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Martin Lavigne chasseur professionnel (Québec)
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Des armes et de la chasse... Jean Pagé Il y a dans la nature de l’Homme des besoins physiologiques dont il ne peut se dissocier: la nécessité de consommer des protéines trouvées dans la viande, tout comme celle d’ingérer des végétaux. Il y a des millénaires, si la créature dite Homo sapiens, que nous sommes, pouvait cueillir des plantes et couper des arbres pour répondre à ses besoins, elle réalisait aussi que des animaux étaient placés dans son entourage et qu’ils devaient lui servir à bon escient. Des bêtes étaient donc mises à mort, afin de fournir les éléments nutritifs dont elle avait besoin. Aucune loi, pas plus celle de Moïse que d’autres, stipulèrent que nous devrions nous en tenir aux animaux domestiques puisque, à l’origine, les bêtes existaient, mais uniquement à l’état sauvage. Ce furent les Hommes qui leur enlevèrent la liberté afin de les asservir, les abrutir, les engraisser et par la suite les saigner, de là, manger leur chair et se vêtir de leurs peaux. Devrions-nous croire que cette habitude de mise à mort acquise depuis des millénaires est un geste louable? Voilà l’esquisse de tous les humains, qui vécurent et vivent sur cette terre. Le chasseur est noble ... ... http://legrandclub.rds.ca/profils/JeanPage/posts/search?search%5Bq%5D=oies+blanches&search%5BsearchType%5D=1&search%5Bsearch_space%5D=recherche_tags ---------------------------------------------------------------- Du même auteur, voir aussi: Il était un loup, un chevreuil et un caribou ... Protéger les caribous = contrôler les loups La prédation par les loups à l’endroit des caribous est bien normale et tous l’acceptent, dans nos régions nordiques. Les troupeaux de caribous comptent des milliers et milliers de têtes, le prélèvement par les canidés, que sont les loups, ne semble pas affecter cette myriade de cervidés. Lorsqu’il est sujet d’un petit troupeau, comme celui de la région abitibienne, qui a de nombreux problèmes au point d’être menacé d’extinction, un contrôle local des loups n’est certainement pas un sacrilège. Il y en a plusieurs qui semblent souffrir du "Bébé Bardot…isme ". Des trappeurs professionnels comme les Matte, Charbonneau et autres pourraient très bien rectifier une situation très régionale. C’est au ministère responsable de la faune de nous révéler son existence. Dans cette région, il en a déjà eu à son service des spécialistes du piégeage, il n’a qu’à en embaucher avant qu’il ne soit trop tard! Qu’en pensez-vous ? http://legrandclub.rds.ca/profils/JeanPage/posts/94432
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Miss Monde 2010 est américaine et végétarienne...
Animal a posté un sujet dans ANIMAUX - Amérique du Nord
Miss Monde 2010 est Alexandria Mills, une Américaine de 18 ans Photos : Miss World dimanche 31 octobre 2010, par Staff Culturefemme La Miss Monde 2010 s’appelle Alexandria Mills, une jeune américaine fan de nourriture italienne, mais qui dit être végétarienne et ne pas manger de viande. Alexandria Mills a été choisie parmi 114 candidates lors du show qui a eu lieu samedi après-midi sur l’île d’Hainan (Chine). Elle succède à Kaiane Aldorino (Gilbratar), Miss Monde 2009. ... http://www.culturefemme.com/article7048.html -
4 novembre 2010 La Cour européenne de justice a débouté des organisations représentant notamment des Inuits du Canada qui s'opposaient à l'embargo de l'UE sur les produits dérivés du phoque, une mesure très contestée aussi par Ottawa qui va désormais entrer pleinement en vigueur. L'embargo européen, en vigueur partiellement depuis le 20 août, est désormais total et s'applique notamment aux seize organisations, dont la principale organisation inuit du Canada, Inuit Tapiriit Kanatami (ITK), qui avaient déposé un recours demandant la suspension de cet embargo. Préjudice financier "La demande en référé est rejetée", a décidé le président du tribunal de la Cour européenne de justice (CEJ) dans un arrêt en date du 25 octobre, qui n'a été communiqué au public que jeudi. L'embargo européen interdit le commerce de produits provenant de toutes les chasses commerciales tout en protégeant la chasse des Inuits et autres peuples autochtones. Le juge a rejeté les arguments des plaignants qui mettaient en avant le préjudice financier imputable à l'embargo ou le risque de suicide des jeunes dans les communautés inuit. "Force est de constater que les requérants qui ont la qualité de personnes physiques n'ont pas fourni, dans la présente demande en référé, d'éléments permettant de déterminer la situation financière réelle de chacun d'entre eux, pris individuellement", a souligné le juge dans son ordonnance. Chasse subventionnée Le magistrat a notamment souligné que la chasse aux phoques était "fortement subventionnée" que ce soit par les autorités du Groenland ou par le gouvernement du territoire du Nunavut au Canada. Les opposants à l'embargo ont encore la possibilité de faire appel. Le Fonds international pour la protection des animaux (IFAW) s'est félicité de la décision de la justice européenne. "Nous sommes heureux que le tribunal ait pris la bonne décision et levé la suspension de l'embargo. Cette interdiction (du commerce des produits dérivés du phoque) porte sur le droit des Européens de dire non à des produits qui proviennent d'une chasse cruelle et inutile", a dit Lesley O'Donnell, directrice de l'IFAW dans l'UE. L'embargo de l'UE, décidé en juillet 2009 sous la pression de défenseurs des animaux qui dénonçaient la "cruauté" des chasseurs, avait été contesté auprès de la CEJ par ITK. La plupart des plaignants représentent les Inuits, un peuple autochtone des régions arctiques, mais certains sont des sociétés de commercialisation de produits dérivés du phoque, tel le Groupe canadien de mise en marché du phoque, l'Institut de la fourrure du Canada et le groupe norvégien GC Rieber Skinn AS. Une association installée au Groenland, la Conférence circumpolaire inuit (ICC), en fait également partie. Tensions Ce dossier empoisonne les relations entre l'UE et le Canada. Le gouvernement canadien, qui a toujours soutenu les chasseurs et condamné l'embargo, a demandé à l'Organisation mondiale du commerce (OMC) de mettre en place un groupe spécial pour régler le différend. La Commission européenne "a pris note" de la décision du tribunal et rappelé que l'embargo décidé par l'UE contient une clause autorisant la vente "à des fins non lucratives" des produits provenant de la chasse traditionnelle pratiquée par les communautés inuits. Les eaux canadiennes comptaient en 2009 quelque 5,6 millions de phoques du Groenland --l'espèce qui constitue le gros de la chasse commerciale-- contre près de deux millions au début des années 1970. Selon Ottawa, 6.000 Canadiens pratiquent cette chasse qui devait leur rapporter environ 10 millions de dollars canadiens, selon les chiffres du gouvernement, dont 25% venant de leurs ventes en Europe. (afp)
