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Animal

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Tout ce qui a été posté par Animal

  1. Je savais pour la WWF mais pas pour Greenpeace ! Décourageant !
  2. Pour notre info personnelle... Canada- Blessure infligée par un piège On a abattu un Coyote âgé de 2 ans qu'on avait retrouvé vivant, mais très affaibli, à la fin de février 2002, dans le comté de Kings, à l'ÎPE. L'examen post mortem a révélé que cet animal était tombé dans un piège, sans doute plusieurs semaines auparavant, et qu'il avait réussi à s’en échapper en coupant la broche. Il semble que le piège ait mal fonctionné, de sorte que l'animal avait pu se tourner la tête pour couper la broche avec ses dents. Le Coyote était en mauvais état de chair, son tractus digestif était complètement vide. Une grande partie de la peau du côté ventral du cou avait été remplacée par des tissus cicatriciels. La broche avait pénétré profondément dans la partie ventrale du cou avant de traverser complètement les conduits aériens (trachée). La trachée était complètement guérie, mais le diamètre interne de la partie cicatrisée n'était plus que d'environ un tiers du diamètre original. Au moment où l'animal avait été pris au piège, on suppose que la forte pression exercée avait permis à la broche de traverser les tissus mous du cou. Les principaux vaisseaux sanguins du cou, à savoir les carotides et les jugulaires étaient complètement bloqués par des tissus cicatriciels. Chez les Coyotes et les autres canidés, d'autres artères ou veines peuvent transporter suffisamment de sang du corps vers la tête et vice versa pour compenser l'obstruction de ces vaisseaux majeurs. L'examen microscopique des nerfs vagues, des nerfs importants se retrouvant dans la zone affectée du cou chez cet animal, n'a rien révélé d'anormal sur le plan structurel. La cause exacte de l’affaiblissement observé chez ce Coyote n'a pu être évaluée précisément. La réduction importante du diamètre de la trachée peut avoir diminué sa résistance et l'avoir empêché de se nourrir convenablement. Il est probable que le mauvais état de chair de l'animal et la demande additionnelle d'énergie reliée à la saison hivernale aient été responsables de sa mort. Aucune méthode de piégeage des animaux de la faune ne peut garantir un traitement humanitaire à tous les coups. Il est très difficile de déterminer la proportion exacte d'animaux qui succombent à des souffrances atroces et prolongées parce qu'ils ont eu la chance (ou la malchance) de survivre en raison du mauvais fonctionnement d’un piège. Le cas rapporté ici est probablement très rare. Il attire cependant l'attention sur la nécessité que les chasseurs et trappeurs reçoivent une formation sur les méthodes de trappe, de façon à réduire le risque de souffrances inutiles chez les animaux. Ce cas illustre également la résistance phénoménale des Coyotes. (Pierre-Yves Daoust, CCCSF; Peter Nicholson, Atlantic Veterinary College, UPEI) http://wildlife1.usask.ca/newsletters_fr/newsletter9-1.htm
  3. Ça le fera quand même peut-être réfléchir !
