Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

hop

Membres
  • Compteur de contenus

    6 102
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par hop

  1. hop

    Livre « Éthique animale »

    Un peu moins cher sur amazon.ca : CDN$ 43.31 - port gratuit
  2. J'aurais tendance à penser que non, mais j'en sais rien. Mais, en tout cas, chez les gens qui ont une petite basse-cour derrière la maison : quelques poules et quelques lapins (coincés toute leur pauvre vie dans des clapiers) ça doit pouvoir être bien affreux aussi. Ce film terrible montre bien qu'il n'y a pas que l'industrialisation qui a rendu cruel l'élevage, et les cadences modernes des abattoirs qui ont rendu ceux qui y bossent indifférents aux êtres qu'ils tuent. On ne peut pas saigner longuement un cochon pour faire du boudin - ou laisser un lapin mourir en se vidant de son sang après lui avoir arraché un oeil sans être profondément indifférent à leur sort. L'attachement des paysans "à l'ancienne" pour leur bête, c'est du folklore, de la f..taise ! Une habitude, une familiarité, peut-être, mais c'est tout.
  3. hop

    Une humanité encore plus carnivore

    Ah oui, le pov'monsieur atteint d'écolassitude
  4. C'est bête - Les thèses délirantes font parfois de mauvais livres. La preuve. Résumons. L'abattage industriel des animaux dans les années 1920 à Chicago aurait inspiré l'antisémite Henry Ford pour optimiser ses usines. Hitler, influencé par l'industriel américain qu'il cite dans «Mein Kampf», aurait adapté la méthode pour l'extermination des juifs d'Europe. Bref, d'après l'historien américain Charles Patterson, l'exploitation et le massacre des animaux est l'oppression fondamentale à partir de laquelle toutes les autres oppressions découlent, condamnant les animaux à vivre, selon le titre de son livre traduit chez Calmann-Lévy, «Un éternel Treblinka» (20,50 euros). A la lecture de cet ouvrage confus, deux questions se posent : l'auteur avait-il besoin de provoquer pour intéresser les lecteurs à son sujet et pourquoi ceux qui défendent les animaux finissent-ils parfois par dire autant de bêtises sur les hommes ? Laurent Lemire Le Nouvel Observateur http://hebdo.nouvelobs.com/hebdo/parution/p2252/articles/a363456.html Est-ce qu'il l'a lu seulement, vu le peu qu'il trouve à en dire, on pourrait en douter !
  5. La Chine a mis en garde contre une résurgence des cas de grippe aviaire à l'occasion du Nouvel an chinois, s'inquiétant du manque de préparation de certains gouvernements locaux, a indiqué mercredi l'agence Chine Nouvelle. Les risques s'expliquent par les grands déplacements de populations, mais aussi d'animaux, à l'occasion du Nouvel an chinois ...M. Sun a appelé les autorités locales à généraliser les vaccinations des animaux contre la grippe aviaire pour assurer également une offre suffisante et saine de porcs et de poulets pour ce Nouvel an chinois, appelé en Chine le "festival du Printemps". (...) Grippe aviaire: la Chine inquiète avant le Nouvel an chinois - 23/01/08 www.lemonde.fr/web/depeches/0,14-0,39-34010964@7-50,0.html
  6. Après les éleveurs, c’est au tour des abattoirs et des ramasseurs de carcasses de bénéficier d’une aide financière de la part du gouvernement de l’Ontario, pour l’aider «à s'adapter aux nouvelles conditions et exigences du marché». Ils se partageront 14 millions de dollars dans les prochains mois. On sait que l’industrie des animaux d’élevage traverse une grave crise, suite à la hausse du dollar canadien face à la devise américaine et la hausse du coût des grains. (...) Nouveaux soutiens à l’industrie de l’élevage en Ontario - 23/01/08 www.lavoieagricole.ca/content/fullnews.cfm?newsid=5829
