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Animal

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  1. Selon l'Association Canadienne de Wagyu, le bétail doit être élevé selon les normes nord-américaines car le climat et nos systèmes de production ne permettent pas que les vaches soient «dorlotées» comme celles du Japon... http://www.canadianwagyu.ca/breed_overview.htm Pour voir comment «on dorlote savamment» ces vaches au Japon, cliquez ici: http://www.luciesfarm.com/artman/publish/article_39.shtml
  2. Saint-Jean-Valleyfield Fermeture de l’abattoir Billette laterre.ca 31 juillet 2007 redaction@laterre.ca Les Abattoirs Zénon Billette inc., propriété à 80 % des producteurs de bovins du Québec, vivent des moments difficiles. Les approvisionnements de l’abattoir de Saint-Louis-de-Gonzague, en Montérégie, ont été stoppés pour cause de retards de paiements. Avec un rythme hebdomadaire d’abattage de 1000 têtes et un prix autour de 1300 $/bouvillon, les retards se chiffrent en millions de dollars. Plusieurs facteurs sont au cœur des problèmes du plus gros abattoir de bouvillons de la province dont notamment la force du dollar canadien, la réglementation environnementale, la compétition avec l’industrie américaine et les nouvelles règles au niveau des matières à risque spécifiées (MRS). Plus de 250 employés se trouvent donc temporairement en chômage. Pour l’heure, les parcs d’engraissement du Québec n’ont d’autre choix que de vendre aux abattoirs ontariens Better Beef, Regency ou St Helen ainsi qu’à l’américain Moyer Packing. = de nombreuses heures, sinon de jours de transport pour ces pauvres veaux !
  3. Le jeudi 02 août 2007 Les envahisseurs, c'est nous La Voix de l'Est Je suis particulièrement interpellé par les nouvelles que je lis depuis quelques semaines concernant les algues bleues. Je voudrais féliciter le COGEBY pour l'article qu'il a fait paraître dans Le Plus du samedi 28 juillet dernier. C'est l'un des premiers articles que je lisais qui nous faisait réellement réaliser pourquoi nos lacs sont infestés de ces «envahisseurs». En fait, dans cette histoire, les envahisseurs, c'est nous. C'est NOTRE consommation de «porc du Québec» qui encourage le gouvernement à subventionner les mégaporcheries. En fait, si vous voulez mon opinion, c'est une mégasupercherie. Nous gaspillons notre argent à encourager une industrie qui pollue notre sol, notre eau, notre air, la génétique du maïs québécois, et qui pollue aussi notre corps. En effet, par la surabondance du phosphore dans les lisiers de porc, nous entraînons la prolifération des algues bleues dans les cours d'eau et nuisons ainsi à notre santé et à notre industrie touristique. suite http://www.cyberpresse.ca/article/20070802/CPVOIXEST/708020587/6732/CPOPINIONS
  4. Le mercredi 01 août 2007 ... Il ne reste plus qu'à divertir les canards... http://www.cyberpresse.ca/article/20070801/CPACTUALITES/708010581/5265/CPACTUALITES ............................................................. p.s.: À noter qu'on élève plus de 2 millions de canards au Lac Brome chaque année
  5. Animal

