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Publié le 11 septembre 2009 à 08h17 | Mis à jour à 08h21 Gastronomie extrême au pays vietnamien En un tournemain, le serveur zigouille le serpent bien vivant à la table. Le sang est versé dans un verre, puis le coeur encore battant de l'animal est offert au gourmet le plus courageux. Photo: Jean-Frédéric Légaré, collaboration spéciale Jean-Frédéric Légaré Le Soleil (Hanoï, Viêtnam) De la cuisine vietnamienne, tous connaissent les rouleaux de printemps, les soupes aux vermicelles et les sautés aux légumes et au porc. Des mets aisément exportables, car compatibles avec les moeurs gastronomiques du palais occidental. Mais le lointain pays d'Asie garde pour lui quelques denrées pour le moins... exotiques. Dans son périple de l'autre côté du globe, votre humble goûteur a voulu les découvrir. Coeurs sensibles s'abstenir. ... http://www.cyberpresse.ca/voyage/autres-destinations/asie/200909/11/01-900680-gastronomie-extreme-au-pays-vietnamien.php
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L'abattoir Charal de Metz infiltré par un enquêteur de L214
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans Événements
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Allo Tofu, Comme mentionné précédemment, un petit groupe d'Aequo Animo sera aussi à Québec pour souligner cette journée. Ça sera moins spectaculaire que cet autre évènement dont tu parles: pas de musique, pas de colombes, mais seulement une distribution de feuillets d'information aux passants pour souligner cette journée... Si ça te tente de te joindre à ce groupe, tu es la bienvenue
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Publié le 22 août 2009 à 05h00 | Mis à jour le 22 août 2009 à 05h00 Les trappeurs pris au piège Agrandir Collaboration Roger Blackburn Le Quotidien (Chicoutimi) Les trappeurs d'animaux à fourrures du Saguenay-Lac-Saint-Jean sont pris au piège avec la crise économique mondiale et font face à une chute des prix de plus de 50% des peaux de fourrure offerts sur le marché des encans. Une peau de castor qui se vendait autour de 40 ou 50$ ces dernières années se vend maintenant 14 ou 15$. Il en va de même avec les peaux de martre qui sont passées de 100 à 40$, alors que le lynx ne vaut guère plus de 110$ou 120$, alors que leurs peaux se vendaient jusqu'à 440$ l'an dernier. Les peaux de vison sont passées de 25$ l'unité à moins de 7$ en 2009. Le président de l'Association des trappeurs du Saguenay-Lac-Saint-Jean, André Maltais, s'inquiète de la situation et se demande comment les piégeurs feront cet automne pour rentabiliser leurs opérations. «Avec ces prix à la baisse, il risque d'y avoir moins de trappeurs en forêt. Certains devront se rendre sur leur terrain de piégeage pour rencontrer leur quota obligatoire qui est de récolter 15 peaux au total comprenant cinq espèces différentes. Les profits des ventes ne suffiront pas à défrayer les coûts reliés à l'achat d'équipements et à l'utilisation des VTT, des motoneiges et de la camionnette, des véhicules nécessaires pour la pratique du piégeage», rend compte André Maltais. «Si les piégeurs ne trappent pas le castor, ces derniers vont causer davantage de dommages aux chemins forestiers, ce qui risque de causer des ennuis aux utilisateurs de la forêt», fait valoir le président régional des trappeurs. «Nous risquons de connaître, avec les castors, le même problème qu'on connaît avec les ours qu'on retrouve en ville. Depuis qu'on ne peut plus vendre la vésicule biliaire de cet animal, la récolte a diminué, ce qui fait que le nombre d'ours a augmenté et qu'on en retrouve de plus en plus souvent en milieu urbain», soutient André Maltais. «La dévaluation du rouble en Russie, par rapport au dollar américain, a réduit de beaucoup l'achat de fourrure de ces grands consommateurs qui ont été peu actifs lors des derniers encans», informe le président régional de l'Association des trappeurs. En 2005, selon les derniers chiffres disponibles, la valeur des peaux vendues pour la région s'élevait à plus de 750 000$, sans compter les retombées économiques reliées à ce secteur d'activité. Le Saguenay-Lac-Saint-Jean compte 869 permis de piégeage vendus pour la saison 2008-2009. «De ce nombre, seulement la moitié sont actifs sur le territoire et la chute des prix risque de diminuer le nombre de trappeurs sur le terrain pour la saison 2009-2010», indique le piégeur d'expérience. En 20 ans, le nombre de piégeurs est passé de 1800, en 1988, alors qu'on en comptait seulement 869 la saison dernière. Une nouvelle réglementation instaurée au début des années 1990 éliminant le piégeage de loisir et obligeant les trappeurs à suivre un cours de formation d'une quarantaine