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  1. PHARMACOLOGIST PLANS TO SET UP ANIMAL TESTING LAB IN TAIWAN 2006-12-20 17:23:14 New York, Dec. 20 (CNA) A Taiwanese clinical pharmacologist working with a leading American pharmaceutical company is planning to set up a pre-clinical trial animal testing lab in Taiwan to win out-sourcing contracts from international pharmaceutical companies. Tsang-Bin Tzeng, senior director of the Clinical Pharmacology Department of AstraZeneca, headquartered in Delaware, told Taiwanese investment and trade representatives in New York that the timing is right for Taiwan to have animal testing labs, as most of the international pharmaceutical firms are outsourcing clinical trial works overseas, especially in Asia. Tzeng recently made a trip to Taiwan to visit science and technology parks in Taipei, Hsinchu and Tainan, as well as the export processing zone in Kaohsiung. He said he was impressed by the facilities as well as the government's incentives for investors. He pointed out that with a qualified biotechnology work force and management personnel, Taiwan has an advantage in entering the pre-clinical trial animal testing business. He added that with the establishment of a large lab with up to 3,000 workers, Taiwan can gross 20 percent of the market and the lab may have annual revenue amounting to between US$1.5 billion and US$2 billion. (By Lillian Lin) ENDITEM/J http://www.cna.com.tw/eng/cepread.php?id=200612200024
  2. 27 décembre 2006 - 11:43 (Par Pierre Melquiot) Coup d'arrêt à la sélection des chiens en Chine après les protestations internationales IFAW tenait à remercier les personnes pour les milliers de lettres reçues du monde entier des amis des animaux, y compris de Chine, qui ont permis l'arrêt officiel des mesures de répression anti-chien à Pékin. Selon le « South China Morning Post », le Président chinois Hu Jintao s'est déclaré « malheureux des plaintes et de l'importance prise par cet événement dans les médias internationaux » et a décidé de mettre fin à ces mesures. Les mesures de répression ont commencé à Pékin à la fin du mois d'octobre. En réponse IFAW (Fonds international pour la protection des Animaux) et d'autres groupes ont organisé une campagne de protestation et d'envois de lettres aux diverses autorités de Pékin (Département de la police, bureau du maire et Comité d'organisation des Jeux Olympiques) aussi bien qu'aux organismes internationaux basés hors de Chine (Ambassades chinoises et Comité Olympique International). La masse de lettres, qui est venue du monde entier, y compris une lettre qui a été signée par 60.000 amis des animaux en Chine, a fait pression sur la police et permis l'arrêt des mesures de répression. Cette information a été confirmée à IFAW par le Bureau de Police de Pékin. « IFAW accueille avec enthousiasme la décision d'arrêt des mesures de répression prise par le Président Hu Jintao. Elle montre que le Président comprend le sens du lien très spécial qui unit les gens à leurs compagnons animal et que ces mesures concernant les chiens sont contreproductives pour la réalisation de l'harmonie sociale, » a dit Grace Ge Gabriel, Directeur de IFAW-Asie, qui a été invitée par la police à visiter la fourrière, « IFAW espère maintenant que le gouvernement chinois passera à l'étape suivante et travaillera à la réforme des règlements concernant les chiens afin de promouvoir la responsabilité des propriétaires et permettre à Pékin d'accueillir les Jeux Olympiques en 2008 en ayant un règlement humain établi sur des bases scientifiques. » Les mesures de répression de Pékin comprenaient la confiscation des chiens non autorisés ou dont la taille était supérieure à 35cm. IFAW a vivement recommandé à la police de rendre les chiens confisqués à leurs propriétaires légitimes, avec des pénalités pour les propriétaires irresponsables. De plus, IFAW a promis de soutenir les autorités chinoises dans la présentation d'amendements au Règlement sur les Chiens de Pékin pour le rendre plus humain et plus réaliste pour les propriétaires. Les changements suggérés par IFAW incluent : La suppression de la limite de taille de 35cm : la limite de taille n'a aucune base scientifique. On ne peut pas juger du tempérament d'un chien à sa taille. La limite de taille rend le règlement difficile à mettre en application ; Normaliser le comportement des hommes, pas des chiens ; Réglementer le commerce et les marchés : Le commerce non contrôlé est la cause principale des problèmes de surpopulation des chiens. IFAW recommande aussi vivement au gouvernement chinois de promulguer une législation nationale pour prévenir la cruauté envers les animaux. http://www.actualites-news-environnement.com/20061227-arret-selection-chiens-chine.php
