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animo-aequoanimo

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  1. Les éléphants africains menacés par la passion des Chinois pour l’ivoire L'appétit des Chinois pour les sculptures en ivoire est en voie de décimer la population d'éléphants africains L'appétit presque insatiable des Chinois pour les sculptures en ivoire est en voie de décimer la population d'éléphants africains. Chaque année, plus de 20 000 bêtes sont abattues simplement pour leurs défenses. Cette situation est d'ailleurs décriée par plusieurs personnalités et organismes internationaux. Le problème est devenu tellement criant que même le géant chinois du basketball Yao Ming a décidé de sortir de sa retraite pour venir en aide aux éléphants. L'athlète a produit un documentaire sur l'extinction de l'espèce en Afrique et n'hésite pas à organiser des points de presse en Chine pour sensibiliser la population aux dangers d'un tel commerce. « Acheter de l'ivoire est l'équivalent d'acheter une balle pour tuer l'animal. J'espère que vous allez tous arrêter de consommer ce type de sculptures pour préserver la population mondiale d'éléphants », indique-t-il. Les prix explosent Malgré les campagnes de sensibilisation et les documentaires, les points de vente pour ce type de sculptures se multiplient à Pékin. En fait, plus le niveau de vie des Chinois augmente et plus la demande pour l'ivoire grimpe. La Chine est même devenue au cours des dernières années le plus important marché illégal d'ivoire sur la planète. En fait, le trafic d'ivoire est interdit depuis 1989 dans plusieurs pays, mais en Chine, de petites quantités sont toujours importées pour alimenter l'art plusieurs fois centenaire de la sculpture. On estime toutefois que 90 % de ce que l'on voit dans les boutiques est illégal. Cette fièvre de « l'or blanc » est directement responsable du braconnage en Afrique. Un kilogramme d'ivoire se négocie environ 3000 $ sur le marché international, un marché très lucratif, considérant que les défenses d'un éléphant peuvent peser plus de 100 kilogrammes. « Nous sommes confrontés à du braconnage de niveau industriel. Le crime est très sérieux et les gouvernements doivent agir pour combattre ce fléau », indique John Scanlon, le secrétaire général de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction. Les chiffres sont accablants, disent des chercheurs. Plus d'animaux ont été tués entre 2009 et 2012 en Afrique que dans toute la décennie précédente. À ce rythme, la population d'éléphants, estimée entre 420 000 et 650 000 animaux, pourrait complètement disparaître d'ici 10 ans. Le gouvernement chinois continue d'ignorer le problème, malgré tous les impacts qu'il a en Afrique. Car, non seulement la survie des éléphants est-elle menacée là-bas, mais les revenus du trafic d'ivoire seraient empochés en partie par des groupes rebelles et terroristes.
  2. http://www.mesopinions.com/petition/droits-homme/defendre-giuseppe-rue-annee-2010/12659 Il y a de cela 44 ans, Giuseppe posa son pied en France et n'en repartit pas. Une date se profile, une date anniversaire, un bien triste anniversaire, le 7 septembre prochain, celui du jour où il a été mis à la rue. "Trois hommes ont oeuvrés et appliqués des directives. Un ouvrier sciait la porte, un brigadier et un huissier le secondaient. "Ils ont lu mon certificat médical et puis il m'ont jeté dehors. Malade et âgé." me raconte Giuseppe. Il est pieds nus, assis sur la marche du camion. "Regarde-moi, regarde mes pieds." - Oui, ils sont dégueulasses." Il me répond, indigné: "Mes pieds n’étaient jamais sales avant ! En Italie, c'est une culture, les hommes s'habillent. Regarde mes costumes dans mes trois valises restées dans le garde meuble. Regarde les, tu verras. Ils sont coupés sur mesure dans les plus belles étoffes. Dans mon appartement, je les regardais , je les aérais, je les portais. Regarde ce que je suis aujourd'hui. Ma vie d'avant n'existe plus . Ils m'ont condamné à perpétuité au goulag. Une perpétuité de merde et de crasse. C'est une mort. Pourquoi? Pourquoi ils ont condamné un homme à mort ? Parce que je donne à manger aux pigeons." Giuseppe a été expulsé il y a 4 ans de l'appartement qu'il occupait rue Saint Martin dans le 4e arrondissement, sous le prétexte officiel de ne pas utiliser l'appartement en « bon père de famille » ? Une expulsion en réalité motivée parce qu'il soigne et nourrit les pigeons du quartier. Une expulsion réalisée sans égard pour sa santé fragile. Nous vous demandons de signer cette pétition pour défendre Giuseppe de la haine, pour que la mairie de Paris comprenne que Giuseppe est soutenu dans son action, pour invoquer la mairie à ne pas valider la haine de certains contre un homme. Comment un pays comme la France qui se dit être un pays des droits humains. Pays de liberté, d'amour et de fraternité peut-il encore à nos jours laisser faire de telles choses ? Pour savoir plus sur Giuseppe : https://www.facebook.com/Les.amis.de.Giuseppe?fref=ts
