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Animal

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  1. Honte à L'Office national de la chasse et de la faune sauvage
  2. C'est vraiment écoeurant! Moi aussi je crois qu'il y d'autres méthodes moins cruelles pour réguler les populations de pigeons: L'installation de pigeonniers par exemple, comme ça se fait déjà ailleurs, dans des régions plus civilisées que la nôtre... Merci pour cette nouvelle Bastet
  3. Animal

    Enquête dans un couvoir

    C'est horrible ! Et en effet, on peut se demander si la population trouverait «acceptable» que des chiots et des chatons soient broyés vivants dans un hachoir...
  4. Il me semble que les autorités auraient pu trouver une autre solution... comme déplacer le nid par exemple, ou encore fermer cette section du chemin aux joggers jusqu'à ce que les petits soient autonomes et aient pris leur envol !
  5. Animal

    BULLETIN-ÉTÉ 2009

    EVANA demande: Quels changements attendez-vous pour le monde végétarien de demain ? Brigitte Bardot : 'le végétarisme est un choix cohérent, le seul, pour lutter contre l’exploitation abusive des animaux et le saccage de notre environnement' Malheureusement, je suis très pessimiste car le végétarisme est considéré, par beaucoup, comme un choix extrême alors qu’il est un choix cohérent, le seul, pour lutter contre l’exploitation abusive des animaux et le saccage de notre environnement. Le plus inquiétant est de constater que dans les pays émergents, la croissance économique s’accompagne d’une croissance de la consommation de viande, et comme ces pays comptent les populations humaines les plus importantes, cela ne fera qu’entraîner la multiplication des élevages intensifs, véritables camps de la mort pour des milliards d’animaux. Je sais que les consommateurs, dans leur immense majorité, se moquent pas mal de la souffrance animale, mais j’espère qu’ils se montreront enfin responsables et qu’ils prendront conscience que la consommation de viande entraîne un pillage des ressources naturelles, notamment une surexploitation et une pollution des nappes phréatiques. S’il se sent menacé, l’homme réagira peut-être, mais il serait illusoire et utopique de compter sur sa compassion pour bannir l’exploitation animale. Brigitte Bardot – 10 août 2009 ========================== Fondation Brigitte Bardot 28 rue Vineuse 75116 Paris . Source: Fondation Brigitte Bardot Date: 2009-08-10
  6. Pour souligner la Journée Mondiale des Animaux, le 4 octobre prochain, Aequo Animo distribuera des feuillets d'information et fera signer une pétition. Si vous êtes intéressés à vous joindre à nous, soit à Montréal, soit à Québec, n'hésitez pas à nous contacter pour obtenir plus de détails
  7. Animal

