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Animal

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Tout ce qui a été posté par Animal

  1. Animal

    La Lortie abrutie...

    urticante l'ortie ! AHAAAAAHHAHAHAHHAHHAH ELLE EST BONNE HOP !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
  2. Une pétition demandant à l'église de supprimer cette fonction et de se positionner clairement contre la corrida. www.animal-respect-catholique.org/misericorde.htm#de_salute_gregis
  3. Ahhhhh ! Merci beaucoup hop ! Je la ferai circuler !
  4. 1 kg de viande de veau = 220 km de trajet en voiture Vu le coût énergétique, environnemental, et de santé publique de la viande, ne serait-il pas opportun de promouvoir la baisse de sa consommation et de privilégier la qualité (élevages respectueux du bien-être animal) à la quantité ? Ne faudrait-il pas en arriver à taxer la viande, comme cela est déjà réclamé dans plusieurs pays ? A l’heure où l’on cherche comment consommer moins d’énergie, on a un peu tendance à oublier que le moyen le plus efficace de réduire le gaspillage énergétique serait de manger moins de viande. Ci-dessous un extrait d’un article qui vient de paraître dans Le Point et qui devrait vous éclairer à ce sujet. "Pour le compte de l’Ademe, l’expert Jean-Marc Jancovici a chiffré la part du régime carnivore dans la fièvre terrestre. Stupéfiant ! Le kilo de viande de veau équivaut à un trajet automobile de 220 kilomètres ! L’agneau de lait : 180 kilomètres ! Le boeuf : 70 kilomètres ! Le porc : 30 kilomètres ! Et encore Jancovici n’a t-il pas comptabilisé les apports carbonés de l’emballage, du déplacement du consommateur et de la cuisson. A titre de comparaison, la production d’un kilo de blé ou de pommes de terre équivaut tout juste à un créneau en voiture." Dans le meilleur des cas, il faudrait informer le public sur le coût énergétique de la viande et l’inciter à modérer sa consommation. Il faudrait aussi l’inciter à consommer mieux, à choisir les produits provenant des élevages qui respectent le bien-être animal. Les animaux sont des centaines de millions, en France, à être entassés dans des élevages en batterie où ils doivent passer toute leur vie dans des espaces minuscules et inconfortables. Bref, il faudrait privilégier la qualité à la quantité. Pour cela, un label « bien-être animal », en préparation par l’Union européenne, serait un progrès considérable. Dans la restauration collective (cantines, restaurants universitaires, maisons de retraite), il faudrait instaurer la présence d’un menu végétarien équilibré, et choisir les produits animaux dans les élevages respectueux du bien-être animal. Dans le pire des cas, si la consommation de viande ne baisse pas suffisamment après les campagnes d’information, il faudrait peut-être envisager de taxer la viande. Ce qui serait normal vu son coût en termes : d’énergie de perte de la biodiversité par destruction des espaces naturels. En effet, un animal de ferme ne donne qu’un kilo de viande pour seize kilos de céréales ingérées. La conséquence immédiate est que la majorité des superficies cultivables (64 %) est destinée à produire des aliments pour les animaux, en pâturages ou en cultures. Pour nourrir une personne pendant un an, il faut 2 ha de terre par des protéines animales ou seulement 0,16 ha de terre par des protéines végétales de pollution des rivières et nappes phréatiques, surtout par les élevages industriels de soins pour les personnes victimes de maladies dues à une surconsommation de viande, principalement les maladies cardiovasculaires, les cancers, et certaines maladies neurologiques Il y a, d’ores et déjà, dans les pays anglo-saxons, des campagnes pour demander de taxer la viande ; voir par exemple le site http://www.taxmeat.com http://www.enerzine.com/14/861+1-kg-de-viande-de-veau-egal-220-km-de-trajet
  5. Ce ne sont pas les «Illuminés» qui manquent dans ce monde de fous !
  6. Animal

