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Animal

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Tout ce qui a été posté par Animal

  1. -6 janvier 2008 26 sangliers massacrés (en décembre) : chasseurs sedanais indignés Cette « compagnie » de sangliers effectuait régulièrement le trajet entre le Dos de Loup et le terme de Villers-Cernay. Depuis une semaine, il n'en reste plus que des animaux isolés. Depuis une huitaine de jours, le milieu sedanais de la chasse est en émoi à la suite de l'abattage massif et illicite de vingt-six sangliers au-dessus de La Moncelle. Une affaire hors du commun dont l'Office national de la chasse a été immédiatement saisi, de même que la gendarmerie et qui commence à faire grand bruit. De La Moncelle à Saint-Laurent siège de la fédération des chasseurs des Ardennes, en passant par Sedan, tous ceux qui de près ou de loin s'intéressent à la chasse sont au courant. « En trente ans, je n'ai jamais vu une histoire pareille ! » affirme un passionné de chasse de Sedan. L'enquête est menée très discrètement par les gardes-chasse et le Peloton de surveillance et d'investigation de la gendarmerie (PSIG) de Sedan. Aucune mise en examen n'a encore été prononcée mais d'ores et déjà plusieurs parties concernées s'apprêtent à porter plainte. ... http://www.lunion.presse.fr/index.php/cms/13/article/82462/26_sangliers_massacres___chasseurs_sedanais_indignes#
  2. Animal

    CONSULTATION CHASSE AUX PHOQUES

    Les réponses de cette consultation sont «compulsory» donc, je crois que cela veut dire qu'elles sont obligatoires et non pas facultatives, ou est-ce que je me trompe ?
  3. UN ATTRAPPE-COUILLONS ! J,avais affiché cette consultation un peu plus tôt, mais en la lisant attentivement et en voulant donner mon opinion, je me suis rendue compte qu'elle avait un certain parti-pris pour la chasse... entre autre, il y a 2 questions (qui se suivent) où il est impossible de dire qu'on s'oppose à cette chasse Is hunting seal populations (without reducing the overall seal stocks) different to other ways of making use of natural resources, such as hunting deer or catching fish? (optional) -Yes -No -Do not Know SI ON RÉPOND NON, ON DOIT RÉPONDRE À CETTE QUESTION, TOUT-DE-SUITE EN DESSOUS, À MOINS DE RÉPONDRE PAR «JE NE SAIS PAS» ! If no: why? (optional) -Any hunting is acceptable, as long as the species is not under threat -Humans have a right to make sustainable use of natural resources, including seals -Do not know P.S. CETTE CONSULTATION EST UNIQUEMENT EN LANGUE ANGLAISE http://ec.europa.eu/environment/biodiversity/animal_welfare/seals/seal_hunting.htm http://ec.europa.eu/yourvoice/ipm/forms/dispatch?form=seals
  4. oupsssssss ! J'ai besoin de nouvelles lunettes je pense Sa trompe est repliée vers lui, c'est pour ça qu'elle paraît courte ...
  5. Animal

    Chatons prets pour une famille...

    Ne te décourage pas Saturne ! Ça viendra sûrement !
  6. Animal

    Chasse aux phoques

    3 janvier 2008 Les chasseurs de phoques des Îles-de-la-Madeleine ne veulent plus être liés au même quota que ceux de la Basse-Côte-Nord. Ils estiment que cette limite leur fait perdre des revenus. Le quota annuel pour les deux régions est de 30 000 bêtes, mais les chasseurs madelinots ne peuvent souvent que tuer environ 13 000 phoques chaque année. Le chasseur Marcel Cormier estime que ce nombre ne permet pas d'assurer la viabilité d'une usine de transformation. Le cheptel de phoques permettrait de capturer plus de bêtes, selon lui. La gestionnaire Sylvette Leblanc de Pêches et Océans Canada précise que la question des quotas géographiques de chasse du phoque dans le golfe du Saint-Laurent sera confiée à un expert indépendant. Il rencontrera, dit-elle, les chasseurs et déposera son rapport avant le début de la prochaine saison. Une rencontre réunissant des chasseurs, des biologistes et des fonctionnaires est d'ailleurs prévue la semaine prochaine à Terre-Neuve pour discuter de la chasse aux phoques. Les chasseurs madelinots comptent utiliser cette tribune pour faire valoir leurs revendications.Les précisions de Nicole Blackburn http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2008/01/03/015-phoques-Iles.asp?ref=rss
  7. Animal

