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Tout ce qui a été posté par milou02
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Pour un chiot, le choker est déconseillé. Le choker ne devrait être utilisé que sur des chiens qui savent ce qu'ils doivent faire, et qui refusent de le faire. Jamais en apprentissage, car c'est punitif, et la punition n'aide pas à apprendre quoique ce soit. On s'entend qu'un chiot ne sait pas ce qu'on attend de lui, et il est en apprentissage. As-tu essayé des arrêts brusques, et des "vire de bord à 180 degrés" à chaque fois qu'il tire ? Il va finir par se rendre compte que quand il tire, au lieu d'aller plus vite vers le lieu qu'il vise, il arrête ou il s'en éloigne. Pas trop payant pour lui ça... Et quand tu vire à 180 degrés, il va se retrouver en arrière de toi subitement. Il va sans doute se dépêcher à retourner en avant, et au moment où il passe à côté de toi, récompense en disant bon chien sur un ton enjoué. Tu récompenses la fraction de seconde de comportement désiré qu'il te donne (même s'il le fait sans intention réelle de te plaire). Dernier point, longueur de laisse invariable, et un bras qui bouge est une longueur variable. Alors attache la laisse à ta ceinture, ou trouve un autre moyen pour que la longueur disponible ne varie pas, ça sera plus facile pour le chiot de découvrir la limite à partir de laquelle "il se met dans le trouble".
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Je suis un peu dans le même démarche que toi, mais je l'ai fait à l'inverse, j'ai choisi une école, j'ai commencé la formation, et je lis des "à côté" pour compléter ma vision de l'éducation canine. J'ai acheté "comme un chien" de Jean Lessard, "devenez le meilleur ami de votre chien" de Jacinthe Bouchard (ces deux éducateurs/entraineurs ont une crédibilité indéniable), et aussi "la méthode Cesar Millan". Bien que les méthodes de ce dernier soient controversées, je n'ai vu personne à date qui n'ait pas apprécié la lecture de ce livre. Ces trois livres je pense couvre un continuum de philosophies allant de l'absence de hiérarchie chez le chien (Jacinthe Bouchard entre autre) à la notion de dominace/soumission de Cesar Millan. Je m'attend à des visions assez différentes, et je pense que c'est ce que tu recherches. Le livre de Jane Fennell, pour ma part, j'ai trouvé que les solutions qu'elle apportait pour chacun des problèmes étaient toujours la répétition de la même en fait, et je crois qu'il y a plusieurs chapitres de trop, si c'est pour répéter la même chose sans arrêt. Mais ça fait longtemps que je l'ai lu, peut-être que je le verrais différemment avec le recul et l'expérience que j'ai aujourd'hui.
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Je sais que j'ai dépoussiéré un vieux post, mais je vais vous raconter l'histoire du chien de ma soeur, un malamute. Displasie légère à droite, modérée à gauche, diagnostiquée assez tôt dans sa vie parce qu'il a commencé à boiter jeune. Cartrophen et plein d'autres trucs toute sa vie, caractère exécrable toute sa vie aussi, possiblement empiré par son inconfort quotidien, et le traineau à chien que ma soeur avait acheté pour atteler ses deux chiens n'a jamais servi parce qu'elle n'en avait plus qu'un à atteler. Et pourtant, elle est une madame tout le monde qui voulait simplement s'amuser de temps en temps avec ses malamutes. N'assumez pas que parce que nous achetons des chiens compagnons que nous ne ferons rien avec nos chiens et qu'ils vont passer leur vie sur le sofa. J'ai lu plus haut sur le post que si on se cherche un labrador par exemple, on va sur kijiji, mais que si on en cherche un qui répond aux standards de la race un tant soit peu et qui est sain autant que faire se peut, on va voir un éleveur éthique qui fait passer les tests et tiend compte des résultats. Moi comme acheteuse, je veux avoir confiance que les géniteurs de mon chiot ont réussi ces tests, pour minimiser au max les risques que mon chiot ait des problèmes qui pourraient avoir de graves conséquences (rien qu'à voir comment ma soeur a dû prendre soin de son chien toute sa vie et la fortune que ça lui a coûté). Je ne peux que saluer le choix qui a été fait pour Charroux en fin de compte, aussi déchirant fut-il. C'est vrai que la génétique est compliquée, mais si on laisse "trainer" le gêne de la displasie dans la population d'une race de chien en se disant que peut-être tous les chiots de ce géniteur seront quand même correts au bout du compte, on ne travaille pas dans le sens qui selon moi est le bon, c'est-à-dire faire tous les efforts pour le faire disparaître, ce gêne.