    BULLETIN ÉTÉ 2007

    Le jeudi 02 août 2007 L'incident semble clos Les employés de Sanimax étaient au travail à cinq heures du matin, hier, pour récupérer les carcasses d"animaux déversées accidentellement dans la rivière Yamaska, vendredi soir. Selon le contremaître Patrick Noiseux (à gauche), une cinquantaine de bêtes ont été ramassées. Il est accompagné ici du maire de Saint-Alphonse, Clément Choinière. photo Alain Dion Chantal Vallée La Voix de l'Est Saint-Alphonse Les résidants de Saint-Alphonse et de Brigham ne devraient plus avoir la désagréable surprise de voir flotter des carcasses d'animaux dans la rivière Yamaska. Sanimax était à pied d'oeuvre dès 5h hier matin pour ramasser les cadavres d'animaux immergés dans la rivière depuis vendredi après-midi, alors qu'un camion de cette compagnie s'est renversé dans le cours d'eau. Vers 9h, le travail était pratiquement terminé. Le contremaître de Sanimax, Patrick Noiseaux, estimait que 100 kilos de carcasses d'animaux ont été récupérées hier matin, ce qui représente une cinquantaine de bêtes. L'équivalent de 2600 kilos d'animaux avaient été sortis de la rivière, le soir de l'accident. Lorsqu'ils avaient quitté les berges à 23h, vendredi, les employés de Sanimax croyaient pourtant que toutes les carcasses d'animaux avaient été ramassées, soutient M. Noiseaux. Un technicien du ministère de l'Environnement, qui a fait une inspection visuelle dimanche, lui avait confirmé qu'il n'y avait plus de problème. «On prend nos responsabilités. Si on l'avait su plus vite (qu'il restait des carcasses d'animaux), on serait intervenus plus vite», souligne-t-il, franchement désolé de l'intérêt médiatique entourant l'incident. La suite dans La Voix de l'Est de jeudi. http://www.cyberpresse.ca/article/20070802/CPVOIXEST/708020578/5054/CPVOIXEST ----------------------------------------------- Le jeudi 02 août 2007 Probablement peu de conséquences pour l'environnement La présence de d'animaux morts dans la rivière Yamaska n'aura que peu de conséquences sur l'environnement, selon le ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs. photo Stéphane Champagne Chantal Vallée La Voix de l'Est Granby Au ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs, on ne s'inquiétait pas trop hier des conséquences environnementales possibles de l'immersion dans la rivière Yamaska de centaines de carcasses d'animaux. «Les carcasses d'animaux peuvent à la limite entraîner une augmentation des coliformes fécaux mais il y en a de toute façon dans la rivière Yamaska. Est-ce que ça pourrait entraîner une dégradation sévère de l'environnement? Je ne le pense pas», indique Stéphane Dégarie, technicien au service hydrique du centre de contrôle environnemental de la Direction régionale Estrie et Montérégie de ce ministère. S'il y a un impact, M. Dégarie estime qu'il sera marginal. Le technicien souligne que les usines de filtration sont bien équipées pour éviter que ces coliformes fécaux se retrouvent dans l'eau du robinet. «La chloration de l'eau va tuer tous les coliformes», indique-t-il. La suite dans La Voix de l'Est de jeudi. http://www.cyberpresse.ca/article/20070802/CPVOIXEST/708020579/5054/CPVOIXEST
  6. Le jeudi 02 août 2007 L'incident semble clos Les employés de Sanimax étaient au travail à cinq heures du matin, hier, pour récupérer les carcasses d"animaux déversées accidentellement dans la rivière Yamaska, vendredi soir. Selon le contremaître Patrick Noiseux (à gauche), une cinquantaine de bêtes ont été ramassées. Il est accompagné ici du maire de Saint-Alphonse, Clément Choinière. photo Alain Dion Chantal Vallée La Voix de l'Est Saint-Alphonse Les résidants de Saint-Alphonse et de Brigham ne devraient plus avoir la désagréable surprise de voir flotter des carcasses d'animaux dans la rivière Yamaska. Sanimax était à pied d'oeuvre dès 5h hier matin pour ramasser les cadavres d'animaux immergés dans la rivière depuis vendredi après-midi, alors qu'un camion de cette compagnie s'est renversé dans le cours d'eau. Vers 9h, le travail était pratiquement terminé. Le contremaître de Sanimax, Patrick Noiseaux, estimait que 100 kilos de carcasses d'animaux ont été récupérées hier matin, ce qui représente une cinquantaine de bêtes. L'équivalent de 2600 kilos d'animaux avaient été sortis de la rivière, le soir de l'accident. Si 100 kilos de carcasses d'animaux est équivalent à 50 animaux, cela voudrait dire que chaque animal ne pesait pas plus de 2 kilos chacun... Et pourtant il s'agissait de cochons De plus, nulle part dans ces deux articles on ne mentionne le nombre total de cochons qui ont péri dans cet accident. Nulle part on ne donne de renseignements sur la cause de cet accident... On ne peut que présumer que le camion qui transportait ces animaux était rempli à pleine capacité et qu'il s'est renversé! (?) Lorsqu'ils avaient quitté les berges à 23h, vendredi, les employés de Sanimax croyaient pourtant que toutes les carcasses d'animaux avaient été ramassées, soutient M. Noiseaux. Un technicien du ministère de l'Environnement, qui a fait une inspection visuelle dimanche, lui avait confirmé qu'il n'y avait plus de problème. «On prend nos responsabilités. Si on l'avait su plus vite (qu'il restait des carcasses d'animaux), on serait intervenus plus vite», souligne-t-il, franchement désolé de l'intérêt médiatique entourant l'incident. La suite dans La Voix de l'Est de