ommerpark

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Pas pour le moment, mais le fait dans parler me rappel qu'il faut que je le fasse

Voici une petite vidéo de mes bacs et de mes écailles

/presentation-des-bacs-f11/bacs-ommerpark-t154.htm Il faut suivre angelinela

Non, j'ai 3 bacs dédiés aux espèces du Victoria. Un 120 litres et deux de 250 litres pour 6 espèces différentes.

Lac Victoria

Pseudocrenilabrus multicolor ssp. victoriae Voici les dernières images de ce poisson magnifique (Désolé, les vitres sont un peu sales) Astatoreochromis alluaudi

C'est le problème des plécos. Certains vendeurs, les vendent sans prévenir de la taille adulte qu'ils peuvent atteindre. Au club on récupère régulièrement des plécos de 30/40cm que leurs propriétaires ne peuvent plus conserver par manque de place.

il n'y a qu'un mot: magnifique

Oui, mais pas eu le temps de faire des photos. Pour la rentrée Il faut être patient car c'est dur à trouver et avoir un bon réseau d'amis passionnés. Tu trouves également de belles espèces dans les bourses.

Merci beaucoup

Superbe, je suis un adepte de ton décor. Fond noir, pierres naturelles qui montent presque en surface, très beau. Et l'association des morri avec les caereulus est vraiment super sympa. Bravo

Beaux poissons, dommage que le décor ne soit pas plus naturel que ça (goût personnel)

Exact, c'est pour cela que je fait de l'aquariophilie. J'ai mes poissons directement dans mon salon

Venez vivre par chez moi, ont a pas ce problème Plus sérieusement, j'habite dans une veille maison ou il fait frais, donc pas de problème de hausse de température

Le meilleur moyen de calculer le volume réel est de le remplir avec les histoire de bidon, car suivant l'épaisseur de ton sol, de la décoration et si il y a des pierres ou pas le volume peut être complètement différent même avec des aquariums identiques. Pour le volume de masse la formule a était cité au dessus, se qui permet déjà de ce faire une idée.

Le problème est que l'on ne connait pas avec certitude les origines des poissons commercialisés de nos jours sous cette appellation. Comme il n'y a pas d'importation de sauvage, les seuls spécimens sur le marché sont issus d'élevage (souvent des pays de l'europe de l'est), et il y a de fort soupçon d'hybridation sur ce poisson. Les premiers spécimens ramenés du lac il y a plusieurs années n'ont pas fait l'objet d'une description complète (entre autre la localité de pêche), par conséquent les poissons vendus aujourd'hui ne correspondent pas forcément au poisson d'origine et sont vendus sous plusieurs appellations (Ch44, SP 44, sp."thick skin"). D'où une grande confusion. Pour le volume je conseille un minimum de 200 litres pour un mâle et 3/4 femelles car c'est l'un des plus territoriaux du Victoria. Information : cette fiche peut être complétée par une expérience du sujet, ou d'un commentaire concernant un manque d'information.

Avec l'arrivée du 240 litres, cela fait 5 bacs dans la fishroom + un 400 litres dans le salon + 4 petits bacs (54 à 90 litres) dans le bureau.

Non, j'ai décidé d'arrêter les repros (à part quelques espèces)donc ça va me libérer de la place.