    coucou les filles

    Ah je ne savais pas que l'opération se faisait aujourd'hui ! Pauvre tite puce ! J'espère que tout s'est bien passé et qu'elle récupèrera très vite. Est-ce que ton autre petite demoiselle a aussi été opérée ce même jour ?
  8. Le dimanche 05 novembre 2006 Martin Picard, une tête de cochon dans la cuisine Martin Picard et Gaston L'Heureux en bons disciples de Bacchus, tels qu'on peut les voir dans Au pied de cochon - l'album. Leur hommage personnel au Food Porn. Photo tiré du livre Au pied de cochon. Nathalie Petrowski La Presse Martin Picard n'a pas inventé le bouton à quatre trous mais il a inventé la poutine au foie gras et une kyrielle d'autres plats débordant de gras et de plaisirs jamais coupables. Pour fêter les cinq ans du Pied de cochon, sa réputée brasserie sur le Plateau, le chef le plus rockeur de la gastronomie québécoise s'est payé le luxe d'un album publié à compte d'auteur, mêlant 55 recettes, une bédé de 48 pages, 600 photos, un DVD, et j'en passe. Portrait d'un chef extrême qui ne fait pas dans la dentelle ni dans la demi-mesure. ... http://www.cyberpresse.ca/article/20061105/CPARTS02/611050637/1050/CPARTS02
  9. Réagissez à ce texte: http://www.ledevoir.com/2005/07/23/86573.html?216 Santé - Le dilemme santé de Martin Picard ... Carole Vallières: Que faites-vous pour votre santé? Il va falloir que je m'y mette. Là je commence à marcher, il va falloir que je commence à m'entraîner. C'est une vie de fou, restaurateur en même temps que chef. À certains moments, il faut que j'aille me faire masser, quand je suis trop tendu. J'ai 38 ans, je ne pourrai pas toujours être l'icône du bon mangeur au Québec! Les gens m'invitent, en Alsace il faut que je prenne deux assiettes pour montrer que c'est bon... Un moment donné je vais décrocher! Je peux pas faire ça toute ma vie, je vais péter! J'ai des antécédents: ma mère pour le cholestérol, mon père fait du diabète, il a eu une crise de coeur déjà... ... J'ai été à la pêche au saumon, je viens d'acheter une part dans un camp de chasse à l'orignal, je suis près de la chasse des animaux. La belle chose dans la vie, c'est le passage de la vie à la mort, ça me captive, c'est l'intérêt ultime. Et c'est ce qu'il y a de plus tabou au Québec, mais c'est quelque chose que je veux vivre et que je veux faire vivre à mes enfants. http://www.ledevoir.com/2005/07/23/86573.html?216
  10. Being boiled hurts ! Être ébouillantés vivants fait mal ! http://www.lobsterlib.com/feat/davidwallace/boiled.asp http://www.lobsterlib.com/feat/davidwallace/page/lobsterarticle.pdf Scientists suggest prawns and lobsters feel pain just like humans Selon des scientifiques, comme les humains, les homards ressentent la douleur http://www.dailymail.co.uk/pages/live/articles/news/news.html?in_article_id=492557&in_page_id=1770