  4. Le vendredi 24 novembre 2006 Le coordonnateur du recensement des animaux, Paul Charest, montre ici le dossard porté par les recenseurs pour s’identifier. Photo: Stéphane Lessard La SPAM court-circuitée par la SPCA de Montréal Brigitte Trahan Le Nouvelliste Trois-Rivières Des calendriers, t-shirts, porte-clefs, médailles et une note demandant un don de 25 $ ou 35 $. C'est à quoi ressemble la sollicitation par la poste que tient depuis quelque temps la Société protectrice canadienne des animaux... de Montréal sur le territoire de la Mauricie. "Les gens pensent qu'il s'agit de notre campagne et qu'ils viennent de recevoir la nouvelle médaille pour leur animal. Ils envoient l'argent à Montréal alors que tout cela n'a rien à voir avec la Société protectrice des animaux de la Mauricie", explique le porte-parole de la Ville de Trois-Rivières, Yvan Toutant. Paul Charest, le responsable de la campagne de majeure de recensement des animaux domestiques qui a cours dans l'agglomération de Trois-Rivières depuis une semaine se sent court-circuité par la SPCA de Montréal et tient à mettre les citoyens en garde. "La région ne verra jamais la couleur de l'argent donné à la SPCA de Montréal par les citoyens de la Mauricie et peu importe le montant versé à cet organisme, les propriétaires de chats et de chiens de Trois-Rivières devront malgré tout payer la médaille réglementaire pour leur animal", explique le directeur général de la SPA de la Mauricie, Serge Marquis. Tous les détails dans la version papier du Nouvelliste du 24 novembre 2006. http://www.cyberpresse.ca/article/20061124/CPNOUVELLISTE/611240859/5409/CPNOUVELLISTE
  5. Je l'ai vu il y a quelques jours. Ça doit être une reprise- Un documentaire à ne pas manquer ! ------------------ Le vendredi 24 novembre 2006 Noël sans flafla Silvia Galipeau La Presse Top chrono: plus qu'un mois avant Noël. Encore un mois, donc, à courir, magasiner, dépenser, et redépenser encore. Ouf! Besoin de souffler? Si vous pensez que c'est cette année la bonne, celle où vous allez enfin dire stop à la frénésie du temps des Fêtes, à la surconsommation de bébelles qui finissent inéluctablement dans les fonds de tiroirs, un petit documentaire, Simplement Noël, diffusé ce soir à 21h à Canal Vie, pourrait bien vous convaincre que vous avez fait le bon choix. Ou du moins vous prouver une fois pour toutes que vous n'êtes plus seul à penser que cette fête a perdu bien de son sens avec le flafla, la neige synthétique et les défilés commerciaux qui s'en sont emparés. En cette Journée sans achat, donc (pour l'Amérique du Nord, le reste de la planète ayant plutôt choisi demain, le 25 novembre, pour cesser momentanément de consommer), Simplement Noël nous dresse le portrait de quatre familles ayant choisi de vivre autrement http://www.cyberpresse.ca/article/20061124/CPACTUEL/611240680/1015/CPACTUEL
  6. vendredi 24 novembre 2006, 16h06 Toxicité des produits Ushuaïa: "l'arbre qui cache la forêt", selon Greenpeace agrandir la photo PARIS (AFP) - L'association Greenpeace France estime vendredi qu'"il convient de s'interroger sur l'utilisation de quelques 100.000 molécules chimiques dans la fabrication" des cosmétiques et juge que la polémique sur les produits Ushuaïa est "l'arbre qui cache la forêt", a-t-elle souligné vendredi. "La polémique au sujet des produits Ushuaïa, c'est l'arbre qui cache la forêt", estime l'association dans un communiqué. "Pour 90% des molécules chimiques, aucune évaluation sanitaire ou environnementale complète n'a été réalisée", rappelle l'association, après que le quotidien Le Parisien eut pointé la présence de déodorants et gels douche Ushuaïa sur sa liste rouge de cosmétiques contenant des substances toxiques. Pour sa part, Lascad, filiale de L'Oréal qui fabrique ces produits, a affirmé jeudi que les substances utilisées ne présentaient aucun danger pour la santé. Lascad "confirme utiliser dans la fabrication des produits Ushuaïa deux muscs polycycliques et ne garantit pas l'absence de phtalates", relève Yannick Vicaire, responsable de la campagne de toxiques de l'organisation écologiste. "Or ces substances sont soupçonnées d'interférer avec le système hormonal", ce qui pourrait poser un problème pour les femmes enceintes, ajoute-il dans le communiqué. La réglementation européenne Reach qui devrait être adoptée début décembre par le Parlement européen, constitue "la seule réponse respectueuse de l'environnement et de la santé aux risques