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Nanou49

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Tout ce qui a été posté par Nanou49

  1. Une photo ce serai bien pour les futur adoptant
  2. Bonsoir Céline, Tout d’abord une pensé à Sammy qui est au paradis des boubous, un petit ange qui c’est envolé et qui veille sur vous. Et bienvenue à Léia Il ne faut pas forcez les contacts, elle a besoin de temps pour reprendre confiance, laissez la venir à vous. Léia a était malmené par ces anciens propriétaires et continue de craindre les humains et surtout elle a perdu ces repères il lui faut du temps. Patience, compréhension, amour l’aideront à s’apaiser
  3. J’attends la vidéo avec impatience J’ai vraiment rigolé :hihi: :hihi: :hihi: :hihi: ça fait du bien
  4. Et pourquoi pas un copain ou une copine ça le stimulera sûrement (A méditer NON) :hihi: :hihi: :hihi:
  5. Nanou49

    Reportage Chevetogne

    Super reportage Bravo :applau: :applau: :applau: Téquibou :applau: :applau: :applau: :applau:
  6. :sleep: :sleep: :sleep: Je dormais à moitié sûrement :hihi:
  7. Pour Alcane A 6 mois 33 kg et 61 cm
  8. Dit moi Cacou à qu’elle age il comprennent !!!!!!!Je voudrais bien faire une grasse matinée :hyss
  9. C’est encore un bébé à 5 mois :storke baby: Il faut un peu de patience :zen: mais avec l’age la sagesse arrive aussi
  10. Elle est belle ta boubounette :tropbelle: Il ne faut pas céder au chantage et le tour est joué le calme revient Courage
  11. Bonsoir et bienvenue dans le forum des fous de boubous Je ne pense pas t’avoir vu dans la rubrique présentation des membres se serait sympa que tu te présente et tu nous montrerais des photos de ton boubou on adore ça. De qu’elle affixe est ton boubou ?
  12. Oui ne t’inquiète pas trop mais si demain sa ne va pas mieux emmène le chez le vétérinaire.
  13. C’est la première fois que ton chien a était endormi ? C’est peut être pour cela qu’il met plus de temps pour refaire surface. Comme la dit Vorgan ton chien a mangé et bu c’est qu’il va bien, et peut être qu’il aime aussi ce faire chouchouté. Ces boubous il n’aime que les bisous. Ne t’inquiète pas trop et passe une bonne nuit. Donne nous des nouvelles
  14. Oui je les ai trouvées sur un site mais le seul problème que je viens de voir c’est que toute les listes ne sont pas identiques (il faut que je rectifie mon post)
  15. LISTE DES PLAGES POUR NOS BOUBOUS ----------------------------------------------- Cette liste a était établie à partir de plusieurs sites internet, elle n’est pas exhaustive et peut être modifié à tous moments. Vous pouvez l’améliorez en ajoutant vos renseignements Merci à tous ------------------------------------------------- Alpes Maritimes (06) :boat: - Cagnes-sur-Mer: Face à l'hippodrome. - Menton: Promenade du Soleil et Promenade Reine Astrid. Aude (11) :boat: - Entre Gruissan village et port la Nouvelle: plage sauvage de Vieille nouvelle. Calvados (14) :boat: - Arromanches/Tracy sur mer - Asnelles _ Bénerville sur Mer.Les chiens ne sont pas admis sur notre plage sauf jusqu'à 7 h et aprés 19 h à marée basse et tenuè en laisse. - Berniéres sur Mer: sauf du 1 er Juin au 15 septembre - Blonville sur Mer:du 15/6 au 15/9 : avant 7 h et aprés 19 h Cabourg : côté est de la plage Dans les autres secteurs plage: avant 9 H et aprés 19H. - Colleville sur Mer: autorisés en laisse, sauf zone de bain - Courseulles - Deauville - Donville-Ies-Bains : Nord de la Cale de l'Ermitage. - Grandcamp Maisy - Graye sur Mer: autorisés en soirée - Hermanville sur Mer: avant 10 h - après 19 h - Honfleur - Houlgate : aux deux extrémités de la plage _ Langrune sur Mer: Chiens interdits sur les plages (sable sec) et les digues, sauf en marée basse sur le sable mouillé au delà des