Animal

Une très Bonne et Heureuse Année à Monsieur Charollois !

Heureusement, car sinon ça serait réellement décourageant ! Ce n'est pas qu'il faisait très froid pour un 30 décembre, mais c'était très humide, donc ça donnait une sensation qu'il faisait beaucoup plus froid... On aurait dû s'emmener un petit «caribou» pour se réchauffer

Merci et Bonne Année à toi chère Terrienne

C'est parfait ma belle Cé ! Je viens également de poster notre action dans le forum de Laura, ainsi que dans la liste anglo ---------------------------------- «On the day before New Year's Eve, people were busy doing their last minute shopping at the public market, although it was very cold and humid. For several hours, our team composed of Sylvie, Karyne, Carmen, David, Dominique and Cécil distributed more than 300 leaflets against force-feeding of ducks and geese. Although many people voluntarily approached us for leaflets and to enquire as to how foie gras is produced, others hid their face so they would not see our explicit banners. Some peope did not accept our leaflets stating that they do agree with us and that they do not eat foie gras and at least 6 people stated that they were vegetarians. Since August 2005, this is the 4th time Aequo Animo is holding an action against foie gras.» To see photos and read about our past actions, please click here: http://aequoanimo.com/nosactions2006.html http://www.aequoanimo.com/

ben oui Cé, car je ne crois pas que ça risque d'être lu par des producteurs...

http://woodstockfas.org/slideshows/Herbie.html Pauvre petite ange ! C'est encore un bébé ! Il est tombé d'un camion qui l'emmenait dans un abattoir "clandestin" dans l'état de New-York .... Heureusement, il a été sauvé !

Plongeurs, prudence! Mise à jour le dimanche 31 décembre 2006, 14 h 25 . Requin du Groenland Les plongeurs qui explorent le fleuve Saint-Laurent peuvent à tout moment faire face à un requin du Groenland. Des scientifiques en ont observé dans trois baies du secteur de Baie-Comeau au cours des dernières années. L'animal est inoffensif toutefois, à la condition que les plongeurs respectent des règles élémentaires de sécurité. Pour éviter une tragédie, les plongeurs doivent garder leurs distances, explique le scientifique Jeffrey Gallant. Il y a au moins sept espèces de requin qui vivent dans le fleuve Saint-Laurent. http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2006/12/31/003-requin-groenland.asp

Des chercheurs brésiliens alarmés L'Amazonie pourrait devenir une savane d'ici 2100 Associated Press (AP) 30/12/2006 08h21 Le réchauffement de la planète pourrait signifier la mort de la plus grande forêt tropicale du monde, transformant l'Amazonie en savane d'ici la fin du siècle, selon des chercheurs brésiliens. suite: http://www2.canoe.com/techno/nouvelles/archives/2006/12/20061230-082132.html

Le mardi 02 janvier 2007 Photothèque La Presse CALENDRIERS Elles se déshabillent pour une bonne cause Dinesh Ramde Associated Press Milwaukee Tout sourire, Miss décembre 2007 est coiffée d'un bonnet de Noël et ne porte rien si ce n'est un chat qui dissimule stratégiquement sa poitrine, sur fond de jardin enneigé. Chandra Gates, qui n'est pas modèle et encore moins exhibitionniste, a choisi de se dénuder pour une bonne cause: venir en aide à la Humane Society du comté de Jefferson, une organisation humanitaire du Wisconsin (nord des États-Unis). suite: http://www.cyberpresse.ca/article/20070102/CPINSOLITE/70101048/0/FRONTPAGE

Merci beaucoup ma belle Cé ! Pas de problème, quand tu auras trouvé ton mot, je le changerai A+ ma belle Cé,

Petit résumé de cette journée http://aequoanimo.com/nosactions2006.html

C'est fait ! http://aequoanimo.com/nosactions2006.html

Il me semble que je n'afficherais peut-être pas les commentaires négatifs car ça risquerait de faire plaisir aux producteurs de savoir qu'ils ont cette forme de support et ça risquerait peut-être également d'encourager ceux qui sont déjà contre nous à suivre ces exemples et nous invectiver comme ceux-là Déjà qu'on en lit suite aux articles sur le FG et que ça doit conforter les producteurs. Je suis tout-à-fait d'accord avec toi ma belle Cé. Je n'y avais pas pensé mais c'est vrai que ça ferait bien trop plaisir aux producteurs... Je pense aussi que je ne mentionnerais pas non plus de quel marché il s'agissait afin de ne pas alerter les commerçants pour avoir la voie libre si jamais on retourne dans ce coin. Parfait ma belle Cé- Excellente idée ! Merci beaucoup pour les corrections... J'essaierai d,inclure le texte dans le site aujourd'hui et de faire la traduction... A+ ma belle Cé XXXX