liés aux substances chimiques utilisées dans les produits cosmétiques", estime Greenpace. Les gels douche et déodorants Ushuaïa figurent, parmi beaucoup d'autres marques cosmétiques, sur la "liste rouge" établie par Greenpeace des produits cosmétiques contenant des substances toxiques, dans le cadre de sa campagne "Cosmetox". Les produits Ushuaïa contiennent des ingrédients naturels, comme le limonène (contenu dans la menthe) ou la coumarine (dans la cannelle), mais "ils ne présentent aucun risque pour la santé humaine aux très faibles concentrations utilisées dans les produits Ushuaïa", avait assuré Lascad jeudi. Ces produits portent le nom de l'émission emblématique de l'animateur écologiste Nicolas Hulot sur TF1 et la marque, propriété de TF1, est cédée sous licence à L'Oréal. http://fr.news.yahoo.com/24112006/202/toxicite-des-produits-ushuaia-l-arbre-qui-cache-la-foret.html
  7. Mise à jour le jeudi 23 novembre 2006, 15 h 26 . Québec vient d'édicter un plan d'urgence pour venir en aide aux producteurs de porc qui font face à une situation précaire. ... Québec accorde donc une aide de 15 millions de dollars qui sera répartie en trois volets: http://www.radio-canada.ca/regions/estrie/2006/11/23/001-porc_aide.shtml
  8. Chasse au phoque Le Canada perd du terrain Mise à jour le vendredi 24 novembre 2006, 9 h 32 . Phoques Des députés du Parlement européen considèrent que le Canada est en train de perdre la bataille médiatique au sujet de la chasse au phoque. Une délégation européenne comprenant une dizaine de députés a rencontré jeudi matin les membres du comité des Communes sur les pêches. Les députés canadiens ont tenté de défendre cette industrie attaquée de toutes parts. Les députés européens présents à Ottawa indiquent que depuis plusieurs mois, ils sont la cible d'une intense campagne de relation publique de la part des défenseurs des droits des animaux. Ian Hudghton, député écossais du Parti vert, a précisé que les parlementaires ont tous reçu des centaines de lettres de citoyens s'opposant à la chasse au phoque. Il a ajouté que ces lettres étaient souvent accompagnées d'images de phoques ensanglantés gisant sur la banquise, ce qui a pu convaincre une majorité de députés d'interdire la vente des produits de cette chasse. Jeudi, à tour de rôle, les députés canadiens ont répondu aux questions de leurs homologues européens, non sans décocher quelques flèches aux arguments des opposants en Europe. « Malheureusement, on fait face à une campagne de désinformation et de démagogie », affirme le député de Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine, Raynald Blais. « Les blanchons ne sont plus tués depuis 1982 », rappelle-t-il. M. Blais ajoute que le drame des chasseurs de phoques est leur abattoir à ciel ouvert, qui frappe l'imaginaire des gens. Il précise que des collectivités entières dépendent largement des revenus de cette chasse. Les députés européens ont écouté l'exposé des parlementaires canadiens avec attention, sans dire s'ils allaient tenter de renverser la vapeur une fois rentrés chez eux. Mathieu Rompré rapporte que les députés canadiens défendent la chasse au phoque devant leurs homologues européens. http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2006/11/24/002-phoques_deputes.asp
  9. Le cuisinier Daniel Pinard peut-être...
  10. Incroyable ! Ces canards ont été tués uniquement pour le plaisir des chasseurs ! C'est une horreur !
  11. encore une autre belle étoile, que j'avais presque laissé filer http://vivezvege.blogspot.com/
  12. Cuisiner le gibier Au Québec, on peut chasser le chevreuil, aussi appelé cerf de Virginie, qui vit en liberté dans nos forêts. Les chasseurs ont le privilège de manger cette viande sauvage reconnue pour sa tendreté. À Omerville, près de Sherbrooke, le boucher André Lamontagne reçoit souvent les prises des chasseurs pour les préparer. Il découpe les différentes parties de l’animal, comme le cou ou l’épaule. Il coupe les jarrets pour faire de l’osso buco et la longe pour faire des faux-filets. Il découpe également des pièces de viande comme le flanc et le filet mignon. Or, s’il peut l’apprêter pour les chasseurs, il lui est interdit de vendre la viande du cerf de Virginie, puisqu’elle n’est soumise à aucune inspection. Ainsi, les chasseurs qui reviennent bredouilles et les consommateurs qui n’ont pas l’âme d’un prédateur peuvent se tourner vers son cousin, le cerf rouge, qui est offert dans plusieurs boucheries, marchés