    Chasseur de vermine

    24/07/07 à 08:29 PM | Modifier | Chasseur de vermine Dominic St-Jean Nouvel utilisateur 2 messages Mont St-Grégoire Bonjours à tous, je suis un chasseur de vermine (coyote, renard, marmotte) à la recherche de territoire de chasse (montérégie, estrie). Si vous avez des problème avec ces petites pestes, faite moi signe et je me ferez plaisir de vous en débarasser, merci. http://www.lebulletin.com/forums/thread.cfm?TID=4259
  7. Interview : Zara Whites militante de la cause animale L’ex-actrice Zara Whites se consacre désormais au militantisme pour la cause animale. Dans cette interview, elle nous donne son point de vue sur les relations que l’humain entretient avec les animaux et avec la nature. Zara Whites est une actrice connue dans le monde entier pour ses rôles dans des films pour adultes. Elle est aussi l’auteur de deux livres à succès. Elle a arrêté sa carrière cinématographique et se consacre désormais à sa famille, ses enfants, mais aussi à éveiller les consciences sur les dommages que l’homme commet envers les animaux et la nature. Les animaux, Zara les respecte puisqu’elle a opté pour le végétarisme en refusant de les manger. Les animaux, Zara les défend activement, en prenant part à des actions auprès d’organisations comme PETA, International Campaigns ou le Comité Radicalement Anti Corrida. Dans cet entretien, Zara va nous éclairer sur ce qui lui tient particulièrement à cœur. http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=27437
  8. Le mardi 31 juillet 2007 Après les graines de lin, le salba Contrairement à la graine de lin, le salba ne contient pas d’œstrogène et est sans saveur. Photothèque Le Soleil Marie Caouette et Catherine Boisclair Le Soleil Québec Une céréale péruvienne, oubliée pendant 500 ans, bousculera-t-elle le marché des aliments grâce à son pouvoir médicamenteux quasi miraculeux? Cultivé par les Aztèques, le salba permettrait de réduire considérablement le risque de maladie cardio-vasculaire, de diabète et d’obésité. Au terme de 15 ans d’études sur cette plante (salvia hispanica alba), des chercheurs de l’Université de Toronto concluent que deux cuillères à soupe quotidiennes de salba moulu suffisent à apporter à l’organisme 100 % de la quantité requise d’oméga-3 pour écarter une foule de problèmes cardiaques. Une bénédiction pour les Nord-Américains qui, selon les autorités de santé américaines, consomment trop peu d’oméga-3 et devraient doubler ou même tripler leur dose quotidienne. « Ce que j’aime du salba, c’est qu’il comprend plusieurs facettes d’une saine alimentation », affirme le chercheur principal, le professeur Vladimir Vuksan, attaché à la faculté de médecine de l’Université de Toronto au St.Michaels Hospital de Toronto. D’abord, le salba a le plus fort contenu en fibres parmi les aliments connus. Les mêmes deux cuillérées quotidiennes apportent à elles seules 30 % des besoins quotidiens en fibres. Finis les problèmes de constipation, finis les hauts et les bas de sucre chez les diabétiques et finies les fringales. Le salba absorbe en effet 14 fois son poids en eau : il ralentit la digestion et le relâchement des sucres dans l’organisme et crée, enfin, une sensation prolongée de satiété. Prise au petit déjeuner, cette céréale réduit le besoin de sucre, qui stimule la faim, pendant toute la journée. Outre ces vertus, le salba contient plus de nutriments essentiels que bien des aliments réputés, a aussi vérifié le professseur Vuksan. Six fois plus de calcium que le lait entier, trois fois plus de fer que des épinards, le même contenu en potassium qu’une banane et demie, autant de vitamine C que sept oranges, 15 fois plus de magnésium que le brocoli et trois fois plus de capacité antioxydante que le bleuet, le roi des petits fruits. Le salba ne contient, en outre, pas de gluten et convient aux personnes qui y sont allergiques. «Le salba est universel. Il convient aux enfants et aux adolescents qui doivent faire des examens et faire du sport, car une bonne nutrition donne de l’énergie », rappelle M. Vuksan. Les femmes peuvent aussi profiter du riche apport en fer, en calcium et en potassium du salba. M. Vuskan remarque que contrairement aux graines de lin, le salba ne contient pas d’œstrogène, composante controversée quant au rôle qu’elle joue dans la prévention du cancer. Comment l’apprêter Cet aliment miracle a aussi la qualité de s’apprêter en un clin d’œil. La graine moulue peut être ajoutée au yogourt, à des céréales, à des salades, aux breuvages, aux ragoûts et aux sauces. Vertu suprême, le salba est sans saveur (contrairement au lin par exemple) et peut s’ajouter à n’importe quelle recette, sans en modifier le goût. Il se conserve dans un endroit frais et sec. Il existe encore peu d’endroits où se procurer le salba. On en trouve sous forme de poudre (en format de 400 grammes à 15,99 $) au comptoir alimentaire de l’hôpital pour enfants (Hospital for Sick Children) de Toronto, où on peut le commander par téléphone (1 800 737-7076). Il se présente aussi sous forme de croustilles, d’huile et de suppléments en capsule. Le salba a fait l’objet d’études dans la plus grande discrétion, explique-t-on, parce que Larry Brown, propriétaire du Salba Nutritional Solution Inc, a laissé les chercheurs torontois établir scientifiquement ses bienfaits avant de lancer le produit sur le marché. Cette compagnie qui commercialise le produit au Canada fait partie de l’entreprise argentine Salba Corporation S.A., qui a subventionné les recherches du professeur Vladimir Vuskan. « Il s’agit d’une recherche indépendante puisque je ne suis pas un de leurs employés et je n’ai pas de parts dans l’entreprise », soutient M. Vuksan. Il rappelle qu’une même étude, menée en Belgique, a donné des résultats très semblables. Contre la mulnutrition Le professeur se dit très enthousiaste quant à ses découvertes. Le salba pourrait un jour combattre la malnutrition des peuples des pays en développement tout en enrichissant l’alimentation de l’Occident, croit Vladimir Vuksan. « Cet aliment mérite d’être commercialisé et ne doit pas être seulement vendu en clinique », ajoute le chercheur, qui rappelle n’avoir aucun lien avec l’étape de la vente. Avant l’arrivée des conquérants espagnols, les Aztèques consommaient abondamment le salba et s’en servaient aussi comme médicament. Cette plante appartient à la famille de la menthe ; on n’en utilise aujourd’hui que les graines blanches, les recherches sur les graines noires n’ayant pas donné de résultats satisfaisants au dire du professeur Vladimir Vuksan. Pour l’instant, la plante pousserait seulement au Pérou. Des modifications génétiques pourront être faites pour domestiquer la plante et la faire pousser plus près de nous, explique M. Vuksan. http://www.cyberpresse.ca/article/20070731/CPSOLEIL/70730191/5786/CPSOLEIL03
