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mary-toutou

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Tout ce qui a été posté par mary-toutou

  1. malheureusement l'actualité ces derniers jours remet en lumière des incidents par morsures impliquant des enfants et des chiens. Accidents dramatiques, dont un coûtât malheureusement la vie à un enfant. Certes ces drames choquent le public, mais notre devoir est de dénoncer, aussi bien l'inconscience de certains maîtres que la bêtise de certains parents. Alors plutôt que de grandes pages, ce film qui nous fait froid dans le dos. Ce dernier montre à quel point l'incohérence, ajoutée à une méconnaissance du chien, voire son humanisation peuvent mener à une situation dramatique avec des conséquences terribles et pour l'enfant et pour le chien, heureusement ce n'est pas le cas dans cette séquence. Mais les rires de la mère montrent bien cette inconscience. POUR VOIR CETTE VIDEO CLIQUER SUR CE http://www.facebook.com/l/;LIEN:http://www.spa-haguenau.org/enfant_chien/enfant_chien_sommaire.htm Pour rappel : derniers accidents en date * Une fillette de 20 mois a été mordue au visage mercredi après-midi par le chien de la famille. 10 avril 2009 * Un garçon de douze ans a été grièvement blessé à Sarcelles (Val d'Oise) ce soir après avoir été attaqué par trois bergers allemands errants. 31 mars 2009 * La petite victime décédée avait donc l’habitude d’être en compagnie des deux molosses, mais a échappé à la vigilance des parents. 30 mars 2009 * Un enfant de cinq ans a été grièvement blessé au visage par un chien appartenant à sa tante chez laquelle il se trouvait. 30 mars 2009 Conclusion de toutes les enquêtes et études des accidents par morsures * Dans 75 à 80% des cas, l'animal-agresseur est connu de sa petite victime: il appartient soit à la famille, soit à des voisins. Un accident sur deux a lieu sans la surveillance d'un adulte. Enquête suisse publiée en mars 2006 * Les morsures sont le fait de toutes les races, de la plus petite à la plus grande, de celle réputée "la plus gentille" à celle réputée "très agressive". Étude sur les morsure de chien, Bulletin du SCHIRPT n°11, juillet 1997 * Aucune étude scientifique n’a pu établir de lien entre race et comportement. Il n’y a pas d’un côté de races gentilles et de l’autre des races méchantes. Dr Beata vétérinaire Comportementaliste, Paru le 23/01/2008 sur http://www.facebook.com/l/;Metrofrance.com * une sensibilisation des parents et des propriétaires au problème ainsi qu'une éducation ciblée des enfants dans leur relation à l'animal, auraient pour effet de réduire les morsures. Il s'agit là d'un véritable problème de santé publique, disposant de solutions relativement simples qui mérite réflexion. MUGULTAY Céline Thèse soutenue le 4 juin 2007 - Mention Très Honorable - Université Louis Pasteur, Faculté de Médecine de Strasbourg.
  2. Texte publié dans le magazine "Molosses News" n°45 d'octobre/novembre 2006. Qu'auriez-vous pensé de ces sujets à propos de vos molosses ? 1) Un molosse qui veut chevaucher (grimper) tout le monde n’est pas un obsédé 2) Un molosse obéit pour faire plaisir à son maître 3) Molosse à problème = faute des maîtres 4) Un molosse doit impérativement manger dans le calme 1) Un molosse qui veut chevaucher (grimper) tout le monde n’est pas un obsédé Vrai Les canidés sont actifs sexuellement quand ils sont motivés par l’instinct de reproduction et seulement aux 2 périodes annuelles de chaleurs des femelles. Les mâles sont alors fortement stimulés par les odeurs particulières qu’elles dégagent. La recherche mutuelle d’accouplement est alors légitime et commandée pour la survie de l’espèce. En dehors des périodes d’œstrus des femelles, on observe souvent chez les canidés ces chevauchements qui ont alors valeur sociale. Les chiots s’exercent très jeunes et bien avant leur maturité sexuelle (preuve s’il en faut qu’il s’agit d’un comportement social) à des chevauchements accompagnés de mouvements pelviens sur les membres de leur fratrie. Le molosse pubère ou adulte qui a tendance à vouloir chevaucher ses congénères (mâles ou femelles), les humains petits ou grands et pourquoi pas le chat ! ne « parle » donc pas sexuel mais social. Nullement « obsédé de la chose » ou « homosexuel » il mime l’accouplement sans que l’enjeu de ce comportement soit la sexualité, mais bien une volonté d’asseoir son autorité sur l’autre. Tout congénère qui ne serait pas d’accord pour se laisser imposer cette supériorité sait toujours le faire savoir à l’effronté, mais s’il (ou elle) laisse faire, c’est alors qu’il (ou elle) accepte ce pouvoir de l’autre. Entre eux au moins, le message est clair ! mais il l’est moins avec les humains qui interprètent faussement ce message comme sexuel, en y opposant généralement une réponse inappropriée, vu que le message a été mal perçu. Parce que ces conduites sont donc éléments de communication sociale, pour les voir s’atténuer et disparaître, le comportementaliste aidera à réorganiser l’ensemble des rapports entretenus avec le chien, sans qu’il soit question de dressage ou médicalisation de l’animal en ces circonstances. 