et épiceries. Gibier sauvage, gibier d’élevage Le cerf rouge, cervidé importé de Nouvelle-Zélande depuis une dizaine d’années, est bien adapté à notre climat. Mais du gibier d’élevage peut-il toujours être considéré comme du gibier? Julie Rondeau, de La Maison du Gibier, assure que oui, puisque ces derniers sont élevés dans leur milieu naturel. Les cerfs de son élevage passent leur vie à l’extérieur. L’humain n’intervient que pour les nourrir. Si le cerf rouge raffole du foin et des grains, le chevreuil se nourrit de branches et de bourgeons. Il broute même parfois dans les champs cultivés. Au restaurant Le temps des cerises, à Danville, en Estrie, on offre du cerf rouge au menu, à défaut de pouvoir servir du chevreuil. Pour vérifier si la différence de goût est importante entre les deux viandes, la chef Martine Satre en a cuisiné deux pièces, sans les assaisonner. Conclusion: s’il y a peu de différence au niveau du goût, les textures des deux viandes diffèrent. Martine Satre a constaté que les fibres du chevreuil sont plus serrées, tandis que celles du cerf rouge sont plus distancées. Il faut toutefois savoir que d’une dégustation à l’autre, le goût du gibier sauvage varie selon ce que la bête a mangé, et selon son âge. Plus le cerf est jeune, plus la viande est tendre. Qu’elle soit d’élevage ou sauvage, la viande de cerf est l’une des plus maigres qui soient. Il faut ainsi éviter de trop la cuire, parce qu’elle s’assèche facilement en raison de son peu de gras. Si elle est plus maigre que le bœuf, la viande de cerf est par ailleurs plus chère en raison des coûts d’élevage. Elle peut se vendre le double du prix du boeuf. Quant aux chasseurs, ils doivent aussi délier les cordons de leur bourse pour consommer leur prise. Lorsque l’on prend en compte les permis de chasse, les produits pour camoufler les odeurs et le débitage, le tout est assez dispendieux. Mais pour la chasseuse Jocelyne Brochu, le jeu en vaut la chandelle, pour la qualité de la viande et les heures passées en nature. [Regarder le reportage] http://www.radio-canada.ca/actualite/v2/lepicerie/niveau2_12124.shtml
  13. Animal

    Canada/Farines animales

    Rappel de moulées laterre.ca 20 novembre 2006 L’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) tente de retracer des moulées pour bovins possiblement contaminées par des sous-produits interdits dans l’alimentation des ruminants. Au Québec, quelques centaines de tonnes de ces moulées ont été distribuées à une trentaine de fermes, principalement des élevages de bovins laitiers. «En dedans de 24 heures, la moulée a été retirée et remplacée. Tous les producteurs qui devaient être contactés l’ont été», assure le président d'Agribrands Purina Canada Inc., Charles Lapointe. La contamination de la moulée remonte au début du mois alors qu’un chargement de farine de sang, en provenance de l’Ouest, est entré en contact avec des résidus de farines de viande et d’os de ruminants à la suite du mauvais nettoyage du wagon servant au transport. Une partie de la cargaison s’est retrouvée à l’usine de Drummondville. Le problème a été identifié la semaine dernière par la compagnie Agribrands Purina qui a aussitôt avisé l’ACIA. «Au total, une centaine de fermes du Québec et de l’Ontario ont reçu les aliments pour ruminants potentiellement contaminés», indique la Dre Christiane Allard, porte-parole de l’Agence. Des inspecteurs de l’ACIA visitent actuellement les fermes ayant reçu la moulée non conforme.
  14. Animal

    Les agneaux du printemps

    Mis en ligne le 19 novembre 2006 Les agneaux du printemps En concentrant davantage leurs naissances au printemps, des éleveurs d'agneaux sont fins prêts pour la saison estivale et ses méchouis. Certains producteurs de fromages le font pour s'assurer d'avoir assez de lait pour une plus forte fabrication de leurs produits pendant la période de demandes qui va du début de l'été jusqu'à la fin de l'automne. À la ferme Fromagerie du Mouton blanc à La Pocatière, les éleveurs pratiquent l'insémination artificielle pour concentrer les agnelages au printemps. Lionel Levac a rencontré la bergère Rachel White. Écouter le reportage en cliquant à droit de votre écran: http://net.radio-canada.ca/actualite/semaine_verte/reportage.aspx?idDocument=28601&idItemMenu=28
