compte, qu'une authentique amitié entre l'enfant et le chien pourra s'élaborer sur des bases saines et donner tout le profit psychoaffectif qu'on peut en attendre !"
  5. HISTOIRE D'UN CHIEN Toute la presse a répondu dernièrement à l'appel de la Société protectrice des animaux, qui veut fonder un asile pour les bêtes. Ce serait là une espèce d'hospice, et un refuge où les pauvres chiens sans maître trouveraient la nourriture et l'abri, au lieu du noeud coulant que leur réserve l'administration. Les journaux, à ce propos, ont rappelé la fidélité des bêtes, leur intelligence, leur dévouement. Ils ont cité des traits de sagacité étonnante. Je veux à mon tour raconter l'histoire d'un chien perdu, mais d'un chien du commun, laid, d'allure vulgaire. Cette histoire, toute simple, est vraie de tout point. Dans la banlieue de Paris, sur les bords de la Seine, vit une famille de bourgeois riches. Ils ont un hôtel élégant, grand jardin, chevaux et voitures, et de nombreux domestiques. Le cocher s'appelle François. C'est un gars de la campagne, à moitié dégourdi seulement, un peu lourdaud, épais, obtus, et bon garçon. Comme il rentrait un soir chez ses maîtres, un chien se mit à le suivre. Il n'y prit point garde d'abord ; mais l'obstination de la bête à marcher sur ses talons le fit bientôt se retourner. Il regarda s'il connaissait ce chien : mais non, il ne l'avait jamais vu. C'était une chienne d'une maigreur affreuse, avec de grandes mamelles pendantes. Elle trottinait derrière l'homme d'un air lamentable et affamé, la queue serrée entre les pattes, les oreilles collées contre la tête ; et, quand il s'arrêtait, elle s'arrêtait, repartant quand il repartait. Il voulut chasser ce squelette de bête ; et cria : "Va-t'en, veux-tu te sauver, houe ! houe !" Elle s'éloigna de deux ou trois pas, et se planta sur son derrière, attendant ; puis, dès que le cocher se remit en marche, elle repartit derrière lui. Il fit semblant de ramasser des pierres. L'animal s'enfuit un peu plus loin, avec un grand ballottement de ses mamelles flasques ; mais il revint aussitôt que l'homme eut le dos tourné. Alors le cocher François l'appela. La chienne s'approcha timidement, l'échine pliée comme un cercle et toutes les côtes soulevant la peau. Il caressa ces os saillants, et, pris de pitié pour cette misère de bête : "Allons, viens !" dit-il. Aussitôt elle remua la queue, se sentant accueillie, adoptée, et au lieu de rester dans les mollets du maître qu'elle avait choisi, elle commença à courir devant lui. Il l'installa sur la paille de l'écurie, puis courut à la cuisine chercher du pain. Quand elle eut mangé tout son soûl, elle s'endormit, couchée en rond. Le lendemain, les maîtres, avertis par le cocher, permirent qu'il gardât l'animal. Cependant la présence de cette bête dans la maison devint bientôt une cause d'ennuis incessants. Elle était assurément la plus dévergondée des chiennes ; et, d'un bout à l'autre de l'année, les prétendants à quatre pattes firent le siège de sa demeure. Ils rôdaient sur la route, devant la porte, se faufilaient par toutes les issues de la haie vive qui clôturait le jardin, dévastaient les plates-bandes, arrachant les fleurs, faisant des trous dans les corbeilles, exaspéraient le jardinier. Jour et nuit c'était un concert de hurlements et des batailles sans fin. Les maîtres trouvaient jusque dans l'escalier, tantôt de petits roquets à queue empanachée, des chiens jaunes, rôdeurs de bornes, vivant d'ordures, tantôt des terre-neuve énormes à poils frisés, des caniches moustachus, tous les échantillons de la race aboyante. La chienne, que François avait, sans malice, appelée "Cocote" (et elle méritait son nom), recevait tous ces hommages ; et elle produisait, avec une fécondité vraiment phénoménale, des