-
Compteur de contenus
14 605 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Forums
Blogs
Boutique
Calendrier
Téléchargements
Galerie
Articles animaux
Sites
Annuaire animalier
Petites annonces
Tout ce qui a été posté par Animal
-
vendredi dernier, j'ai vu ce reportage de Thalassa ... Horrible!!!! Roule ma poule Un reportage de Yannick Charles et Vincent Pacifico Facile et rapide à produire, sans interdits religieux, la viande de poulet connaît une consommation croissante de l'Indonésie à l'Europe, de la Russie aux pays du Golfe. Chaque jour, des millions et des millions de poulets sont produits et abattus dans le monde entier. Chaque jour, des millions de tonnes de viande de poulet circulent par bateau d'un océan à l'autre. Aujourd'hui, le développement du transport maritime a permis au Brésil de devenir le premier pays exportateur de poulets au monde : 11 millions de têtes produits chaque jour. Il y a dix ans, à l'instar d'autres sociétés agro-alimentaires nord-américaines ou européennes, le groupe français Doux, basé en Bretagne - leader européen dans le secteur de la viande de volaille - a décidé de s'implanter au Brésil pour poursuivre le développement de ses activités. http://www.planetethalassa.com/programmes/fiche.html?PROG_ID=193741&BROA_ID=23077 ----------------------- vendredi, 21 décembre 2007 Chair de poule Nouvelle escale ce soir pour Thalassa, qui traverse à bord du Nabucco la Méditerranée, débarque à Malte puis à Rio Grande, sans doute le plus méridional des ports du Brésil. C’est là que le groupe français Doux a exporté ses méthodes de travail en matière d’élevage intensif de poulets. Le Breton y a construit d’immenses élevages ; fait travailler les paysans locaux, et a notamment bâti un quartier en zone sanitaire, interdit au public, qui renferme les "matrices". Comprenez les volailles reproductrices qui permettront ensuite de livrer des milliers de poussins (environ 11 millions par jour), aux exploitants agricoles plutôt ravis. En trente jours, 36 000 poulets qui ne verront jamais la lumière du jour, atteindront le poids de 1,750 kg. Parfait pour être congelés et expédiés, par cargos entiers, en Europe et en Asie. Pas très appétissant… Ce documentaire qui fiche même la chair de… poulet, montre aussi le déclin des exploitations bretonnes, castrées par cette délocalisation massive. L.T.-G. http://devantlecran.midiblogs.com/archive/2007/12/21/chair-de-poule.html -----------------------------------------
-
Trafic de peaux de chat : la France aussi !
Animal a posté un sujet dans ANIMAUX - Europe et autres continents
2007-12-17 Trafic de peaux de chat : la France aussi ! Rédaction de France Info - 17 décembre 2007 C'est un trafic d'un genre très particulier : France info vous révèle aujourd'hui que 10.000 chats sont tués chaque année en France pour leur fourrure notamment. Cet odieux trafic vient d'être mis au jour et pourtant, cela fait des années qu'il dure… Depuis dix ans déjà, la HSUS (la "SPA américaine") mène des enquêtes et réalise des statistiques sur le commerce international de fourrure de chien et de chat. Des pays fournisseurs, comme la Chine, les Philippines, la Thaïlande, jusqu'aux détaillants et grossistes aux Etats-Unis, en Allemagne, en Italie, au Danemark et en France. Au total, plus de deux millions de chiens et chats seraient massacrés chaque année dans le monde pour leur fourrure. En Europe, on savait la Suisse au cœur d'un trafic dénoncé depuis longtemps par les associations de défense des animaux, la SPA notamment. Des peaux de chat y sont en vente libre et s'exportent en France par voie postale. Pourtant, même si elle ne fait pas partie de l'Union européenne, la Confédération helvétique n'est pas moins soumise aux lois interdisant la commercialisation et l'importation de peaux. Il y a quelques semaines, plus de 400 chats ont mystérieusement disparu en Haute-Savoie. La SPA soupçonne des liens avec la Suisse. A l'Association nationale européenne contre le trafic des animaux de compagnie (Antac), on estime à 100.000 par an le nombre de disparitions de chats en France. Police, gendarmerie et services vétérinaires ne font pas grand-chose, il faut bien le reconnaître. Lutter contre ce genre de trafic demande un énorme travail d'enquête pour remonter les filières et les enquêteurs ont bien d'autres chats à fouetter, malheureusement. Les trafiquants le savent. Et ce manque de répression ne fait que les encourager. Une loi a bien été votée avant l'été par les députés européens, interdisant totalement le commerce des fourrures de chien et de chat dans l'Union européenne. Mais en l'absence de répression efficace, une loi ne change pas grand-chose. Il faut 24 peaux pour fabriquer un manteau en fourrure de chat. Chaque peau est vendue entre de quatre à sept euros seulement. Sans un étiquetage très strict de la fourrure, le problème de leur traçabilité ne sera pas entièrement résolu. Les associations se battent pour que le nom commercial, le nom scientifique, la provenance et la méthode d'abattage soient apposés sur l'étiquette afin de limiter les possibilités de fraude. Et de contraindre les fabricants et détaillants à informer leurs acheteurs. http://berry-aspas.spaces.live.com -
LIBERATION D'ANIMAUX PAR L'ALF en région parisienne Libération d'animaux destinés à l'expérimentation animale, actions de sabotage et destruction de matériel: l'ALF agit! Nuit du jeudi 27 décembre 2007: un commando du Front de Libération des Animaux s'introduit dans un élevage de rongeurs et insectes, destinés à la vivisection et à la dissection : Le centre d’élevage d’Ardenay, Domaine Saint-Louis, 95710 Bray et Lu. PHOTOS ET VIDEOS du raid visibles sur www.directaction.info Marie Lessieux, la gérante, exerce son « activité » depuis plusieurs années et est très appréciée dans la région. Elle-même pense aider la recherche et sauver des vies ! A l'intérieur, l'élevage est glauque, sale, il y règne une odeur nauséabonde insoutenable. Deux pièces consacrées à l'élevage de souris, dont beaucoup sont enceintes, énormes, prêtes à mettre bas. D’autres accompagnent les nouveaux nés, regroupés jusqu’à 40 par cage. Une pièce destinée à l'élevage de rats. Plusieurs dizaines de milliers d'animaux entassés dans des cages. Les grenouilles, apparemment mourantes, sans force ni énergie, en léthargie, dans des baignoires rouillées, stagnent dans un fond d’eau putride additionnée d’une substance forte à l’odeur de pétrol. Beaucoup de grenouilles sont mortes mutilées. Une grenouille blessée saignait du nez. Peut-être se cannibalisent-elles entre