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Animal

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Tout ce qui a été posté par Animal

  1. Belle excuse!!!!!! Ça fait plus de 15 ans qu'on écrit au gouvernement pour lui demander d'interdire l'importation des fourrures de chats et de chiens au Canada.... Il n'a jamais rien fait, jamais répondu à nos questions. L'interdiction d'importation des produits du phoque en Europe est toute récente et tout-à-coup le gouvernement (ça inclue bien sûr toutes les assos de chasseurs et trappeurs) utilise ce prétexte!
  2. Pourquoi les agents de la faune ne font-ils pas leur travail ? Pourquoi ne relocalisent-ils pas les ours ailleurs plutôt que de les abattre ou de les laisser se faire abattre par des citoyens ? Honteux!!!!!!!!
  3. Le Kenya connaît cet été sa pire sécheresse depuis une décennie, avec une absence quasi totale de précipitations au moment théorique de la saison des pluies, en particulier dans les régions arides et semi-arides du nord. La malnutrition fait des ravages parmi des enfants de plus en plus jeunes. http://photos.cyberpresse.ca/34-6877/#enVedette/0/recherche/Rechercher%20un%20album/0/onglets/34/0/album/6877/167901/
  4. Pour ceux et celles qui se demanderaient ce qu'est une ZEC Les zones d'exploitation contrôlée, communément appelées zecs, sont des territoires de chasse et pêche du Québec situés sur le domaine public et administrés par des organismes à but non-lucratif. Ces zones font partie d'un réseau d'infrastructures territoriales mis en place en 1978 par le gouvernement du Québec pour prendre la relève des clubs privés de pêche, de chasse et de piégeage (suite à l'« opération gestion faune ») dans le but de rendre accessible la chasse et la pêche au grand public. http://fr.wikipedia.org/wiki/Zone_d'exploitation_contr%C3%B4l%C3%A9e
  5. Publié le 19 septembre 2009 à 09h42 | Mis à jour le 19 septembre 2009 à 09h53 Un ours capturé et euthanasié Un ours noir a été capturé hier en Haute-Mauricie. archives Gabriel Delisle (La Tuque) Un ours noir a été capturé hier dans la zec Wessonneau près de La Tuque par les agents de protection de la faune du ministère des Ressources naturelles et de la Faune du Québec (MRNF). Tout porte à croire qu'il s'agit bien de l'animal responsable de la mort la Montréalaise Alexandrina Gavriloaia-Bunduc. Une femelle de 175 livres a été capturée près du lieu de l'attaque par une des deux cages installées par les agents de protection de la faune. Les trois agents dépêchés sur les lieux de l'incident aujourd'hui ont endormi puis euthanasié l'animal. Sa carcasse a été directement transportée vers Québec où une autopsie sera réalisée par des vétérinaires du MRNF afin de déterminer s'il s'agit bien de l'ours recherché grâce aux examens de la mâchoire, de la dentition et de l'ADN de la bête. Les résultats devraient être connus en début de semaine prochaine. D'ici là, le MRNF ne relâchera pas la garde dans la zec Wessonneau. «Les cages et les pièges sont toujours sur place. Nos agents vont les inspecter régulièrement. Si nous capturons un autre ours, il subira le même sort que celui attrapé aujourd'hui», explique Benoît Fortin, agent de protection de la faune du MRNF. ... http://www.cyberpresse.ca/le-nouvelliste/200909/19/01-903516-un-ours-capture-et-euthanasie.php
  6. Publié le 22 septembre 2009 à 07h17 | Mis à jour à 07h20 Deux ours abattus près d'une école primaire Ajouter un commentaire Le commentaire peut contenir un maximum de 1500 caractères. Gabriel Delisle Le Nouvelliste (La Tuque) Les agents de protection de la faune du ministère des Ressources naturelles et de la Faune du Québec (MRNF) ont abattu deux ours noirs hier midi dans un boisé à quelques centaines de mètres de l'école primaire Jacques-Buteux de La Tuque. Un ourson s'est enfui dans la forêt. Cette famille d'ours arpentait le secteur depuis quelques temps déjà. «Encore lundi matin, ils avaient fait la tournée des poubelles», explique le lieutenant Alain Forêt, du MRNF de La Tuque. L'incident s'est produit dans le boisé derrière des résidences aux intersections des rues Saint-Joseph et Du Coteau. ... Oursons abattus par des citoyens dimanche Deux oursons ont été abattus par des citoyens dimanche. Un à Saint-Gérard-des-Laurentides, sur la rue des Trembles, et l'autre à La Tuque, sur la rue Du Plateau. Dans chacun des cas, les citoyens ont préféré régler eux-mêmes leurs problèmes avec les ours qui rodaient autour de leur propriété. Aucune accusation n'est portée contre ces personnes. Éric Santerre, relationniste auprès des médias du MRNF, explique qu'un citoyen a le droit d'abattre un animal jugé nuisible pour sa sécurité ou celle de ses proches ainsi que pour atteinte à ses biens, et ce, même en dehors de la saison de la chasse. «Nous n'encourageons jamais un citoyen à abattre un ours, mais il a le droit à la légitime défense, précise M. Santerre. ... Légitime défense ? Dans le dictionnaire, légitime défense veut dire: autorisation légale et immédiate de se défendre lors d'une agression. Quelle agression ont commis les OURSONS? http://www.cyberpresse.ca/le-nouvelliste/vie-regionale/haute-mauricie/200909/22/01-904192-deux-ours-abattus-pres-dune-ecole-primaire.php
  7. Animal

