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Canada backs seal hunt despite market concerns Updated Sat. Feb. 24 2007 2:57 PM ET Canadian Press MONCTON, N.B. -- Federal Fisheries Minister Loyola Hearn says Canada will push back against negative messages about the annual East Coast seal hunt, but it will not back down. Some processors attending a New Brunswick fisheries meeting on Saturday said they are worried they may lose customers because of the controversy and protest surrounding the seal hunt. Hearn said the Canadian government is working hard to counter anti-sealing campaigns, with the message that the seal hunt is humane and sustainable. "We have to make sure that people who ask questions about the hunt are aware of the truth and not what they see from some group still going around showing 20-year-old video of sealers clubbing whitecoats," Hearn told reporters during a break in the two-day fisheries summit in Moncton, N.B. "Some of these people say the herd is disappearing. When we had the large northern cod stocks some years ago we only had two million seals. We have one per cent of those cod stocks today and we have six million seals.'' But some people in the Atlantic fishing industry are worried Canada may be losing the public relations battle. Crab processor Paul Boudreau of Tracadie, N.B., said in the last four or five weeks processors have received inquiries from customers asking for guarantees that they have nothing to do with the annual seal hunt. "In the past two weeks, I received two different inquiries and I had to write letters to these customers saying that, no, our company, McGraw Sea Food, is not involved in the hunt,'' Boudreau said. "This is a serious problem from a Canadian point of view because Newfoundland and Labrador companies are involved. This is coming from the market, so we don't really know what the final result will be.'' Opponents of the seal hunt in the United States have mounted boycotts against Canadian seafood in restaurants across the country. As well, they are continuing their efforts to encourage countries to close their doors to seal products. The European Union is being pressured to ban the products, but has decided to first conduct an in-depth study of the seal hunt to establish whether it is humane or not. The British government said recently it will press its neighbours in the European Union for a total ban on the import of seal products. Hearn said Canada is joining with other sealing countries, including Russia and Norway, to promote the hunt and seal products. "So collectively we're doing push back,'' he said. "We are getting out the information and we are encouraging people to come and see for themselves and then make up their minds.'' However, people who do want to see the hunt for themselves may have a more difficult time this year. Hearn said he will decide soon whether to stiffen regulations for hunt observers, possibly by increasing the exclusion zone around sealers from 10 to 20 metres. That wider zone will make it much more difficult for observers to see what hunters are doing on the ice. Hearn said he will announce the quota for this year's hunt within the next few days. The hunt is expected to begin by late March. Last year's quota was about 335,000 seals. "There are concerns that we may be losing some of the seals," Hearn said, pointing to last year's poor ice conditions. "If that's the case, we'll adjust the quota this year. If not, we're OK where we are.'' More than 6,000 Atlantic Canadians -- most of them from Hearn's home province of Newfoundland and Labrador -- were actively involved in the hunt last year.
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la lettre hebdo de gérard charollois (25/02)
Animal a répondu à un(e) sujet de terrienne dans Environnement
Encore une fois, comme il a raison cet homme ! Ça m'a fait penser à nos élus locaux qui ne parlent que de faire de nouveaux barrages, installer de nouveaux parcs à éoliennes, etc. etc. pour créer de l'emploi, quand on sait qu'au bout du compte, une fois la destruction complétée (coupes à blanc, détournements de rivières, morts de millions d'animaux, de poissons, etc.) , ce sera justement eux (les gouvernements) qui empocheront le + d'argent, au grand dam de ces habitants ingrats, égoïstes et naïfs ... et au diable la faune, la flore et les milieux naturels -
