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Shewpsse1111

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  1. Maintenant j'en ai marre de me faire traiter de con car beaucoup de personnes ne savent pas qu'il existe le VIF maladie du VIH chez les CHATS !! Alors voici des preuves ! Le SIDA du chat, ou syndrome d'immunodéficience acquise du chat, est une maladie provoquée par un rétrovirus, le FIV, de la même famille que le HIV (virus du SIDA chez l'homme). Le virus FIV se transmet par contact étroit entre chats, en général par morsure. La transmission par voie sexuelle, et de la mère au chaton, paraît également possible. a transmission expérimentale est aisée par voie parentérale. Les inoculations subcutanées sont un mode d'infection expérimental efficace. Au contraire, l'infection expérimentale par voie muqueuse (vaginale, rectale, orale) nécessite des cellules infectées ou des doses importantes de virus (Harbour, 1992; Moench et al., 1993). Les modes de transmission naturelle du VIF n'ont toujours pas été déterminés avec certitude. On pense actuellement que le VIF ne se transmet pas naturellement par voie sexuelle, mais uniquement par la salive à l'occasion de morsures (Sparger, 1993). L'infection semble se faire dans un sens unique, de l'individu qui mord vers celui qui est mordu. Présent en forte quantité dans la salive des individus infectés, le virus peut donc entrer en contact avec le sang lors d'une morsure. Les contaminations se feraient lors de combats pour le territoire ou pour les femelles. La thèse de la morsure est corroborée par les données épidémiologiques. En effet, les individus qui sont le plus souvent touchés sont les jeunes adultes mâles vagabondants, et ces derniers sont ceux qui se battent le plus souvent (cf Chapitre VII, VIII et IX). De plus, des infections expérimentales par morsures ont été réalisées avec succès (Yamamoto, et al. 1989). En outre, nous avons vu que les infections buccales sont très fréquentes à la suite d'un SIDA félin (Dow et al. 1990). On pourrait donc sérieusement envisager que la morsure d'un chat à l'état pathologique avancé (i.e. développant un SIDA) pourrait être bien plus efficace que celle d'un chat séropositif, car la quantité de particules virales y serait bien supérieure à cause de l'infection (Cadoré comm. pers.). La divergence entre les données d'isolement et de détection du génome viral par PCR tend à indiquer qu'une large proportion du virus présent dans la salive n'est pas infectieux (Matteucci et al., 1993), ce qui pourrait expliquer la faible efficacité de la transmission en conditions naturelles (Yamamoto et al., 1989, et voir Chapitres VIII et IX). D'autres hypothèses de contamination peuvent être discutées. La fragilité de l'enveloppe des Lentivirus ne milite pas en la faveur de l'existence d'une phase libre, et donc une transmission indirecte est très peu probable par cette voie. Aucune transmission par vecteur n'a pu être mise en évidence et l'existence de réservoirs permanents de VIF autres que les félins semble peu probable, eu égard à la spécificité du virus pour son hôte. Le VIF est bien présent chez d'autres espèces de félins (Chapitre VII), mais leur manque de contacts avec les chats rend improbable ce mode de transmission (en tout cas comme mécanisme significatif de la circulation du virus). 56 Chapitre III: le VIF Les possibilités de contamination par la salive (toilettage mutuel, prise en commun de nourriture, élevage des jeunes), par les muqueuses (attouchement des museaux), par d'autres contacts non traumatisants tels que le partage d'une litière commune ou par voie sexuelle, ne sont pas confirmées par les travaux expérimentaux (Sparger, 1991; Harbour, 1992; Moench et al., 1993). Cependant, la transmission sexuelle n'a pas été complètement étudiée (Hosie et al., 1989). Des travaux actuellement en cours tentent de déterminer si la transmission du virus du SIDA félin peut être verticale (transmission de la mère au chaton), mais il semblerait que, si cette voie n'est pas physiologiquement impossible, elle est en tout cas peu probable en conditions naturelles (Callanan et al., 1991; Lutz