  7. La consommation de produits animaux, qui devrait augmenter de 50% d'ici 2020, selon l'Organisation mondiale pour la santé animale (OIE), comporte d'importants risques sanitaires et met en péril les écosystèmes, soulignent des experts. L'augmentation de la consommation de viande à l'échelle de la planète est surtout le fait des économies émergentes, au premier rang desquelles la Chine et l'Inde, et se traduit par des transports de plus en plus nombreux de produits animaux. "Il y a des risques sanitaires supplémentaires, car les produits vont circuler plus vite que les temps d'incubation des maladies", constate Jean-Luc Angot, directeur-général adjoint de l'OIE. Parmi les facteurs d'apparition ou de réémergence de nouvelles pathologies, on compte aussi le réchauffement climatique, la modification des écosystèmes ou le changement des habitudes alimentaires. (...) Une humanité plus carnivore, un risque pour la santé et l'environnement - 23/01/08 http://afp.google.com/article/ALeqM5ivIpMu9u2DE7L6PNgZMy1M2-3bWg
  8. Les cafards sont partout. Y compris dans l'espace. Enfin, ils y ont été envoyés par une équipe de chercheurs de l'Institut russe des problèmes biomédicaux, comme le relate New Scientist. Non seulement ils ont fait plusieurs fois le tour de la planète à bord d'un satellite mais ils se sont reproduits en apesanteur. Voici maintenant l'information qui donne vraiment froid dans le dos : les cafards nés dans l'espace "courent plus vite que les cafards ordinaires, et ils sont plus vigoureux et plus costauds", indique le chercheur Dimitri Atyakshin à l'agence russe Ria Novosti. Ces bébés cancrelats ont une croissance plus rapide que leurs cousins terrestres. (...) Des super-cafards nés dans l'espace - 23/01/08 http://tf1.lci.fr/infos/sciences/espace/0,,3689407,00-super-cafards-nes-dans-espace-.html
  9. Les sénateurs Gérard Bailly (UMP, Jura) et François Fortassin (PRG, Hautes-Pyrénées) préconisent une « revalorisation de la prime ovin » pour permettre à la filière de faire face à la concurrence de l'hémisphère australe, dans un rapport qui doit être rendu public demain. ...Selon MM. Bailly et Fortassin, le cheptel français d'ovins est passé de 13 millions de têtes en 1980 à 8,5 millions en 2006, soit une baisse de 23 %, tandis que le nombre d'exploitations diminuait de 197 000 à 75 000 et que les importations représentent aujourd'hui 54 % de la consommation nationale. ...Elle conserverait toutefois un avenir « dès lors qu'elle serait soutenue par les pouvoirs publics », soulignent les deux rapporteurs. (...) Elevage. Moins de crédits pour l'ours, davantage pour les moutons - 23/012/08 www.ladepeche.fr/article/2008/01/23/428460-Elevage-Moins-de-credits-pour-l-ours-davantage-pour-les-moutons.html
  10. Un fourreur agressé par les ultras de la cause animale www.lefigaro.fr/actualites/2008/01/23/01001-20080123ARTFIG00001-un-fourreur-agresse-parles-ultras-de-la-cause-animale-.php
  11. Après avoir plaidé samedi devant des pêcheurs français pour une remise à plat et un assouplissement des quotas de pêche européens, Nicolas Sarkozy se montre nettement plus mesuré dans une lettre adressée à la Commission européenne, où il plaide simplement pour une amélioration de "la gouvernance de la gestion commune de la pêche". ...Le chef de l'Etat avait jeté un pavé dans la mare samedi dernier en plaidant devant des pêcheurs à Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais) pour une remise à plat des quotas. "La France va présider l'Union européenne du 1er juillet au 31 décembre, c'est une opportunité pour sortir de l'affaire des quotas", avait-il lancé ...Des propos fraîchement accueillis à Bruxelles, au point que Michel Barnier (*) s'était livré à une mise au point lundi, affirmant que Paris voulait seulement "améliorer" le système de quotas, avec notamment une gestion pluriannuelle et non plus annuelle, et pas "l'abandonner". AP Nicolas Sarkozy tempère ses propos sur les quotas de pêche - 22/01/08 www.latribune.fr/info/Nicolas-Sarkozy-tempere-ses-propos-sur-les-quotas-de-peche-840-~-AP-UE-PECHE-SARKOZY-$Db=News/News.nsf-$Channel=Politique (*) Ministre de l'agriculture et de la pêche