2) Un molosse obéit pour faire plaisir à son maître Faux Si un chien obéit pour faire plaisir à son maître, alors lui désobéit-il pour « l’embêter » ? La réalité canine est sans doute un peu autre, et le molosse n’obéit pas exactement pour faire plaisir à son maître, mais plutôt pour le plaisir que lui procure un maître très reconnaissant et gratifiant, quand il est lui-même satisfait. De même, le molosse ne désobéit pas pour « embêter » son maître, mais plutôt parce que celui-ci n’aura pas su assez le motiver, en lui montrant qu’il pouvait être agréable de lui être attentif ! Le chien apprend par l’association d’évènements/actions et de ressentis (plaisir ou désagrément) qui les accompagnent. S’il a retiré du plaisir dans une action, le chien renouvellera facilement l’expérience, surtout si la satisfaction est chaque fois à la clé... joie et coopération animent alors l’animal (appelons cela obéissance si vous y tenez !) A l’inverse s’il retire du désagrément, le chien va légitimement négliger, éviter ou même résister devant ce qui lui aura déjà été déplaisant, et la crainte, voire peut-être même l’agressivité peuvent alors le soulever. A retenir donc : situation vécue par le molosse = sensation agréable ou désagréable. Il mémorisera et reproduira facilement les actions qui lui auront procuré du bien-être et évitera les autres. Bref un molosse qui retire du plaisir à ce qu’il fait avec son maître, suscite la satisfaction de ce denier, qui devient enclin à chaudement féliciter/gratifier son chien, qui lui-même en retire beaucoup de plaisir ! et la boucle est bouclée. En conclusion, soyons facilitateurs et gratifiants quand notre chien fait ce que nous attendons de lui (même si c'est une "petite chose") 3) Molosse à problème = faute des maîtres Faux D’abord parce qu’une affirmation aussi abusive (et culpabilisante !) que celle-ci, n’a d’autre résultat plus pernicieux que de conduire beaucoup de personnes à abandonner un animal, avec lequel ils ne sont pas parvenus à cohabiter harmonieusement. Ensuite, parce que l’examen minutieux de situations de difficultés avec un molosse, montre que les propriétaires avec leurs erreurs éducatives, sont loin d’être seuls responsables des problèmes qu’ils rencontrent avec leur animal. Des éleveurs, vétérinaires, dresseurs/éducateurs et comportementalistes peuvent en avoir leur part. 1°) Les conditions de développement précoce du molosse à l’élevage, comptent beaucoup dans sa future bonne (ou non) intégration/adaptation à la vie en société. Une médiocre imprégnation et socialisation aux deux espèces humaine et canine, ne prépare vraiment pas un petit molosse à une facile adaptation chez ses futurs maîtres. 2°) La soigneuse orientation que donne les éleveurs au placement de leurs chiots, en veillant à la meilleure adéquation entre attentes de leurs clients et besoins élémentaires de la race qu’ils élèvent, compte aussi énormément. L’exemple classique des personnes « craquant » pour un sujet d’une race devenue soudain très mode, et se retrouvant incapables de satisfaire le grand besoin d’exercice physique d’un animal choisi uniquement sur son aspect physique, est très courant. L’animal en question souffrant de trop d’enfermement, l’exprime alors par nombre de comportements de destructions, aboiements ou/et agitations, dont on vient à se demander la cause. Bien mis en garde, voire dissuadés de porter leur choix sur cette race, aurait peut-être pu éviter à ses maîtres-là... ces « fautes-là ». 3°) La bonne réactivité du premier professionnel consulté (éleveur, vétérinaire, éducateur, toiletteur, etc...) par les propriétaires en difficultés avec leur molosse, prend également une large part dans la forme que va prendre la suite des évènements. C’est aux différents professionnels de savoir au mieux ce qui relève directement des compétences des autres, pour si nécessaire, rapidement réorienter vers celui qui sera plus à même d’aider le maître débordé par son chien. Tous n’ont pas cette attitude responsable (et courageuse), avec pour conséquence de conduire à l’aggravation des problèmes, en voulant s’en charger soi-même sans les réelles compétences. En conclusion, rien n’est jamais complètement « faute » de l’un et jamais des autres, et molosse à problème = sûrement responsabilités collectives de maîtres et de professionnels réunis. 