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Valou011

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Tout ce qui a été posté par Valou011

  1. Voici la lettre que je viens d'envoyer à Lortie. Ça fait vraiment ch.... de ne pas pouvoir lui envoyer publiquement sur son blogue, bloqué à ce sujet... J'ai pensé le lui transmettre via le dernier sujet du 2 octobre (Dove), mais ça n'a pas rapport au sujet, alors je m'abstiens... Dure à avaler (Réaction face à votre billet du 12 octobre 2007, intitulé : « Un cochon en Espagne », à l’adresse : http://www.cyberpresse.ca/article/20071012/CPOPINIONS05/710120607/6741/CPOPINIONS Madame Lortie, Vous portez fort bien votre nom, car vous avez des propriétés extrêmement irritantes, et pas seulement au niveau de l’épiderme, permettez-moi de vous le dire. De toute évidence, ce n’est pas d’une tribune dont vous avez besoin, mais bien d’une thérapie (et ça urge), question d’aller vous reconnecter un brin avec vos émotions perdues, enfouies au plus profond de votre petite personne, de votre carapace de « dure à cuire ». Il faudrait, je crois, refaire vos classes en matière de compassion envers la souffrance d’autrui, et pas juste envers ceux de votre race ou de votre espèce, si vous préférez. Et que vous soyez grassement payée pour contaminer la toile de vos préjugés et de vos commentaires profondément spécistes et réducteurs, ajoute l’insulte à l’injure. Mais que tentez-vous donc de prouver exactement en exhibant fièrement à la face du monde l’ampleur de votre insensibilité, de votre fascination morbide face à la torture et la mise à mort d’un être sans défense, sans tenir compte le moindrement de sa souffrance extrême, physique et psychologique, qu’importent ses conditions préalables d’élevage ?! Et comment vous permettez-vous de décréter que « dans la vie, on tue des animaux pour les manger, c’est comme ça », sans questionner un seul instant la légitimité de telles pratiques, surtout à l’heure actuelle sur Terre (pourquoi, effectivement, inventer une nouvelle manière de s’alimenter si cela ne sauve, chaque année, que 50 milliards d’animaux, 10 millions d’humains et à peu près tout ce qu’il nous reste de forêts et d’eau potable, entre autres !) ?! J’aimerais beaucoup comprendre le mécanisme cognitif dangereusement pervers par lequel vous parvenez à trouver « bellissime » l’acte de « saigner à blanc un cochon hurlant » (lequel on a préalablement émasculé à froid, même si vous omettez de le mentionner) !? Mais d’où ce goût du sang vous vient-il exactement, le savez-vous ? Quand avez-vous ressenti la première fois cette intense excitation en étant témoin d’un sacrifice animal ?! Étiez-vous de ceux et celles qui aimaient s’amuser, enfant, à torturer les insectes et les animaux, et à qui ça manque énormément aujourd’hui ?! Seriez-vous capable de le saigner vous-même, le cochon ? Si la réponse est non, alors c’est de l’hypocrisie de votre part d’affirmer que vous êtes au-dessus de tout malaise par rapport à la mise à mort de l’animal. En tout cas, vous commencez à être une bonne petite clique de petits bourgeois chroniqueux-prétentieux pro-foie gras, pro-exploitation, anti-animaux et anti-animalistes dans votre seule Presse ! On voit d’ailleurs comment vous vous inspirez les uns les autres dans cet égoïste, sadique et ridicule délire gastronomique, dans cette glorification des plaisirs de la table qui sont, forcément à vos yeux, consommés aux dépens des animaux; « ayatollahs alimentaires dans nos écoles », « ayatollahs de la viande », « vous devriez vous occuper des cochons au lieu des canards », etc. Je suis fort heureuse de constater que vous savez tous quelles sont les causes que nous devrions embrasser, merci pour vos sages conseils. Les cochons, ça viendra, ne vous en faites pas, c’est seulement un marché 100 fois plus gros que le foie gras, mais ce n’est pas comme si nous n’étions pas habitués de jouer aux David contre Goliath. Si nous n’avions pas, en plus, une harde de journaleux farouchement carnivores à nos trousses, prêts à tout pour défendre leur quartier de viande, quitte à nous mordre, à nous vautrer dans la fange, à nous accuser de tous les torts, à tenter par tous les moyens de démolir notre message et nos personnalités (!), le défi serait peut-être un tout petit peu moins pénible… En passant, si vous vous souvenez bien, Hugo Latulippe en a fait un documentaire alarmant sur les mégaporcheries québécoises en 2001 : est-ce que quelque chose a changé aujourd’hui ? Oui : tout est pire. Qu’est-ce que ça va nous prendre pour comprendre, réagir et poser des actions concrètes, au Québec ? Qu’est-ce que les gouvernements attendent pour agir, légiférer, prendre les menaces écologiques au sérieux ? Quand va-t-on comprendre que l’ampleur et la gravité de l’exploitation et de la cruauté animales représentent présentement l’une des pires aberrations éthiques et écologiques qui soient ? À défaut d’écouter vraiment les écologistes et les animalistes, seul l’avenir (rapproché, on a déjà les deux pieds dedans) nous le dira. En attendant, bon appétit.