    BULLETIN-ÉTÉ 2009

    Rage du raton laveur - OPÉRATION DE VACCINATION DES RATONS LAVEURS, DES MOUFFETTES ET DES RENARDS EN ESTRIE ET EN MONTÉRÉGIE QUÉBEC, le 17 août /CNW Telbec/ - Pour une troisième année consécutive, le gouvernement du Québec procédera, en août, à l'épandage d'appâts vaccinaux sur les territoires de la Montérégie et de l'Estrie dans le but de maintenir et de renforcer l'immunisation des ratons laveurs, des mouffettes et des renards contre la rage du raton laveur. Selon le territoire visé, l'épandage sera fait par avion ou à la main. Ainsi, du 17 au 21 août 2009, des avions voleront à basse altitude au-dessus d'un territoire d'environ 11 000 km2, pour larguer quelque 925 000 appâts vaccinaux. Ce sont principalement les zones boisées et agroforestières qui sont ciblées par ce type d'opération, tandis que les zones habitées sont évitées. En tout, 35 municipalités de l'Estrie et 126 municipalités de la Montérégie seront survolées. Ensuite, du 24 au 31 août 2009, des équipes du ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF) parcourront les zones urbaines de la rive sud de Montréal pour épandre à la main quelque 35 000 appâts vaccinaux dans les habitats où l'on observe généralement les ratons laveurs, les mouffettes et les renards. Ces lieux incluent notamment les boisés, les abords des cours d'eau et, à l'occasion, les poubelles! Trente-cinq municipalités seront visitées au cours de cette opération d'épandage manuel. État de la situation Depuis le début de l'année 2009, seulement deux cas de rage du raton laveur ont été observés au Québec, soit deux mouffettes retrouvées dans le secteur de Saint-Georges-de-Clarenceville. «C'est une diminution importante par rapport à l'an dernier à pareille date et cela semble indiquer que nos interventions portent fruits», souligne M. Pierre Canac-Marquis, coordonnateur des opérations de contrôle au MRNF. On note cependant aussi une diminution du nombre de signalements par les citoyens. «Même si plusieurs facteurs peuvent expliquer cette baisse, cela pourrait influencer notre compréhension de la situation», commente Frédérick Lelièvre, responsable des activités de surveillance au MRNF. «La contribution des citoyens est vraiment précieuse, la proportion d'animaux atteints de la rage est plus élevée parmi ceux qu'ils nous signalent. Même si la situation semble s'être améliorée, il est primordial de continuer à signaler les animaux suspects», ajoute-t-il. En somme, à ce jour, les résultats sont encourageants, mais la présence de cas de rage du raton laveur au sud de la frontière ainsi que la proximité des régions densément peuplées de la rive sud du Saint-Laurent commandent des interventions énergiques et constantes, de même qu'une haute surveillance soutenue. Quelques conseils pour les citoyens La rage est une maladie mortelle qui peut se transmettre d'un animal malade à l'humain. Les animaux domestiques, notamment les chats et les chiens, peuvent donc transmettre la rage à l'humain s'ils sont contaminés par un animal sauvage infecté. Pour assurer le succès de l'opération et se protéger contre la rage du raton laveur, les citoyens des régions visées sont invités à suivre quelques consignes : << - les appâts vaccinaux étant destinés aux animaux sauvages, il faut éviter de les manipuler, même s'ils sont sécuritaires pour les personnes, les animaux ou l'environnement; - en cas de contact avec un appât perforé ou brisé, il faut composer le numéro qui apparaît au dos des appâts ou joindre le service Info-Santé au 8-1-1; - consulter un vétérinaire pour faire vacciner contre la rage les animaux de compagnie, notamment les chiens et les chats; - ne jamais approcher les animaux inconnus. En cas de morsure, laver la plaie à grande eau et au savon pendant 10 minutes et communiquer avec Info-Santé; - ne pas capturer les animaux sauvages (ratons laveurs, mouffettes, renards ainsi que tout autre mammifère) pour les relocaliser afin d'éviter de propager la maladie dans d'autres régions; - signaler les ratons laveurs, mouffettes ou renards qui sont morts, désorientés, paralysés ou anormalement agressifs en communiquant avec Services Québec au 1 877 644-4545 ou en remplissant le formulaire en ligne sur le site Internet www.rageduratonlaveur.gouv.qc.ca. >> Les opérations de contrôle et de surveillance de la rage du raton laveur sont gérées par un comité interministériel regroupant des représentants du MRNF, du ministère de la Santé et des Services sociaux, des directions de santé publique des agences de la santé et des services sociaux de l'Estrie, de la Montérégie, de Montréal, de Laval et de la Chaudière-Appalaches, du ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation, de Services Québec, de l'Agence canadienne d'inspection des aliments et de la Faculté de médecine vétérinaire de l'Université de Montréal. Pour plus de détails sur cette opération, pour télécharger la carte illustrant les opérations 2009 de contrôle et de surveillance et la liste des municipalités visées par cette opération de vaccination ou pour de l'information sur la rage en général, consultez le site Internet www.rageduratonlaveur.gouv.qc.ca. << Source : Information : Éric Santerre Gladys Chamberland Responsable des relations Conseillère en communication avec les médias Direction des communications Direction des communications Ministère des Ressources naturelles Ministère des Ressources et de la Faune naturelles et de la Faune 418 627-8609, poste 3048 418 627-8609, poste 3003 >> ------- Sask. doctor training program to stop using live pigs August 28, 2009 A Saskatchewan program that teaches doctors urgent life-saving techniques will stop using live pigs. Instead, the program will begin using sophisticated mannequins. The transition has been in the works for a while but this week the program has been in the spotlight because of a protest launched by U.S. doctors. Saskatoon's trauma program is one of the last to use live pigs to help train doctors and it's unethical, said Dr. John Pippin, an adviser to the Physicians Committee for Responsible