4) Un molosse doit impérativement manger dans le calme Vrai Beaucoup de molosse de grandes races sont plus que sensibles, voire prédisposés à la torsion d’estomac. Quel humain n’a pas connu des difficultés à bien gérer (on dit : digérer) ses repas, s’ils sont pris dans des conditions de précipitation, d’agitation, de contraintes et contrariétés environnantes... ? Pour les molosses aussi (dont l’organisme au niveau de l’appareil digestif semble présenter quelque sensibilité/fragilité fonctionnelle) la composante émotionnelle est loin d’être négligeable dans l’activité de s’alimenter. Minorer les contraintes et tensions diverses dans le quotidien de l’animal, est donc l’élémentaire précaution à prendre, principalement autour de sa prise d’aliment. Par prévention, le calme avant et après les repas est aussi important que nourrir le molosse seul et tranquille dans une pièce sans va-et-vient autour de lui (attention aux enfants). On lui laisse sa gamelle (à bonne hauteur) pendant 10 à 12 mn, et s’il n’a pas tout absorbé on range impérativement les restes pour les resservir au prochain repas (la nourriture qui traîne s’altère, même les croquettes) Avec plusieurs chiens, il est souvent préférable pour la tranquillité émotionnelle de chacun, de les nourrir séparément. A noter pour les plus sensibles, qu’il n’est rien de plus stressant que des maîtres qui donnent et retirent « exprès » la gamelle, ou pire même, mettent les mains dedans pour « montrer qui est le maître ! ». Avec s’il le faut des brutalités physiques à la clé si le molosse venait à défendre (en grondant) ce qu’il a sagement attendu et qu’on vient de lui donner ! Ces conseils d’autoritarisme d’un autre âge (retenus dans de mauvaises lectures) et basant les relations sur la crainte et la contrainte physique sont bien sûr à proscrire. Le premier respect que nous devons à un animal, est celui de le nourrir dans les meilleures conditions pour sa bonne santé émotionnelle et physiologique, et les contraintes à ce niveau ne font assurément pas partie de ces meilleures conditions !
  3. Science qui a pour objet, l'étude du comportement d'un être vivant dans son milieu naturel. Karl Von Frisch, Konrad Lorenz et Niko Tinbergen, ont été unanimement salués comme les fondateurs de l'éthologie moderne, et honorés en 1973 du prix Nobel de médecine et physiologie, pour leurs travaux. « En cherchant le sens d’un comportement, sa finalité, son intentionnalité, on le rend cohérent, et donner une cohérence, est un mécanisme fondamental de tranquillisation » Boris Cyrulnik ("Mémoire de singe et paroles d'Homme" éd. Hachette) On entend par comportement, tout acte moteur, manière d'être, d'agir, tout mouvement, attitude, émission chimique ou sonore, nés d'une stimulation à l'intérieur de son propre organisme ou venant de son environnement extérieur. Cet acte moteur, attitude, émission chimique ou sonore venant signifier: «le monde qui m'entoure et les êtres qui le peuplent, m'intéressent, m'attirent mais me font peur, cela modifie ma biologie, alors je cherche à agir sur cet environnement en vue de maintenir mon équilibre intérieur». Tout comportement est donc toujours une réponse adaptative devant ce qui est vécu par un individu. On distingue deux grands groupes de comportements: les comportements instinctifs (innés), et les comportements d'adaptation qui eux sont acquis par apprentissage. Les comportements instinctifs sont très peu nombreux et concernent la survie de l'individu et de son espèce; ils s'organisent autour des besoins primordiaux: faim, soif, reproduction. Ex:) Pour le loup, la faim va déclencher le comportement alimentaire d'un prédateur, c'est à dire chasser, tuer, manger. L'instinct de reproduction va déclencher la recherche de partenaire sexuel, l'accouplement et la mise bas. Pour le chien de la famille que son environnement humain a modelé à ses manières de vivre, la faim va plutôt déclencher maintenant un comportement de quémande. Quant à son instinct de reproduction, il sera soit exploité, voire surexploité dans le cas de l'élevage, soit réprimé ou carrément condamné. Tous les autres comportements, les comportements sociaux propres à chaque espèce, devront être appris au contact des parents et de la fratrie. De même pour les comportements sociaux entre espèces différentes (ex: l'espèce humaine, l'espèce