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La Chine

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Messages posté(e)s par La Chine


  1. Il ne s'agit plus d'oranda mais d'exercices d'étirement de la bouche qui sont souvent drôles mais difficiles à saisir sans bougé sur la photo.

    Tant pis pour la qualité, voilà de quoi prouver que le poisson rouge a une bouche extensible et qu'il le prouve régulièrement quand il se sent bien (jamais vu un PR malade le faire).

    Celle-là, comme je l'ai sous la main, je la reposte ici.



    Mais encore...










  2. Un an après, j'ai conservé deux des jeunes de la ponte de juin 2013 (oranges).
    Sur les naissances suivantes de l'hiver 2014, également trois jeunes, dont deux blancs (enfin !).

    Une photo d'ensemble de ces 5 jeunes, plus le très probable père des deux blancs.



    Comme on le voit, le père est en train de finir de perdre ses quelques taches rouges.

    A l'origine...



    Et maintenant.



    L'un de ses défauts (dorsale attachée un peu loin sur la ligne de dos et portée oblique et non droite) a été transmis à l'un des deux blancs (celui qui a une tache rouge sur l'un des opercules). Quant au second, il possède l'un des lobes de sa caudale imparfaitement déployé : difficile avec ces poissons d'obtenir beaucoup de réussites.

    N° 1





    N° 2





    N° 3, futur orange (ou orange et blanc) qui ne grandit pas très vite.



    Et les deux de plus d'un an (deux filles).

    Une que je trouve pas mal du tout (même si je n'en ai pas de bonne photo).



    Et sa soeur, ronde comme une bille, pas seulement par conformation morphologique mais aussi parce qu'elle est redoutable pour parvenir à se goinfrer plus que les autres...








  3. Ils sont à leur aise maintenant.

    Ton lotus a l'air de pousser très vite. Pour celui des miens qui a fleuri en aquarium, après un bouton ressemblant beaucoup à celui de ta photo, il s'est produit ce que je redoutais : la plante qui avait toujours été touffue au niveau du pied s'est mise à pousser toutes ses feuilles en hauteur laissant un pied dégarni.
    Conclusion : la floraison est beaucoup plus esthétique en bassin qu'en aquarium  Wink 


  4. Vue privilégiée en effet avec les bassins et le palu d'un seul coup d'oeil. Wink 

    Tes deux nouveaux protégés se sont bien développés en aquarium (manifestement trop nourris toutefois par rapport à leur activité, c'est impressionnant pour le blanc !) Ils appartiennent à des variétés pour lesquelles l'espérance de vie va au-delà de 20 ans et, avec les conditions que tu leur offres (celles dont devraient, en fait, bénéficier toutes les variétés communes), ils ont les moyens d'être heureux encore longtemps.

    Au bonheur des poissons et du propriétaire des lieux ...Tu nous fais rêver.


  5. Tant mieux pour la plus grande sociabilité du jeune couple, on pouvait s'y attendre, reste à savoir si cela se confirme dans la durée et sur les générations à venir.

    C'est réjouissant de voir que la femelle d'origine sauvage se créée de nouveaux repères dans sa vie en aquarium et, tout autant, les histoires de poissons qui vieillissent bien dans nos bacs. 11 ans avec l'hypancistrus, cela devient un joli bout d'histoire commune.

  6. Si tu peux t'équiper d'un 240 litres standard (120 cm X 40 cm X 50 cm), ce serait parfaitement adapté pour les 4. Comme l'équilibre de ce nouveau bac peut s'avérer fragile au terme du cycle de l'azote, pour parer à toute éventualité, il te faudrait juste veiller à introduire les poissons un par un tous les 3/4 jours en vérifiant après chaque arrivée que tu n'enregistres pas de réapparition d'ammoniaque ou de nitrites.

    Tes poissons auraient une bonne longueur pour nager et pourraient mener une vie de groupe : à 4, ils trouvent largement de quoi s'occuper entre eux. Ce volume + ce nombre, c'est à mon avis, la base  d'une bonne expérience avec les PR, de leur côté comme du notre. Avec un filtre adapté (débit de 1200 à 2000 litres à l'heure, quitte à régler la puissance à la baisse), des changements d'eau réguliers, et des plantes, y compris des plantes à boulotter (en choisissant des espèces capables de pousser aussi vite qu'ils les mangent), tes poissons auront l'essentiel pour avoir la pêche longtemps et bien se développer  Smile .


  7. Oui, les télescopes aussi peuvent devenir grands et les orandas imposants.

    Mais cela ne se fait pas en un jour, ni même en une année, et avec 200 litres (240 litres pour un standard avec 120 cm de façade), tu serais déjà bien pour un bout de temps.

    Cipper au moins devrait rester un petit gabarit. J'avais un oranda qui lui ressemblait beaucoup : même forme de corps et peu de choucroute (l'avantage, c'est qu'elle ne vient pas envahir les yeux du poisson).



    Il y a dans la catégorie oranda dont je ne suis pas spécialiste un certain nombre de sous-variétés, sans compter les croisements plus ou moins contrôlés. Mais Amaena et Cipper en relèvent, c'est sûr.


  8. JC, on ne peut pas raisonner dans les mêmes termes pour les PR communs et les voiles de Chine, c'est un peu comme de comparer un percheron et un pur-sang arabe. Les premiers sont en effet des poissons d'eau froide qui atteignent facilement 60 cm et peuvent vivre 40 ans, mais les seconds aiment une eau tempérée entre 21 et 24 °, dépassent rarement les 20 cm et comme tous les animaux de race ont une espérance de vie moindre (plutôt dans les 10 ans).