Medicine. "Is this cruel, painful suffering for the animals? The answer is absolutely," said Pippin, a Texas cardiologist. However, U of S animal scientist Red Williams doesn't share that view. All experiments involving animals face a rigorous approval process and are monitored by the Canadian Council on Animal Care, Williams said. Furthermore, over the years, most medical breakthroughs begin with animal experimentation, Williams said. "It's been a tremendous boon to mankind," he said. Where Williams and Pippin find common ground is in the general proposition that once the use of animals is no longer necessary, it should be stopped. When it comes to teaching trauma medicine, mannequins — known as simulators — are more effective than live pigs, Pippin said. The chair of the Saskatchewan training program, Dr. Paul Hayes, appears to agree. In an email to PCRM, Hayes said beginning this fall, simulators will replace live pigs. http://www.cbc.ca/canada/saskatchewan/story/2009/08/28/pigs-doctors.html Meat free diet is the key, says Brid's oldest woman, 104 28 August 2009 By Alexa Copeland A VEGETARIAN diet has certainly done Blanche Mannix no harm – as the great-great grandmother celebrated her 104th birthday last Thursday. Blanche was joined by her family and Bridlington Mayor Coun Cyril Marsburg, who helped her celebrate the special day at Mallard Court. Born in Moose Jaw, Canada, and raised in Winnipeg, Blanche moved to England aged 32 and has always maintained that her meat-free diet is the key to her longevity. She has never suffered from any serious illness throughout her 104 years and has received marriage proposals on three separate occasions. Blanche is currently staying at Mallard Court care home, where she is recuperating from a fall, but hopes to return to her home in Old Town's Avenue Court soon. Her family wished to thank staff at Mallard Court and entertainer Janice King for helping to make Blanche's birthday so special. http://www.bridlingtonfreepress.co.uk/news/Meat-free-diet-is-the.5588084.jp
  8. OPÉRATION DE VACCINATION DES RATONS LAVEURS, DES MOUFFETTES ET DES RENARDS EN ESTRIE ET EN MONTÉRÉGIE QUÉBEC, le 17 août /CNW Telbec/ - Pour une troisième année consécutive, le gouvernement du Québec procédera, en août, à l'épandage d'appâts vaccinaux sur les territoires de la Montérégie et de l'Estrie dans le but de maintenir et de renforcer l'immunisation des ratons laveurs, des mouffettes et des renards contre la rage du raton laveur. Selon le territoire visé, l'épandage sera fait par avion ou à la main. Ainsi, du 17 au 21 août 2009, des avions voleront à basse altitude au-dessus d'un territoire d'environ 11 000 km2, pour larguer quelque 925 000 appâts vaccinaux. Ce sont principalement les zones boisées et agroforestières qui sont ciblées par ce type d'opération, tandis que les zones habitées sont évitées. En tout, 35 municipalités de l'Estrie et 126 municipalités de la Montérégie seront survolées. Ensuite, du 24 au 31 août 2009, des équipes du ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF) parcourront les zones urbaines de la rive sud de Montréal pour épandre à la main quelque 35 000 appâts vaccinaux dans les habitats où l'on observe généralement les ratons laveurs, les mouffettes et les renards. Ces lieux incluent notamment les boisés, les abords des cours d'eau et, à l'occasion, les poubelles! Trente-cinq municipalités seront visitées au cours de cette opération d'épandage manuel. État de la situation Depuis le début de l'année 2009, seulement deux cas de rage du raton laveur ont été observés au Québec, soit deux mouffettes retrouvées dans le secteur de Saint-Georges-de-Clarenceville. «C'est une diminution importante par rapport à l'an dernier à pareille date et cela semble indiquer que nos interventions portent fruits», souligne M. Pierre Canac-Marquis, coordonnateur des opérations de contrôle au MRNF. On note cependant aussi une diminution du nombre de signalements par les citoyens. «Même si plusieurs facteurs peuvent expliquer cette baisse, cela pourrait influencer notre compréhension de la situation», commente Frédérick Lelièvre, responsable des activités de surveillance au MRNF. «La contribution des citoyens est vraiment précieuse, la proportion d'animaux atteints de la rage est plus élevée parmi ceux qu'ils nous signalent. Même si la situation semble s'être améliorée, il est primordial de continuer à signaler les animaux suspects», ajoute-t-il. En somme, à ce jour, les résultats sont encourageants, mais la présence de cas de rage du raton laveur au sud de la frontière ainsi que la proximité des régions densément peuplées de la rive sud du Saint-Laurent commandent des interventions énergiques et constantes, de même qu'une haute surveillance soutenue. ... http://qgov.newswire.ca/gouvqc/communiques/GPQF/Aout2009/17/c5465.html
  9. Pourquoi ne pas l'avoir endormie et relocalisée en forêt ? ----------------- Un ours abattu à Wendake Marc André Séguin 29/08/2009 Un ours noir signalé par de multiples appels aux autorités a finalement été trouvé puis abattu à Wendake, hier. La bête, une femelle qui traînait dans le secteur du Château d’Eau depuis quelques heures, n’a pas fait de blessés, mais a bien requis des autorités qu’ils se transforment en trappeurs pour un court moment. Aidés par les multiples appels de gens ayant aperçu l’ours qui errait dans le quartier, les agents de la faune ont finalement réussi à le cerner puis à l’abattre sur la rue Georges-Cloutier, vers 14 h 30, au terme de recherches qui ont duré quelque temps hier après-midi. Les autorités de Wendake ont pris en charge la carcasse de l’animal. http://lejournaldequebec.canoe.ca/journaldequebec/actualites/faitsdiversetjudiciaires/archives/2009/08/20090829-204559.html
  10. comme tu dis, c'est risqué Linda... Tu devrais peut-être y aller avec quelqu'un qui prétendrait vouloir choisir un chiot dans sa grange (?) et qui une fois les avoir vus, pourrait dire qu'elle voudrait réfléchir avant de se décider (?) Pendant ce temps, tu pourrais peut-être prendre quelques photos...
  11. Animal

