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  1. L'avenir est aux emballages «intelligents» 21 juillet 2007 - 12h22 Le Nouvelliste Brigitte Trahan Trois-Rivières L'avenir est aux papiers «intelligents». Éventuellement, l'emballage dans lequel vous achèterez votre viande hachée vous indiquera, grâce au contenu intégré en enzymes du papier, que la viande est périmée, car il changera alors de couleur. .... http://www.lapresseaffaires.com/article/20070721/LAINFORMER/707210842/5291/CPNOUVELLISTE
  2. Le dimanche 22 juillet 2007 Une autre algue sous haute surveillance C’est dans la rivière Matapédia qu’est apparue cette année la petite algue didymo. Sans danger pour l’homme, elle peut néanmoins être envahissante et nuisible pour la faune et la flore aquatiques. Photo Jean Goupil, La Presse Violaine Ballivy La Presse Après les algues bleues, les Québécois devront apparemment s’habituer à un nouvel envahisseur : l’algue Didymosphenia geminata, familièrement appelée didymo. Observée pour la première fois l’an dernier, l’intruse a survécu aux rigueurs de l’hiver. Elle est de retour cette année et pourrait menacer la beauté des cours d’eau du Québec. Les biologistes du ministère du Développement durable, de l’Environnement et des Parcs (MDDEP) ont trouvé la petite algue didymo au début du mois de juillet dans l’un des paradis de la pêche au saumon au Québec : la rivière Matapédia. Cette fois, le parasite y a été décelé dans une proportion moindre qu’en 2006, probablement grâce aux pluies abondantes tombées depuis le printemps. Mais sa persistance laisse craindre qu’il soit installé à demeure. L’an dernier, sa découverte a été jugée assez préoccupante pour qu’on mette sur pied immédiatement un vaste programme destiné à limiter sa prolifération. Contrairement aux algues bleues, l’algue didymo ne libère aucune toxine, ne représente aucun risque pour la qualité de l’eau potable ni pour la santé humaine, si ce n’est qu’elle peut irriter légèrement les yeux des baigneurs. Mais sa prolifération pourrait compromettre la beauté de nos cours d’eau : la didymo a le vilain défaut de transformer une eau limpide – son milieu de prédilection – en une eau qui semble sortir tout droit d’un égout. ... http://www.cyberpresse.ca/article/20070722/CPACTUALITES/70721111/6108/CPENVIRONNEMENT
  3. Le dimanche 22 juillet 2007 Pour le retour des chiens de traîneaux François Cardinal La Presse En adoptant massivement la motoneige, les Inuits ont gagné en commodité, mais ils ont perdu en sécurité. Plus vulnérables que jamais aux aléas climatiques, les chasseurs nordiques du Québec auraient donc tout intérêt à revenir aux traîneaux à chiens. Forte d'une recherche qui a duré près de deux ans, une équipe de scientifiques québécois et autochtones liée à l'Administration régionale Kativik recommande en effet le retour à ce moyen de transport traditionnel pour contrer l'insécurité engendrée par la motoneige, mais aussi par les changements climatiques ... http://www.cyberpresse.ca/article/20070722/CPENVIRONNEMENT/707220387/6108/CPENVIRONNEMENT
  4. Merci beaucoup hop ! Quelle triste et horrible nouvelle !
  5. Je n'avais pas fait attention... désolée mesdames Je me demande si le promoteur a eu le feu vert du gouvernement pour démarrer son projet !