multitudes de petits chiens de toutes les espèces connues. Tous les quatre mois, le cocher allait à la rivière noyer une demi-douzaine d'êtres grouillants, qui piaulaient déjà et ressemblaient à des crapauds. Cocote était maintenant devenue énorme. Autant elle avait été maigre, autant elle était obèse, avec un ventre gonflé sous lequel traînaient toujours ses longues mamelles ballottantes. Elle avait engraissé tout d'un coup, en quelques jours ; et elle marchait avec peine, les pattes écartées à la façon des gens trop gros, la gueule ouverte pour souffler, et exténuée aussitôt qu'elle s'était promenée dix minutes. Le cocher François disait d'elle : "C'est une bonne bête pour sûr, mais qu'est, ma foi, bien déréglée." Le jardinier se plaignait tous les jours. La cuisinière en fit autant. Elle trouvait des chiens sous son fourneau, sous les chaises, dans la soupente au charbon ; et ils volaient tout ce qui traînait. Le maître ordonna à François de se débarrasser de Cocote. Le domestique désespéré pleura, mais il dut obéir. Il offrit la chienne à tout le monde. Personne n'en voulut. Il essaya de la perdre ; elle revint. Un voyageur de commerce la mit dans le coffre de sa voiture pour la lâcher dans une ville éloignée. La chienne retrouva sa route, et, malgré sa bedaine tombante, sans manger sans doute, en un jour, elle fut de retour ; et elle rentra tranquillement se coucher dans son écurie. Cette fois, le maître se fâcha et, ayant appelé François, lui dit avec colère : "Si vous ne me flanquez pas cette bête à l'eau avant demain, je vous fiche à la porte, entendez-vous !" L'homme fut atterré, il adorait Cocote. Il remonta dans sa chambre, s'assit sur son lit, puis fit sa malle pour partir. Mais il réfléchit qu'une place nouvelle serait impossible à trouver, car personne ne voudrait de lui tant qu'il traînerait sur ses talons cette chienne, toujours suivie d'un régiment de chiens. Donc il fallait s'en défaire. Il ne pouvait la placer ; il ne pouvait la perdre ; la rivière était le seul moyen. Alors il pensa à donner vingt sous à quelqu'un pour accomplir l'exécution. Mais, à cette pensée, un chagrin aigu lui vint ; il réfléchit qu'un autre peut-être la ferait souffrir, la battrait en route, lui rendrait durs les derniers moments, lui laisserait comprendre qu'on voulait la tuer, car elle comprenait tout, cette bête ! Et il se décida à faire la chose lui-même. Il ne dormit pas. Dès l'aube, il fut debout, et, s'emparant d'une forte corde, il alla chercher Cocote. Elle se leva lentement, se secoua, étira ses membres et vint fêter son maître. Alors il s'assit et, la prenant sur ses genoux, la caressa longtemps, l'embrassa sur le museau ; puis, se levant, il dit : "Viens." Et elle remua la queue, comprenant qu'on allait sortir. Ils gagnèrent la berge, et il choisit une place où l'eau semblait profonde. Alors il noua un bout de la corde au cou de la bête, et, ramassant une grosse pierre, l'attacha à l'autre bout. Après quoi, il saisit la chienne en ses bras et la baisa furieusement, comme une personne qu'on va quitter. Il la tenait serrée sur sa poitrine, la berçait ; et elle se laissait faire, en grognant de satisfaction. Dix fois, il la voulut jeter ; chaque fois, la force lui manqua. Mais tout à coup il se décida et, de toute sa force, il la lança le plus loin possible. Elle flotta une seconde, se débattant, essayant de nager comme lorsqu'on la baignait : mais la pierre l'entraînait au fond ; elle eut un regard d'angoisse ; et sa tête disparut la première, pendant que ses pattes de derrière, sortant de l'eau, s'agitaient encore. Puis quelques bulles d'air apparurent à la surface. François croyait voir sa chienne se tordant dans la vase du fleuve. Il faillit devenir idiot, et pendant un mois il fut malade, hanté par le