    Activité familiale canadienne

    Oui Linda, ce petit cochon a eu les pattes fracturées, comme tant d'autres chaque année... C'est une activité courante dans les foires de l'ouest canadien...
  12. J'espère qu'il aura l'information et qu'il te répondra. Merci animo
  13. Dans l'industrie porcine, chaque année, des millions de porcelets sont tués de façon horrible: Attrappés par les pattes arrières, ils sont violemment frappés contre un mur de ciment puis jetés dans un bac à ordures... Certains survivent... Vidéo filmée au Québec et au Manitoba, de 2007 à 2009, par le CETFA (Canadians for the ethical treatment of food animals). p.s.: C'est quand-même déplorable de constater que le CETFA incite quand-même les gens à manger des animaux bien traités, plutôt que de faire la promotion du végétarisme!
  14. Animal

    BULLETIN-ÉTÉ 2009

    Published: August 27,2009 NY Senate Majority Leader Confronts Foie Gras Producer for Abusive Conditions Neighboring producer faces class action LIBERTY, N.Y., Aug. 27 /PRNewswire-USNewswire/ -- Senator Pedro Espada confronted the manager of Hudson Valley Foie Gras in person at the farm on Friday, as reported in Wednesday's NY Daily News. To constantly force feed ducks with long metal pipes so their livers painfully expand to over 10 times in size, migrant workers are given little sleep and no days off. Female workers also told of sexual abuse and harassment common at the farm. The visit comes right after settlement of a class action filed against LaBelle Farm, another foie gras producer in Liberty, for failure to pay minimum wage or overtime, "abysmal working conditions," and "charging its workers an astronomical fee for transportation from Mexico to the foie gras plant, and by housing the workers in a severely dilapidated labor camp." The case is Iglesias-Mendoza v. LaBelle Farm, Inc., Southern District of New York case number 06CIV1756. "Our animal cruelty investigators found ducks with holes punched through their necks, hanging over pools of blood next to live ducks in pens where they are force fed at Labelle Farm," states Christina Tacoronti, campaigns coordinator for the Animal Protection & Rescue League. Photos and video are available. APRL investigations and a lawsuit filed with In Defense of Animals spurred enactment of Cal. Health & Safety Code section 25980, banning the sale and production of foie gras in California, effective 2012. The cities of San Francisco, Berkeley, West Hollywood, Solana Beach and San Diego have recently passed resolutions in support of the ban. "We are hoping that New York will ban force fed cruelty as California has, and enact Senator Espada's bill to end farmworker abuse, as these issues are intimately connected," states Bryan Pease, attorney for APRL. "Cesar Chavez was outspoken about being vegan for animal rights reasons, and his organization United Farmworkers has continued to take strong positions against factory farm cruelty." Whole Foods has refused to sell foie gras since 1997 after representatives went to Hudson Valley Foie Gras. Others to remove this product of animal torture recently include Disney World, Bay Area based Andronico's Market, San Francisco Mayor Gavin Newsom's Plumpjack Group, Wolfgang Puck, and several resort hotels in the San Diego area including the Hotel Del Coronado. More information is at www.banfoiegras.org and www.APRL.org/foiegras.html. SOURCE Animal Protection & Rescue League http://newsblaze.com/story/2009082704080200001.pnw/topstory.html
  15. Présentement, REACH utilise chaque année approximativement 900,000 animaux au coût de 600 millions € pour évaluer de nouveaux produits chimiques, médicaments, pesticides et suppléments alimentaires. L'implémentation de nouveaux règlements pourrait exiger l'utilisation de 54 millions d'animaux supplémentaires pour les 10 prochaines années, ce qui représenterait 20 fois plus d'animaux que le nombre d'animaux anticipé dans les estimés précédents. ------ European REACH Legislation For Chemicals May Require More Animals And Funds Than Estimated ScienceDaily (Aug. 28, 2009) — The European Union's REACH (Registration, Evaluation, Authorization and Restriction of Chemical) legislation is intended as a comprehensive safety evaluation for commercial chemicals used in consumer products that are traded in Europe at amounts more than one ton per year. However, implementation of the regulation may require 54 million research animals and €9.5 billion ($13.4 billion) over the next 10 years, which represents 20 times the number of animals and six times the cost anticipated in previous estimates, according to an analysis led by researchers at the Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health. Currently, the EU uses approximately 900,000 animals at a cost of €600 million ($847 million) per year to evaluate new chemicals, drugs, pesticides and food additives. A commentary on the research is published in the August 26 edition of Nature. The full analysis will appear the same day as an electronic prepublication of the September 2009 edition of the journal ALTEX, Alternatives to Animal Experimentation. ... http://www.sciencedaily.com/releases/2009/08/090826152544.htm
