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Tout ce qui a été posté par Poussinette1111
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Pour ce qui est de l'activité, pourquoi pas y aller progressivement, pour ne pas le bousculer? Il n'est pas nécessaire de le solliciter à chaque foulée, un rappel à l'ordre suffit pour plusieurs mètres voire parfois pour plusieurs cercles. Dès que tu sens que cela faiblit, une claque des 2 mollets, main passive (= au contact mais sans agir) et non ouverte (pas besoin de céder quand on demande de l'activité, sinon, le cheval s'étale / de même, si on agit en même temps avec la main, le cheval ne comprend pas puisqu'on lui dit "mais avance enfin!" et avec la main, on lui donne le message "ralenti", ce qui est loin d'être cohérent).
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Tout d'abord, il faut comprendre pourquoi il s'encapuchonne. Ce qui est sûr, c'est qu'au vu de ce qui est défini dans ce post par "être en main", un cheval encapuchonné n'est pas en main. Peut-être manque-t-il d'activité? Ou coordonnes-tu mal tes aides main-jambes? Généralement, quand un cheval se met en main, il faut rendre, le laisser se mouvoir seul (sans l'abandonner, hein, rênes molles, pas totalement détendues sans contact). Mais... les premières fois, les moments et les foulées d'équilibre se comptent sur les doigts de la main. Cela va aller en s'augmentant au fur et à mesure du travail. + Ne pas oublier que c'est le cheval qui se rassemble (et non le cavalier qui le rassemble mécaniquement par ses aides) à force de faire des exercices lui demandant de plus en plus de s'asseoir (ex : l'appuyer est le premier exercice par excellence qui rassemble). Donc oui, je rencontre ce genre de problème, ce sont des pertes d'équilibre mais le travail consiste à les réduire de plus en plus. La régularité, cela s'acquiert. Des chevaux sont plus doués que d'autres mais le travail aide beaucoup. Mais peut-être d'autres savent-ils mieux te répondre?
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* Un pied à l'étrier,..*Ajout P4 , Photos&Vdeo au Pas
Poussinette1111 a répondu à un sujet dans Dressage
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Et finalement, si on pactisait avec le diable?
Poussinette1111 a répondu à un(e) sujet de Poussinette1111 dans Dressage
Non, en fait, c'est la manière de faire céder qui va ou non être de la compression : si on fait un prendre-rendre-prendre-rendre (rênes vibrantes de manière continuelles) et puis une véritable cession de main (où l'on ouvre les doigts pour récompenser une fois l'attitude attendue) tout en veillant à ne pas agir simultanément avec les jambes, ce n'est pas de la compression. (donc 1) jambes, 2) je relâche les jambes et, à ce moment-là, la main agit, 3) ma main se relâche et à ce moment-là ma jambe agit). De même, une main passive, fixe (ni agissante (fermée) ni doigts ouverts (descente de main)) peut être (et même DOIT être) utilisée lorsque les jambes agissent. La compression commence quand on reste doigts fermés plusieurs foulées de suite -> là, le cheval ne cède pas par décontraction de la bouche suite aux vibrations/au jeu du mors mais par appui ou par retrait face à la main => soit il pèse (plusieurs kilos en main) soit il est très très léger mais parce qu'il refuse le contact. De même, la compression est clairement affichée quand on utilise les jambes en même temps que la main fermée ou agissante (passive) car, là on lui demande d'avancer et d'arrêter en même temps (là se pose la question du reculer ou de la manière dont beaucoup de cavaliers demandent un arrêt : jambes et main ensemble au lieu de les alterner). Pour ce qui est de l'assistanat, deux types de chevaux y échappent : - le cheval tendu et dressé