  2. Génial Catou, comme d'habitude !!! En espérant que tes lettres fassent réagir (dans le bon sens) ces deux bourreaux manqués ! J'essaie de terminer aujourd'hui mes deux lettres (à Lagacé et Lortie) et de leur envoyer (je ne sais pas encore si je vais utiliser mon vrai nom ou un peudo). Ils nous ont vraiment déclaré la guerre ! À +
  3. Je trouve pas les mots pour décrire le texte de Lortie, entre autres (la Petrowski on commence quasiment à s'habituer...) ?! Je vais essayer de les trouver et de les lui exprimer... J'ai surtout mon *&?%$# de voyage, vraiment, de me faire cracher dessus en tant qu'activiste par à peu près tout ce qu'il y a de journaleux et chroniqueux francophones au Québec... C'est un complot ou quoi ??? Gang de *&?%$ de c.... !!!! S'cusez, mais des fois faut que ça sorte, j'en peux pu.
  4. PÉTITION POUR LA PROTECTION INTÉGRALE DE L’ÎLE CHARRON LIMITROPHE AU PARC NATIONAL DES ÎLES-DE-BOUCHERVILLE Attendu que le parc national des Îles-de-Boucherville, situé aux abords de Montréal et de la Montérégie, est le troisième parc le plus fréquenté au Québec avec plus de 250 000 visiteurs annuellement, Attendu que Desjardins Sécurité Financière a procédé à la vente des terrains de l’île Charron limitrophes au parc national des Îles-de-Boucherville, à un promoteur qui projette la construction de près de 2500 logements, Attendu qu’un projet immobilier de cette nature détruirait un espace devenu un habitat naturel pour une population de cerfs de virginie, tout en fragilisant le parc national des Îles-de-Boucherville, « Je demande à Madame Line Beauchamp, ministre de l’Environnement, du Développement durable et des Parcs, à Monsieur Alban D’Amours, président du Mouvement Desjardins et à Monsieur Claude Gladu, maire de Longueuil, d’intervenir activement et concrètement pour arrêter ce projet et protéger perpétuellement la porte d’entrée du parc national des Îles-de-Boucherville par une réglementation et une solution appropriées.» Pour signer la pétition : http://www.cremtl.qc.ca/index.php?page=petition
  5. Valou011

    Durs à cuire (et à avaler)

    Octobre 2007 Manon Dumais Chef de pupitre, cinéma, journal Voir FNC 2007 : Porc frais Tel que promis, je vous reviens avec mes impressions sur Durs à cuire de Guillaume Sylvestre. Comme j'avais entendu beaucoup de bien à propos de ce documentaire, je salivais impatiemment alors que sur la scène de l'Impérial Marc Labrèche, le maître de cérémonie, Claude Chamberlan, truculent directeur de la programmation du FNC, les chefs Martin Picard et Normand Laprise, de même que leurs sous-chefs respectifs Hugue Dufour et Charles-Antoine Crète, buvaient du champagne à même le goulot quelques minutes avant la présentation du film - à côté de la ministre de la Culture Christine St-Pierre, qui a préféré demeurer sobre. Ayant eu à quelques reprises la chance d'observer des cuisiniers au travail (mon papa en était un), j'ai réellement apprécié les scènes où l'on voit Laprise, Picard et cie se démener comme des fous derrière les fourneaux. Sylvestre a bien capté toute la frénésie et l'ambiance survoltée régnant dans les cuisines. Aussi, j'ai trouvé intéressant d'entendre les deux chefs parler de l'importance du choix des produits, de leur volonté de faire évoluer la gastronomie tout en respectant la tradition, de leur volonté de laisser une trace dans l'histoire de notre gastronomie et de la faire découvrir aux quatre coins de la planète. Pourtant, au bout d'une heure, j'en avais ma claque. Filmé et monté de façon très nerveuse (on se croirait à MusiquePlus à ses débuts), Durs à cuire épouse la forme d'un rockumentaire où de virils protagonistes parlent de leur passion en buvant comme des trous et sacrant comme des bûcherons - leur diction devient parfois si laborieuse qu'il faut s'en remettre aux sous-titres anglais. Soit, j'adore l'authenticité, mais encore faut-il avoir quelque chose à dire. Serait-ce que Sylvestre n'a pas osé aller plus loin dans ses questions ou qu'il se soit contenter de filmer sans dire mot? Ou bien que nos sympathiques toqués soient avares de confidences? Toujours est-il que bientôt, j'ai eu l'impression que l'on répétait toujours les mêmes choses, comme on le fait si souvent dans la vie, sans approfondir sa pensée. Bien que l'ensemble s'apparente par moments à un road movie (on voyage à travers le Québec, puis on se rend à Hong-Kong