jeudi. http://www.cyberpresse.ca/article/20070802/CPVOIXEST/708020578/5054/CPVOIXEST ----------------------------------------------- Le jeudi 02 août 2007 Probablement peu de conséquences pour l'environnement La présence de d'animaux morts dans la rivière Yamaska n'aura que peu de conséquences sur l'environnement, selon le ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs. photo Stéphane Champagne Chantal Vallée La Voix de l'Est Granby Au ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs, on ne s'inquiétait pas trop hier des conséquences environnementales possibles de l'immersion dans la rivière Yamaska de centaines de carcasses d'animaux. «Les carcasses d'animaux peuvent à la limite entraîner une augmentation des coliformes fécaux mais il y en a de toute façon dans la rivière Yamaska. Est-ce que ça pourrait entraîner une dégradation sévère de l'environnement? Je ne le pense pas», indique Stéphane Dégarie, technicien au service hydrique du centre de contrôle environnemental de la Direction régionale Estrie et Montérégie de ce ministère. S'il y a un impact, M. Dégarie estime qu'il sera marginal. Le technicien souligne que les usines de filtration sont bien équipées pour éviter que ces coliformes fécaux se retrouvent dans l'eau du robinet. «La chloration de l'eau va tuer tous les coliformes», indique-t-il. La suite dans La Voix de l'Est de jeudi. http://www.cyberpresse.ca/article/20070802/CPVOIXEST/708020579/5054/CPVOIXEST
  7. 2 août 2007 L'organisation de défense des droits des animaux GAIA et la fondation Varkens in Nood (Porcs dans le besoin) des Pays-Bas dénoncent les conditions épouvantables dans lesquelles 972 porcelets ont été transportés des Pays-Bas jusqu'en Espagne. Le transport a été suivi à distance les 19 et 20 juillet sur la route vers l'Espagne. Pendant le trajet, sans aucune halte, les porcelets étaient entassés les uns sur les autres sans eau ni nourriture. Arrivés à destination, il est apparu que 13 des porcelets n'avaient pas survécu au terrible transport. De nombreux autres étaient blessés ou gravement affaiblis par l'épuisement du voyage. Un deuxième transport est arrivé plus tard dans la même journée, alors qu'il faisait plus de 37°C. La nouvelle réglementation européenne interdit pourtant les transports quand la température excède les 30°C. GAIA demande à l'Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire (AFSCA) de contrôler également beaucoup plus souvent les transports qui transitent par la Belgique. GAIA estime aussi que les transports de porcs à partir des Pays-Bas doivent être contrôlés dans tous les cas, qu'ils fassent une halte en Belgique ou non. Des images vidéo et des photos du transport ont été prises. Ce sont des images déchirantes de jeunes animaux, entassés les uns sur les autres, parfois dans la chaleur brûlante, transportés sans eau et sans soins, et ce juste pour être engraissés davantage en Espagne. camions remplis de porcelets Un porcelet cherche à respirer Porcelets morts Quelques porcelets vivants parmi un monceau de porcelets morts photos: Stichting Varkens in Nood/Stichting Dier en Recht Les abus lors de transports d'animaux sont la règle plutôt que l'exception. Il est évident que le contrôle du respect des règles de transport laisse totalement à désirer. Un nouveau règlement relatif à la protection des animaux durant le transport est entrée en vigueur le 1 janvier 2007. Trop peu de contrôle en Belgique Les transports de bétail qui transitent par la Belgique ne sont contrôlés que sporadiquement, par coups de sonde. Seuls les camions qui s'arrêtent en Belgique pour permettre aux animaux de se reposer sont toujours contrôlés au lieu officiel de repos. Ce n'était pas d'application dans le transport en question. Le président de GAIA Michel Vandenbosch: « Des contrôles plus strictes, c'est une chose. Il serait encore mieux d'interdire les transports de bétail sur longues distances, ou au moins de les limiter à huit heures. Sinon cette misère va continuer. » Les problèmes des transports d'animaux sur longues distances ne feront que se généraliser maintenant que le secteur porcin a décidé d'augmenter le nombre des porcs exportés vivants de 4,5 millions à 9 millions par an. Les Pays-Bas sont ainsi les plus grands exportateurs d'Europe. Beaucoup de lacunes sont relevées lors du transport de porcs : Le système d'alimentation en eau est souvent éteint, inaccessible, vide ou défectueux Il n'y a pas de présence de nourriture Il n'y a pas de haltes prévues Les camions sont surchargés Les porcs sont transportés à une température supérieure à 30°C (= infraction à la législation) Combat entre des porcs qui ne se connaissent pas et qui ne peuvent s'échapper en raison du confinement des lieux Beaucoup de stress résulte de la chaleur des transports ; des températures supérieures à 16°C entraîne du stress ce qui cause des blessures et la mort. Les truies âgées sont souvent en mauvaise condition. Elles ne devraient donc être transportées que sur de courtes distances. En été, la litière ne devrait pas être constituée de paille en raison de la chaleur qui s'en émane ; de la sciure de bois humide est beaucoup plus adéquate et apporte une sensation de fraîcheur. Rapport de l'inspection Les points les plus importants du rapport d'inspection, les 19 et 20 juillet 2007: 972 porcelets, de format Babe (âgés d'environ 3 mois), ont été transportés vers l'Espagne par un transporteur néerlandais. À l'arrivée