Animal

Mis à jour le 06 septembre 2009 à 05h00 André Berthiaume a surpris un quatuor d'ursidés dans sa cour arrière. Photo fournie par André Berthiaume Matthieu Boivin Le Soleil (Québec) Affamés et en manque de petits fruits, les ours hésitent de moins en moins à s'approcher, en cette fin d'été, des maisons situées en bordure des forêts afin de chercher la nourriture dont ils ont tant besoin afin de passer l'hiver. ... L'agent de la protection de la faune ajoute que les ours se nourrissent aussi dans les mangeoires d'oiseaux et fouillent dans les ordures afin d'y trouver de la nourriture. «L'ours peut détecter des odeurs à 30 km, affirme-t-il. Si vous faites un barbecue sur votre balcon, il peut sentir l'odeur et lui suivre jusqu'à votre maison.» M. Chainé avance que cette année, les agents sont inondés d'appels en raison des ours. Leur présence est particulièrement remarquée dans les régions des Laurentides et de Lanaudière, où des bêtes ont dû être abattues, car elles ne cessaient de rôder autour des demeures. Dans la région de la Capitale-Nationale, plusieurs signalements d'ours ont été mentionnés aux agents de la faune, surtout dans les secteurs du Lac-Beauport et de Shannon. «Aucune attaque d'ours contre les humains n'a été recensée cette année au Québec, précise M. Chainé. ... http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/environnement/200909/05/01-899247-maman-ourse-et-ses-oursons-sinvitent.php

Mis à jour le 05 septembre 2009 à 07h23 Une ferme laitière s'envole en fumée Voilà tout ce qu'il reste de la ferme laitière du 3e rang Ouest, à Sainte-Cécile-de-Milton, qui a été la proie d'un incendie d'origine électrique. photo Alain DIon Karine Blanchard La Voix de l'Est (Sainte-Cécile-de-Milton) Une ferme laitière de Sainte-Cécile-de-Milton a été rasée par un incendie d'origine électrique, jeudi soir. Une soixantaine de vaches ont péri. Les pertes sont évaluées à 1,5 million de dollars. ... Les dommages sont évalués à 1,5 million de dollars. Denis Lussier ne le cache pas: son troupeau qui a péri représentait une part importante de son revenu. «Ce sont les vaches qui me rapportaient le plus, dit-il. C'est mon plus gros revenu qui vient de disparaître.» Fort heureusement, M. Lussier était «bien assuré». «C'est sûr que je vais rebâtir, dit-il sans hésitation. http://www.cyberpresse.ca/la-voix-de-lest/actualites/200909/05/01-899098-une-ferme-laitiere-senvole-en-fumee.php

Maintenant que les gens sont au courant, ils peuvent faire un choix: continuer à soutenir cette industrie ou non

Qu'est-ce que ça veut donc dire, un cours de phoques 101 !

allo Jaycika, Peux-tu indiquer l'adresse s'il-te-plaît ?

Que ça soit en Norvège, en Chine, ou chez-nous au Québec ou au Canada, les animaux élevés pour leur fourrure vivent un véritable enfer, de leur naissance jusqu'à leur mort. Filmées par des activistes en 2009, des images provenant de fermes d'élevage d'animaux à fourrure en Norvège http://www.flickr.com/photos/dyrsfrihet/sets/72157621987318377/?page=2 Activists say some Norway fur farms abuse animals http://planetark.org/wen/54368

Que ça soit en Norvège, en Chine, ou chez-nous au Québec ou au Canada, les animaux élevés pour leur fourrure vivent un véritable enfer, de leur naissance jusqu'à leur mort. Filmées par des activistes en 2009, des images provenant de fermes d'élevage d'animaux à fourrure en Norvège http://www.flickr.com/photos/dyrsfrihet/sets/72157621987318377/?page=2 Activists say some Norway fur farms abuse animals http://planetark.org/wen/54368

de pire en pire !

Tu as tellement raison Linda ! C'est vraiment enrageant de constater que la majorité de la population du Québec se fout complètement des animaux ! Comment s'attendre ensuite que le gouvernement et les autorités les défendent!

Pauvre petit minet! Comment peut-on être aussi cruel envers un petit animal sans défense

Un petit nettoyage et la madame pourra recommencer sa sale «business» !

Exactement! Mais c'est aussi la faute des gens qui laissent traîner leurs poubelles, et aussi la faute des trappeurs et des chasseurs qui appâtent les animaux avec des pommes, de la mélasse, des animaux morts, etc.- Et ça, on n'en parle bien sûr jamais dans les journaux