  6. Une compagnie vise l’exportation de singes La compagnie Biosphere se propose d’exporter un millier de singes vers les Etats-Unis pour des recherches médicales. Des singes qui seront capturés dans la nature, élevés en captivité jusqu’à ce qu’ils soient prêts pour l’exportation. Cela, pour des recherches sur des maladies telles que celle de Parkinson, d’Alzheimer ou encore sur le vieillissement de la population, le sida et la malaria. Biosphere Trading Ltd veut ainsi exporter un millier de singes aux Etats-Unis pour ces recherches biomédicales. La compagnie privée basée à Vacoas compte démarrer prochainement un élevage de singes à Closel, Tamarind Falls, à 1,6 km de la route Les Mares qui mène à Grand-Bassin. Elle se propose de construire 48 cages pour une colonie d’environ 1 536 singes. Un hôpital sera également aménagé de même qu’un bâtiment pour stocker de la nourriture, un générateur et une pompe à eau. Les singes seront exportés vers Primate Products Ltd qui est située à Miami. Une compagnie québécoise, Chen & Lam Marketing, se chargera du marketing de ces singes. Biosphere Trading Ltd a déjà signé un memorandum of understanding pour l’achat de 1 000 singes (Macaca fascicularis) chaque année pour la période 2007-2016. Pour démarrer son projet, elle se propose d’acheter des singes à des particuliers. Ces singes seront nourris et traités avant qu’ils ne soient prêts pour l’exportation. Une équipe de cinq personnes installera également des pièges à Tamarind Falls pour capturer les singes. Elle travaille sous la supervision de Mohun Gopaul qui occupe le poste de Head Monkey Trapper depuis juillet 2000 chez Bioculture (Mauritius Ltd) Ltd. Biosphere Trading Ltd ne compte pas accepter des singes ayant eu des contacts avec des humains pour des raisons sanitaires. Le promoteur pense que des singes ayant été nourris par des humains peuvent attraper des infections. Ils peuvent par la suite infecter ceux qui sont en captivité. Une fois capturés, les singes seront transportés rapidement pour éviter qu’ils ne soient stressés. Ils seront également nourris durant le trajet. Des soins médicaux leur seront prodigués en cas de blessure. Le promoteur, aidé d’investisseurs mauriciens et d’un professeur en matière de chirurgie du centre hospitalier de l’université de Montréal, attend le feu vert du gouvernement pour démarrer le projet. Jean-denis PERMAL 3 juillet 2007 http://www.lexpress.mu/display_article.php?news_id=89415#
  7. Actualité Locales Mardi 3 juillet 2007 No - 16203/L'EXPRESS DE MAURICE http://www.lexpress.mu/display_article.php?news_id=89415# COMMERCE Une compagnie vise l’exportation de singes Des singes qui seront capturés dans la nature, élevés en captivité jusqu’à ce qu’ils soient prêts pour l’exportation. Cela, pour des recherches sur des maladies telles que celle de Parkinson, d’Alzheimer ou encore sur le vieillissement de la population, le sida et la malaria. Biosphere Trading Ltd veut ainsi exporter un millier de singes aux Etats-Unis pour ces recherches biomédicales. La compagnie privée basée à Vacoas compte démarrer prochainement un élevage de singes à Closel, Tamarind Falls, à 1,6 km de la route Les Mares qui mène à Grand-Bassin. Elle se propose de construire 48 cages pour une colonie d’environ 1 536 singes. Un hôpital sera également aménagé de même qu’un bâtiment pour stocker de la nourriture, un générateur et une pompe à eau. Les singes seront exportés vers Primate Products Ltd qui est située à Miami. Une compagnie québécoise, Chen & Lam Marketing, se chargera du marketing de ces singes. Biosphere Trading Ltd a déjà signé un memorandum of understanding pour l’achat de 1 000 singes (Macaca fascicularis) chaque année pour la période 2007-2016. Pour démarrer son projet, elle se propose d’acheter des singes à des particuliers. Ces singes seront nourris et traités avant qu’ils ne soient prêts pour l’exportation. Une équipe de cinq personnes installera également des pièges à Tamarind Falls pour capturer les singes. Elle travaille sous la supervision de Mohun Gopaul qui occupe le poste de Head Monkey Trapper depuis juillet 2000 chez Bioculture (Mauritius Ltd) Ltd. Biosphere Trading Ltd ne compte pas accepter des singes ayant eu des contacts avec des humains pour des raisons sanitaires. Le promoteur pense que des singes ayant été nourris par des humains peuvent attraper des infections. Ils peuvent par la suite infecter ceux qui sont en captivité. Une fois capturés, les singes seront transportés rapidement pour éviter qu’ils ne soient stressés. Ils seront également nourris durant le trajet. Des soins médicaux leur seront prodigués en cas de blessure. Le promoteur, aidé d’investisseurs mauriciens et d’un professeur en matière de chirurgie du centre hospitalier de l’université de Montréal, attend le feu vert du gouvernement pour démarrer le projet. Par Jean-denis PERMAL Copyright La Sentinelle