  12. (pardon pour le "C", mais sinon le titre n'entrait pas ! ) L’interprofession de la viande chevaline (INTERBEV) regroupant l’ensemble des opérateurs de la filière, des éleveurs jusqu’aux distributeurs, s’interroge, dans un communiqué sur les motivations qui ont conduit la SPA à remettre en cause la présence de la viande chevaline dans les linéaires en moyenne et grande surface. "Laisser penser que la consommation de viande chevaline est systématiquement associée à la maltraitance des animaux est de la désinformation " déclare Interbev ...Selon Interbev, la filière viande chevaline française permet de maintenir le patrimoine que constituent les 9 races de chevaux lourds, considérées comme menacées par l’Union européenne et qui dépendent étroitement de la consommation de viande. ...les professionnels ne cèderont pas aux tentatives de provocation d’une minorité de personnes qui pratiquent un amalgame douteux entre bien-être animal et militantisme végétarien." Viande chevaline, l’interprofession condamne les méthodes de la SPA - 22/01/2008 www.agrisalon.com/06-actu/article-19839.php
  13. Un groupe de concertation sur le bien-être et la protection animale va se pencher sur l'interdiction éventuelle de la corrida aux mineurs, selon un courrier de la présidence de la République adressé le 17 janvier dernier à la Société protectrice des animaux (SPA). Ce courrier, dont la SPA a transmis une copie à l'AFP, rappelle d'abord que la corrida "est fortement ancrée dans l'identité de certains de nos territoires". Toutefois, "le président de la République a convenu que votre proposition d'interdire la corrida aux mineurs, dans la mesure où elle existait dans d'autres pays, pourrait être étudiée en France, ce qui ne constitue pas un engagement à présenter un texte", poursuit la lettre adressée à la SPA. L'association s'est aussitôt félicitée de l'annonce de la "constitution d'un groupe de travail sur la corrida et le projet de l'interdire aux mineurs de moins de 16 ans". Selon le courrier de l'Elysée, le président de la République a demandé au ministre de l'Agriculture "de constituer un groupe de concertation avec l'ensemble des acteurs concernés sur les questions du bien-être et de la protection animale". "Nous sommes heureux de voir que le Président de la République a pris en compte notre demande de débat (...) Nous espérons que ce groupe de travail parviendra dans les meilleurs délais à interdire les corridas aux mineurs de moins de 16 ans", a réagi Caroline Lanty, Présidente Nationale de la SPA dans le communiqué de l'association. Un groupe de travail va étudier l'interdiction éventuelle de la corrida aux mineurs - 22/01/08 www.tele-animaux.com/fil-info,lecture,un-groupe-de-travail-va-etudier-l-interdiction-eventuelle-de-la-corrida-aux-mineurs:32009.html
  14. Depuis le Steve Irwin dans l’Océan Austral Le vaisseau de patrouille des douanes Australiennes l’Oceanic Viking a fait perdre à Sea Shepherd la trace de la flotte japonaise. Après avoir récupéré les deux hommes de Sea Shepherd sur le Yushin Maru 2, l’Oceanic Viking a demandé au navire de Sea Shepherd, le Steve Irwin, de se rendre à un point de rendez-vous à quelques heures de là. C’était assez inhabituel sachant que le Yushin Maru 2 était à 10 miles marins à ce moment. Le Steve Irwin fut forcé d’arrêter sa poursuite du Yushin Maru 2 pour aller au point de rendez-vous avec l’Oceanic Viking. Cela permit au baleinier de prendre une direction inconnue afin de rejoindre le navire usine Nisshin Maru. Après avoir transféré Benjamin Potts et Giles Lane, l’Oceanic Viking partit dans une direction opposée à la flotte baleinière japonaise. Greenpeace, qui suit le Nisshin Maru, a rapporté que les harponneurs ont pu rejoindre le gros de la flotte. Bien que Sea Shepherd ait relayé la position des harponneurs au navire Esperanza de Greenpeace, pendant ces trois derniers jours, Greenpeace refuse de nous rendre la pareille et refuse de révéler la localisation présente de la flotte. « Avec des ‘alliés‘ comme le gouvernement australien et Greenpeace, il devient extrêmement difficile d’empêcher la flotte japonaise de chasse à la baleine de tuer des baleines, » a déclaré le Capitaine Paul Watson. « Les douanes australiennes nous ont délibérément éloignés de