  9. Le lundi 30 juillet 2007 Le festival western de Saint-André-Avellin songe à agrandir les tribunes Quelque 2600 personnes se sont déplacées pour assister au rodéo de Saint-André-Avelin Étienne Ranger, Le Droit Marilyse Hamelin Le Droit La population de la petite municipalité de Saint-André-Avellin a doublé, le temps de la 7e édition du festival Western, qui a pris fin hier, alors que pas moins de 2600 personnes se sont déplacées pour assister au rodéo, de loin l'activité la plus populaire. ... Au nombre des nouveautés cette année, des manèges pour enfants avaient été installés, un souper de steak a eu lieu dans le tout nouveau chapiteau des cow-boys, lieu de danse et de rencontres, avec un orchestre en permanence dans la tente. Hier matin, une messe communautaire y a même été célébrée. ... Plusieurs activités à succès étaient encore une fois au programme, comme la montée des chevaux sauvages sans selle, la prise du veau au lasso, la course de barils pour les dames, la course de sauvetage, la montée des chevaux sauvages avec selle, la course d'échange de cavaliers, le terrassement du bouvillon, la course de Pony express et la montée des taureaux sauvages. http://www.cyberpresse.ca/article/20070730/CPACTUALITES/707300321/6790/CPDROIT
  10. Encore un autre médicament, pourtant abondamment testé sur des animaux, bientôt retiré des tablettes !!!!!!!!!!!! ----------------------------------------------------------- Le mardi 31 juillet 2007 Retrait possible d'un médicament populaire contre le diabète Photo Bloomberg Ariane Lacoursière La Presse Le populaire médicament contre le diabète Avandia pourrait bientôt être retiré du marché. Réunis hier en séance extraordinaire, des responsables de la Food and Drug Administration ont recommandé que le médicament soit banni parce qu'il augmente les risques de crise cardiaque. Au cours des prochains jours, Santé Canada pourrait imiter l'organisme américain et interdire l'usage du médicament. http://www.cyberpresse.ca/article/20070731/CPACTUALITES/707310491/5159/CPACTUEL
  11. p.s.: Il me semblait pourtant que le soya était génétiquement modifié justement pour combattre les insectes !!! ------------------------ Le mardi 31 juillet 2007 Pucerons du soya: le Québec en état d'urgence Véritables machines reproductrices, les pucerons peuvent doubler leur population en deux jours. Photo Stéphane Champagne, collaboration spéciale La Voix de l'Est Saint-Césaire L'épidémie de pucerons du soya prend de l'ampleur. «On peut carrément parler d'une épidémie. L'état d'urgence est étendu à toutes les régions du Québec sans exception», a fait savoir Claude Parent, agronome au ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation (MAPAQ). «On a eu des conditions chaudes tôt ce printemps, ce qui a fait éclore les oeufs beaucoup plus tôt. Les pucerons du soya sont donc arrivés beaucoup plus tôt. Comme ils se multiplient rapidement, on a des infestations plus élevées que par le passé. On a présentement des taux qu'on observe habituellement à la mi-août ou la fin août», indique l'agronome Claude Parent du MAPAQ. Celui-ci n'hésite pas à parler de la pire crise depuis l'apparition de l'insecte au Québec en 2001. En Montérégie, moins de deux semaines après que La Voix de l'Est eut révélé que 30% des champs étaient contaminés, voilà que l'insecte a envahi la presque totalité des cultures de la région. Dans la dernière semaine, le Ministère a procédé à l'examen des 22 champs montérégiens qui n'avaient pas encore été traités et d'une dizaine où aucun relevé n'avait été effectué. Résultats: seuls quatre champs sur 32 n'avaient pas encore atteint le seuil de 250 pucerons par plant, indique M. Parent. L'insecte, qui se nourrit de la sève du soya, cause de grands dommages aux récoltes. Et au rythme où le puceron se reproduit, ses populations doublant aux trois jours, l'agronome n'exclut pas la possibilité que les quatre champs considérés «sains» soient désormais contaminés par un nombre excessif d'insectes. Les prochains dépistages se feront aujourd'hui ou demain. Véritables machines reproductrices, les pucerons peuvent doubler leur population en deux jours. Bref, leur population peut retrouver sa taille trois semaines à peine après avoir été traitée. «En été, au lieu de pondre des oeufs qui prennent du temps à éclore, les pucerons donnent naissance à des bébés. Toutes des femelles, elles-mêmes enceintes. De telle sorte que, 10 jours après leur naissance, celles-ci commencent à donner naissance à d'autres», indique M. Parent. Situation «très préoccupante» Le MAPAQ juge la situation «très préoccupante pour les producteurs de soya». Conscients des risques associés à la propagation du puceron du soya, notamment la perte de rendement des récoltes, les producteurs de la région se sont mis au dépistage dans leurs champs. À cause de ce besoin soudain pour les insecticides, plusieurs producteurs se heurtent à des listes d'attente - pouvant atteindre jusqu'à une semaine - pour mettre la main sur un pulvérisateur. Chez Herbic inc, qui vend des pesticides et fait de l'application à forfait, tous les efforts sont monopolisés pour la lutte aux pucerons. Et l'entreprise de Saint-Césaire ne suffit pas à la demande, dit son propriétaire, Normand Robert. Si plusieurs producteurs ont le sommeil léger, l'inquiétude est tout aussi palpable du côté des exportateurs de soya. Le MAPAQ exhorte tous les producteurs de soya à procéder au dépistage de leurs récoltes. Si le nombre de pucerons par plant excède 250, ils doivent rapprocher les opérations de repérage aux deux ou trois jours. À 500 bestioles par plant, il leur faut envisager sérieusement l'application d'un insecticide. Selon les évaluations de Statistique Canada, les producteurs québécois ont planté cette année 4 349 000 acres de soya (1800 km2), soit plus de trois fois la taille de la Ville de Québec. La moitié du soya québécois est génétiquement modifié. En chiffres 1,5 Longueur en millimètre des pucerons du soya 250 Seuil d'alerte en insectes par plant 115 Production de soya en millions de dollars l'an dernier 1800 Superficie en kilomètres carrés des exploitations de soya 2001 Année de l'arrivée au Québec des pucerons du soyaPierre-André Normandin, Le Soleil http://www.cyberpresse.ca/article/20070731/CPACTUALITES/707310482/5358/CPPRESSE
  12. Animal