Allo ma belle Cé, Un petit texte fait en vitesse.... avec ajout des commentaires (si tu juges qu'on peut les placer dans le texte) En cette veille du grand Réveillon de fin d’année, il faisait froid et les gens s’affairaient à aller faire leurs emplettes au marché Atwater, là où malgré le froid humide, l’équipe a distribué pendant quelques heures plus de 300 tracts contre le gavage des oies et des canards. Alors que plusieurs personnes s’avançaient volontiers pour prendre de nos feuillets et s’informer sur la manière dont est produit le foie gras, d’autres se cachaient le visage pour ne pas voir nos pancartes ou encore nous invectivaient : (?) «Non mais ça s'peut-tu !» «Vous avez vraiment du temps à perdre ! » «Pourquoi vous faites rien contre la cruauté envers les humains à la place » ? «Franchement ! Ben oui j'mange du foie gras ! C'est ben moins cruel que l'élevage des poules ! Pourquoi vous faites rien contre l'élevage des poules et pour les humains ? » «Je travaille là-d'dans ! Les animaux sont bien traités ! On a des bons artisans au Québec» ! «C'est donc ben niaiseux votre affaire ! Oui on mange du foie gras pis on adore ça à part ça !» «Moé j'mange du foie gras, pis j'men va justement m'en acheter » Certains ne prenaient pas de feuillet en disant qu'ils ne consommaient pas de foie gras ou qu'ils étaient d'accord avec nous et au moins 6 personnes nous ont dit être végétariennes. Un grand Merci à Sylvie, Karyne, Carmen et David

Jan 1, 2007 The polar bears are on literally thin ice News of a U.S. government proposal to list polar bears as a threatened species has evoked alarm within Nunavut's government. Unfortunately, the alarm is not over the growing evidence of the threat to the majestic beasts' survival caused by destruction of their habitat, but over the impact the U.S. measure could have on the territory's sport hunting industry. Scientists have warned for some time of the possible effects of climate change on polar bear populations. Yet, regardless, Nunavut's government two years ago irresponsibly hiked the quota for bear kills by 28.5 per cent, based in part on the highly tenuous notion of "traditional knowledge" -- the politically correct concept that sightings by Inuit hunters somehow reflect the true status of bear populations. In fact, scientists have produced compelling evidence that the reason Inuit hunters are seeing more polar bears is not that there are more polar bears -- which is the simplistic explanation factored into the increased bear-kill quota -- but that the bears are hungry and are foraging for food close to human settlements. Faced with the mounting scientific findings, the territory re-examined the quotas -- but then, last May, produced a report that said climate change is not pushing polar bears to extinction, and that if it were doing so all species around the world would be threatened. Besides, "polar bears are intelligent and quick to adapt to new circumstances." For its part, the Canadian government considers the polar bear a species of special concern, "one that is particularly sensitive to human activities or natural events," yet it remains the position of Environment Canada that they are "not endangered or threatened." The bureaucrats either have not been reading or are ignoring the work of scientists, including some of their own, who argue there is strong evidence that climate change is causing declines in both the thickness of sea ice and total cover, with the result that sea ice is breaking up earlier -- affecting polar bears, which are floe edge hunters. One study published in September in the scholarly journal Arctic (with Canadian Wildlife Service researcher Ian Stirling as lead author) argued that "at least part of the explanation for the appearance of more bears near coastal communities and hunting camps is likely that they are searching for alternative food sources in years when their stored body fat depots may be depleted." The study observed that, based on projections of warming, polar bears will likely become "increasingly food-stressed, and their numbers are likely to decline eventually, probably significantly so." It urges that a "precautionary approach be taken to the harvesting of polar bears and that the potential effects of climate warming be incorporated into the planning for the management and conservation of this species." As a result of similar warnings, the International Conservation Union in May gave polar bears threatened status on its "red list," and projected a decline of population numbers of 30 per cent by 2050, mainly as a result of loss of sea ice. Then, on Wednesday, the Bush administration said the United States is considering listing the species as "threatened" under its Endangered Species Act. The U.S. has long led efforts to conserve polar bear populations, halting all sport hunting in 1972. Nunavut's response to the latest U.S. announcement was to express concern that the "threatened" status, if adopted, might harm the territory's lucrative polar bear hunt if American big-game hunters couldn't return home with their costly trophies. "We are disappointed," Steve Pinksen, director of policy, planning and legislation for Nunavut's Environment Department, told the CBC. "It has a potential for impacts directly upon our economy, particularly in the smaller communities, and that's always a concern, so we certainly are a little bothered by the situation." The concern over the economic losses for marginal communities in Nunavut is understandable. The Inuit play a crucial role in the species' survival, and economic spinoffs from the sport hunt may provide an important incentive for conservation. But if the scientists' warnings are correct, there is an overriding concern for the future of the polar bear. Given the evidence, it is high time the governments of Nunavut and Canada demonstrated that they are also "a little bothered" about that. http://www.theglobeandmail.com/servlet/story/LAC.20061230.EPOLAR30/TPStory/TPCom\ ment/Editorials