  3. Nouvelle confrontation sur le terrain judiciaire ! Rappelons qu’au cours de l’action citoyenne de Maubourguet, Jean-Pierre a été chargé par 7 CRS qui l’ont ensuite emmené au commissariat où il a passé 20 heures en garde à vue, et dont il est ressorti avec une convocation judiciaire suite à des plaintes déposées par la mairie de Maubourguet et le club taurin organisateur du « spectacle ». Mais les anti-corrida eux aussi devraient déposer plainte, notamment un jeune qui a eu le crâne ouvert à coups de barre de fer par un aficionados, ainsi qu’un autre militant qui souffre de plusieurs fractures (bassin, tibia et coude) qui lui ont été occasionnées par les forces de l’ordre, selon ses dires. « Les activistes qui ont sauté dans l’arène ont été massivement gazés à bout portant, ce qui est formellement interdit par la procédure et le code de conduite des policiers en maintien de l’ordre. Ceux qui couraient dans le ruedo ont été frappés à coups de matraque dans les bras et les jambes, parfois sur la tête. Une fois plaqués au sol, ils ont systématiquement été étranglés et tabassés à coups de pieds. (…) En Belgique, tout n’est pas rose, mais dans cette situation, il ne se passerait pas 24 heures avant qu’un parlementaire n’interpelle le ministre de l’Intérieur », raconte quant à lui Jean-Marc Montegnies, le Président d’Animaux en Péril, qui était également sur place. Un mouvement solidaire s’est déjà créé pour venir soutenir Jean-Pierre Garrigues devant le tribunal de Tarbes le 6 janvier prochain. Affaire à suivre. http://www.planeteanimaux.com/sujet/2014/08/26/jean-pierre-garrigues-convoque-au-tribunal-suite-aux-evenements-de-maubourguet/
  4. Merci pour la pétition, hop. J'espère que la dénonciation de ces horreurs permettra que des personnes seront sensibilisées à ne plus acheter de produits de fourrure ou garnis de fourrure.
  5. Des renards et des visons élevés dans des conditions cruelles en Montérégie : la SPCA accuse Québec de mollesse La Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA) reproche au gouvernement du Québec de ne pas en faire assez pour protéger les animaux d'une ferme de la Montérégie. Il s'agit d'un élevage d'une centaine de renards et 2000 visons destinés à la production de fourrure dans la région de Saint-Hyacinthe. Selon la SPCA, ils sont gardés dans des conditions insalubres et dangereuses. La SPCA a pu visiter la ferme en mai, grâce à un mandat obtenu après une plainte. L'avocate et directrice de la protection des animaux à la SPCA, Alanna Devine, a été horrifiée par ce qu'elle a découvert. « Des animaux qui n'ont pas accès à de l'eau potable, de grandes quantités d'excréments, des cages crasseuses... Le genre de choses qui ferait scandale s'il s'agissait de chiens. Des cages électrifiées, sans accès à un sol dur. C'était très difficile à voir », raconte-t-elle. Une vétérinaire a aussi examiné les animaux à la demande de la SPCA. « J'ai vu plusieurs types de blessures et de maladies, dit Sherri Cox. La déshydratation était évidente chez l'ensemble des 91 renards. La plupart des animaux étaient amaigris ou affamés. J'ai aussi constaté une variété de blessures : orteils cassés, jambes cassées, œil manquant, lésions sur la queue. » La SPCA a interpellé le ministère de la Faune pour qu'il retire les animaux de la ferme. Selon Mme Devine, le ministère a été lent à intervenir, et il n'en fait toujours pas suffisamment dans le dossier. La découverte a été faite en mai, mais ce n'est qu'à la mi-juillet que des inspecteurs du ministère se sont rendus sur place, et il n'y a eu aucune conséquence immédiate. Le ministère est retourné sur place début août, accompagné par la SPCA. Il a saisi 16 renards arctiques détenus illégalement et a euthanasié 4 renards roux et 1 vison. Les autres animaux ont été laissés sur place, au grand désespoir de Mme Devine. Le ministère assure qu'il prend l'affaire au sérieux. La vétérinaire en chef Guylaine Seguin affirme que des inspecteurs se rendent sur place tous les deux ou trois jours depuis le 4 août. « Notre approche est un peu différente de celle de la SPCA. Nous préférons laisser les animaux où ils sont pour le moment », dit-elle. Le ministère veut donner la chance au propriétaire de se conformer à ses exigences, dont un accès adéquat à de l'eau et de la nourriture. Mme Seguin affirme que le propriétaire collabore et que des inspecteurs continuent de visiter la ferme. La SPCA croit que la situation met en lumière un problème plus large : le manque d'encadrement de l'élevage d'animaux pour la fourrure. Alors que plusieurs pays dans le monde interdisent l'élevage d'animaux pour la fourrure, les producteurs québécois n'ont même pas besoin de permis pour le faire dans la plupart des cas, ce qui fait qu'il n'existe pas de registre d'éleveurs. L'organisme demande au ministre de la Faune, Laurent Lessard, d'agir.