Les militants végétariens adeptes du régime des images-chocs LE MONDE | 24.02.07 | 15h08 La place Saint-Michel à Paris transformée en rayon boucherie d'un supermarché. Voilà ce qu'ont pu découvrir, jeudi 22 février dans l'après-midi, les passants et les touristes du Quartier latin en déambulant près de la fontaine Saint-Michel. Deux personnes, un homme et une femme, se sont volontairement maculés de liquide rouge et se sont allongés chacun dans une barquette de polystyrène recouverte d'une bâche en plastique. Un emballage fait pour rappeler les morceaux de viande vendus en libre-service dans les grandes surfaces. Effet garanti, comme en témoignent les photos de la manifestation qu'on a pu découvrir. HAPPENING Ce happening très choc a été organisé par le groupe militant Mangez végétarien, dont l'adresse du site Internet figure en bonne place sur les étiquettes collées sur la bâche en plastique. Une étiquette sur laquelle on peut aussi lire : "3 millions d'animaux sont tués chaque jour en France". Martin Bureau, photographe pour l'AFP, était présent sur les lieux lors de cette manifestation destinée à sensibiliser le grand public sur les souffrances infligées aux animaux dans les abattoirs. "Il y avait beaucoup de photographes. Deux équipes de télévision étaient aussi présentes. Quand je suis arrivé, les deux militants étaient en train de se préparer. Ils se sont aspergés d'une sorte de peinture rouge avant de prendre place dans leur barquette. A côté d'eux, il y avait deux autres militants qui tenaient des pancartes et un autre qui distribuait des tracts", explique-t-il. Sur la place Saint-Michel, la démonstration sanguinolente ne laisse pas indifférent. "Il y avait beaucoup de touristes qui prenaient des photos avec leur téléphone mobile, raconte Martin Bureau. Un vieille dame est passée et s'est montrée scandalisée, en expliquant qu'elle avait connu la guerre et qu'elle n'avait pas toujours eu la chance de manger de la viande." D'autres spectateurs, comme le rapporte Libération dans son édition du 23 février avec un article et une photo prise par Guillaume Binet, se montrent plus compréhensifs et encouragent ce type d'"actions qui se voient". MATÉRIEL DE COMMUNICATION "Ce genre d'événements me mettent toujours mal à l'aise, explique pour sa part Martin Bureau. Quand il y a une manifestation avec des milliers de gens dans la rue, on ne peut pas ne pas y aller. Mais là je ne vois pas où est l'actualité. Du coup, j'ai l'impression qu'en prenant ces photos nous sommes plus dans la publicité et la communication que dans l'information." Si elles ne sont pas souvent reprises dans la presse, les photos de ce genre d'événements - dont certaines sont prises par un photographe membre du groupe ou de l'association qui les organise - circulent ensuite beaucoup sur Internet. "On les retrouve dans les classements des photos- chocs de la semaine sur certains sites. Elles servent aussi à alimenter le matériel de communication militant." Mais vendredi 23 février, les photos de la place Saint-Michel n'étaient pas en ligne sur le site mangez-vegetarien.com. Au même moment, à Sydney, en Australie, d'autres militants de la cause animale organisaient eux aussi une opération coup de poing. Le long des quais du port de la ville, à deux pas de l'imposant paquebot Queen-Elizabeth, plusieurs personnes se sont volontairement enfermées dans des cages destinées à transporter de la volaille. Leur but, cette fois, était de dénoncer les conditions de transport "cruelles" des poulets et autres dindes promis à la consommation. Ne manquait que la peinture rouge. Guillaume Fraissard Article paru dans l'édition du 25.02.07. http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3226,36-875888@51-628860,0.html
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Le dimanche 25 février 2007 Des manteaux qui ont du chien! Nicolas Bérubé La Presse Los Angeles Des manteaux d'hiver haut de gamme sont discrètement en train d'être retirés des présentoirs aux États-Unis depuis que des tests ont révélé que leur élégant col en fourrure synthétique était en fait un col en fourrure de chien. Signés par des entreprises connues comme Andrew Marc et Tommy Hilfiger, les manteaux en question sont vendus dans les boutiques qui comptent parmi les plus chic au pays. Une analyse commandée par la Humane Society of the United States (HSUS) vient de révéler que 24 des 25 manteaux achetés en boutique et sur le Web étaient, pour employer un euphémisme, « mal étiquetés». Trois