  3. UNE CHAÎNE DE RESTAURANTS CONTRE LA CHASSE AUX PHOQUES Le boycott des fruits de mer s'amplifie La Presse Les opposants à la chasse aux phoques ont reçu tout un cadeau quelques jours avant Noël. L'auteur-compositeur américain Jimmy Buffett, propriétaire de la chaîne de restaurants Margaritaville Cafes, a décidé de ne plus servir de poissons et de fruits de mer canadiens dans ses établissements tant que le Canada n'interdira pas la chasse aux phoques sur son territoire. Jimmy Buffett se joint ainsi à la campagne de la Human Society des États-Unis (HSUS), qui invite depuis plusieurs mois les restaurateurs à boycotter les produits de la mer canadiens pour dénoncer la chasse aux phoques, «qui tue 325 000 phoques, dont plus de 97 % de blanchons». «Jusqu'à maintenant, 2500 restaurants et particuliers se sont joints à notre initiative. L'appui de M. Buffett nous satisfait au plus haut point, car c'est une vedette très connue partout dans le monde», affirme la directrice de la campagne de protection des phoques de la HSUS, Pat Ragan. Depuis le 18 décembre, la dizaine de restaurants Margaritaville Cafes de Jimmy Buffett, situés dans le sud des États-Unis, au Mexique et en Jamaïque, n'achètent plus de poissons ou de fruits de mer canadiens. Les fameux gâteaux au crabe, les crevettes sautées et les filets de morue panée de cette chaîne en pleine expansion sont maintenant fabriqués à partir de produits provenant de partout dans le monde, sauf du Canada. Ottawa ne fléchit pas Dans une lettre publiée le 18 décembre, Jimmy Buffett explique son geste : «Mon but n'est pas de dire au Canada comment administrer ses affaires. Je vois plutôt cela comme un effort pour que les humains deviennent plus humains dans la façon dont ils gèrent la planète. La Terre ne nous appartient pas. Nous sommes des locataires et nous devons simplement faire un meilleur travail pour toutes les créatures de la planète», déclare M. Buffett. Le compositeur des chansons Margaritaville et Come Monday annonce aussi que son boycottage se poursuivra «tant que le gouvernement canadien ne se décidera pas à interdire la chasse aux phoques». Mais le jour où les restaurant Margaritaville serviront à nouveau du poisson canadien pourrait bien ne jamais arriver. Le gouvernement canadien n'a pas l'intention d'interdire la chasse aux phoques de sitôt. «Cette pratique est régulée et nous estimons que c'est un excellent usage de nos ressources naturelles. Ça va continuer», dit le directeur des communications du ministère des Pêches et Océans, Steve Outhouse. Selon lui, le boycottage de la HSUS n'a que des «effets marginaux» sur l'industrie canadienne des pêches. La HSUS, qui croit que la chasse aux phoques n'est qu'une pratique cruelle et inutile, n'a tout de même pas l'intention de baisser les bras. «Notre but est de sensibiliser le plus de gens possible. C'est pourquoi nous allons continuer de bouder les produits de la mer canadiens tant que le gouvernement ne réagira pas», dit Mme Ragan. http://www.cyberpresse.ca/article/20061230...1020/CPSCIENCES
  4. Mise à jour le dimanche 31 décembre 2006 Les restaurants Margaritaville Cafe boycottent les produits canadiens La demande de boycottage des produits canadiens, suggérée par la Humane Society des États-Unis pour faire arrêter la chasse aux phoques, a trouvé un nouvel adepte. L'auteur-compositeur américain Jimmy Buffett, propriétaire de la chaîne de restaurants Margaritaville Cafe, ne sert plus de fruits de mer ou de poissons canadiens dans ses établissements depuis le 18 décembre. La chaîne exploite des restaurants aux États-Unis, au Mexique et en Jamaïque. Jusqu'à maintenant, 2500 restaurants ou particuliers ont répondu à l'appel de l'organisme américain pour la défense des animaux. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/regional/modele.asp?page=/regions/est-quebec/2006/12/31/002-phoque-buffet.asp