    Bonjour les filles,

    J'aurais envie d'imprimer cette citation et d'aller la coller sur la fenêtre de ce restaurant
  8. ils utilisent aussi des veaux, des vaches, gracieusement offerts par certains éleveurs qui ne veulent pas avoir d'animaux sauvages sur leurs terres
  9. Association Chasse et Pêche Sieur de Roberval Article mis en ligne le 1 septembre 2009 à 13:12 Soyez le premier à commenter cet article ... « Aujourd’hui, je m’occupe de l’activité lance-pierres. Je trouve qu’il n’y a pas encore assez de jeunes qui s’adonnent aux activités de chasse et pêche », a déclaré Mathieu qui vient de commencer ses études secondaires en Environnement nature à la Cité étudiante Roberval. http://www.letoiledulac.com/article-i372436-Une-super-journee-familiale-reussie.html
  10. Animal

    BULLETIN-ÉTÉ 2009

    Ending cruelty in abatoirs is driven by economics, not kindness By Lu Chuanzhong, Wang Yue and Liu Baosen | 2009-9-11 | IT'S a slaughterhouse, but there's not much terrified squealing and struggling. Bathed in melodious music and freshly showered, a row of pigs strolls towards their fate one by one. The are wearing special sound-muffling helmets and they are stunned with a two-second electric shock. They don't have time to feel fear or pain. "We call this 'mercy killing'," said Liu Zhenli, manager of the meat department of the Longda Foodstuff Group Co Ltd in east China's Shandong Province, the country's largest exporter of prepared foods. Longda's practice represents a growing trend in China's large-scale slaughterhouses where animal welfare is being given increasing attention. Welfare is usually interpreted as the right for animals to be free from thirst and hunger, discomfort, pain, injury, and disease; and freedom from fear and distress. Chang Jiwen, a researcher with the Law Institute of the Chinese Academy of Social Sciences, says he believes all practices beneficial to animals could be categorized as "animal welfare." As China is the world's largest meat producer, humane slaughter is the "easiest and most direct" starting point to promote animal welfare, said Chang. He is a member of an expert team drawing up proposals for the forthcoming Animal Protection Law - the country's first comprehensive legislation to protect animals. Meat export As animal welfare is a relatively new idea in China, cruelty does happen from time to time during the delivery of pigs to abattoirs and in their slaughter, he said. "Animal welfare has become, in fact, a reason for some countries to restrict meat imports from China." Last year, China's meat production was 72.7 million tons, accounting for 29 percent of global total output. Exports were only 742,000 tons, said Deng Fujiang, vice president of the China Meat Assn. As for pork, the country produced 46 million tons in 2008, nearly half of the world's total, but exported only 142,000 tons. Zhang Yibin, an official with the Shandong Provincial Entry-Exit Inspection and Quarantine Bureau, said more than 100 countries have laws or regulations on animal welfare and World Trade Organization rules also contain relevant riders. Because they do not meet animal welfare standards, China's meat products, except for rabbit and cooked poultry, are barred as exports to the European Union. Although laws concerning animal welfare are yet to be issued, promotion of humane slaughter started in China two years ago. In February 2007, a humane slaughter program was jointly initiated by the World Society for the Protection of Animals (WSPA) and the Beijing