  15. L'Institut de la fourrure du Canada annonce la création d'un nouveau Comité de la chasse au phoque (Le 13 octobre 2006) L'Institut de la fourrure du Canada a annoncé récemment la formation d'un nouveau Comité de la chasse au phoque qui servira de réseau pour les questions liées au phoque afin de fournir des comptes rendus équilibrés sur la gestion de la conservation/du milieu marin, le bien-être des animaux, l'aspect socioéconomique et la santé humaine. « Les campagnes des groupes s'opposant à l'utilisation des animaux et qui montrent des photos crues ou utilisant des déclarations empreintes d'émotion sont une très mauvaise source d'information », a déclaré M. Williams. « Leur philosophie est que la conservation de la faune n'est possible que par la non-utilisation, qui a causé du tort aux vrais conservationnistes, c'est-à-dire les communautés autochtones et côtières qui pratiquent la chasse au phoque d'une manière respectueuse de l'environnement grâce à l'utilisation durable, à des techniques de mise à mort respectueuses et à la pleine utilisation des animaux capturés. » Grandement influencés par les campagnes de ces défenseurs des droits des animaux, certains pays d'Europe songent à imposer de nouvelles interdictions à l'importation de produits du phoque. Ces pays prétendent souscrire aux valeurs d'utilisation durable de l'UICN (l'Union mondiale pour la nature) et sont Parties à la Convention sur la diversité biologique qui s'engage au respect de la conservation et de l'utilisation durable et au partage des avantages découlant des ressources renouvelables. La chasse au phoque est de plus en plus respectée en tant qu'industrie de ressource renouvelable fournissant d'excellents produits naturels - des peaux pour les vêtements, de la viande destinée à la consommation humaine et animale et de l'huile de phoque, riche en acide gras omega-3, devenue populaire depuis quelques années comme supplément naturel ayant de vastes avantages pour la santé, dont la réduction du risque de crise cardiaque. « L'objectif de notre nouveau Comité de la chasse au phoque consiste à favoriser une meilleure compréhension de cette industrie de ressource renouvelable », a déclaré le directeur exécutif de l'Institut, Rob Cahill. Nous préparons un site Web (www.sealsandsealing.net) qui servira d'endroit où quantité de gens pourront partager des histoires véridiques avec les législateurs, les médias et le grand public dans le monde entier ". http://fur.ca/index-f/news/news.asp?action=news&newsitem=10_18_2006
  16. J'ai trouvé un article très intéressant concernant les douleurs chez le chien DOULEUR CHEZ LE CHIEN Je pense intéressant de préciser quelques connaissances dans le domaine de la douleur chez le canin. J’ai reçu hier un chien en consultation qui n’a malheureusement pas pu être sauvé mais qui aurait sans doute pu l’être si certaines connaissances de base avaient été acquises par les propriétaires ou les personnes présentes sur la course, si l’interprétation des symptômes n’avait pas été erronée et si les réactions avait été adaptées. Samedi, ce chien a subi un trauma abdominal sur un « emmélage » suivi d’une bagarre (c’est du moins ce qui m’a été relaté). Le chien après un épisode douloureux et de prostration s’est rapidement « remis ». Aucune douleur ne semblait subsister et seule une relative apathie mise sur le compte du stress psychologique (je cite) était encore remarqué par le propriétaire dans les heures qui suivaient. Le chien accepte la nourriture le soir. Dans la soirée et la nuit suivante, le chien apparaît prostré, la respiration est accélérée et l’état général se dégrade. Le chien refuse tout apport alimentaire et hydrique. Les propriétaires ne remarquent aucun syndrome douloureux. A aucun moment les propriétaires n’ont procédé à une palpation ni recherche symptomatique, la température rectale, la FC et la coloration des muqueuses n’ont pas été vérifiées. J’ai reçu le chien hier matin dans un état d’anémie. les muqueuses très pâles avec une défense abdominale relativement marquée mais pas « excessivement ». L’écho montre un écrasement de la pointe splénique et une petite hémorragie interne. Le propriétaire ne comprends pas. Il explique qu’en l’absence de douleur et devant l’état qui semblait s’être amélioré après l’incident il n’a pas jugé utile de consulter, conforté dans sa démarche par les personnes présentes. Il explique aussi qu’il a déjà été confronté à des incidents de ce genre (bagarres….) avec des syndromes douloureux beaucoup plus marqués et qui, en définitive, ne présentaient aucun caractère de gravité. Il termine en précisant que son