échantillons contenaient de la fourrure de chien domestique, alors que l'étiquette indiquait « fourrure synthétique». Les autres manteaux testés contenaient de la fourrure de chien viverrin, un animal s'apparentant au raton laveur, mais qui fait partie de la famille des canidés. Le chien viverrin est surtout présent en Asie. La plupart des manteaux testés ont été manufacturés en Chine. Ces résultats ont surpris les chercheurs de la Humane Society. « Cela révèle un problème qui touche l'ensemble de l'industrie», a indiqué Kristin Leppert, qui dirige la campagne anti-fourrure de la HSUS. C'est une consommatrice intriguée par la douceur et le réalisme du col synthétique de son nouveau manteau qui a mis la puce à l'oreille de la HSUS. La HSUS enquête La Société a donc décidé de mener sa propre enquête. Une équipe a acheté 25 manteaux dans des boutiques réputées comme Nordstrom, Tommy Hilfiger et le site Bluefly.com. En analysant l'enchaînement des protéines qui composent les poils, les experts ont pu déterminer de quelle espèce ceux-ci provenaient. Pour Diane Webber, porte-parole de la Humane Society, les manufacturiers ferment souvent les yeux sur la provenance des matériaux utilisés dans leurs vêtements. « Ils ne cherchent pas à savoir d'où viennent les matériaux, ils veulent le meilleur prix possible. Les manteaux en question viennent de Chine, là où il n'y a virtuellement aucune réglementation en place pour assurer le bien-être des animaux.» Après avoir pris connaissance des résultats de l'enquête, la compagnie Tommy Hilfiger a annoncé qu'elle cessait de vendre des manteaux contenant de la fourrure. «Nous prenons cela au sérieux», a indiqué Wendi Kopsick, porte-parole de l'entreprise. Dans un communiqué, Nordstrom a indiqué qu'elle offrait un remboursement aux clients lésés. L'entreprise affirme ne plus faire affaires avec le sous-traitant qui a fabriqué le manteau analysé. L'entreprise Andrew Marc a pour sa part contesté des allégations de la Humane Society. Dans un communiqué, son président, Charles Jayson, affirme que les manteaux contenant de la fourrure de raton laveur sont identifiés comme tels, et que cette fourrure provient d'animaux élevés dans des fermes finlandaises. Aux États-Unis, l'importation et la vente de fourrure de chien et de chat est une infraction. Une amende de 10 000 $ par article vendu est prévue au code pénal. La loi précise toutefois que l'action d'importer ou de vendre une telle fourrure doit être « intentionnelle». Chien viverrin Ce n'est pas la première fois que l'utilisation de la fourrure de chien fait les manchettes. L'an dernier, les boutiques J.C. Penney et Macy's avaient été critiquées pour avoir vendu des manteaux contenant de la fourrure de chien viverrin, alors que l'étiquette précisait qu'il s'agissait de raton laveur. Les deux entreprises ont aussitôt retiré les manteaux des boutiques. Peu après, J.C. Penney avait remis les manteaux sur les présentoirs - après avoir rayé au marqueur noir le mot « raton» sur l'étiquette. L'utilisation de la fourrure du chien viverrin est permise aux États-Unis, puisque celui-ci est classé dans la famille des ratons laveurs aux yeux du gouvernement. Mais plusieurs élus s'opposent à cette pratique. Un projet de loi a été déposé pour bannir l'utilisation et la vente de produits faits avec ce type de fourrure. http://www.cyberpresse.ca/article/20070225/CPMONDE/70225006/5160/CPMONDE
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26 janvier 2007 Des centaines de poulets ont été retrouvés morts dans l'est de la Chine, tués, selon un tribunal, par les cris d'un garçon de quatre ans, rapporte un quotidien. Un habitant du village a expliqué au Nanjing Morning Post que l'enfant s'était penché à la fenêtre du poulailler et avait pleuré un long moment après avoir été effrayé par un chien. Le garçon attendait dans cette maison d'un village de la province de Jiangsu pendant que son père livrait des bouteilles de gaz. Le tribunal a jugé que les cris du garçon étaient "les seuls bruits anormaux inattendus" et que, par peur, les 443 poulets s'étaient piétinés jusqu'à la mort. Le père de l'enfant a été condamné à payer 1.800 yuans (180 euros) de dédommagements aux propriétaires des poulets. www.chine-informations.com