féline, etc.) qui nécessitent d'en faire l'apprentissage par des contacts précoces. Une espèce est dite sociale, si la rencontre de plusieurs individus dans un espace donné est un événement régulier et non fortuit, c’est à dire si ces individus vivent durablement en couple, en famille, en groupes structurés; groupes se caractérisant par l'existence d'une hiérarchie sociale entre leurs membres et interagissant essentiellement entre eux. C’est le cas de l’espèce humaine, ainsi que des deux représentants de l'espèce des canidés qui nous intéressent ici: le loup et ses descendants, nos chiens familiers; chacun pouvant former des groupes sociaux dont les membres sont capables de se reconnaître individuellement. Voilà un point commun qui leur offre dès le départ, la possibilité de vivre ensemble. Encore faut-il pour ces deux espèces, acquérir les bonnes manières sociales par des contacts précoces et spécifiques au cours de tranches de la vie, appelées phases de socialisation. Dès sa naissance, pour l'animal comme pour l'homme, le premier objet à construire est l'individu lui-même. A ce stade, le cerveau toujours en développement, est immature et d'une grande plasticité. Hormis des cellules nerveuses (neurones) à l'activité autonome, et d'autres transitoires (utiles pour assurer les réflexes des nouveaux nés) une majorité de neurones se trouveront mis en activité par les stimulations de l'environnement, reçues de tous les organes des sens. Des contacts corporels, de la lumière, des bruits, des odeurs, puis des interactions avec les congénères, et autres espèces vont forger, sculpter et programmer richement ce cerveau. Pas de stimuli extérieurs à lui-même, résultat: pas de capacités motrices, tactiles, visuelles, auditives, olfactives, performantes; pas de capacité à connaître et ensuite reconnaître les siens, non plus que de capacités à communiquer aisément et efficacement. Ainsi, par exemple, pour le bébé, le sourire pour devenir un moyen de communication nécessite un apprentissage (la réaction de la maman) Pour tout animal, il y a un "âge critique de socialisation"; période pendant laquelle la richesse des stimulations de tous ordres va façonner le cerveau (+ de sollicitations et stimulations conduisant à + de connexions neuronales), et préparer le jeune animal, au fur et à mesure du perfectionnement de ses capacités sensorielles et motrices, à se familiariser avec son monde, c'est à dire à l'apprendre. C'est la période dite de l'empreinte - ou imprégnation- où tout acquis sera très durable et quasi irréversible. C'est cette irréversibilité de l'empreinte qui peut faire par exemple, qu'un jeune d'une espèce élevé par des parents adoptifs d'une autre espèce, ne reconnaisse plus ensuite les siens, jusque dans ses préférences sexuelles futures. Dès après la naissance, cette période dite sensible, ne dure que quelques heures, quelques semaines, ou quelques mois suivant l'espèce animale, deux à trois ans chez l'homme. Ce sont comme des fenêtres qui s'ouvrent à ce moment pour faciliter un apprentissage, une fois les fenêtres refermées il est presque toujours trop tard. C'est ce phénomène de l'empreinte, étudié par Konrad Lorenz sur ses oies et canetons, qui fit connaître au grand public, ce célèbre éthologiste
  4. mary-toutou

    Il mange les cailloux

    je te parlé des dents car un ami a moi a une beauceronne qui fait sa et elle a aujiurd'hui 8 ans et plus de dents la pauvre c'est pas évident je sais
  5. mary-toutou

    Il mange les cailloux

    aie sa c'est pénible en plus pas bon pour ces dents il faut bien lui dire non quitte a le détouner par un de ces jouets bon courrage en tout cas
  6. Cela pourrait passer pour un mauvais canular de premier avril mais il n’en est rien. On parle actuellement d’une nouvelle grippe, affectant les chiens après une transmission du virus H3N8 depuis le cheval. Décidément, l’année 2009 est celle de la grippe. Depuis que la médecine est devenue institutionnelle, avant d’être médiatisée, les époques sont marquées par des pathologies emblématiques. Accompagnées parfois de découvertes scientifiques majeures. On associe la fin du 19ème siècle à la rage et le célèbre Pasteur. Mais ce qui fut maintenu sous surveillance, ce furent deux maladies acquises par contact externe, l’une, popularisée par quelques artistes qui en moururent, fut la syphilis. Quant au cholera, il causa plusieurs pandémies, avec des dizaines de milliers de morts. La vaccination et l’hygiène ont pu venir à bout de cette pathologie qu’on voit encore dans des pays pauvres et notamment le Zimbabwe présent dans l’actualité récente. La