chien est sensible et qu’il supporte mal le moindre « bobo ». Qu’il a déjà eu « mal au ventre » sans raison et qu’il se plaignait facilement pour pas grand chose (je cite). Ce cas me paraît illustrer une suite d’erreurs et d’incompétences, notamment relatives à l’interprétation du phénomène douloureux. Même si aujourd’hui il est quasiment établi que le chien possède les mêmes « relations » avec la douleur que l’homme,(ses mécanismes neurologiques de transmission des stimulus nociceptifs, étant les mêmes), il modifie néanmoins dans une large mesure sa tolérance à la douleur en fonction des situations, des circonstances….. Ainsi, une douleur « faible » associée à un stress ou à une situation « incomprise » est susceptible d’effets délétères bien supérieurs à une douleur plus importante survenant dans une situation « normale » (caninement parlant). La douleur chez le chien est relativement « subjective » et son extériorisation, pas toujours ou pas forcément un indicateur fiable en rapport avec la gravité ou non gravité de la pathologie ou du traumatisme. Pour interpréter un syndrome douloureux chez le chien il convient de connaître les raisons qui ont engendré cette douleur, l’endroit, la gène occasionnée….., la situation physique dans laquelle cette douleur est susceptible de placer le chien vis à vis de ses congénères et de ss habitudes (handicap, infériorité, changements d’habitudes….) et, si la douleur est issue d’une suite « logique » de comportements canins (bagarre…..), quel est l’individu (ou les individus) qui sont à l’origine…. Une douleur issue d’une bagarre « logique » (par un dominant) sera toujours mieux perçue et acceptée qu’une douleur issue d’une bagarre de groupe ou d’un subalterne (on ne préjuge ici que de la douleur et non pas des conséquences médicales). D’autre part, une douleur « importante » (logiquement aux vues des blessures ….) survenant dans le cadre d’une bagarre sera toujours mieux « perçue », tolérée et supportée qu’une douleur « faible » ou moins intense survenant dans le cadre d’une maladie, d’une « attaque » injustifiée ou incomprise, pour une raison « anormale »…. Il faut ensuite relativiser la notion de douleur « faible » ou « importante » (en rapport avec l’interprétation et les sensations humaines). Une douleur est avant tout « psychologique » (on parle d’impression de douleur). Il n’existe donc pas de douleur « faible » ou de douleur « forte » mais il existe uniquement « l’ interprétation » qui en est faite et les conséquences qui peuvent en résulter. Une douleur « faible » (jugée comme telle car issue d’une blessure peu importante, par exemple) peut être très « importante » au niveau psychologique (et donc en définitive au niveau physique car « inoubliable », handicapante, stressante….) Aujourd’hui, on estime et je pense à juste titre, que chez le chien le stress engendré par une douleur (sans considération d’intensité) est une des raisons principales à un non rétablissement, un ralentissement de celui ci ou au phénomène de dépérissement. Je répète : « Sans considération d’intensité ». Quelquefois une douleur « faible » ou une simple « gêne » perçue comme telle par l’homme peut, dans certaines circonstances amener un chien dans des situations catastrophiques. Ainsi, une douleur post-chirurgicale (qui est plus ou moins inévitable) est toujours très mal « interprétée » par un chien. Celui ci ne comprend pas une douleur (ou une gêne) qui n’existait pas et qui survient brutalement (au réveil) alors qu’aucune raison ne la amenée. Cependant, cette « interprétation » est au moins autant dépendante du type d’opération (endroit …) que de l’intensité relative de la douleur qu’elle engendre. Ainsi, à la différence de l’homme, le chien supporte bien mieux les suites opératoires d’une intervention à l’abdomen (pourtant réputée douloureuse) que les suites d’une intervention « banale » de petite orthopédie, par exemple ou à la mâchoire, à la gueule…. Pour des raisons plus ou moins « inconnues », on remarque qu’un chien supporte mieux toute douleur « masquable » (l’abdomen peut-être caché en se plaçant en « boule »…) alors qu’une plaie à la patte qui est plus difficile à cacher et toujours très léchée, le sang effacé….. C’est aussi une douleur visible dans le sens ou le chien boîte…. On suppose que ce sont peut-être des réminiscences d’instincts qui poussaient l’animal blessé à cacher ses blessures, blessures qui mettaient l’animal en position de faiblesse