    La communauté scientifique s'interroge d'ailleurs sur l'opportunité de reconnaître des sous-espèces, le principal argument contre étant que ces poissons demeurent capables de se reproduire entre eux.

    Si certains parviennent à maintenir des voiles de Chine en extérieur à l'année (mais beaucoup d'autres les perdent durant l'hiver), c'est sous la dépendance de facteurs favorables (climat et profondeur du bassin) et, sans doute au prix d'une réadaptation de ces poissons que la sélection a modelé pour être adaptés aux aquariums (eau tempérée et espace moindre).

  9. Sur les forums spécialisés PR, on préconise systématiquement de rentrer en aquarium les variétés "voiles de Chine" durant la mauvaise saison. Pourtant, il y a aussi systématiquement des témoignages contraires de personnes parvenant à les faire vivre dehors toute l'année : la région compte beaucoup, de même que la profondeur du bassin.

    Cet hiver, une connaissance lozérienne disposant d'un bassin atteignant le mètre de profondeur a laissé ses ryukins dehors et n'en a perdu qu'un seul (l'hiver n'ayant pas été très froid pour une fois ici). Si je disposais d'un bassin de bonne profondeur dans une région pas trop froide, je tenterais le coup pour me faire une opinion.

  10. Coucou, Nicole, je suis bien contente de te retrouver.

    La maintenance avec des Tanichthys ne pose aucun problème.
    Avec les corys, cela passe pour les espèces préférant une eau fraîche et ne perturbe au quotidien ni les PR, ni les corys (on arrive à nourrir tout le monde et j'ai déjà eu des repros des deux en communautaire).
    Le hic que je suis obligée de mentionner, c'est que, même si c'est relativement peu fréquent, il arrive qu'un PR dans sa perpétuelle quête de nourriture au sol tente d'avaler par mégarde (ce n'est certes pas un prédateur Wink ) un cory passant malencontreusement à portée de bouche. Cela se termine nécessairement mal pour les deux ou au moins pour le cory qui reste fiché par ses ses épines dans la bouche du PR. Beaucoup passe outre et ont la chance de n'avoir jamais de problème, mais le risque existe (plus d'une dizaine de cas connus tout de même) et à 24 corys la probabilité augmente.


  11. Merci Neronn, c'est très gentil.

    Pour l'élevage des jeunes, il n'y a pas de secrets très compliqués. Il leur faut simplement une eau de bonne qualité (changée souvent en aquarium pour ne pas laisser de polluants s'accumuler) et une nourriture abondante (leur donner des infusoires les 3/4 premiers jours suivant la nage libre s'ils sont isolés dans un "bac neuf").
    Les alevins sont par ailleurs très sensibles aux changements de paramètres, notamment de température, ce qui fait qu'en changeant fréquemment l'eau, l'idéal est de pouvoir à chaque fois ré-acclimater tout le monde progressivement lorsque qu'on ne peut garantir absolument la reproduction des mêmes constantes. Une expérience archi-vérifiée pour illustrer cela : si je laisse de très jeunes alevins dans la décante interne de mon 900 litres lors des changements d'eau en arrêtant les pompes qui y font circuler l'eau mais sans couper le chauffage qui s'y trouve, au redémarrage, un écart de température brutal de l'ordre de 2/3 ° entre l'eau de la décante et celle qui circule à nouveau en provenance du bac suffit à faire périr tous les petits.

    Le vrai challenge avec l'élevage des PR, c'est la qualité et son maintien chez les descendants. Tu as d'abord des cas bizarres de poissons à queue simple, ou double mais mal développée, des poissons porteurs de malformation au niveau de la bouche ou encore atteints de nanisme. Ensuite, parmi les poissons sans défaut rédhibitoire, même issus de deux parents au standard, tu as peu de vraies réussites lorsque tu cherches à fixer un type précis. Pour la variété ryukin la qualité des poissons vendus en France (sauf importation ponctuelle de pays asiatiques) est très médiocre et c'est une vraie galère en province d'en dénicher un joli spécimen.

    Alors oui, sachant la difficulté que j'ai à obtenir de jolis ryukins, je ne me sépare pas gratuitement des miens, sauf connaissance offrant des garanties de bonne maintenance.

  12. A défaut de nurserie, on en a au moins les conditions préalables.

    Suite au départ de 14 jeunes poissons rouges qui ne permettaient plus à mes petits exotiques du 220 litres d'exprimer, faute de place, leur comportement de poissons de banc, ce sont d'abord les rasboras qui paraissent contents d'avoir récupéré toute leur zone de nage.

    Joli spectacle de frai ce matin, sauf que venant de replanter et n'ayant pas eu trop le temps de faire les réglages photographiques adéquats, je n'ai pas pu en immortaliser tout cela au mieux. Enfin, du moins, me voila mieux informée de quelques petits trucs.

    Quand les rasboras sont décidés à pondre, c'est en effet tout le groupe qui est surexcité mais rapidement des couples se forment qui vont pondre chacun dans leur coin. Et il y a des mâles opportunistes qui, une fois un couple en train de pondre, se mêle de vouloir participer même s'il n'a pas été retenu !.

    Dans l'ordre des prises de vue (femelle : bord antérieur du triangle noir droit, mâle : bas de ce triangle rebiquant vers l'avant).














    LA photo (évidemment ratée  Evil or Very Mad ) de l'expulsion des oeufs que je poste quand même ...



    Et la certitude que toutes ces parades ont leur utilité : des oeufs pas spécialement petits, en faible nombre et surtout assez peu adhésifs, donc pas commodes à récupérer en communautaire.



    Pour finir, me voici encore plus dubitative qu'avant sur les conditions de déclenchement du frai : ici je suis à 22 ° et personne n'a jamais indiqué ce paramètre  Question

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