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One-quarter of animal mistreatment penalties uncollected, documents show http://www.vancouversun.com/health/quarter+animal+mistreatment+penalties+uncolle\ cted+documents+show/3592877/story.html By Sarah Schmidt, Postmedia News September 29, 2010 a.. Story b.. Photos ( 1 ) Between 2004-05 and 2009-10, the Canadian Food Inspection Agency issued 1,135 violations but only slapped a monetary penalty on 781 cases. After six years, one in four of these fines remain uncollected. Photograph by: Christopher Furlong, Getty Images OTTAWA - The federal government routinely opts against slapping fines on companies that violate animal health rules during the transport of animals destined for slaughter - and when penalties are issued, a quarter remain uncollected. Between 2004-05 and 2009-10, the Canadian Food Inspection Agency issued 1,135 violations but only slapped a monetary penalty on 781 cases. After six years, one in four of these fines remain uncollected. The others - representing 31 per cent of cases - were let off with a warning. Many of these unpaid fines date back to 2004, the government admits in documentation introduced in the House of Commons in response to a question from Quebec Liberal MP Alexandra Mendes. For example, of 189 financial penalties issued in 2004-05, 47 are still outstanding. Of 131 penalties issued the following year, 29 remain unpaid. These penalties - considered by CFIA a "flexible and cost-effective response to violations that do not warrant costly and lengthy court prosecution procedures but are serious enough to pose a risk to our country" - usually range between $2,000 to $3,000, but can be as high as $6,000 per infraction. The government has conceded already that the current regulations fail to take into account current scientific knowledge about animal transportation and food safety, and has vowed to bring in tougher rules. For example, horses, pigs and poultry are allowed to be transported for up to 36 hours without being fed, watered or unloaded to the ground for a rest. For cattle, sheep and goats, the limit is 52 hours. But when unloaded for feed, water and rest, they must remain grounded for at least five hours, and longer if necessary for all of the animals to have access to feed and water. And the industry must allow animals to stand in a natural position, provide adequate bedding and provide drainage and absorption of urine, according to current regulations. Crowding animals to such an extent as to cause injury or undue suffering is not permitted. And transporting sick or injured animals where undue suffering will result is also disallowed. Mendes said CFIA's weak record on enforcement actions goes hand in hand with Canada's weak regulations. "They don't put as much enforcement to this as they should. If they are handing out penalties, they should make sure they are collecting so they work as a deterrent for repeat offences. If they aren't collecting them, I imagine a lot of companies are just saying, 'Well, to hell with it. It's not important,'" said Mendes. The newly released data also show how rare it is for CFIA to pursue more serious enforcement action through criminal prosecutions when these rules are broken. And when charges are laid, the conviction rate is very low. Overall, in the past six years, 101 charges have been laid against individuals or companies, resulting in 13 guilty judgments. There were no charges laid over a two-year period from April 2007 to March 2009. The following year, 74 charges were laid, none of which have resulted in guilty judgments. The documents do not state whether the charges were dropped or whether prosecutions were unsuccessful. The Canadian branch of the World Society for the Protection of Animals, which released a report in June about widespread problems with animal transportation uncovered through CFIA inspection reports, says the newly released data show a weak system of deterrence. "They're not issuing enough for a start and clearly this shows that for the ones that they do issue, they're not collecting. So what kind of a message is that sending to the industry? Ultimately, what we're concerned about is what does that mean for the animals," said Canadian spokeswoman Michelle Cliffe. The revelation comes on the heels of another admission from Agriculture Minister Gerry Ritz, responsible for CFIA, indicating the agency does not know how many inspectors are stationed across the country to make sure animal health rules are followed during the transportation of animals. Ritz tabled this information last week in the Parliament in response to questions from Malcolm Allen, the NDP's food safety critic. -- By the numbers: Fiscal year Total Administrative Monetary Penalties (AMPs) Issued Total AMPs paid 2004/05 259 142 2005/06 186 102 2006/07 145 85 2007/08 174 90 2008/09 190 79 2009/10 181 83 Total 1,135* 581 * Note: A total of 53 AMPs were withdrawn Source: Canadian Food Inspection Agency Read more: http://www.vancouversun.com/health/quarter+animal+mistreatment+penalties+uncolle\ cted+documents+show/3592877/story.html#ixzz14MNZUrYM ---------------------------------------------- Debra Probert Executive Director Vancouver Humane Society 303 - 8623 Granville Street Vancouver, B.C. V6P 5A2 604-266-9744 www.vancouverhumanesociety.bc.ca
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Le cadeau idéal pour Noël: Un porcelet mort....