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La survie des poissons des grands fonds menacée par la surpêche De notre envoyé spécial à San Francisco JEAN-MICHEL BADER. Publié le 23 février 2007 UNE PETITE moitié de kilomètre sous la surface des océans. Il fait froid, sombre, et il n'y a presque rien à manger. Sur les pentes continentales de l'Atlantique nord, les grenadiers à nez rond, les grenadiers « oeil d'oignon » ou les raies bleues cumulent les difficultés : il leur faut des décennies pour atteindre la maturité, et la pauvreté de leur habitat favorise les comportements grégaires, très dangereux en cas de pêche de fond. Un panel d'experts vient à nouveau d'avertir les gouvernements et les pêcheries industrielles du monde sur la fragilité de ces espèces. « La récolte des poissons dans les grands fonds ressemble à l'abattage sans contrôle des arbres des forêts primaires », a expliqué Selina Heppel, de l'université de l'Oregon, lors du congrès annuel de l'American Association for the Advancement of Science (AAAS) qui s'est tenu à San Francisco la semaine dernière. « Mais nous ne savons pas comment replanter les poissons. Et malheureusement l'habitat qui leur assurait leur protection, du fait de sa difficulté d'accès, est désormais accessible grâce à de nouvelles techniques de pêche. » Parmi les espèces les plus menacées, l'empereur et le bar chilien. Du fait de la lenteur de leur métabolisme, et de leur croissance, les poissons des grands fonds n'atteignent leur maturité sexuelle qu'autour de 30 à 40 ans. Comme ce sont surtout les individus adultes (les plus gros) qui sont pêchés, l'impact sur les populations globales est plus important, puisque ce sont ces reproducteurs qui sont prélevés. Pour le Dr Heppel, « Lorsque vous achetez de l'empereur chez le poissonnier, vous emmenez dans votre cabas un filet d'un poisson qui a au moins 50 ans d'âge. La plupart des gens ne voient pas l'implication de cette donnée. Nous ne devrions pas manger des poissons aussi vieux que nos grands-mères ! » Sonars et GPS Pour ne rien arranger, la plupart des espèces de poissons des grands fonds vivent dans les eaux internationales. Ils sont pêchés par des chaluts de fond, à proximité de montagnes sous-marines où ils s'agrègent du fait de l'abondance relative de nourriture. Aujourd'hui, les sonars, systèmes de positionnement par satellite, et les énormes filets qui peuvent draguer à des centaines de mètres sous la surface aggravent la donne. Une technique de congélation instantanée (« flash freezing ») autorise les bateaux à partir plus longtemps. L'argument des pêcheurs consistant à dire que ces espèces ont été pêchées de tout temps, ne prend pas en compte l'inefficacité de la pêche traditionnelle face aux techniques actuelles. Il est vrai que les chercheurs ne savent presque rien de ces espèces : se reproduisent-ils comme les requins en faisant de faibles nombres de jeunes, dont les chances de survie sont faibles ? Ou bien produisent-ils des milliers d'oeufs, puis de larves, victimes ensuite des prédateurs et de la famine ? Se reproduisent-ils chaque année ? Mark Hixon, zoologue à l'université de l'Oregon, propose les « 10 commandements » qui amélioreraient la pêche. Parmi ceux-ci, il faut garder une perspective globale du fait de l'interactivité des écosystèmes et ne plus gérer une espèce de poisson isolément des autres. Autres règles : ne plus pêcher les femelles adultes grasses qui sont les meilleures reproductrices ; mieux connaître la structure des stocks de poissons de fond ; sauvegarder les fonds où se nourrissent les espèces menacées ; mieux mesurer les modifications évolutives causées par la surpêche. Les pêcheries d'Alaska (North Pacific Fishery Management council) en suivant tant bien que mal ces règles ont déjà amélioré les stocks et la production. Rashid Sumaila, de l'université de Colombie-Britannique, a calculé que le gouvernement américain finance à hauteur de 152 millions de dollars par an ses flottes de pêche de fond. Le Japon, la Russie, l'Espagne ou la France, en tout douze pays ont des flottes de ce type. Elles consomment en tout 433 millions de litres de gasoil chaque année, mais elles ne représentent, avec 400 000 tonnes de prises par an, que 2 % des prises totales toutes pêches confondues. Ces prises de fond ont une valeur de 985 millions de dollars : bref, sans les aides européennes ou nationales, la pêche de fond ne serait pas rentable ! http://www.lefigaro.fr/sciences
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la chronique de philippe val
Animal a répondu à un(e) sujet de terrienne dans ANIMAUX - Europe et autres continents