  6. Le jeune phoque à capuchon, âgé d'un an tout au plus, a été observé la semaine dernière au Vieux-Port de Montréal, lundi soir à la marina de Longueuil et hier près de La Ronde, au parc Jean-Drapeau. L'animal semble en bonne santé et serait tout simplement un voyageur curieux. « Je l'ai vu, il essayait de monter sur le quai à l'autre bout. Après ça, il est allé dans la descente de bateau, puis on ne l'a plus revu », raconte Jacques, qui vit sur son bateau à la marina de Longueuil la moitié de l'année. Le phoque au dos bleu s'est reposé sur un quai. Il faut dire qu'il a fait un long voyage depuis les eaux salées plus froides du golfe ou de l'estuaire du Saint-Laurent. Un phoque avait déjà été aperçu en décembre 2013 au Vieux-Port de Montréal, de même qu'un béluga l'année précédente. Un petit rorqual a aussi été observé dans le secteur de Repentigny il y a quelques années. « Ce sont des animaux qui voyagent, qui explorent », explique la biologiste Josiane Cabana, porte-parole du Réseau québécois d'urgences pour les mammifères marins. Elle ne croit pas que le phoque soit perdu ou en difficulté. La biologiste ne croit pas que les changements climatiques soient en cause. Elle rappelle que la population de phoques est en forte croissance et que ce genre de visite pourrait devenir de plus en plus fréquente. Il est illégal d'approcher un mammifère marin, pour le nourrir par exemple. Des agents de Pêches et Océans Canada peuvent remettre des constats d'infraction. « C'est un animal sauvage, alors il est très important de garder ses distances, de ne pas tenter d'interagir avec lui », précise Josiane Cabana. La biologiste rappelle que « la nature va faire les choses » et que l'animal repartira de lui-même. Mais il pourrait également mourir : « Ce n'est pas impossible, c'est le cours normal de la vie », explique Josiane Cabana.
  7. L’Angleterre veut réduire l’expérimentation animale Norman Baker, le Ministre britannique en charge de la régulation de l’expérimentation animale outre Manche a déclaré vouloir voir disparaître cette pratique. Et ce, totalement. Une opinion qui mérite des applaudissements ! Norman Baker milite contre la vivisection depuis de nombreuses années. Cette cause lui tient à coeur, et il s’est félicité avant hier de la « bonne direction » prise à ce sujet par son Gouvernement. La régulation de l’utilisation des animaux pour la science est désormais sous sa coupe, et il compte bien utiliser son statut politique pour persuader les acteurs de l’industrie pharmaceutique de cesser l’expérimentation animale. En plus d’être une question de morale, il a indiqué à la BBC qu’il était convaincu qu’un tel changement permettrait à l’Angleterre d’obtenir un « avantage stratégique, bénéfique pour l’économie ». Même si il est conscient que la fin des tests sur les animaux « n’arrivera pas demain », il ne compte pas baisser les bras. L’un de ses premiers objectifs est d’abolir la clause de confidentialité qui protège les chercheurs travaillant sur des animaux vivants (les données concernant ce qui leur arrive réellement dans les laboratoires sont confidentielles et protégées par la loi face à la divulgation ou à la consultation) pour plus de transparence. Ce changement législatif est « sa priorité ». La BBC affirme quant à elle que le nombre d’expériences pratiquées sur les animaux a augmenté de 52% entre 1995 et 2013 au Royaume-Uni. Les rongeurs et les poissons sont les espèces les plus fréquemment utilisées. Quant aux pratiques, c’est l’élevage d’individus génétiquement modifiés qui s’est le plus développé. De son côté, la British Union for the Abolition of Vivisection rappelle que des millions d’animaux continuent de souffrir et de mourir dans les laboratoires anglais, et note que le pays est l’un des plus gros utilisateurs de l’expérimentation animale à l’échelle mondiale. L’association plaide pour le développement de méthodes alternatives, ce qui nécessiterait un financement dédié de la part du Gouvernement.
  8. Animaux: Paradis veut changer le code civil QUEBEC - Terreau fertile pour les usines à chiots, champion de la maltraitance, le Québec a une bien mauvaise réputation en regard du sort réservé aux bêtes. Mais la situation va changer, promet le ministre de l'Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ), Pierre Paradis. Un projet de loi est sur la table à dessin pour modifier le code civil et conférer un nouveau statut aux animaux domestiques et d'élevage, a confié le ministre Paradis à La Presse Canadienne. «Je veux aller le plus rapidement possible, ça fait partie de mes priorités législatives», a déclaré M. Paradis en entrevue. Une fois les modifications apportées au code civil, minou, pitou, et autres bêtes ne seront plus considérés comme de simples «biens meubles» mais comme des êtres vivants «doués de sensibilité», une formule déjà adoptée par plusieurs pays européens. «J'ai obtenu un accord de principe de la ministre de la Justice (Stéphanie Vallée) sur la redéfinition de l'animal. Chez nous, en vertu du code civil, la notion d'un animal est celle d'un bien meuble, ça veut dire que, techniquement, tu peux lui donner un coup de pied ou lui scier une patte. Et c'est considéré comme tel par les tribunaux», a relaté le ministre. «On s'inspire de ce qui s'est fait en France où ils ont redéfini la notion de l'animal comme étant un être sensible à la douleur. On essaie de voir quelles seraient les conséquences juridiques chez nous mais on ne veut pas que ça reste un bien meuble», a-t-il ajouté. Ce changement de statut ne sera pas sans conséquence juridique puisque les tribunaux devront tenir compte de la douleur et de la détresse des animaux au moment d'infliger des peines ou des amendes aux contrevenants. La reconnaissance légale de la sensibilité animale ne confère pas des «droits» aux animaux mais aura pour effet d'accroître les obligations des propriétaires et des éleveurs envers les bêtes. «C'est le bien-être de l'animal (qui est pris en compte) et c'est là que les sociétés s'en vont. On