  8. Blind chickens lay more eggs, researchers find Chickens Canadian Press Updated: Thu. Jul. 19 2007 7:46 PM ET GUELPH, Ont. — Sure, love is blind, but who knew about breakfast? Researchers at the University of Guelph in southwestern Ontario have discovered that a strain of naturally blind chickens produces more eggs than their sighted counterparts -- a finding that could help farmers improve commercial egg yields. Scientists found that the way the blind chickens -- known as Smoky Joes -- respond to light gives them an advantage when it comes to laying eggs. Prof. Gregoy Bedecarrats made the discovery after he began studying reproduction patterns of the blind chickens in 2004 to learn how light influences egg production. He said the research could prove valuable to farmers, who could increase egg yields by altering lighting techniques. "We could figure out some way to alter the lighting so that it biologically prompts the chickens to produce more,'' Bedecarrats said. The professor of animal poultry science said the Smoky Joes lack retinas, which forces the birds to process light in a different way, giving them an edge when it comes to egg laying. "These chickens reach the peak of egg production one to two weeks before the normally sighted birds, and produce around 10 per cent more eggs,'' Bedecarrats said. "At the basic level, it's because Smoky Joes are unable to process specific wavelengths in light because they lack retinas, which inhibit sexual maturation. ... Since they mature faster, they are also able to produce eggs sooner, and for some reason, at a higher quantity.'' In most commercial farms in Canada, White Leghorn chickens are bred to produce large quantities of eggs year-round through a process of photostimulation. Using incandescent light, such as regular light bulbs, breeders can stimulate ovary maturity in chickens by exposing the birds to light for a certain number of hours daily to mimic daylight. Typically, chickens begin their reproductive development after sensing an increase in day length, Bedecarrats said. "Producers start by exposing chickens to eight hours, and will move on to 10, 12 and the ideal amount of time is 14 hours of light,'' he said. As the amount of light exposure increases, a red wavelength is absorbed by a portion of the brain called the hypothalamus, which secretes hormones and controls sexual maturation. In chickens that can see, different wavelengths -- usually blue and green -- stimulate receptors in the retinas, inhibiting reproduction, he said. Blind chickens that lack retinas don't respond to the wavelengths that hinder reproduction, but they continue to be affected by the red wavelength. While the research is still in its initial stages and could be a boon for egg farmers, Smoky Joes won't be the chosen strain for commercial production, Bedecarrats said. "We are not really keeping these birds as producers in commercial farms, because any birds with genetic defects, whether it is blindness, or a physical defect, would never be used in farms,'' he said. "These chickens only serve as models for our research, both on the commercial side and to get a better understanding of how biological processes in chickens work.'' http://www.ctv.ca/servlet/ArticleNews/story/CTVNews/20070719/blind_chickens_0707\ 19/20070719?hub=SciTech
  9. Foie gras is barbaric Elevages Perigord's response to the undercover footage made by the Global Action Network showing the cruel way ducks are treated in its foie-gras facility has been problematic. First, managers suggested they were not aware of the situation, even though supervisors were filmed observing the behaviour. Second, the company suggested the tapes implicated only one employee, even though eight were filmed and are being investigated by the Sécurité du Québec. Foie gras production is inherently inhumane, and 14 countries have already banned it. It is disgraceful that Canada has allowed this barbaric industry to gain a foothold here. Andrew Plumbly Director, Global Action Network Montreal http://www.canada.com/montrealgazette/news/letters/story.html?id=280b39ef-a52f-42d7-90f1-005469cf2eb9
  10. Animal

    BULLETIN ÉTÉ 2007