épis. - Lion sur Mer: hors zone de baignade - Luc-sur-Mer : Partie 'Est' - Merville / Franceville : Avant 9 h et aprés 19 h en zone de baignade. - * Ouistreham Riva Bella: Zone Est - Saint Aubin: du 1er octobre au 31 mars, en dehors des zones de baignade - Saint Laurent sur Mer: sauf zone de baignade. _ Trouville : de pâques à fin septembre: autorisés avant 10 h et après 19 h, sur les planches et sur la plage. - Varaville: avant 10 h et après 19 h du 1/7 au 31/8 - Vieville sur Mer - Villers sur Mer: Du 15/6 au 15/9: avant 9 h et après 19 h (autorisés jusqu'à 10 heures le matin, hors saison) - Villerville : avant 9 h et après 19 h Charentes Maritimes (17) :boat: - Châtelaillon : Les Boucholeurs et St-Jean-des-Sables. - St-Trojan-Ies-Bains Côtes d'Armor (22) - Fréhel: Avant 9H30 - Après 18H. - St-Cast - Le Guildo: . Les Mielles - Pen-Guen . La Fresnaye - La Mare . La Fosse - La Pissote . Quatre-Vaulx. - St-Michel-en-Grève - Trégastel Finistère (29) :refus: Dans le finistère, l'article 95-2 du Réglement Sanitaire Départemental interdit totalement la présence de nos animaux de compagnie sur les plages du département! (Article 95-2 : Il Les chiens ne sont pas admis sur les plages du Finistère "). Gard (30) :refus: Les plages du littoral gardois, qui est constitué par une seule commune Le Grau du Roi - Port Camargue, sont interdites aux chiens. Gironde (33) :boat: - Arès: plage du port Ostréicole. -* La Teste de Buch : Entre la limite Sud de la Salie-Nord et le Wharf Hérault (34) :refus: Sète: Pas de plage autorisée mais garderie canine sur la Corniche. Landes (40) :boat: - Lit et Mixe: Cap de l'Homy. - Miliets : Centrale. - Soustons : Océan et Lac Marin. - Vieille St-Girons : plage nord. . Plage Centrale. . Lette Blanche. Morbihan (56) :boat: - Ambon - Billiers - Erdeven : Kerouriec-La Roche Séche et Kerminihy - Guidel - lIe-aux-Moines : La Grande plage. - lie d'Arz : La Falaise - Ploermel - Rochefort-en-Terre : Moulin Neuf. - St-Aignan : Anse de Sordan. - Sarzeau : avant 10 h et après 19 h - Silfiac : Pont-Samuel. Pyrénées Atlantique (64) :boat: - Biarritz : Marbella. - St-Jean-de-Luz : Chibaou. Pyrénées Orientales (66) :boat: - Banyuls sur Mer: Plage du Troc et dans les criques (cap d'Osne) - Canet-en Roussillon: sauf du 15 mai au 1 er octobre: autorisé uniquement dans les partie non surveillées: Au sud: au-delà du panneau indiquant la limite de la plage surveillée Au nord: au-delà du chenal planche à voile de la plage de la Crouste - Cerbère: Plage du Surell et troisième - Plage de Peyrefite - Collioure: Plage Nord et Plage de la Balette - St-Cyprien - Toreilles Seine Maritime (76) :boat: - Criel-sur-Mer - Etretat - Le Tréport Somme (80) :boat: - Cayeux-sur-Mer Var (83) :boat: - Bandol: . Eden Roc. . Capélan. . Barry. . Les Engraviers. - Le Lavandou : En face du domaine l'Anglade (Maintenant interdit depuis mai 2005). -Admission est "libre" a la plage du Fort de Bregancon (Cabasson), parking paye 7 euro (mai 2005) - Toulon: Derniére anse du Mourillon. Vendée (85) :boat: - L'Aiguillon-sur-Mer - Notre-Dame-de-Monts - Olonne-sur-Mer - St-Jean-de-Monts : . Entre l'extrémité Nord du golf public de St-Jean-de-Monts et la limite avec la commune de Notre-Dame-de-Mont Corse (2A) :boat: - Ajaccio - Ota
  16. L’histoire n’est pas moi je pense qu’elle est de l’auteur Daniel Mirat D’ailleurs je vais vite le mettre en entête
  17. Oui des plages ou nos boubous peuvent faire trempette :boat:
  18. Pour Delphine Var (83) - Bandol: . Eden Roc. . Capélan. . Barry. . Les Engraviers. - Le Lavandou : En face du domaine l'Anglade (Maintenant interdit depuis mai 2005). -Admission est "libre" a la plage du Fort de Bregancon (Cabasson), parking paye 7 euro (mai 2005) - Toulon: Derniére anse du Mourillon.