dans une société porcine au sud de Barcelone (Amposta), 13 porcelets étaient morts. Le camion était vraisemblablement trop chargé. La durée du transport est estimée à 20 heures, dont les 13 dernières ont été suivies à distance (depuis Langres en France). Les porcelets étaient destinés à une ferme en Espagne, où ils devaient être engraissés davantage. L'exploitant et ses collaborateurs semblaient trouver normal qu'il y ait des porcs morts. Les cadavres ont été sortis du camion sans commentaire et jetés dans un coin. Lors de conversations avec les enquêteurs de terrain, les chauffeurs ont indiqué qu'avoir un certain nombre de porcs morts par transport n'était pas un fait inhabituel. Le camion suivi n'avait pas une bonne provision d'eau continue, contrairement à la réglementation. Les porcelets n'ont donc pas reçu à boire de tout le trajet. Les chauffeurs de camion ont raconté aux enquêteurs de terrain que le système pour abreuver les animaux n'est branché que lors des haltes. Etant donné qu'il n'y en avait pas en chemin, les animaux n'avaient donc pas reçu à boire. Quelque temps après le déchargement des porcelets du camion, un autre camion néerlandais est arrivé sur le terrain de la société. Dans ce transport, il n'y avait pas de porcelets morts, mais là également, l'on n'avait pas respecté les prescriptions légales, qui interdisent de transporter des porcs par plus de 30 degrés°C. Au moment du déchargement, la température mesurée était de 41 degrés. Ce qui n'est pas étonnant vu la température extérieure caniculaire, le fait que les camions soient en aluminium et qu'ils soient garés ou roulent sous le soleil brûlant. La loi a été enfreinte lors des deux transports ce qui a occasionné de graves souffrances et un grand inconfort. http://www.gaia.be/fra/control.php?&topgroupname=&groupname=cp53 --------------------------------------- J'étais sur l'autoroute hier en direction de Québec et dans ma journée, j'ai compté plus d'une centaine de camions transportant des animaux, majoritairement des cochons ! Il faisait plus de 30 degrés et avec le smog l'air était irrespirable !
  8. Le Canada marche sur des charbons ardents et veut intimider les pays qui émettent le projet de suivre l'exemple de la Belgique en voulant également interdire le commerce de fourrure de phoques. C'est ce qui explique la menace de l'Organisation Mondiale du Commerce à l'encontre de l'interdiction belge. Voici les propos qu'ont tenus les organisations de défense des droits des animaux GAIA et l'IFAW (Fonds international pour la protection des animaux) face à la déclaration du ministre Canadien du commerce David Emerson. Ces deux associations ont mené ensemble une campagne pour interdire le commerce de fourrure et de produits dérivés de phoque au niveau belge. M. Emerson demande une concertation au sein de l'Organisation Mondiale du Commerce à ce sujet. La pression sur le Canada contre la chasse aux phoques s'intensifie. "Au plus la pression politique sur le Canada augmente, au mieux c'est", déclare Michel Vandenbosch, Président de GAIA. "Apparemment, le Canada commence à paniquer après le signal sans équivoque de la Chambre Américaine des Représentants qui, avant-hier (lundi), a voté à l'unanimité - donc tous les républicains et tous les démocrates - une résolution contre l'horrible chasse aux phoques". La Chambre des Représentants américaine appelle le Canada à cesser la chasse aux phoques "inhumaine". Au Sénat américain également, cette même résolution a été introduite en mars. Tout comme en Belgique, le premier pays de l'Union Européenne à avoir interdit le commerce de produits provenant de toutes espèces de phoques, une interdiction similaire est d'application aux Etats-Unis. Récemment, les Pays-Bas ont interdit le commerce des produits de phoques à capuchon et de phoques harpé (chassés au Canada). Le Parlement européen aussi avait déjà demandé précédemment une interdiction au niveau européen. D'après le gouvernement canadien, c'est la vie des Inuits (Esquimaux) qui est en jeu, mais l'interdiction belge fait justement une exception pour la chasse effectuée pour la survie de ce peuple. L'argument selon lequel les espèces de phoques ne sont pas menacées par la chasse n'est pas correct. "Peu importe que personne ne sache avec précision combien d'animaux compte encore la population. Ici, l'enjeu n'est pas tellement relatif à la conservation de l'espèce. Nous menons la lutte contre la cruauté avec laquelle des animaux sans défense sont massacrés", s'insurge Michel Vandenbosch. Cette année, d'après les observateurs de l'Humane Society of the United States, la chasse de 270 000 phoques a été particulièrement cruelle. Des animaux âgés de douze jours à peine ont été abattus de manière atroce à coups de matraque ou de fusil. S'ils n'étaient pas morts sur le coup, ils étaient achevés plus loin. Beaucoup d'animaux mortellement blessés se sont noyés avant que les chasseurs ne puissent les rejoindre. Les chasseurs avaient peine à les atteindre du fait de la faible épaisseur de la glace. Gaia 2 août 2007
  9. J'espère que la Belgique va tenir son bout !!
  10. La majorité des VGs préfèrent vivre avec des VGs et c'est tout-à-fait normal ! Pourquoi faudraient-ils qu'ils couchent avec des carnivores ? Le lion dort-il avec un agneau ?
  11. Minable ! Ils ne se rendent même pas compte combien ils se rendent ridicules aux yeux du reste du monde !
  12. Animal