et en Espagne), le fil narratif est plutôt ténu. Si bien que le tout devient répétitif. Aussi, j'ai trouvé qu'il manquait de sensualité. C'est ben simple, j'ai plus de sensations à lire des critiques de restos qu'à voir ces gars-là mettre la main à la pâte. J'aurais aimé qu'on me parle davantage du plaisir de marier les saveurs, de mitonner des bons petits plats et, surtout, celui de se mettre en bouche toutes ces merveilles. Rappelez-vous ce sublime Festin de Babette, le ludique Tampopo ou l'émouvant Eat Drink Man Woman. La soirée s'est poursuivie à la Satosphère où j'ai pu déguster du caribou, du wapiti et du requin. Eh oui, bien que mon coeur battait la chamade lorsque le pauvre cochon s'est fait couper les testicules puis égorger (Ah! Ces horribles cris et tout ce sang qui giclait!), je suis demeurée carnivore. http://www.voir.ca/blogue/blogue.aspx?iIDBlogue=309 QUOI ??? Est-ce que j'ai bien lu ?! Émasculé avant d'être égorgé ?! POURQUOI ??? C'est un cauchemar, je vais me réveiller...
  6. 11 octobre 2007 Durs à cuire La grande bouffe Mathilde Singer et Émilie Villeneuve Dans son documentaire Durs à cuire, Guillaume Sylvestre cuisine les chefs Normand Laprise et Martin Picard aux petits oignons. Un hors-d'oeuvre de choix dégusté hier en ouverture de la 36e édition du FNC et que l'on pourra savourer en salle dès la semaine prochaine. Durs à cuire commence dans la neige. Assis dehors devant une ferme, entourés d'un troupeau d'oies blanches bien grasses qui ne savent pas encore à quelle sauce elles seront mangées, les chefs Normand Laprise et Martin Picard évoquent leur première rencontre. "La première fois que j'ai vu Martin, c'était dans les cuisines du Toqué!. Il essayait de cacher son chien sous la table..." raconte Normand Laprise. C'était il y a 14 ans. Normand Laprise venait d'ouvrir son restaurant et Martin Picard commençait sa carrière comme talentueux sous-chef. Depuis, le disciple est devenu le chef-propriétaire du Pied de cochon; Toqué! a déménagé, de nombreux plats de foie gras ont été servis aux tables de ces deux restaurants montréalais, louangés par les critiques et les gourmands de tout acabit, et la gastronomie québécoise est devenue l'une des étoiles montantes de la scène culinaire mondiale. "Je crois que les gens qui travaillent ensemble, qui se tiennent ensemble sont ceux qui réussissent ensemble", affirme Normand Laprise. "Normand, c'est un peu mon père ou mon frère spirituel", ajoute Martin Picard avec pudeur. Les deux héros du documentaire Durs à cuire, de Guillaume Sylvestre, ne sont pas seulement les deux enfants terribles de la gastronomie québécoise, des chefs dont la renommée s'étend désormais bien au-delà de nos frontières. Il s'agit avant tout de deux amis tricotés serré par leur passion pour la bouffe et pour les produits de notre terroir qu'ils fêtent chacun à leur manière dans leurs restaurants et qu'ils transmettent désormais à la relève, leurs seconds Charles-Antoine Crète du Toqué! et Hugue Dufour du Pied de cochon qui les suivent dans toutes leurs pérégrinations. BOOM CULINAIRE "Ce film, c'est comme s'il arrivait à point nommé pour montrer le boom que connaît la cuisine au Québec depuis quelques années. Pour moi, c'est comme un concentré de l'histoire culinaire du Québec, un état des lieux qui montre précisément où nous en sommes aujourd'hui", remarque Normand Laprise. Attablés devant quelques tranches de saucisson italien dans la cuisine attenante à la Quincaillerie Dante, où les deux chefs aiment à se retrouver, ils évoquent l'un après l'autre les péripéties de cette aventure d'un an et demi sous l'oeil de la caméra. "C'est sûr que ce qui nous a plu dans ce projet, c'était de pouvoir le faire ensemble, raconte Normand Laprise. Mais c'est aussi le regard un peu "crinqué" de rock star allumée de Guillaume qui nous a emballés." "Dès le départ, on a fait un deal avec lui. S'il voulait nous filmer, il fallait le faire sans compromis et nous prendre comme on était. Pour nous, il était hors de question de faire un show comme pour une émission de cuisine à la télé", affirment les deux chefs. Au fil du documentaire, c'est une nouvelle géographie de la gastronomie québécoise que découvre le spectateur. Une carte gourmande de la planète à l'échelle de deux hommes, dessinée au gré des rencontres et des événements, des plus grands palaces de Hong Kong au dépeçage d'un