  11. Les compagnies pharmaceutiques dépensent deux fois plus en marketing qu'en recherche La Presse canadienne Édition du jeudi 03 janvier 2008 Ottawa -- Les manufacturiers de médicaments dépensent près de deux fois plus pour la promotion de leurs produits que pour la recherche et le développement, révèle une nouvelle étude. Dans leur analyse des données provenant de deux entreprises spécialisées dans les études de marché, Marc-André Gagnon et Joel Lexchin, de l'université York, de Toronto, ont constaté que les sociétés pharmaceutiques américaines ont consacré, en 2004, 57,5 milliards $ US à leurs activités de promotion. Par comparaison, les dépenses en recherche et en développement de l'industrie pharmaceutique aux Etats-Unis se chiffraient la même année à 31,5 milliards $, selon un rapport de la Fondation nationale des sciences, incluant les fonds publics dévolus à la recherche industrielle. Le type de dépenses incluses dans le montant de 57,5 milliards $, compilées par les firmes IMS et CAM, comprend les échantillons gratuits, la publicité s'adressant directement aux consommateurs, les réunions entre représentants d'entreprise et médecins pour promouvoir les produits, les promotions par courriel et par la poste, selon l'étude. Ces conclusions, qui paraissent cette semaine dans la publication Public Library of Science Medicine, confirment «l'image publique d'une industrie axée sur la commercialisation», disent les auteurs de l'étude. Le constat ne surprend pas Steve Morgan, un expert des aspects économiques de l'industrie pharmaceutique, attaché à l'Université de Colombie-Britannique. On sait depuis longtemps que les manufacturiers de médicaments d'ordonnance dépensent plus en marketing qu'en recherche et développement. Mais pour l'un des auteurs de l'analyse, c'est une situation alarmante. «Même moi, je ne réalisais pas que le montant était aussi élevé que nous l'évaluons», a commenté Joel Lexchin en entrevue. L'industrie pharmaceutique se présente depuis des décennies comme accordant une grande importance à l'innovation et à la recherche. Mais d'autres soutiennent que ces entreprises visent avant tout la recherche du profit et pratiquent des prix abusifs. Aux États-Unis, on autorise la mise en marché de médicaments d'ordonnance adressée directement aux consommateurs, et les compagnies pharmaceutiques achètent de la publicité à la télévision, à la radio et dans la presse écrite pour faire la promotion de leurs produits directement auprès du public. Au Canada, les règles concernant la publicité des médicaments sont plus strictes. Aux États-Unis, les compagnies pharmaceutiques dépensent aussi davantage en publicité auprès des médecins, pour que ceux-ci ne soient pas pris de court par des patients qui réclameraient certains médicaments après avoir vu des publicités au petit écran ou ailleurs. L'industrie pharmaceutique canadienne a elle aussi tendance à moins dépenser en recherche et développement que les autres pays développés. «(...) Les manufacturiers dépensent un plus petit pourcentage de leurs ventes en recherche et développement au Canada qu'ils le font dans d'autres pays», souligne M. Morgan. Mais la proportion des dépenses de marketing par rapport aux dépenses de recherche au Canada est vraisemblablement similaire à celle qui prévaut chez nos voisins, selon M. Morgan. Dans leur analyse, MM. Gagnon et Lexchin laissent entendre que les gouvernements devraient obliger l'industrie à faire «plus de recherche et moins de promotion». «Santé Canada et (la U.S. Food and Drug Administration) pourraient promouvoir la recherche s'ils changent les critères d'approbation des médicaments», a déclaré M. Lexchin. http://www.ledevoir.com/2008/01/03/170552.html
  12. Animal