Animal a posté un sujet dans ANIMAUX - Amérique du Nord
4,000$ pour une tirelire en porcelet mort Très bon article du journaliste Peter Fricker Friday November 5, 2010 The perfect gift: a dead piglet By Peter Fricker The current issue of Vancouver Magazine is carrying an advertisement for a piggy bank in its Holiday Gift Guide 2010. What makes this piggy bank different is that it is an actual, dead pig. The taxidermied piglet, priced at $4000, is promoted with other products under the heading “Win friends and influence people this holiday season with our annual essential guide to giving the Perfect Gift.” ... Yet this is something worse than mere crass commercialization. It is the trivializing of life (and death) that is so offensive. Yes, it was just an animal’s life, but even meat-eaters or hog farmers would acknowledge that a pig’s life is worth something and that it has been sacrificed for human benefit. The death is not trivial. It is not just a joke, as the promoters of the taxidermied piggy bank would have it. Pigs and other farm animals have been turned into commodities on factory farms across the world. They are being selectively bred, genetically altered and cloned into “better” products. They are denied anything resembling a natural life, kept in cruel conditions and slaughtered in their billions. All for our pleasure. Perhaps the editors of Vancouver Magazine might have considered this before running an ad that strips away the last shred of dignity from one small, sentient being whose innocence has been lost in the relentless commercialization of life. http://communities.canada.com/vancouversun/blogs/communityofinterest/archive/2010/11/04/the-perfect-gift-a-dead-piglet.aspx http://www.vanmag.com/Shopping/Holiday_Gift_Guide_2010 -
http://thechronicleherald.ca/Business/1208962.html Good year in sight for mink breeders By CHRIS LAMBIE Business Editor Wed, Oct 27 - 4:53 AM Nova Scotia mink farmers are hoping to make a killing this year. A national industry group is reporting recent auction prices are averaging more than $60 a pelt and topping out at $100 for high-quality fur. "Man alive, that sounds good," Earl Prime, president of the Nova Scotia Mink Breeders Association, said Tuesday. But Prime, who manages a co-op that will pelt 1.4 million mink by the end of March, isn’t making any predictions about where prices are heading at auctions this winter. "It’s March before mink sells," said Prime of 340 Rancher’s Co-Operative Ltd. "Nobody knows until the hammer starts hitting. It’s all propaganda right yet." Harvesting has already started at his operation in Weymouth, Digby County. "We’ve done around close to 700,000." There are about 160 mink farmers in Nova Scotia, he said. Most of the farms are in Digby County. Many of the pelts from here will head to China, Russia and Korea, according to the Fur Council of Canada. "We’ve got over four major buyers from Korea (and) Russia right in the plant now," Prime said. The carcasses can be used to make compost, Prime said. "Anybody that wants it, we let them have it." The council reports prices seen at recent North American and European auctions are 50 per cent higher than last year. "To give you an idea of the roller-coaster it can be, after the (1992 recession) when we were at the bottom, mink prices were down to . . . maybe about $20 US," Alan Herscovici, the council’s executive vice-president, said in a telephone interview from Montreal. Prices had increased to almost $50 a pelt before the economic crash in late 2008, he said. "It went down after that to maybe about $40, maybe a little less," Herscovici said. "And now, you can see, we’ve recovered back to that $50 level and gone way beyond it." Last year, Canada produced about 2.4 million pelts, he said. "Nova Scotia is definitely one of the biggest producing areas in Canada," Herscovici said. "Probably the overall world production is about 50 million." The largest buyer will likely be China, he said. "That’s because China is a major manufacturer now because there’s obviously a lot of labour to make a fur coat." The provincial Agriculture Department says mink export sales were about $80 million in 2009, up from $65 million in 2008. "All the indications are that it will be as strong, or better, than last year," said Grant Sabine, of Riverdale Fur Farms Ltd., which will harvest about 40,000 mink this year. The Digby County man started farming mink in 1956, when pelt prices were considerably lower than they are now. "We used to hope for an average of $15 because we thought we could produce them for $9 or $10," Sabine said. Mink farms have faced a lot of complaints lately because of the stink from the droppings. "It’s the smell that people are worried about; it’s the run-off that they should be worried about more than the smell," Sabine said. Farmed mink are born in the spring and harvested in the fall and winter. "You force-feed them all year to get the maximum growth," Sabine said. "The downside to the mink industry here now is a disease problem because there’s too many farms, too close together. So if one farm happens to get any kind of an outbreak of disease, it naturally spreads to the next and to the next, and so on."
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Publié le 03 novembre 2010 à 07h14 | Mis à jour le 03 novembre 2010 à 07h14 L'Alouette herbivore Sylvie St-Jacques La Presse En 2008, alors que sa femme luttait contre un cancer, le quart-arrière vedette des Alouettes, Anthony Calvillo, a fait un «virage végé». «Avant la maladie de ma femme, je mangeais de la viande de quatre à cinq fois par semaine. Désormais, je n'en consomme que deux fois», dit le footballeur, qui a épaulé sa femme lorsque celle-ci a entrepris ses recherches sur les aliments pouvant prévenir le cancer. Depuis sa «conversion», Anthony Calvillo a constaté un changement dans son niveau d'énergie. «Comme nous ne mangeons désormais que des aliments frais ou bios et avons abandonné les produits transformés, j'ai davantage d'énergie. ... http://www.cyberpresse.ca/vivre/sante/201011/03/01-4338793-lalouette-herbivore.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_vous_suggere_4338792_article_POS1
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Élevage d'animaux pour leur fourrure (Norvège)
Animal a posté un sujet dans ANIMAUX - Europe et autres continents