Metriaclima Phaoes Ungii Le mâle Ordre : Famille : Genre : Espèce : Synonyme(s)ou Nom(s) commun(s) : Ce nouveau genre créé par Stauffer (1997) et bien soutenu par Konings permet de regrouper de nombreuses espèces du complexe " zebra ". Ces espèces appartenaient auparavant au Genre Pseudotropheus. Le genre Metriaclima succède à l'éphémère Genre Maylandia qui n'a pas été à priori décrit dans les règles de l'art. Mais la guerre des biologistes fait encore rage et on se retrouve donc dans une bonne pagaille propre au Malawi avec d’anciens Pseudotropheus appelés encore "Pseudo», mais qui sont nommés maintenant soit Maylandia, soit Metriaclima... Metriaclima se rencontre de Cobue au Mozambique jusqu'à Undu Reef en Tanzanie. Il est très commun à Hai Reef et à Undu Reef , mais est rare à Lundo Island et est carrément absent à Lumbaulo. Cette espèce évolue dans l'habitat intermédiaire à une profondeur pouvant varier de 5 à 12 mètres. Je vais parler aujourd’hui de Metriaclima Phaoes Ungi , qui est la seule variété que je possède et que je maintiens depuis 1 an et qui est rarement mis en avant, car rares à l'importation. Taille : Jusqu'à 15cm pour les mâles et 12cm les femelles. Description : Pour Metriaclima Phaoes Ungi, les mâles peuvent mesurer jusqu’à 15 cm en aquarium et sont bleus, rayés de 9 bandes noires. La nageoire dorsale est noire avec un filet bleu/gris et se termine par du jaune à son extrémité. La nageoire anale est identique avec quelques ocelles jaunes en fin de nageoire. Quant à la nageoire caudale est beige/gris avec un filet jaune sur tout son bord.Les femelles quant à elles plus petites (12cm) sont jaunes vifs et j’ai pu remarquer l’apparition de bande noire lors d’affrontement entre femelles. La femelle Comportement : Selon Ad Konings, alors que les femelles évoluent tranquillement dans l'habitat intermédiaire, les mâles défendent leurs territoires avec plus ou moins d'agressivité selon la localité où ils se trouvent. Pour les Metriaclima Phaoes Ungi que je maintiens (1 mâle et 2 femelles dans 400l) avec d'autres M’bunas, le comportement agressif dans la défense du territoire n’est pas aussi marqué. La plupart du temps, il nage en pleine eau et tolère les autres occupants du bac, à nager dans son territoire. Mais les choses se compliquent lorsqu’il entre en période de frais où il défend plus énergiquement son territoire. Maintenance : Je conseille de le maintenir en trio dans un volume minimum de 300 litres avec une surface au sol d’au minimum de 40cm (50cm ou plus serait l’idéal), car j’ai pu remarqué que plus l’aquarium était petit, plus il dégageait une agressivité que se soit entre mâle/femelle ou même femelle/femelle. La qualité de l’eau : Elle est la même que pour les autres M’bunas, avec une eau dure et alcaline ; un PH compris entre 7,5 - 8,5 et une température à 25°C. Une filtration de 4 à 5 fois le volume du bac par heure est idéale pour un brassage et une oxygénation maximum de l’aquarium, car c’est un gros pollueur. Un changement de 30% du volume tous les 15 jours permet également de purifier le bac. La végétation n’est pas obligatoire, mais j’ai mis quelques pieds Anubias, qu’isl ne touchent pas. Reproduction : Les mâles défendent un site de ponte qui est habituellement situé sous une pierre. Comme tous les M’bunas du lac Malawi, il s'agit d'un incubateur buccal de type maternel. Les œufs sont féconds dans la gueule de la femelle, et sont incubés une vingtaine de jours. La reproduction peut être délicate à obtenir, car de mon expérience personnelle j’ai pu remarquer que les adultes semblent prendre plus de temps entre les frais et l'agression masculine dominante peut être un problème. Il a fallu 9 mois avant que les premiers frais apparaissent et jusqu'à ce jour, je n’ai obtenu qu’une reproduction en 12 mois. Les petits sont tous jaunes vifs au départ et les mâles changent lentement de couleur à partir de 4cm et peuvent mettre quatorze mois pour prendre les couleurs adultes. Conclusion : Sous un air un peu bourru, ce poisson est un locataire agréable à observer qui s’accommode fort bien avec différents types de M’bunas. Le plus compliqué est de se le procurer, mais ce n’est pas mission impossible, donc si vous avez la possibilité de le maintenir un jour, il ne faut pas hésiter. Fiche réalisée par Ommerpark. Information : cette fiche peut être complétée par une expérience du sujet, une photo ou d'un commentaire concernant un manque d'information.