Chaoyang-Anhua Animal Product Safety Research Institute (APSRI). The project aimed to promote rules and standards for humane slaughter and teach workers how to carry them out. By the end of last month, more than 2,300 people from nearly 950 companies around China had received training in animal rights and humane slaughter, said project head Jia Zili. Humane slaughter Last year, "humane slaughter" was officially written into the Commerce Ministry's regulations on the killing of pigs, and a set of technical standards on their humane slaughter was issued in December, said Jia. Chang Jiwen and six other legal experts are putting final touches to proposals for drafting of the country's first legislation on animal welfare - the China Animal Protection Law. Their proposal will protect six categories of animals, those on farms, in laboratories, pets, working animals, animals for entertainment and wild animals. He said it was not yet time for China to accept a more advanced version similar to those implemented in Western countries, as demonstrated by doubts voiced whether the legislation was realistic for China at this time. http://www.shanghaidaily.com/sp/article/2009/200909/20090911/article_413464.htm
  11. Publié le 13/09/2009 08:07 - Modifié le 14/09/2009 à 11:39 | Sylvie Polycarpe Les sangliers terminent leur course dans le cimetière de Saverdun À l'heure où le commun des mortels est devant son café-croissant, trois « braves » sangliers d'âge mûr et d'un poids qui n'invite pas à la provocation ont décidé de faire plus ample connaissance avec les habitants de Saverdun au pas de charge. Leur périple débute par une visite détaillée de la rue centrale. Petit passage devant la boulangerie où les clients, baguette en main, expriment leur surprise. Puis, petit tour vers le café des Sports, visiblement peu enclin à recevoir ces hôtes, le gérant ayant pris la précaution de fermer les portes juste avant leur arrivée. Demi-tour du cortège qui se dirige ensuite vers le Champ-de-Mars, via le cimetière. « Depuis que les maïs sont coupés, nous explique Philippe Calléja, le maire de Saverdun, nous sommes envahis de sangliers. J'ai été rapidement alerté par les habitants de la ville apeurés. Voyant que deux de ces sangliers étaient dans le cimetière, j'ai fait fermer les portes et j'ai réquisitionné les chasseurs car il était nécessaire de les abattre pour des questions de sécurité », poursuit l'édile. http://www.ladepeche.fr/article/2009/09/13/671717-La-course-prend-fin-dans-le-cimetiere.html
  12. Entre l’homme et la bête, un demi-siècle qui a tout changé Edition du 17.09.2009 Par Michel Audétat Les rapports entre l’homme et l’animal sont entrés dans une ère nouvelle. A Saint-Maurice, le Festival francophone de philosophie débattra cette question passionnelle. http://www.hebdo.ch/Edition/2009-38/Mieux_Comprendre/philosophie/entre_et_la_bete_un_demisiecle_qui_a.htm
  13. Animal

    Bonjour les filles,

    Je suis désolée ma belle hop.. À un moment donné je réduirai ces photos et les reposterai dans un plus petit format. Je ne sais pas ce qu'est ce jus d'oies, mais je présume que c'est un genre de sauce ou de bouillon qu'ils préparent et qu'ils vendent aux clients. En tous les cas, ça sent très fort la viande, même dehors ! Faut vraiment être abruti pour ne pas s'en rendre compte! J'ai vu un couple sortir de ce resto avec un enfant (ils venaient sûrement de finir de bouffer) et ils se sont aussitôt dirigés vers les oies pour aller les voir ! La femme s'exclamait « Sont don bin belles » !!! »
  14. Animal