  5. Le dimanche 31 décembre 2006 Photo AP FÊTE D'AÏD AL-ADHA Des centaines de sacrificateurs maladroits blessés Agence France-Presse Ankara Des centaines de sacrificateurs maladroits se sont rués dimanche dans les hôpitaux à travers la Turquie pour soigner des coupures au couteau plus ou moins graves qu'ils se sont infligées à l'occasion de la fête du Sacrifice, Aïd al-Adha. Au moins 1179 personnes ont été traitées dans les services d'urgence de nombreuses villes, la plupart souffrant de blessures à la main ou au pied reçues par maladresse ou à cause d'un animal trop agité qu'ils s'apprétaient à sacrifier, a rapporté l'agence Anatolie. Quatre personnes ont été assez grièvement blessées par des bovins qui se sont renversés sur eux, selon l'agence. Trois autres personnes ont succombé à des crises cardiaques en tentant de contrôler les animaux. À l'instar des années passées, certaines grandes municipalités ont mis en place des équipes chargées de capturer les taureaux révoltés à l'aide de pistolets et de fusils à seringue hypodermique. Lors de cette importante fête musulmane de quatre jours, qui a débuté dimanche en Turquie, les fidèles sont appelés à égorger un ovin ou un bovin pour commémorer le sacrifice d'Abraham. Mais chaque année, des incidents, parfois marqués par des blessures graves, ont lieu lorsqu'un taureau furieux s'échappe des mains de son propriétaire. http://www.cyberpresse.ca/article/20061231/CPMONDE/61231024/1014/CPMONDE
  6. L'INRA accusé de connivence avec la filière du foie gras Article paru dans l'édition du 30.12.06. Chaque année, en France, 30 millions de palmipèdes - essentiellement des canards - sont gavés pour produire du foie gras, mets de choix des repas de fête. Le gavage consiste à provoquer une hypertrophie du foie en introduisant, sur une douzaine de jours, de grandes quantités de maïs dans l'estomac de l'animal, à l'aide d'un tuyau, l'embuc. Les associations de défense des animaux dénoncent cette pratique, jugée préjudiciable au bien-être du volatile. Pour combattre leurs arguments, les producteurs de foie gras se retranchent derrière des travaux de l'Institut national de recherche agronomique (INRA). Il se trouve que les études en question sont pour partie (jusqu'à 20 %) financées par le Comité interprofessionnel des palmipèdes à foie gras (Cifog), qui promeut la filière. Dans un ouvrage très documenté, intitulé L'INRA au secours du foie gras (Editions Sentience, 274 p., 25 €), Antoine Comiti, président de l'association Stop-Gavage, décortique la façon dont certains chercheurs s'ingénient, à son sens, à produire des données dédouanant cet élevage intensif. M. Comiti note que ces travaux visent à contredire les conclusions d'une étude publiée en 1998 par des experts auprès de la Commission européenne, qui condamnait le gavage et avait inspiré des recommandations du Conseil de l'Europe édictées en 1999. Celles-ci interdisaient le gavage dans les pays où il n'était pas encore pratiqué, prohibaient l'usage de petites cages individuelles et réclamaient des études sur des méthodes alternatives. MORTALITÉ ÉLEVÉE Dans une synthèse des travaux de l'INRA sur la question, présentée en 2004, des chercheurs de l'Institut concluaient que le gavage "n'apparaît pas comme un générateur important d'informations nociceptives (de douleur)", conclusions fondées sur le comportement des palmipèdes et la mesure d'hormones de stress. "Il s'agit de pseudo-science et de recherches d'opportunité, conduites par des chercheurs élevés dans le moule de la production animale", tranche Robert Dantzer, tout juste retraité de l'INRA, où il était précisément spécialiste de ces hormones de stress. M. Dantzer, qui figurait parmi les auteurs du rapport européen de 1998, estime qu'"on ignore si la molécule en question est pertinente chez le canard en phase de gavage". En revanche, note-t-il, il existe un indicateur de bien-être animal fort lisible, que ses collègues négligent curieusement : celui de la mortalité. Les chiffres sont pourtant disponibles, fournis par les professionnels. En 2002, après 13,4 jours de gavage en moyenne, 3 % des animaux (soit près d'un million) étaient morts, "une proportion six fois plus élevée que chez leurs congénères en élevage classique", rapporte Antoine Comiti. "Pour le porc, lors des trois premières semaines de vie, la mortalité peut atteindre 12 %", relativise, curieusement, Patrick Herpin, directeur scientifique adjoint à la production animale. Il rappelle que l'INRA dispose d'un comité d'éthique et d'un groupe baptisé Agri bien-être animal. En 2006, ce