    La Lortie abrutie...

    Elle vient d'ouvrir un nouveau sujet de discussion sur son blog... Les messages que je lui avais envoyés concernant le foie gras ont tous été effaçés par Madame qui ne supporte pas qu'on aille à l'encontre de ses idées...et cela même si on reste polie et courtoise ! Ma soeur Zaza lui avait écrit elle aussi pour lui faire remarquer que les élevages étaient la source principale des algues bleues au Québec et qu'elle ne comprenait pas qu'elle fasse la promotion du foie gras... et du jambon, tout en dénonçant cette pollution. Son message était très poli, mais la Lortie l'a aussi effacé ! Une vraie tête à claques !!!!!!!!!!!!!!! ---------------------------------------------------- http://blogues.cyberpresse.ca/lortie/?p=204 Accueil » Blogues » Marie-Claude Lortie » Texte complet Le Mardi 31 Juillet 2007 La modération a bien meilleur goût Avant de m’arrêter pour quelques jours, le temps de prendre un peu de repos, je voudrais faire une Céline Dion de moi-même et remercier mon public et tous ces lecteurs et internautes assidus qui donnent vie à ce jeune blogue. J’aimerais aussi profiter de l’occasion pour informer tous les lecteurs posés et sensés et intéressés et intéressants que vous êtes de quelques changements visant à rendre les échanges plus riches et agréables. En deux mots: ce blogue est maintenant modéré de façon beaucoup plus serré qu’avant. Vos commentaires sont précieux et appréciés et l’idée d’une blogue est de permettre et d’encourager la discussion entre les lecteurs et les journalistes. Mais encore faut-il avoir une conversation sensée et non une cacophonie injurieuse et indigeste qui part dans tous les sens et ne va nulle part. Et qui fait ainsi fuir ceux qui n’en font pas partie. Sachez donc, avant d’embarquer dans ce blogue que… - c’est un blogue aux mille sujets qui peut tout aussi bien parler d’investissements en santé que recettes de pot au feu ou de mode espagnole. - L’espace pour les commentaires est réservé aux discussions sur les sujets lancés par la blogueuse. Si vous mourez d’envie, soudainement, de parler de votre chat ou d’amorcer un débat sur les accommodements raisonnables ou le rôle des médias dans une société démocratique, faites le sur votre propre blogue, ou dans un souper avec vos amis. Pas ici. - Vous pouvez dire que vous êtes d’accord avec le point de vue de la blogueuse ou des liens qu’elle suggère. Vous pouvez aussi dire que vous n’êtes pas d’accord et expliquer pourquoi. Mais rappelez-vous toujours que nous sommes là pour parler de sujets. Pas pour nous défouler contre les auteurs des commentaires, quels qu’ils soient. - Les insultes ne sont pas tolérées. - Les échanges directs entre les internautes doivent être limités à un ou deux rebonds. Là encore, si vous voulez vous ostiner entre vous, allez ailleurs. Tous les journaux sérieux se réservent toujours le droit de ne pas publier toutes les lettres qu’on leur envoie. Parce que tout n’est pas publiable. De la même façon, tous les commentaires qui ne sont pas publiables sur ce blogue seront éliminés. Sur ce, au plaisir de vous revoir très bientôt. Vous désirez commenter cet article? Connectez-vous au Visa Cyberpresse. 5 commentaires | Permalien | Publié par Marie-Claude Lortie dans Général Vous désirez signaler des abus sur ce blogue? Écrivez-nous montrer_a_laise Le Mardi 31 Juillet 2007 Hourrah! Ca va faire du bien! MICHELECORNEAU Le Mardi 31 Juillet 2007 Je vous souhaite d’agréables vacances madame Lortie.A bientot. Je pars également quelques jours, pas d’ordi, des vraies vacances!!! westydoodle Le Mardi 31 Juillet 2007 Merci pur la mise au point. J’avoue que je me prive de laisser des commentaires parce que je crains qu’il soient perdus parmi les autres… “sujets”. Bonne vacances!!! louisjones Le Mardi 31 Juillet 2007 Ouais, c’est moi qui avais parlé de mon chat. Je sais, c’était un peu égocentrique, mais il fallait que je rende hommage à Tarzan. Ça va, je n’écrirai plus sur votre blogue, j’ai bien compris le message. De toute façon, je considérais ça avant tout comme un exercice; j’ai la corvée sociale qui me bouffe déjà trop de temps, et assez de talents, je crois, pour m’investir ailleurs avec, éventuellement, on verra (quelle modestie!), de meilleurs résultats. dulcie Le Mardi 31 Juillet 2007 Bravo Mme Lortie, il était temps que ce blogue soit modéré… Il sera bien plus agréable à lire tout comme il sera plus invitant d’y laisser ses commentaires… Vos sujets sont diversifiés, intéressants et il est temps que les discussions tournent autour de cela plutôt que qu’autour de l’ego et des frustrations de certains membres qui se sont appropriés votre espace et un espace commun de façon non respectueuse… Bonne fin d’été et bon blogue
  13. Tu as bien fait hop ! J'ai hâte de voir quelle réponse elle va te faire... si elle t'en fait une !
  14. Animal