cochon Pata Negra en Espagne, d'un banquet cuisiné avec amour pour des sans-abri sous une bâche au centre-ville de Montréal au très prestigieux repas d'ouverture du Festival de jardins de Métis. On y découvre aussi le Montréal de ceux pour qui tout tourne autour de la bouffe, où l'on suit avec intérêt le parcours d'une mobylette transportant une caisse de homards ou un bloc de foie gras d'un restaurant à l'autre pour satisfaire les clients lorsque le garde-manger se vide et où les chefs des restaurants les plus réputés de la ville se retrouvent pour festoyer ensemble lors d'une orgie libératrice après le coup de feu. VINAIGRETTE À PRISE RAPIDE "Guillaume nous a filmés tels que nous sommes. Il faut de la rage positive, une extrême folie assumée pour ouvrir son restaurant, faire ses preuves et s'imposer. On est privilégiés dans ce qu'on fait parce que notre métier, c'est de rendre les gens heureux, mais c'est rarement facile au quotidien. On est au resto de 8 h du matin à minuit, voire une heure le soir. Alors de temps en temps, on a besoin de se lâcher lousses avec des chums..." évoque Martin Picard. "Oui, c'est vrai, parfois ça dégénère un peu! Mais après tout, notre métier, c'est ça: manger et puis boire! remarque en riant Normand Laprise. Mais le lendemain, tout le monde est au boulot à la première heure! On est fiers de ce documentaire et on n'a rien à cacher. Chapeau, Guillaume, t'as fait une belle vinaigrette!" (M.S.) http://www.voir.ca/cinema/cinema.aspx?iIDArticle=54140 ***
  7. Je vais transférer mon message dans le sujet « Durs à cuire (et à avaler) ».
  8. Je fais suivre, avec les coordonnées en bas. C'est vraiment terrible ce qui se passe là-bas... *** La pluie froide qui vient d'arriver est un signe précurseur des souffrances que les chats errants devront affronter dans les prochains mois. La personne qui a écrit " laissez la nature s'en occuper " n'a vraiment aucune idée de ce qu'ils doivent affronter dans l'indifférence totale des humains. Plein de messages circulent sur les listes avec des pétitions à signer, racontant des histoires d'horreur venant d'Espagne, d'Egypte ou de Roumanie. Il serait hypocrite de s'en faire avec toute cette cruauté envers les animaux errants, nous ne sommes pas mieux. D'après ce que je vois et entends de celles qui prennent soin de la colonie de Ste-Julienne, les dinosaures qui vivent près de la colonie de chats ont besoin d'une leçon de choses et surtout d'éducation. Mais il faut commencer par sortir les chats de là avant qu'ils en blessent ou tuent d'autres. Ces punks se vantent de les noyer, de les tuer à la pelle, etc. c'est l'horreur. Certaines personnes me reprochent déjà d'être trop brutale dans mes descriptions mais comment expliquer que le gars a brûlé un stop pour mieux écraser le chat qui se réchauffait sur l'asphalte. Les petites natures devront se limiter à regarder les émissions du Dr. Pépin, je ne peux changer la vérité. Voilà pourquoi on a fait un appel à tous. Sauf pour quelques unes qui se sont avancées pour être bénévoles, la réponse n'a pas été forte. Ce message vous parviendra au moment où vous êtes en congé de l'Action de Grâces. Mais de quoi, dites-moi, pouvons nous être reconnaissantes quand il n'y a encore tant à faire et que l'hiver est là. Personnellement, je n'en dors plus. Et c'est sûrement le cas aussi pour celles dont la maison est pleine de petits rescapés. De penser que d'autres souffrent le martyr au froid et qu'on ne peut en prendre un de plus, ce n'est pas réconfortant. Voilà pourquoi je vous avais proposé qu'on investisse dans un nouveau refuge pour chats puisque les refuges que l'on connaît sont pleins aux portes. Ce sera là le plus difficile, trouver un local avec un propriétaire qui nous laisse y amener les chats. Grâce à Michèle, on a trouvé une vet prête à s'impliquer pour le peu de temps dont elle dispose. Une autre a offert des médicaments gratuits, une bienfaitrice s'est offerte à payer pour les stérilisations. C'est un bon commencement. Mais nous avons encore bien du chemin à faire avant de donner le O.K. pour trapper les mamans enceintes et demander aux bénévoles qui se sont offertes, de les évacuer vers un lieu sûr. Nous avons encore besoin de $$$ pour un local sécuritaire où ils pourront récupérer avant l'adoption. Un reçu officiel pour les dons de $25. et plus est disponible. Ecrivez-moi pour connaître la