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L'Afrique du Sud sonne le glas de la chasse en enclos
Animal a posté un sujet dans ANIMAUX - Europe et autres continents
L'Afrique du Sud sonne le glas de la chasse en enclos Louis-Gilles Francoeur Édition du vendredi 23 février 2007 En Afrique du Sud, quelques-uns des meilleurs gîtes qu'on peut trouver dans l'arrière-pays sont chez les outfitters, ces pourvoyeurs si différents des nôtres, qui offrent à leurs riches clients étrangers des chasses dans de vastes enclos. Contrairement à nos pourvoyeurs, généralement détenteurs d'un bail exclusif de chasse et de pêche sur des territoires publics au profit de leurs clients, ceux d'Afrique du Sud oeuvrent sur leurs propres terres, qu'ils cultivent de moins en moins. l'article: http://www.ledevoir.com/2007/02/23/132162.html J'ai bien aimé le commentaire laissé par une défenderesse des animaux «C'est une bonne nouvelle d'apprendre que cette immonde chasse en enclos va prendre fin; bien sûr, il reste encore beaucoup à faire pour lutter contre la cruauté envers les animaux dans ces pays et les autres, mais c'est tout de même une avancée, en attendant l'abolition de toute chasse. Tuer un animal, pour le plaisir ou toute autre raison inventée, n'est ni plus ni moins que du spécisme: on s'arroge le droit de traquer et tuer des êtres sensibles simplement parce qu'ils n'ont pas eu la chance de naître humains...Ils ressentent pourtant la peur et la souffrance tout comme nous! » -
Enfermés dans des enclos d'où ils ne peuvent s'échapper, des taureaux sont violemment battus à coups de barres de fer sur tout le corps, incluant la tête, ils sont éperonnés, d'autres sont piqués à l'aide d'aiguillons qui produisent de 5,000 à 6,000 volts d'électricité, on tord la queue à des veaux, etc. etc. Cette vidéo a été filmée en caméra cachée par Mercy For Animals (MFA) lors de rodéos qui avaient lieu dans l'État d'Ohio. Pour voir la vidéo, cliquez sur Windows Media ou Quicktime ou Real Media en bas de votre écran http://www.rodeoabuse.com/beaten.asp
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February 24, 2007 Global warming endangers harp seal pups - report By Deborah Zabarenko WASHINGTON (Reuters) - Global warming is making it harder for newborn harp seals to survive in the Gulf of St. Lawrence and off Newfoundland in Canada, the International Fund for Animal Welfare reported on Friday. ... "Harp seals need the ice to give birth to their pups -- they won't come onto land," Fink said in a telephone interview. They need a solid stable ice platform for three or four weeks, in order to give birth and to allow the pups to nurse enough to build up strength. "If the ice isn't there when the mother seals are ready to give birth, they are forced to abort the pups in the water," she said. "They drown instantly. If there is ice but not as solid as necessary, so that it doesn't hold out for the entire nursing period ... (the pups) will fall into the water and drown." Storms in the area can push the chunks of ice around in the water, putting the pups at risk of being crushed, Fink said. The animal welfare group urged the Canadian government to lower the number of harp seals allowed to be killed by hunters each year. Since 1995, the wildlife group said, the total allowable catch has increased even as the ice cover has diminished. In 2006, the limit was set at 335,000, which was 85,000 higher than the "sustainable yield" estimated by Canadian government scientists, the group said in a statement. ... http://thestar.com.my/news/story.asp?file=/2007/2/24/worldupdates/2007-02-24t125944z_01_nootr_rtrjonc_0_india-288997-1&sec=worldupdates
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Bonjour Sibelle est une chienne remarquable qui n'a pas eu la vie facile... Elle était très craintive à son arrivée à la SPCA, mais elle a appris à nous faire confiance, elle est devenue douce et affectueuse. Bien qu'elle reste craintive, elle a eu une bonne évaluation, mais demandera une famille patiente, douce et expérimentée. Compte tenu de son insécurité, elle devra vivre dans une famille sans enfants. Elle n'aime pas du tout les autres animaux, (tempérament fréquent chez cette race.) Elle ne devra jamais être en contact avec des chats ou des chiens. Êtes-vous la famille que nous recherchons? Sibelle doit partir rapidement, à cause de son comportement avec les autres chiens, elle a du être retiré de l'adoption. Vous pouvez voir sa photo et sa description au www.ultra.ca/spca Si vous désirez plus d'information, Contactez Julie à la SPCA de Laval, 450-663-3266 poste 224
