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15 septembre 2009 à 11h10 | Mis à jour à 11h18 Se mettre à nu à toutes les causes Greenpeace a convaincu des dizaines de militants de se dénuder devant la caméra du célèbre photographe américain Spencer Tunick pour une action d'éclat au pied du glacier suisse d'Altesch, en août 2007, dans le cadre d'une campagne de sensibilisation aux changements climatiques. Photo archives AFP Cyberpresse Des ouvriers bretons qui posent nus pour sauver leurs emplois. Des manifestants anti-corrida allongés sans vêtements dans les rues de Paris. Des cyclistes entièrement dénudés à Londres pour protester contre les transports motorisés. Des militants à poil à Madrid pour dénoncer le massacre des phoques au Canada... Bref : il ne se passe plus une semaine dans le monde sans que des manifestants utilisent leur nudité pour frapper les esprits. Le phénomène serait en croissance, selon Libération, qui consacre une série d'articles sur le sujet. Des «nudistes d'occasion» racontent leur expérience, tandis que la spécialiste Francine Barthe-Deloizy explique pourquoi, aujourd'hui, mieux vaut être vu (nu si possible) pour être entendu. «Se mettre nu est un acte courageux. C'est une nouvelle arme, un matériau pour de nouvelles luttes», affirme-t-elle. Lisez la suite sur Libération.fr http://www.liberation.fr/vous/0101590682-pour-se-faire-entendre-il-faut-etre-vu
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Profit et ambition: La grande épopée de la traite des fourrures LA VIE RURALE – GATINEAU – 10 Septembre 2009, COMMUNIQUÉ Descente des rapides. Frances Anne Hopkins, 1879. Bibliothèque et Archives Canada. Un récit épique où la chance, le risque et l’aventure ont tracé le chemin qui a mené le Canada vers l’expansion et le développement. C’est ce que présente le Musée canadien des civilisations dans Profit et ambition – La traite des fourrures au Canada, 1779-1821, une exposition qui relate l’histoire de la Compagnie du Nord-Ouest, un consortium extraordinaire d’entrepreneurs montréalais, d’explorateurs écossais, de voyageurs canadiens-français, de chasseurs de bison métis, de trappeurs autochtones et de « femmes du pays ». Ensemble, ils ont créé un empire commercial, ouvert de nouvelles routes sur tout le continent et jeté les bases du Canada tel que nous le connaissons aujourd'hui. « La Compagnie du Nord-Ouest a joué un rôle central dans le développement économique, social et politique du pays », rappelle Victor Rabinovitch, président de la Société du Musée canadien des civilisations. « Cette exposition explique magnifiquement comment elle a contribué à la naissance du Canada. » Profit et ambition raconte la saga de la Compagnie du Nord-Ouest et dresse un portrait fascinant des pratiques commerciales impitoyables et du mode de vie exigeant de la traite des fourrures. Elle introduit également les visiteurs à quelques-uns des grands noms de l’exploration de l’Ouest canadien, comme les Alexander Mackenzie, Simon Fraser, David Thompson et Peter Pond. « Il s’agit véritablement d’un récit épique », souligne David Morrison, conservateur de l’exposition et directeur, Archéologie et histoire, au Musée des civilisations. « Sous la bannière de la Compagnie du Nord-Ouest, des individus d’horizons différents ont été réunis, des actions héroïques ont été accomplies, le rôle de Montréal en tant que centre commercial du Canada a été établi, et l’influence de l’Amérique du Nord britannique s’est étendue de l’Atlantique aux océans Pacifique et Arctique. » L’exposition retrace aussi la concurrence féroce que se sont livrés, dès 1779, le consortium de Montréal et la Compagnie de la Baie d’Hudson, dont le siège social était à Londres (Angleterre). Cette dernière dominait alors le commerce canadien des fourrures depuis plus de 100 ans. Elle transigeait dans des postes de traite établis sur les rives de la baie d’Hudson, laquelle lui offrait un accès maritime direct vers l’Europe. Pour rivaliser, la Compagnie du Nord-Ouest ouvrit de nouvelles routes d’échange au sud, rejoignant les trappeurs autochtones en route vers la baie d’Hudson, et n’hésita pas à se montrer impitoyable. Il a suffi à la Compagnie du Nord-Ouest d’un peu plus de 15 ans pour s’emparer de près de 80 pour cent du commerce des fourrures au pays. Mais cette concurrence, coûteuse pour les deux entreprises, entraîna finalement leur fusion. Des artefacts et des œuvres d’art historiques Profit et ambition regroupe quelque 250 artefacts et œuvres d’art. Parmi les nombreux objets remarquables figurent des articles de commerce – tels des mousquets, des outils en métal, des bijoux et des ornements – et des vêtements autochtones et européens. De nombreux objets exposés datent de la fin des années 1700. L’exposition présente aussi des documents originaux de la Compagnie du Nord-Ouest dont des ententes de partenariat, des contrats de voyageurs et des registres. Une première édition extrêmement rare du journal publié d’Alexander Mackenzie, restaurée par le Musée, est une des pièces dont la valeur est particulièrement importante. Parmi les œuvres d’art présentées, on trouve des peintures de Frances Anne Hopkins, une Anglaise étonnante qui a voyagé avec son mari en canot rabaska au milieu des années 1800 et capté des scènes classiques du commerce des fourrures. Sont également exposées des peintures du début du xixe siècle réalisées par le Suisse Peter Rindisbacher, le premier artiste professionnel à résider dans l’Ouest canadien. La plupart des artefacts sont tirés des propres collections du Musée mais quelques-uns proviennent d’autres institutions telles que Bibliothèque et Archives Canada, le Musée McCord, l’Université McGill, les Archives de la Compagnie de la Baie d’Hudson et la Toronto Public Library. Profit et ambition – La traite des fourrures au Canada, 1779-1821 sera présentée du 11 septembre 2009 au 12 septembre 2010 au Musée canadien des civilisations, à Gatineau (Québec). Le Musée canadien des civilisations est l’institution culturelle la plus vaste et la plus populaire du Canada, attirant plus de 1,2 million de visiteurs chaque année. Le rôle principal du Musée des civilisations consiste à préserver et à faire connaître le patrimoine du Canada, contribuant ainsi à promouvoir et à renforcer l’identité canadienne. Le Musée abrite également le Musée canadien de la poste et le Musée canadien des enfants. Le Musée canadien des civilisations est un centre voué à la recherche et à l’information publique sur l’histoire sociale et humaine du pays. – 30 – Source: Yasmine Mingay Chef, Relations médias Tél. : 819 776-7167 http://www.la-vie-rurale.ca/contenu/21787