Ah OK, je l'avais lu mais je n'ai pas vraiment compris ce qu'il tente de nous expliquer: Peut-être que sa dernière phrase résume le fond de sa pensée «Jayson Proulx Envoyé Le dimanche 31 décembre 2006 05:00 Vous vous attaquez illégalement à de pauvres baleines sans défenses ? Accrochez vous à votre flotte car le Capitaine Watson et son équipe se fera un plaisir importun d'accrocher à votre ligne un gros poisson d'avril. Un an après la projection du documentaire révélateur "Les sushis sans soucis", le festival des films pour la sauvegarde de la faune marine présenteront en première samedi au cinéma Beaubien: "Les pêcheurs empêchés". Un scénario inédit. Les héros tragiques - le Capitaine Watson et son équipe - sont animés par une compassion sans scrupules. Les vilains - des baleiniers japonais - sont dévorés par une cupidité sans faim. Les premiers ouvrent leur coeur aux baleines. Les deuxièmes, oubliant par mégarde qu'ils ont un coeur, se voient contraints d'ouvrir celui des baleines. Préoccupés à ne pas gaspiller, ceux-ci harponnent vaillamment les derniers morceaux de viande rouge qui flottent dans leur fondue japonaise. Souvenons nous que le documentaire "sushi sans soucis" souleva déjà l'an passé une question pour le moins juteuse: Comment s'empêcher d'empêcher sans pécher un pêcheur d'empocher son péché de surpêche? "Le surprendre et suspendre le suspense à ceux qui ne pensent qu'à se remplir la panse!" S'exclamait un auditeur du documentaire « sushis sans soucis », visiblement sur le coup de l'émotion. Lectures connexes : POSTILLON, François. Exercices de bouche insensés Risqueriez vous votre vie pour votre frère ou votre soeur? L'équipe du capitaine Watson le fait pour sauver celle de quelques baleines. Car dans la souffrance, humain ou baleine, nous sommes tous des frères et soeurs. Venez en grand nombre et maquillez vous sur place gratuitement avec nos nouveaux cosmétiques "AMImaux". Quand diffusera-t-on ce documentaire choc qui financera un sous-marin ouvre-boîte au Capitaine Watson? Jayson, un admirateur anonyme jusqu'à il y a 2 secondes »