Mélanochromis Johannii Gome Voici un mâle (photo Ommerpark) J’ai choisi d’écrire sur Melanochromis Johannii et en particulier sur la variété de « gome » qui est l’une des plus exportées avec la variété de Chiloelo et que je maintiens depuis quelques temps. Melanochromis Johannii est décrit en 1973 par Eccles et lui donna ce nom en l'honneur de John James, pêcheur local. Il est également appelé Pseudotropheus Johannii, car d'après Patrick Tawil, il pourrait être rattaché au genre Pseudotropheus avec les 3 autres membres du groupe (Melanochromis cyaneorhabdos, M. interruptus et, M. perileucos), mais à ce jour il est toujours classé dans le genre Melanochromis. Ordre : Perciformes Famille : Cichlidae Genre : Melanochromis Espèce : M. johannii Synonyme(s)ou Nom(s) commun(s) : Melanochromis johanni, Cichlidés cobalt, Pseudotropheus johannii . Les paramètres de l’eau :Ils devront avoisinées les 26 °C, avec un PH compris entre 7.5 - 8.5, ainsi qu’une dureté compris entre 10°dGH à 20°dGH. Zone de vie : Melanochromis Johannii est distribué dans la partie sud-est du lac Malawi, entre Chuanga, au Mozambique, et Makanjila, où il vit à proximité des zones rocheuses en eau peu profonde et nage en pleine eau. Taille maximale : Melanochromis Johannii est un m’buna de 10 à 12 cm de longueur pour les mâles et 8 à 10 cm pour les femelles. Description : Il possède une petite bouche, avec la mâchoire inférieure plus courte que la mâchoire supérieure. Le patron mélanique du mâle est bleu foncé à noir, avec 2 bandes plus ou moins régulières, bleu clair à blanc sur le corps. La première va du front à la nageoire caudale et la seconde, des nageoires pectorales à la nageoire caudale. Une troisième bande est située au centre de la nageoire dorsale. Le haut de la nageoire dorsale et caudale, ainsi que le bas des nageoires pelviennes, anales et caudales présentent un liseré presque blanc. La nageoire anale présente des lignes de même couleur. La femelle est complètement jaune doré (parfois orangée suivant l'alimentation ou selon la hiérarchie), et peut prendre des barres horizontales brunes. Si elle est très dominante, parfois la femelle s’assombrit au point d'approcher le patron mélanique des mâles dominés. Voici une femelle Comportement : Melanochromis Johannii n'est pas vraiment territorial, sauf en période de reproduction où il défend un site de ponte provisoire. Ils peuvent être assez agressifs en intra spécifique (entre eux) surtout en période de reproduction, mais beaucoup plus calmes en interspécifique (avec les autres espèces). Comme les mâles ne défendent pas de territoire en permanence, la cohabitation se passe généralement très bien avec d'autres m’bunas. J’ai pu remarquer que le mâle ou la femelle sont capables de tenir tête à des Pseudotropheus (flavus, Saulosi, elongatus) lorsqu’ils sont en frai pour obtenir un site de ponte et fuir ces mêmes espèces en dehors de cette période. Maintenance en aquarium : Comme les autres m’bunas, ils ont besoin d'un décor rocheux offrant de nombreuses cachettes aux femelles en incubation ou à un mâle dominé quand il y en a plusieurs. Les plantes ne sont pas obligatoires, mais si vous optez pour, elles devront être solides comme des Anubias et bien accrochées aux rochers. Si l'apport en végétaux est insuffisant, elles seront régulièrement mangées. Un aquarium de 250 litres est un minimum pour un trio avec d'autres m’bunas et devra avoir au minimum 150cm de long pour 40cm de large. (Les territoires sont définis au sol, la hauteur d'eau a donc peu d'importance). Il faut lui laisser un grand espace pour la nage et mettre un seul mâle pour 3 ou 4 femelles, mais personnellement il m’a été vendu en couple et parmi d’autres m’bunas je n’ai pas eu de problème et s'est même reproduit. Pour une maintenance en bac spécifique, pour ma part je ne suis pas descendu en dessous de 200 litres. Pour limiter tout risque d'hybridation, ils ne doivent pas être maintenus dans un même aquarium, avec d’autres Melanochromis trop proches de coloration. Alimentation : Il fait parti du groupe des M'Bunas, c'est un mangeur d'Aufwuchs en aquarium, il accepte une nourriture variée, en quantité modérée : artémias, krill, mysis ou paillettes végétales (ou granulés) enrichies à la spiruline. Un complément maison à base de poissons blancs, crevettes, épinard, petits pois et spiruline sera accepté. Comme tous les cichlidés du Malawi, il ne faut pas leur donner de vers de vase ou autre nourriture à base carnée, ils ne peuvent pas le digérer et peuvent donc en mourir. Reproduction : L’idéal est maintenir au minimum un mâle pour 2 femelles (un quatuor ou un groupe est préférable) c'est un incubateur buccal maternel, reproduction classique en T : le mâle attire la femelle dans un cratère qu'il aura creusé, la femelle pond puis prend les œufs en bouche, elle tire ensuite sur la nageoire anale du mâle, qui excité, lâchera la laitance, les œufs sont fécondés dans la bouche de la femelle. Une fois le frai terminé, la femelle se retire dans un endroit abrité. Le lâché des alevins a lieu au bout de 21 jours, parfois un peu plus et ne s'alimentera donc pas durant cette période. La femelle peut incuber jusqu'à 30 œufs. Lors du lâché, les alevins feront de 8mm à 1,5 cm, suivant la taille de la femelle et le nombre d'œufs et sont de la même couleur que la femelle. Les alevins survivent facilement dans le bac d'ensemble, car très débrouillards. Conclusion : J’ai commencé par maintenir cette espèce en couple et maintenant en groupe et il se passe toujours quelque chose ! Avec beaucoup d'intimidations et de poursuites. C’est un magnifique poisson qui est très agréable à observer, il convient aussi bien pour les débutants que pour les autres, car il est très coloré et productif... Un bon poisson pour ceux qui aiment de l’action dans leur bac. Fiche réalisée par Ommerpark Information : cette fiche peut être complétée par une expérience du sujet, ou d'un commentaire concernant un manque d'information.