  19. L’île d’oleron est dans le département (17) si je ne me trompe pas, il n’y a que 2 plages qui acceptent les chiens - Châtelaillon : Les Boucholeurs et St-Jean-des-Sables. - St-Trojan-Ies-Bains
  20. Auteur: Danièle Mirat Savoir leur faire le monde compréhensible le temps que nos chiens sont là est notre tâche quotidienne. Ensuite, savoir les laisser partir quand leur heure est venue est la plus dure épreuve que connaissent ceux qui en sont amoureux. J'ai bien connu une chienne et sa maîtresse qui ne pouvaient pas se séparer, et ceci est mon témoignage de l'aide que j'ai essayé de leur apporter au pas de cette ultime porte. C'est l’histoire du courage inouï qu’avait déployé ce chien pour répondre à la demande faite par sa maîtresse: celle de ne pas mourir. Alise ou le chien qui ne devait pas mourir….. Alise la Setter Gordon et la vieille dame vivaient une relation quasi fusionnelle depuis des années, et l’une vivait mal sans l’autre. La vieille dame disait bien que sa chienne ne serait pas éternelle, elle savait qu’un jour il lui faudrait la perdre, mais elle ne l’acceptait pas, c’était au-dessus de ses forces. Alise devenait de plus en plus l’objet de toutes ses attentions. Tout le soin que la vieille dame prenait d’elle, devrait c’est sûr, garantir une plus longue et meilleure vieillesse à sa chienne. Alors la vie était réglée autour du vieil animal, et les emplois du temps et déplacements aménagés pour son confort. Alise en venait à exercer une sorte de tyrannie passive sur la vieille dame. Comment même penser à refuser quoique ce soit à une vieille chienne si douce et si près de sa fin, il aurait fallu n’avoir pas de cœur. La vieille dame n’en manquait pas, de cœur, et qui faiblissait d’ailleurs. De visites en visites, chez le médecin pour l’une et le vétérinaire pour l’autre, on voyait s’allonger la liste des médicaments de chacune. A chaque malaise d’Alise, la vieille dame affolée répondait par une attention anxieuse et redoublée ; elle guettait chaque hoquet, chaque essoufflement, chaque perte d’appétit comme un signe menaçant d’une fin redoutée, haïe, insupportable. Cela dura des années, car l’espérance de vie d’un Gordon était déjà dépassée depuis longtemps, mais Alise, diminuée, fatiguée, ne quittait pas sa maîtresse. La vieille dame tomba malade, gravement, il fallut l’hospitaliser. Un drame pour elle, de devoir laisser sa chienne aux bons soins de son mari ; non pas qu’il fût mauvais homme, loin de là, mais Alise allait sûrement tellement s’ennuyer. Les choses se passaient plutôt bien entre Alise et son maître, et la vieille chienne semblait attendre vaillamment sa maîtresse. Mais les hospitalisations se sont succédées, la vieille dame ne se remettait pas et son état nécessita une lourde et délicate opération à cœur ouvert. Séparée de sa vieille chienne adorée, se demandait-elle si elle la reverrait jamais vivante ? Elle parlait assez peu de cette séparation douloureuse, elle voulait juste rentrer chez elle au plus vite près d’Alise, mais son état de santé ne le permettait pas. Alise avait maintenant 15 ans ½ de plus en plus fatiguée, vacillante, s’amaigrissant, elle tenait bon cependant. La vieille dame put enfin rentrer chez elle pour de bon, après maintes hospitalisations de plusieurs semaines chacune, où les séparations étaient devenues de plus en plus angoissantes pour elle. Extrêmement affaiblie, sapée par toutes les épreuves de la maladie et de l’opération, la vieille dame devait encore affronter le lent dépérissement d’Alise. La chienne avait maintenant 16 ans, elle ne marchait plus qu’avec difficultés. Elle dormait de longues heures durant, et quand péniblement elle se relevait et non sans aide sortait dans le jardin, squelettique, il lui arrivait encore de sautiller maladroitement, comme secouée par une étrange joie. De ce moment là, on ne sut plus laquelle tenait l’autre en vie. Jusqu’ici, il avait semblé que la vieille dame voulant tellement