Les écolos pirates (par Louis-Gilles Francoeur... le chasseur sans-coeur) Édition du samedi 30 et du dimanche 31 décembre 2006 À l'assaut des baleiniers L'activiste écologiste Paul Watson a été parmi les premiers à risquer sa vie pour sauver celle des grands cétacés en s'interposant, à bord d'un Zodiac, entre le baleinier et l'animal. En trois décennies, la Sea Shepherd Conservation Society, le groupe qu'il a fondé, a même revendiqué le sabotage de quatre bateaux qui servaient à cette chasse. Ennemi juré des baleiniers japonais, le capitaine Watson fait actuellement route avec deux vaisseaux pour traquer leurs navires pendant deux mois dans les eaux hostiles autour de l'Antarctique. Leur objectif? Interrompre leur chasse, quitte à foncer droit sur les navires, à tout faire pour briser leurs hélices ou à sectionner les câbles qui servent à hisser les carcasses des animaux. Et les écologistes ont prévu tout un arsenal pour y parvenir. On a notamment fixé de chaque côté du Farley Mowat -- un bateau noir sur lequel flotte un drapeau de pirate -- des armatures de métal aiguisées, utilisées pour tenter d'endommager la coque des baleiniers auxquels on se frottera. L'équipage surnomme ces armes, longues de plus de deux mètres, les «ouvre-boîtes». Trois Zodiac sont aussi du voyage afin de déployer des câbles de métal fixés à des bouées et largués près des baleiniers afin que leurs hélices s'y bloquent. Sur le bateau au pont encombré, on trouve en fait tout le nécessaire pour cette poursuite, dont deux motomarines et des canons à eau. On concocte également des bombes fumigènes, «au cas». Les écologistes embarquent aussi un hélicoptère. Cet appareil servira à localiser plus aisément les bateaux «ennemis» sur cette vaste étendue d'eau. Pour Paul Watson -- à qui l'on doit aussi des interventions pour défendre les phoques dans le golfe du Saint-Laurent --, ces actions perturbatrices donnent des résultats. «L'année dernière, les Japonais ont tué 85 baleines de moins que le quota qu'ils s'étaient fixé. Nous avons protégé 85 baleines et nous les avons empêchés de chasser pendant 15 jours», affirmait-il au Devoir peu de temps avant de lever l'ancre à partir du port australien de Melbourne, le 24 décembre. «Nous n'essayons pas de faire comprendre aux gens ce qui se passe en Antarctique. Nous essayons simplement de faire appliquer la loi. Notre but est d'empêcher les Japonais de tuer des baleines, que les gens aiment ça ou non.» Avant de barrer la route aux baleiniers, le capitaine Watson interpelle les navires par radio et les invite à quitter la zone, arguant qu'ils contreviennent aux règles internationales de conservation des espèces. Selon lui, le Japon viole le moratoire sur la chasse commerciale. Le capitaine Watson fait aussi valoir que le pays s'en prend à des animaux pourtant protégés par la Convention sur le commerce des espèces menacées et qu'il enfreint les lois australiennes sur la protection de cette portion des eaux de l'Antarctique. «Nous devons faire le travail que les États devraient normalement faire», juge le capitaine, originaire du Nouveau-Brunswick. Lors des deux premières campagnes, le vieux Farley Mowat, entré en service en 1956, n'a cependant pas pu atteindre une vitesse suffisante pour rattraper les puissants navires japonais. Les 43 personnes qui composaient son équipage l'an dernier ont tout de même eu droit à trois sérieux affrontements avec la flotte japonaise, dont un avec l'Oriental Bluebird, qui sert à transporter la viande des baleines au Japon. Le Farley Mowat a en effet foncé droit sur le navire japonais, et celui-ci n'a pas pu l'éviter, malgré un sérieux coup de barre. Les deux bateaux n'ont pas subi de graves dommages, mais celui des écologistes aurait pu être sérieusement endommagé par ce bâtiment deux fois plus gros que lui. Et les côtes les plus proches étaient à une semaine de navigation parfois pénible. Pour les membres de la Sea Shepherd Conservation Society (SSCS), le jeu en vaut la chandelle. «Je ne vois pas pourquoi il serait anormal de risquer sa vie pour protéger des baleines. Après tout, il y a beaucoup de gens qui sont prêts à mourir pour leurs convictions, explique M. Watson. Et d'ailleurs, je fais des choses dangereuses depuis trois décennies et je suis toujours vivant. Jamais un membre de mon équipage n'a été blessé et nous n'avons jamais blessé personne.» Il ajoute que son groupe est «non violent» et que son action se limite à s'attaquer «à de l'équipement utilisé pour des activités criminelles». Le gouvernement japonais considère quant à lui que la SSCS est une organisation «dangereuse et criminelle» et a souvent demandé à l'Australie d'intervenir militairement pour la chasser de la zone, mais en vain. Les Australiens sont en fait farouchement opposés à toute forme de chasse à la baleine, même celle dite scientifique, pratiquée par les Japonais. Retour à la chasse Cette année, la partie risque par ailleurs d'être plus corsée dans les eaux bordant l'Antarctique puisque la SSCS s'est dotée d'un deuxième navire, plus rapide, le Leviathan. En tout, 60 membres d'équipage, tous bénévoles, ont levé l'ancre pour un voyage de plus de 4000 kilomètres dans des eaux glaciales et souvent houleuses. M. Watson qualifie lui-même ses équipages d'«armée internationale de défense des baleines» puisque les membres proviennent d'une trentaine de pays différents. De son côté, le Japon a déployé cinq bateaux destinés à la chasse, dont trois servant au harponnage. Un navire-usine, le Nisshin Maru, un monstre d'acier de 130 mètres faisant 8000 tonnes, sert à recueillir les prises, ensuite dépecées à bord et expédiées au Japon sur un autre bâtiment. Après avoir de nouveau échoué cette année à faire faire lever le moratoire sur la chasse commerciale à la dernière réunion de la Commission baleinière internationale (CBI), les Japonais ont annoncé leur intention de doubler leurs prises de cétacés, les faisant passer de 440 à 850. Il s'agit essentiellement de petits rorquals, mais deux espèces menacées de disparition figurent également au tableau de chasse, soit une cinquantaine de rorquals communs et autant de baleines à bosse. La zone où les baleiniers pêchent comprend le «sanctuaire de l'hémisphère Sud» décrété par la CBI. Plusieurs espèces de baleines vont y passer l'été austral, essentiellement pour se nourrir dans ces eaux riches en plancton. Pour le capitaine Watson, l'illégalité de cette chasse ne fait aucun doute. «Ce que les baleiniers japonais font dans le sanctuaire antarctique des baleines est tout simplement diabolique, affirme-t-il. Les actions du Japon sont illégales, immorales, et représentent un crime contre l'humanité, la Terre et les générations futures.» Bisbille entre écologistes Si la SSCS et Greenpeace ont toutes deux mené des actions contre la chasse aux cétacés, ces organisations sont pourtant de véritables frères ennemis. Paul Watson est lui-même très critique à l'endroit de cet autre groupe d'écologistes. «Notre intention est de stopper cette chasse criminelle. Nous ne sommes pas une organisation de protestation. Nous sommes ici pour faire respecter les règles internationales de protection des espèces. Nous ne brandissons pas d'affiches, nous intervenons», lance-t-il. Le capitaine du Farley Mowat est pourtant un des cofondateurs de Greenpeace, en 1972. Il a quitté cette organisation pour fonder la Sea Shepherd Conservation Society en 1977. L'activiste a même déjà qualifié les membres de Greenpeace de «dames Avon» de l'écologisme. Ironie du sort, les deux groupes se rendent à la même période en Antarctique pour protester contre la chasse à la baleine. Comme Greenpeace désapprouve les méthodes de la SSCS, ses militants refusent d'informer le capitaine Watson et son équipage de la position des baleiniers japonais. «La SSCS est différente de Greenpeace parce que nous n'organisons pas de manifestations, nous intervenons contre les activités illégales, soutient-il. Greenpeace a un bateau suffisamment rapide pour arrêter les baleiniers, mais ils ne le font pas. Moi, je ne pourrais pas regarder les baleines être torturées et agoniser alors que je ne ferais que filmer et photographier la scène.» Et il n'a que faire des critiques. «Trouvez-moi une seule baleine qui soit en désaccord avec nos actions et je promets que je ne recommencerai plus!», lance-t-il. Son organisation a par ailleurs reçu l'appui de plusieurs personnalités, notamment les acteurs Martin Sheen, Pierce Brosnan et Christian Bale. L'oeil de la baleine C'est en 1975, au large des côtes californiennes, que le capitaine des pirates verts a décidé de se consacrer à la protection de la vie marine. Filant à bord d'un Zodiac de Greenpeace, il s'est interposé entre un baleinier soviétique et un cachalot. Le navire a alors tiré son harpon à tête explosive juste au-dessus de sa tête, frappant la baleine. «Le cachalot criait et le son ressemblait à celui d'un être humain, se souvient-il. Et ce que j'ai vu a changé ma vie pour toujours. Alors que la baleine sortait sa tête, au milieu d'une mare de sang, j'ai vu de la compréhension dans son regard. La baleine, qui devait peser 60 tonnes, aurait pu réduire en miettes notre petit bateau, mais elle a compris que le harpon ne venait pas de nous et elle a évité notre bateau. Je me suis toujours senti redevable à cette baleine, qui a épargné ma vie. Alors, j'ai décidé de consacrer ma vie à protéger les cétacés.» Et il a déjà démontré la fermeté de sa volonté: il avoue candidement que des membres de la SSCS ont coulé deux baleiniers amarrés au port islandais de Reykjavik en novembre 1986. À cette occasion, ils ont aussi détruit une usine de transformation de viande de baleine en Islande. «Ce n'était pas illégal parce que la chasse était illégale», martèle-t-il. Cette année-là, le moratoire sur la chasse commerciale est entré en vigueur. «En 1988, je suis retourné en Islande pour demander à être arrêté. J'ai même reconnu les actes que j'avais commis, rappelle le militant. Après m'avoir gardé en prison pendant une nuit, les policiers m'ont reconduit à l'aéroport et m'ont expulsé du pays. Ils savaient que le fait de m'intenter un procès leur ferait subir un procès à eux aussi.» Les autorités l'ont effectivement expulsé, mais pour avoir enfreint les règles de la circulation maritime. La SSCS a alors perdu son statut d'observateur à la Commission baleinière internationale. L'infatigable pourfendeur des chasseurs de cétacés a en outre revendiqué le sabotage du baleinier portugais Sierra, en 1980. Le bateau avait été coulé à l'aide de mines-ventouses. La Norvège a aussi exigé en vain son extradition des États-Unis, en 1997, pour le sabotage du baleinier Morild. Son organisation a également été tenue responsable d'avoir endommagé, en mer, un autre baleinier norvégien et un bateau de pêche néerlandais. Le capitaine Watson, aujourd'hui âgé de 57 ans, entend bien poursuivre son action. «Nous sommes au XXIe siècle et la chasse à la baleine n'a plus de raison d'être. Nous avons mené une véritable guerre contre les baleines depuis beaucoup trop longtemps. Ce sont des créatures qui ont une structure sociale élaborée et une intelligence très complexe. Nous avons beaucoup à apprendre de ces animaux.» Il estime d'ailleurs que «si nous ne sommes pas capables de protéger les baleines et les océans, je ne vois pas comment nous pourrions nous-mêmes survivre. C'est pour cela que nous contestons le mode de vie de l'humanité, qui mise sur la surconsommation et la destruction des ressources naturelles. Bref, des choses dont on préfère bien souvent ne pas parler». VOUS POURREZ LIRE LES COMMENTAIRES: http://www.ledevoir.com/2006/12/30/126188.html