    Vendre à perte

    Sur l'image qui accompagne cet article, on voit un petit veau allongé dans l'herbe haute ! --------------------------------------- Vendre à perte 4 janvier 2008 Les prix offerts aux producteurs de bovins ont chuté dramatiquement au cours des derniers mois. Des éleveurs de l'Est-du-Québec doivent vendre leurs bêtes à un prix inférieur à leurs coûts de production. Avant la période des Fêtes, l'agriculteur Jacques Fortin de Baie-des-Sables a livré des bovins à 1,24 $ la livre alors qu'il estime ses coûts de production à 1,75 $ la livre. « C'est à peu près 30 % de différentiel de prix, c'est bien trop grand », explique-t-il. Les coûts de production élevés, en raison notamment de l'augmentation du prix du pétrole et des céréales, ne sont qu'une partie du problème pour les éleveurs. Ils doivent aussi composer avec de nouvelles contraintes. La capacité d'abattage a diminué de 2500 bêtes par semaine au Canada ce qui force des producteurs à vendre à rabais leurs animaux aux États-Unis. Ottawa a également modifié les règles d'abattage pour exclure certaines parties des bêtes qui servaient à produire de la farine animale. La Fédération des producteurs de bovin presse Ottawa d'harmoniser ses règles avec celles des États-Unis. Le président du comité de mise en marché de l'organisme, Michel Daigle, explique que les abattoirs fermeront si le fédéral n'intervient pas. La Fédération prévoit d'ailleurs des moments très difficiles pour les éleveurs si le prix des bovins reste bas. http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2008/01/04/015-bovins-prix-bas.asp
  13. j'ai regardé une partie de l'émission de ce gros tas (celle sur le homard géant) ! C'est vrai qu'il est dégoûtant, et en + il sacre ! Bienvenue dans l’univers Picard! Au programme : L’appel de l’orignal (20 décembre); L’oie des neiges (21 décembre); La quête du saumon (27 décembre); Le foie gras (28 décembre); Le homard monstre (3 janvier); La grande boucherie (4 janvier); Au pays du castor (11 janvier). Concept original : Jean-Philippe Duval et Martin Picard. Réalisateur : Stéphane Thibault. Réalisatrice-coordonnatrice : Yvonne Defour. Productrice : Sylvia Wilson. Producteur associé : Jean-Philippe Duval. Producteurs exécutifs : Greg Dummett et Vivianne Morin. Production : Cité-Amérique. http://www.radio-canada.ca/television/guide_horaire/TVG/index.asp?numero=1910&date=2007-12-20
  14. Mad cow disease 'a ticking timebomb' FEARS of a new wave of deaths caused by the human form of mad cow disease have been triggered by a type of variant CJD never seen before. Scientists who examined the brain of a 39-year-old woman killed by the disease found unusual patterns of damage. The woman also had a distinct genetic make-up associated with her illness that was not shared by other victims. Investigations are still at an early stage, but the findings point to the possibility of a further group of people succumbing to vCJD as a result of having eaten infected beef in the 1980s. The disease, linked to misshapen prion proteins in the brain, has varying incubation periods according to genetic make-up. Experts believe that for many of those infected the timer could still be ticking, and in some cases the incubation period might exceed 50 years. VCJD originally arose in cattle as bovine spongiform encephalopathy (BSE), or "mad cow disease", before appearing in a new form in humans. The incurable disease leaves the brain riddled with holes, like a sponge, causing a loss of mental faculties and eventually death. Since the disease was first recognised in 1995 there have been 162 confirmed or suspected vCJD deaths in the UK. Fears of an epidemic involving hundreds of thousands of deaths abated after the number of annual deaths peaked at 28 in 2000 and then quickly fell. In the year up to 30 November, 2007 there were just four definite or probable cases. All these people had the MM version of the gene that makes prions, carried by 40 per cent of the population. The woman had a different gene variant. The case was described in the journal Archives of Neurology and reported yesterday in New Scientist magazine. The Scotsman newspaper.Last Updated: 02 January 2008 http://news.scotsman.com/scitech/Mad-cow-disease-39a-ticking.3635958.jp
  15. December 30, 2007 Health food fads spark huge rise in animal testing Marie Woolf, Whitehall Editor THE trend for healthier eating has led to an increase of more than 300% in the number of laboratory experiments conducted on animals for food additives, sweeteners and health supplements over the past year. Home Office figures showed an increase from 862 to 4,038 experiments from 2005 to 2006. The disclosure will ignite an ethical debate about the way animals have become victims of the fad for health foods. Animal welfare groups said many of the tests are unnecessary or could be performed on humans. The experiments often involve using painful procedures and artificially induced injuries to research the effects of food. In a test at Glasgow University, rodents were fed raspberry juice and then killed to see where the juice had gone in their kidneys, liver and brains. At Hammersmith hospital, west London, rats were force-fed fish supplements, while at Glasgow Caledonian University they had the food supplement ginkgo biloba injected into their paws. At Robert Gordon University, Aberdeen, rats were fed a diet containing 20% raw, lightly cooked or fully cooked cabbage for two weeks. The animals were killed to examine the effects of the diet on their liver and colon. The researchers had already carried out a human study on the effects on the gut of eating cooked cabbage. Other experiments included feeding a health drink to rats to see whether they ate more chocolate, vanilla or asparagus flavour. Although most food tests are performed on rodents, rabbits, guinea pigs and dogs are also used. In experiments in the United States, Teavigo, a purified green tea extract, available by mail order in Britain, was rubbed onto the shaved backs of guinea pigs and rabbits and put in the eyes of live rabbits. Dogs force-fed huge doses of Teavigo - which is marketed as “green tea in its purest form” and a choice for “health-conscious consumers” - died or had to be put down. Gerhard Gans, director of regulatory affairs at DSM Nutritional Products, which produces Teavigo, said: “In some cases it is necessary to use dogs, they are in some aspects more similar to humans than rats . . . where it is possible to use alternative methods validated by the authorities we will use [them].” Home Office statistics show that in addition to the experiments for additives there was a 30% increase to 7,477 tests on animals for other foods from 2005-6. A spokesman said the tests on food are needed to meet regulatory requirements. Michelle Thew, chief executive of the British Union for the Abolition of Vivisection, said: “The rise in testing of food on animals in the race to find the next lucrative ‘super-food’ is a hidden scandal. People are unaware of the animal suffering behind the headlines.” http://www.timesonline.co.uk/tol/news/uk/science/article3108147.ece
  16. Animal