    BULLETIN ÉTÉ 2007

    Je crois aussi que c'est ça hop ! Ça les avaient sûrement insultés que j'écrive sous chaque produit qui contenait de l'huile de palme, que cette huile tuait les orangs-outans... ---------------------------------------------------------------- À moins qu'ils soient vegan uniquement pour leur santé... et pis là encore, je ne crois pas que l'huile de palme soit bien bonne pour les artères... ---------------------------------------------------- Le Congrès américain demande à Ottawa d'interdire la chasse au phoque Édition du mardi 31 juillet 2007Photo: Agence Reuters http://www.ledevoir.com/2007/07/31/151970.html Washington -- La Chambre des représentants a approuvé à l'unanimité, hier, une résolution demandant à Ottawa de mettre fin à la chasse aux bébés phoques au Canada. Le texte a été introduit par le démocrate Tom Lantos, président de la commission des Affaires étrangères de la Chambre, et Christopher Shays, représentant républicain du Connecticut (nord-est). La résolution relève que plus d'un million de phoques ont été massacrés ces trois dernières années, que, au cours des cinq dernières années, 95 % des phoques tués étaient âgés de moins de 12 semaines et que les plus jeunes avaient à peine 12 jours. Aucune raison «Cette pratique est au-dessous de la dignité du peuple du Canada», a déclaré M. Lantos. «Il n'y a aucune raison de laisser cette boucherie absurde se poursuivre et toutes les raisons pour y mettre un terme», a-t-il indiqué. «Nous demandons au gouvernement du Canada de suspendre maintenant et pour toujours la chasse dans les eaux au large de la côte est du Canada», a-t-il ajouté. Pour sa part, M. Shays a déclaré qu'il «est de notre devoir de protéger et de prendre soin de tous les animaux».Une résolution similaire a été également introduite au Sénat en mars dernier. Une organisation de défense des animaux, The Humane Society of the United States, s'est félicitée du vote de la Chambre et s'est déclarée «reconnaissante qu'elle demande au gouvernement canadien d'arrêter ce massacre cruel». «La chasse aux phoques commerciale est la plus grande boucherie de mammifères marins au monde», a déploré son vice-président, John W. Grandy.
  15. Animal

    BULLETIN ÉTÉ 2007

    c'est parce que cette huile ne coûte pas cher ! Comme tu dis, il y en a dans tellement d'aliments ! Ce matin j'ai répondu à une personne de la liste ethiquanimal qui faisait une pub pour l'ouverture de son nouveau forum vegan http://forum.vegan.fr J'avais déjà visité leurs pages des produits vegan et je leur avait fait remarqué tous les produits affichés qui contenaient de l'huile de palme et que l'huile de palme était responsable de la tuerie des orangs-outans, du déboisement de leurs territoires, etc. Mes messages avaient été effacés... Ou en tous les cas je ne les ai pas retrouvés aujourd'hui, alors j'en ai profité pour aller leur mentionner une autre fois que l'huile de palme tuait les orangs-outans... Il y a eu quelques réponses dont en voici une ci-dessous.... Re : Ouverture de http://forum.vegan.fr Bonjour, Il est difficile de trouver des aliments vegans, au sens de "n'impliquant rien de mal pour les animaux". Ce site regroupe des aliments végétaliens qui ne conviendront pas forcément à tous les vegans. Certains aliments contiennent de l'huile de palme, d'autres des arômes, d'autres encore sont commercialisés par des marques appartenant à des grands groupes exploitant les animaux, la majorité des ingrédients aura poussé sous du fumier (ou autre "reste animal"), etc. L'idéal serait que tous les produits soient issus de l'agriculture bio-végétalienne, mais ce n'est pas le cas, ce mode de production étant encore très rare. Il a été choisi de mentionner obligatoirement les ingrédients pour que chacun puisse vérifier ce qu'il accepte/tolère ou pas. C'est bien beau de mentionner les ingrédients mais si les gens ne sont pas au courant que l'huile de palme tue les singes, il me semble que les auteurs du site devraient au moins le mentionner «afin de vérifier si les acheteurs potentiels tolèrent ou pas» !
  16. Animal

    BULLETIN ÉTÉ 2007

    AFP - mercredi 25 juillet 2007, 13h16 Les ouvriers de l'huile de palme à Bornéo tuent les orangs-outans Les ouvriers agricoles employés dans les plantations de palmiers à huile tuent délibérément des orangs-outans dans l'île de Bornéo, a affirmé mercredi à Jakarta une ONG spécialisée. Au moins 1.500 orangs-outans ont trouvé la mort en 2006 à Bornéo et la majorité ont été massacrés car ils sont accusés de manger des semences de palmiers à huile, a expliqué Hardi Baktiantoro, directeur du Centre pour la protection de l'orang-outan (COP). "Les orangs-outans sont devenus l'objet de tortures par des employés des plantations car ils errent et mangent pour survivre des graines de palmiers à huile", a-t-il déclaré. Les orangs-outans sont menacés d'une extinction rapide vu le rythme de la déforestation en Indonésie, accélérée par le développement des plantations. Ces primates arboricoles aux longs poils roux vivent en liberté uniquement sur les îles de Sumatra et Bornéo. Le COP a diffusé des films vidéos montrant des cadavres d'orangs-outans présentant des plaies à la tête, infligées selon l'ONG par les ouvriers agricoles. L'association, en regrettant l'absence de condamnations pour les tueurs de singes, a exhorté le gouvernement à Jakarta de résilier les immenses concessions d'huile de palme accordées aux planteurs à Bornéo. L'Indonésie est le second producteur mondial d'huile de palme après la Malaisie. Les deux pays représentent 85% de la production mondiale. http://news.fr.msn.com/sciences/Article.aspx?cp-documentid=5652771
  17. Animal

