hop
Membres-
Compteur de contenus
6 102 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Forums
Blogs
Boutique
Calendrier
Téléchargements
Galerie
Articles animaux
Sites
Annuaire animalier
Petites annonces
Tout ce qui a été posté par hop
-
University of Minnesota Medical School to Stop Using Live Animals From USAToday.net More than 95 percent of U.S. medical schools now use human simulations instead of live animals. The University of Minnesota plans to stop using live animals to teach emergency medicine to doctors in training. The Medical School will instead switch to high-tech simulations. The Physicians Committee for Responsible Medicine (PCRM) alleged the university was violating the federal Animal Welfare Act. A letter from the head of emergency medicine, Dr. Joseph Clinton, says the university significantly reduced the use of live animals on July 1, and will eliminate their use by the end of the year. The Physicians Committee for Responsible Medicine says more than 95 percent of U.S. medical schools now use human simulations instead of live animals
-
Polémique sur l'expérimentation animale en Europe LE MONDE | 31.08.09 Pour protéger les Européens contre les effets des produits chimiques, faudra-t-il sacrifier 54 millions d'animaux de laboratoire au cours de la prochaine décennie, et non 2,5 millions, comme estimé à l'origine par les promoteurs du règlement Reach (Enregistrement, évaluation, autorisation et restriction relatifs aux substances chimiques) ? Le coût pour l'industrie de ces expérimentations animales s'élèvera-t-il à 9,5 milliards d'euros, soit six fois plus que le "devis" initial envisagé par les autorités européennes ? Le débat a été lancé dans la revue scientifique Nature, qui a publié, jeudi 27 août, une tribune dans laquelle le toxicologue Thomas Hartung (Johns Hopkins University, Baltimore, Maryland) et Costanza Rovida, une chimiste italienne, estiment que l'Europe ne pourra pas relever le défi posé par Reach. De quoi s'agit-il ? Entré en vigueur en 2007, Reach met en demeure l'industrie chimique européenne de répondre, d'ici à dix ans, à la question suivante : les produits commercialisés avant 1981, qui représentent encore 99 % en volume des molécules présentes sur le marché, sont-ils sûrs pour la santé humaine et l'environnement ? Reach prévoit des analyses toxicologiques systématiques pour certaines classes de ces substances et a renversé la charge de la preuve : ce sont les industriels qui doivent démontrer que ces molécules sont sans impact sur la population. Cette révolution est en cours : fin 2008, 65 000 entreprises avaient "préenregistré" 140 000 substances à analyser. Sachant que, jusqu'alors, l'Europe n'évaluait que quelques centaines de molécules par an, l'objectif de Reach paraît intenable aux signataires de l'article de Nature. "La toxicologie réglementaire n'a ni les méthodes à haut-débit ni les techniques alternatives à l'expérimentation animale pour tenir l'objectif", estiment-ils, appelant à un moratoire sur les tests de toxicologie de la reproduction (soit la majorité des tests sur animaux) tant que des alternatives ne seront pas approuvées. Thomas Hartung n'est pas le premier toxicologue venu. Jusqu'à il y a peu, il dirigeait le Centre européen pour la validation des méthodes alternatives, un laboratoire de la Commission européenne. Il copréside le septième congrès mondial sur les alternatives à l'utilisation de l'animal dans les sciences de la vie, qui se tient jusqu'au jeudi 3 septembre à Rome. Le 9 juillet, il avait déjà publié, dans Nature, un article rappelant que l'homme "n'est pas un rat de 70 kg", où il appelait à une révolution de la toxicologie. Que penser de ces estimations ? "J'ai le sentiment qu'il a systématiquement choisi les fourchettes hautes", note Eric Thybaud, de l'Institut national de l'environnement industriel et des risques (Ineris). Certes, admet Eric Thybaud, les premières évaluations du coût de Reach étaient fondées sur une Europe à 12 membres, et non 27. Certes, cela augmente le nombre de substances à évaluer, mais toutes ne sont pas produites dans les tonnages nécessitant les tests les plus "gourmands" en animaux. Eric Thybaud concède que les méthodes alternatives méritent d'être développées plus avant, "le paradoxe étant que, dans un premier temps, pour y parvenir, il va falloir augmenter l'expérimentation animale". Pour le directeur général de l'Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail (Afsset), Martin Guespereau, l'argumentaire de Thomas Hartung est assez proche de celui de l'industrie chimique : Reach serait infaisable et trop cher. "La