    Panier d’épicerie

    Panier d’épicerie laterre.ca 3 janvier 2008 redaction@laterre.ca Les habitudes alimentaires des Québécois ont peu changé entre 2001 et 2005 selon une étude réalisée par le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ). Le bœuf haché, le lait frais, les boissons gazeuses, la volaille fraîche et la charcuterie emballée sont les aliments qui ont été le plus vendus dans les chaînes d’alimentation du Québec entre 2001 et 2005. Les Québécois ont donc fait peu de changements dans leurs habitudes alimentaires de base puisqu’en 2001 ces mêmes cinq aliments avaient été le plus vendus au Québec. L’étude a permis aussi de constater que le porc, le yogourt, les céréales, les biscuits et le fromage cheddar étaient aussi très prisés des Québécois. En 2005, les ventes de bœuf ont atteint 580 millions de dollars comparativement à 488 millions en 2001. Les ventes de lait frais, quant à elles, se sont élevées à 443 millions de dollars alors qu’en 2001 elles étaient plutôt de l’ordre de 348 millions de dollars. Quelque 300 catégories de produits alimentaires ont été répertoriées dans le cadre de cette étude. Les données ont été recueillies dans les épiceries Loblaw, Sobeys et Metro de la province par le biais des lecteurs optiques, et ce, pendant 52 semaines.
  17. 4 janvier, 14h52GENÈVE (AFP) - Un vaccin contre l'allergie aux chats a été testé avec succès sur... des souris, a annoncé vendredi l'Institut suisse de recherche sur les allergies et l'asthme (SIAF). Après ce premier essai concluant, l'institut suisse des produits thérapeutiques Swissmedic a donné son feu vert à l'expérimentation sur l'homme, a indiqué M. Reto Crameri qui dirige la recherche. ... http://fr.news.yahoo.com/afp/20080104/tod-suisse-sciences-vaccin-allergie-anim-7f81b96_1.html
  18. Le samedi 05 janvier 2008 Chasse aux bélugas: les Inuits souhaitent une hausse des quotas Lors de la dernière saison de chasse, 249 bélugas ont été récoltés au Nunavik, soit 45 de plus que le quota permis. Photothèque Le Soleil Ian Bussières Le Soleil Collaboration spéciale Québec Les Inuits du Nunavik souhaitent voir augmenter de 204 à au moins 300 prises par année les quotas fixés par Pêches et Océans Canada pour la chasse au béluga sur les côtes du Grand Nord québécois. «Ça fait plusieurs années que le débat dure. Nous ne sommes pas d’accord avec les analyses gouvernementales qui disent que le béluga est une espèce menacée dans le secteur», indique M. Pita Aatami, président de la société Makivik, qui veille aux intérêts des Inuits et à la défense de leur mode de vie. Makivik a récemment investi quelques milliers de dollars afin d’acheter des caméras qui seront installées dans six localités côtières du Nunavik afin de filmer les grandes populations de bélugas observées dans le secteur. Preuves «Nous voulons prouver au gouvernement ce que les chasseurs d’ici nous rapportent, soit qu’ils n’ont jamais vu autant de bélugas dans leur vie! Les gens de Pêches et Océans Canada prétendent que plusieurs bélugas ne sont qu’en migration en région alors qu’ils sont ici à l’année», explique M. Aatami. Lors de la dernière saison de chasse, 249 bélugas ont été récoltés au Nunavik, soit 45 de plus que le quota permis. «Nous croyons que les quotas sont exagérément bas», poursuit-il. Les Inuits chassent le béluga au harpon et à la carabine non pas pour en faire le commerce, mais pour s’en nourrir. Chacun de ces mammifères marins de plus d’une tonne produit 400 livres de viande, sans oublier les pièces de peau et de graisse avec lesquelles les Inuits préparent un plat traditionnel appelé maktak. Étant donné les besoins en nourriture des Inuits et la rareté des autres espèces animales, M. Aatami estime qu’un quota annuel de 300 bélugas serait acceptable. «Avec les quotas actuels, on voit de plus en plus de chasseurs qui cachent leur prise et ne la partagent qu’avec les membres de leur famille plutôt