d'heures pour obtenir leur certificat de trappeur professionnel a eu pour effet d'éliminer 40% des individus qui pratiquaient ce loisir. Depuis 2007, des mesures encore plus strictes sont entrées en vigueur, obligeant les trappeurs de se conformer à l'Accord sur les normes internationales de piégeage sans cruauté (ANIPSC) qui règle l'utilisation des pièges certifiés et approuvés pour la capture d'animaux à fourrure. Depuis l'avènement des mouvements antifourrures, les piégeurs sont confrontés à une opinion publique négative qui a eu des effets majeurs sur l'industrie. Le récent boycott des pays membres de l'Union européenne concernant la chasse aux phoques et les produits à base de la fourrure de ces animaux est encore une embûche qui fragilise le marché. «Les acheteurs de peaux sont nerveux et ils craignent que l'ensemble de l'industrie subisse le même sort que la chasse au phoque», analyse le président de l'Association des trappeurs du Saguenay-Lac-Saint-Jean. Il ajoute en terminant que «les trappeurs ont un rôle important à jouer sur le territoire en contrôlant les populations animales, comme les castors, qui causent des bris aux propriétés et au réseau routier ou auprès des animaux qui peuvent transmettre des maladies aux animaux domestiques et aux humains tels que la rage et la tularémie», dit-il en exemple.
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Publié le 27 août 2009 à 05h00 | Mis à jour le 27 août 2009 à 05h00 Même si le ministre délégué Serge Simard au secteur faune du MRNF soutient que ce n'est pas le cas, certains de ses fonctionnaires rédigent encore une politique restrictive sur l'appâtage des cervidés avec des fruits et des légumes ou avec des blocs de «sel à vaches» (comme dans la «saline» ci-dessus, visiblement très fréquentée par les gros gibiers). Photo collaboration spéciale, André-A. Bellemare André-A. Bellemare, collaboration spéciale Le Soleil (Québec) Pour une fois, ce ne sont ni des antichasseurs ni des «pelleteux de nuages» parmi les politiciens et hauts fonctionnaires qui luttent pour imposer des restrictions aux quelque 175 000 Québécois chasseurs de cerf de Virginie (chevreuil) : ce sont plutôt de petits groupes de chasseurs venant de quelques zones de chasse du sud-ouest du Québec qui veulent forcer les autorités à multiplier les obstacles à la récolte de jeunes cerfs mâles (daguets ou spikes, et les «quatre pointes») pour obliger les chasseurs à ne récolter que les plus vieux et plus gros bucks. ... http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/sports/chasse-et-peche/200908/26/01-896126-les-175-000-chasseurs-de-cerf-harceles-par-leurs-porte-parole.php
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Encore plus de visons à Saint-Boniface Entreprise Ambeau prévoit prendre de l'expansion par Jonathan Roberge Article mis en ligne le 4 août 2009 Soyez le premier à commenter cet article Marie-Ève Fortin est propriétaire d'Ambeau, une entreprise de Saint-Boniface se spécialisant dans l'élevage et l'exploitation de vison. Encore plus de visons à Saint-Boniface Entreprise Ambeau prévoit prendre de l'expansion Un peu plus de deux ans après son inauguration, Entreprise Ambeau de Saint-Boniface prévoit prendre de l'expansion. L'un des seuls producteur de visons au Québec entend construire un nouveau bâtiment et de pratiquement doubler sa production. Marie-Ève Fortin et son conjoint ont fait l'acquisition de leurs premiers reproducteurs en avril 2007. «Je voulais démarrer une entreprise dans le secteur agricole, mais je ne savais pas trop quoi faire. Je voulais quelque chose de peu complexe, quelque chose où je n'aurais pas besoin de faire de longue manœuvre comme la traite des vaches. J'ai commencé par acheter quatre femelles visons en gestation. J'ai aimé l'expérience alors j'ai acheté d'autres reproducteurs et j'ai pu les élever moi-même. À pareille date l'an dernier, j'avais une quarantaine de femelles et une quinzaine de mâles », expliquait-elle. ... http://www.lechodemaskinonge.com/article-363324-Encore-plus-de-visons-a-SaintBoniface.html
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Publié le 03 septembre 2009 à 05h00 | Mis à jour le 03 septembre 2009 à 05h00 Ces ours noirs qui vous importunent André-A. Bellemare, collaboration spéciale Le Soleil (Québec) Depuis quelques années, pliant sous les pressions d'antichasseurs, le Québec a très réduit la chasse et le piégeage des ours noirs. Même s'ils refusent de l'admettre, le nombre d'ours a ensuite augmenté de beaucoup, comme ont pu facilement le constater les citoyens. Les ours, en plus de s'attaquer à des humains - les tuant même -, causent des dommages aux biens, tout en semant l'inquiétude dans plusieurs localités. Bien sûr, comme des politiciens et hauts fonctionnaires le font, des responsables du ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF) tentent de nous faire croire qu'ils ne sont pas responsables de la situation, et que ce sont plutôt... les citoyens qui sont les seuls coupables de leurs propres malheurs ! ... http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/sports/chasse-et-peche/200909/02/01-898331-ces-ours-noirs-qui-vous-importunent.php