elles. Une pièce pour les insectes : blattes, grillons et criquets dans des placards grillagés maintenus dans une lumière constante. La pièce des insectes servant également d’entrée, la lumière permanente n’y a pas été coupée afin de ne pas éveiller les soupçons des voisins. Sur le panneau électrique, seul le fusible nommé « éclairage escalier » donnant sur les insectes n’a pas été coupé. (voir photos) Les congélateurs : Partout dans le bâtiment nous trouvons des congélateurs (une quarantaine) remplis de souris et rats congelés, dont des nouveaux nés, et aussi un lapin, des cochons d’Inde, poussins, cœurs de porcs, cœurs d’agneau. Les souris et rats sont rangés par centaines en rang serrés dans des bacs en polysthirène empilés, apparemment chloroformés avant d'êtres congelés. D'autres congélateurs contiennent des animaux jetés en vrac, en posture recroquevillée ou tordue, crispés, ce qui nous laisse penser qu'ils ont été congelés vivants! Les seaux : Une bonne vingtaine de seaux, dans la dernière pièce au fond, contiennent des animaux morts par centaine et conservés dans un liquide à l’odeur intenable. Dans ces seaux on trouve grenouilles, criquets, écrevisses, yeux de lapins, testicules de moutons, yeux de bœufs, blattes. La livraison des animaux : Livrés à travers toute la France, les animaux arrivent congelés, formolés mais aussi vivants ! (voir photos des étiquettes de transport). Elle peut livrer jusqu’à 100 seaux d’animaux morts par milliers. Son transporteur : La société qui collabore au massacre de ces animaux suppliciés dans toute la France est « 95 express Saint-Ouen l’Aumône » Z.A. Les usines 95310 Saint-Ouen L’Aumône Numéro de téléphone : 01.34.40.95.95 N’hésitez pas à appeler, écrire ou passer voir les employés de jour ou de nuit pour leur faire savoir votre dégoût et les forcer à arrêter de collaborer à cette misère animale. Le travail en amont : Plusieurs visites ont été faites au préalable pour mesurer la sécurité du lieu, d’ailleurs inexistante, la porte d’entrée étant ouverte en permanence ; Mais aussi pour vérifier les systèmes électriques afin de couper l’alimentation et travailler dans le noir (capteurs de mouvements à l’extérieur du bâtiment) et saboter le matériel électrique ; Prendre des photos des animaux, congélateurs et matériel professionnel sur place ; Connaître les outils nécessaires à notre intervention et aux sabotages ; S’assurer de la présence ou l’absence des employés ou de la patronne accompagnée de son labrador noir aboyant en journée. Outils utilisés : Afin de réussir au mieux, dans les meilleurs délais et dans la plus grande sécurité, nous avons dressé une liste de notre matériel d’intervention : -gants -cagoules -bonnets -vêtements sombres et larges -chaussettes par-dessus les chaussures afin d’éviter l’empreinte des semelles -écharpes -appareil photo -pinces coupantes et ciseaux -pied de biche -lampes frontales et lampes torche -sacs à dos -boîtes pour emmener les animaux à sauver -épuisette pour prendre les grenouilles, mais c’est très facile de les prendre à la main -aucun accessoire inutile sauf la montre pour minuter le raid -aucun téléphone portable, même éteint, à cause de leur localisation par les bornes -aucun GPS en voiture La libération des animaux : Les grenouilles, retrouvant leur vigueur, ont sauté directement du bac en plastique au lac où elles ont été relâchées et en ont profité pour nager très loin et explorer leur nouvel habitat. Nous avons sauvé quelques dizaines de rats et souris, placés en groupe ou seuls, mâles séparés des femelles, dans des familles d’accueil anonymes. Quel désarroi de ne pas pouvoir tous les prendre, laissant des milliers de petites frimousses en mal de liberté et vouées à une mort tragique. Les insectes, attrapés à la main, s’accrochaient aux gants mais n’ont montré aucune agressivité. Ils ont été mis dans un bac puis relâchés en bordure d’un champ. Le sabotage et la casse de matériel (eh eh !): Pour circuler sans se faire voir des voisins, nous avons emprunté le couloir du fond sans fenêtre et qui communiquait avec chaque pièce. Tout d’abord l’alimentation électrique a été coupée pour pouvoir sectionner les câbles des congélateurs sans faire de courts-circuits et accélérer la décongélation. Pour chaque congélateur, les fils ont été coupés. Tout le matériel trouvé sur place, administratif, outils, cafetière, tondeuse, couverts, vêtements de la gérante, lunettes etc. ont été cassés puis jetés dans les congélateurs parmi les animaux renversés commençant à décongeler. Tous les seaux remplis d’animaux morts (grenouilles, insectes, yeux de lapins) ont été déversés par dessus, le tout arrosé d’un maximum de bidons de pétrol trouvés sur place servant de carburant pour les poêles chauffage. Les couvercles des congélateurs ont été laissés ouverts, afin d’activer la décongélation. Tous les documents administratifs intéressants (commandes, adresses de clients privés ou collèges, lycées, universités) ont été volés et archivés en lieu sûr, afin de préparer les futures attaques contre nos prochaines cibles. Chaque pièce a été taggée : « GRENOUILLES LIBRES !, *******, POURRITURE, VIVISECTION=TORTURE !, STOP VIVISECTION !, SCIENCE SANS CONSCIENCE, ON TE SURVEILLE, ON REVIENDRA, TU VAS PAYER !, ALF » Action, not words ! Keep fight ! Chaque matin, la gérante va s’inquiéter de trouver son local vandalisé. Pour cette fois-ci, pertes économiques estimées à plusieurs dizaines de milliers d’euros ! JOYEUSE NOUVELLE ANNEE ! by ALF France L’ALF veille et reviendra. Nous continuons notre mission. Là où les animaux sans défense sont suppliciés, l’ALF interviendra avec fracas. Rats, souris, grenouilles, porcs, agneau, dindes, lapins, écrevisses, escargots, poules, truites, blattes, criquets, poussins (comme le montre le morbide catalogue) vivants, morts, tailladés, congelés, décortiqués, formolés, transitent par cet élevage. Marie Lessieux, tu vas payer de ton vivant ce que tu fais subir à ces centaines de milliers d’âmes innocentes. Fais bien attention à toi. Un nouveau loquet à ta porte d’entrée ne nous arrêtera pas. Un conseil : surveille aussi ta voiture et protège ta maison. Seul ton chien sera épargné. Faites savoir à cette tortionnaire ce que vous pensez de son activité! Voici ses coordonnées : SARL CEC - Centre d'Elevage de Contigné : Matériel biologique d'enseignement Madame Marie Lessieux : 01.34.67.72.06 fax au 01.34.67.73.23 Domaine Saint Louis : ouvert de 8h à 18h du lundi à vendredi lessieux.marie@wanadoo.fr Retrouvez les photos et vidéos du raid sur www.directaction.info