voit comment évoluent les choses en Europe dans les élevages agricoles: des cages plus grandes pour les truies, des poules en liberté. Si tu n'embarques pas dans ce mouvement, tu vas t'exclure de marché», a dit M. Paradis. De fait, le projet de loi en préparation n'a pas qu'un objectif humanitaire. Il y a aussi des impératifs commerciaux en jeu que le Québec aurait tort de sous-estimer, selon le ministre. «Aujourd'hui, à partir du moment où tes compétiteurs peuvent dire aux acheteurs que tu ne traites pas bien tes animaux, ils t'éliminent du marché (...) On est en plein dans le cadre d'un traité de libre-échange avec l'Europe et nous serons affectés si on ne s'ajuste pas», a-t-il soutenu. Le MAPAQ dispose de moyens limités pour les inspections et la situation financière du Québec ne permet pas, de l'avis du ministre, d'accroître les ressources. Les quelque 250 inspecteurs doivent notamment veiller à la qualité des produits alimentaires et aux infrastructures des entreprises agricoles en sus du bien-être des animaux. M. Paradis mise plutôt sur la dénonciation. Le ministère a d'ailleurs annoncé en juin la mise en place d'une nouvelle ligne téléphonique sans frais, le 1 844 ANIMAUX, en opération 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. La ligne permet aux citoyens de signaler toute situation mettant en danger la santé, la sécurité et le bien-être des animaux de compagnie ou d'élevage. L'épisode récent des veaux maltraités dans une ferme de Pont-Rouge et le fléau des usines à chiots implantées ça et là sur le territoire montrent combien le Québec a une longue pente à remonter en matière de bien-être animal. En 2013, l'organisme «Animal Legal Defense Fund» (ALDF) a classé le Québec au 12e rang sur 13 parmi les provinces et territoires les plus laxistes. Seul le Nunavut faisait pire que le Québec en ce qui concerne la protection des animaux. Dans son communiqué, l'ALDF a attribué au Québec le titre peu flatteur de «province la plus accueillante pour ceux qui maltraitent les animaux» (Quebec Remains Best Province to be an Animal Abuser). «C'est Gandhi qui disait qu'on juge l'évolution d'une société à la façon dont elle traite ses animaux. Ça fait qu'on a de la place pour l'évolution», a admis M. Paradis. Sous réserve d'analyser le projet de loi, la directrice du Groupe de recherche en droit animal (GRIDA) de l'Université du Québec à Montréal, Martine Lachance, a salué l'intention manifestée par le ministre d'abandonner la notion de «bien meuble» associée aux animaux. «On dit aux humains, 'vous ne pouvez plus traiter les animaux comme des biens inertes et sans émotion'. Ça va obliger les gens à se conscientiser, ça va obliger le système judiciaire à réagir, il y aura du changement, c'est certain», a-t-elle estimé. Une fois la sensibilité de l'animal pleinement reconnue, «les juges québécois n'auront pas le choix, d'après moi, d'être un peu plus coercitifs», a avancé la professeure.
  9. Un castor est responsable de la chute d'un arbre sur le véhicule de touristes québécois à l'Île-du-Prince-Édouard Des touristes québécois ont eu toute une peur lorsqu'un gros arbre s'est abattu sur leur véhicule tandis qu'ils roulaient tranquillement sur une route de l'Île-du-Prince-Édouard. La famille roulait sur la route 16, près de Souris, lorsque l'arbre est tombé sur la voiture. Les deux adultes et les deux jeunes enfants n'ont pas été blessés, mais leur véhicule a subi des dommages importants. Le conducteur a raconté qu'il a vu l'arbre tomber, mais n'a pas réussi à l'éviter à temps, selon la GRC. En examinant l'arbre au sol, de même que quelques autres dans les parages, les policiers ont découvert que les troncs avaient été rongés par des castors et étaient devenus instables. La GRC a ordonné l'abattage des arbres endommagés pour éviter qu'un autre accident du genre se produise.
  10. La danseuse étoile française Sylvie Guillem se rend dans les îles Féroé la semaine prochaine pour lutter contre la chasse aux dauphins, en soutien à l'ONG Sea Shepherd. «On ne sait plus que l'on fait partie d'un tout, et que si ce tout perd sa balance, c'est ce tout qui est foutu», a-t-elle souligné, pointant la menace que représentent les «grinds», la tradition de la chasse aux dauphins dits «pilotes» dans les Iles Féroé, datant de l'époque où les Féringiens étaient très isolés et avaient peu de moyens de subsistance. Mobilisée aux côtés de Sea Shepherd depuis 4 ans, celle qui fut danseuse étoile à l'Opéra national de Paris dans les années 80 décrit son engagement comme une évidence. «Ce sont des petites actions, pour ne pas se taire, pour ne pas fermer les yeux», selon elle. «C'est important que quelqu'un comme Sylvie vienne nous aider à parler de ce qui se passe ici», a confié à l'AFP la présidente de Sea Shepherd France, Lamya Essemlali. Depuis le mois de juin, l'association de défense des océans mène une campagne sans précédent contre ce qu'elle qualifie de «plus grand massacre de mammifères marins en Europe», avançant le nombre de 1.500 cétacés ainsi tués par an. Défendue par les autorités locales de l'archipel - sous protectorat danois - situé entre l'Islande et l’Écosse, cette pratique séculaire consiste à rabattre des dauphins dans des criques pour les attraper depuis la plage à l'aide de crochets et les tuer à l'arme blanche. «L'arrivée de Sylvie tombe à pic (...) C'est pendant l'été qu'il y a le plus de bébés dans les groupes», a confié Mme Essemlali. 500 militants de Sea Shepherd et de la Fondation Bardot se relaieront jusqu’en octobre au sol et en mer pour repérer les dauphins avant les chasseurs et les éloigner le plus possible des côtes. Grâce à cette mobilisation, aucun cétacé n'a été tué pour le moment cette année, a souligné la responsable de l'ONG. À bientôt 50 ans, Sylvie Guillem estime naturel d'allier sa passion de la danse à celle de la protection de l'environnement: «Avec ma notoriété, je peux aider à ouvrir les gens, parce que je pense que la solution viendra des individus (...) c'est eux qui font la différence».