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J'ai regardé ce long reportage hier soir sur TV5 et il m'a bouleversé ! J'ai ressenti beaucoup de rage et de tristesse à la fois. Les images sont saisissantes ! Après ce film on se demande réellement si ces pauvres éléphants ne seraient pas mieux morts, même si on prétend les sauver de l'extinction en les faisant travailler (comme des forçats) ! Une éléphante est forcée de traverser la mer en «apnée» (tout le long de ce long voyage, complètement immergée sous l'eau) alors qu'elle est enceinte. Elle arrive totalement exténuée et donne immédiatement naissance à son petit éléphanteau, qui apprendra bien vite en suivant sa maman au travail forcé, qu'il faut se méfier des hommes ! Et moi qui croyais que les Hindous étaient doux avec les animaux! Tout simplement épouvantable !!!!!!!!!!!!!!!! -Voir reprises ci-dessous -------------------------------------------------------------------------- mardi 27 février Éléphants nageurs, éléphants forçats Pas facile la vie d'un pachyderme domestiqué aux îles Andaman! Éléphants nageurs, éléphants forçats L'archipel des îles Andaman, en Inde, est le seul endroit au monde où l'on peut voir des pachydermes traverser la mer à la nage. Le film retrace l'histoire d'une famille d'éléphants domestiqués, utilisés pour déplacer et transporter des troncs d'arbres. Dans cette famille, chacun apprend à nager pour traverser la mer d'île en île. Le bébé s'élance sans peur dans les vagues, mais il est très vite submergé. Les jeunes de 5 à 8 ans se vautrent dans la rivière et la boue mais ils paniquent dans les profondeurs. L'adolescent prend appui sur son père quand il traverse la mer et peu à peu, apprend à faire de l'apnée. Les adultes quant à eux savent très bien nager; ils réalisent même une nage synchronisée pour ne pas être emportés par les courants. Réalisation : Etienne Verhaegen, 2004. Prochaines diffusions : mardi 27 février 2007 14h30 vendredi 02 mars 2007 02h30 http://www.tv5.ca/horaire-television/details-emission/93/24799_Elephantsnageurselephantsforcats.html
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Éléphants nageurs, éléphants forçats
Animal a posté un sujet dans ANIMAUX - Europe et autres continents
J'ai regardé ce long reportage hier soir sur TV5 et il m'a bouleversée ! J'ai ressenti beaucoup de rage et de tristesse à la fois. Les images sont saisissantes ! Après ce film on se demande réellement si ces pauvres éléphants ne seraient pas mieux morts, même si on prétend les sauver de l'extinction en les faisant travailler (comme des forçats) ! Une éléphante est forcée de traverser la mer en «apnée» (tout le long de ce long voyage, complètement immergée sous l'eau) alors qu'elle est enceinte. Elle arrive totalement exténuée et donne immédiatement naissance à son petit éléphanteau, qui apprendra bien vite en suivant sa maman au travail forcé, qu'il faut se méfier des hommes ! Et moi qui croyais que les Hindous étaient doux avec les animaux! Tout simplement épouvantable !!!!!!!!!!!!!!!! -Voir reprises ci-dessous -------------------------------------------------------------------------- mardi 27 février Éléphants nageurs, éléphants forçats Pas facile la vie d'un pachyderme domestiqué aux îles Andaman! Éléphants nageurs, éléphants forçats L'archipel des îles Andaman, en Inde, est le seul endroit au monde où l'on peut voir des pachydermes traverser la mer à la nage. Le film retrace l'histoire d'une famille d'éléphants domestiqués, utilisés pour déplacer et transporter des troncs d'arbres. Dans cette famille, chacun apprend à nager pour traverser la mer d'île en île. Le bébé s'élance sans peur dans les vagues, mais il est très vite submergé. Les jeunes de 5 à 8 ans se vautrent dans la rivière et la boue mais ils paniquent dans les profondeurs. L'adolescent prend appui sur son père quand il traverse la mer et peu à peu, apprend à faire de l'apnée. Les adultes quant à eux savent très bien nager; ils réalisent même une nage synchronisée pour ne pas être emportés par les courants. Réalisation : Etienne Verhaegen, 2004. Prochaines diffusions : mardi 27 février 2007 14h30 vendredi 02 mars 2007 02h30 http://www.tv5.ca/horaire-television/details-emission/93/24799_Elephantsnageurselephantsforcats.html