  16. Five universities team up to push for the lion's share of research dollars They say Canada needs an elite group of postsecondary institutions focusing on research and graduate education Elizabeth Church Aug. 24, 2009 12:00AM EDT The leaders of five top universities have unleashed a raging debate on the nation's campuses, arguing that Canada needs an elite group of postsecondary institutions focusing on research and graduate education. The leaders of the universities of British Columbia, Alberta, Toronto and Montreal, as well as McGill, are pushing for what they describe as a national strategy for higher education. But they have run up against criticism from peers who see their efforts as a less-than-subtle attempt to get a larger share of scarce resources. "Report after report tells us Canada is not at the forefront of innovation; I guess what we are saying is we have got to get people listening," said Stephen Toope, president of the University of British Columbia. "What's the point of being in any of these jobs if we don't raise some issues and get people to talk about them?" Mr. Toope and the other four university leaders want more money for research and a greater concentration of graduate students, especially at the PhD level, at a limited number of campuses, with other schools focusing on undergraduate education. They argue that such a concentration of resources is driven by economies of scale and the momentum created by a critical mass of researchers. Roughly one-third of money from federal granting councils handed out last year went to the big five schools. "You can see very clearly that the more graduate students you have, the more likely you are to have a rich graduate experience and breakthroughs across disciplinary boundaries," said Indira Samarasekera, president of the University of Alberta, which would like to see one graduate student for every three undergraduates on its campus. University of Toronto president David Naylor, a physician, said that just as small hospitals are not expected to perform complex heart surgery, advanced research and education should be done at larger campuses. Too frequently, he said, funding decisions are made based not on international standards or an overarching strategy, but rather on political factors and a Canadian desire to treat everyone equally. "We have lots of institutions that are brilliant at lobbying for back-channel money and some of them are doing very well," he said. Leaders of the five schools say their efforts are rooted in national interest rather than self-promotion, but their actions have upset rival institutions. Some are dismissing the issue as a summer distraction, provoked in part by hard feelings about the skirmish for stimulus spending on campus construction projects. Others say it is about time that provincial and federal governments make tough choices about the roles played by the more than 90 universities in Canada; without a plan to guide their development and set priorities, the system will lose ground, putting students and society at a disadvantage. Several university leaders contacted The Globe and Mail to voice opposition to the model the big five schools are proposing. "Starving people engage in desperate moves. That's true of starving institutions, too," said Jack Lightstone, president of Brock University in St. Catharines, Ont., which has expanded its research and graduate programs in recent years. "This is about tiering the university system - essentially investing in them by divesting in others." Roseann Runte, president of Ottawa's Carleton University, said any attempt to direct graduate and research money to specific institutions would stifle competition and send professors packing to campuses where they do not face such limits. Others argue that governments must be cautious not to cut off innovation. "One wants to be a little careful with a system that simply perpetuates what you have done in the past 10 or 15 years to help you have a leg up in the future," said David Johnson, head of Ontario's University of Waterloo, which has developed a growing research capacity in a short period of time, in part thanks to partnerships with industry and multimillion-dollar donations. The big five leaders said they are not trying to limit research or graduate studies to their campuses alone. There already exists a group of 13 research-intensive universities and likely the number required would be more in the range of 20 or 25, Dr. Samarasekera said. Robert Birgeneau, a former head of the University of Toronto and now chancellor at University of California, Berkeley, said if Canadian governments covered the full cost of research, it would not be long before a few leading institutions emerged. The California system, which limits the role of state campuses and gives preferential funding to Berkeley and UCLA, is often used as an example that could be applied in Canada. But Dr. Birgeneau does not hold out much hope of that, despite what he believes are significant advantages. "It would really require a culture change and the federal government to impose itself in educational matters," he said. "It would be next to impossible at the provincial level, in my experience, because of the nature of provincial politics."
  17. Une délégation de parlementaires Canadiens en voyage en Namibie pour appuyer la chasse au phoque.... -------------------------------------------------------- Canadians Back Namibia on Seal Harvests - by John Ekongo 24 August 2009 WINDHOEK – Canadian parliamentarians on a two-day visit to the country said they supported Namibia’s position on seal harvesting. Co-Chair of the Canada-Africa Parliamentary Association, Senator Raynell Andreychuck, a Conservative, said that much of the condemnation over seal hunts is laced “with emotions rather than facts on the ground”. Animal rights activists in Europe have criticized the governments of Namibia, Canada, Norway, Greenland and Russia over the annual seal harvests. But, said the group, “We are one voice, we don’t believe that actions of the European Commission (EC) are justified. There is unity among the people, although a few minorities are against seal harvesting but it’s a very few and an overwhelming majority supports our position.” http://www.newera.com.na/article.php?articleid=6386
  18. Animal

