Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

La Chine

Membres
  • Compteur de contenus

    818
  • Inscription

  • Dernière visite

Messages posté(e)s par La Chine


  1. C'est toujours mieux de traiter les vers internes en mélangeant le médoc à l'alimentation. Le problème des vermifuges, c'est qu'en effet ils tuent assez rapidement les vers de vase alors que dans l'idéal il faudrait une longue imprégnation (jusqu'à 24 heures).

    Ta méthode a l'air pas mal à partir du moment où tu n'élimines pas trop de produit au rinçage ou via la dissolution des cristaux une fois les artémias mises dans l'aquarium. De toute façon, même en prévention, tu vas sans doute renouveler ce genre de distribution de nourriture, le renouvellement compensant les pertes de principe actif.

  2. J'ai perdu mon mâle leeri de 6 ans de cause inexpliquée : le poisson s'est tordu en U sans plus pouvoir reprendre une position droite, ni bien sûr nager, et est mort en quelques minutes. Je n'avais jamais vu cela.

    Quant aux femelles (5 et 6 ans), elles ont développé des taches blanches sur les yeux, sans que cela semble les gêner. Je ne sais pas si elles atteindront l'âge maximal annoncé de 8 ans.









    Le Trichpodus pectoralis survivant est plus jeune (4 ans). Il est toujours aussi trouillard en dépit de sa taille. Quand je n'aurais plus les leeri, je recréerai un petit groupe de ces poissons en communauté avec les ryukins.














  3. Le petit est toujours présent et bien vif ce matin, tout devrait bien aller.

    @ Roland, je n'avais pas prévu d'avoir autant de C. panda (25 à ce jour) ; c'est les 6 de départ qui ont littéralement colonisé le fond du bac. Par contre, depuis qu'ils sont nombreux (+ éventuellement  la présence du mégalechis), je n'ai plus de repro spontanée qui aboutisse (tous les oeufs disparaissent).

  4. A deux mois, le petit C. panda est parti rejoindre le reste du troupeau.

    C'est épatant l'instinct de ces animaux : bien qu'ayant grandi seul, il a filé rejoindre le groupe des grands et s'est, dans un premier temps, prudemment maintenu en leur milieu.

    Grrr..., impossible de faire du net quand il y a du monde...













    Et, maintenant, il se balade partout, en s'éloignant un peu du groupe.

    Le mégaléchis n'a pas l'air intéressé, pourvu que ça dure parce que vu la taille de sa bouche...














  5. C'est surtout qu'en France, nous n'avons pas cette tradition du poisson rouge sélectionné sur sa conformité à un standard.

    Cela se comprend sachant que c'est plus de 100 dollars pour un poisson de qualité et 500 dollars pour le poisson quasi parfait : à ce prix là, certains réfléchiraient à deux fois avant de les placer dans des bacs inappropriés.

    Ceci dit, même en France un beau spécimen de 2 ans se négocie au moins 50 € .

    Dans mon cas, je ne plébiscite pas les formes ultra-courtes, qui me paraissent faire primer le goût des amateurs sur la mobilité et la santé du poisson.

    Un lien éclairant sur les prix des sujets de grande qualité (NB le lot, c'est LE poisson + 65 € de frais de port).

    http://www.goldfishnet.com/ItemListings.asp

    Et pour s'amuser à trouver le gagnant d'une série de 3 ryukins présentant des longueurs de queues différentes.

    http://www.peterjponzio2.com/index_htm_files/MPKS%20AGA%20Nationals%202009%20Ryukin.pdf

  6. Ah Kris, si tu remontes ce post, tu m'encourages à continuer avec mes photos de jeunes ryukins Razz  

    Et déjà de deux rescapés nés à la mi-janvier 2015 qui ont échappé à la voracité des parents en passant dans la décante interne.
    C'est pour moi l'année des K (il paraît qu'on saute cette lettre pour les animaux de compagnies mais le but du jeu, c'est ici de pouvoir recalculer facilement l'année de naissance des ryukins et je risque d'oublier "le saut").

    A un mois et demi, on repère déjà quelques défauts. Ces deux-là ont bien une queue double. 






    Ils éclaircissent déjà à partir du ventre. L'un a le défaut de mes mâles blancs (dorsale attachée un peu bas sur la ligne du dos). De là à parier sur du futur blanc, au moins partiel...




  7. Maintenant, oui, il grandit relativement vite.
    Néanmoins, je le vois bien rentrer dans la bouche du mégalechis. J'attendrai donc qu'il ne risque plus rien avant de le mettre en sa présence.

    Leur croissance modérée explique sans doute la taille ridicule de jeunes panda que je vois en vente (le moyen de les vendre à un tarif raisonnable : les vendre très petits). Je me demande s'il n'y a pas davantage de risques de pertes avec des poissons encore très jeunes.

  8. Sur l'avant dernière série de photos, on voit en effet des traces rougeatres qui pourraient être le signe d'une infection bactérienne. 
    Difficile d'exclure que cela puisse être une attaque opportuniste secondaire lié à l'affaiblissement pour x ou y raison première des poissons. Ce qui est certain, c'est que tu as bien fait de traiter l'attaque bactérienne dès lors qu'elle est par elle-même une cause de mortalité.