    20-07-2007- Après la Belgique, les Pays-Bas interdisent le commerce de produits dérivés de phoques Nouvelle victoire sur la cruelle chasse aux phoques Après la Belgique, l'interdiction sur la commercialisation de produits dérivés de phoques du Groenland et de phoques à capuchon est désormais un fait aux Pays-Bas. A partir de septembre, les frontières resteront inlassablement closes pour les produits de phoques -comme les peaux et l'huile- issus de la chasse commerciale aux phoques canadienne. Cette interdiction est un signal fort qu'envoient les Pays-Bas au gouvernement canadien pour signaler qu'il ne faudra plus compter sur son pays dans ce commerce. Rien que dans ces dernières années, des millions de bébés phoques ont été abattus à seulement 3 mois et ce, d'une horrible façon. Il y a peu, la Belgique a également interdit la commercialisation de peaux et de produits dérivés de toutes espèces de phoque et cela suite aux actions de GAIA et de l'IFAW (Fonds international pour la protection des animaux). GAIA ayant mené avec succès une campagne visant à interdire ce commerce, félicite ses collègues néerlandais d'IFAW et de Bont voor Dieren qui ont obtenu une victoire face à cette chasse canadienne barbare des phoques. Les interdictions néerlandaises et belges sont un signal fort pour faire savoir au gouvernement canadien que les marchés européens continuent de se fermer aux produits de phoque.Ces dernières années, beaucoup de progrès ont été enregistrés en Europe pour faire cesser ce commerce. Le Parlement européen a soutenu il y a peu une déclaration écrite pour interdire ce commerce dans toute l'UE. L'IFAW et GAIA sont convaincus qu'une interdiction au niveau européen va suivre. En effet, après la Belgique et les Pays-Bas, ce sont également la Croatie, l'Allemagne, l'Italie, la France et le Royaume-Uni qui ont ouvertement indiqué que le commerce, résultant de cette chasse, devait absolument être arrêté. http://www.gaia.be/fra/control.php?&topgroupname=&groupname=cp49
  11. 20-07-2007- Après la Belgique, les Pays-Bas interdisent le commerce de produits dérivés de phoques Nouvelle victoire sur la cruelle chasse aux phoques Après la Belgique, l'interdiction sur la commercialisation de produits dérivés de phoques du Groenland et de phoques à capuchon est désormais un fait aux Pays-Bas. A partir de septembre, les frontières resteront inlassablement closes pour les produits de phoques -comme les peaux et l'huile- issus de la chasse commerciale aux phoques canadienne. Cette interdiction est un signal fort qu'envoient les Pays-Bas au gouvernement canadien pour signaler qu'il ne faudra plus compter sur son pays dans ce commerce. Rien que dans ces dernières années, des millions de bébés phoques ont été abattus à seulement 3 mois et ce, d'une horrible façon. Il y a peu, la Belgique a également interdit la commercialisation de peaux et de produits dérivés de toutes espèces de phoque et cela suite aux actions de GAIA et de l'IFAW (Fonds international pour la protection des animaux). GAIA ayant mené avec succès une campagne visant à interdire ce commerce, félicite ses collègues néerlandais d'IFAW et de Bont voor Dieren qui ont obtenu une victoire face à cette chasse canadienne barbare des phoques. Les interdictions néerlandaises et belges sont un signal fort pour faire savoir au gouvernement canadien que les marchés européens continuent de se fermer aux produits de phoque.Ces dernières années, beaucoup de progrès ont été enregistrés en Europe pour faire cesser ce commerce. Le Parlement européen a soutenu il y a peu une déclaration écrite pour interdire ce commerce dans toute l'UE. L'IFAW et GAIA sont convaincus qu'une interdiction au niveau européen va suivre. En effet, après la Belgique et les Pays-Bas, ce sont également la Croatie, l'Allemagne, l'Italie, la France et le Royaume-Uni qui ont ouvertement indiqué que le commerce, résultant de cette chasse, devait absolument être arrêté. http://www.gaia.be/fra/control.php?&topgroupname=&groupname=cp49
  12. 20-07-2007- Après la Belgique, les Pays-Bas interdisent le commerce de produits dérivés de phoques Nouvelle victoire sur la cruelle chasse aux phoques Après la Belgique, l'interdiction sur la commercialisation de produits dérivés de phoques du Groenland et de phoques à capuchon est désormais un fait aux Pays-Bas. A partir de septembre, les frontières resteront inlassablement closes pour les produits de phoques -comme les peaux et l'huile- issus de la chasse commerciale aux phoques canadienne. Cette interdiction est un signal fort qu'envoient les Pays-Bas au gouvernement canadien pour signaler qu'il ne faudra plus compter sur son pays dans ce commerce. Rien que dans ces dernières années, des millions de bébés phoques ont été abattus à seulement 3 mois et ce, d'une horrible façon. Il y a peu, la Belgique a également interdit la commercialisation de peaux et de produits dérivés de toutes espèces de phoque et cela suite aux actions de GAIA et de l'IFAW (Fonds international pour la protection des animaux). GAIA ayant mené avec succès une campagne visant à interdire ce commerce, félicite ses collègues néerlandais d'IFAW et de Bont voor Dieren qui ont obtenu une victoire face à cette chasse canadienne barbare des phoques. Les interdictions néerlandaises et belges sont un signal fort pour faire savoir au gouvernement canadien que les marchés européens continuent de se fermer aux produits de phoque.Ces dernières années, beaucoup de progrès ont été enregistrés en Europe pour faire cesser ce commerce. Le Parlement européen a soutenu il y a peu une déclaration écrite pour interdire ce commerce dans toute l'UE. L'IFAW et GAIA sont convaincus qu'une interdiction au niveau européen va suivre. En effet, après la Belgique et les Pays-Bas, ce sont également la Croatie, l'Allemagne, l'Italie, la France et le Royaume-Uni qui ont ouvertement indiqué que le commerce, résultant de cette chasse, devait absolument être arrêté. http://www.gaia.be/fra/control.php?