façon de l'obtenir. Peut-on vous demander de faire un autre effort pour aider à une solution définitive pour cette colonie qui n'en finit plus de souffrir depuis des mois. Il faut que çà cesse. Et à mon avis, l'euthanasie n'est pas une solution. J'attends vos courriels sur mon adresse personnelle, larose_2@hotmail.com Ne serait-ce que pour me dire que vous y pensez et que vous regardez ce que vous pouvez faire pour aider. N'hésitez pas à envoyer le présent message à vos contacts, il sera sûrement éducatif Merci pour les abandonnés Janine Larose, fondatrice Réseau pour animaux perdus et trouvés | Lost and Found Pet Network www.rapt-lfpn.org S.V.P. distribuez ce message, les animaux comptent sur vous. Pour le début de l'histoire, cliquez ici : http://www.rapt-lfpn.org/fr/260907.html
  9. Catou, je n’ai qu’un mot à te dire : wow !!! J’ai eu des frissons de satisfaction en lisant ta lettre; tu as tout dit, et merveilleusement bien, je n’ai plus rien à dire ! Tu as réussi à tout synthétiser à la perfection, à démolir chacun de ses « arguments », chacun de ses jugements et chacune de ses accusations avec une précision chirurgicale; tes arguments à toi sont implacables. Tu as fait le tour complet de la question sans rien omettre et sans écrire un seul mot de trop; vraiment, bravo (et merci) ! P.-S. : Je vais évidemment essayer d’écrire un petit qq chose quand même, question de faire ma part. Je vais tenter de finaliser un texte d’ici avant la fin de l’année... Écrire à La Presse, ça c’est sûr, il le faut (même s’ils ne publient jamais les lettres qu’on leur envoie).
  10. Moi, je travaille sur ma lettre à Lagacé depuis jeudi dernier, ça fait 3 fois que je change de version, j'en ai trop à dire, à lui et à tous les proexploitation, c'est rendu un roman, je ne finirai jamais... Je manque de temps, en plus. Je vais essayer de synthétiser qq chose pour au moins lui envoyer. Sérieux, je n'en peux plus de cet « animalist bashing » (permettez-moi d'inventer le terme), c'est très grave. Il faut se plaindre au conseil de presse, etc. J'en suis à l'écœurement total. Bon, je vais me dépêcher de terminer mon travail pour pouvoir continuer à écrire.
  11. Valou011

    Sans pitié pour nos animaux

    L'été dernier, mon chum et moi on a été faire du camping sauvage dans une montagne à Pointe-à-la-Croix, tout près d'une réserve amérindienne (micmaque). On a rencontré deux sympathiques agents de la faune qui traquaient, entre autres, ces braconniers (l'un de ces agents a même échappé par terre son GPS, qu'on a retrouvé, heureusement, et qu'il est venu rechercher le lendemain – il contenait peut-être des infos importantes sur ces salauds de braconniers ? En repartant de là, on a vu sur le chemin les ossements d'un orignal, je présume, dépecé sur place... La justice devrait être impitoyable avec ces sadiques psychopathes. Mais je ne me fais pas d'illusion... À Catou, j'offre cette petite citation de Cioran (« Aveux et Anathèmes ») : "J'escomptais assister de mon vivant à la disparition de notre espèce. Mais les dieux m'ont été contraires." Personnellement, je crois qu'on en a encore pour environ 50 ans à endurer ce cirque, avant de tous crever de la pollution de l'eau, de l'air, de la Terre, et du reste. On va entraîner à peu près toutes les espèces vivantes dans notre Chute, car « après nous, le déluge ». Mais en attendant, comme tu dis Catou, il faut continuer à essayer de sensibiliser les gens, de parler pour les sans-voix. Il est bon ce livre d'Yves Paccalet, ex-rédacteur de feu Jacques Cousteau. Je le recommande à toutes et à tous. Malgré la gravité du propos, il m’a beaucoup fait rire. Et ça fait du bien de reconnaître ses réflexions dans les écrits de quelqu’un d’autre. En voici un passage, parmi bien d'autres : « Je continue le combat pour la planète et pour l’homme sans la moindre perspective de succès. Par habitude. Par devoir. Mais sans autre espérance que d’en rire ou d’en pleurer – tel le musicien du Titanic en train de jouer " Plus près de toi, mon Dieu ", de l’eau jusqu’aux genoux. »
  12. J'y étais. J'ai beaucoup apprécié le fait de voir plus de six personnes se déplacer pour la cause animale, ça fait du bien de temps en temps ! Que les médias en parlent, sans dénigrer la cause, ça aussi ça fait du bien. Bravo pour cette belle organisation, ce fut vraiment un succès et ce, malgré la température maussade.