réseau de chercheurs disposait d'un budget de 5 400 euros, "totalement insuffisant pour conduire des recherches autonomes", déplore Antoine Comiti. Conscient que sa proximité avec le monde agricole peut engendrer des conflits d'intérêt, l'INRA prévoit, depuis plusieurs années, d'élaborer une charte de partenariat socio-économique et d'instaurer un système de "déclaration d'intérêt" pour ses chercheurs. Dans l'immédiat, la direction scientifique a proposé un rendez-vous, le 24 janvier, à Antoine Comiti. Végétarien revendiqué, le président de Stop-Gavage estime que des connivences existent avec d'autres filières de production animale et souhaite, à travers l'exemple du gavage, "poser la question de ce qu'il est légitime de faire aux animaux pour les manger". H. M. http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3228,36-850337@51-850420,0.html
  7. 22 décembre 2006. Les supermarchés « De Bijenkorf » ont mis fin cette semaine à la vente du foie gras (pâté à base de foie d'oie ou de canard) après avoir reçu une lettre de la Fondation « Wakker Dier ». La nouvelle a été annoncée vendredi par « Wakker Dier » et « Bijenkorf ». Dans cette lettre la fondation expliquait comment les oies et les canards sont gavés de force pour produire le foie gras. Un porte-parole de « De Bijenkorf » déclare : « Nous sommes reconnaissants à Wakker Dier pour leur avertissement. Nous sommes d'accord avec eux que les méthodes de production du foie gras sont indéniablement contraires aux droits des animaux. « De Bijenkorf » est attentif à l'origine des articles, qui doivent être produits de manière responsable. Mais comme nous vendons environ 40.000 articles, il arrive parfois que quelque chose échappe à notre attention » déclare le porte-parole. Selon une enquête de la Fondation « Wakker Dier » les consommateurs estiment que ce pâté est le plat le plus à déconseiller pour un menu de Noël. Plusieurs sociétés commerciales (parmi lesquelles des restaurants et des supermarchés) avaient déjà décidé auparavant de ne plus commercialiser ce produit. La production de foie gras est interdite aux Pays-Bas. http://vroegevogels.vara.nl/portal?_scr=news_newsitem1&id=238359 Source: ANP
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    « Conflit de canard »

    Le Canard Enchaîné – 27 décembre 2006 Rubrique « Conflit de canard » Gavons-nous ! Le monde entier a beau nous montrer du doigt. Aux Etats-Unis, des villes telles que Chicago ont beau interdire le foie gras dans les restaurants, le gavage des oies et des canards y étant considéré comme un « acte de cruauté ». Pour cette même raison, Israël a beau avoir décidé au printemps dernier de stopper sa production... Qu’à cela ne tienne, le foie gras, élevé par les parlementaires français au rang de « patrimoine culturel et gastronomique protégé », marche du tonnerre. En vingt ans, ses ventes ont plus que doublé, et cette année la production française va encore faire un bond de 3 à 4 %. Rien que dans l’Hexagone, on en avale 21 700 tonnes par an. Et les Chinois, cette fois, ne sont pas près de nous piquer le marché puisque cet Himalaya de foie gras est « fabriqué » à 90 % par des oies et des canards français. La filière (1,5 milliard de chiffre d’affaires, 30 000 emplois et deux poids lourds : Labeyrie et Monfort) a bien eu la chair de poule quand, en février dernier, un élevage de dindes dans l’Ain a chopé la grippe aviaire. Pendant trois mois, cinquante pays (soit la moitié de nos clients) ont boudé notre foie gras. Mais dès la réouverture des frontières les achats sont repartis de plus belle. Tout irait donc pour le mieux dans le meilleur des mondes s’il n’y avait ces casse-pieds de l’association Stop Gavage. Ces traîtres à la patrie viennent d’éditer un rapport qui met le doigt là où ça fait mal : les conflits d’intérêts entre la filière foie gras et l’Institut de recherche en agronomie (Inra). On y apprend que le Comité interprofessionnel des palmipèdes à foie gras finance largement les recherches de l’Inra sur le bien-être animal. Or c’est grâce aux péremptoires conclusions de l’Inra (« aucun élément scientifique » ne permet de dire que le gavage « est une source de mal-être animal ») que la filière a pu canarder le rapport de la Commission européenne, qui dès 1998 condamnait le gavage, au nom de la souffrance des palmipèdes. En France, les conflits d’intérêts, ça fait aussi partie du patrimoine...