-
AFP - Lundi 31 décembre, 15h40LE CAIRE (AFP) - Une Egyptienne de 36 ans est morte lundi des suites du virus H5N1 de la grippe aviaire, devenant la troisième victime du virus hautement pathogène en moins d'une semaine, a annoncé le ministère de la Santé. Ce décès porte à 18 le nombre de personnes ayant succombé au H5N1 en Egypte depuis l'apparition du virus en février 2006, et à 43 le nombre de celles ayant été infectées, selon les chiffres officiels. Fardos Mohammed Haddad, originaire de la province de Menoufia, dans le delta du Nil, est décédée à l'hôpital de Menouf, où elle avait été admise samedi pour une très forte fièvre et des difficultés respiratoires, a indiqué le porte-parole du ministère, Abdel Rahmane Chahine, cité par l'agence officielle Mena. "Elle avait été en contact avec de la volaille infectée, a précisé M. Chahine, ajoutant que "tous les membres de sa famille et les personnes ayant été en contact avec elle récemment" faisaient l'objet d'un suivi médical. Dimanche, le ministère avait annoncé le décès de Fatma Fathi Mohammed, dans un hôpital de la province de Mansoura (nord), où elle avait été admise le 27 décembre. Cette victime, originaire de la province de Daqahliya, sur le Nil, avait également côtoyé des volailles présumées atteintes du virus, selon le ministère. La mort d'une autre Egyptienne, Oula Younes Ali, originaire du gouvernorat de Beni Soueif, à plus de 120 km au sud du Caire, avait été annoncée le 26 décembre. Le ministre de la Santé Hatem al-Gabali a mis en garde dimanche contre le "laisser-aller dans les mesures préventives prises pour lutter contre la grippe aviaire, tout particulièrement à l'approche de l'hiver". Mais certains experts estiment que le gouvernement, qui a mené une importante campagne contre la maladie via des vaccinations et de la sensibilisation, a eu plutôt tendance à réagir qu'à agir. Talaat Khatib, professeur d'hygiène alimentaire à l'université d'Assiout (400 km au sud du Caire) affirme que la campagne de sensibilisation n'a pas été suffisamment étendue. "La plupart des docteurs ne peuvent même pas reconnaître les symptômes de la grippe aviaire sur un être humain", a-t-il dit à l'AFP par téléphone. "Les gens sont devenus plus détendus, les magasins de volaille ont commencé à rouvrir et les vieilles méthodes d'abattage ont réapparu sans un bon contrôle des autorités", a-t-il par ailleurs indiqué pour expliquer les derniers décès, intervenus après une accalmie de six mois. L'Egypte, qui se trouve sur un couloir de migrations, est l'un des pays les plus touchés par la grippe aviaire, après l'Indonésie (94 morts), le Vietnam (47) et avant la Thaïlande (17) et la Chine (17). Ce nombre élevé de décès peut également s'expliquer par la proximité entre les lieux où est gardée la volaille domestique et les quartiers d'habitation. Fin juin, l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) avait noté que la lutte contre le virus de la grippe aviaire s'était nettement améliorée dans le monde, mais que la situation restait critique en Indonésie et en Egypte, où le risque de mutation du H5N1 vers une forme contagieuse entre humains restait élevé. http://fr.news.yahoo.com/afp/20071231/thl-egypte-sante-grippe-elevage-deces-3e-96993ab_1.html
-
31/12/2007- Fêtes du Nouvel An en Roumanie (là où on brûle aussi des chiens vivants) Des villageois de Roumanie tentent de garder de vieilles traditions du Nouvel An bien vivantes, un an après s'être joints à l'Union européenne. Dans les montagnes du nord-est du pays, des centaines de personnes se sont donnés rendez-vous pour «jouer à l'ours». Respectant un ancien rituel, les fêtards se recouvrent de peaux d'ours et dansent dans les rues pour éloigner les mauvais esprits, question de bien commencer l'année. Jadis, les gens avaient l'habitude de danser avec des ours vivants retenus par des chaînes, mais depuis l'interdiction de la chasse, ils utilisent des costumes. ... VOIR PHOTO http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/lemonde/archives/2007/12/20071231-121748.html
-
Colin Blakemore ne sera pas 'Sir' Colin
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
-
C'est bien possible Cé car il me semble que plusieurs abattoirs ont fermé et que la majorité des animaux du Québec sont maintenant abattus en Ontario et aux États-Unis On a vu cet énorme camion vers 11 heures hier soir près de Whickham, là où j'avais pris un tas de photos de porcheries cet été mais il y a des convois qui vont dans les deux directions, autant vers Québec que vers Montréal
-
Bonjour les filles, Nous sommes rentrés vers minuit. Heureusement, la route était belle: pas de neige, ni de glace. Même si nous sommes en pleine période des Fêtes, et qu'hier c'était dimanche, les animaux de «boucherie» étaient quand-même trimballés dans d'énormes camions. J'en ai vu un, rempli à pleine capacité, de petits cochons en provenance des États-Unis. Comment se fait-il qu'on fait venir des cochons d'un autre pays alors qu'on en produit 8 millions au Québec chaque année ? Nous avons passé la journée chez une de mes soeurs (celle qui est végé) et j'ai pu voir mon père et une autre de mes soeurs, ainsi que leurs enfants, enfants de leurs enfants, etc. Aujourd'hui, on se repose ! C'est quand même fatiguant de faire 600 k en une seule journée ! Si vous le fêtez ce soir, bon Réveillon et à l'année prochaine
-
11/12/2007- Les autorités indiennes en charge de la faune sauvage ont incendié le 3 décembre au Cachemire un immense stock de peaux et fourrures provenant d’espèces protégées. Cette opération intervient dans le cadre des efforts entrepris par le gouvernement afin de stopper le trafic illicite qui menace d’éradiquer une grande partie des espèces les plus menacées en Inde. Le feu du bûcher a été allumé par Ashok Kumar, administrateur du WTI (Wildlife Trust of India), et partenaire d’IFAW (Fonds international pour la protection des animaux). "Cela constitue un événement important. Nous avons vu partir en fumée le plus grand stock de peaux provenant d'animaux sauvages jamais rassemblées dans le monde" a déclaré Ashok Kumar. Sous les ordres de la Haute Cour, huit camions remplis de peaux ont été brûlées par les autorités lors d'une cérémonie publique. Les articles incinérés incluaient des descentes de lit, des couvertures, des manteaux de fourrure et des gants confectionnés dans des dizaines de peaux de tigre, de léopards des neiges, de léopards, de renards, de chats léopards du Bengale, d’ours à collier, de loutres et de loups. Toutes ces espèces sont protégées par