    On achève bien les veaux

    comme par exemple les canards gavés martyrisés dont Madame Krol fait la promotion !!!!
  13. Animal

    BULLETIN ÉTÉ 2007

    Ces pauvres bêtes, forcées de travailler comme des forcenées sont tellement martyrisés qu'elles peuvent bien devenir agressives ! ------------------------------------------ Elephants kill 8 in India 07/26/2007 To domesticated elephants went on a rampage in northeastern India, killed eight people and injured five and than were shot dead by police. Ganguly said it was possible that the male elephant was in a state called "musth," a little understood period when male elephants often become aggressive. (www.eleaid.com) Police were searching for the owners of the elephants and trying to establish what caused the violent behavior, rare among tamed elephants. Angry villagers protesting the lack of protection burnt down the local forestry office. The rampage occurred Wednesday in an area bordering India's Assam and Mizoram states, said Gautam Ganguly, a senior government official in the area. The two elephants, a male and a female, ran through at least five villages in Assam, trampling anyone who got in their way and knocking down several of the mud-and-thatch houses before crossing into the neighboring state of Mizoram, where police were called in. "Men of the Mizoram Police finally gunned the elephants down after dusk," Ganguly said. It was not immediately clear what caused the two elephants, who were used in logging operations, to lose control. Ganguly said it was possible that the male elephant was in a state called "musth," a little understood period when male elephants often become aggressive. The Press Trust of India news agency said the incident started when the male was hit on the head by a falling log. Local government officials said the families of the dead would receive 50,000 rupees (US$1,250; EUR910) in compensation. The remote region is home to some 5,000 wild Asiatic elephants, and conflicts between the elephants and humans have been on the rise due to constant encroachment on the animals' habitat. However, attacks by domesticated elephants are extremely rare. http://english.pravda.ru/news/hotspots/26-07-2007/95330-elephants_rampage-0
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    BULLETIN ÉTÉ 2007

    Mattos says it doesn't compare to last year in Merced County where 150,000 turkeys died from heat exposure. LE MÊME NOMBRE EST MORT L'ANNÉE DERNIÈRE POUR LES MÊMES RAISONS ! -------------------------------------------------------------- 07/11/2007 - Valley poultry ranchers experienced a major loss last week when triple digit temperatures killed 50,000 turkeys. However, this loss exposed an even bigger problem for the agriculture industry. The California Poultry Federation says every year it expects to lose birds because of extreme heat and other natural causes, however, the problem isn't birds dying, it's the lack of available rendering plants to dispose of the birds that has the Ag industry concerned. California ranchers raise 17 million turkeys a year adding $400M to the economy. So, last Thursday, when extreme temperatures in the Valley killed off 50,000 turkeys at Zacky Farms a pinch was felt in the wallet. Bill Mattos, California Poultry Federation, says, "Obviously, when you lose birds, you lose money, so it's serious in that venue." Bill Mattos says ranchers work to keep the birds well fed and in a cool environment and while last week's loss may seem bad, Mattos says it doesn't compare to last year in Merced County where 150,000 turkeys died from heat exposure. "We're somewhat surprised of all the publicity, but the one reason we're happy people are discussing it is because of the fact when we have losses we need places to go with them like landfills or rendering plants, " says Mattos. Mattos says there weren't enough rendering plants to dispose of the turkeys, a problem in this area, so he relied on help from Fresno County's Ag Department. "When we're having those types of temperatures, it only takes 2 or 3 days and then they really become a health hazard." A health hazard Assistant Commisioner Bob Vandergon avoided by opening up American Avenue landfill. More than 100 tons of decaying turkey were dumped there. Vandergon says it is vital state and counties work together when a crisis strikes. He says, "It points out that we're subject to these acts of the environment and we need to have processes by which we can respond quickly and take care of them." The California Poultry Federation says as businesses continue to expand its poultry production more rendering plants will be necessary, or plants will have to find a way to expand in order to handle problems like the one Fresno saw Thursday. http://abclocal.go.com/kfsn/story?section=local&id=5469516
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    BULLETIN ÉTÉ 2007