  11. Pour tenter d'atténuer le scandale des produits à base de poulet fabriqués en Chine, la chaîne McDonald's Japon a lancé des nuggets au tofu, la pâte de soja. Depuis mercredi, les clients des plus de 3.000 restaurants de la chaîne américaine sur l'archipel peuvent acheter des «Tofu Shinjo», un plat qui mélange du tofu, des légumes et du poisson. Mardi, la présidente de McDonald's Japon, Sarah Casanova, avait présenté ses excuses à ses clients et annulé ses prévisions financières antérieures, le temps d'évaluer l'impact du scandale sur ses comptes. En conférence de presse, Sarah Casanova s'était excusée «pour l'inquiétude et le souci que cette situation a pu causer» à ses consommateurs. 20% des McNuggets au poulet provenaient de l'usine incriminée McDonald's Japon avait annoncé dès vendredi dernier avoir cessé l'importation et la vente dans ses 3.139 restaurants de tous les produits à base de poulet venant de Chine. L'an dernier, la filiale japonaise de la multinationale américaine avait acheté en Chine 17.000 tonnes de produits à base de poulet, soit 38% de ses approvisionnements. Environ 20% des McNuggets au poulet provenaient de l'usine incriminée et fermée par les autorités de Husi Food, filiale shanghaïenne du groupe américain OSI Group, qui a réétiqueté et commercialisé des viandes périmées, en falsifiant des dates de fabrication. A Hong Kong, la chaîne de restauration rapide s'est débarrassée depuis lundi de 43 tonnes de produits fabriquées par l'usine de Shanghaï.
  12. La police interroge ce mardi des personnels du groupe OSI, fournisseur de McDonald’s et KFC en Chine et soupçonné d’avoir mélangé de la viande avariée avec de la viande fraîche. Les policiers chinois interrogeaient mardi à Shanghai le personnel d’une unité du fournisseur alimentaire OSI Group qui aurait vendu de la viande avariée dans des McDonald’s et des KFC, tandis qu’un quotidien officiel accusait les «marques étrangères» de n’avoir pas détecté le problème plus tôt. Les autorités de Shanghai ont fermé dimanche une usine du groupe OSI. Ce fournisseur de McDonald’s et KFC en Chine est soupçonné d’avoir mélangé de la viande avariée avec de la viande fraîche et ré-étiquetté des produits périmés. La police interrogeait «plusieurs» employés de la filiale d’OSI Shanghai Husi Food Co., a rapporté le Shanghai Daily, alors que la télévision locale a indiqué que ces responsables avaient été placés «sous contrôle». «Pas une attitude loyale envers les consommateurs chinois» Dans un éditorial, le journal Global Times a accusé McDonald’s et le groupe de restauration Yum, qui possède notamment KFC et Pizza Hut, d’avoir failli dans la surveillance de leurs fournisseurs. «Les marques internationales connues n’ont pas eu une attitude loyale envers les consommateurs chinois, estime ce quotidien officiel, connu pour sa ligne éditoriale nationaliste. Peut-être pensaient-elles que le marché chinois était grossier, et que des services juste suffisants conviendraient en Chine.» McDonald’s a déclaré dans un communiqué avoir «immédiatement» arrêté d’utiliser la production de cette usine et le groupe de restauration Yum a indiqué que ses restaurants KFC et Pizza Hut avaient également cessé de servir de cette viande.