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L'aquaculture pompe les ressources marines NOUVELOBS.COM | 08.09.2009 | 17:26 Pour nourrir les poissons d'élevage, les fermes aquacoles prélèvent une part croissante sur les réserves marines: une tendance insoutenable à long terme. Consommer des poissons issus de l'élevage plutôt que de la pêche semble a priori un bon moyen de préserver les ressources halieutiques. Pas si simple, soulignent des chercheurs : les quantités de farines et d'huile de poisson utilisées par l'élevage augmentent rapidement et pèsent sur les ressources marines. L'aquaculture fournit désormais 50% des poissons et des coquillages que nous mangeons, écrivent Rosamond Naylor (Université de Stanford, E-U) et ses collègues. Entre 1995 et 2007, le volume de la production globale de poisson a été multiplié par trois. Conséquence: l'aquaculture représente 88% de la consommation mondiale d'huiles de poisson et de 68% de farines de poisson -produits souvent issus d'espèces comme les anchois ou les sardines. La demande croissante de poissons riches en oméga-3, recommandés pour la santé, explique en grande partie la croissance de l'aquaculture, selon les auteurs de cet article publié cette semaine par les Proceedings of the National Academy of Sciences. Les fermes aquacoles répondent par exemple à la demande de saumon, poisson riche en acides gras polyinsaturés. Pour produire un demi-kilo de saumon, il faut plus de deux kilos de poisson sauvage, soulignent les chercheurs. Cependant, en réduisant de seulement 4% la quantité d'huile de poisson donnée aux saumons d'élevage, on peut réduire cette quantité à 1,7 kilogramme, selon Naylor et ses collègues. Vaut-il mieux se tourner vers des espèces non carnivores, comme la carpe ou le tilapia? Au départ considérés comme plus respectueux de l'environnement, ces élevages de poissons végétariens ont désormais un bilan plus mitigé. Depuis les années 90 des farines de poissons sont ajoutées au menu de ces espèces. Résultat, en 2007 l'ensemble des élevages de carpes et de tilapia consommaient plus d'une fois et demie la quantité de farines utilisées par les élevages de saumons et de crevettes. «Retirer les farines du menu de ces poissons végétariens aurait un formidable impact sur l'environnement marin» commente Naylor. C.D. Sciences-et-Avenir.com 08/09/09 http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/sciences/nature/20090908.OBS0457/laqua culture_pompe_les_ressources_marines.html
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Grizzlies starve as salmon disappear Grizzly bear with a freshly caught pink salmon. Alexandra Morton As salmon numbers drop, bears are also few and far between along B.C.'s wild central coast – signalling what conservationists say is an unfolding ecological disaster Vancouver — From Wednesday's Globe and Mail Last updated on Wednesday, Sep. 09, 2009 03:17AM EDT .First the salmon vanished, now the bears may be gone too. Reports from conservationists, salmon-stream walkers and ecotourism guides all along British Columbia's wild central coast indicate a collapse of salmon runs has triggered widespread death from starvation of black and grizzly bears. Those guides are on the front lines of what they say is an unfolding ecological disaster that is so new that it has not been documented by biologists. “I've never experienced anything like this. There has been a huge drop in the number of bears we see,” said Doug Neasloss, a bear-viewing guide with the Kitasoo-Xaixais tribes in Klemtu, about 180 kilometres south of Kitimat. Mr. Neasloss said in recent weeks that he and other guides have visited 16 rivers where they usually encounter groups of bears feeding on spawning salmon. “I've been doing this for 11 years and this is the worst I've seen it,” he said. “Last year on the Mussel River, I saw 27 bears. This year it's six. That's an indication of what it's like everywhere.” He said on another river last fall, he saw 12 black bears and three spirit bears, rare black bears with white fur. “This year, there are three black bears and no white bears,” he said. Mr. Neasloss said for several years salmon runs have been in decline in the area, but last year was particularly bad. “I've never seen