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Accusations contre un fermier Le pire cas de cruauté animale du Manitoba? Agence QMI Paul Turenne 04/11/2010 07h24 WINNIPEG – Un fermier manitobain fait face à 23 chefs d’accusation pour des cas de cruauté animale. Il aurait été négligent à l’endroit de plus de 2000 porcs. Martin Grenier, de Notre-Dame-de-Lourdes, a été accusé il y a quelques jours d’avoir omis d’alimenter et de soigner ses animaux, en plus de les faire vivre dans des conditions inacceptables. Le 18 juin dernier, des policiers de la Gendarmerie royale du Canada et des représentants d’Agriculture et Alimentation Manitoba se sont présentés à la ferme de M. Grenier. En plus d’y trouver environ 2400 porcs dont certains étaient en mauvaise santé, ils ont également découvert, dans une grange, quelques centaines de porcs morts en état de décomposition. Certains animaux ont été transférés dans un centre vétérinaire afin de recevoir des soins, mais d’autres ont dû être abattus, tant leur état était mauvais. Et puis, quelques jours plus tard, la grange de M. Grenier a été complètement détruite par un incendie. La police enquête toujours afin d’en déterminer la cause. Martin Grenier pourrait se voir imposer une amende de 10 000 $, ou une peine de six mois de prison. http://fr.canoe.ca/infos/societe/archives/2010/11/20101104-072432.html
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Chasse au phoque (BONNE NOUVELLE)
Animal a répondu à un(e) sujet de Animal dans ANIMAUX - Amérique du Nord
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Brigitte Bardot réfléchit à se présenter en 2012
Animal a posté un sujet dans ANIMAUX - Europe et autres continents
Brigitte Bardot réfléchit à se présenter en 2012 L'ex-actrice de 76 ans affirme étudier la proposition de l'Alliance Ecologiste Indépendante d'être sa candidate pour la prochaine présidentielle. Brigitte Bardot affirme étudier la proposition de l'Alliance Ecologiste Indépendante (ex-Génération Ecologie) d'être sa candidate à l'élection présidentielle de 2012 et l'ex-actrice en a informé Nicolas Sarkozy, a-t-on appris dans un courrier adressé au président de la République et transmis jeudi 14 octobre dans la soirée par la Fondation Bardot. "Puisque vous faites le contraire de ce que vous dites et que vos ministres cachent la vérité aux Français sur l'absence de loi rendant obligatoire l'étourdissement des animaux lors d'un abattage halal], je vais étudier la proposition de l'Alliance Ecologiste Indépendante d'être leur candidate pour les élections présidentielles de 2012", écrit Brigitte Bardot, 76 ans depuis le 28 septembre. "La droite comme à gauche, s'en fout" "Il faut bien qu'une voix se lève pour défendre les animaux puisque tout le monde, à droite comme à gauche, s'en fout !", ajoute-t-elle. Les responsables de l'Alliance Ecologiste Indépendante, Antoine Waechter et Jean-Marc Governatori, ont proposé à Brigitte Bardot cette candidature fin septembre. "Nous pensons à vous comme la meilleure personne qui pourrait nous représenter à la présidentielle de 2012", indiquent dans un courrier les deux responsables politiques qui annoncent, par ailleurs, des candidats dans toutes les circonscriptions législatives. (Nouvelobs.com) http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/politique/20101015.OBS1333/brigitte-bardot-reflechit-a-se-presenter-en-2012.html -
Chasse au phoque L'embargo pourra entrer en vigueurMise à jour le jeudi 28 octobre 2010 à 23 h 26 Quand on pense à tout l'argent que le gouvernement et l'industrie ont dépensé inutilement pour tenter de renverser cette décision L'embargo européen sur les produits dérivés du phoque pourra finalement être imposé. La Cour européenne a rejeté les arguments des groupes qui s'y opposent devant la justice. Ce règlement qui vise à interdire l'importation en Europe des produits du phoque devait entrer en vigueur le 20 août dernier. Il avait cependant été suspendu temporairement, le temps qu'une requête soit entendue. Cette requête était formulée par des organisations inuites canadienne et groenlandaise, ainsi que par des entreprises norvégiennes de transformation. La Cour européenne vient de rejeter cette requête. Il n'y a plus d'obstacle à l'embargo qui s'applique aux 16 groupes à l'origine du recours. Le principal organisme représentant les Inuits, Inuit Tapiriit Kanatami, en fait partie. Le juge a rejeté les arguments des plaignants qui craignaient de subir un préjudice financier en raison de l'embargo et une augmentation du taux de suicide des jeunes Inuits. Les opposants peuvent encore porter cette décision en appel. Les chasseurs canadiens sont déçus, mais ils n'ont pas l'intention d'abandonner la partie. « Présentement, je sais que les Inuits, les gens de l'industrie de la fourrure du Canada et les gens du comité de la chasse au phoque sont déjà en réunion avec nos avocats là-bas pour voir le deuxième plan de match », indique Denis Longuépée, président de l'Association des chasseurs de phoque des Îles-de-la-Madeleine. ... http://www.radio-canada.ca/regions/atlantique/2010/10/28/003-phoque-embargo-europe.shtml
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la lettre hebdo de gérard charollois (24/10)
Animal a répondu à un(e) sujet de terrienne dans Environnement
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Publié le 23 octobre 2010 à 08h50 | Mis à jour le 23 octobre 2010 à 08h50 Cause naturelle ou accident de travail ? Un travailleur meurt aux Champs d'Élisé Le travailleur s'apprêtait à gaver les canards dans ce bâtiment du rang des Dix-Terres, à Rougemont, quand il s'est effondré. http://www.cyberpresse.ca/la-voix-de-lest/actualites/201010/23/01-4335390-un-travailleur-meurt-aux-champs-delise.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B4_en-manchette_314_section_POS3
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Documentaire sur la traditionnelle chasse à l'orignal, prétexte à fouiller l'âme québécoise. Dans une cabane de Maniwaki, des citadins opèrent leur annuel retour à la nature. Plaisir de se mesurer aux éléments, et de connaître ses limites! Expérience de la mort pour exorciser sa propre mort et renouer avec la chaîne entière de la vie! Mais aussi, esprit de panache, de bravache et de vantardise, et transposition de moeurs sauvages de la meute au sein du groupe d'amis, où on a tôt fait de repérer un souffre-douleur. Une magistrale partie de chasse, une mythologie bien de chez-nous. http://www.onf.ca/film/bete_lumineuse/ http://www.monpanache.com/portal.forum?article=9666&vote=viewresult
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Où caser les trois autres porcheries ?