dans le "main sans jambes, jambes sans main" avec lequel le cavalier applique la descente des aides dès que le cheval répond correctement et ne se met à agir à nouveau que quand il faut amener une correction ; c'est une sorte de liberté sur parole. Exemple : je demande une épaule en dedans au sortir du deuxième coin du petit côté : 1) je place mes aides ; 2) le cheval comprend et réagit => alors 3) je deviens passive avec mes aides, je laisse le cheval faire jusqu'au bout de la longueur. Et si, tout à coup, l'équilibre, le rythme ou... se perd, je réintroduis mes aides pour corriger et une fois que le cheval répond, je le laisse à nouveau faire. - le cheval en arrière de la main, le cheval qui se retient. Lui, il est continuellement figé et dès qu'il est mis dans un exercice, il s'y maintient sauf qu'ici, le cheval n'est pas en équilibre par manque d'impulsion. Généralement, si on lui met le moteur, il se désorganise dans l'exercice. Quant au cheval assisté, si je reprends mon exemple de l'épaule en dedans, ici, 1) je place mes aides à la sortie du coin, 2) le cheval comprend et réagit, 3) je continue à le solliciter en rythme à chaque foulée => le cheval est assisté, c'est le cavalier qui le porte, qui insiste, insiste, malgré que le cheval obéit ; c'est comme si vous étiez en train de ranger votre chambre et que votre mère vous suivait partout pendant que vous rangez en disant en boucle "range ta chambre, range ta chambre, range ta chambre..." alors que vous êtes en train de le faire. Evidemment, la descente des aides, les premières fois, ça ne s'obtient que durant une ou deux foulées mais quand le cheval gagne en force, en souplesse ou en équilibre, il peut tenir plus longtemps, toute une longueur. Les aides s'affinent alors et deviennent minimales car le cavalier va réduire peu à peu ses aides. De même pour l'allongement : ça se demande la première (voire les deux premières) foulée (ça c'est évidemment préparé dans le coin et sur le petit côté) et, une fois que le cheval réagit et allonge, silence radio des jambes, elles n'agissent plus sinon elles détraquent l'allures. Là où je veux en venir, c'est que rechercher la légèreté des aides et du cheval est difficile car, inévitablement, comme le dit assez justement Viva, le cavalier moyen a tendance à opposer main et jambes pendant une bonne partie de sa séance d'équitation (moi compris, hein!). Dès lors, comme on assure le bien-être à notre cheval, pourquoi ne pas se laisser tenter par une manière de monter qui s'accorde à nos réflexes premiers : agir avec la main en même temps qu'avec les jambes? Plutôt que de sans cesse chercher l'indépendance des aides et tenter de sentir lors d'une épaule en dedans s'il faut ou non intervenir plutôt que d'intervenir durant tout l'exercice, c'est moins fin mais nettement plus pratique. Ou alors à ce moment-là, on n'est pas, comme le dit dans un certain sens Tygrine, un vrai cavalier (corrige-moi si j'ai mal compris)? Mais chercher à être ce "vrai" cavalier, cela a-t-il un intérêt? -
Et finalement, si on pactisait avec le diable?
Poussinette1111 a répondu à un(e) sujet de Poussinette1111 dans Dressage
Je rejoins l'avis très fin de Zzz : faire céder, cela se fait par le biais d'aides employées de manière alternative. Devoir fermer ses doigts pendant plusieurs foulées avant de les rouvrir, ce n'est déjà plus une tentative de faire coopérer le cheval mais une contrainte. Le "prendre-rendre est instantané, c'est la vibration ; après, il y a le vrai "rendre" qui équivaut à la descente de main. Tout dépend ce que l'on comprend par céder. Une heure d'équitation, même en cours ne doit jamais, jamais être un combat. S'il y a combat, c'est qu'il y a faute du cavalier soit dans son application des aides soit dans la manière