et al., 1990; Pedersen et al., 1989; Ueland & Nesse, 1992; Wasmoen et al., 1992; Yamamoto et al., 1989). On a aussi parlé d'une possibilité d'infection de la mère au chaton par l'intermédiaire du colostrum, bien que les expériences sérologiques qui l'ont mise en évidence ont fait état d'une baisse progressive des titres d'anticorps d'origine maternelle chez les chatons, allant jusqu'à une disparition complète au bout de deux mois et demi environ (Yamamoto et al., 1988a, Lutz et al. 1988). Ce serait alors les anticorps maternels, et non le virus, qui passeraient chez le chaton via le collostrum. Des travaux plus récents concluent à une possibilité d'infection expérimentale par cette voie (Sellon et al., 1994). Il pourrait s'agir alors d'un passage d'anticorps plutôt que de particules virales. On rapporte aussi le cas d'une contamination de chatons par leur mère (Callanan et al., 1991), mais il semble plus probable que dans ce cas, il s'agisse d'une transmission horizontale (par le collostrum, le lait ou la salive de la mère) et non verticale (la nature épithéliochoriale du placenta de la chatte ne semble pas permettre la transmission du virus). Actuellement, il est généralement admis que la transmission verticale n'a pas lieu in natura. La possibilité d'infection de la mère au chaton lors du transport dans la gueule semble intuitivement peu probable. En effet, même si elle ne l'est pas autant que celle d'un adulte, la peau d'un chaton est relativement épaisse (on peut s'en apercevoir lorsque l'on injecte une puce électronique sous la peau des chatons d'une semaine). De plus, ce portage est délicat et ne cause pas de lésion. A l'image de la tendance actuelle nous retiendrons donc ici la morsure comme Le SIDA du chat, ou syndrome d'immunodéficience acquise du chat, est une maladie provoquée par un rétrovirus, le FIV, de la même famille que le HIV (virus du SIDA chez l'homme). Le virus FIV se transmet par contact étroit entre chats, en général par morsure. La transmission par voie sexuelle, et de la mère au chaton, paraît également possible. L'animal contaminé par le FIV ne va d'abord présenter aucun symptôme. Le virus va se développer dans son organisme, mais l'animal n'est pas apparemment malade : c'est la période de séropositivité, qui dure plusieurs années. Pendant tout ce laps de temps, l'animal est contagieux et peut transmettre à d'autres chats la maladie. Au bout de quelques années, la maladie va réellement se déclarer et l'animal présente alors les symptômes suivants : - amaigrissement important et rapide - fièvre - anémie. On observe parfois également des infections buccales, des conjonctivites et des abcès cutanés. A partir des premiers symptômes, la maladie est toujours mortelle en quelques mois.
  2. Ils sont trop trop trop trop trop trop trop trop trop trop trop trop trop trop trop trop trop trop trop trop trop trop trop trop trop trop trop trop trop trop trop trop trop trop trop trop trop .............. beau ^^
  3. normal ....................... c'est une fifillle !!!!
  4. Son caractère .. hum petit diable !! EUhh je rigolleee !!!! ELle est adorable !! Très caline et je peut la gratouiller son petit bidou ! Petit pot de colle aussi ^^ mais bien indépendante ! ET elle utilise bien son nouveau terrain de jeu , surtout le jardin elle adore ! Je n'est rien a dire ! un chat adorable Muriel > .... désoler !
  5. Des messages de radio serais une bonne aide !
  6. Voici Jadoree ( Jadorée ) Petit hamster décédé l'année dernière , je l'adorais !! Sacrée fripouille !! Et voici madame Anook morte peu avant jadoree Et voici le fruit de leur amour Dans un des deux hamsters orange ce trouve le petit Bart' et l'autre sa soeur jummelle !!
  7. La 2em photo fait peur quand même lol !!! Superbe photo
  8. Lokita grandit bien .. et a pris le double de son poids a son arriver !
  9. Enfiin un nouveau mec !!!! Les filles commencais a faire un peu la lois non ?
  10. NOn mais je vous jure ... les adultes aussi ont des sacrée idée et après on dit que c'est nouus !!!
  11. EH mince j'aurais du prendre LV3 au lieu de ARt plastiques
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