Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

animo-aequoanimo

Membres
  • Compteur de contenus

    8 681
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par animo-aequoanimo

  1. Je suis en train de le lire mais je n'avance pas vite même si je suis en terrain connu, si je peux dire. Je ne suis qu'à la p. 40.
  2. Merci. Je voulais aller à la causerie chez Olivieri mais j'ai eu une journée très chargée et j'aurais été en retard. J'avais tout de même acheté son livre 2 ou 3 jours auparavant. Et dommage quand même qu'ici, les 3/4 de l'entrevue portent sur autre chose que le végétarisme.
  3. Cela montre qu'il y a une demande. Je leur souhaite beaucoup de succès.
  4. Non seulement ce livre semble-t-il intéressant mais cette petite boutique semble offrir une très grande variété de produits de toutes sortes.
  5. À l’occasion de son passage à Montréal Lundi 15 avril à 18h30 Causerie avec Aymeric Caron Autour de son ouvrage NO STEAK Éditions Fayard Bientôt, nous ne mangerons plus de viande. Nous cesserons définitivement de tuer des êtres vivants - 60 milliards d'animaux chaque année - pour nous nourrir. Aymeric Caron a mené l'enquête pour décrire, avec verve et humour, tous les aspects de notre étrange rapport à la viande. Lui-même végétarien depuis plus de vingt ans, mais se gardant de tout prosélytisme et refusant les catéchismes de tout bord, il nous explique de manière limpide pourquoi, un jour, la viande disparaîtra. Aymeric Caron est journaliste et fait partie de l'équipe d'On n'est pas couchés, émission animée par Laurent Ruquier sur France 2 et diffusée à TV5. Entrée libre ! Réservations obligatoires par courriel ou par téléphone : 514 739-3639 En écho à la causerie, le Bistro Olivieri proposera en plus du menu habituel, un menu végétarien : réservez votre table ! 514-739-3303 __________________________________________________________________________________________________________________ (Quand même dommage que pour cette causerie le menu complet de ce bistro ne soit pas végétarien)
  6. La spca devrait approcher les centres d'achat qui permettent ces fermes de Pâques.
  7. Un gardien du Zoo de Saint-Félicien est blessé après avoir été attaqué par un tigre de l'Amour. L'accident s'est produit peu avant 9 h, jeudi matin. Le gardien, un homme de 51 ans, se trouvait dans l'habitat extérieur des tigres pour effectuer le nettoyage. Habituellement, les trois tigres sont dans les quartiers de nuit pendant le nettoyage. Pour une raison que la direction du zoo ignore, ils étaient dans l'habitat extérieur quand le gardien s'y est rendu, jeudi. Il a subi des lacérations au cou et aux bras. Il a été transporté en ambulance à l'hôpital de Roberval, puis transféré à Québec. Son état est critique. La directrice générale du Zoo de Saint-Félicien, Lorraine Gagnon, précise que la femelle tigre s'est placée à l'écart après avoir attaqué l'employé du zoo. La Sûreté du Québec mène une enquête, mais ne croit qu'il y ait des éléments criminels dans le dossier. Des enquêteurs de la Commission de la santé et de la sécurité du travail (CSST) sont également sur les lieux. « Notre plan de sécurité est de haut niveau, indique Lorraine Gagnon. Ça s'est produit. On va tenter de comprendre pourquoi, on va collaborer avec les enquêteurs de la CSST pour comprendre ce qui s'est passé. » Le secteur de l'Asie, où se trouve l'habitat des tigres de l'Amour, est fermé durant l'enquête.
  8. Encore les rouages de formalités qui font que ces animaux ont souffert plus longtemps qu'il n'aurait fallu.
  9. Un accord international Il y avait urgence. Au dernier jour de la Convention sur le commerce international des espèces menacées, les 178 pays membres de la communauté internationale réunis à Bangkok ont confirmé, jeudi 14 mars 2013, la protection de cinq requins menacés par la surpêche. Leur commerce sera désormais régulé. Sont concernés : le requin océanique à pointe blanche (ou requin longimane), trois requins-marteaux (halicorne, grand et lisse), le requin-taupe, ainsi que les raies mantas.
  10. Ah oui ! The Vegg n'est pas si formidable ? Je n'avais pas encore eu l'occasion de m'en procurer. Alors, je vais donc attendre "beyond eggs" qui devrait en effet attirer pas mal d'industries alimentaires si cela s'avère à la hauteur des promesses qu'on nous en fait. Avec tout ce que nous venons de lire dans les nouvelles précédentes sur les horreurs vécues par ces pauvres poules, cela sera vraiment fantastique.