de préparer l'exercice qui va être demandé. Maintenant, il ne faut pas non plus tomber dans le pôle inverse : celui du cheval abandonné sur des rênes molles au nom d'une soi-disante légèreté. Autant faire de la promenade alors. Le contact doit exister mais pour mieux être effacé. Et comme le dit Ecume, ce dont je parle est malheureusement très courant, même parfois à un bon niveau (pour peu que le cavalier soit adroit et son cheval talentueux) et passe parfois aux yeux des juges jusqu'à un certain niveau tant que le couple répond aux critères demandés et est parfois généré par de nombreux profs qui veulent des résultats rapides et "sûrs" (le cheval est "cassé" pour son cavalier qui se love alors dans le pli et apprend à continuer à le maîtriser et à le garder sous contrôle). Maintenant, la légèreté, ce n'est pas forcément les rênes demi-tendues. Ca peut évidemment être cela, c'est l'idéal, mais il faut savoir que tous les chevaux même excessivement bien travaillés ne savent pas se mouvoir sans un certain contact. Le problème de la compression, c'est quand ce contact dépasse les centaines de grammes pour devenir plusieurs kilos et que l'on "prend" quand on pousse. A partir de ce moment-là, le cheval devient un "assisté" avec lequel un exercice doit être demandé durant toutes les foulées de l'exercice - la descente des aides disparaît, voire n'est jamais au rendez-vous. Il faut aussi savoir que c'est déjà au jeune cheval à peine débourré et au cavalier qui débute qu'il faut apprendre la légèreté et le silence des aides. Attendre d'entamer le rassembler pour commencer à y penser (ce qui se voit parfois) relève du non sens (ou d'une logique de l'équitation de compression qui tente alors de "plaquer" le cheval devant afin de pouvoir répondre à l'impératif de légèreté plus ou moins exigé par les juge à un certain niveau : la stabilité de l'attitude et le poids réparti entre l'avant-main et l'arrière main : tant que le cheval est stable devant et ne semble pas sur les épaules, tout est OK. Maintenant, ce n'est pas pour autant qu'il sera sur les hanches). -> Maintenant, toutes ces jeunes filles qui paradent sur leurs chevaux, ont-elles tort finalement? Après tout, elles ne feront probablement jamais les JO, alors tant que cela marche, en quoi auraient-elles tort de continuer? Est-ce qu'un cavalier doit d'office rester "éthique" quand il se hisse sur le dos de sa monture? Ou alors pour être un vrai cavalier, il faut obligatoirement être un cavalier juste, qui cherche la finesse, l'idéal et non le seul résultat de réussir un exercice? -
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Et sous la selle, il fait pareil?
Poussinette1111 a répondu à un(e) sujet de Poussinette1111 dans Obstacle
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Snyper j'y crois pas!!!!!!!!!!!
Poussinette1111 a répondu à un(e) sujet de moi-toi-nous dans Soins et santé
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Et sous la selle, il fait pareil?
Poussinette1111 a répondu à un(e) sujet de Poussinette1111 dans Obstacle
A quoi vous voyez que ce n'est pas "naturel"? Car je ne vois pas vraiment, je le trouve attentif, concentré et sa manière d'enjamber l'obstacle préparatoire est assez parlante. Et, en plus, il a un garrot incroyablement bien sorti et qui doit fournir un jeu d'articulation des ligaments et des muscles assez incroyables, même pour du dressage. Maintenant, il a peut-être été passé sur des barres bondissantes (pour peu que ce système existe vraiment et ne soit pas une légende), mais je trouve que son dos passe bien et même que ça semble l'amuser et toutes oreilles pointées en avant. Donc je veux bien qu'on m'explique à quoi on voit le manque de naturel. -
Et finalement, si on pactisait avec le diable?