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La crème des rodéos par Andrée-Anne Trudel Article mis en ligne le 9 septembre 2009 Soyez le premier à commenter cet article Photo L'Hebdo / Andrée-Anne Trudel La crème des rodéos La réputation de Saint-Tite n’est plus à faire en ce qui a trait aux rodéos. Pour cette 42e édition du Festival Western, 10 rodéos seront présentés dans les Grandes Estrades. ... Les épreuves de dressage La Monte de cheval sauvage sans selle La Monte de taureau sauvage La Monte de cheval sauvage avec selle Les épreuves de vitesse La Prise du veau au lasso La Prise du bouvillon en équipe Le Terrassement du bouvillon Les épreuves d’habileté La Course de sauvetage L’Échange de cavaliers La Course entre barils http://www.lhebdomekinacdeschenaux.com/article-i374697-La-creme-des-rodeos.html
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Saint-Tite Un rodéo renommé Marie-France Bornais Le Journal de Québec 12/09/2009 12h22 SAINT-TITE | «Ça fait 10 années de suite qu'on gagne le meilleur rodéo extérieur en Amérique du Nord de notre division, dans l'International Professional Rodeo Association, dont les bureaux sont basés à Oklahoma City», mentionne Pascal Lafrenière, directeur général du Festival western de Saint-Tite. Cette association sanctionne plus de 300 rodéos à travers les États-Unis et le Canada. Ses membres proviennent de partout aux États-Unis, mais aussi du Québec, de l'Ouest canadien et de pays étrangers comme le Brésil, l'Australie, la France et le Mexique. «La qualité des cow-boys est très relevée, à Saint-Tite. Ils proviennent du Québec, du Canada et de 23 États américains. On est un beau tremplin pour la relève québécoise, qu'on tente de supporter», précise M. Lafrenière. ... 250 têtes Sylvain Bourgeois, le directeur du rodéo, gère un agenda bien rempli et son cellulaire n'arrête pas de sonner. Toute la semaine, il a supervisé la réception des bêtes de rodéo, qui arrivaient d'aussi loin que l'Alberta, l'Iowa et le Maryland. «On va avoir plus de 250 têtes d'animaux pour les disciplines de chevaux et de taureaux sauvages», a-t-il expliqué. ... «Les animaux qui font du rodéo ont un tempérament assez nerveux. Ils sont sélectionnés parce qu'ils sont déjà allés au rodéo et ont entre 10 et 20 ans. Ils vivront beaucoup de stress pendant la semaine et notre priorité, c'est qu'ils n'aient pas d'accident. On travaille d'ailleurs depuis sept ans avec la Faculté de médecine vétérinaire de Saint-Hyacinthe.» http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/archives/2009/09/20090912-122223.html
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Publié le 04 septembre 2009 à 07h35 Le feu détruit une ferme de La Visitation Une trentaine de pompiers ont combattu pendant une bonne partie de la journée d'hier un violent incendie qui a ravagé un ferme laitière du rang Saint-Joseph à La Visitation. Photo: François Gervais Mathieu Lamothe Le Nouvelliste (La Visitation) Un incendie a lourdement endommagé une ferme laitière située sur le rang Saint-Joseph à La Visitation, tôt hier matin. Une centaine de vaches ont d'ailleurs péri dans le brasier qu'une trentaine de pompiers ont combattu pendant une bonne partie de la journée d'hier. Le propriétaire de la ferme touchée ainsi que plusieurs autres résidents du secteur ont tout de même réussi à sauver une trentaine de bêtes. ... http://cyberpresse.workopolis.com/le-nouvelliste/vie-regionale/rive-sud/200909/04/01-898726-le-feu-detruit-une-ferme-de-la-visitation.php Ces dernières ont par la suite été prises en charge par d'autres producteurs laitiers qui les ont accueillies dans leur étable. L'un d'eux, Pascal Lemire, n'a pas hésité à venir en aide à son confrère, lui qui a également vu sa ferme partir en fumée en 2002. ... D'autres pertes envisageables Ayant passé à travers un tel incendie il n'y a pas si longtemps, Pascal Lemire a confié au Nouvelliste que son voisin traversera des moments très difficiles au cours des prochains mois. Il a également mentionné que certaines des vaches qui ont été rescapées des flammes pourraient bien ne pas survivre. «Il pourrait avoir d'autres pertes. La fumée a peut-être causé des problèmes internes à des vaches. Il y en a certaines qui sont chez moi qui ont des cloches de brûlures sur le pis», a raconté celui qui avait perdu l'ensemble de son troupeau lors de l'incendie de 2002. ... http://cyberpresse.workopolis.com/le-nouvelliste/vie-regionale/rive-sud/200909/04/01-898726-le-feu-detruit-une-ferme-de-la-visitation.php