Animal a posté un sujet dans ANIMAUX - Europe et autres continents
Thouars Où caser les trois autres porcheries ? 14/10/2010 05:38 C'est mathématique : pour la Confédération paysanne, il y aura trois autres maternités porcines à « caser » à terme dans le département des Deux-Sèvres. « Il faut produire 100.000 porcelets par an pour faire tourner les abattoirs. La maternité porcine de Luzay doit en produire un quart, il en faudra donc trois autres de même capacité. Où les mettre ? A Saint-Varent, par exemple ? » Référence au vote favorable à, mais par défaut, du conseil municipal de la commune (NR d'hier). Une demi-douzaine d'agriculteurs de la Confédération, Thierry Bossant (le secrétaire départemental) en tête, Philippe Coutant, porte-parole régional, Jean-Paul Gobin, porte-parole départemental,sont venus hier apporter leur contribution à l'enquête publique (*). « Pour nous, c'est non, sans ambiguïté », disent-ils. « Ce système nous choque car il signe la fin des élevages familiaux. C'est vers ça qu'on va : une porcherie collective avec, ici et là, un engraissement qui ne sera qu'une activité annexe de quelques fermes. Bref, on fera du cochon, sans éleveurs ! Nous voulons tout le contraire ». Consommer le porc local C'est donc contre un système d'exploitation que s'insurgent les paysans de la Confédération. « Un système où l'on parle de minerai et de gisement plutôt que d'animaux. Rien que le langage dit tout ». L'environnement n'est pas le cheval de bataille de ces agriculteurs alternatifs : « Sur le plan technique, pour les odeurs d'épandage, ils trouveront des solutions. Notre combat va au-delà. Et nous mettons les politiques devant leurs contradictions : que font-ils pour favoriser la consommation des productions locales dans les cantines scolaires par exemple. Des cantines qu'ils ont livrées au privé, souvent. » (*) Elle sera ouverte à tous en mairie jusqu'au 22 octobre. Dominique Hérault http://www.lanouvellerepublique.fr/ACTUALITE/Economie/Agriculture/Ou-caser-les-trois-autres-porcheries -
Publié le 22 octobre 2010 à 13h39 | Mis à jour le 22 octobre 2010 à 13h39 Une conductrice heurte un boeuf en cavale Karine Blanchard La Voix de l'Est (Marieville) Une conductrice a été blessée lorsque sa voiture est entrée en collision avec... un boeuf, jeudi soir, à Marieville. L'animal s'était évadé d'un abattoir situé près de là un peu plus tôt dans la journée. La conductrice circulait sur la route 227, vers 22h, lorsqu'elle a aperçu l'imposante bête sur son chemin. Elle a tenté d'éviter la collision, mais en vain. Sa voiture a violemment percuté l'animal et l'a lourdement endommagée. http://www.cyberpresse.ca/la-voix-de-lest/actualites/201010/22/01-4335150-une-conductrice-heurte-un-boeuf-en-cavale-.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B4_en-manchette_314_section_POS2
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Publié le 16 octobre 2010 à 14h14 | Mis à jour le 16 octobre 2010 à 14h14 La merde Pierre Foglia La Presse C'est incroyable ce que ça chie, une vache. Beurrées après beurrées, floutche, floutche. Et ça pisse par-dessus. S'il pleuvait vraiment comme dans l'expression populaire «il pleut comme vache qui pisse», ça prendrait des parapluies en tôle. Une vache boit environ 100 litres d'eau par jour; forcément, ça pisse autant. Dans l'aile principale de l'étable où séjournent les 115 vaches qui vont à la traite, un tapis roulant ratisse leurs déjections vers un égout souterrain. L'étable tout entière repose sur une usine à marde souterraine. Les différents enclos où séjournent les génisses qui n'ont pas encore été inséminées sont à nettoyer à la main, avec une gratte, deux fois par jour. Et puis on leur remet de la ripe propre. J'ai aimé nettoyer la merde, la pousser dans la trappe. J'ai même ri, une fois. Je venais de finir l'enclos des suisses brunes, deux superbes vaches de concours que Guillaume vient d'offrir à Édith. Je leur disais combien elles étaient fines quand floutche! la plus proche m'a chié sur les bottes. J'ai ri. Si tu penses, ma belle, que t'es la première à me chier sur les bottes juste au moment où je lui dis qu'elle est fine... La routine Ce jour-là, la barrière de la grande esplanade de traite s'est ouverte, va savoir comment. Les vaches ont commencé à sortir. Dix minutes de plus et on les aurait couraillées sur la route. L'une d'entre elles s'est écartillée, elle a fait le grand écart comme une gymnaste, mais une gymnaste d'une demi-tonne. Elle ne pouvait plus se relever. Ils se sont mis à trois pour la coucher sur le dos, lui ont passé une ventrière équipée d'un grappin par lequel on l'a levée avec la flèche du bobcat. On lui a sanglé les pattes arrière pour ne pas qu'elle s'effoire à nouveau. Je vous en fais un événement, mais c'est juste la routine. C'est fou, le travail qu'il y a à faire dans une étable. Nourrir, nettoyer, nourrir, nettoyer, nourrir, nettoyer. Et inséminer. ... suite: http://www.cyberpresse.ca/chroniqueurs/pierre-foglia/201010/16/01-4333207-la-merde.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_meme_auteur_4333203_article_POS3
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Publié le 16 octobre 2010 à 13h53 | Mis à jour le 16 octobre 2010 à 13h53 Un vrai job, enfin! Pierre Foglia La Presse Six heures du matin. J'ai ficelé mes bottes sur le porte-bagages de mon vieux vélo et j'ai dit au revoir à ma fiancée, qui m'a donné un bec moins distrait que lorsque je m'en vais à La Presse. Un bec un peu comme si je m'en allais à la guerre. J'ai senti qu'elle était fière d'avoir un chum qui avait un vrai job, enfin! T'as l'air d'un travailleur mexicain, elle a dit, ravie. Il faut prendre le chemin des Bouleaux, puis celui des Sapins, qui longe la rivière aux Brochets, et soudain le paysage s'ouvre magnifiquement, plein ciel et pleins champs. Au fond, les montagnes du Vermont. Au bout de la pente douce, il y aura le vignoble du Ridge. Juste avant, il y a la ferme des Girardet et les deux gros chiens qui me jappent toujours après quand je passe à vélo. C'est là que je vais. Je vous attends à 6h45, m'avait dit la fermière. Elle s'appelle Édith, elle a 26 ans, elle venait de se lever. J'ai vu dans son regard qu'elle regrettait déjà: Oh, boy! Qu'est-ce que je vais faire de lui? J'avais pourtant été clair quand elle m'avait demandé ce que je savais faire: rien, madame. On est allés donner le biberon aux nouveau-nés. On est dans une ferme laitière. Je vous explique en vitesse comment ça marche: les vaches ne donnent pas de lait parce qu'elles sont fines, elles donnent du lait parce qu'elles ont eu un veau. La vache est inséminée. Neuf mois après, elle a son veau. Se repose deux mois. Est réinséminée. Un autre veau. Deux mois de repos. Un autre veau. Et un autre, et un autre. Ça vous rappelle votre arrière-grand-mère? C'est pas moi qui l'ai dit. Tout ce temps-là, la vache donne du lait (1). Quand le veau naît, on le laisse téter sa mère trois ou quatre fois pour le colostrum, et puis on les sépare. Cela ne fait pas de drame ni rien. Sauf exception, les vaches laitières ne sont pas très maternelles. Elles ne cherchent pas leur veau, ne l'appellent pas. Qu'on leur pique leur lait pour l'envoyer chez Provigo plutôt que de le donner à leur veau, ça ne leur fait pas un pli sur le pis. Les nouveau-nées sont mises dans un enclos. Que des filles. On ne garde pas les mâles, qui sont trop difficiles à traire. Ça va, vous suivez? Je vous le promets, à la fin de ce reportage, vous pourrez démarrer une petite ferme laitière. Édith me tend deux biberons de deux litres chacun: Arrêtez de prendre des notes, on passe à la pratique. Huit veaux dans l'enclos, âgées de quelque jours, tout énervées quand elles nous voient arriver avec les biberons. Faut les attacher, sinon, en nourrissant l'une, on aurait les sept autres dans les jambes. On leur donne d'abord un doigt à téter pour lancer la succion, et hop! on glisse la tétine du biberon. C'est long, deux litres, on a le temps de leur chanter une petite chanson. La belle dé Cadix a des yeux dé vélours... Yeux de velours ou pas, combien on parie que je te fais loucher, ma belle? ... suite: http://www.cyberpresse.ca/chroniqueurs/pierre-foglia/201010/16/01-4333203-un-vrai-job-enfin.