la flotte, et Greenpeace garde les coordonnées comme les joyaux de la Couronne pour nous empêcher de localiser la flotte. » Pour compliquer la tâche, les Japonais ont envoyé un nouveau vaisseau, le Fukoyoshi 68 pour faire de l’ombre au Steve Irwin à tout moment. Le navire n’est pas un baleinier. C’est un énorme chalutier japonais. Il n’y a aucun équipement de pêche à bord, et il semble y avoir plus d’électronique à bord que la normale pour un navire de pêche. Ce navire semble rapporter la position du Steve Irwin à la flotte japonaise. Sea Shepherd a fait cesser la chasse pendant une semaine. A mois que le Steve Irwin ne puisse retrouver la flotte bientôt, la tuerie va recommencer. L’Oceanic Viking va prendre les photos de baleines mourantes, Greenpeace va accrocher des bannières, prendre des photos, et continuer leurs cascades inefficaces. Ils n’arrêteront pas la tuerie. « Si des baleines meurent dans les jours qui viennent, je tiendrai Greenpeace et le gouvernement australien personnellement responsables, » a déclaré le Capitaine Paul Watson. « Ils savent que nous pouvons arrêter la tuerie parce que les baleines ne meurent pas quand Sea Shepherd arrive. En nous éloignant de la piste des baleiniers et refusant de coopérer en nous donnant les coordonnées, ils aident délibérément les baleiniers à échapper à Sea Shepherd et à recommencer à massacrer des baleines. Je comprends que Greenpeace a besoin de séquences et d’images des « éco-guerriers héroïques », en bourdonnant avec leurs zodiacs, mais cela n’arrête pas les harpons. Seule notre présence empêchera les Japonais de tuer des baleines. Sea Shepherd est la meilleure arme que Greenpeace puisse utiliser pour empêcher la reprise de la chasse. En se gardant de coopérer, ils contribuent à la mort des baleines. Si des baleines sont tuées la semaine prochaine, je tiendrai Greenpeace responsable de leurs morts parce qu’ils ont le pouvoir de coopérer avec Sea Shepherd et d’empêcher la tuerie de continuer. » Le Steve Irwin fait des reconnaissances en hélicoptère pour re-localiser la flotte baleinière. La flotte devrait se trouver dans un rayon de 200 miles marins de Sea Shepherd. Le manque de coopération pourrait tuer des baleines - 18/01/08 www.seashepherd.fr/News/080118_anque_cooperation.html
  15. Benjamin Potts et Giles Lane ont été transférés depuis le Yushin Maru 2 vers le navire des douanes ausralien Oceanic Viking tôt ce matin à 2.00, heure de Melbourne (13.00 GMT). ...« Les baleiniers ont rapidement réalisé qu’ils avaient fait une énorme erreur de relations publiques en nous gardant prisonniers sur leur navire, » a déclaré Benjamin Potts. « Nous leur avons bien dit que Sea Shepherd s’était engagée à leur faire cesser leurs activités illégales. » « Bien que nous apprécions les inquiétudes des gens à notre égard, il est important de se souvenir que cela n’a rien à voir avec nous, » a déclaré Giles Lane. « Il faut stopper cette chasse à la baleine illégale et cruelle. La façon dont nous avons été traités est insignifiante comparée aux souffrances des baleines de la main de ces baleiniers japonais. Ils ont peut être été brusques avec nous, mais au moins, nous n’avons pas été harponnés, électrocutés, ou mutilés. Ce sont les baleines qui sont importantes, pas nous. » (...) les braconniers japonais libèrent les otages de Sea Shepherd - 18/01/08 www.seashepherd.fr/News/080118_otages_liberes.html
  16. Une baleine à bec, une espèce rare, mesurant 5,6 mètres et pesant 1,5 tonne a été retrouvée vendredi échouée sur la plage de Sangatte (Pas-de-Calais), près de Calais, avec son petit, une femelle de 3 m de long, a-t-on appris lundi auprès de la Ligue protectrice des animaux. ..."Le petit a été repris par la marée" dans la nuit de dimanche à lundi, a déploré M. Charpentier qui ne pense pas que les cétacés soient morts à la suite d'un accident, parcequ'ils "n'étaient pas blessés". ...La baleine à bec -nom donné en raison de la forme de sa bouche- ressemble beaucoup à un dauphin et est supposée vivre loin des rivages dans les grandes profondeurs. Une baleine à bec et son petit échoués sur une plage du Pas-de-Calais - 21/01/08 www.tele-animaux.com/fil-info,lecture,une-baleine-a-bec-et-son-petit-echoues-sur-une-plage-du-pas-de-calais:32006.html