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Honfleur: Violent incendie dans une ferme laitière dans Bellechasse 11-09-2009 Cet après-midi vers 13h00, la ferme Paysanne du 5e rang à Honfleur a été la proie des flammes . Un immense panache de fumée noire était visible à des kilomètres à la ronde. Les pompiers en ont eu plein les bras, les flammes sortaient de partout et comme c'est un secteur non alimenté en borne fontaine, il a fallu transporter l'eau à l'aide de camions citernes. Les propriétaires ont réussi à sauver plus de 50 vaches, près d'une vingtaine sont mortes. Cinq municipalités sont venues en entraide dont St-Lazard, St-Anselme, St-Gervais, Ste-Claire et St-Henri. Les pertes sont de l'ordre d'un million de dollars. Au moment d'écrire ces lignes à 19h30, les pompiers étaient toujours sur place afin d'éteindre le reste des flammes. ------------------------ Neuville: Une ferme laitière est détruite par un incendie 12-09-2009 Hier soir vers 19h30, les pompiers de Neuville ont combattu un incendie dans un bâtiment de ferme sur la route 138. La ferme laitière de la Familiale Donald Béland a été détruite mais heureusement, une bonne partie du troupeau a été sauvé des flammes. Un pompier un subi des blessures mineures, ce dernier a été pris en charge par les paramédics. La route 138 a été fermée à la circulation à cause de la fumée dense qui traversait la route. Les pompiers de Pont-Rouge et de Cap-Santé sont aussi intervenus à la demande de Neuville. ------------------------ Ste-Cécile-de-Milton: Un bâtiment de ferme rasé par les flammes 04-09-2009 Un bâtiment de ferme a été la proie des flammes dans le 3e rang de Ste-Cécile-de-Milton en fin de soirée jeudi. Les pompiers n’ont pu que contenir le brasier pour éviter une propagation aux bâtiments adjacents. Les pompiers de plusieurs municipalités ont participé à l’événement. --------------------------------- La Visitation-de-Yamaska. Un bâtiment de ferme passe au feu 04-09-2009 Jeudi matin vers 6h15 un violent incendie s'est déclaré dans un bâtiment de ferme du rang St-Joseph dans la municipalité de La Visitation-de-Yamaska. La majorité des bêtes qui s'y trouvaient ont péri dans les flammes. À cause des forts vents, le feu s'est rapidement propagé à l'ensemble de la structure. Le feu, qui aurait pris naissance à la base des silos à fourrages, a été signalé par un passant vers 6 h. Près de 100 des 130 vaches de l'entreprise ont péri. Les pertes s'élèvent d'ailleurs à plus de 750 000 $. Ce sont les pompiers de la Régie Du Lac St-Pierre avec l'aide des Pompiers de Pierreville qui sont intervenus. ------------ Bic: Des dizaines de porc meurt dans un accident 23-07-2009 Un camion remorque transportant des porcs s'est renversé sur le côté après une perte de contrôle sur la route Voyer. C'est lors d'une descente d'une côte, dans une courbe, que le camion a versé sur le côté. Le conducteur a subi que des blessures légères. Plusieurs dizaines de porcs sont morts écrasés l'un par-dessus l'autre et plusieurs ont dû être euthanasiés sur place par un vétérinaire. Il a fallu plusieurs heures aux intervenants pour transférer les bêtes vivantes dans une autre remorque. Les bêtes étaient affolées et tentaient de se sauver. Les secouristes ont donc utilisé des planches de bois pour bloquer le chemin aux porcs tout en les dirigeant vers une autre remorque. Remorque Provincial a donné un bon coup de main afin de récupérer les carcasses et le camion remorque. ----------- Publié le 05 septembre 2009 à 07h23 | Mis à jour le 05 septembre 2009 à 07h23 Une ferme laitière s'envole en fumée Voilà tout ce qu'il reste de la ferme laitière du 3e rang Ouest, à Sainte-Cécile-de-Milton, qui a été la proie d'un incendie d'origine électrique. photo Alain DIon Karine Blanchard La Voix de l'Est (Sainte-Cécile-de-Milton) Une ferme laitière de Sainte-Cécile-de-Milton a été rasée par un incendie d'origine électrique, jeudi soir. Une soixantaine de vaches ont péri. Les pertes sont évaluées à 1,5 million de dollars. «Ça faisait 45 minutes qu'on était partis de là et tout était beau, raconte Denis Lussier, propriétaire de la ferme avec sa femme et son fils. La voisine a téléphoné et elle a dit à mon gars qu'elle pensait que le feu était pris dans la grange.» Le propriétaire s'est aussitôt rendu à sa ferme, située sur un terrain contigu à sa résidence. Sur place, il n'a pu que constater que le feu avait déjà gagné la presque totalité du bâtiment construit au début des années 1990. «Y'en a qui ont essayé d'entrer dans la laiterie où il y avait un extincteur, mais il y avait plein de boucane, dit M. Lussier. Le feu courait dans la bâtisse dans le temps de le dire.» Les propriétaires n'ont pu sauver le troupeau de 61 vaches. Toutes les bêtes sont mortes. Entre 9000 et 10 000 balles de foin étaient aussi entreposées dans la grange, ce qui a contribué à alimenter le brasier. «C'est sûr qu'une grange pleine de foin, y'a pas grand-chose à faire», dit le producteur laitier. Les flammes ont été si intenses qu'un imposant silo situé près de la grange a été lourdement endommagé. Il devra d'ailleurs être détruit par mesure de sécurité, indique le propriétaire. Une cinquantaine de pom- piers de Sainte-Cécile-de-Milton/ Roxton Pond, Granby, Saint-Pie, Saint-Paul-d'Abbotsford, Saint-Valérien-de-Milton et Roxton Falls ont combattu les flammes jusqu'en matinée. «Nous sommes parvenus à maîtriser le feu seulement tôt ce matin (hier) parce que le foin brûlait encore, dit Earl Jacques, directeur de la brigade de Sainte-Cécile-de-Milton/Roxton Pond. Ça a pris deux pelles mécaniques pour tasser ça.» Le feu aurait pris naissance dans la boîte électrique de la grange. Reconstruction Au lendemain du sinistre, hier, il ne restait pratiquement plus rien de la ferme laitière. Des amas de foin et de morceaux de tôle tordue reposaient près de la grange. Les dommages sont évalués à 1,5 million de dollars. Denis Lussier ne le cache pas: son troupeau qui a péri représentait une part importante de son revenu. «Ce sont les vaches qui me rapportaient le plus, dit-il. C'est mon plus gros revenu qui vient de disparaître.» Fort heureusement, M. Lussier était «bien assuré». «C'est sûr que je vais rebâtir, dit-il sans hésitation. J'ai des amis en masse qui vont pouvoir me donner un coup de main!» D'ici la reconstruction, le producteur laitier aura tout de même du pain sur la planche avec ses deux autres troupeaux de vaches, qui fort heureusement, se trouvent dans deux autres granges. «Une chance que les vaches n'étaient pas dans la même grange», conclut M. Lussier. http://cyberpresse.workopolis.com/la-voix-de-lest/actualites/200909/05/01-899098-une-ferme-laitiere-senvole-en-fumee.php ----- Ferme Lacourbe : un incendie avait éclaté en matinée Article mis en ligne le 31 août 2009 Le feu a tout détruit, faisant périr 15 vaches et causant des pertes évaluées à trois quarts de million de dollars. Voir toutes les photos Ferme Lacourbe : un incendie avait éclaté en matinée Avant que ne prenne naissance le violent incendie à l’heure du lunch, vendredi, à la ferme Lacourbe, propriété de Gilles Houle et de Diane Boutin de la rue de l’Académie à Victoriaville, un feu avait éclaté en avant-midi dans le fenil. «Il y avait eu un problème avec une machinerie, un trancheur à paille. Mais les gens sur place croyaient avoir bien maîtrisé le début d’incendie. Le feu est de cause accidentelle», a raconté le lieutenant Claude Rivard du Service de sécurité incendie de Victoriaville. Les propriétaires étaient en train de dîner quand un passant les a avisés de la présence de fumée s’échappant du fenil. À 12 h 35, l’alerte est donnée au poste de pompiers Fernand-Giguère. Vingt-six pompiers de Victoriaville, dirigés par le lieutenant Rivard, se sont amenés, mais à leur arrivée, il était déjà trop tard pour sauver le bâtiment. «Environ 15 vaches ont péri, mais 80 autres ont été sorties du bâtiment en flammes. Les pertes s’élèvent à, au moins, 750 000 $», a fait savoir Claude Rivard. Les pompiers victoriavillois ont demandé l’aide de leurs confrères de Kingsey Falls, Warwick et Sainte-Eulalie pour l’approvisionnement en eau avec trois camions-citernes. «L’incendie a été maîtrisé vers 15 h 30. Ensuite, la pelle mécanique est entrée en fonction pour aider à l’extinction. Nous avons quitté les lieux vers 20 h 15», a souligné le responsable de l’intervention. http://www.lanouvelle.net/article-371978-Ferme-Lacourbe-un-incendie-avait-eclate-en-matinee.html ------------- (trouver date) Incendie d’une ferme à St-Pierre de Broughton Des pertes de près d’un million de dollars Un incendie a complètement détruit un bâtiment de ferme laitière hier après-midi sur la route 271 à St-Pierre de Broughton. Les pertes sont évaluées à près d’un million de dollars. Pas moins de 70 bêtes et une dizaine de veaux se trouvaient à l’intérieur des bâtiments lorsque le feu a éclaté. La majorité des animaux ont pu être sortis à temps du brasier. Une trentaine de pompiers de l’endroit et des municipalités environnantes ont combattu le sinistre et ont concentré leurs efforts à sauver les trois silos, le garage et la laiterie. Le feu pourrait être d’origine accidentelle puisque des travaux étaient en cours à l’intérieur du bâtiment. http://www.cfin-fm.com/Incendie-d-une-ferme-a-St-Pierre-de-Broughton-0906092.html ------------- 2,400 pigs die in Alberta barn fire $2.8-million business, 16 years of work gone for Derwent couple By Brent Wittmeier, Edmonton Journal August 19, 2009 Don and Debbie Gulayec stand in front of the burnt remains of their hog farm near Derwent, Alta., 200 km east of Edmonton on Aug. 18, 2009. They awoke just after midnight to the fire after a concerned neighbour called them. All of their barns and 900 sows were lost in the fire. (Ryan Jackson / Edmonton JourPhotograph by: Ryan Jackson, Edmonton JournalIt was just before midnight Monday when Don Gulayec woke to a cellphone ring and realized his power was out. It took a few minutes to realize why. Gulayec's eastern Alberta pig breeding facility, with 900 sows and 1,500 piglets inside, was on fire, knocking out a transformer in a blaze which would destroy his livelihood. During the next five hours, 50 firefighters from four local fire departments battled the flames, but could not save Deeze Farms Ltd., about 200 kilometres east of Edmonton. Gulayec and his wife Debbie built the $2.8-million business over 16 years of hard work. "It's overwhelming," said Gulayec, 52. "The only way to know the feeling is to see what you planned as your future go up in smoke and there's nothing you can do." The Gulayecs were asleep when they received a choppy cellphone call from a neighbour asking if they were at home. After the call disconnected due to bad reception, Gulayec went into his kitchen to get a better signal. That's when he got to the windows and saw the flames billowing from his two-storey barn. "It felt like I was getting stabbed. I thought about the animals, you know, 'what can we do?' " "Then I started thinking, 'Wow, the work that went in here and look how it's going.' There's a multitude of things that went through my head and none of them were good." There was little the Gulayecs could do about their animals. Not only are pigs instinctively unlikely to leave a burning barn when frightened, but the floors of much of the facility were plastic, creating dangerous fumes. Gulayec was left sitting helplessly in a chair while firefighters battled the blaze. The combination of smoke, burning plastic, and the charred carcasses were so severe Gulayec could no longer smell anything. After the fire, Gulayec found the ear tags and remembered individual animals he had owned for up to three years. Early Tuesday afternoon, Derwent firefighters were still putting out smouldering debris and small flames, extinguishing the blaze at 3 p. m. The massive barn had been reduced to a heap, the tin roof swaying and crackling in the wind. Charred concrete walls and a warped feed bin testified to the heat of the blaze. Brad Straty, Two Hills County fire chief, said the cause of the fire was awaiting further investigation, but an initial examination showed an electrical fault may be to blame. "It may have been an electrical fan that pulls the fumes from out of the building," Straty said. Born and raised in the area, the Gulayecs returned in 1993 with three teenage daughters after spending nearly two decades in other parts of the province. The couple renovated the hog farm three times, bumping its capacity from 130 to 900 sows to keep the operation profitable. All three daughters married and began raising families nearby. The Gulayecs now have four grandchildren. "There's