  13. C'est une atrocité. Il faut signer la pétition et la faire circuler. Merci !!! Chaque année, dans un village près de Hanoï, un cochon est brutalement coupé vivant en deux pour que les gens puissent enduire des billets de banque de son sang dans la croyance stupide que ceci leur apportera la chance. http://www.avaaz.org/en/petition/Abolish_the_brutal_pig_festival_at_Nem_Thuong_village_Vietnam/?cVkCeib
  14. La Fondation Rivières montre du doigt un barrage hydroélectrique sur la rivière Nicolet Sud-Ouest à Sainte-Brigitte-des-Saults, qu'elle tient pour responsable de la mort de centaines de poissons. Des pêcheurs sportifs locaux ont rapporté au début juillet la mort de centaines de poissons au pied de la petite centrale de 4,5 MW, qui appartient à la compagnie ontarienne Algonquin Power Fund Canada. Selon la fondation, une crue subite occasionnée par des pluies abondantes a vraisemblablement fait basculer près de 400 poissons au-dessus de la crête du barrage. Ceux-ci se seraient ensuite retrouvés en aval dans une rivière quasi asséchée lors du retour au débit minimal prévu pour la période estivale. La Fondation Rivières souligne que ce débit a été autorisé par le gouvernement du Québec lors de la construction du barrage en 1992. Il n'est toutefois pas soumis à la politique adoptée en 1999 pour prévenir et minimiser les impacts négatifs liés à l'exploitation des centrales hydroélectriques. L'organisme interpelle directement les ministres David Heurtel et Laurent Lessard pour qu'ils agissent avec urgence dans le dossier. Il leur est demandé de réviser le débit minimal du barrage et d'exiger la construction d'une passe migratoire pour les poissons. Personne au ministère de l'Environnement n'a été en mesure mardi de commenter le dossier.
  15. Un couple de Ste-Marguerite-du-Lac-Masson a investi dans un centre du cheval, avec spectacle et refuge pour chevaux Chaque année au Québec, des dizaines de chevaux sont laissés à l'abandon par leurs propriétaires. Samuelle Ducroq-Henry a décidé d'en sauver quelques-uns et de leur offrir une nouvelle vie : le monde du spectacle. Samuelle Ducroq-Henry est professeure et chercheuse dans le domaine du jeu vidéo. Elle est aussi passionnée par les chevaux. « Depuis plusieurs années, je voulais écrire un roman qui mettrait en scène des chevaux. Ma belle-famille, qui possède une entreprise spécialisée en audiovisuel en France, a décidé de s'inspirer de mon roman pour concevoir un spectacle. » Deux représentations sont prévues les 26 et 27 juillet prochains, sur la propriété du couple, à Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson. Une supplémentaire pourrait être ajoutée le 25, selon la demande. « Nous attendons environ 400 personnes par représentation et nous prévoyons aussi des dates en décembre », précise Mme Ducroq-Henry. « Nous comptons une vingtaine de chevaux dans ce spectacle, où nous enchaînons les numéros d'acrobatie et de cirque », explique-t-elle. « Nous y retrouvons quelques chevaux que nous avons recueillis, dont Morgan, qui y fait une voltige cosaque, et Rosada, une vieille jument de 27 ans, nous sert d'écran vivant pour la projection audiovisuelle. » Le spectacle met aussi en scène 16 artistes, dont des acrobates, artistes de cirque, musiciens et cavaliers. « Travailler avec les chevaux, c'est vraiment phénoménal et nous n'avions pas encore eu la chance de le faire encore », explique Anne-Marie Hivert, acrobate de Montréal. « Ce sont vraiment des créatures supercool », lance Corey Tomcic, artiste de cirque. Investissement de 2,5 millions Samuelle Ducroq-Henry et son conjoint, Geoffroy Garnier, ont investi beaucoup dans cette aventure. Ils ont construit une salle permanente où seront présentés les spectacles. « Avec l'équipe, nous mettons environ 36 heures par jour à préparer ce spectacle, et comme il n'y en a que 24 dans une journée, nous devons trouver les 12 autres! », affirme Geoffroy Garnier. « J'ai hypothéqué une propriété à Mascouche, ce qui m'a permis d'investir 400 000 $ dans l'aventure. Ma belle-famille a investi plus de 2 millions », poursuit Mme Ducroq-Henry. Le père de Geoffroy Garnier, Pierre, est président de l'entreprise française Auvitech, spécialisée en production audiovisuelle. « J'ai pris part à plusieurs spectacles, notamment au Crazy Horse », raconte Pierre Garnier. « J'étais aussi directeur technique du pavillon français à L'Exposition universelle de Montréal, en 1967. » « J'ai bien hâte au début des représentations du spectacle, je suis très fier de mon fils et de sa femme, mais j'ai un peu la trouille! » admet-il. Un Centre du cheval Les projets de la famille ne s'arrêtent pas là. « Nous voulons créer aussi un musée vivant du cheval, où nous pourrons raconter comment l'histoire du Québec est imprégnée de la présence des chevaux. Pour le transport, pour la drave, le déneigement », poursuit Samuelle Ducroq-Henry. « Nous voulons démarrer le musée en 2017 et nous voulons y greffer un volet éducatif pour permettre aux enfants de profiter du contact avec les chevaux. »
  16. http://www.mesopinions.com/petition/animaux/dites-stop-commerce-illegal-especes-sauvages/12404 L'ampleur des ventes illégales d'espèces sauvages sur internet ou de leurs produits dérivés comme les objets en ivoire, favorise le braconnage de nombreux animaux dont celui, particulièrement cruel, des éléphants. Rejoignez la mobilisation d'IFAW (Fonds international pour la protection des animaux) afin de préserver la survie des dernières espèces sauvages de la planète. En signant dès à présent vous demandez à la ministre de l'écologie Mme Royal et au ministre de l'économie, du redressement productif et du numérique M. Montebourg, de prendre rapidement des mesures concrètes afin de lutter contre le commerce illégal d'animaux sauvages sur internet et punir les trafiquants. Merci d'agir dès aujourd'hui pour sauver les éléphants et les autres animaux victimes de ces trafics honteux !