question du coût donne lieu à des évaluations très variables, rappelle-t-il. Mais l'Europe estime le bénéfice à 50 milliards sur trente ans, en raison notamment du nombre de morts humaines évitées." Sans surprise, la Commission européenne conteste les conclusions de l'article de Nature. D'après Ton Van Lierop, porte-parole du commissaire européen chargé de l'industrie, le nombre des substances enregistrées devrait au final rester proche des estimations initiales, soit quelque 30 000 produits. Quant aux tests sur les animaux, la commission affirme vouloir les limiter, par le partage de données entre les industriels et les tests alternatifs. "Ils ne sont pas impératifs avant l'enregistrement définitif des produits. Il s'agit de proposer une méthode d'évaluation, c'est ensuite à l'Agence européenne des produits chimiques (ECHA) de dire s'il faut passer aux tests", assure M. Van Lierop. Dans un communiqué diffusé le 28 août, l'ECHA affirme que l'analyse publiée dans Nature est "inexacte" et qu'elle surévalue par six le nombre d'animaux nécessaires. Mais elle reconnaît qu'il en faudra 9 millions et non 2,6 millions, comme avancé en 2004. Pour l'ECHA, le coût de ces tests sera bien de 1,3 milliard d'euros, et non 9,5 milliards. L'industrie chimique reste, quant à elle, prudente sur les chiffres. "Nous ne disposons pas encore de l'inventaire des données toxicologiques manquantes, qui déterminera in fine le volume des essais animaux à faire", note Catherine Lequime, responsable Reach à l'Union des industries chimiques française. Thomas Hartung maintient son analyse : "J'aimerais qu'on me prouve en quoi nos chiffres sont faux, car je veux que Reach réussisse. Mais nous démontrons que le test de reproduction constitue à lui seul un goulot d'étranglement. Il faut en tenir compte pour amender le système. Refuser des calculs relativement simples ne changera rien à l'affaire." L'article de Nature va donner de précieux arguments aux associations de défense des animaux, qui se sont manifestées dans le même sens au mois d'août. D'après ces organisations, les obligations introduites par Reach "pourraient se traduire en souffrances et décès inutiles de plus de 4 millions d'animaux". La mécanique de Reach, ajoutent-elles, pousserait l'industrie à effectuer des "tests préemptifs", afin de respecter les délais, et non en dernier recours, comme stipulé par le règlement européen. Hervé Morin et Philippe Ricard
-
La Commission européenne et l’industrie cosmétique cofinancent des recherches pour réduire le recours à l’expérimentation animale 31/08/09 La Commission européenne et l’industrie cosmétique cofinancent des recherches pour réduire le recours à l’expérimentation animale Aujourd’hui, lors du septième congrès mondial sur les alternatives à l’utilisation des animaux en sciences de la vie, à Rome, la Commission européenne et l’industrie cosmétique européenne ont présenté leur effort financier conjoint en faveur de la recherche sur les méthodes de substitution pour l’évaluation de l’innocuité. Le 30 juillet 2009, la Commission européenne a lancé un appel à hauteur de 25 millions d’euros pour des propositions dans ce domaine, et l’industrie cosmétique européenne, représentée par la Colipa (l’association européenne de l’industrie cosmétique) s’est engagé à fournir le même montant. En conséquence, jusqu’à 50 millions d’euros seront alloués à des projets de recherche qui visent à poser les fondements scientifiques d’essais d’innocuité futurs plus rapides et plus économiques que les expérimentations animales. M. Janez Poto čnik, commissaire européen chargé de la science et de la recherche, et le vice-président Günter Verheugen ont déclaré: «nous sommes fiers de cette coopération inédite entre le secteur privé et la Commission européenne. Elle montre que nous sommes déterminés à éviter l’utilisation des animaux dans la recherche tout en rendant plus sûrs les produits pour les consommateurs. Le fait de disposer de méthodes de substitution plus rapides, plus économiques et plus fiables permettra à la fois d’assurer une meilleure sécurité et de renforcer la compétitivité des entreprises européennes. La mise en commun de ressources avec des partenaires privés, en l’occurrence avec l’industrie cosmétique, est indispensable pour financer la recherche de pointe à long terme permettant de relever ces défis.» M. Bertil Heerink, directeur général de la Colipa, a déclaré: «Depuis plus de 20 ans, l’industrie cosmétique cherche à réduire l’utilisation des animaux dans le cadre des essais d’innocuité. Notre secteur est heureux de pouvoir contribuer au financement