  11. WOW ! WOW !!!! Ça a l'air super ! Même pour faire lever les gâteaux ! Il y a aussi The Vegg qui a des jaunes d'oeufs mais Beyond Eggs me semblent fantastiques. J'espère pouvoir m'en procurer bientôt.
  12. En ayant recours à la même technique utilisée pour cloner la brebis Dolly, des généticiens japonais ont reproduit 26 fois de suite une souris à l'identique, en repartant à chaque fois du dernier spécimen cloné. Le Dr Teruhiko Wakayama et ses collègues du centre Riken pour la biologie du développement ont produit au total 598 souris semblables lors de cette expérimentation commencée il y a sept ans. Ces travaux ouvrent la voie à la possibilité de cloner une vache laitière généreuse ou un animal d'élevage dont la viande serait particulièrement savoureuse, afin d'obtenir un individu aux qualités similaires. Dolly 2.0 La technique de base, appelée transfert nucléaire de cellules somatiques, consiste à prélever le noyau d'une cellule de l'animal que l'on veut cloner, puis à l'introduire dans l'ovocyte énucléé d'un individu de la même espèce, que l'on transplante alors chez une mère porteuse qui accouchera du clone. Dans cette technique, l'équipe nippone a ensuite prélevé le noyau d'une cellule de ce clone pour créer par la même méthode un clone de deuxième génération, et ainsi de suite. Afin de pouvoir reproduire la même opération de nombreuses fois, les chercheurs ont utilisé un agent chimique et ont procédé à quelques autres aménagements techniques. Le résultat est concluant : les rongeurs clones ont des caractéristiques biologiques normales, vivent aussi longtemps que des souris normales et disposent de capacités de reproduction habituelles. Quelques anomalies ont été rapportées chez les clones, notamment un placenta plus grand, mais rien pour compromettre la vie des souris. Ces problèmes ne se sont pas aggravés au fur et à mesure des clonages.
  13. La suggestion des États-Unis d'interdire le commerce transfrontalier des ours polaires et des produits dérivés a mordu la poussière jeudi, à l'occasion d'une rencontre environnementale internationale. Les représentants des États-Unis et de la Russie souhaitaient que les peaux d'ours polaires, les têtes et les autres produits dérivés de leur chasse se retrouvent dans la même catégorie que l'ivoire des éléphants africains. Réunis à Bangkok, en Thaïlande, les délégués à la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (CITES), dont ceux du Canada, ont toutefois refusé d'appuyer cette idée. Seulement 38 délégués ont voté en faveur de la suggestion, contre 42 qui ont voté contre et 46 qui se sont abstenus. On retrouverait entre 20 000 et 28 000 ours polaires à travers le monde, dont les deux tiers en sol canadien. Les États-Unis affirment que les changements climatiques menacent l'habitat des ours polaires et que des mesures anticipées sont nécessaires pour les protéger. Le Canada, l'Union européenne et la Norvège s'étaient notamment opposés à cette mesure. Le Canada avait fait valoir qu'un interdit commercial ne réduirait pas le nombre d'ours abattus lors de chasses traditionnelles ou sportives. Le rejet de la mesure a aussi été applaudi par les Inuits, qui affirment que le Canada assure la protection des ours polaires en encadrant soigneusement leur chasse. Ils ont ajouté qu'un interdit aurait menacé leur mode de vie traditionnel et leur survie. Les militants environnementaux ont lancé qu'une occasion de protéger les ours polaires canadiens vient d'être gaspillée. Ils affirment que les populations d'ours ne sont pas aussi en santé que le prétend le Canada. Une scientifique russe a elle aussi évoqué des populations en déclin. Les autorités américaines affirment que 3200 produits dérivés de la chasse des ours polaires sont exportés chaque année à travers le monde. Un peau d'ours se vend, en moyenne, entre 2000 $ et 5000 $, mais les plus beaux spécimens peuvent valoir jusqu'à 12 000 $ US.
  14. Les douaniers britanniques ont saisi 94 kilos de chenilles séchées à l'aéroport londonien de Gatwick, dans les bagages d'un homme affirmant que les larves étaient destinées à sa «consommation personnelle», a annoncé le ministère de l'Intérieur. Des douaniers ont fouillé les bagages d'un passager âgé de 22 ans, arrivé du Burkina Faso via Istanbul. «Quand ils ont vérifié ses bagages, ils ont découvert des dizaines de milliers de chenilles séchées enveloppées dans du papier cellophane et rangées dans quatre sacs en toile de jute», a indiqué le ministère britannique de l'Intérieur. «Il s'agissait d'une prise peu habituelle», a reconnu Ingrid Smith, du service des douanes. «Je mets en garde tout voyageur contre toute tentative d'introduire (au Royaume-Uni) des produits d'origine animale sans autorisation, car ils (...) pourraient être porteurs de maladies», a-t-elle expliqué. Le Royaume-Uni impose des restrictions pour l'entrée sur son territoire de viandes, produits laitiers, poissons, oeufs et miel, ainsi que des fruits, des légumes et des plantes. Les chenilles, qui sont consommées dans plusieurs régions d'Afrique, d'Asie et d'Amérique latine, figurent dans la liste des produits interdits.