  17. Vente record d'une tonne de défenses d'éléphants La maison de ventes Cannes Enchères a écoulé samedi, lors d'une vente aux enchères dans la ville du sud de la France, une cinquantaine de défenses d'éléphants, soit une tonne d'ivoire, a indiqué l'un des responsables de la vente. L'intégralité des lots a été acquise par des acheteurs chinois. «En termes de volume, il s'agit d'un nouveau record pour nous», a expliqué l'un de ses directeurs de la maison des ventes, Alexandre Debussy, ajoutant «notre précédent record, au printemps, était de 920 kilos». En revanche, cette vente n'a rapporté que 480 000 euros, du fait d'une chute de 30% des cours de l'ivoire ces derniers mois. Ainsi, la précédente vente avait rapporté, avec un volume moindre, 625 000 euros. Cette chute des cours s'explique par les incertitudes liées au commerce de l'ivoire et, notamment, les difficultés rencontrées par les acheteurs chinois à obtenir des autorités européennes des certificats d'exportation. «Certains acheteurs n'ont toujours pas, depuis mars dernier, obtenu l'autorisation administrative d'exporter leurs défenses vers la Chine», explique Alexandre Debussy. Selon lui, «des tonnes d'ivoire dorment encore dans les greniers des Français et nous avons tous les jours des demandes pour les écouler». Un assouplissement des règles d'exportation permettrait selon lui «de lutter contre le braconnage et sauverait des milliers d'éléphants». Près de 5 000 euros, soit 1% du produit de cette vente, devrait être reversé à une association de lutte contre le braconnage par la maison Cannes Enchères.
  18. La cycliste croyait pouvoir passer à proximité des oiseaux sans problème, mais reconnaît maintenant qu'elle allait peut-être un peu trop vite et que l'une des bernaches du Canada a alors probablement cru qu'elle lui voulait du mal. C'est à ce moment que l'oiseau a attaqué Mme Surman. « La bernache enroule ses ailes autour de ma tête, puis je ne peux plus rien voir et je m'entends crier », se remémore-t-elle. Après l'attaque, la sportive s'est écroulée au sol et avait de la difficulté à se relever. Son visage était également boursouflé. Elle a finalement été aidée par un passant qui a appelé le 911. Mme Surman a ensuite été transportée par ambulance à l'hôpital, où elle a été traitée pour une commotion, une fracture de l'os jugal, ainsi que d'autres blessures et lacérations au visage. Selon le ministère des Richesses naturelles et des Forêts de l'Ontario, les bernaches du Canada attaquent rarement les humains, mais demeurent des animaux qui peuvent être agressifs. http://ici.radio-canada.ca/regions/ottawa/2014/06/25/003-ottawa-attaque-bernache.shtml
  19. Aeonpet, la branche spécialisée du géant de la distribution Aeon dans le business des animaux domestiques, inaugure lundi prochain sa première maison de retraite multiservice canine dans son centre commercial de Makuhari, dans la banlieue est de Tokyo. Tout est prévu pour le confort des vieux toutous: un centre médical ouvert 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, un salon de beauté, une salle de fitness, et même une piscine de rééducation pour les pensionnaires handicapés. Tout est prévu jusqu'aux gilets de sauvetage afin qu'ils puissent faire trempette en toute sécurité. "Beaucoup d'animaux deviennent vieux en même temps que leurs propriétaires, cela devient un problème sérieux. J'espère que cette initiative apportera un début de solution", explique le président d'Aeonpet, Akihiro Ogawa. Apparemment les inscriptions affluent déjà. "On a reçu une demande d'une personne âgée qui vit seule et se fait beaucoup de soucis pour son chien de 15 ans au cas où il lui arriverait quelque chose", a raconté à l'AFP Misako Fujii, un responsable du centre. Le centre est aussi conçu pour offrir des soins intensifs voire palliatifs aux animaux souffrant de sénilité ou en fin de vie. L'admission n'est toutefois pas donnée: environ 100.000 yens par mois (quelque 720 euros) tout compris pour un petit chien, 150.000 pour un de taille moyenne et 200.000 pour un gros chien. Et pour éviter que certains indélicats tentent de se débarrasser de leur animal en le plaçant dans le centre, les "parents" passent un entretien préalable au terme duquel leur chien est accepté ou non.
  20. C'est vraiment atroce. Et c'est incroyable que cette préfecture déclare cet élevage conforme. Plutôt louche !On croirait à une connivence avec les éleveurs.