Les écolos pirates Édition du samedi 30 et du dimanche 31 décembre 2006 À l'assaut des baleiniers L'activiste écologiste Paul Watson a été parmi les premiers à risquer sa vie pour sauver celle des grands cétacés en s'interposant, à bord d'un Zodiac, entre le baleinier et l'animal. En trois décennies, la Sea Shepherd Conservation Society, le groupe qu'il a fondé, a même revendiqué le sabotage de quatre bateaux qui servaient à cette chasse. Ennemi juré des baleiniers japonais, le capitaine Watson fait actuellement route avec deux vaisseaux pour traquer leurs navires pendant deux mois dans les eaux hostiles autour de l'Antarctique. Suite: http://www.ledevoir.com/2006/12/30/126188.html

26/12/2006 Certaines organisations musulmanes du Pakistan proposent à leurs coreligionnaires installés dans des pays occidentaux d'acheter et de sacrifier des animaux à leur nom pour l'Aïd el-Kebir. Cette « fête », qui « marque chaque année la fin du pèlerinage à La Mecque […] commémore la soumission d'Abraham à Dieu, lorsque le patriarche était prêt à sacrifier son fils aîné sur son ordre (Ismaël selon la tradition musulmane, Isaac selon la Bible ; le Coran ne donnant pas explicitement le nom de ce fils aîné). Chaque famille, dans la mesure de ses moyens, sacrifie un mouton (parfois d'autres animaux, notamment vaches, chameaux ou poulet) en l'égorgeant, couché sur le flanc gauche et la tête tournée vers La Mecque ». (Source Wikipedia) Les Musulmans qui en ont les moyens, achètent des animaux qu’ils vont sacrifier pour partager la viande avec les pauvres et les familles. Or, dans certains pays occidentaux, les Musulmans ne peuvent pas accomplir le rituel selon leurs coutumes. Ils peuvent désormais se tourner vers internet. D’Occident à l’Orient par le net « Il n’est pas facile pour eux [i.e. les Musulmans d’Occident] d’acheter et de pratiquer le sacrifice selon les rites religieux dans ces pays là, » affirme Sohail Ahmed, un représentant de l’organisation islamique de bienfaisance Al-Khidmat, qui propose ce « service ». « Ils se tournent vers internet pour accomplir leurs obligations religieuses, » avoue Sohail Ahmed. Suite: http://www.generation-nt.com/actualites/22360/aid-el-kebir-achat-sacrifice-animal-internet-pakistan-occident

