Muriel14

Supeeeeeeeeeeeer !

Pour régresser d'allure, en ce qui me concerne, j'utilise un petit geste de la main. Par exemple si on tourne à main gauche, j'active l'allure avec la main droite vers le corps du cheval et je freine avec la main gauche vers la tête du cheval et ce même en étant à une grande distance de lui. Et à main droite, je fais l'inverse. Pour ce qui est des autres figures, je ne les pratique pas du tout.

En ce qui concerne le préfané à volonté ou en quantité limitée, ça dépend beaucoup de comment le cheval le supporte. En raison de sa teneur en acide, certains chevaux ont du mal à le digérer, d'autres n'ont pas de problèmes. Donc, il faut d'abord tester. Il faut aussi voir quel est le tempérament alimentaire du cheval : genre glouton qui se goinffre (d'où digestion plus difficile) ou genre maîtrise de sa gestion alimentaire (Si si, il y a des chevaux qui gèrent très bien leurs besoins). Lorsqu'il s'agit de foin, la gloutonnerie est freinée par la nécessité d'une mastication plus importante.

Effectivement, mon véto dit aussi que les balzanes blanches sont plus sujettes à ce genre de problèmes, qu'elles sont plus difficiles à soigner et qu'elles récidivent plus facilement. Indépendemment de l'immunité que j'évoquais plus haut, je pense aussi que dans certaines régions la pollution et les pesticides présents dans les champs voisins de prairies infestent la terre de bactéries nuisibles. LN : effectivement, la jambe de Fli n'est pas des plus belle. Si la lymphangite est installée depuis quelques jours déjà, à mon avis, traitement AB et/ou AI seront nécessaires.

Moi aussi. Par ailleurs, je ne comprends pas où est la difficulté de laisser du foin à volonté par rapport au fait de n'aller qu'une fois par jour à la prairie. Il suffit de mettre suffisamment de foin en une fois, voire même en apporter pour plusieurs jours.

Tout à fait, en préventif : booster l'immunité, drainer le foie et distribuer une nourriture équilibrée, suffisante mais pas trop abondante et adaptée au cheval et à ses dépenses énergétiques.

Joli travail, félicitations. Moi aussi j'ai un frison et je le reconnais tout à fait dans ta description : du tempérament mais avec beaucoup de gentillesse.

J'ai appris tout récemment qu'une nouvelle écurie était en construction à Lonzée. Pas de manège mais une pension privée qui construit 140 boxes et avec assez bien de terrains pour des prairies. Je n'en sais pas plus pour le moment, j'ai demandé plus d'infos.

Supeeeeeeer ! A mon avis, si les contours de la plaie deviennent lisses, tu peux commencer à appliquer du miel dessus (mais uniquement sur les contours). La cicatrice n'en sera que plus belle et plus discrète. Et bien continuer toute la partie granuleuse à la LV comme tu fais.

Voilà, Poussinette a tout dit.

A cause de sa haute teneur en sucres.

Je crois que crevasses et GDB sont des problèmes cutanés proches, similaires, mais que l'un ne découle pas forcément de l'autre. Mon véto est partisan de soigner le cheval dans son milieu de vie habituel, afin d'encourager une meilleure immunité par la suite. Car, au fond, ce n'est pas vraiment la boue qui est la cause de ces problèmes mais bien l'immunité du cheval, sa capacité à lutter contre les agressions extérieures. La boue n'est qu'un élément déclencheur.

Ca a l'air en bonne voie effectivement. Tu remets une photo vendredi ? Comme ça on voit de semaine en semaine.

Des sucrières, je n'en donnerais pas. De temps en temps, les chevaux du manège en reçoivent. Mais heureusement, les miens n'aiment pas. Mais Tyson aime en recevoir une, ça l'occupe, il joue au foot avec !

Couvrir ou ne pas couvrir, tel est la question. Couvrir va permettre d'éviter que les souillures ne viennent se mettre sur la blessures et comme dit Yuna, la saison est plus sujette à cela. Cependant couvrir cette blessure qui, d'après la photo n'a pas l'air très profonde, risque d'entraîner une trop forte granulation (ce qui est une bonne chose lorsqu'il s'agit d'une plaie béante, grande ouverte). Seulement, dans cas-ci, la granulation est déjà importante et il me semble que couvrir la blessure d'un miel solide en couche épaisse, pourrait suffire à l'isoler des crasses et à limiter la granulation. Et si on peut le soigner deux fois par jour, c'est jouable. Mais je ne connais les conditions de vie et d'hygiène de l'environnement de ce petit loulou. Mais de toute façon, j'élagerais un peu les poils autour de la blessure. Si tu ne peux raser, au moins couper le gros des poils aux ciseaux.

Je ne fais plus la rhino depuis que deux de mes chevaux ont fait une réaction allergique les rendant malade pendant une bonne quinzaine de jours. Et comme ils ne voyagent pas souvent... Pour grippe et tétanos je les laisse généralement au moins 48h tranquille de préférence au pré.

La leçon de jambes t'aidera certainement. Et, comme le dit mon prof, il ne faut pas oublier que la jambe commence à partir de la hanche. Le toucher du mollet n'est que l'aboutissement d'une demande d'impulsion qui aura été préparée à partir de la hanche et donc, de l'assiette.

Attention. Bien évidemment, je ne doute pas de l'efficacité de cette pommade. Mais parfois on voit une amélioration comme si les parasites étaient comme endormis, mais ils peuvent revenir de plus belle tant que tout n'est pas totalement refermé. Donc on criera victoire quand les poils auront repoussés et tout. Mais en attendant, je suis bien contente que le loulou aille mieux.

Lilie, tu ne saurais pas nous mettre la vidéo ?

Oui, et pourtant ... J'ai débourré tous mes chevaux (et d'autres) en licol sans jamais aucun problème. Ca a marché avec tous. Sauf avec Yvero. Sur la photo ça ne se voit pas trop mais pourtant Yvero ne capte absolument rien avec le licol. En caveçon par contre, il comprend très bien le contact et les directions, mais en licol, rien du tout, ça passe pas ! C'est bon qu'il est gentil et que la piste n'est pas trop grande.

Merci Schming,je sais...et c'est prévu depuis bien longtemps que je sois sa première cavalière d'extérieur... Super ca! j'en connais une qui va profiter à fond! :cheers: Oui, moi ! Car avec Maud, je sais qu'il va apprendre à bien marcher !

C'est un peu les deux en fait.

Le fait qu'il forge peut influencer sa croissance ? De quelle manière ? Non, c'est plutôt l'inverse. Le fait qu'il grandit peut entraîner des disproportions qui vont entraîner le fait qu'il forge à un moment donné de sa croissance, jusqu'au rétablissement d'un meilleur équilibre morphologique.

Je ne parle bien sûr pas d'abandonner le cheval et de le laisser commettre des erreurs de postures pendant qu'il est monté. Mais je m'oppose à ce que je vois souvent, cad une compression très importante pour forcer le ploiement de la nuque (ou le ramener) avant même que le cheval n'ait atteint une quelquonque impulsion. Bien sûr qu'un contact est nécessaire mais il ne faut pas vouloir en faire trop, trop jeune. Et je maintiens que des phases de croissance sont à respecter (le mieux étant de les respecter par le repos ou par un travail non contraignant, ce qui n'empêche pas qu'un travail puisse avoir lieu en dehors de ces phases de croissance.)