    High heat takes out 150,000 turkeys Three counties scramble to find places to dispose of health-hazard carcasses By CHRISTINA SALERNO csalerno@modbee.com and TIM EBERLY THE FRESNO BEE Last Updated: July 12, 2007, 04:38:38 AM PDT Stanislaus, Merced and Fresno County officials scrambled over the weekend to dispose of 150,000 turkeys that died in last week's heat wave. The spike in temperatures, which began on the Fourth of July and hit 107 degrees Thursday in Modesto, left poultry farms with several hundred tons of turkey carcasses. The carcasses must be removed quickly because they attract flies and other insects that can spread disease. Area rendering plants were unable to handle the load, and county officials opened up landfills over the weekend to accept the dead birds. Fresno County officials declared a local emergency, which allowed some of the carcasses to be dumped Sunday at a county landfill that normally doesn't take animals. No emergencies were declared in Stanislaus or Merced counties. Stanislaus County's landfill on Fink Road is permitted to receive small animals, such as chickens and turkeys. It is the second year in a row a heat wave has destroyed livestock. Last summer's heat wave killed at least 750,000 chickens and 250,000 turkeys statewide, said Bill Mattos, president of the California Poultry Industry Federation in Modesto. More than 30,000 of the state's cows and calves also died. Stanislaus County staff was notified of the poultry die-off early Friday morning, said Sonya Harrigfeld, director of the Department of Environmental Resources. "Because of what happened last year, our landfill staff has prepared certain sites for the disposal of turkeys and chickens. We were ready to accept them," Harrigfeld said. Four truckloads of turkey carcasses were brought to the landfill on Friday, and eight were delivered on Saturday. About 210 tons of poultry was dumped at the landfill during its normal business hours, she said. "We didn't expect this kind of die-off this early in the season, but our landfill staffers handled it extremely well," said county Chief Executive Officer Rick Robinson. Mattos estimated that 100,000 turkeys and a few thousand chickens died in Stanislaus and Merced counties, and Fresno County reported about 50,000 poultry deaths. "The heat was so humid this time, it had an effect on the bigger turkeys," Mattos said. "It was a quick situation in Stanislaus and Merced. The birds started dying last Friday, but the county came to the rescue, and we were good by Monday." Farmers used ventilated housing, misters, fans and backup generators to try to keep the remaining poultry cool. A contract farmer in Merced County was hit with the largest losses, Mattos said. Poultry usually can withstand the valley's hot summer days when they've had a chance to acclimate. But a sudden heat spell, particularly when temperatures reach 110 or higher, can take a toll, said Don Bell, a University of California Cooperative poultry specialist. "We don't have heat mortality every year," he said. Turkeys tend to be more susceptible than chickens, he said, because turkey operations don't typically have air conditioning, unlike chicken operations. Fresno County Supervisor Phil Larson said he got a call Friday afternoon from Richard Zacky, owner of Zacky Farms, reporting that he was running out of places to take carcasses. Four hundred tons of dead turkeys was taken to Kettleman Hills before it closed, but that left 100 tons without a burial place. Larson called County Administrative Officer Bart Bohn, who issued an emergency declaration allowing the carcasses to be buried at the county's American Avenue landfill, which normally does not accept dead animals. "There was no other place to take them," Larson said. Rendering plants quickly hit capacity when animal death tolls mount, Harrigfeld said. The Modesto Tallow Co. closed last year, and the nearest rendering plant is in Turlock. "Up and down the valley, there is only a certain number of rendering plants. With Tallow no longer working, if something happens it will have impacts on Fresno and Turlock and Sacramento," Harrigfeld said. Stanislaus County lost $1.3 million worth of chickens and turkeys during the 2006 heat wave. Poultry accounts for an estimated $200 million yearly for county farm operations. -------------------------------------------
  16. Animal