    BULLETIN-ÉTÉ 2009

    http://tinyurl.com/my98le Humane society steps in to rescue animals OTTAWA — As part of a political protest, piglets were abandoned Tuesday outside the Ottawa constituency office of Ontario Premier Dalton McGuinty and Agriculture Minister Leona Dombrowsky’s office in Belleville. The piglets were housed in makeshift wooden pens and some food and water had been left for the animals. At both constituency offices, posters were left behind with messages that criticized the province’s handling of the H1N1 swine flu pandemic. The posters appear to have been left by disgruntled pork producers. One sign read: “Due to misnaming an influenza swine flu our industry has been devastated.” The sign said farmers have lost the market for pork and were being forced to euthanize their stock. The piglets were turned over to the Ottawa Humane Society, who were to put the animals on a foster farm. In Belleville, humane society officials were looking to also place the piglets. “Essentially abandoning animals is inappropriate and quite possibly, illegal. It’s to get attention to something presumably, and that’s not our concern. We just don’t feel that animals should be used in this way,” said Bruce Roney, executive director of the Ottawa Humane Society. OHS inspectors will look at whether charges will be laid against the owner of the animals, although there is no evidence to indicate who the owners might be, he said. No one from McGuinty’s office on Kilborn Avenue wanted to speak about the incident, but Agriculture Minister Leona Dombrowsky felt compelled to talk about what happened at her constituency office. “These poor defenceless little animals were left in front of my office and when the animal control officers came to pick them up they found the animals to be very distressed. “I grew up on a farm and I just know we would never abandon animals. I don’t know any farmers in my community who would just abandon animals. I was just surprised (by the incident) and this goes beyond my experience as a farmer’s daughter, or an individual who knows a lot of farmers or even as minister of agriculture.” She said there are “challenges” in the pork industry but the provincial government is working with the federal officials to help pork producers. Two weeks ago, the federal government pledged $92 million to the ailing pork industry with a view to assist pork producers to get out of the business and to restructure farms so they become profitable. She said the financial aid by the federal government was supported by the Canadian Pork Council through its members. “The Ontario Pork Industry Council is pleased that there is now a national program for their producers, so there is something out there to assist the industry as it goes through this very difficult time,” she said.
  19. Ours: le compte rendu de Mélanie Bergeron. 08/25/09 De nombreux ours se sont aventurés près des endroits habités cet été, notamment à cause du manque de petits fruits dans les... VOIR LA VIDÉO: http://videos.lcn.canoe.ca/archive/category/nouvelles/ours-le-compte-rendu-de-melanie-bergeron/35342733001
  20. Animal