Poussinette1111 a répondu à un(e) sujet de Poussinette1111 dans Dressage
Tout d'abord, je pense que, selon le caractère du cheval, l'équitation de compression peut être une solution agréable pour le cavalier. Le plus dur étant fait au moyen "d'aides" matérielles comme les RA, le travail d'un professionnel qui "met" le cheval (! je ne parle pas ici du fait de se faire aider ou non par quelqu'un de plus expérimenté, ce n'est pas le sujet ici) et par la suite, l'usage d'un mors à levier ou encore l'utilisation à la longe d'enrênements "mettant" le cheval, peuvent faciliter et rendre possible l'équitation de compression et la mettre à portée de quasiment n'importe qui, même à une femme fluette. Evidemment, si on se retrouve en prise avec un cheval caractériel et névrosé, on court à la lutte et voire même à l'accident. Mais la plupart des chevaux conciliants par nature peuvent être emboutis. Ensuite, ce que j'appelle "équitation de compression" est envisagé dans un sens très large, c'est une manière de travailler le cheval qui se base sur une opposition constante entre main et jambes (la main et la jambe agissent en même temps) mais la petite jeune fille qui monte un poney qui fait l'autruche en tirant en bouche et en cravachant en fait aussi partie (et, vous seriez étonnés de savoir à quel point les contorsions mimant un semblant de 2 pistes obtenues par une telle jeune fille sont félicitées et enviées par ses petites copines, parents...). A côté de cela, à moins de se retrouver confronté à un cavalier trop jeune pour se rendre compte ou trop fermé ou obstiné dans son avis (ou pour lequel son entraîneur est un dieu ne pouvant que dire des choses exactes, sans même se rendre compte que cet entraîneur peut, lui aussi, parfois se tromper, voire être, malgré ses résultats, à côté de la plaque car il veut faire vite, avoir des résultats coûte que coûte, même si ceux-ci restent très superficiels), le cavalier que j'ai décrit plus haut ne doit pas vraiment exister. A partir du moment où un propriétaire de cheval sait ce qui est bon ou non pour son cheval quant aux soins à lui apporter est aussi un cavalier qui s'inquiète de la façon dont il travaille son cheval. Il se questionne, va lire sur le sujet, parle avec d'autres cavaliers, demande des explications sur tel ou tel point à son entraîneur. De plus, vouloir un cheval qui se donne à fond sous la selle, cela ne peut se passer que via une manière de travailler respectueuse tant de son moral que de son physique. On peut obtenir de très beaux résultats avec un cheval généreux et un peu talentueux alors qu'il est totalement contracté sous la selle, mais pour peu qu'il ne soit pas trop âgé ni trop abîmé, ce n'est rien à côté de ce qu'il pourrait donner avec un cavalier attentif à son bien-être. S'ajoute aussi le fait qu'un cheval embouti ou brimé dans son travail aura des répercussions sur sa santé physique à cause du malaise psychologique occasionnés par des ordres contradictoires (je pousse et je tire à la fois) mais aussi par les troubles locomoteurs occasionnés (vive l'ostéopathe!). Enfin, de nombreux chevaux aiment travailler. Il est sûr que si l'on souhaite leur plus grand bien-être, on les met en troupeau dans une propriété immense et on pourvoit à tous leurs besoins (maréchal, dentiste, nourriture, vaccin...) mais bon, le cheval fait partie de la vie de toutes les personnes présentes sur ce forum. Beaucoup d'entre nous sont cavaliers, montent et travaillent leur cheval plusieurs fois par semaine. C'est un fait et face à ce fait, je pense qu'il est bon de se poser la question du bien-être (relatif, certes vu qu'il ne vit plus en liberté) tant dans les soins que nous lui apportons que par la manière dont nous posons notre derrière dessus. Pour ce qui est de la question, je pense qu'à petite dose, un cheval comprimé peut être aussi heureux si le reste de son quotidien le lui permet. Maintenant, sur le long terme, c'est un peu comme nous : une belle place professionnelle où l'on n'est pas vraiment reconnu et sans cesse brimé par notre supérieur, ça passe au début ; après, à la longue, si on ne peut pas changer de boulot et bien... ça tape sur le système. Alors, si vous voulez paraître devant votre petite (ou grande) galerie, l'équitation de compression est une solution ; maintenant, si vous êtes à la recherche d'une bonne relation avec votre cheval, qui le laisse s'exprimer autant que vous, l'équitation de compression n'est pas une solution. -
Snyper j'y crois pas!!!!!!!!!!!