    Te voilà maintenant obligé de faire gaffe à ton cycle de l'azote. Mais avec tous tes aquas, tu ne sera pas à court de nouvelles charges bactériennes Smile .

    Désolée de lire avant de poster que tu viens d'en perdre d'autres.

    Je vais peut-être dire une ânerie, faute d'être habituée à voir des C. hastatus, mais, il me semble qu'en dépit de leurs menus variés, ils n'ont pas beaucoup profité ?


  9. J'adore la panthère noire Wink

    Pour certains poissons, c'est en effet impossible de faire autrement que de les commander par correspondance avec le risque de poissons morts, en mauvaise santé ou non conformes à l'arrivée.
    En plus, les frais de port sont parfois prohibitifs.

    Avoir un retour sur le sérieux de l'expéditeur est déjà un plus. Mais, bon, faute de retour justement, je ne me sens pas prête à à commander des Tamasaba ou des Ryukin chocolats ou bleus de Chine, du Japon ou d'Australie.


  10. Le sujet n'est pas neuf, mais les intérêts du lobbying agro-alimentaire progressent. 

    Après les OGM donc, les AGM (animaux génétiquement modifiés). Cela commence, comme de juste, par les poissons qui touchent moins la capacité humaine d'empathie.

    Le Canada autorise déjà depuis 2013 la commercialisation d'oeufs de saumon génétiquement modifiés. Le saumon lui-même devrait bientôt suivre : certains sujets d'élevage appartenant à l'espèce présente dans l'Atlantique (qui interrompt sa croissance en hiver) sont désormais porteurs du gène de l'hormone de croissance du saumon du Pacifique pour une croissance continue. Et ce n'est pas tout : il s'agit de réussir à implanter demain dans le génome de divers poissons (le tilapia, la carpe) la séquence adn de la truite arc-en-ciel à l'origine d'une capacité de survie en eaux de mauvaise qualité.

    Les conséquences sur la santé ne font l'objet d'aucune étude sérieuse, sans parler de l'impact sur l'environnement quand quelques individus d'élevage auront réussi à s'échapper.

    Pour ceux que ça intéressé, un reportage diffusé en 2004 sur ARTE.



    http://www.nationalgeographic.fr/13231-agm-des-animaux-genetiquement-modifies-bientot-dans-nos-assiettes/

    Sur le saumon mis au point par la firme aquabounty, il suffit de lancer une recherche avec les mots aquadvantage salmon. L'image de "la réussite" :



    Etre informé est important.


  11. Ce que j'ai vu de plus approchant comme boule saillant sur le corps (mais tu dis que, dans ton cas, cela pendouille et donc j'en déduis que cela n'a pas l'air bien accroché), ce sont des vers enkystés. 

    Cela ne ressemble pas sur la photo à un nématode (tu verrais un filament rouge en transparence), un peu plus à un métacercaire (sans certitude, juste une piste à creuser ou à éliminer).

    Aucun traitement possible dans cette hypothèse, le bon côté de "la chose" étant que les poissons ne peuvent pas se contaminer les uns les autres. Plus le poisson est grand et en bonne santé, plus il résiste efficacement à une infection. 
    Evidemment les poissons soumis au stress des multiples transports sont du coup fragilisés.

    http://www.aqualives.com/encyclopedie-aquarium/metacercaires-enkystes-ou-libres-dans-les-visceres-437

  12. Hé bien, pour l'un des deux, nous voilà bien au-delà des 15 premiers jours (le rabougri, qui ne grandissait pas, n'a pas tenu et c'est mieux comme ça).

    A un mois pour le rescapé.

    A côté d'une larve de moustique rouge (qu'il est encore incapable de manger) pour une idée de sa taille.



    Entre la larve et le mini-panda...



    A cinq semaines, la bascule est faite : il a déjà presque tout des grands (et mon appareil photo peut commencer à comprendre sur quoi faire la mise au point).






  13. Pour les PR : de la même espèce oui, mais plus de la même variété. La génétique étant commune, pas de problème de repro entre toutes ces variétés, mais, dans les faits, des comportements et des besoins qui diffèrent assez notablement. 

    Le ryukin, par exemple, aime des températures de 22°/23 et doit être rentré en intérieur l'hiver si on vit dans des régions froides, la profondeur du bassin ne suffisant pas toujours à lui permettre de survivre. Dans un autre registre (comportemental), certaines variétés ne devraient pas être associées: communs et voiles, sauf gros orandas (les voiles étant surclassés, du fait de leur moindre mobilité, en termes d'accès à la nourriture) ou même ruykins / pearscale et "yeux protubérants".

    Après chez les corys, c'est bien l'espèce qui diffère et non la variété (je viens d'ailleurs de découvrir qu'on avait créé une variété de C. panda à nageoires voiles Shocked ). Mais, pour les PR, de variété souche en nouvelle variété fille, et ce sur plusieurs centaines d'années, on aboutit tout de même à des poissons assez éloignés de leurs ancêtres et manifestant des différences au sein d'une même espèce : ce qui fait qu'en cas de maintenance inadaptée, terminée la solidarité, les variétés les moins concurrentielles sont en rivalité avec les plus adaptées. Le groupe demeure fondamental, mais il fonctionne alors par association de certaines variétés (et non plus au niveau de l'espèce).

×
×
  • Créer...