1 janvier 2007- Mouton de l’Aïd El Idha Une offre conséquente • L’offre est de 910.000 têtes, dont 70% de grands moutons destinés au sacrifice à l’occasion de l’Aïd. • Importation de trois mille carcasses d’Irlande pour réguler le marché • Prix de référence : 5D,300 le kg pour les moutons, dont le poids dépasse les 40 kg et 5D,500 pour les moutons de moins de 40 kg. • A la société Ellouhoum : des prix de moins de 100 millimes par rapport aux prix de référence. La Presse — Toutes les dispositions ont été prises par les autorités compétentes en vue d’approvisionner les marchés en têtes ovines, à l’occasion de l’Aïd El Idha. En effet, les services du ministère de l’Agriculture et des Ressources hydrauliques estiment à 910.000 le nombre de têtes destinées au sacrifice réparties entre 637.000 têtes de grands moutons «barcous» (70%), 182.000 têtes de moutons de taille normale (20%) et 91.000 têtes de chèvres. Les moyennes des prix pratiqués dans les zones de production et les différents marchés des animaux répartis dans les différentes régions de la République indiquent que les petits moutons sont vendus entre 120 et 190 dinars, alors que les prix des moutons dont le poids se situe entre 40 et 60 kg se situent entre 200 et 260 dinars. Quant aux moutons pesant plus de 60 kg, le prix varie entre 270 et 320 dinars. Il a été convenu avec les parties intervenantes, en l’occurrence le Groupement interprofessionnel des viandes rouges et du lait, l’Organisation de défense du consommateur (ODC), et les éleveurs de fixer des prix de référence pour le kilogramme vif. Il s’agit de 5D,300 le kg pour les moutons dont le poids dépasse les 40 kg et 5D,500 pour les moutons de moins de 40 kg. Mieux, la société Ellouhoum compte pratiquer dans ses magasins des prix de 5D,200 et de 5D,400 (c’est-à-dire moins de 100 millimes que les prix de référence), et ce, dans le but de rationaliser ceux-ci. La société s’engage aussi à assurer un approvisionnement régulier dans son point de vente jusqu’au jour qui précède l’Aïd. La société a pu acquérir 4.500 têtes auprès des éleveurs au cours des derniers jours et elle compte en acheter d’autres prochainement, question de satisfaire la demande. Attendre les derniers jours avant d’acheter D’autre part, la même société a programmé l’importation de 3.000 carcasses provenant d’Irlande pour renforcer l’offre. Le point de vente de la société, situé à El Ouardia, sera ouvert aux consommateurs. Les points de vente relevant de la société Ellouhoum ou ceux qui sont gérés sous la tutelle du Groupement interprofessionnel des viandes rouges et du lait seront ouverts le 22 décembre, soit dix jours avant l’Aïd. On a programmé aussi l’ouverture d’un nombre de points de vente aménagés dans le district de Tunis (El Ouardia, El Mourouj, Ariana et La Manouba). L’offre est donc considérée comme satisfaisante dans les marchés aux bêtes situés dans les zones de production à Sidi Bouzid, Kairouan, Le Fahs, Le Kef, Siliana…C’est, en tout cas, ce qu’a déclaré M. Ali Gharbi, directeur du contrôle économique au ministère du Commerce et de l’Artisanat, lors d’une rencontre avec la presse. Et d’ajouter que «l’augmentation de l’offre se fait d’une façon progressive au marché d’El Ouardia». Cependant, plusieurs consommateurs n’ont pas jugé encore le moment opportun pour acheter. Le marché se caractérise par une certaine stagnation imputée notamment au fait que les commerçants craignent une chute des prix à l’instar de ce qui s’est passé les deux derniers jours de l’Aïd de l’année passée. Aussi, certains consommateurs préfèrent acheter leur mouton au cours des derniers jours. Cela ne les empêche pas de visiter les points de vente, de marchander avec les vendeurs pour avoir une idée de la qualité des moutons et des prix. Un programme de contrôle, élaboré par le ministère du Commerce et de l’Artisanat pour l’Aïd El Idha, est entré en exécution depuis la mi-novembre pour assurer le suivi de l’approvisionnement et avoir une vision claire du marché dans le cadre d’une transparence totale des transactions. Ledit programme – qui couvre toutes les zones de production et les marchés des animaux – est exécuté par des équipes de contrôle économique et des équipes communes (commerce-intérieur) pour agir efficacement. D’ailleurs, ces équipes ont effectué, au cours des derniers jours, près de 2.500 visites qui ont permis de relever 25 infractions relatives notamment à la pratique de l’activité de vente d’une façon illégale ou à des comportements portant atteinte à la marche ordinaire des transactions qui se basent sur le principe de l’offre et de la demande. Un numéro vert est mis à la disposition des consommateurs pour recevoir leurs doléances et leurs remarques, à savoir le 80.100.191. Un service de permanence est mobilisé au ministère tous les jours y compris le dimanche. Chokri GHARBI http://www.lapresse.tn/index.php?opt=15&categ=1&news=40381