Poussinette1111 a répondu à un(e) sujet de moi-toi-nous dans Soins et santé
C'est clair que ce n'est pas évident à déterminer. Il faudrait que ces fichues coliques passent et qu'il regrossisse, ce serait l'idéal. Déjà, tu dis qu'il ne maigrit plus. En tout cas, si tu envisages de le laisser partir, tu pourras te dire que tu auras tout mis en oeuvre et fait tout ce qui était dans ton pouvoir. Maintenant, je pense que ce sera quand ton véto te dira "il faut tout arrêter" que le moment sera venu. Un cheval atteint d'EGS et qui s'en sort reste aux petits soins alimentaires quasi toute sa vie et ne peut pas faire d'efforts trop extrêmes. Tant qu'il est "là", présent et combatif, le jeu en vaut peut-être la chandelle mais si tout à coup, il se laisse aller et n'en veut plus, je pense que, malheureusement, il faut choisir. Avec mon cheval, on a tout arrêté quand il a fait signe de ne plus en vouloir. Si j'avais pu dépister de son vivant que c'était bien un EGS aigu, je lui aurait évité ses deux derniers jours et son opérations. Mais bon, je ne savais pas, l'EGS était une des causes possibles de son mal et j'ai tout tenté. S'il avait eu un cas chronique comme le tien, j'aurais tout mis en oeuvre aussi tant que lui se battrait. -
Snyper j'y crois pas!!!!!!!!!!!
Poussinette1111 a répondu à un(e) sujet de moi-toi-nous dans Soins et santé
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Et finalement, si on pactisait avec le diable?
Poussinette1111 a répondu à un(e) sujet de Poussinette1111 dans Dressage
Ce que je voudrais dire par là, c'est, finalement, à quoi bon se prendre la tête avec la légèreté puisque au final, on a un cheval sain, soigné, entouré et qui a tout ce qu'il lui faut. Donc, après tout, si pendant une heure il doit nous subir parce qu'on se dit (ou qu'on nous dit) "rentrons-lui un peu dans le lard, je veux un résultat visible, quelque soit la manière, même si cette manière est très coercitive", est-ce si mal que ça? Alors, finalement, pourquoi pas emboutir nos chevaux? On ne sera quand même jamais des champions olympiques mais, à la place, on brillerait un peu dans notre manège (voire dans des petits concours), on ferait des épaules en dedans, des appuyers (bon, peut-être à l'arrache, et alors?) et, pourquoi pas, des exercices plus compliqués si affinité et ce, dans un laps de temps assez rapide. Note : Je rappelle que ce n'est pas mon avis, mais une vue de l'esprit. -
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Je pense que nous sommes tous à peu près d'accord sur le fait qu'en dressage, l'équitation de compression n'est pas une solution. Nous sommes sans doute moins d'accords les uns avec les autres en ce qui concerne les moyens d'arriver à monter en légèreté ou sur le fait que nous montons ou non dans l'esprit de la légèreté et non de la compression. Mais quels sont réellement vos arguments "contre"? Alors, sans prendre une position qui soit la mienne (non non ), qu'est-ce que vous avez contre : Un cheval sain, bien nourri, vitaminé quand il en a besoin, sorti au pré quotidiennement, monté tous les jours (ou longé/lâché si ce n'est pas possible de le monter certains jours), suivi au niveau de ses vaccins, vermifugé, choyé, récompensé, toujours très propre, et ayant comme cadre de vie des écuries très convenables : de bonnes pistes et de grands boxes propres. Mais voilà, ce cheval, il est travaillé en avec un enrênement coercitif mal utilisé et mal réglé (trop court, qui le comprime), quand il se défend, on le punit et, quand on a estimé ses muscles "faits", on enlève l'enrênement, on le fige dans une belle posture devant en oubliant que le dos aussi est censé travaillé. Sous prétexte de le "pousser sur la main", on l'éperonne toutes les 3 foulées et on le reprend par des demi-arrêts constants. Avec les progrès et le temps, il apprend de jolis petits exercices, il a l'encolure haute et très ronde, comme il a d'assez bonnes allures au départ, il est toujours dans sa trace malgré son dos creux. Puis, on le passe en bride, on apprend de nouveaux exercices et on obtient presque, à peu de chose près, un cheval de haut niveau, on épate la galerie, on gagne des prix quand on va sur un terrain de concours, après le travail, il est noyé sous les carottes, douché, séché et même, s'il fait beau, mis au paddock avec un petit copain. Finalement, à part une heure dans sa journée, tout relève du paradis sur terre ; le cavalier, quant à lui, suit une méthode bien définie, obtient des résultats, certes peu classiques, mais jolis à voir. Alors, finalement, pourquoi pas? Qu'y a-t-il vraiment de mal là-dedans? Après tout, c'est très courant de voir ce genre de chose - bon, c'est bien souvent moins spectaculaire : le cheval est moins talentueux et le cavalier ne cherche même pas à mettre son cheval en main - mais à peu de chose près, c'est la même chose un poney qui regarde le ciel en trottinant avec un cavalier mal assis qui saute en selle et un cheval embouti entre main et jambes par un cavalier plus ou moins élégant à cheval mais aux aides dures? Alors, finalement, où est le mal? Votre idée à ce sujet, c'est quoi?