    BULLETIN-ÉTÉ 2009

    Une cinquantaine d’ours noirs capturés depuis le début de l’été Des animaux sauvages s’aventurent en ville par Nathalie Deraspe Voir tous les articles de Nathalie Deraspe Article mis en ligne le 21 août 2009 à 12:30 Soyez le premier à commenter cet article Depuis quelques semaines, la pénurie de petits fruits pousse les ours bruns à s’approcher des résidences. Certains deviennent suffisamment frondeurs au point de monter sur les galeries des maisons. Péril en la demeure. Le phénomène est cyclique, tempère le sergent de la faune Alain Rioux. Il n’empêche qu’une cinquantaine de bêtes ont dû récemment être relocalisées. Plus de 10 d’entre elles ont même été abattues. En général, l’ours noir ne s’en prend pas aux humains. Dans les 30 dernières années, les spécialistes ont noté de 4 à 6 incidents, tout au plus. «On a l’empreinte du Petit chaperon rouge, illustre Alain Rioux. On a peur des ours, on a peur des loups. Mais quand l’ours se lève debout, ce n’est pas pour attaquer, mais pour mieux sentir.» Il faut tout de même savoir que l’odorat de l’ours capte les odeurs sur une distance de 5 à 10 kilomètres à la ronde. Dans les Laurentides, le développement résidentiel empiète de plus en plus sur l’habitat de l’animal et la gestion des déchets comme du quotidien interfère sur les visites inopportunes de ce mammifère omnivore, qui varie son alimentation au rythme des saisons. Alors qu’au printemps il se nourrit de petits fruits, l’ours noir devient carnassier à la mise bas. Il s’attaque alors au cerf et à l’orignal. En été, il recherche davantage des petits fruits, tandis qu’à l’automne, il est friand de noix et de glands. La recette du trappeur Sans qu’on le sache, notre mode de vie reproduit exactement ce le trappeur cherche à faire, indique M. Rioux. On met des bacs remplis d’ordure au chemin (un coup de pattes et l’ours découvre un buffet), on fait du compost (de quoi attirer les moins gourmands d’entre eux), on nourrit les oiseaux (les ours raffolent des écailles de tournesol), on nourrit les cerfs (qui font partie de son alimentation) et on fait griller un steak sur le barbecue! Jusqu’à 90% du phénomène de rapprochement des ours a été réglé au parc de Mont-Tremblant avec des bacs «anti-ours». Ces récipients à ordure sont fait de manière à ce que la bête soit incapable de les ouvrir. Cette année, les bêtes sont particulièrement actives dans les secteurs de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson et de Sainte-Agathe. Des résidants de Saint-Donat ont même observé des loups et des coyotes à proximité des maisons. Pour venir à bout du problème, les agents de la faune proposent de laver fréquemment le bac à ordures, de l’insérer dans un abri solide, d’éviter de nourrir les oiseaux en période estivale, de toujours bien récurer les grilles du barbecue, de nourrir les animaux de compagnie dans la résidence et d’éviter de laisser les portes et fenêtres ouvertes lorsqu’on fait de la friture. Le sergent Alain Rioux considère qu’on ne devrait jamais nourrir les cerfs. Ceux-ci attirent non seulement les moufettes mais également les loups et les ours. Surtout, si jamais une de ces bêtes venaient à s’aventurer vers vos déchets, laissez-la faire. «L’ours est un animal sauvage, prévient M. Rioux. Il pourrait vous considérer comme un de ses semblables qui tente de voler sa nourriture. Même si la bête ne veut pas vous tuer, une claque et c’en est fait.» http://www.journalacces.ca/article-368890-Une-cinquantaine-dours-noirs-captures-depuis-le-debut-de-lete.html
  21. Mont-Royal - Ratons laveurs Des «chats sauvages» Dany Doucet Le Journal de Montréal 25/08/2009 07h52 Ces photos prises récemment sur le Mont-Royal montrent à quel point les ratons laveurs urbains sont apprivoisés. Nathalie Sénécal Voici pourquoi le ministère de la Faune du Québec veut éviter que la rage du raton laveur n'atteigne un jour Montréal et qu'il distribue des vaccins dans les forêts de la Rive-Sud et des Cantons de l'Est, du haut des airs ou à pied, dans l'espoir de garder la maladie au sud de la rivière Richelieu. Ces photos prises récemment sur le sommet du Mont-Royal par une lectrice du Journal de Montréal, Nathalie Sénécal, démontrent bien à quel point ces bêtes sont apprivoisées à Montréal. «Ceux-ci sortent le soir vers 20 h et ne sont pas du tout dérangés par les gens qui leur tournent autour pour leur offrir de la nourriture, ou tout simplement pour prendre des photos», nous explique Mme Sénécal. ... http://fr.canoe.ca/infos/environnement/archives/2009/08/20090825-075200.html
  22. Publié le 25 août 2009 à 08h39 | Mis à jour le 25 août 2009 à 08h44 Des braconniers sèment l'émoi Des citoyens de Ferland-et-Boilleau ont découvert sur le tablier du pont couvert de l'endroit trois fesses d'orignaux. La viande a été prélevée sur des animaux abattus illégalement par des braconniers qui sévissent dans cette partie de la région. Le Quotidien, Jeannot Lévesque Louis Tremblay Le Quotidien (FERLAND-ET-BOILLEAU) Des braconniers ont abandonné sur le tablier du pont couvert de Ferland-et-Boilleau trois quartiers d'orignaux qui dégageaient une odeur de décomposition, des bouteilles de bière vides ainsi que des toiles ayant visiblement servi à recouvrir la viande provenant d'animaux abattus illégalement. http://www.cyberpresse.ca/le-quotidien/le-quotidien-du-jour/200908/25/01-895563-des-braconniers-sement-lemoi.php
  23. Animal