souvenir de Cocote qu'il entendait aboyer sans cesse. Il l'avait noyée vers la fin d'avril. Il ne reprit sa tranquillité que longtemps après. Enfin il n'y pensait plus guère, quand, vers le milieu de juin, ses maîtres partirent et l'emmenèrent aux environs de Rouen où ils allaient passer l'été. Un matin, comme il faisait très chaud, François sortit pour se baigner dans la Seine. Au moment d'entrer dans l'eau, une odeur nauséabonde le fit regarder autour de lui, et il aperçut dans les roseaux une charogne, un corps de chien en putréfaction. Il s'approcha, surpris par la couleur du poil. Une corde pourrie serrait encore son cou. C'était sa chienne, Cocote, portée par le courant à soixante lieues de Paris. Il restait debout avec de l'eau jusqu'aux genoux, effaré, bouleverse comme devant un miracle, en face d'une apparition vengeresse. Il se rhabilla tout de suite et, pris d'une peur folle, se mit à marcher au hasard devant lui, la tête perdue. Il erra tout le jour ainsi et, le soir venu, demanda sa route, qu'il ne retrouvait pas. Jamais depuis il n'a osé toucher un chien. Cette histoire n'a qu'un mérite : elle est vraie, entièrement vraie. Sans la rencontre étrange du chien mort, au bout de six semaines et à soixante lieues plus loin, je ne l'eusse point remarquée, sans doute ; car combien en voit-on, tous les jours, de ces pauvres bêtes sans abri ! Si le projet de la Société protectrice des animaux réussit, nous rencontrerons peut-être moins de ces cadavres à quatre pattes échoués sur les berges du fleuve. Guy De MAUPASSANT 2 juin 1881
  6. :applau: Ca vient du fond du
  7. Nanou49

    Non au bois illégal

    Aucun c’est pour les animaux sauvages et la nature et surtout pour préserver le peu de forêt qu’il nous reste pour l’avenir nos enfants.
  8. Je ne connaissais pas ce genre de permis, mais pourquoi pas si ça peu rendre la cohabitation plus agréable.
  9. Moi aussi je prend ces croquettes apparemment elle convienne à mon boubou, en ce qui concerne la stérilisation tu peu le faire des les première chaleur, ton véto tant dira plus la semaine prochaine. A +
  10. Bornéo : un immense projet de déforestation qui fait scandale Le gouvernement indonésien veut sacrifier une partie de la forêt équatoriale de Bornéo pour y créer une immense plantation de palmiers à huile. Ce projet révolte les défenseurs de l’environnement qui affirment que le projet a pour but non avoué de fournir du bois à la Chine. La forêt de Bornéo, la plus grande d’Asie du Sud-Est, abrite de nombreuses espèces animales et végétales rares qui souffriront obligatoirement de ces déforestations. Elle héberge notamment les derniers orangs-outans de la planète. La forme de la zone qui devrait subir la déforestation (financée par le marché chinois) pose certaines questions. La plantation, longue de 2.000 kilomètres et large de 5, s’étendra sur la presque totalité de la frontière malaisienne et devrait toucher trois parcs nationaux, en théorie protégés. Faisal Basri, un éminent économiste indonésien, accuse le ministère de l’Economie d’avoir proposé le bois de Bornéo en échange d’investissements chinois dans des projets d’infrastructures en Indonésie. "Je pense que l’objectif final du projet est l’exploitation de grumes, oui, donner du bois gratuitement (à la Chine) en échange de développement d’infrastructures", assure M. Basri, qui ajoute que la création d’une plantation dans cette zone montagneuse "est ridicule sur le plan de l’environnement, mais aussi sur le plan technique". Une étude préliminaire a conclu que seulement 10% de la surface était adaptée à la récolte de l’huile de palme, qui requiert des étendues planes, mais le ministère de l’Economie réplique que la plantation géante apportera un investissement d’environ huit milliards de dollars