  17. Il détenait 120 ortolans dans son congélateur… Il vient d'être condamné. Mais les animaux ont encore du souci à se faire. (et que dire des animaux chassables, piegeables, et autres dits nuisibles...) ...Le braconnage d'ortolans peut coûter cher. Le tribunal correctionnel de Mont-de-Marsan a condamné Georges Catuhé, 65 ans, à 1000 euros d'amende, plus trois contraventions de 100 euros, plus 500 euros de dommages et intérêts pour chacune des deux associations de défense de la nature qui s'étaient portées parties civiles, et 300 euros à chacune pour leurs frais d'avocats. Total de l'opération : 2900 euros. Et surtout, deux ans de retrait du permis de chasse. Un coup dur pour le retraité de Laglorieuse. Il faut dire que les gendarmes et les gardes de l'Office national de la chasse des Landes avaient découvert un sacré butin de chasse dans son congélateur : 119 bruants ortolans engraissés, et 924 pinsons et linottes préparés en brochettes de 12, le tout pour une valeur estimée à 20.000 euros ! « C'est le record de France du braconnage d'oiseaux protégés » assure l'avocat de la LPO et de la SEPANSO Me François Ruffié. Le 2 septembre dernier, Allain Bougrain-Dubourg était venu dans les Landes dénoncer la pratique de cette chasse traditionnelle interdite. Georges Catuhé avait été verbalisé deux jours plus tard, pour la possession de 30 matoles, des pièges à oiseaux. Le procureur avait alors autorisé une perquisition à son domicile. ------------- Les braconniers sont toujours là ! Pour preuve, la condamnation vendredi à Mont-de-Marsan d'un homme qui, détenait une centaine d'ortolans dans son congélateur. Pour preuve aussi, le terrible drame qui s'est déroulé, au mois de novembre dernier dans l'Aude. Un braconnier irascible, Marcel Bonet, a tué Serge Candela, un garde-chasse assermenté. « Il y a deux sortes de braconniers, explique-t-on à l'Office national. Ceux qui ont des motivations pécuniaires, comme pour l'ortolan et la pibale et puis ceux qui commettent des infractions par bêtise, par manque de respect de l'esprit ou de la lettre de l'esprit de la chasse. » Les braconniers sont très différents selon les départements et les habitudes locales. Dans le Comminges, l'ONCFS traque ceux qui utilisent les téléphones portables ou bien foncent en voiture à travers champs et villages pour rattraper les gibiers lors des battues. Dans l'Ariège, on cherche les viandards qui attirent les bêtes à la lueur des phares. En montagne, on débusque les tireurs andorrans, qui veulent faire des cartons sur les isards pyrénéens. Dans le Gers et les Landes, il y a les fanas du tir à la palombe sans souci, ni permis. Dans l'Aveyron, les amateurs de la tendelle, piège rustique et cruel. Mais lorsque les braconniers sont pris la main dans le carnier, cela peut parfois leur coûter cher. Leur gibier devient tout de suite très salé… (...) www.ladepeche.fr/article/2008/01/15/426281-Chasse-interdite-les-braconniers-dans-le-viseur.html
  18. Une interview de l’anthropologue Annie Hubert, réalisée lors du Plateau du J’Go de décembre 2007 Le Plateau du J’Go de décembre 2007 était consacré au thème "Que mangerons-nous en 2050 ?". Au menu de cette émission sur l’alimentation et la société réalisée chaque mois par la Mission Agrobiosciences et diffusée sur les ondes de Radio mon Païs : revue de presse, revue littéraire, chroniques et entretien avec la célèbre anthropologue Annie Hubert, fine observatrice de l’évolution de la relation que les hommes nourrissent envers leur alimentation. Nous lui avons donc demandé de dresser le portrait de l’omnivore de 2050 : il sera beaucoup plus végétarien, affirme l’anthropologue mais, que l’on se rassure, le métissage culinaire sera d’actualité tout comme le plaisir de manger, faute de quoi notre société serait en danger. (...) Il y a aura