Pseudotropheus Flavus Ordre : Perciformes Famille : Cichlidés Genre : Pseudotropheus Espèce : P. flavus Synonyme(s)ou Nom(s) commun(s) : M'buna Origine : Lac Malawi, Chinyankwazi Island, Chinyamwezi Reef. Description : Les mâles de cette espèce sont très colorés, de couleur jaune vif rayé de barres noires, ils font pensés un peu à des guêpes. Ils peuvent également leur falloir un moment (et à la compagnie des femelles ou d’un mâle dominé) pour que leur coloration atteigne un jaune lumineux. Les femelles sont quant à elles, un mélange terne de jaune et de gris ombragé et ont tendance à brunir. Taille maximale : Ce Pseudotropheus sous la forme sauvage atteint habituellement un maximum de 8 centimètres, les mâles étant légèrement plus grand que les femelles. En captivité, cependant, ce poisson peut facilement atteindre une longueur 10 à 13 centimètres. Selon différentes expériences, ils commenceraient à montrer leur coloration d'adulte dès 5 centimètres. Nutrition : En aquarium, la nourriture pourra être constituée de granulés du commerce de bonne qualité et enrichis en spiruline, de paillettes aussi enrichies en spiruline, de Mysis, de Krill, de mixture maison dans laquelle on peut mettre des épinards, des petits pois, des crevettes, ainsi que quelques vitamines. Maintenance : Pour que la maintenance en aquarium de ce M’bunas ne pose pas de problème, il y a quelques règles élémentaires à respecter. Ce poisson étant plutôt résistant et peu sujet aux maladies, une eau au pH compris entre 7,5 et 8.5 et bien minéralisée (10 °d GH à 16 °d GH, 15 °d GH pour la reproduction), d’une température comprise entre 24°-26°C fera l’affaire. Bien sûr l’absence de nitrites est impérative, avec un taux de nitrates le plus bas possible. Les changements d'eau devront être réguliers (au moins 1/3 par semaine) et la filtration devra être importante, au moins 4 à 5 fois le volume du bac par heure. Une pompe de brassage assurera une oxygénation optimale (branché sur venturi) et apportera les conditions du milieu naturel. Cohabitation : Le problème de la cohabitation est à prendre au sérieux. Pseudotropheus Flavus est extrêmement territorial en période de reproduction envers les autres habitants de l’aquarium. Pour parler volume un bac ayant une surface au sol de 120 x 40 est un minimum pour maintenir convenablement ce magnifique poisson ! Et un volume 240 litres pour un 1 mâle et 2 femelles sera une bonne base. Je conseillerais même une façade de 150cm. Reproduction : Au niveau de la reproduction, aucun problème particulier. Attention toutefois aux femelles en incubation victimes de harcèlement trop important car leur état de santé peut se dégrader assez vite. Les cachettes et refuges de surface sont alors essentiels à leur survie. Au bout de 21 jours environ, elle crachera entre 5 et 30 alevins selon l’âge et la taille de la femelle. Dès qu’ils seront expulsés de la bouche de leur mère, ils seront très débrouillards. On les nourrira de cyclops congelés, de nauplies d'artémias et de paillettes finement broyées. Fiche réalisée par Ommerpark Information : cette fiche peut être complétée par une expérience du sujet, une photo ou d'un commentaire concernant un manque d'information.