    BULLETIN-ÉTÉ 2009

    Publié le 26 août 2009 à 09h00 | Mis à jour à 09h03 Une provocation des braconniers Des citoyens de Ferland-et-Boilleau ont découvert sur le tablier du pont couvert de l'endroit trois fesses d'orignaux. La viande a été prélevée sur des animaux abattus illégalement par des braconniers qui sévissent dans cette partie de la région. Le Quotidien, Jeannot Lévesque Louis Tremblay Le Quotidien (FERLAND-ET-BOILLEAU) La découverte de trois fesses d'orignaux sur le tablier du pont couvert de Ferland-et-Boilleau permet d'avancer qu'il y a derrière ce geste une déclaration de guerre à peine voilée des braconniers du secteur à l'endroit des agents de conservation de la faune du gouvernement du Québec. Le Quotidien a contacté différents intervenants du secteur ainsi que des personnes bien au fait de la situation qui prévaut dans le secteur en matière de braconnage. Il existe à Ferland-et-Boilleau une forme d'omerta alors qu'une bande de truands sévissent en rejetant systématiquement la loi. Les actes de braconnage font partie de ces crimes perpétrés dans ce secteur. «Normalement, les braconniers laissent la mauvaise viande en forêt et évitent de se promener sur la place publique avec le fruit de leur crime. Dans ce cas, ils ont tout fait pour que la viande soit découverte. On ne parle plus d'un citoyen qui trouve une scène de braconnage au hasard dans le milieu de la forêt. Le message peut effectivement être interprété comme une déclaration de guerre», a déclaré au journal une source très bien informée et surtout consciente du climat qui règne dans ce secteur. Le Quotidien a, d'autre part, obtenu la confirmation que des opérations antibraconnage ont été menées pendant les derniers mois dans le secteur de Ferland-et-Boilleau. Des résidences ont été perquisitionnées par les agents qui étaient à la recherche de preuves pour traîner devant les tribunaux des individus généralement bien connus des milieux policiers, et qui sont l'objet de vérification pour l'abattage illégal d'orignaux. http://www.cyberpresse.ca/le-quotidien/le-quotidien-du-jour/200908/26/01-895925-une-provocation-des-braconniers.php
  24. Tu peux l'dire ! Et ils ont le culot d'appeler ça: projets de valorisation du cerf de Virginie
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