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    Tractage

    Parmi les insignifiantes, en voici quelques-unes: «Non mais ça s'peut-tu !» «Vous avez vraiment du temps à perdre ! » «Pourquoi vous faites rien contre la cruauté envers les humains à la place » ? «Oui j'en mange du foie gras, pis j'aime ça» - Lorsque je lui ai demandé s'il savait comment il était fait, sa réponse a été: «Oui j'le sais, pis ça me dérange pas pantoute !» «Franchement ! Ben oui j'mange du foie gras ! C'est ben moins cruel que l'élevage des poules ! Pourquoi vous faites rien contre l'élevage des poules et pour les humains ? » «Je travaille là-d'dans ! Les animaux sont bien traités ! On a des bons artisans au Québec» ! «C'est donc ben niaiseux votre affaire ! Oui on mange du foie gras pis on adore ça à part ça !» «Moé j'mange du foie gras, pis j'men va justement m'en acheter »
  10. Animal

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    Non Cé, car ils avaient l'air très enragés après nous autres ! Ils gueulaient quasiement ! J'aurais eu envie de les traiter de vieilles pédales merdeuses mais je me suis retenue, car ce soir je serais probablement en tôle.... J'espère que Karyne restera dans les environs ! Car si elle ne trouve pas de boulot à Montréal, il est possible qu'elle parte en région
  11. surtout dans ces endroits secs et surchauffés comme le sont la plupart des animaleries, les animaux ont besoin d'eau en tout temps. Ils devraient pouvoir y avoir accès jour et nuit... Ma minouche boit souvent la nuit: C'est même durant la nuit qu'elle boit le plus ! J'ai hâte de voir leur réponse Linda
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    Je l'espère Cé ! Car dans le moment, elle ne fait pas trop bonne figure pour le végétarisme... Moi qui me trouvait énorme, je me suis sentie toute petite aujourd'hui à ses côtés... Mais ça ne lui enlève pas sa gentillesse ! J'ai beaucoup aimé Karyne aussi ! Elle est très sympathique et très au courant de ce qui se passe dans le domaine
  13. Animal

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    Veux-tu que je mette les photos sur le site Cé avec mention: texte à venir ?
  14. Je me demande combien d'agneaux ou de moutons seront sacrifiés ici même au Canada.... On est bien muets sur ce sujet en ce moment !
  15. Animal

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    HAHAHHAHAHAH Oui je crois savoir de qui tu parles Cé... J'ai vaguement entendu cette conversation
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    Elle est pas p'tite Sylvie hein Cé ?
  17. Animal

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    Celle qui m'a écoeurée le plus c'est cette jeune femme en manteau de fourrure qui m'a dit "que tout était fait dans les règles et qu'on avait de très bons artisans au Québec" Je l'aurais battue la *&?%""*&*$& Elle n'a pas voulu s'arrêter pour avoir notre version ou encore ces 2 tapettes dont l'une était aussi en gros manteau de fourrure (ça ressemblait à du castor) et il et elle nous ont traitées de niaiseuses!
  18. Animal

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    Exuse-moi Cé, j'étais au tel. Il n'arrête pas de sonner depuis après souper Yé ! J'ai réussi à me rebrancher, Do !!! Encore tout à l'heure, ça ne fonctionnait pas. Eh ! bien ! De notre côté, on n'a vraimetn pas eu autant de commentaires aussi négatifs. David m,a dit la même chose ! Il en a entendu plusieurs luui aussi J'ai visionné une partie du film. Pour l'écoute, c'est zéro, il y a trop de bruits de fond. Pour les images, un peu embrouillées mais j'ai dû interrompre le visionnement car je reçois un message de "condensation". La caméra a pris de l'humidité à cause de la neige... >Ah c'est dommage Cé ! Mais ça t'a quand même fait pratiquer ! Tes photos sont bien ma belle Do. C'est dommage qu'on ne voit pas trop David, et non plus Karine... ou presque pas... Je ne suis pas sur les photos non plus...