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B41_acc-dimanche-bandeau_372676_accueil_POS5
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WINNIPEG — Manitoba will soon be giving hunters and trappers free rein to kill wolves and coyotes on Crown land in agricultural areas to stem rising livestock losses to predators. october 22, 2010 Jack Dubois, director of the province's wildlife and ecosystem protection branch, said year-round hunting and trapping will be permitted on the lands with the purchase of a $5 trappers' licence. The new measure will not apply to registered trapping areas in the province's north. Dubois said Manitobans shouldn't fret that wolves and coyotes are going to be wiped out. "These measures aren't going to necessarily decimate the populations. The secret is to control them to a level where they're more socially tolerated, where they're causing less damage to livestock and less concern to people for their safety," he said in an interview. Rising wolf and coyote numbers are preying increasingly on farm animals and taking a bite out of farmers' profits. According to the Manitoba Agricultural Services Corp. (MASC), a provincial farm insurer and lender, farmers lost 1,326 animals to predators — mainly wolves and coyotes — in the six months between April 1 and Sept. 30 compared with 1,661 the entire previous year. The federal and provincial governments, through MASC, paid out $328,683 in claims to farmers in that six-month period, compared with $433,285 in the preceding 12 months. Don Winnicky, who has raises cattle in the Piney area, said he had not lost a single animal to predators in 25 years of ranching — until this year. In April he lost two month-old calves, about a week apart, to wolves. And in June, he said an 800-pound (360 kilogram) yearling steer fell prey to the predators. "I tell you one thing, come next spring, (my) rifle is going to be with me every day," said Winnicky, who farms in the southeast corner of the province near the Minnesota border. Farmers are already allowed to kill predators on their property. Sheila Mowat, general manager of the Manitoba Cattle Producers Association, said the MASC payouts to farmers only tell part of the story. Animals preying on newborn calves sometimes leave so little of the animal behind that there is insufficient evidence to make a claim for compensation, she said. "Often times there's nothing left but an ear-tag and a foot." Some animals left in faraway pastures over the summer simply disappear, and cows often have to be sold at a loss because of injuries from predators. Farmers aren't compensated for injured livestock — only those that are killed. "Those cows that used to have value now have no value because they're limping and crippled, so they've got to be culled," Mowat said. Ron Alexander, a retired outfitter, blames provincial inaction for what he claims are "out of control" coyote and wolf populations in Manitoba. He said that an over-abundance of wolves — not poaching and disease, as some have suggested — are the main reason for drastically lower moose numbers in some parts of the province. He's calling for bounties to be placed on wolves and coyotes to get their numbers to more manageable levels. On Thursday, Alexander scoffed at the province's plans to open up trapping and hunting on Crown lands in farming areas. "It's a joke. It's going to accomplish nothing," he said, arguing that a province-wide solution is what's needed. Dubois disputes the notion that wolf numbers are exploding. So, too, does Stu Jansson, a director of the Manitoba Trappers Association. But Jansson said the predators have definitely expanded their range into farming areas to the point that "something has to be done." Copyright (c) Winnipeg Free Press Read more: http://www.vancouversun.com/technology/Manitoba+opening+year+round+hunting+w olves+coyotes/3710741/story.html#ixzz1378rn1ph Lesley Fox Executive Director Fur-Bearer Defenders 215-3989 Henning Dr. Burnaby, BC V5C 6P8 604-435-1850 www.furbearerdefenders.com
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Mort d'oiseaux migrateurs:3 millions de dollars et des excus
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Mort d'oiseaux migrateurs : 3 millions de dollars et des excuses ALBERTA (RC) - La pétrolière Syncrude, reconnue coupable de négligence pour la mort de 1600 canards dans un bassin de décantation de sables bitumineux près de Fort McMurray, à la fin avril 2008, s'est entendue avec les procureurs de la Couronne pour payer 3 millions de dollars en pénalités. L'avocat de l'entreprise, Jack Marshall, a indiqué, vendredi, à la Cour provinciale de l'Alberta à Saint-Albert, en banlieue d'Edmonton, que son client présente des excuses pour les événements. Syncrude reconnaît qu'elle aurait pu faire mieux pour protéger la faune. ... http://qc.news.yahoo.com/s/22102010/3/regional-mort-d-oiseaux-migrateurs-3-millions-de-dollars-et.html -
Insiders say Canada’s meat-inspection system isn’t keeping consumers safe from food-borne illnesses.By Alex Roslin, October 21, 2010 At the end of a gravel road 20 kilometres east of Fort St. John, Arlene Laughren’s house used to be her little piece of heaven. Now it’s like a prison. Laughren moved here six years ago with her husband, Keith Holmes, to raise horses, llamas, sheep, and chickens and to grow vegetables on a 66-hectare hobby farm amid the picturesque coulees, hills, and ravines by the Peace River. Now most of the animals are gone and her garden is overgrown with tall weeds. Laughren, 53, is stuck at home while her husband is away at work. She has brain damage, memory loss, and poor balance. She can no longer drive and hasn’t worked in more than two years—ever since she got two brain abscesses after eating a bad ham sandwich. It was July 2008 when Laughren ate the ham produced by Maple Leaf Foods while at the Fort St. John hospital. She was getting treatment related to Crohn’s disease, which she has had since childhood. Her medication suppressed her immune system and made her more vulnerable to the Listeria monocytogenes bacteria on the ham. Four days after the fateful meal, violent headaches