à une région reculée, tout en créant près d’un demi-million d’emplois. Les forêts indonésiennes, les plus grandes du monde après celles du Brésil, sont pillées par une véritable mafia du bois. L’archipel perd chaque année 2 à 3 millions d’hectares boisés, selon des ONG. Les spécialistes estiment que les étendues arborées auront disparu de Bornéo dans vingt ans, comme elles ont quasiment disparu de Java et de Sumatra. Trois nouvelles espèces vivantes sont découvertes par mois en moyenne à Bornéo. Ce poumon vert de la planète est l’un des écosystèmes les plus riches de la planète, selon le Fonds mondial pour la nature (WWF). Il explique que la région concernée contient 14 des 23 départs de rivières de Bornéo. Déboiser ces endroits risque donc de polluer loin dans l’île. Vidéo de WWF Non au bois illégal http://www.wwf.fr/jedisnonauboisillegal/
  11. Je m’appelle Chipie ou Tchoupie selon qui me demande. Je suis un croisée Yorkshire. Je suis née en juillet 2000. J’ai été sevrée par ma mère puis un jour une famille m’a trouvé jolie et m’a adoptée. J’avais alors environ 3 mois. Ce jour là, j’aurais mieux fait de montrer mes petits crocs ! En effet cette famille avait 4 enfants et oh la la quelle horreur ! Lorsque ces enfants m’ont vu, ils m’ont très mal regardé car pour eux, je ressemblais plutôt a un jouet qu’à un petit être vivant qui avait besoin d’amour et de tendresse. Le cauchemar a alors commencé : Ces vilains enfants chacun leur tour me prenaient, m’enfermaient dans un carton et me jetaient du haut du 1er étage de leur chambre. Ou alors ils me prenaient pour une balle et me lançaient en l’air et me laissaient retomber par terre Et lorsqu’ils n’avaient pas envie de me voir comme un jouet, ils me donnaient des coups de pieds, me tiraient les oreilles ou la queue… Cela a durer 3 mois environ. Il y avait une gentille voisine qui m’entendait pleurer et qui a chaque fois criait sur ces enfants d’arrêter de me faire mal, de me laisser tranquille. Puis un jour cette dame en a eu vraiment assez et s’est décidée à faire quelque chose pour moi. Elle est allée chez ses voisins, et leur a proposé de m’acheter. Ils ont discuté le prix puis la libération est venue, la souffrance s’est arrêtée. La dame qui m’a acheté à des enfants et parmi ses enfants, une fille (ma maîtresse) dont le petit garçon est allergique aux poils d’animaux. Moi, je n’ai pas vraiment des poils mais des cheveux, je ne mue pas. Ma maîtresse est donc allée chez sa mère et a craqué pour moi, elle m’a demandé en expliquant qu’avec moi son petit garçon ne serait pas malade. Après une longue discussion, la dame qui m’a sauvé m’a laissée partir avec ma nouvelle maîtresse. Au début j’avais très peur et je pleuré beaucoup, puis les jours passant, j’ai appris à les connaître, a les aimer et j’ai découvert que les enfants, n’étaient pas tous méchants, bien au contraire. Depuis ce jour, le 21 février 2001, j’ai ma famille que j’aime, qui m’aime et ou je vie heureuse. Nous sommes en 2006 et il y a encore des parents qui ne savent pas inculquer le respect des animaux à leurs enfants.
  12. Je te donne les conseils de mon vétérinaire car j’avais eu le même problème avec un de mes chiens. Pour le caca : Il faut que tu le surveille constamment pour ne pas qu’il mange ces excrément et des qu’il fait caca il faut les enlever. Pour le pipi : Le soir une fois qu’il à mangé et bu tu lui enlève la gamelle d’eau pour qu’il comprenne qu’il ne doit plus boire la nuit et de ce fait il ferra beaucoup moins pipi. J’insiste sur la nuit seulement. Je sais c’est dur de le laissé sans eau, mais au bout de quelque temps tu verra ça ira mieux et tu pourra lui remettre la gamelle. Juste une question ton chiot tu la acheté dans un élevage ?
  13. Nanou49

    MARCHAND DE CHIENS !