    Une chasse barbare

    Quelle cruauté ! Quelle horreur! Et les deux autres chasseurs «chevronnés» qui tentent de se mettre sur un pied d'estale Vraiment, quelle saloperie que la chasse!
  15. Il y peut-être aussi le fait que les animaux sauvages qui normalement s'occuperaient de réguler les populations de sangliers sont abattus par les chasseurs ... (?)
  16. Lorsqu'un habitat sauvage est détruit, on ne prend même pas la peine de relocaliser les animaux dans une autre forêt... C'est bien plus facile de les abattre et ça coûte moins cher ! C'est drôle quand même, que les chasseurs armés eux, ont le droit de s'approcher des résidences p.s.: Des ours (ou autres animaux sauvages) qui sont appâtés (donc nourris) pendant des semaines, s'habituent à la présence des humains. L'appâtage des animaux sauvages incluant celui des ours devrait être interdit. On ne veut pas d'ours près des villes et des habitations, et bien qu'on arrête de les attirer!
  17. Animal

    Il faut prendre les ours au sérieux

    c'est sûr, et surtout les trappeurs, puisque ça fait des années qu'ils supplient le gouvernement de leur accorder la permission de vendre des vésicules biliaires d'ours aux Chinois...!
  18. Au Québec, presque tous les animaux piégés ou chassés sont préalablement appâtés: chevreuils, ours, coyottes, renards, loups, etc. etc. etc. et souvent, la charogne d'un animal sauvage qui a été appâté puis tué mais dont la fourrure a peu d'intérêt, sert à en appâter et à en tuer un autre !
  19. Animal