    BULLETIN ÉTÉ 2007

    Je les trouvent ridicules de faire la promotion de ces produits surtout qu'ils ne sont absolument pas nécessaires ... -------------------- Killing pregnant whales is 'good news', say whalers July 25, 2007 - 4:49PM Whaling Photo: Kate Davison Japanese whalers have admitted almost all of the mature female minke whales they killed in Antarctic waters last season were pregnant. But that's good news, they insist, supporting their argument that the population is strong enough to allow a return to commercial whaling. Japan's whaling research body, the Institute of Cetacean Research, today said 91.6 per cent - or 262 of the 286 mature female minkes taken during the last hunt - were pregnant. "Almost all of the whales are becoming pregnant each year. This is good news. This is great. It shows that the Antarctic minke population is increasing rapidly," the ICR's Glenn Inwood said today. "The consistent population must provide strong reassurance that the population will easily sustain a commercial quota." Inwood took issue with the way The Humane Society International (HSI) presented the issue yesterday. He said there had been no mention by the group that almost all mature female minkes were pregnant at the time the annual hunt goes ahead, typically from December until March. In a statement yesterday, HSI said more than half of the minke whales captured by Japan in Antarctic waters last season, were pregnant. "It horrifies Australians to know that pregnant humpback whales breeding in the warm waters off Australia this winter will be targeted by the Japanese hunters in Antarctic waters this Christmas," HSI's Nicola Beynon said. HSI was using figures from a review of Japanese reports from the most recent hunt, ahead of the resumption of a Federal Court case the group is taking against Japanese whaling company Kyodo Senpaku Kaisha Ltd. While HSI's assessment was not wrong, Inwood said it failed to provide an accurate context. The group was being unnecessarily emotive, he said. "Those figures from the Humane Society are extremely manipulative. They basically demonstrate the organisation's ignorance and lack of understanding," he said. "It is an extremely cynical move and I think what they are doing is using an ignorant media ... to manipulate the public of Australia and New Zealand." Inwood said that of the 503 minkes taken last season, 104 were male and 349 were female. Of the females, 63 were immature, 262 were mature and pregnant, and 24 were mature and not pregnant. Japan carries out an annual whale hunt in Antarctica as part of its research program, aimed at providing data to resume commercial whaling. Whales hunted under the program ultimately end up on dinner tables, where whale meat is a traditional dish, leading to claims of whaling by stealth. AAP http://www.smh.com.au/news/whale-watch/killing-pregnant-whales-is-good-news-whalers/2007/07/25/1185339064854.html BANDE DE SALAUDS !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
  17. Nouvelles règles pour la chasse au chevreuil sur l'île d'Orléans Au Québec, le cerf de Viriginie est communément appelé chevreuil. Wikipedia, Scott Bauer Le Soleil Québec Le ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF) annonce mardi qu'il apporte des modifications réglementaires à la chasse au cerf de Virginie sur l'île d'Orléans. Ces modifications réglementaires visent à réduire les dommages causés par les chevreuils tout en assurant un niveau de population de cervidés socialement acceptable pour les résidents et les utilisateurs de la faune. Dès cet automne, la chasse des cerfs mâles, femelles et des veaux sera permise à l'île d'Orléans. ... http://www.cyberpresse.ca/article/20070731/CPSOLEIL/70731158/6787/CPSOLEIL
  18. Publié le 31 Juillet 2007 On achève bien les pigeons Piégés. Comme des rats. Une quinzaine de pigeons se débattent depuis dix jours dans une cage trappe de la mairie, aux Minimes. « Je n'en peux plus de voir ça ! C'est sous mes fenêtres. Il a fait chaud. Ils n'ont pas d'eau ni à rien à manger depuis plusieurs jours. Comme ils ont du mal à contenir dans cette boîte, ils se battent, des plumes volent. Je suis impuissante devant ça… c'est dégueulasse de les laisser dans cet état ! » Jacqueline habite dans cet immeuble de 12 étages au 5 boulevard des Minimes, qui surplombe ce toit de garage où la cage trappe à pigeons a été installée par le service communal d'hygiène et de santé de la Ville de Toulouse. Depuis le dernier passage du ramasseur, les volatiles se sont précipités en nombre dans ce piège fatal. « La mairie a décidé d'exterminer les pigeons, mais la façon dont ils les attrapent me paraît relever de la maltraitance à animaux », ajoute Jacqueline, scandalisée, qui a alerté les services municipaux. http://www.ladepeche.com/aff_art.asp?ref=200707311295&rub=tij
  19. Le mardi 31 juillet 2007 Algues bleues: les écologistes blâment les agriculteurs Photo archives La Presse Martin Croteau La Presse Au moment où les algues bleues infectent 83 lacs ou rivières, des groupes écologistes accusent les agriculteurs - surtout les éleveurs de porc - d'être responsables des trois quarts de la pollution dans nos cours d'eau. Le noeud du problème: le phosphore, utilisé comme engrais dans les champs, mais associé au foisonnement de cyanobactéries et d'autres herbes envahissantes dans l'eau. L'une des substances agricoles les plus riches en phosphore est le lisier, du purin de porc liquéfié pour en faciliter la manutention. «Les éleveurs, pour se débarrasser du lisier de porc, vont l'asperger sur les terres agricoles, en particulier sur le maïs. Le gros problème, c'est que s'il pleut ou s'il y a trop de lisier, ces excédents s'en vont dans les cours d'eau et se retrouvent dans les lacs», déplore Éric Darier, porte-parole de Greenpeace. Dans la baie Missisquoi, poursuit-il, 77% des excès de phosphore proviennent des champs environnants. En décembre, le gouvernement a dévoilé avec l'Union des producteurs agricoles (UPA) un plan concerté de trois ans, qui prévoit des mesures volontaires pour réduire la pollution. Selon Greenpeace, cette stratégie place les agriculteurs à l'abri «de toute nouvelle mesure environnementale d'ici 2010». Cependant, chaque exploitation est tenue d'équilibrer son «bilan phosphore» d'ici 2010. Autrement dit, les producteurs ne pourront épandre plus que leur terre peut absorber. «À l'heure où on se parle, plus de 85% du secteur a déjà atteint cet objectif», affirme l'attachée de presse de la ministre de l'Environnement, Véronik Aubry. Mais cela ne suffit pas, répond Éric Darier. «Il faut revoir toutes les politiques agricoles et se poser la question fondamentale: est-ce qu'on veut encourager l'industrie porcine au Québec? Est-ce qu'on veut faire des grandes mégaporcheries qui polluent l'environnement?» L'organisme Eau Secours propose de son côté de maintenir le fumier de porc dans sa forme solide, et de le mélanger à de la paille. Le résidu pourrait alors être stocké. «Là, tu as une pollution incroyable parce que ton lisier est liquide, dit le président André Bouthillier. Si c'était solide, il y en aurait moins dans les champs et la balance serait envoyée dans un site d'enfouissement.» Mais les agriculteurs sont sensibles à l'environnement, rétorque la première vice-présidente de l'UPA, Martine Mercier. Au fil des ans, ils ont reboisé leurs berges et assaini leurs méthodes d'épandage. «Aujourd'hui, les agriculteurs produisent 18 000 tonnes de phosphore de moins qu'il y a 10 ans.» http://www.cyberpresse.ca/article/20070731/CPENVIRONNEMENT/707310481/6108/CPENVIRONNEMENT
  20. Animal

    La Lortie abrutie...