bears hungry in the fall before, but last year, they were starving,” he said. “I noticed in the spring there weren't as many bears coming out, but I felt it was premature to jump to any conclusions. … but now there just aren't any bears. It's scary,” he said. “I think a lot are dead. I think they died in their dens [last winter],” he said. Ian McAllister, Conservation Director of Pacific Wild, a non-profit conservation group on Denny Island, near Bella Bella, said he's heard similar reports. “I've talked to stream walkers [who monitor salmon runs] who have been out for a month and have yet to see any bears,” he said. “There are just no bears showing up. I hear that from every stream walker on the coast.” Mr. McAllister said it used to be easy to visit salmon streams in the Great Bear Rainforest, a large area of protected forest on the central coast, and see 20 to 30 bears a day feasting on salmon. “Now you go out there and there are zero bears. The reports are coming in from Terrace to Cape Caution … the bears are gone,” he said. “And we haven't seen any cubs with mothers. That's the most alarming part of this,” Mr. McAllister said. He said the problem is that chum salmon runs in the area have collapsed. While there are strong runs of pink salmon into rivers on the central coast, chum, which are much bigger fish that spawn later in the year, are the key food item for bears preparing for hibernation. Without an adequate supply of big salmon late in the year, said Mr. McAllister, bears do not have enough fat to survive the winter in their dens. “The lack of salmon last fall, coupled with a long, cold winter, is what's at the root of this,” he said. “River systems that in the past had 50,000 to 60,000 chum have now got 10 fish,” he said. “The chum runs have been fished out. We've seen the biological extinction of a [salmon] species, and now we're seeing the impact on bears.” Fred Seiler, with Silvertip Ecotours, in Terrace, said the Department of Fisheries and Oceans should not allow salmon to be commercially harvested in areas where stocks are in trouble. “This should be a huge red flag for DFO … but they continue to manage British Columbia's salmon fishery in a total state of denial,” he said. “Even as we speak, they are still considering more [salmon fishing] openings when not enough fish have returned to the rivers. In a joint statement, Mr. McAllister, Mr. Seiler and Mr. Neasloss called on the government to close all chum-salmon fisheries and cancel the fall grizzly-bear hunt. The worst salmon disaster this year has been on the Fraser River, on the south coast, where 10.6 million sockeye were expected, but only about 1.6 million returned. “The collapse of the Fraser sockeye and now the north-coast chum salmon runs is leading to ecological collapse of our coast ecosystems,” said Mr. McAllister.
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No mink farm moratorium, minister says Friday, September 4, 2009 CBC News New rules are needed for Nova Scotia's growing mink industry, said Agriculture Minister John MacDonell, but he doesn't support a moratorium on new farms. "The legislation around this is quite old and so we'd like to have a re-look at what we should be doing in the 21st century around these operations," MacDonell told CBC News. Some people in the southwestern part of the province complain that run-off from mink farms is polluting lakes and rivers. Debbie Hall, who lives on Lake Fanning in Carleton, Yarmouth County, said she can't go in the water because of green algae she believes is caused from run-off upstream. "The most excess nutrient level is occurring at the headwaters. That's not natural. That's not normal. What's at the headwaters? Mink farms," said Hall. Hall and others have shown government officials photos of the algae and the situation at one farm, where hundreds of mink carcasses lie in a pool of water, rotting in the sun. Though MacDonell agrees new rules and inspections are needed, he disagrees with critics who want a moratorium on mink farm permits. He said the impact of the farms on the environment must be studied. Mink farming has a long tradition in Nova Scotia. There are now close to 80 farms and up to 1.5 million mink raised each year, according to the local development authority. The industry is worth as much as $100 million a year. http://www.cbc.ca/canada/nova-scotia/story/2009/09/04/ns-mink-rules.html
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On verra bien ce qu'Anima Québec fera avec ce dossier et combien de temps ça va leur prendre pour aller faire une inspection... Ils t'écriront peut-être un mot à nouveau, une fois qu'ils y auront été, mais en attendant, tu as fait du beau travail Linda et je te félicite pour avoir fait cette dénonciation