    BULLETIN-ÉTÉ 2009

    Nunavut tests aerial surveys of polar bears Friday, September 18, 2009 CBC News Scientific efforts are underway in Nunavut to develop less invasive ways of surveying polar bears, addressing Inuit concerns about the physical handling of bears. Older surveys employ a "mark and recapture" method, in which biologists tranquilize polar bears before physically taking tissue samples and tattooing their inner lips. "What we're looking at is developing aerial survey methodogy to use in the future in determining population estimates," Drikus Gissing, the Nunavut government's director of wildlife management, told CBC News. The new method, which involves counting polar bears from a helicopter, was recently tested at Sirmilik National Park as part of a pilot project funded by Parks Canada, the University of Minnesota and the World Wildlife Fund. Bears counted A field team of scientists and Inuit hunters flew about 2,500 kilometres back and forth over the park, located between the communities of Pond Inlet and Arctic Bay. Elijah Panipakoocho of the Mittimatilik Hunters and Trappers Organization in Pond Inlet told CBC News that some team members counted polar bears along the coast line, while he told them each bear's gender and health status. Speaking in Inuktitut, Panipakoocho said the team saw 62 polar bears in the area, which is considered to be a lot at this time of year. "It's a non-intrusive, non-invasive form of censusing polar bears," said Pete Ewins, wildlife director with the World Wildlife Fund Canada. Ewins said he hopes the aerial surveying technique will eventually be used for full polar bear surveys in the Baffin Bay area, and end years of disagreement between biologists and Inuit hunters about the size of its polar bear population. Biopsy darts To obtain more detailed biological information about polar bears, Gissing said, scientists are trying out biopsy darts, which would be shot into the bear from the helicopter. When the biopsy dart later falls off the bear, it would take with it a small bit of tissue that can be genetically analyzed. Gissing said his department is listening to Inuit hunters who are concerned about scientists physically handling polar bears for research. "We don't have to go and dart and handle the bears physically, and that's what communities want," Gissing said. The Nunavut government has also been testing the aerial survey method to count polar bears in Foxe Basin for the last two years. Gissing said aerial surveying will never be as effective as the "mark and recapture" method, but it would be a less intrusive way that still generates information that can be used in wildlife management. http://www.cbc.ca/canada/north/story/2009/09/18/nunavut-pbear-surveys.html
  20. "I don't know where that number came from, but there are 75,000 mink at our ranch," he says. "We have a permit for 15,000 breeders and each female has about four to five kittens a year. After they are bred the males are destroyed." ... ------------------------------ Last updated at 11:12 AM on 17/09/09 Setting the record straight on Viking Furs mink ranch BY DENISE PIKE The Compass HARD LOOK - This mink at Viking Furs Inc. in Cavendish, Newfoundland & Labrador gives mink rancher Peter Noer a curious glare. The company houses 75,000 mink and employees 15 to 20 full-time and 30 part-time workers. (Photo: The Compass) "The less lies you have to tell, the happier you are," says Peter Noer, co-owner of Viking Furs Inc. in Cavendish (Newfoundland & Labrador). "To me this isn't just a motto, it's something I believe in and that same motto applies to what we are doing here on the mink ranch. There are no secrets here. We're not hiding anything such as a nuclear reactor, or doing anything that will hurt the public. Anyone and everyone is welcome to knock on our door and tour the facility at anytime." For the past few years Viking Furs, owned by Noer and Erick Dalsager of Denmark, has been the cause of a smelly situation in Heart's Delight-Islington. A few months ago when the farm was designated as a composting site for chicken offal, the mink crap hit the fan—literally. The smell and flies stemming from the mink ranch resulted in numerous phone calls to the department of Environment and Conservation and the compost site was shut down. On Aug. 12 about 200 angry residents voiced their concerns to Environment Minister Charlene Johnson, who is also the MHA for Trinity Bay de Verde, during a public meeting in the town. SMELL AND COMPOST GONE Last Wednesday, Sept. 9 Noer, who had declined interviews with The Compass in the past, finally agreed to an interview and tour of the facility. "We're not out to hurt anyone and we do understand some of the concerns some of the residents have, especially about the smell that was taking place during the time we were composting, but that has stopped," says Noer. "That smell has since gone away and things are much better." Apparently residents agree. Days before, residents from Heart's Delight-Islington told The Compass the smell from the ranch had died down and the situation had improved greatly. However some residents feared Viking Furs would start composting again in the future. Noer assures them that will not happen. "We will not be composting chicken offal again," he says. "That issue is done, cancelled and gone!" However the ranch will continue to compost mink manure, just as we (it has) have in the past. "Everything is recycled here on the farm," continues Noer. "The mink fur is processed and the guts and feces are mixed with chaff and composted here at the ranch and then spread out over the ground to help the grass grow. We plan to cut the grass/hay and use it as bedding for the mink." RUMOURS DISPELLED Over the past few months the land across from Viking Furs has been cleared, and ditching and upgrading carried out on Fox Farm Road. The work caused the rumour mill to swirl and many residents are wondering if the business plans to expand. Noer wants to set the record straight on that issue as well. "Whatever is going on with Fox Farm Road has nothing at all to do with Viking