    BULLETIN ÉTÉ 2007

    Touchée par la peste porcine, la Géorgie doit abattre 450 000 bêtes LE MONDE | 28.07.07 | 14h15 • Mis à jour le 28.07.07 | 14h15 epuis la fin avril, la Géorgie est confrontée à une épizootie de peste porcine africaine, qui, faute d'avoir été identifiée et contrôlée à temps, réclame désormais la destruction en urgence de l'ensemble du cheptel porcin de ce pays. L'épizootie menace, en effet, de gagner les pays voisins, et notamment la Russie. Une première alerte sanitaire avait été lancée, fin juin, par l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), qui qualifiait alors la situation d'"exceptionnellement difficile". "Il est à craindre que la peste africaine, maladie dévastatrice du porc, se soit fortement propagée dans toute la Géorgie", annonçait alors la FAO, précisant que 52 des 65 districts du pays étaient "vraisemblablement touchés". Plus de 30 000 porcs étaient morts du fait de l'infection et 22 000 avaient été abattus à des fins préventives. Au terme d'une réunion qui s'est achevée, vendredi 27 juillet, à Paris, au siège de l'Organisation mondiale pour la santé animale (OIE), il apparaît que la situation n'est toujours pas sous contrôle et qu'il va falloir procéder à la destruction de l'ensemble du cheptel porcin géorgien, qui, avant l'émergence de l'épizootie, comprenait environ 500 000 bêtes, pour la plupart dans de petits élevages familiaux. Pour experts de l'OIE comme pour les responsables sanitaires des pays aujourd'hui menacés par cette épizootie, seule cette mesure permettra de prévenir une aggravation de la situation. La peste porcine africaine est une maladie d'origine virale et non transmissible à l'homme. Il n'existe ni traitement ni vaccin préventif. La transmission peut se faire soit par contacts directs entre animaux infectés et sains ou, comme on le suspecte en Géorgie, par l'intermédiaire de déchets contenant de la viande contaminée. Cette maladie sévit sur un mode enzootique dans la plupart des pays de l'Afrique subsaharienne. En Europe, elle a parfois été signalée dans la péninsule Ibérique ainsi qu'en Sardaigne. Elle est aussi apparue ces dernières années dans quatre pays d'Amérique du Sud et des Caraïbes, où elle a pu être éradiquée. Dans sa forme aiguë, le tableau clinique associe notamment une forte fièvre (40,5-42o C), des troubles sanguins, des rougeurs cutanées (chez les porcs à peau claire), des diarrhées, une anorexie, 24 à 48 heures avant la mort, des troubles de la coordination. Chez les porcs domestiques, la mortalité est souvent proche de 100 %. Dans sa forme subaiguë, les symptômes sont de moindre intensité. La maladie dure entre cinq et trente jours et la mortalité peut être comprise entre 30 % et 70 %. "Dès que le diagnostic est porté, il est impératif d'abattre rapidement tous les porcs du foyer et de procéder à l'élimination correcte des cadavres et des litières, précise-t-on auprès de l'OIE. Il faut aussi procéder à un nettoyage soigneux et désinfection complète, contrôler le déplacement des porcs dans la zone infectée et mener une recherche épidémiologique approfondie pour rechercher les sources en amont et les contaminations possibles en aval." Les experts de la FAO et de l'OIE observent que la situation est d'autant plus compliquée qu'il faut compter avec une population importante de sangliers. Ces derniers peuvent aisément être infectés au contact de porcs contaminés et contribuer à une progression de l'épizootie au-delà des frontières. On estime auprès de l'OIE que la gravité de la situation en Géorgie est la conséquence directe d'une forme de libéralisation, dans ce pays, des services vétérinaires qui n'ont pas eu les moyens de procéder à un diagnostic suffisamment rapide et aux mesures sanitaires qui s'imposaient. Une extension de l'épizootie en Russie est à craindre. Les responsables vétérinaires russes assurent cependant disposer d'un vaccin mis au point dans le cadre de leurs recherches militaires contre le bioterrorisme. Ils ont offert une aide technique. La Géorgie, dont les relations avec Moscou sont difficiles, l'a refusée. Une aide a d'autre part été demandée auprès de la Commission européenne. http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3214,36-939992@51-940072,0.html
  18. Le vendredi 27 juillet 2007 Le phosphore d'origine agricole, un grand responsable des algues bleues Photothèque Le Soleil Roméo Bouchard Fondateur et ex-président de l'Union paysanne Taille du texte Imprimer Envoyer À consulter aussi Lisez d'autres articles sur ces sujets : Économie (général) (99%) Investissements (98%) Rivières (94%) Union professionnelle artisanale (72%) À consulter aussi Le rappel que vient de faire Greenpeace sur l'importance de s'attaquer aux rejets de phosphore provenant des engrais chimiques et des épandages de lisiers si on veut corriger et prévenir la détérioration des lacs et cours d'eau est tout à fait justifié. Évidemment, le représentant de l'UPA s'est empressé de dire que plus personne ne prétendait de telles choses aujourd'hui. Marc Simoneau, du ministère de l'Environnement, s'est aussi empressé d'affirmer qu'il n'était pas question que le ministère contrôle davantage le phosphore d'origine agricole. Et pour cause. En effet, lors de la levée du moratoire sur l'industrie porcine, le ministère de l'environnement a lâchement abandonné la norme phosphore par bassin versant pour s'en tenir à la norme phosphore ferme par ferme, selon des plans de fertilisation établis par des agronomes payés par l'agriculteur et qui ne font l'objet d'aucun contrôle sérieux. C'est d'ailleurs suite à ce recul que le fameux docteur Gingras, de la Santé publique, avait claqué la porte. Et pour cause encore une fois. Tout le monde comprend que le phosphore qui se ramasse dans un lac provient de tout son bassin versant. La limite d'une ferme et une bande riveraine de quelques mètres ne sont pas des barrières étanches pour le phosphore sous forme soluble qui s'échappe de sols souvent déstructurés et drainés comme des systèmes d'égout. Justement, lorsque le ministère appliquait la norme phosphore par bassin versant, les cours d'eau de plus de 600 municipalités dépassaient le seuil d'eutrophisation à leur embouchure. Dans une étude faite pour le ministère de l'environnement en 2005, le professeur Gangbazo avait même pu établir que chaque fois que les terres consacrées aux grandes cultures annuelles (maïs, grains, etc.) dépassaient 5% de la superficie totale du bassin versant d'un cours d'eau, ce cours d'eau démontrait des taux de phosphore supérieurs au seuil d'eutrophisation (03 mg/l). Plus personne n'en parle parce qu'on a éliminé le contrôle pour faire plaisir à l'UPA. Et maintenant, on est forcé de faire accroire au monde qu'on peut corriger les algues bleues sans toucher à des pratiques agricoles telles que l'utilisation des engrais chimiques et des fumiers liquides. Des pratiques agricoles, qui comme l'utilisation des pesticides et des OGM, sont des bombes à retardement pour l'environnement et la santé publique. Et une bombe à retardement, ça finit toujours par exploser et faire des morts. http://www.cyberpresse.ca/article/20070727/CPSOLEIL/70727048/5287/CPOPINIONS
  19. Animal