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C'est bien vrai et généralement, les Anglo t'expliquent très bien comment t'y prendre avec les autres chevaux. Punir les moments de désordre, avec un Anglo, c'est du suicide, il faut passer outre, faire comme si de rien était et continuer ce qu'on faisait ; et bien... avec les autres chevaux, ça marche tout aussi bien, ça les stresse moins et tout rentre plus vite dans l'ordre sans pour autant qu'ils soient "étouffés" par leur cavalier (ça reste pétillant en-dessous ). Il m'a fallut un Anglo pour comprendre ça.
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Mon Ossiandre (pleins de photos)
Poussinette1111 a répondu à un(e) sujet de Darestime dans Vos chevaux
Tu dois bien garder l'impulsion, demander un léger pli à l'intérieur sans lâcher ta rêne extérieure, mains collées des 2 côtés du garrots, doigts vibrants (surtout à l'intérieur pour le pli) et dès qu'elle cède, tu relâches sur ta rêne intérieure (ouvrir largement les doigts ou avancer un peu cette main là vers la bouche) et restes fixe sur la main extérieure. Faut juste subir les premières minutes avant qu'elle ne cède. Tu fais cela sur un grand cercle. -
Avis sur les selles de dressage Jochen Hennig?
Poussinette1111 a répondu à un(e) sujet de Poussinette1111 dans Dressage
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Tous les enrênements comportent le risque de retournement ou de chute ; des rênes fixes au pessoa en passant par l'éducatif et les RA. Pour le gogue, pas de photos mais chanfrein toujours légèrement en avant de la verticale, nuque basse. Il faut que quand le cheval est dans la bonne position que l'enrênement ne soit pas tendu (qu'il n'agisse plus). Si le chanfrein est en arrière de la verticale, il est trop serré. Si la nuque reste haute, il est probablement trop lâche. Il faut aussi savoir que ce genre d'enrênement ne se règle que très progressivement, après 10 séances environ, on arrive (enfin!) à l'ajustement correct. Si on va trop vite dans le réglage et les exigences, le cheval risque de se braquer et là, les accidents peuvent survenir. C'est comme pour tout avec un cheval, prendre son temps, habituer les muscles, assouplir peu à peu et récompenser.
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Mon Ossiandre (pleins de photos)
Poussinette1111 a répondu à un(e) sujet de Darestime dans Vos chevaux
LOL!!! C'est bin vrai! Quel oeil! A vouloir ne pas lui tirer sur la bouche, j'ai les rênes trop longues et forcément mes mains se baladent.Il faudrait que je me delie de façon a ne pas géner la jument et à etre plus à son écoute. Pour cela, le mieux est de bien bien bien les ajuster et de les poser sur le garrot tout en jouant avec les doigts. Les premières minutes, tu auras l'impression de tirer mais en fait non car ta main reste collée au garrot (et est donc fixe), après quelques minutes, elle va alors se décontracter et travailler dans le cadre délimité par tes rênes. Avoir les rênes longues n'empêche pas toujours les fautes de main. C'est la main fixe, immobile (doigts mobiles) qui est une main qui ne tire pas (tirer, c'est bouger et amener la main vers soi). Mais bon, ne t'inquiète pas, on est beaucoup à avoir ce problème. -
Petite question, il paraît que maintenant, les handicaps (jusqu'en M) ne comptent plus, sauf pour obliger à monter ou à descendre de niveau. Ce serait pour ne plus bloquer les cavaliers dans leur progression. Ex : vous êtes en A avec 3 points, vous pouvez monter en L si vous le souhaitez. Vrai? (C'est peut-être ce que tu voulais dire Ecume?)