de cette initiative, qui joue un rôle essentiel afin d’assurer le remplacement, à terme, de toutes les expérimentations animales par des méthodes de substitution dans le domaine scientifique complexe de la toxicité systémique.» Pourquoi des recherches sont-elles nécessaires? L’appel à proposition porte sur la «toxicité systémique à dose répétée». Ce type d’étude vise à prévoir la toxicité de l’utilisation répétée, sur une longue période, de substances telles que celles couramment employées dans les cosmétiques. En dépit des progrès considérables réalisés dans le domaine des méthodes d’expérimentation non animales, il reste des lacunes à combler en matière de connaissances scientifiques afin de réduire encore l’utilisation des animaux lors des essais d’innocuité tout en continuant à garantir la sécurité des produits cosmétiques. Sur quoi portera la recherche? En réponse à son appel, la Commission européenne attend des propositions de projets de recherche auxquels participe un large éventail de partenaires dans toute l’Europe et qui portent sur les sujets suivants: *le développement de dispositifs de simulation d’organes; *l’utilisation de cellules cibles basées sur des cellules humaines; *la définition de nouveaux seuils d’effet toxicologique et marqueurs intermédiaires; *des techniques de modélisation computationnelle; *l’exploitation d’approches développées en biologie des systèmes, ainsi que * l’analyse intégrée des données et les services scientifiques. Il est à noter que *seules les propositions n’impliquant pas d’essais sur des animaux vivants seront admissibles; * les résultats des projets pourront présenter un intérêt non seulement pour l’industrie cosmétique, mais aussi pour l’industrie pharmaceutique, pour l’industrie chimique et pour divers autres secteurs. Comment les recherches seront-elles financées? La coopération entre la Commission européenne et Colipa permettra de financer jusqu’à 100 % des coûts admissibles des projets retenus. Contexte Pour la Commission, il est absolument nécessaire de mettre au point des méthodes de substitution aux expérimentations animales. Le principe des 3 R ( Replacing, Reducing and Refining: remplacer, réduire et perfectionner les expérimentations animales) sous-tend plusieurs textes législatifs communautaires, notamment la directive sur les animaux utilisés à des fins scientifiques, le règlement REACH (sur les substances chimiques et leur emploi) et la directive cosmétiques. Sur 20 ans, la contribution de l’UE à la recherche sur des méthodes de substitution, financée au titre du programme-cadre européen pour la recherche et le développement technologique, s’est élevée à environ 200 millions d’euros. Le Centre commun de recherche de la Commission héberge aussi le Centre européen pour la validation de méthodes alternatives (ECVAM) et il a récemment lancé le site web TSAR pour suivre le développement de nouvelles méthodes d’essai de substitution. La Colipa, l’association européenne de l’industrie cosmétique, représente plusieurs milliers d’entreprises du secteur européen des produits cosmétiques. La Colipa joue un rôle de premier plan pour le développement de méthodes d’essai de substitution et coopère déjà avec la Commission européenne et avec d’autres associations sectorielles par l’intermédiaire du Partenariat européen pour la promotion des méthodes de substitution à l’expérimentation animale (EPAA). Pour plus d’informations: L'appel à propositions FP7-HEALTH-2010-Alternative-Testing Colipa (association européenne des industries cosmétiques) http://www.colipa.eu/about-colipa.html Partenariat européen pour la promotion des méthodes de substitution à l’expérimentation animale http://ec.europa.eu/enterprise/epaa/index_en.htm Méthodes de substitution ayant reçu le soutien de l’UE http://cordis.europa.eu/documents/documentlibrary/106691831EN6.pdf ECVAM http://ecvam.jrc.ec.europa.eu/ TSAR http://tsar.jrc.ec.europa.eu/ sce : europa.eu
-