  21. Plus de 200 000 éléphants ont été victimes de braconnage en Afrique l'an dernier, ont indiqué vendredi des responsables Plus de 200 000 éléphants ont été victimes de braconnage en Afrique l'an dernier, où les saisies d'ivoire illégal ont dépassé pour la première fois celles réalisées en Asie, ont indiqué vendredi des responsables. 80 % des saisies africaines ont eu lieu au Kenya, en Tanzanie et en Ouganda, trois des huit pays qui doivent combattre le trafic de l'ivoire, ont dit des responsables de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (CITES). Le rapport témoigne d'une hausse du braconnage en République centrafricaine, mais d'un déclin au Tchad. Mais CITES, qui protège 35 000 espèces animales et végétales et qui a interdit le trafic de l'ivoire en 1989, affirme que le braconnage était en recul en 2013, comparativement aux deux années précédentes. Environ 28 % des éléphants africains se trouvent dans l'est du continent, mais près de 55 % d'entre eux sont concentrés dans le sud de l'Afrique. Certaines populations d'éléphants sont gravement menacées d'extinction. Ainsi, au moins 68 éléphants, soit 4 % de la population totale, auraient été massacrés par des braconniers au cours des deux derniers mois dans le parc national Garamba, au Congo. Le groupe sud-africain African Parks affirme que les braconniers comprennent des soldats de l'armée congolaise, des rebelles de l'Armée de résistance du Seigneur et des Sud-Soudanais. Un groupe abat apparemment les éléphants depuis un hélicoptère, avant d'utiliser une tronçonneuse pour retirer leurs défenses, leurs cerveaux et leurs organes génitaux. Le parc Garamba, qui a été fondé en 1938, ne comprenait plus que 2000 éléphants en 2012, contre 20 000 dans les années 1960. Lors d'un affrontement avec des braconniers, dont certains portaient l'uniforme de l'armée sud-soudanaise, des gardiens du parc ont essuyé des lancers de grenades. Certains braconniers utilisent quant à eux des armes sophistiquées obtenues en Libye après la chute du régime de Mouammar Kadhafi, en 2011. Des environnementalistes expliquent que l'appétit insatiable de l'Asie pour l'ivoire alimente la pire crise de braconnage à toucher les éléphants africains depuis plusieurs décennies.
  22. Deux boas découverts en un mois à Bourg-de-Péage (Drôme) : c'en est trop pour la mairie, qui a porté plainte mardi pour trouble à l'ordre public. "Il y a une chose qui est claire, c'est que ce n'est pas naturel", a déclaré Nathalie Niéson, député-maire de cette ville de 10.000 habitants, sur France Bleu Drôme Ardèche. Pas de parc animalier à proximité, ni d'habitant ayant déclaré en préfecture la possession d'un tel animal : "alors est-ce qu'ils se sont échappés ? Est-ce que quelqu'un les a volontairement lâchés dans la nature pour s'en débarrasser ? S'agit-il d'une personne très mal intentionnée ?", s'interroge l'élue, qui espère que le second boa découvert lundi soir est "le dernier". Selon le commandant des pompiers de Romans, David Beaujolin, le premier serpent avait été découvert le 18 mai dans le jardin d'un habitant. L'autre a été découvert lundi soir au bord d'un chemin par une riveraine du même quartier. Mesurant tous deux plus d'un mètre cinquante, il s'agirait d'un mâle et d'une femelle dangereux en cas de morsure, mais qui se sont laissé prendre sans difficulté par les pompiers.
  23. Saint-Lazare : Un kangourou disparu a été retrouvé lundi près du centre de zoothérapie d'où il s'était échappé la veille Un kangourou a été retrouvé par son propriétaire lundi vers 17 h près du centre de zoothérapie d'où il s'était échappé la veille, dans la région de Saint-Lazare, en Montérégie. Son propriétaire, Luc Lefebvre, a affirmé lundi après-midi que le mammifère, une femelle de 12 mois prénommée Mirka, va bien et qu'il se repose. Mirka avait pris la poudre d'escampette dimanche soir vers 18 h et n'avait pas été revue depuis. « Elle a profité d'une porte mal fermée pour aller voir la nature », a expliqué plus tôt M. Lefebvre, qui en a la garde. « Elle a eu peur du bruit d'un camion qui venait livrer des chevaux », a-t-il poursuivi. Plusieurs personnes étaient à la recherche de l'animal domestiqué plus tôt lundi, notamment des citoyens de Saint-Lazare et des membres de la communauté équestre. La nouvelle avait également été relayée sur les réseaux sociaux. Le kangourou appartient au zoo de Papanack, en Ontario. M. Lefebvre souhaitait utiliser l'animal pour des séances de zoothérapie.
  24. C.-B. : La SPCA recommande que des accusations soient portées contre 8 employés de la plus grande ferme laitière du pays La Société canadienne pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA) de la Colombie-Britannique a recommandé, lundi, que des accusations soient portées contre huit employés de la plus grande ferme laitière du pays. L'entreprise Chilliwack Cattle Sales dirige une ferme laitière comptant plus de 3500 bêtes dans la région de la vallée du Fraser, à environ 100 kilomètres à l'est de Vancouver. Marcie Moriarty, l'une des responsables de la SPCA de la Colombie-Britannique, a déclaré que son organisation avait reçu une vidéo réalisée par un organisme sans but lucratif à l'insu du personnel de la ferme montrant des employés en train de frapper des vaches avec des chaînes, des cannes, des râteaux, des bottes et même leurs poings. Elle a indiqué que la SPCA avait immédiatement ouvert une enquête au terme de laquelle elle avait décidé de recommander que des accusations criminelles soient déposées contre huit travailleurs. L'entreprise a publié un communiqué dans lequel elle se dit troublée par cette nouvelle et affirme avoir suspendu les employés concernés. Elle soutient que les allégations ne reflètent pas ses politiques en matière de traitement des animaux et qu'elle fera le nécessaire pour que de tels incidents ne se reproduisent plus.
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