qu’avec toute la communauté comme c’était le cas auparavant», souligne-t-il. Éliminer les quotas Paulusi Novalinga, président de l’association de chasseurs et trappeurs Anguvigaq, va encore plus loin : il souhaite l’abolition complète des quotas de chasse au béluga, estimant que l’espèce n’est plus menacée au Nunavik. «Il y a suffisamment de bélugas pour éliminer les quotas. En fait, nous estimons qu’il y a plus de bélugas au large du Nunavik qu’ailleurs au Canada. Au Nunavut, il n’y a aucune restriction et les chasseurs de là-bas traquent les mêmes populations de bélugas que nous, à seulement trois heures de bateau des endroits où nous chassons», explique-t-il. M. Novalinga craint de voir les quotas de chasse diminuer à nouveau en 2008 en raison de la surchasse de 2007. «Dans un tel cas, nous ne respecterons tout simplement pas les quotas si Pêches et Océans Canada est incapable de comprendre le bon sens», conclut-il. Huit communautés délinquantes Huit des quinze communautés inuites du Nunavik ont dépassé leur quota de chasse au béluga en 2007, une situation qualifiée de très problématique par Pêches et Océans Canada. «C’est dans le détroit d’Hudson que la situation est la plus préoccupante puisqu’on estime qu’un béluga sur cinq qui y est chassé provient de l’Est de la Baie d’Hudson, où la population de bélugas est évaluée à moins de 4 000 comparativement aux quelque 70 000 spécimens répertoriés dans l’Ouest de la Baie d’Hudson», explique M. Patrick Vincent, directeur de la gestion ressource et des pêches autochtones à Pêches et Océans Canada. Trois des huit villages délinquants, Salluit, Kuujjuaq et Puvurnituq, ont dépassé leur quota de plus de 50 %. «Ces villages ont plus de difficulté à contrôler leurs chasseurs. Généralement, les villages de l’Est de la Baie d’Hudson et de l’Ungava sont plus compréhensifs», poursuit M. Vincent. Nourriture rare Ce dernier est conscient que la nourriture se fait plus rare pour les communautés autochtones situées près du détroit d’Hudson, qui ont moins accès aux autres espèces, comme le caribou, et comptent sur le béluga et le phoque pour leur nourriture. «Nous avons fait certains compromis lors de la dernière saison de chasse en permettant un quota de neuf bélugas pour la baie d’Ungava et de 23 pour l’Est de la Baie d’Hudson, deux territoires qui étaient fermés à la chasse depuis deux ou trois ans», explique Patrick Vincent. De 170 qu’il était en 2006, le quota de chasse au béluga a été augmenté à 204 pour l’ensemble du Nunavik avec une baisse de 125 à 120 pour le détroit d’Hudson. Le comité de gestion de Pêches et Océans Canada se réunira avec les Inuits les 29 et 30 janvier afin d’établir le plan de gestion de 2008. Ouverts «Nous sommes ouverts à la discussion et les caméras installées par les gens de Makivik devraient nous aider à obtenir des données supplémentaires, mais il faudra régler le problème de la surchasse», poursuit M. Vincent en indiquant que les analyses d’ADN, les données télémétriques et les observations aériennes établissaient que le béluga était menacé dans plusieurs secteurs du Grand Nord. «Les chasseurs du détroit d’Hudson croient qu’il y a plus de bélugas qu’il n’y en a vraiment dans leur secteur, car ils voient ceux de l’Ouest de la Baie d’Hudson qui passent par là durant leur migration», indique Patrick Vincent. «Si on réussissait à déterminer une période où la migration des bélugas de l’Est de la Baie d’Hudson est terminée et durant laquelle il ne reste que ceux de l’Ouest dans le détroit d’Hudson, on pourrait augmenter les quotas, peut-être même jusqu’au niveau de 300 souhaité par Makivik», conclut-il en soulignant qu’une abolition complète des quotas telle que demandée par certains chasseurs serait irréaliste dans le contexte de la loi sur les espèces en péril. http://www.cyberpresse.ca/article/20080105/CPSOLEIL/80104196/6787/CPSOLEIL
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