Haplochromis SP 44 Ordre : Perciformes Famille : Cichlidae Synonyme(s)ou Nom(s) commun(s) : Haplochromis sp.44, Haplochromis obliquidens, Haplochromis d'Astatotilapia. Zone de vie : Haplochromis sp 44 est trouvé sur les littoraux du Nord et Est du lac Victoria et habite l'eau peu profonde près du rivage à proximité de végétation émergente dans des zones sableuses. En outre, il s'aventurerait occasionnellement en zone rocheuse. Température et pH : 21°- 28° et pH compris entre 7,5 - 8,5 et de GH entre 10 et 20°d. Description : C'est l’une des espèces victoriennes qui montre le plus important éventail de couleurs. Le mâle qui mesure environ 10 cm est très coloré : la tête et le dos sont bleus, le corps est jaune avec des reflets rouges, barré de plusieurs bandes noires. La nageoire pectorale est noire, la dorsale et la caudale sont rouges. Les femelles un peu plus petites (environ 8 cm) sont tout à fait attrayantes pour du Victoria, qui sont habituellement grises et mates. La femelle Haplochromis sp 44 est d'un beige (certes fade) mais avec un léger filet rouge sur les nageoires et des rayures noires peuvent apparaître quand elles sont en période de reproduction ou défendant un territoire. Le mâle n’est pas en reste et peut ainsi être très sombre, presque noir puis, à un autre moment avoir les flancs très jaunes en fonction de son humeur. Cette variabilité a été observée en milieu naturel, mais également en captivité. Par exemple au sein d'une même ponte les poissons peuvent présenter un nombre varié de barres. Alimentation : Les Haplochromis sp 44 consomment dans leur milieu naturel des larves d'insectes aquatiques micros prédatrices. En aquarium ils mangeront des aliments du commerce sous forme de paillettes ou de granulés et l’alimentation pourra être complétée avec des daphnies, tubifex, larves de moustiques sèches ou congelées. Comportement : Ces Mbipi dont le comportement est intermédiaire entre celui de leurs homologues du Malawi (les M’bunas et les "Haplos" de ce même lac) sont assez agressifs et territoriaux, mais ce n'est pas une généralité et selon les individus et la taille de l'aquarium, cette agressivité sera différente. La maintenance dans un aquarium de 120 à 150 litres suffit pour un trio sans aucune autre espèce, mais un minimum de 200 litres est recommandé. Dans tous les cas, il faut prévoir suffisamment de cachettes pour les femelles qui sont poursuivies très souvent par le mâle. Prévoir au moins deux ou trois femelles pour un mâle. Si l'aquarium est assez grand, on peut faire cohabiter deux mâles en offrant un décor avec plusieurs délimitations. Reproduction : Température 25°c pour la reproduction. Lorsque la femelle a le ventre plus arrondi qu'à l'habitude, c'est qu'elle est prête à pondre. Le mâle la poursuit et parade devant elle. Le mode reproducteur est tout à fait classique : position en "T" et ces poissons choisissent une pierre plate, habituellement dans une caverne comme endroit de reproduction. Le mâle se montre particulièrement agressif envers tout autre poisson au moment du frai. Après avoir pondu, la femelle récupère les œufs (entre dix et quinze), dans sa bouche où la fécondation a lieu. Elle s'isolera ensuite pour rejeter les alevins après trois semaines environ. Ces poissons commenceront à se reproduire dès un jeune âge (environ dix mois). Il est commun que les femelles avortent les premières incubations avant de devenir d'excellentes mères. Conseil pour l'aquariophilie : Dans de grands aquariums, il peut cohabiter avec d'autres Cichlidés du bassin du Victoria. On veillera à lui choisir des compagnons dont les femelles seront bien distinctes de façon à minimiser les risques d'hybridation. Il peut également cohabiter dans un bac "Malawi" avec des M'bunas pas trop agressifs ou de petits "Haplos. Le décor : Devra être constitué principalement d’un massif rocheux avec au moins une partie affleurant la surface de l’eau. Des plantes robustes comme des Anubias, Vallisneria peuvent être également rajoutées. Conclusion : Haplochromis sp 44 est un excellent poisson, estimé pour sa couleur et son comportement social intéressant. Malgré une polémique qui tourne autour de ce poisson et que déconseille certains Victophiles, je le recommande fortement, car c’est un poisson que l’on rencontre régulièrement dans les bacs des magasins et en cherchant un peu vous trouverez des passionnés qui seront près à vous aider et à vous faire découvrir un peu plus la richesse de la faune aquatique passionnante du lac Victoria. Fiche réalisée par Ommerpark. Information : cette fiche peut être complétée par une expérience du sujet, ou d'un commentaire concernant un manque d'information.