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La guerre n'est pas encore gagnée pour Madame Payette

Octroi d'un financement au Conseil canadien du porc Ottawa (Ontario), 21 décembre 2006 - L'honorable Chuck Strahl, ministre de l'Agriculture et de l'Agroalimentaire et ministre de la Commission canadienne du blé, a annoncé l'octroi d'un financement à hauteur de 184 720 $ au Conseil canadien du porc pour la mise en oeuvre d'un nouvel outil d'évaluation destiné à aider les producteurs à évaluer et améliorer les soins qu'ils donnent aux animaux dans leur exploitation agricole. « Le nouveau gouvernement du Canada est déterminé à promouvoir la salubrité et la qualité des aliments offerts à la population canadienne, a déclaré le ministre Strahl. Le financement de ce projet novateur apportera aux exploitants de fermes porcines du Canada les meilleurs outils d'évaluation pour les aider à satisfaire aux exigences propres à leur exploitation et améliorer la qualité des soins qu'ils donnent aux animaux. » Au cours des trois dernières années, le Conseil canadien du porc a dû répondre à de nombreuses questions de la part des détaillants en alimentation, des chaînes de restauration, des entreprises de transformation de la viande et des organismes pour la protection des animaux. Plusieurs entreprises de transformation de la viande font l'objet de vérifications de la part des grandes chaînes de restauration, qui veulent s'assurer que sont utilisées des techniques convenables pour la surveillance et le soin des animaux. Grâce à ce nouvel outil d'évaluation, les consommateurs seront convaincus que les porcs sont traités correctement durant toute leur vie. Le Programme Bien-être animal (BEA) permettra aux valideurs d'examiner les pratiques qu'appliquent les producteurs de porc et d'aider ces derniers à démontrer leur façon de pourvoir au bien-être des animaux. Cet outil vise à aider le secteur à accroître la qualité marchande du porc canadien tant sur le marché intérieur que sur le marché à l'exportation. Le Conseil canadien du porc se chargera du peaufinage et de la distribution du matériel relatif au BEA destiné aux producteurs de porc de toutes les régions du Canada afin de les encourager à participer et de les sensibiliser au Programme. Il élaborera aussi des programmes de formation adéquats. « Nous sommes très contents de l'intérêt que porte le gouvernement fédéral à ces travaux, a déclaré Edouard Asnong, président du groupe de travail sur les soins des animaux du Conseil canadien du porc. Le BEA est une initiative très intéressante. Il offre aux producteurs les outils dont ils ont besoin pour assurer la qualité des soins aux animaux à la ferme et déterminer si les exigences établies ont été respectées. » Le Conseil canadien du porc obtient le financement de cette initiative dans le cadre du Programme pour l'avancement du secteur canadien de l'agriculture et de l'agroalimentaire (PASCAA) d'Agriculture et Agroalimentaire Canada. Le Conseil canadien du porc est une association nationale qui représente les intérêts de 13 000 producteurs de porc du Canada. Site(s) extérieur(s) cité(s) dans cet article : Agriculture Canada http://Aceis.AGR.CA/