started and she began to feel dizzy. After two falls, hospital staff gave her a CAT scan and saw something abnormal in her brain. Laughren was flown by air ambulance to Vancouver, where she had brain surgery. Doctors traced the abscesses to the ham, and she was diagnosed with the bacterial infection listeriosis. She remained in a Vancouver hospital for five months of treatment, followed by six weeks of rehabilitation. Two years later, Laughren says doctors told her she will never work again. She used to counsel youth with difficulties at the Fort St. John high school. “I really miss them,” she says. Laughren was one of hundreds of Canadians sickened—many with gastroenteritis—in the 2008 Maple Leaf listeria outbreak, which caused 57 confirmed cases of listeriosis. Twenty-three died, including one in B.C., and many, like Laughren, suffered permanent disabilities. A government inquiry into the fiasco placed much of the blame on numerous shortcomings in the government’s food-safety system. The Canadian Food Inspection Agency was especially singled out. The so-called Weatherill inquiry said it didn’t have enough meat inspectors and was poorly managed. For four years, inspectors had failed to do all of the required audits of the Toronto Maple Leaf plant that produced the tainted meat. The inquiry made 57 recommendations for improvements. But more than a year later, food scientists and the CFIA’s own meat inspectors say that most of the recommendations have yet to be adopted and that Canada’s food supply may not be safer than before. If anything, they say the level of inspection of deli meats—the kind involved in the Maple Leaf episode—may actually have declined. Meanwhile, the numbers of food poisonings and recalls are rising. And new, controversial methods of producing meat are increasing the risk of food-borne illnesses even more while raising other questions about the meat on our plates. “The rates of listeria recalls in recent years are amazing. It’s one after the other. The rates are going up; recalls are going up. Something is fundamentally wrong,” says Kevin Allen, an assistant professor of food microbiology at the University of British Columbia. “It’s safe to say some of the sanitation methods are not working as they should,” he says in a phone interview from his office. “There is a lack of control in the food-production process.” Since the 2004 fiscal year, Canada has seen a steady rise in the number of meat and poultry recalls each year, according to data provided by the CFIA (which would not grant an interview to the Georgia Straight). The number has more than doubled, from 44 in 2004 to 91 in 2008. B.C. has been especially hard hit by food recalls. It experienced 605 recalls of all types of food, including meat and poultry, between 2004 and 2008—or 26 percent of the national total. Yet B.C. has only 13 percent of Canada’s population. And because most food-borne illnesses never come to the government’s attention, the reported cases represent just a tiny fraction of all the food poisonings—only one out of every 300 to 350 actual cases, according to the Maple Leaf inquiry. In fact, food-borne illnesses sicken a whopping 11 to 13 million Canadians each year, according to the Public Health Agency of Canada, and as many as 500 may die as a result. Why are food poisonings skyrocketing? Bob Kingston has a good idea why: a hobbled meat-inspection system that’s a shadow of its former self and that struggles to keep up with the fast-changing food industry. If anything, he says, meat inspectors are even more taxed now than before the Maple Leaf disaster. Kingston worked for almost 30 years as a federal quarantine inspector in Burnaby before becoming president of the 9,500-member Agriculture Union, which includes federal meat inspectors. Earlier this year, his union gave Canada’s food-safety system a failing grade for heeding so few of the Maple Leaf inquiry’s recommendations. “You’re up to five or six plants per inspector. I know inspectors who have told me they are responsible for 10 plants. If they actually want enforcement, it’s way over the top,” he says. “All you have time to do is glance at the paperwork, see if it’s fine, and race to the next plant. If you have to do an enforcement action, good luck finding time to do it.” The problem comes down to time. It takes about 800 hours (or 20 weeks of full-time work) to meet inspection requirements for a single processed-meat plant, according to union estimates. That doesn’t include hundreds of additional hours needed for certifying imports and exports, plus leave or vacation time. “I feel for the inspectors,” says UBC’s Allen. “Many are faced with an unruly workload. They’re really taxed right now.” According to the Weatherill inquiry, government inspectors assigned to the Toronto Maple Leaf plant “appear to have been stressed due to their responsibilities at other plants”. In September 2009, with a possible federal election looming, Ottawa promised to hire 70 new meat inspectors to fill shortfalls identified in the inquiry. A year later, only 40 of the new positions have been filled. Much of the money for the new hires was simply taken out of other CFIA operations, Kingston says; penny-pinching at the agency is so tight that it has cancelled training initiatives and some offices have no money for pens or paper. Even our neighbours are taking notice. Last year, the U.S. Department of Agriculture told Canada it wasn’t meeting U.S. standards for inspecting processed meat destined for export south of the border. It demanded that Canadian meat inspectors check up on exporting plants once every 12 hours, as U.S. standards require. Canada increased the level of checks to that standard. Meanwhile, plants making processed meat for Canadians are inspected at the far more leisurely pace of only once a week. The CFIA says inspectors spend more time during each of their weekly inspections of the plants with Canadian-destined meat, so the total amount of inspection time is the same as for U.S.–destined meat. Kingston says this is “highly unlikely”. He notes that the CFIA would have needed the equivalent of 50 extra full-time inspectors to meet the greater frequency of USDA-mandated inspections. If the level of inspection was really the same, he says, no new hires would have been needed. He also says plants visited more often tend to have better safety records. “If an inspector comes once a day, a plant behaves totally differently than when they know the inspector is coming only once a week,” he says. Because there is little money for the new hires, the extra USDA-mandated inspections have resulted in astronomical levels of overtime for the CFIA’s existing 260 processed-meat inspectors, Kingston says. The additional burden means many inspectors are now faced with an even greater workload than before 2008, he says. It wasn’t always like this. The food-safety system and meat industry have both undergone a sea change since 1981, when Kingston became a union rep for federal agriculture department employees, including meat inspectors. (He moved to the CFIA when it was created in 1997.) In the 1980s, beef was usually butchered by hand in a