a lot of memories," said their daughter Deirdre Myshaniuk, 30. On Tuesday afternoon, Myshaniuk's two sons picked raspberries with other family members, while neighbours and friends dropped by the farm to comfort the Gulayecs and provide them with meals. Before the blaze, Deeze Farms produced 300 pigs per week and an estimated 16,000 pigs per year. The company specialized in a unique fast-growing European breed of pigs, which to the best of Gulayec's knowledge, is the last of their stock in North America. It had already been a difficult year before the blaze. H1N1, initially labelled swine flu, sent pork prices tumbling. While not as hard hit as farmers producing pork for consumption, the Gulayecs were only breaking even. The fire came just days after the federal government announced a $92-million relief program to help the ailing pork industry. Gulayec is unsure he'll be eligible for any of the aid. While insurance will cover a portion of the losses, he isn't certain what the final damage tally will be. Gulayec said it's too early to know what they'll do next. "We'll do the best we can and see what the next stage will be." http://www.edmontonjournal.com/news/hogs+Alberta+barn+fire/1907476/story.html --------------- 100 calves die in Shawano County barn fire (Wisconsin) By Mike Johnson of the Journal Sentinel Posted: Sept. 12, 2009 About 100 calves died in a barn fire that was reported about 1:25 a.m. Saturday in Waukechon in Shawano County. Six fire departments fought the blaze at the barn at N3299 Valley Road, the Shawano County Sheriff's Department said. The calves were 3 to 4 months old, the department said. No people were injured. The Shawano Area Fire Department has not determined what caused the fire. http://www.jsonline.com/news/wisconsin/59127352.html -----------------
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La Presse Canadienne 13/09/2009 21h34 Un nouveau rapport permet d'apprendre que les sables bitumineux de l'Alberta produisent davantage de gaz à effet de serre que certains pays d'Europe, actuellement, et qu'ils vont en produire plus que la totalité des volcans du monde dans seulement 11 ans si le développement se poursuit au même rythme. Selon ce document, devant être rendu public lundi par Greenpeace, les émissions produites par les sables bitumineux albertains sont maintenant plus importantes que celles de l'Estonie et de la Lituanie. En 2020, elles dépasseront celles de pays tels que la Belgique, l'Autriche, l'Irlande et le Danemark. ... http://fr.canoe.ca/infos/environnement/archives/2009/09/20090913-213457.html
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Un raton-laveur sème la pagaille Marc Pigeon Le Journal de Montréal 14/09/2009 06h26 Le refus de la Ville de Blainville de prendre en charge un raton-laveur prisonnier du bac à déchets d'un citoyen a donné lieu à une rocambolesque aventure dont une petite famille risque de se souvenir longtemps. Le tout s'est produit jeudi, lorsque Clément Routhier a été alerté par son fils de 13 ans qui avait remarqué la présence de quelque chose d'étrange dans le bac à déchets sur roues, sur le côté de la maison. Un coup d'oeil dans le bac a permis de se rendre compte qu'il s'agissait d'un raton-laveur. «Il n'avait pas l'air très content d'être là et il brassait pas mal», dit M. Routhier. Avec tout ce qu'il a lu et entendu ... http://www.canoe.com/archives/infos/societe/2009/09/20090914-062600.html --------------- Lire aussi: Les ratons nombreux en ville Marc Pigeon Le Journal de Montréal 14/09/2009 06h30 Les ratons-laveurs semblent de plus en plus nombreux dans les milieux urbains, qui sont devenus des lieux de prédilection pour eux. D'abord parce qu'ils y trouvent plusieurs endroits où s'abriter (sous les cabanons, par exemple). Puis, la nourriture y est abondante: mangeoires à oiseaux, ordures, etc. Enfin, les prédateurs sont rares en ville. «Il y a maintenant une bonne population de ratons-laveurs, dit l'agent de protection de la faune Alain Rioux. Ils se sont habitués à l'humain.» Sur la Rive-Nord de Montréal, aucun raton porteur de rage n'a été répertorié, selon les spécialistes de la faune. Les cas de rage sont particulièrement concentrés sur la Rive-Sud. D'ailleurs, des opérations de vaccination y sont faites depuis 2007 ... http://www.canoe.com/archives/infos/quebeccanada/2009/09/20090914-063000.html
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11/09/2009 “Peut-on nourrir 6 ou 7 milliards de gens sur terre avec de la viande tous les jours? Non! Découvrez le film documentaire Lovemeatender est un film belge sur les conséquences catastrophiques pour l’environnement de l’élevage intensif. Ce film documentaire s’inscrit dans l’urgence. Nous sommes aujourd’hui 6,8 milliards sur la planète, nous arriverons à 12 milliards en l’an 2068. Les bouleversements d’une telle attitude pour l’environnement seraient catastrophiques. Aujourd’hui encore, le trafic automobile, l'exploitation des ressources fossiles et l’industrie sont rendus essentiellement responsables de l’effet de serre, alors que l’influence d’une agriculture basée sur les élevages intensifs d’animaux s’avère encore plus dangereuse. Par exemple, la consommation de viande d’un jour dans le monde représente en terme de CO2 l’équivalent d’un déplacement en avion de 90 millions de personnes sur un trajet Los Angeles -New York. Ce film explique POURQUOI et COMMENT nous pouvons faire pour changer les choses, sans pour autant prôner l’idée de devenir tous végétariens. Il se construit à partir d'une grande enquête qui balaiera l'ensemble de ces interrogations et tentera d'y apporter des réponses autant scientifiques, qu'éthiques et humaines avec des intervenants tels que Jane GOODALL, RAJENDRA KUMAR PACHAURI (Prix Nobel de la paix 2007),… http://www.developpementdurable.be/praktijk/31/news/1546
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Croissance et développement chez les enfants végétaliens...