En Belgique, le nombre d’animaux de laboratoire a baissé de 7% en 2008 Une nouvelle loi impose la création d’un Centre belge des méthodes alternatives à l'expérimentation animale. Sept 2009 GAIA: "C'est une bonne nouvelle, mais en l'absence des moyens d'action nécessaires, la mesure est inutile" Alors que le nombre d'animaux utilisés pour des expériences a augmenté de 14% en Grande-Bretagne, le nombre total d'animaux exploités dans les laboratoires belges en 2008 a diminué de 7% par rapport à l'année précédente, pour atteindre 725.370 animaux. Pour la première fois en cinq ans, le nombre d'animaux de laboratoire a donc diminué et se situe désormais à un niveau proche de celui de 2005 (718.976 animaux à l'époque). La diminution est accueillie favorablement par l'organisation pour les droits des animaux, GAIA, mais son président, Michel Vandenbosch, se montre cependant prudent: "54.490 animaux en moins rendus malades, empoisonnés ou mutilés à toutes sortes de fins, c'est évidemment une bonne chose, mais la réduction pourrait aussi être le fruit du hasard. Le nombre d'animaux de laboratoire doit également continuer à baisser les années suivantes. Pour ce faire, un plan politique solide doit être élaboré par la ministre Onkelinx". GAIA demande, dans un premier temps, au gouvernement d'octroyer les moyens d'action nécessaires au Centre belge des méthodes alternatives à l'expérimentation animale instauré par la loi du 9 juin. La création d'une commission spéciale sur les expériences menées sur les singes est également applaudie par l'organisation de défense des animaux, qui exige depuis des années déjà l'interdiction des tests sur tous les primates. Nouvelle loi portant création d'un Centre belge destiné à réduire le nombre d'animaux de laboratoire Un plan politique sérieux, visant une diminution annuelle du nombre d'animaux de laboratoire dans toutes les catégories et pour toutes les espèces, s'impose selon GAIA. ‘Une réduction totale d'au moins 5% par an, telle que nous la demandons, devrait être réalisable, sur la base des statistiques officielles de 2008,' explique Michel Vandenbosch. ‘Nous sommes heureux qu'une nouvelle loi instituant le Centre belge des méthodes alternatives à l'expérimentation animale ait été annoncée. Cependant, en l'absence des moyens d'action nécessaires, la mesure est inutile.' GAIA souhaite également une plus grande transparence. ‘Les chiffres rendus publics sont très généraux et ne donnent pas suffisamment d'informations pour pouvoir évaluer la situation en connaissance de cause', indique Vandenbosch. Commission pour les expériences sur les singes GAIA salue l'initiative de madame Onkelinx, ministre de la Santé publique compétente pour le Bien-être animal, destinée à mettre sur pied une commission spéciale pour les expériences sur les singes. Son rôle sera d'examiner comment et à quel terme il peut être mis fin à l'utilisation de tous les singes pour des expériences dans notre pays. Le gouvernement a déjà décidé, sur proposition de la ministre Onkelinx, d'interdire légalement les expériences sur les primates. GAIA réclame depuis des années une interdiction des expériences sur les singes. Cependant, "il ne serait pas acceptable qu'une telle commission soit composée uniquement de partisans de ces expériences," souligne Michel Vandenbosch. "GAIA est d'ores et déjà candidate pour en faire partie." Les expériences sur les animaux sont-elles nécessaires ? GAIA met en doute le fait que toutes les expériences menées dans notre pays sur des animaux soient réellement nécessaires, contrairement à ce qu'affirme le service compétent de la ministre. ‘C'est fort discutable', précise Michel Vandenbosch. ‘Les autorités formulent cette affirmation, sans toutefois étayer leurs dires. Vu que les autorités belges se refusent à communiquer des données précises et complètes, nous ne pouvons contrôler'. ‘Le fait, selon les services de la ministre, pratiquement toutes les expériences toxiques, très douloureuses et mortelles, menées sur les animaux sont requises par la réglementation à des fins de sécurité et de qualité doit être nuancé et relativisé, indique GAIA. En outre, ‘requis par la réglementation', n'est en soi pas la même chose que nécessaire ! Positif L'an dernier, environ un tiers en moins de rats, de souris et de cochons d'Inde ont été utilisés dans les laboratoires belges et presque la moitié en moins d'autres rongeurs. Une diminution significative du nombre de chevaux et d'ânes utilisés (presque 40% en moins), de furets et d'amphibiens et poissons (environ 1/3 en moins à chaque fois pour ces deux dernières catégories) est également à noter. Encore pas mal de pain sur la planche Les statistiques font hélas également apparaître une augmentation du nombre de chiens (788 comparé à 747 en 2007) et de chats (78 contre 47 en 2008) utilisés pour des expériences. Le nombre de lapins (+ 21 %), de hamsters (presque + 13 %), de cochons (plus de 11 %,), de chèvres (presque + 60 %), de moutons (+ 22, 34 %) et de bœufs (+ 6, 66 %) s'est aussi accru de façon sensible. Une très forte hausse a par ailleurs été enregistrée l'an dernier pour les cailles (+ 2294, 44 %, soit 18 animaux en 2007 pour 431 en 2008), de même que pour les autres oiseaux (+ 1/3) et les reptiles (+ 46 %).