visible, … ???? Relativement récemment des études ont été menées dans le but d’estimer la douleur (dans le sens douleur réelle + stress+gêne+handicap+ « inconnu »……) des suites opératoires d’interventions « classiques » et de la nécessité ou non de l’analgésie. - % de sujets ayant réagit positivement à une analgésie effectuée à le suite d’interventions : (donc ou l’analgésie peut-être estimée utile ou moins utile). - Traitement chirurgical à la suite d’un trauma (bagarre….) ailleurs qu’aux membres : 1 à 3% - Traitement chirurgical à la suite d’un trauma (bagarre….) aux membres : 3% à 10% - Castration : 5 à 7 % - Ovario-hystérectomie : 10 à 15 % - Intervention abdominale (torsion ou autre…..) : 10 à 20 % - Intervention sur les griffes ou les coussinets (suite à une blessure, traitement suite à une infection ou autre….) : plus de 65 % - - Chirurgie orthopédique (réduction de fracture ou autre….) : Plus de 85%. Le dernier cas est le plus significatif dans le sens ou une analgésie prodiguée avant l’opération dans le cas de la réduction d’une fracture (alors très douloureuse voire plus douloureuse qu’après l’opération) n’a une réponse que dans moins de 35% des cas ! La symptomatique n’est ainsi pas forcément significative de la gravité de l’atteinte ni de l’intensité estimée de la douleur mais plutôt de « l’interprétation » par le chien de cette douleur. Non seulement un chien supporte mieux certaines douleurs suivant leur origine ou leur localisation mais aussi les supporte très différemment suivant leur « type ». Dit inversement, un chien très mal certaines douleurs …… Le chien supporte bien mieux la douleur continue … (type morsure, coupure…..) qu’une douleur spasmodique ou qui survient ou s’intensifie lors de certains mouvements, de certaines circonstances…. Pour cette raison, un chien peut ne pas boiter ou boiter peu dans le cas d’une grave élongation ou déchirement (pourtant très douloureuse chez l’homme)…… et marquer de moins en moins sa douleur au fur et à mesure qu’il s’y « habitue » jusqu’à éventuellement ne plus la marquer du tout que dans le cas d’une « petite » douleur ou simple gêne à un coussinet qui se reproduit à chaque posé du pied. Ainsi, une petite épine bénigne peut provoquer un non posé du pied (forte boiterie) alors qu’une élongation « grave » provoquera éventuellement une boiterie « modérée ». Pour les mêmes raisons, l’épine peut induire des phénomènes de stress importants avec des fièvres, des apathies …… alors qu’à la base aucune raison médicale ne peut justifier de ces états délétères. De plus, il faut bien comprendre qu’un chien à les mêmes « visions flash » vis à vis de la douleur que vis à vis de son apprentissage général. Toute situation, toute douleur comparable (même endroit, mêmes circonstances, mêmes visions etc….) est capable d’engendrer la sensation de la douleur connue alors même que celle ci n’existe pas réellement (ou pas en rapport direct avec celle connue). Certains praticiens pensent à un rapport avec la douleur fantôme. Quoi qu’il en soit, un chien réagira toujours plus mal (ou très mal)à une douleur ou un état connu dans sa « mémoire flash » qu’à une douleur première (sans considération des situations qui l’ont amenée). C’est peut-être ici un des points les plus importants à connaître. La douleur peut orienter vers des diagnostic complètement erronés si les antécédents du chien ne sont pas connus ou ignorés et si aucun rapprochement avec une situation précédente éventuelle n’est établie. Il faut tenir sur le carnet de santé TOUS les épisodes douloureux et les réactions du chien en rapport avec cette douleur. Pour cela et dans ce domaine plus que tout autre, il faut absolument bannir tout anthropomorphisme ou rapprochement avec les sensations et réactions humaines. Il ne faut JAMAIS éluder le facteur stress en rapport avec la douleur ou la modification des habitudes qui est souvent bien plus délétère que la douleur elle même. Il ne faudra JAMAIS tenter d’apprécier l’intensité ou la non intensité de la douleur en rapport avec une « équivalence » humaine et par là, en déduire le comportement à avoir. Tout chien qui souffre (AU SENS CANIN) et tout particulièrement après une douleur « incomprise » (opération, choc électrique….), doit AVANT TOUT être placé en SITUATION CONNUE et « réconfortante » (pas de « nouveau» couchage ou modification du comportement alimentaire par exemple….et bannir tout changement ou habitude qui n’aurait pas