Animal a posté un sujet dans Végétarisme
http://www.scribd.com/doc/17660885/Croissance-et-developpement-chez-les-enfants-vegetaliens-Britanniques Résumé : Des études longitudinales ont été menées à propos de la croissance et du développement des enfants nés d'une mère végétalienne et élevés avec une alimentation végétalienne. Tous les enfants ont été allaités pendant leurs six premiers mois et dans la plupart des cas durant la deuxième année de leur vie également. La majorité des enfants ont grandi et se sont développés normalement, mais avaient tendance à être plus petits et plus légers que la moyenne. Leurs apports en énergie, en calcium et en vitamine D étaient généralement en-dessous des quantités recommandées. Toutefois, en général, leur alimentation était satisfaisante mais quelques enfants avaient des apports faibles en riboflavine et en vitamine B12. La majorité des parents étaient conscients de la nécessité de complémenter ce type d'alimentation en vitamine B12. Nous pouvons en conclure que, à condition qu'une attention suffisante soit portée, une alimentation végétalienne peut subvenir à une croissance et un développement normaux. -
http://www.ladepeche.fr/article/2009/09/13/671856-Trente-millions-de-cobayes.html Publié le 13/09/2009 Cobayes. Le cri d'alarme de Bardot Ouf ! on va mieux respirer ! Plus de 90 % des substances chimiques en circulation depuis avant 1981 doivent subir dans les dix années à venir des tests pourdéterminer leur toxicité. Pour l'homme et pour l'environnement. C'est l'application du programme européen « Reach » (« Enregistrement, évaluation, autorisation et restriction »). Le problème, c'est que ces tests commandés par les industriels doivent obligatoirement être menés sur des animaux. L'enjeu est de mesurer la toxicité et l'écotoxicité de tous ces produits, la première pour ses effets sur l'homme, la deuxième pour ses effets sur tous les organismes de l'environnement. Alors que la recherche utilise déjà chaque année plus de 12 millions de rongeurs et autres animaux dans les universités, les hôpitaux, les laboratoires, les écoles vétérinaires, dont plus de 2,3 millions seulement pour la France, la mise en application de Reach va grandement augmenter le recours à cette expérimentation. Le sacrifice pourrait dépasser les 50 millions d'animaux de laboratoire, d'après Thomas Hartung, un toxicologue dont les prévisions parues fin août dans la revue scientifique « Nature » alertent les militants de la cause animale. « 54 millions ? ! Mais 10 millions d'animaux pour le programme Reach, ce serait déjà 10 de trop ! » déplore-t-on à la fondation Brigitte Bardot (lire son interview ci-dessous). « Il y a une alternative, c'est la culture de cellules humaines », propose un des porte-parole de l'ancienne actrice pour qui les «années d'insouciance» (thème de l'exposition qui lui est consacrée cet automne à Boulogne-Billancourt) ont fait place aux années de combat. Pour Eric Thybaud, à l'établissement public Inéris, on ne peut prévoir le nombre d'animaux utilisés pour Reach, mais la recherche travaille «pour une moindre utilisation des animaux», dont on ne peut néanmoins pas se passer. 26 établissements en haute-garonne Par son ampleur, ce programme réactive le débat sur l'utilisation des animaux. A l'école vétérinaire de Toulouse, Pierre-Louis Toutain approche le sujet prudemment, « C'est un sujet très sensible, prévient-il, mais je pense qu'on ne peut pas se passer des expérimentations. Ce qui est sûr, c'est qu'elles sont aujourd'hui très encadrées, et que nous respectons une éthique : dans nos protocoles menés avec les chats par exemple, ils sont rendus et adoptés par des familles en partenariat avec une association ». L'expérimentation ne laisse plus la place aux trafics qui ont marqué la fin des années 80 dans notre région. Les directions des services vétérinaires délivrent les autorisations et veillent au bien-être animal. « Les locaux sont conçus et aménagés comme des 4 étoiles », a constaté Michel Toulze, chef de la protection des animaux pour la Haute-Garonne, département où 26 établissements publics ou privés mènent des expériences. Le programme Reach fera encore parler de lui au chapitre économique puisqu'il pourrait approcher les 10 milliards d'E supportés par l'industrie. Mais il suscite d'ores et déjà une autre question. Qui testait jusqu'alors tous les produits chimiques mis en ouvre dans les produits d'entretien, industriels ou agricoles avant 1981 ? Personne, ou plutôt tout le monde : animaux et humains, tous cobayes. ---- Des souris, des lapins... Actuellement en France, l'expérimentation animale est obligatoire pour déterminer la toxicité des substances chimiques, des pesticides, des médicaments humains et vétérinaires. Pour tester les substances chimiques et pesticides, les animaux le plus souvent utilisés sont les rongeurs, les rats, souris, cobayes; puis les lapins, poissons et/ou oiseaux. Pour les médicaments humains, les primates sont aussi utilisés, ainsi que les chiens (beagles en particulier;vivant en meute, on évite ainsi de les sociabiliser avec les hommes); pour les médicaments vétérinaires, en priorité les chiens, les primates, les chats, ces derniers en particulier pour la neurologie. A 90%, ce sont les rongeurs qui sont utilisés pour l'expérimentation. En cosmétologie, le recours à l'expérimentation est dorénavant interdit sur l'ensemble du territoire européen, toutefois...mais cela n'interdit pas d'expérimenter des substances sur la peau ( en dermatologie ). Les Anglais furent les premiers à ne plus utiliser les animaux pour les produits cosmétiques, la marque Body Shop avait fait de cette éthique un argument publicitaire. ---- 100000 substances chimiques Dans notre vie quotidienne, nous sommes entourés par plus de 100000 susbstances chimiques qui peuvent émettre des composants dangereux dans l'atmosphère. UFC-Que choisir a mené des études montrant que des produits courants comme des désodorisants, nettoyants, tapis synthétiques, meubles, vernis, et plus récemment colles de moquette, émettent des composés organiques volatils nocifs. ---- Au cancéropôle aussi Premier département de la région en matière de recherche, et donc d'expérimentation, la Haute-Garonne compte 26 établissements autorisés par l'Etat (direction départementale des services vétérinaires) à pratiquer des expériences «sur animaux vertébrés vivants». La liste n'est pas rendue publique, pour éviter les actions des militants de la cause animale. Y figurent notamment l'école vétérinaire, les universités, des laboratoires, le cancéropôle en cours d'achèvement. Les expériences ne concernent pas toujours les médicaments. «Dans certains cas, il s'agit seulement de faire ingérer des compléments