  13. Ouais, il a dit que lui et d’autres jeunes, dans sa jeunesse, allaient s’amuser à tuer des chats dans les ruelles; ils pouvaient en tuer jusqu’à 10 ou 15 en une journée, a-t-il mentionné… Il n’a pas précisé de quelle manière ils les massacraient... C’est terrible !!! Il a dit qu’il n’en était pas fier aujourd’hui (j’espère bien !!!). Personne n’a osé émettre le moindre commentaire là-dessus (peut-être même que certaines personnes ont rit ou sourit, sur le coup, lorsqu’il a fait cet aveu, une espèce de réflexe malsain que je n’ai jamais compris mais qu’ont bien des des gens ?!). Je ne me souvenais pas qu’il avait mentionné comment il les achevait. Ce dont je me souviens, toutefois, c’est sa remarque méprisante à l’endroit d’Anne-Marie Losique qui, invitée à l’émission il y a quelques semaines, avait raconté qu’elle parrainait un loup dans le cadre d’un programme de réintroduction du loup qq part en Europe, je crois. Ahuri, il lui avait méchamment lancé qq chose comme : « Paraîner un loup, voyons donc !!! Parraine un enfant !!! ». Il est totalement incapable de concevoir la valeur des animaux. Il n’en a que pour les humains, comme la majorité de ses congénères (ce qui nous conduit tout droit à notre perte). En tout cas, maintenant on sait qu’il est pro-chasse, très fier de l’être, ce fou (furieux) du roi. Et elle défend bec et oncles, sur le plateau, ce dangereux psychotique en affirmant qu’à la campagne ce n’est pas comme ici, que les ratons-laveurs vident les poubelles du monde à l’envers et que c’est donc épouvantable ça !!! alors il est normal de les exterminer ainsi !!! On croit rêver. C’est vrai que c’est bien trop dur et compliqué de se confectionner ou de s’acheter une boîte en bois refermable dans laquelle on mettra ses vidanges ! C’est bien plus simple (et moins cher en plus !) d’éliminer le problème (les ratons-laveurs) que de tenter de s’y adapter et d’y trouver une solution non-violente !!! Tu ne saurais si bien dire, Caro. On a encore l’air d’une *&?%$# de gang de barbares au Québec. J’ai honte !!!
  14. Valou011

    Pour ou contre le port du poil...

    C'est vraiment édifiant de lire la plupart des commentaires sur ce blogue dans ce sujet... http://sports.blogue.canoe.com/brioux/2007/03/16/pour_ou_contre_le_port_du_poil Ça peut pas voler plus bas, j'en ai honte pour eux et elles !!! Y faut vraiment avoir rien à faire de sa vie pour perdre son temps à aller déblatérer autant de conneries sur un blogue... Je n'en reviens pas. Et dire que les gens (des Québécois et Québécoises, dans ce cas-ci) condamnent encore le poil humain, principalement chez les femmes. Comme si ce n'était pas naturel !!! Ou bien, comme s'il fallait absolument renier la nature, l'arracher jusque sur notre corps... Quelle contradiction, tout de même, que de s'épiler tout le corps mais de porter de la fourrure, par ex., soit des poils volés à un autre être ! Quelle absurdité hallucinante !!!