plusieurs lois de protection de la nature (Indian Wildlife Protection Act de 1972, Jammu & Kashmir Wildlife Protection Act de 1978) et par la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore menacées d'extinction (CITES). Cet immense stock, dont la valeur est estimée à plusieurs millions de dollars américains, provient de plus de 125 000 articles confisqués à des fourreurs de la région de la vallée du Cachemire. Les négociants en fourrure ont été forcés d'abandonner leur butin illicite par la justice, qui supervisera un plan d'indemnisation pour les peaux animales d'une valeur d'environ 2 500 000 $. M.Kumar souligne que "cette indemnisation sera versée aux fourreurs qui ont rendu volontairement leur stock". C'est le prix minimum à payer pour protéger les espèces menacées contre le carnage organisée par les braconniers." "La tâche des autorités responsables de l'application de la loi dans toute cette région sera beaucoup plus facile désormais car tous les nouveaux stocks découverts seront saisis immédiatement et les commerçants seront traduits en justice. Les espèces sauvages ont obtenu un répit vis-à-vis du commerce de la fourrure au Cachemire, bien qu'à aucun moment nous ne puissions abandonner la lutte." Le Chef gardien animalier pour l'Etat de Jammu & Cachemire, A. K. Srivastava, a déclaré : "Nous avons attendu ce moment pendant de nombreuses années. C’est un événement historique qui a obtenu le soutien de la communauté locale, de manière ouverte et transparente, et qui permet la protection absolue de notre précieuse faune sauvage." Le Cachemire est depuis longtemps au coeur du commerce des peaux d'animaux sauvages, car des spécimens sont apportés dans la Vallée depuis toutes les régions de l'Inde. Cela est démontré par la présence, dans ces stocks, de la tête d'un lion d'Asie, qui vit exclusivement dans l'état du Gujarat, à l'ouest du pays. Le premier chargement de peaux illégales a été brûlé à Srinagar en octobre dernier. L’événement d’aujourd’hui constitue la deuxième phase de la destruction des peaux. Elle concerne actuellement 127 326 articles, entreposés par le Département des Forêts. Ce total inclue : des tigres (45 peaux, 44 têtes et 14 articles manufacturés), des léopards des neiges (104 peaux, 1 tête et 25 articles manufacturés), des ours à collier (120 peaux et 5 têtes montées en trophée), des léopards (422 peaux, 115 têtes et 435 articles manufacturés), des chats de jungle (33 235 peaux et 6 255 articles manufacturés), une tête de lion et un crâne d'antilope du Tibet. Robbie Marsland, Directeur d’IFAW Royaume-Uni, a assisté à cette destruction et a déclaré : "Tout comme en 1989, lorsque le Kenya a brûlé ses stocks d'ivoire, j'espère que ces flammes enverront un message fort aux consommateurs du monde entier, leur signifiant que le commerce des espèces menacées est illégal et totalement inacceptable dans la société d’aujourd’hui." Peter Pueschel, Responsable mondial du Programme IFAW sur le commerce de la faune sauvage ajoute "Cette fois, les commerçants ont profité d'une compensation financière pour ces confiscations. La prochaine fois, ils n'auront peut-être pas autant de chance. " http://www.notre-planete.info/actualites/actu_1463.php
-
Les saumons sauvages en danger Yves Miserey 24/12/2007 Un élevage de saumons dans l'état de Washington (nord-ouest des États-Unis). La concentration d'un grand nombre de poissons enfermés dans des cages le long des côtes favorise la prolifération de poux de mer. Crédits photo : ASSOCIATED PRESS Sur la côte ouest du Canada, les poux qui prolifèrent autour des cages de poissons dans la mer infestent les jeunes saumons sauvages et les déciment. Les grandes revues scientifiques suivent-elles aussi l'actualité festive, à leur manière ? Ainsi la revue Science du 14 décembre 2007 révèle qu'en Colombie-Britannique, sur la côte ouest du Canada, l'élevage des saumons menace la survie des saumons sauvages. La concentration d'un grand nombre de poissons enfermés dans des cages le long des côtes favorise, en effet, la prolifération de poux de mer. Ces crustacés peu sympathiques se fixent sur les très jeunes saumons sauvages lorsque ces derniers descendent les rivières et peuvent ainsi provoquer d'importantes mortalités. Les poux de mer rongent la peau et pompent le sang de leurs jeunes victimes. Selon l'étude dirigée par Martin Krkosek, de l'université d'Alberta (Canada), les saumons sauvages qui migrent régulièrement dans les dizaines de cours d'eau bordant l'archipel Brougthon, ont diminué de près de 80 % depuis l'installation de l'aquaculture, au début des années 2000. En revanche, elles sont restées stables dans les rivières éloignées des fermes aquacoles. Les chercheurs affirment que si des mesures ne sont pas prises, les saumons sauvages pourraient disparaître de cette zone d'ici quatre générations. Martin Krkosek avait déjà montré dans des études récentes que, dans l'archipel Broughton, l'aquaculture industrielle est à l'origine de la prolifération des poux de mer et de l'infestation des jeunes saumons sauvages. Cette fois, c'est en analysant les statistiques collectées depuis les années 1970 par le département des pêches canadien qu'il a mis en évidence un effondrement des populations de saumons sauvages dans les zones où sont installées les fermes aquacoles et une stabilité dans les zones éloignées. Les firmes aquacoles et les experts institutionnels de la côte ouest canadienne contestent depuis le début, le bien fondé des travaux de Krkosek, expliquant notamment que les poux de mer sont naturellement présents dans l'eau de mer et qu'ils parasitent les saumons adultes. Il semble toutefois que les juvéniles résistent beaucoup moins bien que leurs aînés et qu'ils s'infestent en grand nombre juste après avoir dévalé les rivières de leur naissance. En Norvège, premier pays producteur de saumon d'élevage, la problématique a sérieusement été prise en considération car, là aussi, il y a des saumons sauvages et de la pêche sportive qui génère un gros chiffre d'affaires. Dans les fjords, au moment de la reproduction, la réglementation oblige les aquaculteurs à compter, une fois tous les quinze jours, les poux dans les cages. «S'il y a plus d'un pou pour deux poissons, des traitements sont entrepris et les cages sont isolées, explique Johan Kvalheim, représentant à Paris du Centre des produits de la mer de Norvège. En 2006, nous avons utilisé seulement 347 kg d'antibiotiques alors que nous avons produit 600 000 tonnes de saumons d'élevage.» L'aquaculture, une activité sous haute surveillance «Le problème est maîtrisé dans les autres régions aquacoles», assure également Guillaume Blanc, de l'école vétérinaire de Nantes. Comme d'autres experts canadiens, il estime que l'effondrement des populations de saumons sauvages en Colombie-Britannique peut être dû à d'autres causes, comme la surpêche, les pluies acides, les pollutions ou l'augmentation de la température de l'eau. Ce n'est pas l'avis de l'océanographe des pêches Daniel Pauly, de l'université de Colombie-Britannique : «On veut nous faire croire que l'aquaculture est viable, mais on sait que son impact sur les poissons sauvages est considérable.» Les élevages de poissons carnivores, comme le saumon, consomment en effet, de grosses quantités de farines de poissons issus de la pêche. L'aquaculture reste néanmoins une activité sous haute surveillance. Le long des côtes du Chili, deuxième producteur mondial de saumons d'élevage derrière la Norvège, une épidémie d'anémie infectieuse du saumon a été signalée le mois dernier dans deux fermes aquacoles (Intrafish, décembre 2007). Fatale aux poissons d'élevage, elle peut être transmise à certaines espèces sauvages. http://www.lefigaro.fr
-
-
Un sanglier blessé cherche refuge en ville
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
29 décembre, 13h02MEAUX (AFP) - Le TER reliant Paris à Château-Thierry (Aisne) a subi des avaries après avoir percuté vendredi soir plusieurs sangliers à Changis-sur-Marne (Seine-et-Marne), l'accident ayant entraîné un retard dans l'acheminement des 100 voyageurs, a-t-on appris samedi auprès de la gendarmerie. L'accident s'est produit "vers 22H50" lorsque le conducteur a été contraint d'effectuer une manoeuvre de freinage à la vue de plusieurs sangliers traversant la voie, a indiqué cette source. ... http://fr.news.yahoo.com/afp/20071229/tod-insolite-accident-train-transport-sn-7f81b96_1.html -
-
-
Allo les filles Je ne suis pas trop présente sur le forum ces jours-ci mais je lis tous vos commentaires. J,espère que vous allez bien et qu'il continue d'en être de de même pour vos p'tits choux p.s.: Tôt dimanche matin, je partirai pour Québec (chez une de mes soeurs où papa sera pour la journée) et comme demain j'ai un tas de choses à faire, alors vous ne me verrez peut-être pas beaucoup avant lundi ou mardi Gros becs à toutes les deux xxxxxx
-
Allo Linda, tout cela est malheureusement légal: La seule chose qui ne l'est pas dans ce cas, c'est l'endroit où ces animaux sauvages ont été tués. Habituellement, les éleveurs de cochons, vaches, etc. ont des amis trappeurs et chasseurs ... et ces trappeurs ou chasseurs tuent les animaux sauvages qui se trouvent sur les terres des éleveurs. Les éleveurs donnent leurs animaux morts aux trappeurs qui les utilisent comme appâts (pour attirer des animaux sauvages, comme des loups, renard, coyotes, ours, etc. etc.) C'est un échange de services si tu veux ! Les éleveurs se débarrassent de leurs animaux morts sans que cela ne leur coûte un sous et les trappeurs font de l'argent avec les peaux d'animaux sauvages qu'ils vendent ! Concernant les porcelets, comme il y a une ferme qui se trouve non loin d'où le charnier a été découvert, il est possible que les porcelets qui ont été utilisés comme appâts provenaient de cette ferme (dans toutes les fermes d'élevage d'animaux, nombreux sont les animaux qui meurent de maladies, ect.)
-
28 décembre 2007 Cirque des Fêtes : une recette toujours efficace pour fasciner les petits Jean Beaunoyer La Presse Il faut croire que le cirque traditionnel, avec ses animaux, ses clowns et ses acrobates, fascine encore de nouvelles générations. Ils étaient pas moins de 4000 à l'auditorium de Verdun pour rire avec les clowns, applaudir les prouesses parfois périlleuses des acrobates et même des chiens, des ours et du jaguar noir qui marchait sur deux pattes ou qui se tenait en équilibre au sommet d'un poteau. ... Après le numéro de jonglerie avec les pieds exécuté par deux Mexicains, on a eu droit à la visite des animaux, qui impressionnent particulièrement les enfants. D'abord un éléphant de 15 000 livres, qui boit 300 litres d'eau par jour et qui accomplit docilement quelques numéros en marchant sur deux pattes ou en pivotant sur lui-même, et puis une douzaine de chiens de toutes les races qui sautent dans les anneaux de feu ou qui courent comiquement sur deux pattes. Un zèbre, des chameaux et un cheval viennent faire ensuite acte de présence en émerveillant toujours les petits. ... N'oublions pas les sympathiques ours qui marchent sur les mains et qui conduisent même une moto. En somme, une belle journée de cirque traditionnel, qui ne semble pas vouloir disparaître. http://www.cyberpresse.ca/article/20071228/CPARTS04/712280738/5155/CPACTUALITES
-
AFP - Jeudi 27 décembre, 09h04HANOI (AFP) - Un enfant de quatre ans est mort récemment des suites de la grippe aviaire au Vietnam, portant à cinq le nombre des décès dus au virus H5N1 depuis le début de l'année, a indiqué jeudi un responsable du ministère de la Santé. "Il a été testé positif (...) au virus H5N1 de la grippe aviaire", a déclaré à l'AFP Tran Hung. "C'est le premier cas humain depuis environ quatre mois au Vietnam", a-t-il précisé. L'enfant originaire de Moc Chau dans la province septentrionale de Son La avait été admis dans un hôpital local le 11 décembre pour une pneumonie. Il est mort le 16 décembre. "Ses parents nous ont dit qu'il avait mangé de la viande de poulet et que des volailles mortes avaient été récemment découvertes près de la maison familiale", a ajouté Tran Hung. Ce nouveau décès porte à 47 le nombre des personnes tuées par la grippe aviaire au Vietnam depuis la réapparition du virus fin 2003 en Asie du Sud-Est. http://fr.news.yahoo.com/afp/20071227/thl-vietnam-sante-grippe-elevage-96993ab_1.html
-