    Résultats d’enquête

    Résultats d’enquête laterre.ca 27 juillet 2007 redaction@laterre.ca La 10e et dernière vache folle recensée au pays aurait ingéré des sous-produits de ruminants contaminés selon une enquête menée par l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA). Après trois mois d’enquête, l’ACIA a conclu que ce cas d’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) a vraisemblablement été causé par la consommation d’une ration pour bovins contaminée par des farines de ruminants. La découverte de l’animal, une vache laitière Holstein de 66 mois, remonte au 24 avril 2007. La bête est décédée sur une ferme de la vallée du Fraser en Colombie-Britannique. Elle aurait été incapable de se lever à la suite de son vêlage. Sa carcasse a, par la suite, été incinérée. Ce 10e cas de vache folle n’a pas freiné les démarches de réouverture du marché américain aux bovins vivants du Canada nés après le 1er mars 1999. Il n’a pas non plus empêché l’Office international des épizooties de considérer le Canada comme un pays où le risque d’ESB est contrôlé. Depuis 2003, plus de 169 000 tests de dépistage ciblés ont été effectués au pays.
  20. Montérégie Petites bêtes sous surveillance Mise à jour le dimanche 29 juillet 2007, 14 h 24 . Le ministère des Ressources naturelles et de la Faune va installer dès dimanche, dans plusieurs secteurs de la Montérégie au Québec, près de 4000 cages pour contrer une éventuelle épidémie de rage chez les ratons laveurs et les mouffettes. Il s'agit de la troisième phase des opérations de contrôle, après la découverte d'un premier foyer d'infection à Saint-Armand au début de l'été. Elle vise à circonscrire l'expansion de ce foyer. Ces cages permettront de capturer vivants les ratons laveurs et les mouffettes de la région, afin de les vacciner. Pour mesurer le taux d'infection, une partie des animaux capturés seront malheureusement euthanasiés (PLUSIEURS CENTAINES, SINON PLUSIEURS MILLIERS), étant donné que le seul moyen de vérifier s'ils sont infectés est de prélever une partie de leur cervelle. Quarante-et-un piégeurs professionnels seront déployés sur un secteur de 500 kilomètres carrés d'ici le 12 août. Le responsable des opérations pour le ministère, Pierre Canac-Marquis, espère vacciner entre 75 et 85 % de la population de ratons et de mouffettes. Les dernières opérations de contrôle ont permis de détecter la rage chez 40 ratons laveurs et chez une mouffette. Une quatrième opération, aérienne cette fois, devrait débuter à la mi-août. Des vaccins incorporés dans une sorte de biscuit seront largués pour sécuriser la zone. La rage est une maladie incurable qui se transmet à l'homme par une morsure ou un contact entre la salive de l'animal infecté et une plaie ou une muqueuse. Aucun cas de rage humaine n'a cependant été détecté au Québec depuis 2000. http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2007/07/29/002-monteregie-raton-rage.shtml (ON A OMIS DE MENTIONNER DANS CET ARTICLE QUE LA SOURCE LA PLUS PROBALE À L'INFECTION DE CET ENFANT EN 2000 A ÉTÉ UNE EXPOSITION "NON DÉCELÉE" À UNE CHAUVE-SOURIS ET NON À UN RATON-LAVEUR OU À UNE MOUFETTE !!!) http://www.phac-aspc.gc.ca/im/vpd-mev/rabies_f.html
  21. Le dimanche 29 juillet 2007 LE SOLEIL - POINT DE VUE Confusion autour de « Produit du Canada » Photothèque Le Soleil Claude Lacoste Président Fédération québécoise des producteurs de fruits et légumes de transformation Saviez-vous que les petits concombres marinés (dill pickles) et une foule d'autres produits qui portent la mention «Produit du Canada» n'ont pas nécessairement été cultivés ici, mais parfois en Chine, en Inde, en Thaïlande ou ailleurs? Quelle logique de voir nos olives vertes préférées porter la mention «Produit du Canada» alors qu'il ne se cultive pas d'olives en terre canadienne ? Aberration ou fausse représentation? L'appellation «Produit du Canada» représente-t-elle la réalité ? Informe-t-elle adéquatement le consommateur sur la vraie nature des concombres, olives, haricots, maïs ou autres fruits et légumes transformés qu'il achète à l'épicerie? Pas vraiment. Pourquoi ? En vertu de la réglementation canadienne, un aliment transformé