    Bonjour, Malheureusement comme tout le monde moi aussi un jour j’ai craqué pour un petit bichon dans une vitrine mais je n’est pas eu autant de chance que Totor, chiot beaucoup trop jeune ne s’alimenté pas ne buvez pas, de ce fait il a fait une crise d’anémie, ce qui implique vétérinaire piqûre perfusion etc.… Il a des Troubles du comportement, mange ces excréments (le vétérinaire ma dit que ces troubles était du au fait que l’on ai enlevé le chiot trop tôt de sa mère et qu’il lui manqué du calcium, vitamines etc.) à ce jour mon chien met une heure pour manger sa gamelle ( il avance il recule il avance il recule) le moindre bruit le fait arrêté et il hurle des que les gens le touche même avec nous si nous ne lui parlons pas avant de le prendre dans les bras. Il ma fallut deux ans pour qu’il arrête de mangé c’est excrément il fallait que je le surveille constamment, des qu’il faisait je courée pour ramasser. IL nous a mordu pendant un an nous ne pouvions pas marché tellement il s’acharné sur nos pantalons. Pour le premier vaccin il a fait un oedeme de quick et à chaque vaccin le chien est malade pendant deux jours. C’est un chien qui a une petite santé il a 7 ans aujourd’hui et nous l’adorons. Tout ça pour vous dire que rare sont les chiens sortant d’animalerie non pas de problème de santé et que l’on ne sans aperçoit pas toujours dans les délais légaux et que de toute façon une fois que le chien est dans la maison il est trop tard pour le ramené, on l’aime déjà.
  14. Info du jour: Actuellement, ces quatre personnes sont placées sous contrôle judiciaire !!!!! Et ont l'interdiction formelle d'exercer leur activité Des manoeuvres frauduleuses réalisées dans un but lucratif par le biais de fausses ordonnances et de faux certificats, certainement rédigés avec la complicité du vétérinaire. En clair, les éleveurs auraient vacciné un grand nombre de bêtes en lieu et place du vétérinaire Ce ne sont pas des soupons mais des preuves que la police précise. Alors pourquoi ne sont ils pas en prison et simplement placées sous contrôle judiciaire ?????? Pourquoi ne pas mettre les noms des trafiquants et des vétérinaires véreux, les personnes susceptibles d’acheter un chiot pourrait les identifiés plus facilement.
  15. J’ai déjà vécu cette expérience mais il y a plus de quinze ans, à l’époque j’avais demandé à mon vétérinaire comment le chien allé réagir ci c’était pas trop long autant de temps dans une cage etc.… le seul conseil qu’il mes dit était de donner au chien un petit tranquillisant avant de partir car un chien qui na jamais était enfermer dans une cage allé ce débattre et pleuré au risque de ce faire mal. De ce fait je lui es administré le calmant une heure avant de partir pour l’aéroport, mis le chien dans la cage sans problème et je les récupéré comme une fleur en pleine forme bien contente de sortir de la cage. :saute: :saute:
  16. Si vous ne trouvez pas de famille d’accueil dans le coin, je suis famille d’accueil dans le 06, je sais se n’est pas la porte à côté mais il faudrait juste une bonne âme pour le co-voiturage. On ne peut pas laissé faire cette acte de cruauté pour cause de déménagement.