&topgroupname=&groupname=cp49
  13. Après que le Réseau Action globale ait constaté qu'il y avait des canards maltraités chez Élevages Périgord, une entreprise de Saint-Louis-de-Gonzague, allez-vous boycotter leurs produits tel que le foie gras du Québec? http://www.debatenligne.com/canards-maltraites-sait-louis-de-gonzaque/les-canards-171-1190.html
  14. Un couguar dans le centre du Québec... jusqu'à ce qu'il se fasse prendre les pattes dans un piège de trappeur québécois ... --------------------------------------------------------- Le vendredi 20 juillet 2007 Un couguar dans le centre du Québec C’est la première fois que le félin s’aventure aussi près de régions densément peuplées et qu’il est capté assez clairement sur bande vidéo. Courtoisie Daniel Germain Annie Morin Le Soleil Québec Les biologistes du ministère de la Faune ont toutes les raisons de croire qu’un couguar se promène désormais dans le Centre-du-Québec. Un résidant de Fortierville, village situé à 75 kilomètres de Québec, est persuadé d’en avoir filmé un ce printemps. La bande vidéo a été jugée assez convaincante pour être soumise à des spécialistes américains et des poteaux de frottage ont été commandés afin de recueillir des poils, preuve par excellence de la présence du félin. C’est la première fois au Québec qu’un couguar s’aventure aussi près de régions densément peuplées. Fortierville est un village de 723 habitants situé à mi-chemin entre Québec et Trois-Rivières, sur la rive sud du fleuve. Le suspect se promenait tout bêtement dans un champ de luzerne qui donne dans l’arrière-cour des maisons ayant pignon sur la rue Principale. C’est aussi la première fois qu’une bande vidéo atteste assez clairement du passage de la bête mythique. Tous ceux qui ont vu les images, et ils sont nombreux à Fortierville, ne doutent pas une seconde de l’identité de l’animal. Impossible de le confondre avec un lynx, un coyote ou un faon. Hélène Jolicoeur, biologiste au ministère de la Faune, ne peut toutefois confirmer que l’animal fixé sur pellicule est bel et bien un couguar, même s’il en a tout l’air. L’ultime preuve scientifique de la présence du couguar se cache dans ses poils, dont l’ADN peut être comparé à celui de sa race. « Je ne peux pas me fier à mon sentiment. Ça me prend des preuves hors de tout doute. Je ne veux pas que quelqu’un vienne me dire après coup que c’est un gros chat », explique la biologiste. ... http://www.cyberpresse.ca/article/20070720/CPSOLEIL/70719189/6584/CPSOLEIL
  15. ÉLEVAGES PÉRIGORD: « Les gens sur la ferme sont choqués » Jean-Charles Gagné 19 juillet 2007 redaction@laterre.ca « Les gens sur la ferme, et même d’anciens employés, sont choqués des gestes posés à l’égard des canards. Ils savent bien, après plusieurs années d’ancienneté, que ce n’est jamais notre façon de faire, chez Élevages Périgord, que d’arracher la tête de canards ou de les frapper du pied ou contre les murs, en trouvant ça drôle en plus. » Directeur général, Emmanuel Nassans se sort péniblement du bourbier consécutif à la diffusion d’images montrant des gestes de violence à l’égard de canards destinés à la production de foie gras. « À l’exception d’autres producteurs de foie gras qui ont réagi favorablement et de quelques courriels d’encouragement, nous sommes plutôt seuls pour traverser la crise », a-t-il confié à la Terre, le 13 juillet 2007. L’enquête de la Sûreté du Québec se poursuit. Des inspecteurs du MAPAQ sont sur les lieux quotidiennement afin d’évaluer les pratiques de l’entreprise, la plus importante productrice de foie gras au Québec et la deuxième en Amérique du Nord. « Jusqu’à maintenant, le MAPAQ n’a rien noté d’anormal et ne nous a pas fait de recommandations particulières », a-t-il mentionné. Violence gratuite Deux jours auparavant, il avait dénoncé catégoriquement les gestes de violence gratuite qui ont été filmés. « Nous avons à cœur la santé et le bien-être des animaux qui servent à produire notre foie gras. Chez Élevages Périgord, c’est tolérance zéro à l’égard de la violence envers les animaux. » En entrevue, M. Nassans a expliqué : « Ces canards constituent notre gagne-pain et tous ceux qui travaillent avec des animaux savent très bien que des soins minimaux sont requis pour obtenir une meilleure productivité, sinon on ne reste pas longtemps en affaires. » Comme preuve de l’absence de mauvais traitement des canards, M. Nassans avance que le taux de mortalité enregistré dans ses élevages est inférieur à celui observé dans l’industrie de la volaille, avec 1,67 par 150 000 canards, et cela après 104 jours d’élevage. Le directeur général a signalé que le gavage, souvent décrié, est un geste qui prend environ cinq secondes, incluant la saisie de la tête de l’oiseau. Un canard subit entre 25 et 27 gavages durant sa vie, l’équivalent de quelques minutes sur sa vie entière. « L’élimination des canettes constitue la partie la plus éprouvante du métier, a affirmé M. Nassans. S’il y avait un moyen de les vendre ou même de les donner, je le ferais. Pour l’heure, il n’y a pas de débouché économique et ces canettes ne peuvent concurrencer les canards mulards. » Selon le vétérinaire Jean-Pierre Vaillancourt, les techniques de fécondation ne permettent pas encore de produire, à l’échelle industrielle, seulement des mâles ou des femelles chez les volailles, selon le besoin. Par ailleurs, on ajoute du gaz carbonique dans les sacs pour réduire la souffrance des canettes, a précisé M. Nassans. Tous les détails dans l'édition 19 juillet de La Terre de chez nous http://www.laterre.ca/?action=detailNouvelle&menu=9&section=editionCourante&idArticle=4576
  16. Une vraie ferme pour les enfants urbains Yves Charlebois Collaboration spéciale 19 juillet 2007 redaction@laterre.ca SAINTE-AGATHE-DE-LOTBINIÈRE – Marielle Martineau est une véritable force de la nature. Elle est à la tête d’une ferme porcine de 300 porcs à l’engrais, de 70 brebis, de 71 hectares en culture et d’un camp éducatif de vacances. Cette « belle fermière » toute menue a acquis la ferme laitière de ses parents en 1992 sur le chemin Bois-Francs à Sainte-Agathe-de-Lotbinière. Trois ans plus tard, elle s’est lancée avec son conjoint de l’époque dans le monde de la ferme éducative. Aujourd’hui, sa fille Alexandra et son fils Gabriel l’épaulent dans cette aventure. La ferme Marichel, c’est d’abord une ferme d’exploitation commerciale. Les porcs sont élevés à forfait pour une entreprise d’intégration. Les agneaux issus de ses brebis sont presque tous vendus à la ferme. Pour ce qui est de ses champs de soya et de céréales ainsi que de fourrage, ils sont certifiés biologiques et vendus sur les marchés extérieurs. Le volet éducatif représente le tiers des revenus de l’entreprise. À chaque année, 2000 jeunes y font escale pour une journée ou pour une semaine dans le cadre d’un camp d’été. La ferme Marichel est équipée pour accueillir au maximum 34 jeunes en dortoir avec tous les services d’hygiène. En plus, on retrouve un camp de bois rond et un tipi où les participants peuvent passer la nuit. Pour la bonne marche du camp d’été, Marielle compte sur la collaboration d’une chef de camp en place depuis des années, soit Louise Fortin, ainsi que de six monitrices. À la ferme éducative, les enfants apprennent l’entretien du potager à partir des semis jusqu’à la récolte. Les légumes du potager se retrouvent sur la table lors des repas. La production porcine et ovine fait partie de l’apprentissage des jeunes. Ces derniers apprennent également les bases de l’apiculture grâce aux ruches sur place et à des équipements pour extraire le miel. Les enfants apprennent également à pétrir le pain et à le faire cuire dans un four à bois. Pour Marielle, des questions saugrenues pour une agricultrice peuvent survenir comme : « Pourquoi vous mettez des oeufs en dessous des poules ? » Par contre, le plus grand côté enrichissant pour elle est de s’apercevoir que des enfants nerveux deviennent très calmes après quelques jours au contact d’animaux. « Les bêtes se laissent aimer et elles le rendent bien ». L’aspect sécuritaire n’est pas négligé, car le moindre transport à l’extérieur, comme pour aller à la baignade, se fait avec un autobus scolaire. Comme projet d’avenir, Marielle compte obtenir la collaboration du YMCA de Montréal qui pourrait offrir un stage à la ferme à certains élèves en difficulté. Marielle tient à le répéter : «Sur une ferme, il y a de la vie toute l’année. » Et des visiteurs, elle peut en recevoir en plein hiver. « Les gens n’en reviennent pas de constater qu’on peut marcher plusieurs minutes et qu’on est toujours sur le terrain de la même ferme. » La journée de notre passage, le directeur régional de Telus, Michel Doré, était sur place pour remettre un chèque de 10 000 $ pour aider le volet éducatif de la ferme. Telus verse chaque année près de 500 000 $ à différents organismes au Québec.