POLICES OU COMPLICES? ‘’Le service de police de la ville de Québec a conclu que les enlèvements de chats du mois d’octobre 2008 étaient l’affaire d’une dame dérangée…’’ Voilà bientôt près d’un an que nous attendons en vain des explications. Bien avant les évènements d’octobre, c’est en juin que la fameuse madame minou a été dénoncée et contactée par les policiers. Attrapant un chat avec une cage, plusieurs témoins ont relevé son numéro de plaque ( que nous détenons). Elle prétendait travailler pour la ‘’faune’’. Sa maladroite façon de faire était tout ce qu’il y a de plus ‘’amateur’’. S’il faut en croire les policiers, elle aurait monté rapidement dans la ligue professionnelle. Ils lui imputent rien de moins que la razzia sans précédent survenue quatre mois plus tard. Selon leur version, elle aurait récidivé et capturé à elle seule, sans se faire voir, près de quarante chats en trois semaines, sûrement récipiendaire alors du titre de recrue de l’année. Ils doivent être fiers de leur cynique communiqué final, pointant exclusivement cette dame, prétendument non responsable de ses actes et ne pouvant donc pas être ni accusée, ni identifiée. Habile, mais éculée, cette stratégie pour bâcler le dossier. Ils ont ressorti le scénario classique trop souvent utilisé dans ce genre d’enquête; accuser le fou du village. Par surcroît, quand ce dernier est anonyme, qu’il existe ou non, il peut prendre la responsabilité de tous les crimes. Ça évite de remonter la filière pour découvrir où sont vraiment allées les bêtes. Difficile de croire leur version puisqu’ils n’ont même pas récupéré une seule boule de poils . Pourquoi les policiers ont-ils effrontément menti à la presse écrite en disant que les chats étaient ramenés là où ils avaient été enlevés alors que tout le monde sait que c’est faux ? Un mépris total pour les victimes, indigne d’un service de police. Où sont ces chats qui, selon leur dire, étaient dorlotés, nourris et soignés avant d’être rapportés ? Ils n’ont pas retrouvé l’ombre d’un chat. Ils ont déniché, à défaut de chats, la parfaite petite histoire rassurante qui, en fin de compte, protège les vrais coupables. Le jour où l’enquête s’est terminée, dans certains labos, en plus des miaulements, on entendit des soupirs, puis des applaudissements. Était-ce pour la police ou pour les complices ? Faites parvenir vos commentaires à chatsperdus@live.fr www.chatsperdusquebec.com

Pauvres petits ! Faut-il être un maudit lâche pour abandonner une portée de chiots dans une boîte de carton !

sans compter qu'une musique accoustique stressent aussi énormément les oiseaux, qu'ils soient en cage ou en liberté... Chaque fois qu'il y a des feux d'artifices accompagnés de musique accoustique organisés pour toutes sortes de raisons aujourd'hui, je ne peux m'empêcher de penser à tous ces pauvres animaux qui doivent subir ces bruit d'enfer, dans la peur et le stress, alors que la majorité d'entre eux, aiment dormir paisiblement, et surtout les oiseaux, qui pour la plupart d'entre eux ne peuvent pas s'enfuir (ils ne peuvent pas voler la nuit) et doivent subir tout ce vacarme

moi aussi !

Ça c'est une excellente nouvelle !!!!!!!!!!! Ben oui, mais les mouvements antifourrures montrent les choses comme elles sont- elles ne font pas de cachotteries comme le fait l'industrie de la fourrure. En une seule décennie, combien de personnes sont mortes de la rage au Québec? Combien sont mortes de tularémie ? Quand on veut tuer son chien, ont dit qu'il a la rage !

Il voit clair ce capitaine Watson! Je suis totalement en accord avec ses propos.

oui, il ne fait aucun doute que le bonhomme a quelque chose à cacher... Donne-nous des nouvelles si tu en reçois d'Anima-Québec Linda. Je crois que ça vaut la peine de leur signaler ce chenil en espérant qu'ils iront y faire une visite...

merci Caro

Merci animo Je trouve qu'il écrit de mieux en mieux Il se trouve aussi sur son blog d'autres articles que je n'avais pas encore lus... entre autre, j'aime beaucoup la mise au point qu'il a faite pour faire suite à un article du Devoir: «L'Entrevue - Sans viande, pas d'humanité» de Fabien Deglise http://www.ledevoir.com/2009/07/13/258846.html

et à combien de tortures supplémentaires faudrait-il soumettre des animaux pour tester cette technique. De toute manière, comme les animaux ne peuvent pas parler, il serait impossible d'avoir la certitude qu'ils n'ont plus la capacité de souffrir physiquement ou autrement

Je me croise les doigts... et j'espère que ça ne tournera pas en queue de poisson, comme ces enquêtes qui avaient été faites au Québec par le Réseau action globale et + ,dans un élevages de canards gavés (entre autre, Élevages Périgord), qui démontraient hors de tous doutes avec films à l'appui qu'il y avait effectivement eu des actes de cruauté envers les animaux, mais qui n'ont finalement absolument rien changé, puisque l'éleveur, protégé par l'industrie, média, etc. s'en est sorti pattes blanches!

Ça m'étonnerais beaucoup que le «code d'éhique» ait été enfreint, puisque cette pratique est courante dans tous les gros élevages de poules pondeuses en Amérique du Nord. Seulement, peu de gens le savent. Je me souviens avoir vu un reportage (peut-être La Semaine Verte (?), où on nous montrait comment, dans un élevage de poules, les poussins étaient triés par sexe: les femelles déroulant sur un tapis d'un côté, puis de l'autre, les poussins mâles dirigés sur un tapis roulant qui les menaient directement vers une espèce d'énorme rouleau compresseur qui les écrasaient vivants... Le narrateur présentait ce reportage comme si tout était tout-à-fait normal...