  15. Incroyable et tellement impensable. Et on en fera naître autant d'autres pour remplacer ces derniers et que l'on tuera aussi. Que la vie a peu de valeur quand il ne s'agit pas de la sienne !
  16. par Claudette Samson Peu de Canadiens le savent, mais le Canada est le deuxième exportateur en importance de viande de cheval, et ce, bien qu'il s'en mange très peu ici. L'élan à ce commerce a été donné lorsque les États-Unis ont interdit en 2007 l'abattage de chevaux destiné à la consommation humaine, en réponse aux pressions d'activistes. Dès lors, le Canada et le Mexique ont pris le relais, le Canada devenant le deuxième exportateur après l'Argentine. Quelque 89 000 chevaux ont ainsi été abattus au Canada en 2011, contre 50 000 en 2006. Le pic s'est situé en 2008 avec 113 000. Selon le ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec, tout le cheval vendu dans les épiceries et boucheries québécoises provient de l'Amérique du Nord. Viande Richelieu, près de Saint-Hyacinthe, est la principale usine d'abattage et de découpe de cheval au Québec. Elle possède une autre usine en Alberta, qui exporte toute sa production, et une installation en France, directement sur le site de l'aéroport Paris-Charles-de-Gaulle, d'où elle réceptionne et distribue dans toute l'Europe les produits importés quotidiennement du Canada par avion, peut-on lire sur le site de la compagnie. Selon le directeur des ventes de Viande Richelieu François Bouvry, les animaux de l'usine québécoise proviennent principalement du nord-est des États-Unis et des provinces de l'Atlantique. Des chevaux traçables Compte tenu des exigences fédérales en matière de traçabilité, il affirme que l'origine de chacun d'eux peut être retracée jusqu'au propriétaire, ce qui n'est pas nécessairement le cas pour ceux acheminés au Mexique, dit-il. Viande Richelieu a déjà été prise à partie par une association de protection animale pour ses pratiques. M. Bouvry se défend en assurant que dans toutes les formes d'abattage, les méthodes se sont améliorées depuis quelques années; il précise aussi qu'une caméra est maintenant installée en permanence sur le bureau du vétérinaire. La fin de l'abattage de chevaux destinés à la consommation humaine aux États-Unis n'aurait par ailleurs pas permis d'améliorer la condition des bêtes. Il y a eu en 2010 autant de chevaux américains destinés à l'alimentation qui ont été abattus qu'en 2006. La différence est que les bêtes voyagent beaucoup plus longtemps pour se rendre aux abattoirs canadiens ou mexicains, ce qui affecte leur bien-être. Il y a eu également plus de cas de maltraitance et d'abandon de la part des propriétaires, l'arrêt de l'abattage ayant entraîné une baisse des prix.
  17. Du cheval dans votre assiette par Claudette Samson Le boucher Jacques St-Pierre, de Saint-Rédempteur, se targue d'offrir du cheval de qualité supérieure. Je le sais, on le voit plus volontiers courant crinière au vent dans les champs que dans notre assiette. Bien qu'elle ait été consommée de tout temps, la viande de cheval demeure toujours marginale au Québec. Zoom sur un sujet sensible... et culturel. Nutritive, faible en gras et en cholestérol, contenant beaucoup de fer et de protéines, la viande chevaline a tout pour satisfaire les carnivores en quête de viande de qualité. En outre, elle est habituellement moins chère que le boeuf. Malgré cela, elle représente moins de 1 % du marché des viandes au Québec, selon François Bouvry, responsable des ventes chez Viande Richelieu, principale entreprise d'abattage et de découpe de cheval au Québec. Les anglophones, eux, n'en mangent pas, dit-il, en relevant le caractère culturel de cette consommation. De fait, selon un rapport de l'organisme France AgriMer, l'hippophagie, ainsi qu'on nomme la consommation de cheval, est très inégalement répartie dans le monde. Marginale en Afrique et en Amérique, elle est surtout pratiquée dans les pays d'Europe et d'Asie. En Europe, où sévit présentement un scandale d'étiquetage frauduleux de viande chevaline que certains ont tenté de faire passer pour du boeuf, ce sont les Italiens qui en consomment le plus, suivis des Suisses et des Français. Notez que s'il fallait aborder le sujet sous l'angle des différences culturelles alimentaires, on pourrait en avoir pour longtemps. On n'a qu'à voir