  19. Animal

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    Commentaires reçus aujourd'hui: commentaires reçus aujourd'hui: «Non mais ça s'peut-tu !» «Vous avez vraiment du temps à perdre ! » «Pourquoi vous faites rien contre la cruauté envers les humains à la place » ? «Oui j'en mange du foie gras, pis j'aime ça» - Lorsque je lui ai demandé s'il savait comment il était fait, sa réponse a été: «Oui j'le sais, pis ça me dérange pas pantoute !» «Franchement ! Ben oui j'mange du foie gras ! C'est ben moins cruel que l'élevage des poules ! Pourquoi ne faites-vous rien contre l'élevage des poules ? » «Je travaille là-dedans ! Les animaux sont bien traités ! On a des bons artisans au Québec» ! «C'est donc ben niaiseux votre affaire ! Oui on mange du foie gras pis on adore ça à part ça !» «Oui je mange du foie gras, pis j'men va justement m'en acheter »
  20. Allo ma belle Cé, Voici les quelques photos que j'ai prises aujourd'hui:
  21. Pauvre petit ange ! Comme c'est triste !
  22. 29 décembre 2006- Une banquise d'une superficie d'environ 66 kilomètres carrés dérive dans l'Arctique canadien, laissant derrière elle une traînée d'icebergs. Selon un chercheur de l'Université d'Ottawa, Luke Copland, l'amas de glace équivalant à 11 000 terrains de football se serait détaché de la côte de l'île d'Ellesmere, quelque 800 kilomètres au sud du pôle Nord, en moins d'une heure, le 13 août 2005. Le phénomène a émis une telle énergie qu'il a été détecté par des appareils sismologiques à 250 kilomètres de là. La vitesse à laquelle il s'est produit ne manque d'ailleurs pas d'étonner les scientifiques. Ils estiment qu'il s'agit du plus important événement du genre à être survenu dans les trente dernières années. Selon eux, le réchauffement de la planète en serait en grande partie responsable, mais les données dont ils disposent ne leur permettent pas de l'affirmer. Selon Warwick Vincent, un professeur de biologie à l'Université Laval qui s'est rendu sur les lieux, ce n'aurait pas été différent si un missile cruise s'était abattu sur la côte de l'île d'Ellesmere. Cette masse immense pourrait éventuellement constituer une menace pour les plateformes pétrolières. Elle mesure 15 kilomètres de long par 5 kilomètres de large, et son épaisseur varie entre 30 et 40 mètres. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/National/2006/12/28/003-ellesemere-banquise.shtml
  23. Ajouter un commentaire - Lire les commentaires http://www.cyberpresse.ca/apps/pbcs.dll/section?Category=CPBLOGUES14 Le jeudi 28 décembre 2006 Frankenbouffe : êtes-vous prêts pour un steak de boeuf cloné? La FDA américaine, sorte de Santé Canada de nos voisins, vient de décréter que la viande et le lait d'animaux clonés ne sont pas néfastes à la santé humaine. Pause. Poils qui se dressent sur les bras. Images de films d'horreur (bras qui poussent dans le front, enfants devenant zombies). Je vous entends saliver d'ici. Mioum, n'est-ce pas ? L'affaire, bien sûr, c'est que Santé Canada s'aligne généralement sur la FDA pour l'homologation de médicaments et d'aliments. Bon, mettons que de manger de la bouffe provenant de bêtes n'ayant ni père ni mère, de créatures créées en laboratoire, quoi, peut sembler vaguement contre-nature. Surtout qu'il semble que la FDA n'obligera ni les producteurs de Frankenbouffe ni les supermarchés à identifier les aliments clonés. D'un côté, comme je dis, c'est contre-nature. De l'autre, on se dit que ces gens-là doivent bien savoir ce qu'ils font (puis, on se souvient que la FDA a autorisé la mise en marché du Vioxx, causant de nombreux décès). Ce scientifique américain, lui, nous dit de ne pas capoter avec la bouffe clonée. Le vin qu'on boit, dit-il, contient déjà des raisins clonés, par exemple. Et s'il faut vraiment capoter, poursuit-il, aussi bien le faire pour les bonnes raisons et blâmer les agences de santé publique de ne pas envoyer suffisamment d'inspecteur dans les usines de transformation de viande pour véiter les contaminations à la salmonelle et à la bactérie E.coli, bien réelles, bien tangibles, bien mortelles... Mouais. Je n'ai pas plus d'appétit. Au resto, bientôt : – La cuisson de votre filet mignon, Monsieur ? Saignant ? Bien cuit ? – Bien cloné, mon brave. Ok, elle est plate. Mais quand même... http://www.cyberpresse.ca/apps/pbcs.dll/section?Category=CPBLOGUES14