-
OOps je viens de réaliser que je n'avais pas copié ici les nouvelles dont il sera question (a priori) dans la rubrique animaux de labo. Je me rattrape in extremis ________________ One Voice : Expérimentation animale : la fin du test d'irritation cutanée sur lapins ! Tests pyrogènes sur lapins La Commission européenne autorise enfin une méthode in vitro pour remplacer le test d’irritation cutanée sur les lapins. Cette mesure épargnera les souffrances et la vie de milliers de lapins chaque année. Elle donnera des résultats plus fiables sur la toxicité des produits. Un test validé et disponible depuis plus de 2 ans La Commission européenne a annoncé, le 23 juillet, l’adoption dans l’Union européenne (UE) d’une méthode alternative pour remplacer le test d’irritation cutanée sur les lapins. Il n’est donc plus permis d’utiliser des lapins pour tester le pouvoir irritant des produits chimiques et des cosmétiques. Dans ce type de test, la peau du lapin est rasée puis le produit est appliqué de façon répétée. Les chercheurs observent et quantifient ensuite les réactions cutanées qui peuvent se produire, notamment de douloureuses inflammations. La méthode alternative retenue est un test in vitro réalisé sur de la peau provenant de personnes volontaires. Ses noms commerciaux sont EpiSkin, EpiDerm et SkinEthic. One Voice et toutes les associations de protection et de défense animales ont fait pression pendant des années pour que l’UE autorise cette méthode, qui a été validée par le Centre européen pour la validation de méthodes alternatives en avril 2007. Il est regrettable qu’il ait fallu plus de 2 ans pour qu’une méthode validée et commercialement disponible reçoive une autorisation officielle dans l’UE. Un pas vers l’interdiction de toute expérimentation animale Cette mesure constitue une étape importante vers l’interdiction de toutes les expérimentations sur les animaux dans l’UE. Le docteur vétérinaire André Ménache, directeur d’Antidote Europe, précise que l'UE aurait pu effectuer cette démarche depuis longtemps. Il donne un deuxième exemple : le test d'activation des monocytes (MAT), qui pourrait remplacer les tests de pyrogénicité actuellement faits sur des lapins afin de déterminer si un produit pharmaceutique peut provoquer de la fièvre, a été mis au point en 1988. Le MAT se base sur les réactions de globules blancs de personnes qui ont donné du sang. Cette méthode est scientifiquement plus fiable que les tests sur les lapins et ne fait de mal à personne ! One Voice Le public doit faire pression sur les autorités Cette méthode a attendu jusqu'a 2006 - soit 18 ans - pour être reconnue apte à remplacer les tests sur lapins. En 2010, l'UE compte remplacer ces tests sur lapins par le MAT, ce qui épargnera la vie de 200 000 lapins par an. Il aura donc fallu attendre 22 ans pour mettre fin à cette pratique cruelle. Il serait souhaitable que le public fasse pression sur les autorités pour accélérer l'adoption de tests sans animaux. Un test cruel utilisé depuis plus de 50 ans Les médicaments qui s’administrent par voie parentérale (non digestive) sont contrôlés pour éviter toute contamination par des pyrogènes (facteurs provoquant de la fièvre). La principale substance pyrogène, une endotoxine présente dans la paroi d'une bactérie, peut provoquer la production de médiateurs de la fièvre par des globules blancs, en particulier les monocytes et les macrophages. Le test d’apyrogénicité Dans ce test, les chercheurs injectent la substance à analyser à des lapins dont la température corporelle est surveillée. L’injection est souvent faite dans les veines des oreilles, un lapin peut servir à plusieurs expériences. L’augmentation significative de leur température corporelle révèle la présence de pyrogènes. Cette méthode cruelle est utilisée depuis plus de 50 ans pour contrôler l’innocuité des médicaments.