GENEVE (Reuters) - L'Organisation mondiale de la Santé a confirmé un cas unique de transmission d'homme à homme du virus H5N1 de la grippe aviaire dans une famille au Pakistan, ajoutant toutefois qu'il n'existait apparemment aucun risque d'extension du phénomène. 27 décembre 2007 Un communiqué de l'OMS précise que des analyses pratiquées dans ses laboratoires spéciaux au Caire et à Londres ont établi qu'il y avait bien eu transmission humaine dans une famille mais qu'une équipe de l'organisation invitée au Pakistan pour étudier neuf cas apparus entre fin octobre et le 6 décembre n'avait relevé aucune preuve de transmission d'homme à homme généralisée. Aucun proche identifié des personnes infectées, notamment des membres du personnel médical ou d'autres membres de la famille affectée n'ont présenté de symptômes et l'observation médicale a été levée pour tous, ajoute l'OMS. L'apparition de la grippe aviaire dans la famille a suivi l'abattage de poulets infectés au Peshawar. Un vétérinaire qui y avait participé et trois de ses frères ont ensuite présenté des symptômes de pneumonie. Les frères se sont soignés mutuellement et ont été en contact étroit entre eux tant chez eux qu'à l'hôpital et l'un d'entre eux, qui n'avait pas participé à l'abattage, est décédé le 23 novembre, a dit un porte-parole de l'OMS à Genève. NOUVEAUX CAS EN EGYPTE Cet homme est l'unique cas confirmé de transmission d'homme à homme. Les autres patients ont guéri. "Tous les éléments donnent à penser que le foyer dans cette famille ne pose pas de risque plus large", a dit le porte-parole à Reuters. "Mais il y a déjà une surveillance renforcée et il est nécessaire de rester vigilant". Il s'agit du premier cas de transmission d'homme à homme du H5N1 au Pakistan mais d'autres cas ont été confirmés en Indonésie et en Thaïlande dans des circonstances similaires qualifiées par l'OMS de contacts étroits dans une zone très limitée. Les experts de la santé craignent que le virus, qui a déjà tué 221 personnes sur les 343 cas recensés depuis 2003, mute en une forme facilement transmissible d'homme à homme, ce qui pourrait provoquer une pandémie susceptible de tuer des millions de personnes. Par ailleurs, au Caire, le ministère de la Santé a annoncé que des analyses avaient confirmé la contamination de deux personnes par le virus, au lendemain de la port d'une Egyptienne victime de la grippe aviaire, la 16e personne à avoir succombé à la grippe aviaire en Egypte. Les deux nouveaux cas, à Damietta et Menoufia, portent à 41 le nombre de cas humains de grippe aviaire en Egypte, a dit à Reuters Amr Kandil, chef du contrôle des maladies contagieuses au ministère de la Santé. Robert Evans et Aziz el-Kaissouni, version française Nicole Dupont http://fr.news.yahoo.com/rtrs/20071227/thl-pakistan-grippe-aviaire-b2e59e8_1.html
-
17,5 M$ pour les producteurs de porcs Thierry Larivière, La Terre de chez nous 20 décembre 2007 redaction@laterre.ca Québec a annoncé une aide financière spéciale pour indemniser les producteurs de porcs touchés par le circovirus. Cette aide, de l’ordre de 17,5 M$, servira à dédommager les producteurs pour les pertes reliées à la maladie encourues en 2006. Le syndrome de dépérissement postsevrage, appelé aussi circovirus, entrave la santé des porcelets et augmente le taux de mortalité dans les cheptels. Le circovirus s’est propagé dans les élevages en 2005. Les producteurs ont déjà reçu des compensations pour les pertes qu’ils ont subies pendant cette période. Présentement, l’épidémie est terminée et le taux de mortalité est revenu à la normale. Toutefois, les entreprises ont continué à subir les contrecoups de cette propagation en 2006. Cet apport de Québec permettra d’améliorer la situation financière des producteurs porcins. Les modalités du programme seront connues en janvier prochain.
-
Pas entendu parler de cette nouvelle nulle part.... Onzième cas de vache folle laterre.ca 18 décembre 2007 redaction@laterre.ca Un 11e cas d’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) vient d’être découvert au Canada, plus particulièrement en Alberta. L’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) en a fait l’annonce le mardi 18 décembre. L’animal infecté est une vache de boucherie âgée de 13 ans, donc née avant l’entrée en vigueur, en 1997, de l’interdiction canadienne frappant les aliments du bétail. Aucune de ses parties n’est entrée dans la chaîne alimentaire humaine ou animale puisque l’animal a été détecté directement sur sa ferme grâce au programme de surveillance national. Depuis 2003, environ 190 000 échantillons ont été soumis à ce programme. Selon l’ACIA, les résultats du programme de surveillance montrent que l’incidence de l’ESB au Canada est extrêmement faible. « À mesure que des progrès seront accomplis au chapitre de l’éradication de la maladie au sein du cheptel bovin canadien, le Canada s’attend à détecter un faible nombre de cas au cours des dix prochaines années », rassure l’organisation. L’enquête épidémiologique est en cours.
-
Chasse au cerf de Virginie en 2007 UNE ACTIVITÉ TOUJOURS PLUS POPULAIRE Québec, le 21 décembre 2007 – Le ministère des Ressources naturelles et de la Faune constate que la chasse au cerf de Virginie connaît une popularité grandissante au Québec depuis plus de trente ans. Au cours des dernières semaines, près de 176 000 personnes ont fréquenté les forêts québécoises à la recherche de cet animal, soit une augmentation de 23 % par rapport à l’an 2000. Même si la compilation finale ne sera complétée que dans quelques semaines, on peut déjà conclure que plusieurs chasseurs ont connu du succès. En effet, au 18 décembre 2007, les données du Ministère indiquent une récolte de 72 142 cerfs, soit 38 665 mâles avec bois (54 %), 22 507 femelles adultes (31 %) et 10 970 faons (15 %). Globalement, la récolte de cet automne est la plus importante que le Québec ait connue. L’augmentation de cette année est principalement due à l’attribution d’un nombre supérieur de permis autorisant la récolte de cerfs sans bois (femelles et faons). La récolte de mâles adultes, un reflet fiable de l’abondance des populations, indique que celles-ci sont relativement stables et se situent près des objectifs de densité établis au plan de gestion dans la plupart des zones de chasse. Dans le cadre de son programme de suivi, le Ministère effectuera, au cours de l’hiver, des estimations par inventaire aérien des populations de cerfs dans les zones de chasse 5 (Montérégie), 9 (Lanaudière) et 11 (Laurentides). De même, l’opération du réseau de stations de mesure de neige se poursuivra puisque ces données permettent d’ajuster le prélèvement de cerfs sans bois en fonction de la rigueur de l’hiver, tout en tenant compte des objectifs relatifs aux populations ciblés pour chacune des zones de chasse. Un tableau complet des statistiques de chasse au cerf de Virginie pour chacune des zones de chasse, mis à jour tous les mardis, peut être consulté sur le site Internet du ministère des Ressources naturelles et de la Faune (www.mrnf.gouv.qc.ca/faune/statistiques/chasse-piegeage.jsp). Pour plus d’information sur les objectifs de gestion de chacune des zones de chasse, on peut consulter le Plan de gestion du cerf de Virginie également accessible sur Internet (www.mrnf.gouv.qc.ca/faune/especes/plan-gestion-cerf.jsp).