Furs," he says. "That is a false rumour and as for the land across the road.... well that's our land, we own it, so to be honest we can do whatever we damn well want with it and it is no one's business! Nevertheless that land is being cleared for grassland to grow hay that will be used as bedding for mink. Right now we are using shaving/chaff, but the availability of that material in the future may be limited, so we are just looking ahead to make sure we have something to replace that." Noer says his company applied to government to turn the land into a compost site, but those plans have since changed. "We wouldn't go with that now because there has been too much negative media coverage and too much opposition from the area," he says. "It's not worth the headache and even if we did still want to expand, that plan would have to go through the Environmental Assessment Act and I'm quite sure it wouldn't be approved now." Noer also wants to correct the rumour that Viking Furs Inc. is housing about 140,000 mink. "I don't know where that number came from, but there are 75,000 mink at our ranch," he says. "We have a permit for 15,000 breeders and each female has about four to five kittens a year. After they are bred the males are destroyed. We do that to ensure that there's no cross breeding." TOUR AND INSPECTIONS On the day of the interview Noer gave The Compass a tour of the cold storage, processing plant, barns and compost site, located on a field adjacent to the ranch. Very few flies could be seen and the smell was at a minimum. "Sometimes it is worse than this," Noer admits. "If it is a hot day or if the wind is blowing in a certain direction and it's on the same day that we are hauling manure then yes the smell is a bit worse, but no worse than any other farm where a lot of animals are being housed." Noer says he was advised not to show The Compass where they compost the mink manure, but he has nothing to hide. "I just don't get it," he says. "We are being treated as if we are housing toxic waste here and letting it go out into the ground and swimming holes and wells to hurt children and their parents. Nothing could be further from the truth! In fact what we are doing here goes hand in hand with every environmental recommendation to reduce, reuse, recycle. Every part of a mink is utilized in some manner. What isn't sold goes back into the ground." Every Friday government officials inspect the ranch. "We compost mink manure by the book and we have a lot of regulations we have to comply to," he says. " Every rule and regulation government has in place we are following. I'm not sure people realize that." SMELL NO WORSE Noer compares the smell from the mink ranch to other businesses in the province and across Canada that are farming or processing animals. "If you drive by a dairy farm in The Goulds, the smell is bad sometimes and if you live close to a fish plant then the smell is also bad, but you do not try to shut down the farm or the fish plant do you? I mean it would be crazy to put many people out of work like that wouldn't it? This is a mink ranch and there are a lot of animals here and they crap a lot, so there's always going to be a smell, but we want and are willing to do what we can to minimize it. It isn't our intention to make life hard for anyone and we're willing to work with the people and town council to find a solution. When we were composting the odour was really bad, but the day to day smells are no worse than any other farm where livestock are kept." —The Compass http://atlanticfarmfocus.ca/index.cfm?sid=287130&sc=593
  21. Il faut prendre les ours au sérieux Marc Pigeon Journal de Montréal 19/09/2009 07h07 Au lendemain de la mort tragique d'une femme attaquée par un ours près de La Tuque, le ministère de la Faune prend les grands moyens et lance une offensive pour sensibiliser les villégiateurs de la région de Laurentides-Lanaudière aux dangers que peut représenter l'animal. Les efforts des spécialistes de la faune surviennent à l'aube de la période de la chasse et du festival des couleurs des Laurentides, un moment de l'année où les gens sont nombreux dans les secteurs boisés. Jamais on a vu au Québec des ours aussi affamés, aussi fanfarons face aux humains et aussi agressifs. Une campagne publicitaire s'amorce aujourd'hui dans les journaux et dans les médias électroniques. Aussi, les autorités municipales seront rencontrées dans les prochains mois, afin de les sensibiliser et de voir si des actions peuvent être prises par elles, afin d'améliorer la situation. ... http://fr.canoe.ca/infos/environnement/archives/2009/09/20090919-070703.html
  22. Louis-Gilles Francoeur Édition du vendredi 03 juillet 2009 Les projets de loi omnibus sont généralement des fourre-tout dont il est difficile d'extraire les changements importants que le gouvernement demande aux législateurs d'encadrer. Il en va de même du projet de loi 52, qui vise à amender plusieurs articles de la Loi sur la conservation et la mise en valeur de la faune. http://www.ledevoir.com/2009/07/03/257643.html
  23. Michaëlle Jean et le coeur de la controverse Louis-Gilles Francoeur - Le vendredi 29 mai 2009 - 4 réactions Photo: Presse canadienne La gouverneure générale du Canada, Michaëlle Jean, a fait deux gestes cette semaine qui démontrent encore la force des symboles en un siècle pourtant si matérialiste. Sa décision de participer au découpage d'un phoque lors de sa visite au Nunavut, de déguster un petit morceau du coeur de l'animal -- certains médias à sensation ont titré comme si elle avait bouffé le coeur entier! -- et même de participer à une chasse avec ses hôtes a soulevé une «controverse à l'échelle internationale», ont raconté plusieurs médias sans donner la mesure du débat en cause. http://www.ledevoir.com/2009/05/29/252591.html
  24. Animal

    Who You Callin' Vegangelical?

    So. When a vegan is talking to a meat-eater about these issues, he or she is not "preaching", "trying to convert", or any such thing. We're not telling you what to eat. We're telling you what you're eating
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