  17. Wowwwwwwwwww ! Super article du capt Watson !
  18. Animal

    BULLETIN ÉTÉ 2007

    Outrage after black bear and cub killed in Whistler By Kate Webb, The Province, Wednesday, July 18, 2007 A bear-conservation group is fuming after a black bear and her seven-month-old cub were shot in Whistler this month. The bears were killed after the three-year-old mother entered a home through an open window. Conservation officers said the cub was conditioned to associate humans with food and would grow up to be a conflict bear like mom. "The cub was destroyed based on the rationale that the entry into buildings is a learned behaviour," said Lance Sunquist of the Conservation Officer Service. But the Get Bear Smart Society said research shows cubs of problem bears are not destined to follow in their parents' footsteps. "It was just a tiny little thing, and it's nursing from its mother, so of course it's going to be by its mother," said Sylvia Dolson, the society's executive-director, comparing the size of the 10-pound cub to that of a house cat. "She paid for her mother's behaviour with her own life." A study soon to be published in the Journal of Mammalogy, entitled "Using genetic relatedness to investigate how conflict behaviour is acquired in black bears," says there is no proof a cub will follow in its mother's footsteps. "To say that it was preordained that this cub was going to become a conflict animal, there's simply no basis for that statement," said John Beecham, one of the authors. Beecham, an American PhD bear specialist, said the paper is based on research in California's Yosemite National Park, and near Lake Tahoe. Similar to Whistler, both areas are known for lots of tourists and lots of bears. "There was no way that you could predict, based on the behaviour of the female, what the outcome would be for the cub," said Beecham. "We had to reject our hypothesis. Our hypothesis was that we could tell, but we in fact couldn't. We couldn't predict whether they would become problem animals." Beecham said the assumption that bear cubs learn problem behaviour from their mothers is intuitive, but based on bad science. He said the environment ministry should stop killing cubs. "I wouldn't describe the opinion of the B.C. officials as unusual," he said. "I would say it's probably pretty well accepted, but it's not based on science." Tony Hamilton, the ministry's large-predator expert, is reading Beecham's report. "I can tell you that it runs contrary to my knowledge and experience," he said. "It only makes sense to me that a cub learns from its mother. That's why they spend so much time together. But I respect Beecham's work and I'm going to have a careful look at the paper." He described Beecham as a long-time friend and colleague, adding that, "John's gradually winning me over with new information." He said the ministry is reviewing its policies and if Beecham's study proves convincing, a new, cub-friendly policy could be in place in six months. _______________________________ Group upset at cub killings Get Bear Smart Society claims a dozen little bears have been destroyed recently by conservation officers Kelly Sinoski, Vancouver Sun, Wednesday, July 18, 2007 A Whistler-based society is calling for an investigation into the number of black bear cubs being killed by provincial conservation officers. The Get Bear Smart Society claims a dozen cubs have been killed in recent months, including one whose mother crawled through the open window of a Whistler house. The society has sent a letter to Environment Minister Barry Penner, claiming too many orphaned cubs are being destroyed by B.C. conservation officers when they should be placed in rehabilitation facilities. "There's certainly an alarming number happening now," society executive director Sylvia Dolson said. "If [the ministry's] policy is to shoot these cubs then they need to be more honest with the public." She noted although the mother bear in Whistler was known for visiting residential neighbourhoods and was caught pawing through a golf bag, the seven-month-old cub should have been saved. Others killed include triplets in Prince George and one cub each in Kamloops and Manning Park, she said. Kate Thompson, spokeswoman for the environment ministry, said Tuesday she hadn't seen the letter from the society but noted that not all bears meet the criteria for rehabilitation. The Whistler cub had to die, she said, because it was "living exclusively out of garbage cans." She warned that other bears will be destroyed if people continue to leave out their garbage out or "attractants" like bird feeders and scraps in the barbecue. In Sooke and Nanaimo, conservation officers are being called out four to five times more than usual to deal with bear-related complaints, she said. "Some of our bear numbers are way up in some areas because people keep leaving stuff out for them," she said. The B.C. Conservation Officer Service spends more than $1 million each year responding to bear complaints and relocating or destroying bears. Ministry carnivore specialist Tony Hamilton said he's worried about this fall, given the late spring and the heavy snowpack, which may lead to a berry crisis for bears.