garder sa chienne, celle-ci en avait trouvé la force de continuer à vivre. Voilà que maintenant, c’est comme si Alise ne se permettait pas de mourir, pour ne pas précipiter dans la mort avec elle, sa maîtresse bien trop diminuée par la maladie. Leur entourage en craignait de les voir basculer ensemble. La vieille dame s’épuisait à continuer de prendre soin de sa vieille chienne de plus en plus dépendante, incontinente, confuse parfois maintenant au point de se perdre dans le jardin. Mais quel ancien tourment faisait craindre tant la mort de son vieux chien, à la vieille dame malade ? Quelle ancienne douleur, quelle ancienne blessure non cicatrisée lui rendait-elle impossible l’idée qu’Alise devrait la quitter ? Car enfin, la pauvre bête, épuisée, sourde, raidie par les ans, dédaignant de plus en plus tous les petits plats sans cesse renouvelés dont elle était si gourmande, n’en pouvait visiblement plus de s’éterniser. La vieille dame semblait aveugle à cette grande souffrance de l’animal qui pourtant aurait dû susciter sa compassion ; il lui fallait trop ne pas voir, ne pas entendre, ne pas penser qu’Alise pouvait souffrir. Fermée à cette réalité trop insupportable, elle se tenait un discours menteur qui laissait son entourage effaré devant un tel déni, désemparé, incapable de mieux défendre le droit à la mort de la vieille chienne, aux yeux de sa maîtresse. Alise se mit à ne plus pouvoir boire, puis à ne plus vouloir s’alimenter du tout, deux jours durant. La vieille dame m’appela pour lui porter secours. Arrivée sur place je trouvais la vieille chienne exténuée par une matinée passée à errer nerveusement dans la maison et le jardin, obligeant sa maîtresse à la soutenir tant bien que mal, à la relever à chaque chute. À mon approche Alise s’apaisa, s’effondra, je crus qu’enfin trop épuisée, elle allait s’éteindre. Doucement je me tins près d’elle, puis encore plus près, bientôt je pus la caresser, puis la tenir dans mes bras, lui parler tout bas. Prendre tout contre moi l’animal décharné me fut d’abord difficile, j’ai dû apprivoiser ma propre peur de la mort, pour venir frôler, puis enfin contenir celle des Deux qui ne pouvaient se quitter. Alise semblait se laisser aller, je ne sais si elle m’entendait lui dire qu’elle avait gagné le droit de partir, le droit d’aller rejoindre la paix, la lumière… Ma tête contre la sienne, combien de temps sommes-nous restées ? Je guettais sa respiration, croyant parfois ne plus la percevoir. J’aspirais pour Alise à une fin comme celle-ci, un départ tranquille, dans un souffle qui s’arrêterait…Une fin toute en douceur qui stopperait la violence que la vieille dame et sa chienne mettaient à ne pas pouvoir se séparer. La vieille dame et son mari m’avaient laissée seule depuis longtemps avec Alise. Espéraient-ils follement que se produise quelque miracle, souhaitaient-ils secrètement que leur chienne meure simplement dans mes bras, alors qu’eux même n’auraient pu le supporter ? Un peu médusée, je vis le vieil animal comme se réveiller, puis se redresser, faire effort pour parvenir enfin à se relever ; moi qui croyais son dernier souffle arrivé… Maintenant taraudée par un mal de tête qui enflait de plus en plus, je ne pus qu’accompagner Alise dans ce qui allait devenir une folle errance dans le jardin. Sous un soleil éclatant de milieu de journée, je suivis la vieille chienne qui de sa démarche plus qu’incertaine, divaguait plus qu’elle n’allait. Plusieurs fois elle trébucha, s’écroula. Je croyais chaque fois qu’elle ne se relèverait pas, que c’était la fin. Elle parvenait pourtant à se redresser, et je continuais de la suivre, anxieuse, un peu désarçonnée, devant ce comportement que je cherchais à m’expliquer. Puis j’ai accepté de seulement l’accompagner, sans vouloir quoi que ce soit et pas même comprendre, comme plus tôt dans l’après-midi, quand penchée sur elle, je n’avais fait qu’être là, rien qu’être là près d’elle. Alors je fus