donc toujours des aliments, mais je crois que vous nous voyez, dans l’avenir, un peu plus végétariens... Oui, généralement et sans caricaturer, je nous vois même quasiment herbivores. Car lorsqu’on regarde les tendances actuelles en Occident, il y a une nette augmentation de la consommation de végétaux que ce soient les fruits, les légumes ou les céréales. Nous en consommons beaucoup plus que nos arrière-grands-parents paysans en Lozère. Parce qu’ils sont davantage disponibles sur les marchés ? Oui, et parce que les prix sont encore à peu près accessibles. Il ne faut pas oublier que c’est l’essor économique qui a permis cette diversification des aliments. Rappelons aussi que ce sont les légumes du potager considérés de basse classe par d’autres générations qui sont aujourd’hui très importants sur nos tables. Certes, on tombe, là, quelque peu dans le diktat du PNNS (2), « il faut manger ci, il faut manger ça ». Ça me fait penser à votre petite fiction : si on a un pouvoir médical qui veut tout doser, on pourrait arriver - j’exagère beaucoup- à ce genre de situation où un menu serait une ordonnance médicale. Mais je n’y crois pas vraiment. Je crois beaucoup plus au fait que nous allons vers une grande consommation de légumes, une moindre consommation de viandes, peut être une moindre consommation de poissons parce qu’il y a quand même sur-pêche. Je ne sais pas si, dans 50 ans, les pêcheurs pourront encore pêcher. Et puis ce qui se développe aussi et qui est très récent qui a commencé dans les pays anglo-saxons dans les années 60, c’est cette préoccupation croissante pour le bien-être animal. On ne veut plus faire souffrir les animaux. Si on les mange, il faut qu’on mange des animaux heureux. Vous avez justement imaginé, autour de cette idée que nous mangerons plus de végétaux et surtout moins d’animaux, trois scénarios culturellement possibles... Tout à fait. Dans le premier scénario, j’ai poussé le végétalisme jusqu’à son paroxysme. Nous formerons une société où l’omnivore vivra chez les animaux citoyens. Car dans ce premier modèle, les animaux sont des citoyens et ils ont des droits. Il faudra vérifier leurs codes de naissance, leur donner une identité personnelle, parce qu’un animal est un individu. Il n’y a plus de troupeaux de vaches, mais des Marguerite, Suzanne et Lilas. Et c’est pareil pour les cochons et les agneaux. L’animal sera là pour être heureux, pour gambader dans la nature et dormir en des endroits appropriés... et c’est tout. On n’y touche pas, ce n’est plus possible, mais on s’en occupe beaucoup. Peut-être, pourrons-nous manger les œufs et boire le lait, mais je n’en suis pas sûre. Ainsi, des politiques très totalitaires pourraient également interdire de priver ces animaux de leurs œufs, leur lait, uniquement destinés à leur propre reproduction et allaitement. Nous sommes donc devenus des herbivores et nous sommes les valets des animaux. Le second scénario est plus près de la réalité. Nous acceptons de manger de la viande, car nous avons besoin de protéines animales, mais cela nous gêne de le faire si les animaux sont élevés en batteries et sont maltraités. Nous projetons tellement notre anthropomorphisme sur eux que ça nous fend le cœur de tuer un agneau. Nous allons donc faire en sorte d’avoir des élevages très au point où les animaux sont heureux dans leur propre milieu, ne sont pas attachés, sont nourris naturellement avec des nourritures qui leur sont propres, etc. au bout d’un moment on pourra les consommer, mais avec des méthodes d’abattage absolument sans douleur, sans attente, dans des circonstances quasiment hospitalisées. Alors on pourra manger un peu de ces viandes, de ces chairs d’animaux heureux, sans culpabiliser d’avoir fait souffrir ces animaux. Cela dit on mangera beaucoup plus de légumes, car on ne va pas tuer des animaux tous les jours. (...) Quel avenir pour l’omnivore de 2050 ? Serons-nous tous végétariens ? www.agrobiosciences.org/article.php3?id_article=2271