  17. Je viens de trouver un article sur un autre démantèlement, je le joins à ton message Démantèlement d’un trafic de chiens de race Genève,(tdg.ch) - Shih-tzu. Un nom tibétain pour un animal qui signifie «chien lion», en référence à un fidèle compagnon à quatre pattes de Bouddha. Pour certains de ces magnifiques petits chiens à poil long, la réalité est nettement moins spirituelle. La section des enquêtes de la Direction des douanes a indiqué hier avoir démantelé un trafic portant sur plus de 125 petites boules de poil. Toutes essentiellement de race shih-tzu, importée en fraude depuis la Serbie-Monténégro, zone exposée à la rage urbaine, sans aucune autorisation vétérinaire. Un trafic sur plusieurs années «Le contrebandier a revendu les chiens en Suisse par le biais de petites annonces» parues dans les journaux, confirme ¬Daniel Piquilloud, chef de service des enquêtes de l´Administration fédérale. Le trafic durait depuis plusieurs années. ¬Confondu, le contrebandier, ¬domicilié dans le canton de Vaud et originaire des pays de l´Est, faisait venir les animaux dans sa voiture. Il les revendait à environ 1000 francs pièce. Le commerce des chiens? Un job extrêmement lucratif. Les douanes ont déjà eu affaire à des importations illégales de pitbulls et de dobermans. Les trafiquants sont alléchés par les plus-values qu´ils peuvent réaliser. Jusqu´à 900% sur les yorkshires, 600% pour un husky, entre 200 et 500% pour les shi-tzu. Luc Magnenat, de l´Office vétérinaire cantonal du canton de Genève, se souvient aussi de trafics de labradors et de caniches, en provenance essentiellement de Tchéquie et de Slovaquie.» Et d´évoquer les conditions épouvantables rencontrées en Tchéquie où les chiens étaient entassés dans des minuscules boxes de béton. L´Association romande des éleveurs de chiens de race qui dénonce depuis plusieurs années le développement de ce commerce illicite se réjouit de voir les autorités donner ainsi un coup de pied dans la fourmilière. «Nous épluchons régulièrement les petites annonces pour essayer de débusquer les trafiquants», explique Louis Mayer, président de l´association. La race des chiens importés illégalement varie en fonction des ¬modes, fait-il remarquer. En ce moment, c´est le shih-tzu qui est recherché. «Parce que c´est un très bon chien de ¬famille, sympathique et affectueux», poursuit Louis Mayer. Les molosses sont passés de mode. La mort d´un enfant de 6 ans attaqués par trois pitbulls en décembre dernier, à Oberglatt, a donné un coup de frein aux importations clandestines. Un business très lucratif Le trafic des animaux, qu´ils soient de compagnie ou sauvages, se situe au troisième rang mondial des trafics après celui de la drogue et des armes. Il représenterait un marché de 15 milliards d´euros selon le Fonds mondial pour la nature (WWF). En Europe, la Belgique fait figure de plaque tournante du trafic de chiens en provenance des pays de l´Est. Les enquêtes menées dans le passé ont montré que les animaux importés illégalement transitaient par un autre pays pour obtenir des certificats de santé de complaisance. Un rapport d´Interpol a mis en évidence la mainmise des mafias de l´Est sur les filières organisées. C´est l´arrivée sur le marché d´animaux malades qui a conduit les autorités à réagir.
  18. Enfin un trafic démantelé, j’espère que la police va obtenir les noms des éleveurs ou magasins qui achète ces chiots, et prendre des sanctions envers ces personnes.
  19. Nanou49

    MARCHAND DE CHIENS !

    Vous parlez du fichier national d’identification des chiens ?
  20. Vivaldi viens de me dire que Nicolas à trouvé sont bonheur
  21. Vraiment dommage, on va essayé de trouvé quelqu'un d'autre
  22. J'avais fait un post pour Nicolas Posté le: Ven 24 Fév à 14:54 -------------------------------------------------------------------------------- Je transmets le message de Nicolas qui cherche un boubou Bonjour, Je viens de voir votre site et je recherche un bouvier bernois femelle à adopter (entre 2 mois et 2 ans). C'est pour l'offrir à mes parents qui viennent de perdre leur Briard. Mon père est agriculteur, par conséquent il est présent en permanence à la maison et nous bénéficions de beaucoup de surface. J'habite en Bretagne Tél: 06-07-95-66-44 n.burel@voila.fr On ne sait jamais si ça peu vous convenir
  23. Nanou49

    MARCHAND DE CHIENS !

    Le problème est que c’est éleveurs (si on peut les appeler comme ça) on toujours des chiots disponible, de ce fait les gens y vont plus facilement il non souvent pas la patience d’attendre les portées à venir et enfin les 7 semaines pour avoir son chiot. C’est dommage car ça permettrait au gens de bien réfléchir (ce renseigné sur la race le comportement) avant d’acheter le chiot, il y aurai peut être moins d’abandon.
  24. Ton boubou à l’air super bien chez toi, tu a fait un heureux je suis très heureuse pour toi et lui. Je comprend que tu soit amoureuse de lui il est tellement craquant.
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