sûre soudain que l’on ne pouvait pas mourir sous une telle lumière, dans une telle clarté. Ce soleil éclatant qui faisait jaillir la vie, empêchait de mourir. Je vis enfin qu’Alise dans cette errance cherchait à gagner l’ombre ou une pénombre, comme une cache. Doucement j’essayai de la faire retourner dans la maison ; j’y parvins péniblement, et là je demandai à ce que l’on fermât un peu les volets. Il me semblait de plus en plus qu’il faudrait aider Alise à mourir. Cette décision ne m’appartenait pas, mais je devais offrir à ces Trois qui ne savaient que faire, la force qu’ils n’avaient pas d’affronter la mort légitime. Qui étais-je pour décider que cet animal devait mourir maintenant et pas plus tard ? que savais-je de ses souffrances ? laquelle d’abord était la plus grande, celle de son pauvre corps trop vieux, ou celle de son âme de chien immensément fidèle, qui ne pouvait pas trahir sa vieille maîtresse qui lui exigeait de ne pas la laisser seule ? Je pris néanmoins le parti d’essayer de convaincre ses maîtres, de soulager Alise du poids de cette vie de douleurs. D’ailleurs celle-ci de plus en plus agitée semblait se débattre, ne sachant plus où se mettre, ni que faire de sa peau de misères. La vieille dame affligée semblait céder, admettre l’indignité de son désir de vouloir retenir encore son Alise. Puis l’instant d’après, affolée à l’idée de cet irrémédiable, aveuglée de douleur, elle approcha avec un plat de je ne sais quoi, le mis sous le nez du pauvre animal mourant, dans l’espoir fou qu’il susciterait son appétit. Mise au centre de ce tableau surréaliste, je décidai non sans mal de soutenir davantage l’animal que la maîtresse. Il leur fallait ma force et mon assurance, que le vétérinaire soulagerait et rendrait douce la fin de leur animal, dont la vie d’ailleurs ne serait abrégée que de quelques heures, tellement maintenant sa fin était proche. Je les ai accompagnés tous les trois jusqu’au bout ; j’ai tenu la vieille dame tout contre sa chienne quand le vétérinaire a fait glisser dans les veines le liquide qui endort et celui qui fait mourir sans souffrance. Alise s’est laissée faire sans se défendre comme presque déjà partie. La vieille dame a laissé faire aussi, elle avait capitulé ; son mari, lui, s’est tenu éloigné n’ayant pu affronter de près, la mort de l’une et l’immense douleur de l’autre. Alise avait 16 1/2 ans. Il me restait encore à terminer mon travail, c’est à dire à les aider tous deux à accepter l’insupportable. Il me semblait qu’il ne fallait pas les séparer brutalement du vieil animal. Tous deux souhaitaient une crémation pour Alise. Je proposai qu’ils puissent garder la vieille chienne près d’eux pour la nuit, pour la voir morte mais apaisée enfin, délivrée de son manteau de vieillesse douloureuse. Pour qu’ils entament un vrai deuil, il me fallait les aider à regarder en face la fin de la vie. La force de ma présence pouvait leur permettre d’accompagner leur Alise jusqu’à l’acte de crémation. La vieille dame ne s’y est pas dérobée. Je l’ai soutenue jusque dans cette dernière et douloureuse démarche d’immense respect pour sa vieille chienne. Cette ultime épreuve vécue de la crémation lui laissera à jamais l’irremplaçable réconfort de ne s’être pas détournée, de n’avoir jamais abandonné son animal chéri, en l’accompagnant même jusqu’après la mort du corps. Je garde d’Alise, le souvenir ému d’un chien pathétique qui ne voulait pas faillir. Danièle Mirat
  21. Pour ma part je pense que le chien qui a était habituer avec un autre même s ‘il non pas le même caractère et qu’il s’ignore s’ennuie quand l’autre chien n’est plus. Sais ma façon de penser mais attendons les autres réponses.
  22. Je suis contente pour toi que tu ai pu sortir du tunnel. :saute: :saute: Les boxer sont des chiens très maternels je ne suis pas étonné de voir ton bout de chou sur lui. Il sont vraiment mimi tout les deux.
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