nutritionnels et mesurer l'incidence sur la prise de poids», indique M.Toulze à la DDSV, qui remarque que la plupart des chercheurs «prennent en compte le facteur souffrance animale et mettent en ouvre des techniques pour la diminuer, voire la supprimer.» ---- «Je préfère sauver un enfant qu'une souris» Eric Thybaut, responsable « Danger et impact sur le vivant » à l'Institut national de l'environnement industriel et des risques, l'Inéris. DDD. Pourquoi l'expérimentation animale ? E.Th. C'est la loi, elle est obligatoire pour déterminer la toxicité des substances chimiques, des pesticides et des médicaments. DDD : Qui est concerné par Reach ? E.Th. Les substances chimiques « existantes », en circulation avant 1981, soit 90 % du total. Environ 125 000 substances. DDD : 10 ou 50 millions d'animaux pour mesurer leur toxicité ? E.Th. On a dix ans devant nous, je suis incapable de prédire l'avenir, mais tout est fait pour réduire l'utilisation des animaux, de mieux utiliser les résultats, par d'autres types de calcul, par des cultures in vitro et par analogie. On mutualisera les résultats par les familles de produits chimiques. Mais il n'est pas possible aujourd'hui de se passer totalement de l'expérimentation animale...Et je préfère sauver un enfant qu'une souris. DDD : On n'utilise plus les animaux en cosmétique ? E.Th. Sur le territoire européen non, on n'en a plus le droit et les résultats d'expériences menées ailleurs ne sont pas recevables. Eric Thybaut ---- Brigitte Bardot est effrayée La Dépêche du dimanche : « Reach » prévoit une augmentation de l'expérimentation animale pour tester les produits chimiques commercialisés avant 1981. Ces tests qui concerneraient de 10 à 50 millions d'animaux. Quelle est votre réaction ? Brigitte BARDOT : Je suis effrayée et scandalisée à la fois. C'est un coup de poignard dans le dos car ma Fondation avait travaillé, avec la Commission et le Parlement européen, à privilégier le recours aux méthodes substitutives à l'expérimentation animale dans le cadre du programme Reach. Or, les 54 millions de victimes estimées sur dix ans s'ajoutent aux plus de 12 millions d'animaux déjà sacrifiés chaque année dans les laboratoires européens. Comble de l'horreur, la France est le pays européen où le plus grand nombre d'animaux est sacrifié. DDD. Les tests sur les animaux ont été réalisés pour mettre au point des produits cosmétiques, des solutions agricoles, des médicaments. Dans ce dernier cas, ne sont-ils pas justifiés ? BB. Non, aucune expérimentation animale ne peut être justifiée. D'un point de vue éthique, l'homme n'a pas le droit moral d'exploiter et de considérer les autres espèces animales, l'ensemble des êtres sensibles, comme de simples outils de recherche ou de consommation. D'autre part, aucune espèce animale n'est le modèle biologique d'une autre, il est donc totalement fantaisiste, ridicule, d'expérimenter une substance sur une souris, un chat ou même un singe puisque chaque espèce réagit différemment... DDD. Quelle alternative ? BB. Ma Fondation a cofinancé un test cellulaire, réalisé sur cellules humaines, qui prédit à 82 % les effets toxiques sur l'espèce humaine, contre 65 % lorsque la souris est prise pour « modèle » et 61 % lorsqu'il s'agit du rat. Il faut absolument se donner les moyens de développer ces méthodes alternatives et mettre un terme définitif à l'expérimentation animale qui symbolise aujourd'hui la préhistoire de la recherche, une science sans conscience dont nous ne voulons plus. DDD. A-t-on atteint des sommets en tuant des souris pour le botox ? BB. Les sommets sont atteints depuis bien longtemps mais l'homme peut toujours aller plus loin dans l'ignominie. Des milliers de souris sont tuées par injections de toxine botulique. Tous ces animaux morts, dans des souffrances ignobles, pour permettre à certains de cacher quelques rides qui finiront par revenir de toute façon. DDD. Qu'attendez-vous des citoyens et des pouvoirs publics ? BB. Les pouvoirs publics doivent remettre en cause le principe de l'expérimentation animale en soutenant les chercheurs qui travaillent au développement de nouvelles méthodes. J'attends aussi qu'ils reconnaissent un droit d'objection de conscience à l'expérimentation animale comme cela existe dans plusieurs pays européens. Ma Fondation a travaillé à la rédaction d'une proposition de loi, enregistrée à l'Assemblée Nationale, il est temps aujourd'hui d'adopter ce texte. Je lance d'ailleurs un appel aux étudiants pour qu'ils refusent de participer aux expérimentations et même aux dissections inutiles pratiquées dans les établissements scolaires. Nous avons mis une pétition en ligne (www.fondationbrigittebardot.fr), il est important de la signer et de la diffuser.
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samedi 12 septembre 2009 « Le cirque Laraque, c'est terminé » BROSSARD - On peut presque ajouter le nom de Georges Laraque à la liste des nouveaux arrivants chez le Canadien, cet été, tant le dur à cuire est un homme transformé et est animé d'une attitude renouvelée après avoir adopté de saines habitudes alimentaires. (...) Plus zen Laraque n'a pas lésiné sur les moyens afin d'éviter à tout prix d'avoir à passer sous le bistouri. Il a renforcé son dos à l'aide d'exercices spécifiques, en plus de s'adonner au yoga et d'abaisser son poids. Je ne voulais rien savoir d'une opération. A mon âge, ç'aurait peut-être mis fin à ma carrière. Eric Dazé anciennement des Blackhawks de Chicago) a été confronté aux mêmes problèmes que moi. Il a été opéré et ça n'a pas fonctionné. Il a dû se retirer. » Au même moment, vers la fin mai, Laraque a modifié sa diète de façon draconnienne, en excluant de son alimentation le poisson, la viande ainsi que toute nourriture provenant d'animaux. C'est en regardant une émission à la télévision portant sur la cruauté faite envers les animaux qu'il a décidé d'être végétalien. « Du jour au lendemain, j'ai changé mon alimentation. Ca n'a pas été difficile à faire. C'est réglé pour moi. Je ne remangerai plus jamais de viande. » (...) http://www.corussports.com/canadiens/georges_laraque_version_amelioree-20090912-1737221.html