    On devrait en faire du purin de la l'ortie
  21. Animal

    La Lortie abrutie...

    Zaza (= Christophe) a reposté son message... On verra combien de temps il va rester... Le Lundi 30 Juillet 2007 Bonjour Madame Lortie, D’un côté vous dénigrez ceux qui protègent les animaux en disant qu’ils s’inquiètent du sort des canards pendant qu’il y a la guerre en Irak etc. et là, je ne vois absolument pas le rapport, puisqu’on peut en même temps s’inquiéter du sort des canards et s’inquiéter aussi de la guerre en Irak, mais vous rajoutez en plus que les défenseurs des animaux s’inquiètent du sort des canards pendant que les écosystèmes sont en péril à cause de la pollution et des changements climatiques, que les lacs québécois sont empoisonnés aux algues bleues, que le Groenland est en train de fondre, mais d’un autre côté vous semblez trouver tout à fait normal de faire l’élevage de canards pour le foie gras ou même celui du cochon pour le jambon. Savez-vous que la cause principale des algues bleues au Québec provient de l’élevage intensif, incluant les élevages de canards du Québec? Et détrompez-vous si vous croyez que l’élevage de canards pour le foie gras au Québec se fait uniquement à petite échelle: Dans un seul abattoir de canards du Québec, on tue 3 MILLIONS de canards par année. Nous avons également près de 8 MILLIONS de cochons au Québec qui polluent sans compter tous les autres élevages intensifs (poules, dindes, etc. etc. etc.) Vous terminez votre texte en écrivant: Défenseurs des droits des canards, vous n’avez vraiment pas de quoi être fiers”, mais je trouve que contrairement à ce que vous écrivez, les défenseurs des animaux (je vous fait remarquer que la plupart sont végétariens sinon vegan) ont réellement de quoi être fiers car eux, ils se soucient réellement de l’environnement et des injustices qui sont perpétrées envers des êtres innocents qui ne peuvent pas se défendre seuls et au lieu de les dénigrer, vous auriez du au contraire les féliciter Madame Lortie, car combien d’entre nous sommes assez courageux pour en faire autant qu’ils n’en font ? Merci, bonne réflexion et bonne journée. Christophe -------------------------------- Suit un autre commentaire de CharlotteG charlotteg Le Mardi 31 Juillet 2007 Christophe, voici pour toi, On parle des proprios de chalets qui ont tout déboisé (c’est vrai dans bien des cas), les cultivateurs qui abusent des engrais chimiques etc., mais nulle part on ne mentionne le lisier de porc que l’on étend sur les champs, qu’on fait couler dans les fossés la nuit quand il y a un trop-plein, qui empoisonne les puits avoisinants. Croyez-moi, les engrais chimiques proprement dits ne sont pas seuls coupables à moins bien sûr qu’on ne qualifie le lisier de porc de “chimique” considérant les antibiotiques qu’on injecte aux porcs “au cas où”, les hormones qui les aident à grossir plus vite etc., (une partie de ça va dans le lisier de porc qui coule vers la rivière ou le lac n’est-ce pas) et qui rend ceux qui en consomment résistants aux antibios quand ils en ont besoin. J’ai habité pendant plusieurs années à proximité d’une très grosse porcherie, ce que je mentionne plus haut, je l’ai vécu. Je mets en doute l’intégrité de certains producteurs. Un riche fermier retraité disait dernièrement à un ami que certains propriétaires avaient fait installer chez eux des pompes “renversées” qui envoyaient directement le lisier dans la nappe phréatique. Il me semble que ce serait à voir, le gouvernement en a sûrement les moyens de faire enquête.
  22. Un taureau est persecuté dans toute la ville par de nombreux hommes à cheval et à pieds qui le chassent avec des lances pareilles à celles utilisées dans les combats médievaux. Le taureau est la cible. Les lances sont jetées sur le taureau jusqu'à ce que mort s'ensuive. En général, les testicules du taureau sont coupées pendant que l'animal est encore vivant. S'il vous plaît envoyez des lettres de protestation à: ayto.tordesillas@dip-valladolid.es, presidencia@dip-valladolid.es, prensa@dip-valladolid.es, presidente.responde@jcyl.es, turismo@tordesillas.net Voir aussi les cartes postales du site http://www.iwab.org/ongoingcampaignsfre.html
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