large number of small meat-processing plants spread across the country. Each one had a federal meat inspector assigned to oversee it full-time. Mechanization of slaughterhouse operations and processing started to transform the industry in the late 1980s and 1990s. Machines run by low-wage operators started to replace trained butchers. The small plants were consolidated into fewer, large operations—some on a massive scale. One plant in Alberta processes 2,000 beef carcasses in a single day. Another in Manitoba goes through 10,000 pigs daily. The machines might be more efficient, but they’re also less able than a human hand to butcher an animal in a way that avoids contaminating it with bacteria-laden feces, Kingston says. Also, when there was a bacteria outbreak at one of the smaller plants, it was usually pretty limited in scope. “Now if you do half a day’s run [of tainted product] out of one of these big plants, you’ve contaminated half the continent,” Kingston says. These were also the lean years of Brian Mulroney’s budget cutbacks and deregulation. Ottawa was only too happy to acquiesce to industry demands to reduce the burden of meat inspection. Inspectors now found themselves responsible for several facilities each, as opposed to one, even as the plants ballooned in size. At the same time, inspectors got go-easy marching orders. Previously, when inspectors saw a problem—like unsanitary conditions—they’d pull the plug on operations or slow production until the issue was fixed. Starting in 2005, the federal government took the deregulation a step further by quietly implementing a new food-safety system that shifted much of the burden of policing to the meat industry. Instead of shutting down a dirty facility, inspectors were instructed to issue a “corrective action request”. A meat processor would now usually have 14 days to respond with an explanation of how it would deal with the issue—and would, in most cases, have another 60 days to implement changes. Companies can request time extensions past the initial 60 days. They are routinely granted, Kingston says. An inspector who shuts down a meat plant today “would probably be disciplined unless he has approval from five levels of management. He would be accused of being overzealous,” Kingston says. The new meat-inspection regimen was slammed in the Maple Leaf inquiry, which said it was plagued by a shortage of inspectors, poor planning, mismanagement, and lack of training for supervisors. The Weatherill inquiry called on the CFIA to audit its new system; it is not clear if that audit is still under way. At the same time as Canada deregulated meat production, other innovations were altering the very composition of the meat we eat and creating new challenges for food safety. One of the greatest changes was finding a profitable new use for fatty layers at the outer surfaces of a cow carcass, known in the industry as “bench trim”. Once used mostly for pet food and cooking oil, the fatty trimmings are now widely used in hamburger in Canada and the U.S. The trimmings are combined with leaner cuts from many different cows, frequently from various countries, the New York Times reported in an October 2009 investigation. Author Eric Schlosser (Fast Food Nation) wrote in Rolling Stone back in 1998 that one U.S. fast-food burger patty may contain meat from 40 to 100 different cows raised in as many as six different countries. The low-grade cuts are more susceptible to E. coli bacterial contamination because they come from parts of the cow that are more likely to come into contact with feces. Trimmings were at the centre of controversy in the U.S. last year after illness outbreaks linked to tainted hamburger. The outbreaks prompted U.S. authorities to tighten inspection of bench trim. More controversy has surrounded “meat glue”. The “glue” is a natural protein derived from cow or pig blood. It allows meat processors to stick together various lumps of meat into a regular-looking steak, roast, or kebab. In the meat business, it’s known as “restructured beef”. Canada allows the product to be sold here, but the European parliament rejected it for sale in the EU in May because of concerns that artificial steaks could mislead the public. “Consumers in Europe should be able to trust that they are buying a real steak or ham, not pieces of meat that have been glued together,” Jo Lienen, chair of the parliament’s environment committee, said during debate on the issue. The glue also raises food-safety issues, says Keith Warriner, an associate professor of food science at the University of Guelph, in a phone interview from his office. If there is a bacteria outbreak, it’s much harder to figure out the source when chunks of meat from multiple cows were combined. Also, the products need to be fully cooked, like ground beef, to kill bacteria. A regular steak is safe to eat medium-rare because only its surface has bacteria. But when different cuts of meat are blended together, the product may have contaminated surfaces on the inside, and it has to be cooked to an internal temperature of 71 ° C (160 ° F). This, Warriner says, could lead to confusion among consumers used to cooking their steaks medium-rare (63 ° C, or 145 ° F). Yet another innovation is “modified atmosphere packaging”, the widespread practice of filling meat packaging with adjusted levels of oxygen and other gases. The gases can keep meat from losing its fresh-looking red hue. Shiv Chopra, an Ottawa food-safety expert and retired Health Canada scientist, said in an e-mail that the technique is “dangerous” because it may prevent shoppers from seeing when meat has gone bad. UBC’s Allen agreed: “This can be misleading to consumers.” It all adds up to huge challenges for a tattered food-safety system. Kingston predicts more Maple Leaf–type incidents. “It’s inevitable that more of this comes along if nothing changes.” Back at her home outside Fort St. John, Laughren is disheartened. “The one thing I thought would come from this is they would improve food safety. But I don’t think there has been much of anything done.” She gazes longingly at the horse saddle hanging on a saddle rack in her living room. She used to ride in amateur competitions, but now she doesn’t have enough coordination to ride a horse. She is still waiting to receive part of a $27-million payout that Maple Leaf agreed to make last year to settle several class-action lawsuits related to the listeria outbreak. With thousands of claimants expected, the processing of claims has been a time-consuming task. Meanwhile, the Canada Revenue Agency is hounding her husband for writing off his stay in Vancouver while he helped Laughren recover from her brain surgery. Despite a doctor’s letter saying her husband’s presence “was imperative for her treatment”, the taxman nixed the write-off and is demanding back taxes. “You just expect the government to be watching our backs. But that’s silly,” Laughren says. Her memory loss means she sometimes forgets things like friends’ names and her phone number, but there’s one thing she always remembers: her decision to never eat processed meat again. http://www.straight.com/node/353673