-
Suisse - Le Parlement ne veut pas d'avocats pour animaux
hop a posté un sujet dans ANIMAUX - Europe et autres continents
Berne | Suivant le National, le Conseil des Etats ne veut pas obliger les cantons à instaurer un avocat pour les animaux. Le peuple aura le dernier mot. La protection des droits des animaux est une souci justifié, a reconnu Hermann Bürgi (UDC/TG) au nom de la commission. Mais c'est la 5e fois que l'idée d'un avocat revient sur le tapis. Entre-temps, le code civil a été révisé, la loi sur la protection des animaux aussi et le code de procédure pénale donne déjà aux cantons la possibilité de nommer un avocat. Les cantons de Zurich, St-Gall et Berne en font usage. Il n'y a pas lieu d'intervenir dans la souveraineté des cantons pour leur imposer cette solution. "La Suisse a la législation sur la protection des animaux la plus stricte du monde", a déclaré Géraldine Savary (PS/VD). Une minorité de défenseurs des animaux a plaidé en vain pour le texte. La protection des animaux a bien été renforcée, mais il existe un immense déficit d'application, instaurer un avocat des animaux aurait été instrument efficace qui aurait soulagé le travail des autorités, a déploré Anita Fetz (PS/BS). Le Parlement ne veut pas d'avocats pour animaux - 09/09/09 http://www.tdg.ch/conseil-etats-ne-veut-avocats-animaux-2009-09-09 -
La suède remet le bien-être animal au cœur des débats
hop a posté un sujet dans ANIMAUX - Europe et autres continents
Emmenée par la Suède, la politique agricole commune de l’Union européenne pourrait enfin s’accorder sur les termes et les mesures à prendre en matière de droits et de bien-être des animaux. Le sujet est en tout cas à l’ordre du jour de tous les débats d’ores et déjà programmés. C’est assez rare pour être souligné : l’arrivée de la Suède à la présidence de l’Union Européenne est source d’espoir pour la cause animale. D’abord parce que la Suède est un acteur majeur de la protection et du bien-être des animaux, tant à l’intérieur de l’UE qu’au niveau international. Ensuite, parce que le sujet figure en toutes lettres à l’ordre du jour des réunions mensuelles de l’ensemble des ministres de l’agriculture et de la pêche, au même titre que les contrôles sanitaires ou encore les quotas de pêche dans les eaux territoriales européennes. (...) La suède remet le bien-être animal au cœur des débats http://www.one-voice.fr/fr/article/la-suede-remet-le-bien-etre-animal-au-coeur-des-debats -
Je transmets et complète l'info ci-desous : Sur Facebook c'est http://www.facebook.com/home.php?#/event.php?eid=126012919686&ref=mf Pour faire un don : http://www.laforetdelea.org/faire_don.htm _____________ Samedi, la décision de justice est tombée : La Forêt de Léa risque l'expulsion le 5 octobre. La justice est apparemment bornée sur le fait que l'association recueille des cochons et des sangliers, qui d'ailleurs, ne causent aucune dégradations. Le plus gros problème est pourtant qu'il n'y a pas eu d'eau potable durant 29 mois dans la maison qu'ils louent ! L'eau était constituée de matières fécales !!!!! - Pour lire l'histoire en détail, depuis la location de la maison à aujourd'hui http://www.laforetdelea.org/histoire_detaillee.htm - Pour voir les documents : http://www.laforetdelea.org/expulsion.htm => Pour signer la pétition (731 signatures) : http://491.lapetition.be/ -Il y a également un groupe facebook mais je n'ai pas le lien. Valérie, présidente de l'association, a entamé une grève de la faim samedi. Voici ce qu'elle explique dans son dernier mail à ce sujet, car apparemment certains ne comprennent pas pourquoi elle fait cela : ""Une petite parenthèse pour ceux ( 3 personnes) qui ne comprennent pas pourquoi je fais la grève de la faim : je me bats depuis 2 ans 1/2, le tribunal a fermé les yeux sur les problèmes de