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URGENT - Refuge la forêt de Lea expulsé
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans Pétitions-Sondages-Suggestions
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[quote]Le Commensal pourra y arriver en ajoutant de nouveaux produits et de nouveaux marchés. De plus, elle ajoutera aussi des établissements et elle rénovera ses restos québécois. «... Nous allons le plus loin possible pour nous rapprocher des clients, en nous occupant de chaque détail pour qu'ils ressentent l'attention qu'on leur porte.» Ha oui? Ça fera du bien rénover et de «décrotter» certains de ses restos québécois. Celui de la Rive-Sud de Montréal est dégueulasse ! La dernière fois où j'ai été mangée là a été la dernière: Tout était sale, chaises, planchers, tables, etc., les plats sensés être chauds étaient «froids», il y avait de grosses croûtes épaisses qui recouvraient les restes de sauces et de soupes dans leur fond de chaudron, j'ai même trouvé un cheveu dans un ragoût de je ne sais plus quoi ... entre autres, car je pourrais en rajouter... ! La personne qui m'accompagnait en était à sa première visite à ce restaurant et n'a rien mangé car il n'y avait rien de bon- juste des restes de table secs, froids et inmangeables. C'est vrai qu'il était vers une heure trente de l'après-midi, mais quand-même ! Le resto était ouvert, même s'il n'y avait que 2 clients à l'intérieur! Bref, j'ai eu très honte d'avoir invité cette personne à ce restaurant. J'ai écrit deux fois à la direction pour me plaindre, mais on n'a même pas daigné me répondre!
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et comment !!!!!!!!!!! en + , on dirait que tous les cochons sont édentés... Juste ça, c'est de la cruauté D'autres articles et une photo ici: Une soirée «porc ordinaire» http://www.journalexpress.ca/article-i363073-Une-soiree-porc-ordinaire.html Festival du cochon : Claude Dubois clôt la 32e édition en beauté http://www.journalexpress.ca/article-i363099-Festival-du-cochon-Claude-Dubois-clot-la-32e-edition-en-beaute.html
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La fameuse course au cochon! Par : Marie Normand, 16 juillet 2009 Course Nationale du Cochon, crédit photo : Le Courrier Sud ... Véritable vedette du festival, la très populaire course au cochon est aussi drôle qu’enlevante! Quand je vais au festival, je m’assure de réserver mon siège pour la Course Nationale du Cochon qu’Alex Perron et Jean-François Baril animent avec beaucoup d’humour. En équipe de trois, les participants tentent chacun leur tour d’attraper le cochon dans une arène pleine de boue et de le déposer dans le baril central en moins d’une minute trente secondes! Le Défi extrême de sangliers et la Course parent/enfant sont d’autres alternatives tout aussi spectaculaires. ... http://www.quebecvacances.com/idees/un-festival-des-plus-cochons
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Un «porcty» très achalandé au Festival du cochon Près de 50 000 personnes ont franchi les tourniquets par Cynthia Giguere-Martel Article mis en ligne le 5 août 2009 à 14:01 Soyez le premier à commenter cet article http://www.journalexpress.ca/article-i363966-Un-porcty-tres-achalande-au-Festival-du-cochon.html Près de 50 000 personnes ont fait le «porcty» à Sainte-Perpétue, lors du 32e Festival du cochon. La programmation exceptionnelle, soutenue de trois journées absolument magnifiques, a certainement contribué à la grande réussite de l’événement. Il faut dire que la température n’avait rien à voir à celle qu’avaient connue les organisateurs l’année dernière… Ce sont quelque 25 000 personnes de plus que l’an dernier qui ont franchi les tourniquets du 32e Festival du cochon. La riche programmation et le beau temps y sont pour quelque chose. ...
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(Manitoba) 50 hogs destroyed at the scene after transport truck overturns in the ditch Thu Sep 3, 8:03 PM By The Canadian Press NEEPAWA, Man. - Rescue workers had to destroy 50 hogs after a transport truck carrying the animals hit loose gravel and overturned in the ditch near Neepawa, Man. The truck was carrying 200 hogs to a processing plant and slid into the ditch while turning onto the gravel road that leads to the plant. The driver of the semi-trailer and two passengers were treated at the scene for minor injuries. Employees from the Springhill Farms Hog Processing plant were joined by members of local Hutterite colonies who helped with the cleanup. RCMP are investigating, but say alcohol was not a factor. http://ca.news.yahoo.com/s/capress/090903/national/mba_hogs_killed