les débats autour de la viande halal ou casher. Et qui, ici, veut déguster du chien ou du chat, du rat ou des insectes? Pourtant, il s'en mange ailleurs sur la planète. Mais revenons au cheval. Le sujet est sensible car sa consommation est loin d'être acceptée comme celle du boeuf. Et ses détracteurs ne sont pas nécessairement végétariens, loin de là! Certains parleront du caractère noble de l'animal. Et c'est vrai qu'il a de la classe. Tout comme il est vrai que les lapins sont vraiment «mignons», raison pour laquelle des gens refusent catégoriquement d'en avaler alors que d'autres s'en régalent. Plus encore, cheval ou lapin sont également des animaux de compagnie pour plusieurs. Et il faut bien admettre que la relation entre le cheval et les humains peut être particulièrement intense, ce qui arrive plus rarement avec un boeuf... «Chez nous, on fait de l'équitation», m'a dit un collègue pour expliquer son refus d'en mettre sur la table. Si certains n'en ont jamais mangé simplement parce que l'occasion ne s'est pas présentée, d'autres ont cette idée en horreur. «Je donnerais même pas ça à mon chien», a entendu une collègue au moment de prendre un paquet dans le comptoir de l'épicerie. On trouve aussi sur Internet des images de conditions d'abattage choquantes. C'est vrai, ça existe. Ça existe aussi dans certains abattoirs de boeufs ou d'agneaux. Le système de surveillance n'est pas parfait, et on ne peut qu'espérer que ceux qui sont témoins de pratiques douteuses les dénoncent. Aux États-Unis, l'abattage de chevaux destinés à la consommation a été interdit en 2007 à la suite de pression des défenseurs des droits des chevaux. Malgré cela, le nombre de bêtes abattues à cette fin n'a pas diminué. La seule différence est qu'elles voyagent plus longtemps, vers les abattoirs canadiens ou mexicains, et qu'il y a eu plus de cas de maltraitance et d'abandon en raison de la chute des prix. Loi modifiée Les plus vieux se souviendront peut-être qu'à une certaine époque, les boucheries qui vendaient du boeuf n'avaient pas le droit de vendre du cheval et vice versa. Cette restriction a été abolie en 1994. La plupart des supermarchés offrent de la viande chevaline, mais on en trouve plus difficilement dans les petites boucheries de quartier. La boucherie Jacques St-Pierre, à Saint-Rédempteur, est de celles qui se targuent d'offrir du cheval de qualité supérieure. Et d'avoir une clientèle assidue. Malgré tout, convient M. St-Pierre, le cheval ne représente qu'une portion minime de ses ventes par rapport au boeuf, peut-être 2 à 3 %. Mais certains ne jurent que par ça, dit-il. Des clients viennent d'un peu partout dans la région et en achètent pour 600 ou 700 $ à la fois. Maigre et nutritive Les amateurs apprécient son côté maigre, ainsi que ses qualités nutritives. Les sportifs à la recherche d'un bon apport protéinique en sont friands. Âgé de 67 ans et cumulant 47 ans de métier, M. St-Pierre n'hésite pas à défendre son métier et à inviter les consommateurs à faire affaire avec un «vrai boucher». «La manière de couper la viande est très importante, tout part de là. Nous, on enlève tous les nerfs.» Côté goût, il recommande particulièrement la viande de poulain, un peu plus rosée que celle de l'animal adulte. Certains clients lui achètent même du gras de cheval (la couenne) pour... cuire les frites. Paraît-il que celles-ci sont particulièrement croustillantes, disait-il en se promettant de l'essayer. Pour ma part, il y avait des années que je n'avais pas mangé de cheval. Histoire de me rafraîchir la mémoire, j'ai acheté de la viande hachée - au supermarché, désolée M. St-Pierre! - que j'ai préparée en hamburgers. Au risque de me faire tirer des tomates par les détracteurs, je dois dire que c'était délicieux!
  18. Naufrage en Nouvelle-Ecosse Les recherches doivent se poursuivre au large de la Nouvelle-Écosse, mardi matin, afin de retrouver cinq pêcheurs, de la région de Woods Harbour, disparus depuis dimanche soir. L'équipage du Miss Ally a lancé un appel de détresse après que son navire eut chaviré au large de Liverpool, dans le sud-ouest.
  19. http://www.ineris.fr/questionnaire_picaso Il faut indiquer un département. Certaines questions laissent songeurs. On se demande où ils veulent en venir avec. Mais bon, j'ai tout de même répondu.
×
×
  • Créer...