peut porter la mention «Produit du Canada» si 51 % de son coût de production est canadien. C'est ainsi qu'une multitude d'aliments, dont la matière première est importée, mais dont seulement la transformation — ou encore l'emballage — sont réalisés au Canada, arborent en toute légalité la mention «Produit du Canada». Cette réglementation — archaïque — fait en sorte que, sur les tablettes des épiceries, rien ne permet au consommateur de différencier les concombres asiatiques ou les asperges sud-américaines de ceux qui sont cultivés au Canada. S'ils ont été transformés chez nous, ils portent tous deux la mention «Produit du Canada». La définition de «Produit du Canada», date de près de 40 ans. Elle est non seulement désuète, mais... aberrante. Au lieu d'informer adéquatement le consommateur, elle le confond. Pire, si un produit importé présentait, sous l'actuelle réglementation fédérale, un problème d'innocuité, c'est l'ensemble de la production canadienne qui en serait affectée ! La solution est simple et peu coûteuse : seuls les aliments cultivés et transformés au Canada devraient porter la mention «Produit du Canada». Quant aux aliments importés de l'étranger, transformés ou emballés au Canada, leur pays d'origine devrait être indiqué clairement sur les emballages, juste à côté de l'appellation «Préparé au Canada» ou «Emballé au Canada». Les modifications que le gouvernement canadien se doit d'apporter le plus tôt possible à la définition de « Produit du Canada » visent à donner une information juste au consommateur. Elles ne diminueront en rien l'apport économique des transformateurs québécois et canadiens qui transforment et qui emballent des aliments en vrac provenant de l'étranger. À l'heure de la globalisation des marchés, les nouvelles définitions de «Produit du Canada» et de «Préparé au Canada» permettront tout simplement d'informer avec clarté et transparence les consommateurs québécois et canadiens en redonnant sa juste place à la production locale dans les paniers d'épicerie. http://www.cyberpresse.ca/article/20070729/CPSOLEIL/70725129/5287/CPOPINIONS
  22. Le samedi 28 juillet 2007 De nouveaux cas relevés «On s'attendait à trouver des cas isolés. Maintenant, on essaie de bloquer l'expansion de la rage vers l'ouest et le nord-ouest», explique Pierre Canac-Marquis, responsable des opérations. photo Alain Dion, archives La Voix de l'Est Maxime Deland La Voix de l'Est Frelighsburg À ce jour, les deux premières opérations de contrôle de la rage du raton laveur ont permis de retracer 41 bêtes - dont une mouffette - porteuses du virus de la rage. Les spécialistes ont donc décidé de poursuivre les opérations de contrôle dans les secteurs situés au nord-ouest du premier foyer d'infection, localisé à Saint-Armand. Quatre nouveaux cas ont été recensés au cours des derniers jours de l'opération la semaine dernière. «Il y en a deux qui ont été trouvés à l'intérieur du foyer d'infection (Saint-Armand), un près de Saint-Alexandre et un autre dans les environs de Clarenceville. On s'attendait à trouver des cas isolés. Maintenant, on essaie de bloquer l'expansion de la rage vers l'ouest et le nord-ouest», explique Pierre Canac-Marquis, responsable de l'opération pour le ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF). Cette troisième opération débutera demain et se poursuivra jusqu'au 12 août sur un territoire d'environ 500 km2. Elle visera à encercler le foyer d'infection actuel afin de circonscrire son expansion. «Plus de 4000 cages installées par 41 trappeurs professionnels seront réparties près des endroit où ont été repérés ou seraient susceptibles de se trouver les ratons infectés. Ces cages permettent de capturer vivants les ratons laveurs et les mouffettes pour ensuite les vacciner ou les traiter afin de procéder à des analyses», indique M. Canac-Marquis. Quel menteur ! Ils en ont tués plusieurs centaines récemment, si ça ne sont pas des milliers... C'est sûr qu'ils vont en tuer encore bien d'autres !!! http://www.cyberpresse.ca/article/20070728/CPVOIXEST/707280770/5265/CPACTUALITES
  23. les sorciers s'en donnent à coeur joie !
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