  19. France: Etrange article du "Nouvel Observateur" sur les sangliers Dans le No 2254 du "Nouvel Observateur" (17-23.1.2008) , on peut lire unétrange article sur la "surpopulation" des sangliers, titré "La harde sauvage" et signé par Fabien Gruhier. Le journaliste explique la multiplication des sangliers par toutes sortes d'hypothèses, à commencer par le dérèglement climatique, sans toutefois considérer les principales raisons qui sont intentionnelles: L'agrainage et le nourrissage de ces animaux par des chasseurs afin d'augmenter la quantité du gibier (Voir ici-même "Un chasseur dénonce les massacres de sangliers, 10-11.1.2008) Pour montrer la dangérosite du sanglier, l'auteur de l'article écrit qu'un de ces animaux a chargé récemment un homme âgé. Mais M. Gruhier passe sous silence le nombre considérable de chasseurs et de passants tués ou blessés chaque année par les "accidents" de tir lors de battues au sanglier. Battues saisonnières, dérogatoires, administratives (mais aussi battues illicites) de plus en plus fréquentes. M. Gruhier écrit aussi qu'il y a peu, un sanglier a semé la panique entrant dans un magasin de vêtements de Poitiers. Mais il n'écrit pas qu'il a fallua aux policiers de tirer 30 balles de leurs armes de service (inappropriées en l'occurence) pour tuer ce pauvre animal échappé d'une battue. Le bruit de ces tirs a aggravé l'inquiétude du public. (Voir ici même "30 balles pour tuer un sanglier", 26.12.2007) Selon M. Gruhier, pendant la saison 2003-2004, 480.682 sangliers ont été tués pour une population totale d'environ un million d'individus. Mais nous ne comprenons pas ce que M. Grahier souhaite. Combien de sangliers devrait-on tuer en une pour le satisfaire, lui et ses sources d'information? 600.000? 700.000? 800.000? Un million? C'est à dire tous les sangliers? Nous aimerions bien avoir une réponse à cette question. 21.1.2008 "Les chrétiens et les animaux" http://www.webzinemaker.com/saintfrancois/
  20. Ils permettent de lutter contre la prolifération de ces oiseaux dans 40 villes de France et notamment à Paris. Les amis des pigeons et ceux qui ne peuvent pas supporter leurs saletés en ville se réconcilient autour des «pigeonniers contraceptifs» qui y sont installés. Un drôle de nom pour ces abris à volatiles de 7 mètres de haut qui logent environ 200 individus ! Plusieurs villes de France, dont Paris, sont désormais dotées de ces pigeonniers dont l'objectif est de lutter contre les déjections des pigeons. (...) Des pigeonniers contraceptifs contre la saleté des villes - 21/01/08 www.lefigaro.fr/sciences/2008/01/21/01008-20080121ARTFIG00497-des-pigeonniers-contraceptifs-contre-la-salete-des-villes.php
  21. Je ne sais plus dans quel article/interview, j'avais lu que Sarkosy avait évoqué le fait qu'il faudrait peut-être, dans le futur, évoluer vers une corrida sans mise à mort (il y a un débat de ce genre en Espagne) Son argument était que la mise à mort publique d'un animal , ne correspondait plus au goût de l'homme d'aujourd'hui. Par contre, élever un animal pour l'obliger à se faire enfoncer des banderilles dans la chair, c'est encore au goût du jour. C'est vrai qu'il y a des gens qui trouvent que la seule chose critiquable de la corrida est la mise à mort !
  22. L214 sur France Inter ce lundi 21 janvier Brigitte Gothière sera sur le plateau de Service Public sur France Inter ce lundi 21 janvier de 10h à 11h. Cette émission, animée par Isabelle Giordano, abordera la question de l'éthique dans la consommation des produits animaux. Témoignage, questions, réactions... par téléphone au 01 45 24 7000. Vous pourrez également laisser des commentaires www.radiofrance.fr:80/franceinter/em/servicepublic/commentaire.php ou ré-écouter sur le site de l'émission. http://www.radiofrance.fr/franceinter/em/servicepublic/commentaire.php http://www.l214.com/
  23. J'ai cherché sr le site de l'EFSA et je n'en ai pas trouvé, malheureusement. AHAW - Groupe scientifique sur la santé et le bien-être des animaux de l'EFSA www.efsa.europa.eu/EFSA/ScientificPanels/efsa_locale-1178620753816_AHAW.htm
×
×
  • Créer...