  15. Après avoir brutalement tué en juillet 2006 plus 50 000 chiens, la police de Pékin et les hauts fonctionnaires projettent d'éliminer à nouveau des milliers de chiens en réaction à un seul cas de rage découvert, dont la victime (humaine) est décédée le mois dernier. Agissez maintenant! ! Nous avons besoin de votre aide ! Aidez-nous à faire cesser cette tragédie horrible qui se produit en ce moment même. Veuillez écrire au Président Hu Jintao, demandez-lui de mettre un terme à cette campagne inhumaine d'élimination massive des chiens en Chine. Lettre-pétition en ligne: https://community.hsus.org/campaign/china_d...k=ApAPnZ41iAf5E Merci d'agir pour les animaux ! Humane Society International (HSI) info@hsi.org | 301-548-7780 https://community.hsus.org/ct/p7APnZ41CX7m/ Humane Society International *** Après avoir envoyé la lettre préfabriquée, j'en ai fait parvenir une copie, à peine modifiée, à l'ambassadeur chinois au Canada (il y a peut-être des erreurs, je ne suis pas spécialiste en anglais). N'importe qui peut la copier et l'envoyer (pour sauver du temps). *** Dear Ambassador Lu Shumin, I am very concerned about the planned mass killing of thousands of stray dogs in Wanzhou, a district of Chongqing.??In December of last year, your government ordered the immediate cessation of mass killings of dogs. The Wanzhou officials' plan for a cull starting March 16 contradicts this order. Please, use your influence to put a stop to this plan. Inhumane, rash responses to outbreaks are not effective solutions to control rabies and other zoonotic diseases. Studies show that dog removal programs fail to achieve lasting population reduction, and that high population turnover actually encourages the spread of rabies. The World Health Organization has stated that stray dogs cannot be eliminated from the streets through mass killing. I strongly urge Chinese government officials to work with local and international animal protection groups to help in the drafting, implementation, and enforcement of programs and laws that will prevent such reactions in the future. I hope you will show such compassion for animals and the people who care for them. Please, be one voice for the unvoices, and contribute to stop this incredible and unbearably cruelty. Very sadly, NOM ADRESSE *** chinaemb_ca@mfa.gov.cn Pour voir des images (très difficiles) de cette réalité : http://massacreanimal.naturalforum.net/Section-II-La-cause-animale-c11/ACTIONS-MILITANTES-POUR-LE-BIEN-ETRE-DES-ANIMAUX-c48/Pour-faire-avancer-la-cause-animale-c49/AGISSEZ-MAINTENANT-c65/IL-RESTE-PEU-DE-TEMPS-f165/Encore-un-massacre-de-chiens-en-Chine-p5910.htm#5910 C'est eux, les salauds, qui propagent la rage, jusqu'en Occident, jusque dans mon coeur !!!
  16. P.-S.: J'ai oublié de mentionner que l'excellent texte de Catou, publié sur le CMAQ il y a environ 2 ans, contre la chasse aux phoques, m'a beaucoup inspirée et aidée pour écrire cette réponse. Merci encore, Catou, pour ton superbe travail. Pour le relire, puisqu'il est toujours d'actualité, allez au : http://www.cmaq.net/fr/node/20663 À noter les commentaires stupides de certains internautes anonymes, qui m'avaient, à l'époque (et encore aujourd'hui), mise en *&?%$# !!! Y a vraiment trop de crétins sur terre.
  17. Merci beaucoup les filles pour vos encouragements. Ça fait toujours du bien, vu le temps, l'énergie et la sueur qu'on met dans nos actions, si petites soient-elles. Ce sera un honneur, merci pour l'intérêt porté. Je me croise les doigts, en attendant. À bientôt tout le monde.