  24. «Il avait demandé à son père de venir bûcher avec nous, raconte Yves Côté. On coupait du bois pour se faire un chemin et installer une cache de chasse.» Le vendredi 29 décembre 2006 Mordu de la nature, Vincent Côté adorait aider son père et ses oncles à travailler sur la terre familiale. Un hobby qui lui a coûté la vie: l'adolescent de 14 ans a été tué par la chute d'un arbre qui venait d'être scié, la veille de Noël. photo Janick Marois Un adolescent écrasé par un arbre Karine Blanchard La Voix de l'Est Roxton Falls Le temps des Fêtes a été pénible pour une famille de Roxton Falls. La veille de Noël, Vincent Côté, 14 ans, a été tué par la chute d'un arbre que son père venait de couper. L'adolescent accompagnait son père François Côté et deux de ses oncles, Yves Côté et Daniel Plante, pour abattre quelques arbres à l'extrémité de la terre familiale, rue Sainte-Thérèse, quand l'accident s'est produit. «Il avait demandé à son père de venir bûcher avec nous, raconte Yves Côté. On coupait du bois pour se faire un chemin et installer une cache de chasse.» L'arbre qui venait d'être scié par son père est tombé sur un autre arbre. Il a ensuite basculé et violemment frappé la tête du jeune Roxtonnois. La suite dans La Voix de l'Est de vendredi. http://www.cyberpresse.ca/article/20061229/CPACTUALITES/612290636/5054/CPVOIXEST
  25. 29/12/06 Laisser un commentaire Les animaux de compagnie ne sont pas les meilleurs cadeaux La Société protectrice des animaux de la Mauricie s'attend à recevoir quelques retours de cadeaux de Noël au cours des prochains jours. Par Pascal Bernier-Robidas Coûtant plusieurs dizaines de dollars, les animaux de compagnie ne peuvent pas toujours rester entre les mains de leur propriétaire. Trop souvent, les gens sous-estiment les frais et le temps qu'il faut investir pour éduquer convenablement l'animal qui offert en cadeaau. «À la seconde où vous avez un animal de compagnie, vous devez prévoir environ 500 $ en soins dès la première année. C'est sans compter les chirurgies pour, par exemple, le faire stériliser», a expliqué Geneviève Pratte, technicienne en santé animale à la SPA de la Mauricie. «Pour éduquer un chiot, il faut compter sur une année complète. C'est assez intensif. Sinon, il aura des problèmes de comportements. C'est la première cause d'abandon lorsqu'on en reçoit dans nos salles d'adoption. Mais, les gens ne pensent pas à tout le temps qu'il faut investir lorsque nous devenons propriétaires. Ce sont des êtres vivants et il faut s'en occuper», a-t-elle souligné. Au cours des derniers jours, une cliente a dû déposer à la salle d'adoption de la SPA un chiot valant entre 400 $ et 500 $. Le propriétaire de l'animal n'en a pas voulu lorsqu'elle lui a offert. La Société protectrice des animaux était donc la dernière solution après que l'animalerie eut refusé de reprendre le chiot. «Dans ce cas-ci, la dame nous a dit qu'elle avait retenu la leçon. En plus de payer pour obtenir l'animal, elle a dû assumer tous les frais qui ont suivi pour qu'elle puisse ne plus l'avoir. Il faut y penser avant d'acheter. Les gens se laissent séduire par les animaux lorsqu'ils sont petits, mais ils finissent par grandir», a-t-elle rappelé. Engagement Toujours selon la Société protectrice des animaux, l'espérance de vie des chiens varie de 10 à 15 ans, alors que celle des chats varie de 15 à 20 ans. Il va sans dire que l'entretien de ces animaux de compagnie est un réel engagement. «Ce n'est pas rien. En considérant l'espérance de vie d'un chat, une jeune femme de 20 ans vivra avec son animal jusqu'à l'âge de 40 ans. Ça en fait du temps!», a fait remarquer Mme Pratte. «Nous voyons arriver les gens qui ne sont pas prêts à s'embarquer dans de tels engagements au retour des Fêtes. Entre Noël et le jour de l'An, ce sont les enfants en vacances qui s'en occupent. C'est pas si mal jusqu'à la rentrée en classe. Habituellement, les parents retombent vite sur Terre.» http://journaldetroisrivieres.canoe.ca/journaldetroisrivieres/2006/12/29/les_animaux_de_compagnie_ne_sont_pas_les
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