  19. Animal

    BULLETIN ÉTÉ 2007

    Poachers kill 3 bears near Nanaimo (COLOMBIE-BRITANNIQUE) Judith Lavoie, Victoria Times Colonist Published: Tuesday, July 17, 2007 Three dead bears with gallbladders and paws removed have been found near Nanaimo and conservation officers are appealing for people to come forward to help catch the poachers. The mutilated black bears were found over a three-day period earlier this month. All had been shot and the carcasses left to rot. Two of the young bears were found near Cedar and the body of a one-year-old bear was found in the Mount Benson area. It is probable they were killed nearby and their bodies dumped, said Ron Heusen, provincial conservation officer. "This is poaching for trafficking. It's a commercialization of the whole process," he said. "Hunting in B.C. is a privilege and traffickers threaten that by viewing wildlife as a source of revenue." The poachers apparently removed the gall bladders looking for bile, which is sold as a traditional Asian medicine cure-all in countries such as Korea, Heusen said. Bile is excreted by the liver and stored in the gall bladder, from which it is released into the stomach to help digest food. Bear bile is marketed as a treatment for a staggering array of human maladies, from cardiac illness to impotence to sore eyes "The Asian market also has bear paw soup, which is considered a delicacy, and the claws show up in jewelry. They can be a First Nations ceremonial component," he said. Ironically, the person who killed the bears will probably receive only $50 to $100 for the parts, Heusen said. "But in Korea, the bile value is greater than gold." Intermittently, bears are poached on Vancouver Island and there are always more incidents on the north Island, where bears tend to be more accessible, sometimes grazing on the side of the road when they are shot, Heusen said. These incidents are different. "Three bears over a three-day time frame really alarmed us. These are three that we know about and there may be others," he said. Although there is forensic evidence, conservation officers do not yet have any suspects and Heusen is hoping someone will develop a conscience and come forward with information. "When these things go on out there, there are no witnesses. The wildlife that sees it can't talk about it and there's no way we can cover the whole area, so success often comes down to the public saying something," he said. "We're hoping someone close to this will step up. It's the moral thing to do." Courts in B.C. tend to frown on those illegally killing wildlife for profit and the offences could bring fines of up to $50,000, up to six months in jail and seizure of any vehicle or equipment used to commit the crime, Heusen said. Anyone who has information is asked to call the 24-hour tip line at 1-877-952-7277. Anonymity is guaranteed for anyone calling in. The B.C. Wildlife Federation also offers rewards of up to $2,000 for information leading to arrests. There is currently no open hunting season on bears, so anyone seen with a bear carcass should be reported, Heusen said. jlavoietc.canwest.com http://www.canada.com/victoriatimescolonist/news/story.html?id=14dadd2b-fa7e-49bb-81bb-ac49a47b94c5&k=9733
  20. Animal

    Vive le foie gras

    BRAVO MA BELLE HOP !!!!!!!!!!!!!!! SUPERBE COMMENTAIRE !!!!!!!!!!
  21. Animal

    Allo Cé

    On avait perdu notre connection depuis hier soir et on vient seulement d'être rebranchés... Il s'agissait d'une panne de videotron. Je répondrai à tes messages après déjeuner... do XXX
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