santé de ma fille,le juge a trouvé "normal" (puisqu'il n'en fait pas état) que l'on me loue un logement sans eau potable alors que c'est interdit par la loi ! je m'inquiète pour mes protégés si nous sommes expulsés.. Quelle autre solution PUISSANTE et RAPIDE ai je actuellement pour que justice me soit rendue, il me reste 27 jours pour agir ? Il faut savoir que si LA FORET DE LEA est expulsée, les sangliers seront abattus et les cochons seront séparés et placés. Cette grève de la faim ne doit pas être interprétée comme une forme de chantage ou un manque de respect envers ceux qui meurent de faim ... ( j ai connu aussi le frigo vide à une période de ma vie)... Pensez vous alors que lorsqu'on dormait dans le froid par moins 10° (à cause du propriétaire) , je faisais offense aux sans abris ? Je ne veux pas faire vivre aux animaux une expulsion , je n'ai commis aucun crime, aucune faute . Je ne démordrai pas et tiendrai par respect pour ma fille et tous les animaux que l'association a sauvé."" L'association a besoin de dons pour payer un avocat afin de faire appel. Mais cela n'arrêtera en rien l'expulsion et c'est la première chose importante à faire... Il ne reste plus que 27 jours avant l'expulsion. .. Unissons nous pour sauver la Foret de Léa !!!!!! Laura (PS : je vous tiens au courant des news au sujet de l'expulsion) ________________
-
Il n'y a pas si longtemps, on ne mangeait pas de viande le vendredi. Pour des raisons religieuses, le poisson était au menu. Dans un avenir pas si lointain, on pourrait éliminer la viande des menus, le lundi. Cette fois, c'est l'environnement qui est en cause. Le retour du pâté au saumon, sauce blanche, un jour par semaine? (la dame a p-e pas tout bien compris...) C'est ce que souhaite le mouvement Meatless Monday, qui commence à très populaire. aux États-Unis et en Europe. Une trentaine d'institutions américaines approuvent l'initiative et des personnalités publiques répandent l'idée dans les grands médias. (...) Lundi sans viande - 07/09/09 http://www.cyberpresse.ca/vivre/cuisine/200909/07/01-899373-lundi-sans-viande.php[i]
-
-
-
L'abattoir Charal de Metz infiltré par un enquêteur de L214
hop a répondu à un(e) sujet de hop dans Événements
Mis en cause, Charal demande le retrait d'une vidéo choc POLEMIQUE - Elle montrait la mise à mort de bovins dans l'abattoir Charal de Metz... Ames sensibles s'abstenir. Le 28 août, l'association de défense pour les animaux L214 mettait en ligne la vidéo, particulièrement glauque, d'un abattoir de Metz, filmé clandestinement. On y voit notamment des vaches qui, après avoir été abattues, bougent encore. (...) Mis en cause, Charal demande le retrait d'une vidéo choc - 07/09/09 http://www.20minutes.fr/article/345715/France-Mis-en-cause-Charal-demande-le-retrait-d-une-video-choc.php -
L'abattoir Charal de Metz infiltré par un enquêteur de L214
hop a répondu à un(e) sujet de hop dans Événements
-
-
L'abattoir Charal de Metz infiltré par un enquêteur de L214
hop a répondu à un(e) sujet de hop dans Événements
-
Il n'y a rien de bien explicite dans tout ça... Ce n'est pas la journée mondiale des droits des animaux. Si j'ai des pigeons que j'élève "humainement" parce que je les trouve jolis et que c'est mon hobby de les dresser pour des concours ou que je trouve festif et beau de les faire s'envoler par centaines, il me semble que je peux cadrer avec cette journée. C'est une célébration qui date un peu non et c'est bien qu'il y ait des militants pour parler du droit que devraient avoir tous les animaux même ceux qui ne sont pas nos fidèles compagnons, même ceux qui ne sont pas (hélas) menacés d'extinction comme les poulets et les souris de laboratoire à ne pas être exploités pour notre alimentation, nos vêtements, nos médics, ni nos distractions et célébrations diverses, etc...