-
Désolée les filles, je n'ai pas le temps de retirer les signes qui figurent dans ce texte trouvé sur une liste... > Un grand article signé Jean-Christophe Bisard, dans l'hebdomadaire > VSD N° 1583 du Mercredi 26 Décembre 2007 > 4 PAGES (26 - 27 - 28 - 29 ) - AVEC 5 PHOTOS COULEURS. > > TEXTE INTEGRAL DE L'ARTICLE : > > ILS RINGARDISENT LA SPA ET BRIGITTE BARDOT : > [ En énormes lettres =>] LES ULTRAS DE LA CAUSE ANIMALE DEBARQUENT > EN FRANCE. > > [ Photo sur une pleine page d'un manifestant tenant une pancarte > sur laquelle on voit deux bouchers tenant un mouton, avec le > commentaire suivant : "Si vous arrêtez d'acheter... on arrête de > tuer !" ] > > CHOQUER LE PLUS POSSIBLE. > > Les militants pour les droits des animaux - comme ici lors d'une > manifestation à Paris en mars 2007 - > refusent la manière douce. Photos parfois à la limite du > soutenable, slogans volontairement culpabilisateurs, tout est > bon pour sauver les millions de bêtes tuées chaque année dans les > abattoirs et dans les laboratoires qui pratiquent la vivisection. > > Les animaux ont de nouveaux défenseurs, aux méthodes agressives, > sans concession, parfois violentes, voire illégales. > Ce péhnomène, qui nous vient d'Angleterre, est tour récent dans > l'Hexagone. Mais il inquiète la police. > > Le jeune homme a 21 ans et se fait appeler Tigour, comme dans les > dessins animés de Walt Disney. Mais, avec lui, on ne rigole > pas. Le 25 novembre, avec trois complices, il a, en partie, > incendié un magasin Cuir Center de la région de Tours (37). Pour > défendre les drois des animaux, Tigrou est un combattant de > l'Animal Liberation Front (ALF), un groupe classé dans la catégorie > terroriste par les Etats-Unis et le Royaume-Uni et qui fait peur > aux Renseignements Généraux français. > "Nous allons continuer d'agir dans la région de Tours, assure > Tigrou, que nous avons pu joindre au téléphone. Pour Cuir Center, > malheureusement, le feu n'a pris que sur un tapis à l'intérieur. > Notre but était de faire cramer tout le magasin." > Quant à l'éventualité de blesser quelqu'un lors d'une des > opérations commandos, Tigrou assume : "C'est un risque. Pour > sensibiliser > les gens, pour faire que ce massacre des animaux cesse, nous sommes > prêts à tout." > > LEURS CIBLES : FOURREURS, BOUCHERS, ELEVEURS ... > > Les animaux ont leurs nouveaux défenseurs. Exit les SPA, Brigitte > Bardot, et autres Trente Millions d'Amis. Trop ringards, trop mous. > Place à l'ALF, à l'ARM (Animal Rights Militia), ou encore SHAC > (Stop Huntingdon Animal Cruelty) (Huntingdon : principal laboratoire > de vivisection européen, ndlr). Comme leurs noms l'indique, ces > mouvements sont d'origine anglaise. Nés dans les années 80, ils se > répandent maintenant dans le reste de l'Europe et, depuis deux ans, > en France. On peut même parler d'un réseau international. Les > apprentis militants français, quelques dizaines, ont ainsi reçu > l'aide logistique, technique et même humaine de leurs aînés anglais et > néerlandais. Le résultat est immédiat. Rien que pour 2007, l'Animal > Liberation Front revendique 43 actes illégaux sur le territoire > français. > Cela va de la dégradation de biens de fourreurs, bouchers et autres > éleveurs d'animaux destinés aux laboratoires, à des actes plus > radicaux, tels que des incendies de bâtiments. > > SANS CHEFS, SANS STRUCTURES CLASSIQUES, CETTE NEBULEUSE EST > INSAISISSABLE > > Mais la nouvelle scène de la défense animale ne se résume pas à > cette violence. En parallèle des actions directes, une large partie > des > militants préfère opérer dans le respect des lois. Michel, un jeune > professeur d'Histoire-Géo de 23 ans, a choisi la voie légale. "Je > comprends ceux qui craquent et franchissent la ligne blanche, > reconnaît-il, mais je préfère rester clean car je ne suis pas > persuadé de > l'intérêt des actions violentes." Un point de vue partagé par les > principaux groupes d'activistes antispécistes (idéologie qui refuse de > faire la différence entre les animaux et les hommes) français comme > Coalition Antivivisection, Les Furieuses Carottes, et Droit des > Animaux. En tout, ils regrouperaient une grosse centaine de > militants, principalement en région parisienne. Une nébuleuse sans > chefs, > sans structures classiques, donc insaisissable. D'où la > préoccupation des forces de l'ordre. D'autant plus que ces > "guerriers" se > montrent particulièrement mobiles et réactifs grâce aux Forums sur > Internet et aux messageries type SMS. Ainsi, si un nouveau > laboratoire de vivisection doit ouvrir en région parisienne, ils > sont immédiatement au courant et peuvent organiser une manif dans la > foulée. "Les autorités et les labos veulent nous diaboliser, > explique Libby, l'une des membres de Coalation Antivivisection. > Certains > nous comparent même à Al-Qaida, c'est du délire. Tout ça, c'est > pour mieux justifier que l'on nous arrête. Mais on n'agit qu'à visage > découvert et nos manifestations ont toutes reçu l'accord de la > Préfecture. Nous sommes pacifiques et respectueux de la vie, qu'elle > soit humain ou pas. Contraitement à eux !" > > Eux, ce sont les tueurs d'animaux. Chasseurs, fourreurs, > bouchers, ... Chaque collectif se bat pour une cause bien précise. > Droit des > Animaux lutte avant tout contre les chasses à courre, tandis que > Coalition Antivivisection se bat contre ... la vivisection (dissection > opérée sur un animal vivant à titre d'expérience scientifique). > Seul point commun, il sont tous