Voici mes poissons du lac Victoria : Haplochromis flamenback pop. Uganda Neochromis rufocaudalis pop. Saa Nane Lithochromis xantopteryx Makobe Pundamilia nyererei pop. Ruti Et une espèce un peu plus rare, issue du bassin du lac victoria : Pseudocrenilabrus multicolor ssp. victoriae Maintenant des Malawi : Les M'bunas Gephyrochromis lawsi. Mélanochromis johannii gome Melanochromis joanjohnsonae g] Labidochromis caeruleus Lion's Cove Labidochromis caeruleus Nkhata Bay Pseudotropheus flavus Et les haplos : Astatotilapia calliptera Chizumulu Island Lichnochromis acuticeps Placidochromis electra Likoma Protomelas taeniolatus Namalenje Protomelas sp. "steveni taiwan" Taiwan Reef

Je vais faire la présentation de mes bacs que peut être connaissent déjà car je me prommeme sur plusieurs forum. Donc rien d'original. Je vais vous faire un résumé de la réalisation de ma fishroom commencé en juin 2007 J'ai convaincu Madame de me laisser occuper la cave avec mes aquariums, pour réaliser un de mes rêves, avoir ma fish room. Bon certes, c'est une petite fish room, mais je suis déjà très heureux. Les dimensions de la pièce sont, 2,80 mètres par 1,90 mètres, soit une surface au sol de 5,3 M2. Sur la gauche au fond sur la droite Après quelques travaux d'aménagement (électricité, support en parpaing et béton), j'ai pu installer le premier bac, d'une série de cinq cuves. Un bac de 120 litres Comme il tourné déjà dans le salon, j'ai pu le remettre en eau de suite en gardant mon eau et mes masses filtrantes. Voici la suite, avec l'arrivée du 140 litre Après un bon nettoyage et des modifications au niveau de la décante et de l'éclairage, j'ai pu le mettre en position. j'ai mis la décante au fond ,coté droit, pour pouvoir utiliser tout la longueur du bac et j'ai incorporé mon tube Neon dans une gouttière PVC retournée, qui me sert de réflecteur Et le voici en eau avec quelques roches Le bac qui est réserver au lac Victoria. Dimensions : 120x60x35 soit 252 litres. La filtration interne avec un chauffage de 250W et une pompe de 1400L/H Et un décor rocheux que j'ai voulu plus pratique(pècher les poissons) que esthétique Le dernier gros volume que je puisse rentrer dans ma fichroom.C'est une cuve de 450 litres (150x60x50hauteur), que j'ai eu d'occasion. Et voici une petite vidéo de mes bacs et de mes écailles en Février 2008