existé si le chien n’avait pas été blessé ou malade. Il est très important de ne jamais laissé un chien blessé ou souffrant dans une situation qui risque de mettre en exergue cette blessure vis à vis de son entourage, dans une position de « faiblesse »…. Il est très courant voire normal qu’un chien souffrant présente une température rectale plus élevée que la normale à très élevée et cela proportionnellement au stress induit par la douleur ou la situation (nous voyons des 41° et plus !!!!). Pour cela des douleurs spasmodiques sont toujours « inquiétantes » chez le chien. Un antispasmodique doit toujours être détenu dans une pharmacie canine ! Je conseille même d’avoir en permanence un AS injectable en SC et un AS (ou le même) en prise orale. Quelquefois, il est préférable de « pré-anesthésier » le chien (tranquillisants) que de laisser dans une situation où apparaîtra un stress. Attention à ne pas employer d’aspirine ou d’ibuprofène…. Chez le chien (et particulièrement les nordiques) qui outre la dangerosité présentée, n’ont aucun effet antalgique chez le chien ! L’estimation de la douleur chez le canin est néanmoins très importante à faire (et bien faire). Elle repose NON PAS SUR LA SYMPTOMATIQUE mais sur une corrélation des expressions douloureuses et les réactions d’instincts (donc cette estimation est dépendante des races, des lignées….). Les points basiques sont la dilatation des pupilles, la fièvre, le halètement, l’augmentation des RC et RR, l’anorexie, l’apathie….bien que tous ces points ne sont pas systématiques. La dilatation des pupilles, l’élévation du RC et la fièvre restent les meilleurs éléments d’estimation. Il faut donc avant tout, très bien connaître le chien et ses constantes en temps normal. http://www.bogeyman.org/articles.php?lng=fr&pg=119
  17. Le jeudi 23 novembre 2006 Tim «Eater X» Janus a terminé au second rang. Il a englouti 3,815 livres (1,73 kg) de dinde en 12 minutes. Photo AFP Le plus gros mangeur de dinde: une technique et un mental d'acier Catherine Hours AFP New York Le visage luisant de gras, les mains pleines, un jeune homme de Chicago a remporté mercredi à New York le concours du plus gros mangeur de dinde 2006. Son secret: concentration et technique, «comme n'importe quel athlète». Le titre est convoité sur le circuit des championnats de gros mangeurs, et a fortiori en cette semaine de Thanksgiving, fête où la dinde est reine. http://www.cyberpresse.ca/article/20061123/CPINSOLITE/61122129/0/FRONTPAGE
  18. Il s'agissait peut-être de coyotes, de loups et de renards plutôt que de chiens. À première vue, une fois la fourrure retirée, ça doit quand même être assez difficile de le savoir, à moins que ça ait été confirmé par des agents de la faune (?)
  19. Tout l'monde se lance la balle. Après tout, c'est pas bien grave, il ne s'agissait que d'animaux... En faisant une petite enquête rapide, il aurait pourtant été facile de retracer d'où ces poules complètes provenaient, (celles qui ont été utilisées comme appâts par ce trappeur)... Il n'y a pas des milliers d'éleveurs de poules à Charlesbourg... Bien des éleveurs de poules et autres animaux de "boucherie" font appel à des trappeurs pour piéger sur leurs terre. Ils se connaissent. De plus, selon la conseillère à la protection de la faune "Il y avait des marques de pièges sur les pattes". Pourtant, l'industrie de la fourrure passe son temps à crier haut et fort que seuls des pièges "humanitaires" (rembourrés) sont utilisés. Comment expliquer alors qu'ils laissent des marques sur les pattes des animaux ?
  20. mon message à la poison qui dit que le cartilage des oreilles n'est pas douloureux HAHAHHAHAHHAHAHAH Comme j'ai une malade du cartilage de l'oreille, je suis bien en mesure de lui prouver le contraire.... «Mon père souffre d’une maladie (bénigne) du cartilage de l’oreille. En fait, il s’agit d’une chondrodermatite nodulaire de l’hélix, située sur le haut d’une de ses oreilles (pour laquelle il sera bientôt opéré), et c’est tellement douloureux qu’il ne peut plus se coucher sur son oreille depuis des mois, donc il est bien évident que le cartilage des oreilles peut être très douloureux et je n’ai aucune raison de croire que le cartilage des oreilles des chiens est moins douloureux que celui des humains. »
  21. Animal

    Un mal de chien

    Bravo ma belle Cé ! Je viens de lire ton commentaire dans mon forum ! Elle va restée bouche-bée !
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