végétariens et, le plus souvent > "vegans". > Le véganisme exclut toute forme d'exploitation des animaux. Que ce > soit pour la nourriture (y compris le lait, les oeufs, le miel ...) et > l'habillement (pas de laine, de cuir ...). "Nous ne sommes pas > stupides, précise Jean-Luc, de Droit des Animaux. On sait parfaitement > qu'il faudra des décennies avant que notre société change ses > habitudes alimentaires et comportementales. Mais pas à pas, nous y > arriverons." > > 1313 CHATS, 5539 CHIENS ONT ETE DISSEQUES VIVANTS EN FRANCE, EN 2005 > > Première étape, premier combat, l'abolition de la vivisection. En > 2005, selon le dernier rapport de la Commission Européenne, 12,1 > millions > d'animaux ont été ainsi utilisés par les 25 Etats membres. Pour la > France, un peu plus de 2,3 millions, dont 90 % de rongeurs et de > lapins, > mais aussi des chiens (5 539) et des chats (1 313). Le plus > souvent, ces tests sont effectués à des fins médicales. Mais pour > 11 %, ils > servent à des analyses concernant notre consommation courante : > cela va des produits pour la vaisselle aux shampooings. L'Oréal > reconnaît que malgré ses efforts, "certaines données toxicologiques > nécessaires à la sécurité des consommateurs (allergie, toxicité de la > reproduction, cancer) ne peuvent pas encore être obtenues par > d'autres voies que les tests sur animaux". > > Un point de vue partagé par l'industrie pharmaceutique. "Pour les > médicaments, on se doit de réaliser ces tests sur les animaux, insiste > John Alexander, conseiller scientifique chez Sanofi. La loi nous y > oblige. Et les méthodes alternatives ne peuvent pas, pour l'instant, > remplacer la vivisection. Cependant, nous avons déjà réduit de 40 % > le nombre d'animaux utilisés." > > A FORCE D'ETRE TROP SYMPA CA N'AVANCE PAS ... > > "Conneries que tout ça ! s'insurge David, un jeune activiste de la > cause animale. Ils ne font rien pour arrêter cette boucherie. Ils > savent > que ces tests n'ont aucune valeur scientifique. Car un animal, ce > n'est pas un être humain, il réagit différemment aux produits qu'on > lui > injecte. Et pourtant, chaque jour, des centaines d'animaux sont > tués pour rien." > A 26 ans, vendeur dans un magasin bio en région parisienne, il a > quitté son emploi pour se consacrer uniquement à la lutte. Légale, > bien entendu. Si ça ne suffit pas ? "on verra alors, répond-il.? > L'action directe sera une voie inéluctable..." > > La SPA, par la voie de sa présidente, Carole Lanty, considère cette > façon d'agir avec bienveillance : "Ca fait du bien, des gens qui > s'engagent ainsi, car à force d'être trop sympa, les choses > n'avancent pas." > > "ON VERRA S'ILS NE PEUVENT PAS CHANGER LEURS METHODES, NOUS SOMMES > LEUR CONSCIENCE, A TOUS CES MANGEURS > DE CADAVRES" Un militant. > > Cela, le groupe Coalition Antivivisection l'a bien compris. > Régulièrement, dans la pluie, le froid et le vent, ils manifestent > leur colère > devant les sièges sociaux parisiens des grands laboratoires, comme > Sanofi. "Nous ne lâcherons rien, jure l'un de ses membres, Benjamin, > 18 ans. Si possible, nous viendrons devant leurs locaux une fois > par semaine. Avec nos mégaphones, des enregistrements de hurlements > de chiens, on verra bien s'ils ne peuvent pas changer leurs > méthodes. Nous sommes leur conscience, à tous ces tueurs, ces mangeurs > de cadavres. Et ça ne fait que commencer." > >
-
Distribution de baleine au curry dans les quartiers d'affaires de Tokyo jeudi 29 nov 2007 TOKYO (AFP) - Une entreprise de vente ambulante a commencé jeudi à servir des plats de baleine au curry dans Tokyo, attirant des dizaines de curieux peu soucieux des récriminations internationales contre la chasse aux cétacés pratiquée par le Japon. L'entreprise Asian Lunch, dont les stands ambulants vendent chaque jour entre 1.000 et 1.500 repas dans les quartiers d'affaires de Tokyo, a lancé son plat de baleine hachée au curry "keema" à la façon d'Asie du Sud, accompagné de riz, au prix de 650 à 700 yens (environ 4 à 4,5 euros). Cette initiative intervient alors que le Japon fait l'objet de critiques renouvelées de la part des associations écologistes et de plusieurs gouvernements après avoir lancé, le 18 novembre, une nouvelle campagne de chasse à la baleine dans l'Antarctique. Le Japon contourne chaque année le moratoire international en vigueur depuis 1986 en pêchant un millier de baleines à des fins soi-disant "scientifiques". Cette année, les baleiniers nippons comptent tuer pour la première fois cinquante baleines à bosse, une espèce considérée comme menacée. "Je ne pense pas à des choses si compliquées", a affirmé Hiroki Nakashima, un ingénieur de 24 ans, interrogé sur la réprobation internationale de la chasse aux cétacés au moment d'acheter un plat de baleine au curry. "Je comprends que les étrangers n'aiment pas ça, tout comme beaucoup de Japonais n'aiment pas que les Coréens mangent de la viande de chien. Mais je n'ai aucun préjugé contre la viande de baleine", a-t-il assuré. Le gouvernement japonais, selon qui la chasse à la baleine fait partie des traditions culturelles nippones, tente d'encourager les jeunes générations à prendre goût à la viande de cétacé. La baleine est souvent servie dans les cantines scolaires, voire même sous forme de hamburger. Asian Lunch a expliqué qu'il avait lancé son plat de baleine au curry après avoir été approché par un grossiste, avec l'encouragement des autorités. http://cf.news.yahoo.com/s/afp/071129/insolite/agr_mer_ali_env_gen_1