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Tests sur les animaux Pour commenter: http://www.radio-canada.ca/nouvelles/science/2009/09/09/001-insectes-souris.shtml Les souris bientôt à la retraite? Mise à jour le mercredi 9 septembre 2009 à 10 h 30 Le système immunitaire naturel des mammifères est similaire à celui des insectes à près de 90 %, selon les chercheurs. Des insectes comme les mouches et les chenilles remplaceront-ils un jour les rongeurs pour les tests de médicaments en laboratoire? Des biologistes irlandais ont montré que la grande majorité des cellules des mammifères et des insectes ont la même réaction en cas d'infection et produisent également des réactions similaires pour y faire face. En fait, les polynucléaires neutrophiles, des globules blancs du système immunitaire retrouvés chez les mammifères, et les hématocytes, qui jouent un rôle similaire chez les insectes, réagissent de la même façon en cas d'infection microbienne. Cette nouvelle connaissance permettra éventuellement à l'industrie pharmaceutique de diminuer de 80 % le nombre de souris et de rats utilisés en laboratoire. Les insectes pourront ainsi être utilisés pour tester de nouveaux traitements antimicrobiens ou déterminer la virulence d'agents pathogènes fongiques. ... http://www.radio-canada.ca/nouvelles/science/2009/09/09/001-insectes-souris.shtml
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Cultiver du lin illégal Mise à jour le vendredi 11 septembre 2009 à 11 h 16 Commentez (1) Champ de lin (archives) La découverte de lin génétiquement modifié provenant du Canada dans des aliments en Europe pourrait mettre en péril les exportations de cette culture. La Commission européenne dit avoir détecté la présence de cette variété de lin, dont la culture est portant interdit au pays depuis 2001, dans des céréales et des produits de boulangerie en Allemagne. Ce sont les producteurs qui ont convaincu le gouvernement fédéral d'interdire le lin génétiquement modifié au Canada, en 2001, par crainte de voir les pays européens cesser d'acheter les récoltes canadiennes. Au Canada, le lin est surtout cultivé au Manitoba et en Saskatchewan. Près des trois quarts de la production annuelle, environ 900 000 tonnes, sont destinés à l'Europe. La porte-parole de Greenpeace en Allemagne, Stefanie Hundsdorfer, croit que la Commission européenne devrait mettre fin aux importations de lin canadien. Cela ferait perdre plus de 160 millions de dollars aux cultivateurs des Prairies. ... http://www.radio-canada.ca/regions/saskatchewan/2009/09/11/001-OGM-lin.shtml
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Pour commenter: http://www.radio-canada.ca/regions/atlantique/2009/09/11/002-NE-opposition-vison.shtml L'opposition au vison s'organise Mise à jour le vendredi 11 septembre 2009 à 13 h 11 Élevage de visons (archives) Des citoyens de Carleton, dans le sud-ouest de la Nouvelle-Écosse, montent un dossier sur l'impact environnemental des élevages de vison dans la région. Les résidents veulent forcer le gouvernement provincial à légiférer pour mieux réglementer ces élevages, jugés responsables de la pollution des cours d'eau de la région. Le géologue Randy Cleveland, membre d'une organisation écologique, cherche à déterminer l'origine de la pollution des lacs de la région de Carleton. Il note que les fermes de vison ont poussé comme des champignons sur un territoire restreint au coeur de trois bassins versants. Cette industrie laissée sans surveillance, affirme M. Cleveland, n'a jamais eu à justifier la quantité ou la composition des agents chimiques qu'elle utilise, ni comment elle traite ses eaux usées. La semaine dernière, le ministre de l'Agriculture John MacDonnell a rejeté le moratoire demandé par les opposants aux nouvelles fermes d'élevage. Il a cependant reconnu qu'il fallait étudier leur impact environnemental et imposer de nouvelles règles Marcus Dietrich, un résident de Sloan Lake, estime que cette révision arrive un peu tard. Selon lui, la province ne semble pas savoir comment régir cette industrie. Le sous-préfet de la municipalité de Yarmouth, Ken Crosby, veut rester optimiste. Le gouvernement agira, dit-il, quand les citoyens auront prouvé la pollution engendrée par les fermes d'élevage. audio-vidéo Danielle Marchand explique que les opposants aux élevages de vison préparent leur argumentation. http://www.radio-canada.ca/regions/atlantique/2009/09/11/002-NE-opposition-vison.shtml
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L'opposition au vison s'organise Mise à jour le vendredi 11 septembre 2009 à 13 h 11 Élevage de visons (archives) Des citoyens de Carleton, dans le sud-ouest de la Nouvelle-Écosse, montent un dossier sur l'impact environnemental des élevages de vison dans la région. Les résidents veulent forcer le gouvernement provincial à légiférer pour mieux réglementer ces élevages, jugés responsables de la pollution des cours d'eau de la région. Le géologue Randy Cleveland, membre d'une organisation écologique, cherche à déterminer l'origine de la pollution des lacs de la région de Carleton. Il note que les fermes de vison ont poussé comme des champignons sur un territoire restreint au coeur de trois bassins versants. Cette industrie laissée sans surveillance, affirme M. Cleveland, n'a jamais eu à justifier la quantité ou la composition des agents chimiques qu'elle utilise, ni comment elle traite ses eaux usées. La semaine dernière, le ministre de l'Agriculture John MacDonnell a rejeté le moratoire demandé par les opposants aux nouvelles fermes d'élevage. Il a cependant reconnu qu'il fallait étudier leur impact environnemental et imposer de nouvelles règles Marcus Dietrich, un résident de Sloan Lake, estime que cette révision arrive un peu tard. Selon lui, la province ne semble pas savoir comment régir cette industrie. Le sous-préfet de la municipalité de Yarmouth, Ken Crosby, veut rester optimiste. Le gouvernement agira, dit-il, quand les citoyens auront prouvé la pollution engendrée par les fermes d'élevage. audio-vidéo Danielle Marchand explique que les opposants aux élevages de vison préparent leur argumentation. http://www.radio-canada.ca/regions/atlantique/2009/09/11/002-NE-opposition-vison.shtml
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la lettre hebdo de gérard charollois (13/09)
Animal a répondu à un(e) sujet de terrienne dans Environnement
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La chasse, une activité pour tous! Dans le Journal de Québec du 10 septembre, il y avait un cahier spécial de 12 pages intitulé: LA CHASSE: UNE ACTIVITÉ POUR TOUS Sur la page frontispice: une jeune CHASSEUSE pose fièrement devant un chevreuil qu'elle a abattu à l'arbalète! À l'intérieur du cahier: Les nouveautés 2009 L'arbalète, c'est facile Les vêtements multicouches Ces odeurs qui font la différence Le petit gibier Et plus encore Voir un autre article paru le 13 dans ce même journal... La chasse, une activité pour tous! Les jeux des odeurs Julien Cabana 10/09/2009 13h31 http://lejournaldequebec.canoe.ca/journaldequebec/sports/pleinairchasseetpeche/archives/2009/09/20090910-133154.html Commentaires: http://lejournaldequebec.canoe.ca/journaldequebec/sports/pleinairchasseetpeche/archives/2009/09/20090910-133154.html#commentaires
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