-
Selon Adam Schriver, philosophe et végétarien, si nous ne pouvons pas nous passer de l’élevage industriel, l’alternative pourrait être de manipuler génétiquement les animaux d’élevage pour supprimer ou diminuer leur capacité à ressentir la douleur. Son article (pas lu) : Knocking out pain in live stock - Can technology succeed where morality has stalled http://www.springerlink.com/content/vrv4m6288w702123/fulltext.pdf _____ Un article du New Scientist sur le sujet : Pain-free animals could take suffering out of farming - 02/09/09 http://www.newscientist.com/article/mg20327243.400-painfree-animals-could-take-suffering-out-of-farming.html?full=true
-
Succès du 1er cercle de silence pour les animaux
hop a posté un sujet dans ANIMAUX - Europe et autres continents
Le 28 août, journée anniversaire du discours de Martin Luther King, One Voice a lancé avec succès son premier « Cercle de Silence ». Son objectif : interpeller la conscience des citoyens sur le sort réservé aux animaux destinés à la consommation. Un premier cercle pour les animaux Dans la lignée du mouvement non-violent initié à Toulouse par les Franciscains en faveur des sans-papiers, One Voice a organisé le premier Cercle de Silence pour les animaux, dont la souffrance est muette. Il s’est déroulé à Rennes, place de la Mairie, le 28 août dernier. (...) Succès du premier cercle de silence pour les animaux http://www.one-voice.fr/fr/article/succes-du-premier-cercle-de-silence-pour-les-animaux -
Sensibilité et conscience des animaux de ferme
hop a posté un sujet dans ANIMAUX - Europe et autres continents
La science nous révèle que tout animal de ferme est un être sensible et conscient, capable, dans une plus ou moins large mesure, d’éprouver tout comme nous des émotions. Pourtant, dans le monde entier, des milliards de ces animaux sont élevés dans un environnement vide qui ne leur permet pas de satisfaire leurs besoins naturels et ils sont privés de tout ce qui peut rendre la vie digne d’être vécue. (...) Sentience des animaux : Sensibilité et conscience des animaux de ferme http://www.one-voice.fr/fr/article/sentience-des-animaux-sensibilite-et-conscience-des-animaux-de-ferme -
Tout à fait. Hacher, écraser, ou bien gazer sont des procédures "normales" et considérées "appropriées" pour se débarrasser des poussins mâles dans les couvoirs pour élevages de poules pondeuses, ou femelles dans les couvoirs pour producteurs de foie gras. Il y a probablement dans tous les couvoirs des violences supplémentaires infligées par les employés, comme dans toutes les entreprises qui exploitent et tuent les animaux, mais la procédure "normale" pour éliminer ses poussins est immonde.
-
L'abattoir Charal de Metz infiltré par un enquêteur de L214
hop a répondu à un(e) sujet de hop dans Événements
-
Une dépêche AFP d'aujourd'hui à ce sujet : Une association américaine de défense des droits des animaux a dénoncé dans une vidéo le traitement réservé aux poussins mâles dans la plus vaste usine de poules pondeuses du pays, où les petits poulets improductifs sont hachés vivants au rythme de 150.000 par jour. Sur le site de l'organisation "Mercy for Animals", une vidéo filmée avec une caméra cachée dans l'usine d'élevage de volailles Hy-Line de Spencer dans l'Iowa (centre) montre des centaines de poussins mâles, âgés d'un jour, jetés en vrac sur des tapis roulants qui les conduisent piaillant, directement dans un immense hachoir rotatif. Il en ressort de la chair hachée. Selon l'association, ces poussins sont détruits, à raison de 150.000 par jours soit 30 millions par an, parce qu'ils ne peuvent pas pondre d'oeufs et qu'ils ne grandissent pas assez vite pour qu'on puisse exploiter leur viande. Dans un communiqué, le groupe Hy-Line International, un des leaders mondiaux de production de poules pondeuses, reconnaît que la vidéo filmée fin mai-début juin "semble montrer des pratiques inappropriées contrevenant à la politique de bien-être des animaux" établie par le groupe. "Nous avons lancé une enquête immédiatement quoiqu'il eût été préférable que nous soyons informés de ces possibles violations au moment où elles ont eu lieu", a indiqué un porte-parole, Tom Jorgensen. "Après notre enquête, s'il est établi que notre code éthique a été enfreint, l'employé ou les employés concernés seront punis, voire renvoyés", indique la compagnie, forte de sept usines aux Etats-Unis et qui affirme disposer du plus grand stock de poules pondeuses au monde. Poussins hachés vivant: une association américaine s'insurge - 02/09/09 http://www.tele-animaux.com/actualite,info,poussins-haches-vivant--une-association-americaine-s-insurge:6514.html
-
2 buses, soupconnées d'attaques, ont été abattues
hop a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
-
L'association Mercy for Animals publie une vidéo réalisée dans un couvoir de l'Illinois dans lequel environ 150 000 poussins naissent et sont tués chaque jour : Hatchery's Horrors - The egg industrie tiniest victims http://www.mercyforanimals.org/hatchery/ Article de l'Associated Press : Video shows chicks ground up alive - 01/09/09 http://tinyurl.com/n8bsky
-
Enquête Animal Aid : The human slaughter myth
hop a posté un sujet dans ANIMAUX - Europe et autres continents