  18. Hé oui, elle remet ça, la sénatrice ! Aaaarrrggg !!! Voici la réponse (sur laquelle j'ai travaillé pendant 4 jours...) que je viens d'envoyer à La Presse (sans trop d'espoir qu'ils la publient, hélas !). En passant, bonjour à toutes (et à tous ???). À bientôt. Spéciste, la sénatrice ! Dans sa nouvelle réplique, cette fois à une correspondante allemande, la sénatrice Céline Hervieux-Payette exhibe à nouveau, sans la moindre gêne, toute la portée de son spécisme. Sa façon de décrire la « chasse » aux phoques (l’abattage sélectif) comme étant un simple « prélèvement de ressources animales » me donnerait presque envie de rire si ce n’était de la tristesse du sujet. Il faudrait obliger la dame à être témoin du drame qui se rejoue chaque année sur la banquise. Il faudrait qu’elle assiste au moins une fois au débarquement massif des pêcheurs venus briser le silence et souiller la beauté magistrale de la banquise. Il faudrait qu’elle voit de ses yeux les bébés phoques se faire défoncer le crâne en série puis dépiauter vivants (pour plus de 40 % d’entre eux, selon des vétérinaires observateurs) et qu’elle entende de ses oreilles les cris désespérés de leurs mères, impuissantes devant la tragédie. Il faudrait qu’elle contemple sur place le spectacle surréaliste des milliers de cadavres dépouillés de leur pelage jonchant la glace maculée de sang. Peut-être qu’après cela, qui sait, elle défendrait avec un peu moins de conviction ce massacre en règle ?! Nous savons, par exemple, que cette façon de faire est courante en Chine, où les « animaux à fourrure », qu’ils soient chiens ou chats domestiques, ratons laveurs, lapins ou autres, sont assommés puis dépiautés, souvent encore vivants et encore conscients – dois-je d’ailleurs préciser que c’est le produit de cette souffrance brute que pavanent sur elles de nombreuses personnes arborant une bordure de fourrure à leur manteau « made in China » ?! Quand on demande aux villageois chinois pourquoi ils opèrent de la sorte, ils répondent tout simplement qu’ils ont toujours procédé ainsi… Comment le Canada, supposé être un modèle en matière d’éthique, de civisme ou d’évolution peut-il imiter la Chine en perpétuant une pratique aussi cruelle et barbare !? Voilà la question que se pose, avec raison, la communauté internationale, incluant plusieurs Canadiens et Canadiennes. Mais lorsqu’on le lui demande, Mme Hervieux-Payette se contente de rétorquer que la chasse commerciale est nécessaire afin de protéger les poissons et crustacés menacés de disparition. Pourtant, nous savons tous très bien que ce seront essentiellement la surpêche et la pollution qui en auront raison. Nous savons également que les données utilisées par le gouvernement canadien pour justifier cette chasse sont inexactes et désuètes. Si le Canada maintient les quotas à plus de 300 000 peaux prélevées chaque année sans considérer, notamment, les changements climatiques affectant la reproduction des troupeaux, la diminution des ressources en nourriture, l’empoisonnement par les métaux lourds, le braconnage, les phoques blessés, les peaux rejetées, les phoques tués uniquement pour leur pénis (prisés en Chine où ils sont réputés être aphrodisiaques…), ceux-ci accéderont bientôt à la longue liste des animaux en voie d’extinction. La leader de l’opposition au Sénat pousse également l’audace jusqu’à affirmer que cette extermination n’est pas subventionnée par le gouvernement, ce qui est totalement faux. En effet, non content d’avoir d’abord investi quelque 20 millions de dollars à la fin des années 1990 dans le but d’augmenter le nombre de prises de manière fulgurante, le gouvernement fédéral continue, depuis, à subventionner cet abattoir à ciel ouvert en construisant et en modernisant des usines de transformation, en promouvant la chasse en Europe et ailleurs, en développant de nouveaux marchés pour les produits dérivés du phoques et en octroyant des allocations de recherche pour développer de nouveaux produits. Et ce, sans compter les coûts secrets impliqués pour ses campagnes de relations publiques défendant cette tuerie (Mme la sénatrice doit en avoir une petite idée…), pour la fourniture de brise-glace ouvrant les eaux glacées aux bateaux des barbares, pour l’octroi d’hélicoptères servant à repérer les troupeaux et pour la mise à disposition de personnel régulant la chasse et tenant éloignés les observateurs. Qu’il s’agisse de subventions directes ou indirectes, on oblige tous les contribuables canadiens à payer et donc, à être complices de cette tuerie, ce qui est inacceptable. Le principal problème de Mme Hervieux-Payette est que sa compassion et son empathie, s’il en est, se limitent strictement aux humains et, plus précisément, aux chasseurs canadiens. La souffrance physique et psychologique subie par ces animaux – ainsi que par leurs défenseurs – n’effleure même pas son esprit, totalement fermé à cette perspective. À quand une réflexion sérieuse – douloureuse, certes, mais essentielle – sur notre relation aux animaux, en général, sur le sort que nous leur réservons présentement au Canada, au Québec ? À quand une franche et courageuse autocritique quant aux conditions de vie et de mort plus que misérables auxquelles nous les condamnons, dans tous les domaines ? À quand l’adoption d’une loi qui donnera aux animaux un statut supérieur à celui de meuble ou de vulgaire marchandise ?! À quand le réel dépassement de l’Âge de la pierre et du hakapik ?! Je suis aussi d’avis que la meilleure solution serait, pour l’instant, que le Québec prenne enfin position contre cet abattage de masse ce qui, en plus de sauver quelques milliers de phoques aux Îles de la Madeleine, rachèterait peut-être notre honneur aux yeux du reste du monde.
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