décennie 1985-1995 fut celle du Sida. Il se pourrait bien que la décennie 2005-2015 soit celle de la grippe. On se souvient de la grippe aviaire, devenue célèbre car elle causa nombres d’épizooties de part le monde mais surtout, elle est passée de l’animal à l’homme, infectant quelques centaines de sujets. En septembre 2008, 245 décès ont été comptabilisés depuis le premier cas en 2004. A noter, aucun décès n’a été constaté dans les pays industrialisés. Par précaution, des élevages d’oiseaux ont été abattus dès lors qu’un cas était détecté. On ne souvient de ces images de Bresse, avec ces vétérinaires passant dans les pédiluves alors que la zone était devenue interdite comme s’il y avait de la radioactivité. Du coup, les autorités ont pris l’affaire en main. D’aucun nous prédisaient la catastrophe, des millions de morts causés par cette souche dénommée H5N1. Et d’immenses stock de l’antiviral tamiflu, inhibiteur de la neuraminidase et donc de la multiplication du virus, furent constitués. 2009. Comme si les virus décidaient de s’inviter au titre de mode pandémique, une nouvelle pandémie se dessine, sans qu’on puisse trop savoir la dangerosité de cette souche appartenant à au genre H1N1. Apparue au Mexique, cette grippe fut désignée comme mexicaine et aussi comme porcine, car elle affecte les porcs. Les dernières nouvelles ne sont pas forcément bonnes, ni précises. On a mentionné le cas soi-disant exceptionnel d’un Danois réfractaire au traitement par le tamiflu, tandis que selon les chercheurs du CDC, la plupart des échantillons du H1N1 sont résistants au tamiflu. C’est ce qui inquiète car cela illustre bien le gros problème lié à toute pathologie virale. Un virus, même s’il conserve des déterminants permettant de le classer, mute inexorablement. Au risque de devenir de plus en plus létal. Dernier virus en date dont on parle mais pas trop, le H3N8. Baptisé par ailleurs virus de la grippe canine, bien qu’il ait aussi causé la mort de canards sauvages. Découvert en 2004 lors d’une course de lévriers, ce virus cause une grippe pouvant donner affecter sévèrement le chien mais sont la mortalité est jugée assez faible. Comme bien d’autres souches virales, une transmission inter espèces s’est produite, en l’occurrence du cheval vers le chien. De là à imaginer que l’homme puisse être contaminé il n’y a qu’un pas dans l’ordre des raisons. Mais l’on sait bien que la vie a ses propres règles et qu’en la matière, c’est elle qui en dernier ressort décide si l’homme sera affecté ou non par H3N8. Une chose reste certaine, depuis la transmission du cheval au chien, constatée il y a 5 ans, aucun humain n’a été pour l’instant contaminé. Le virus H3N8 reste une affaire entre vétérinaires, comme bien d’autres pathologies affectant une espèce animale. Ce virus a été trouvé dans une bonne trentaine d’Etats américains, mais il n’a pas un caractère expansif considérable. C’est surtout dans les situations de promiscuité que le virus se transmet d’un chien à un autre. Nombre de cas recensés, entre 20 et 30 milles, autrement dit une goutte d’eau pour un pays qui compte 70 millions d’amis canins. Selon les scientifiques, le virus n’est pas tant adapté que ça à l’espèce canine. Il aurait mis 40 ans pour migrer depuis le cheval, à la faveur de 5 mutations mais quelques Cassandre ne plaisent à évoquer une ou deux mutations supplémentaires pouvant faire du H3N8 une arme virale de destruction massive. Laissons plutôt ce type de raisonnement aux auteurs de science fiction. Tout en soulignant que les chiens brachycéphales seraient plus sensibles à la létalité virale selon certaines sources vétérinaires. Ce qui n’étonne pas car un virus fait son « œuvre » en fonction du terrain qui l’héberge. Cela dit, on ne voit pas en quoi le fait d’avoir un nez aplati occasionnerait une fragilité spéciale. Sauf à entendre qu’un virus tient sa virulence à deux facteurs distincts mais complémentaires et reliés, le terrain épigénétique et le profil génétique. Auquel cas, certaines races seraient moins résistantes au virus. Pour finir cette mini recension virale, on se demandera pourquoi les virus et spécialement celui de la grippe, suscitent tant de sollicitude. La peur d’une nouvelle grippe espagnole n’est pas étrangère à ce battage médiatique. Mais sait-on vraiment comment un virus mute, se transmet, déjouant les défenses immunitaires ? Et quel est le rôle précis des virus ? On notera un abus de langage de la part des scientifiques qui prêtent aux virus soit des intentions, soit des logiques propres au règne des êtres vivants. Parler d’un virus qui est adapté à un hôte n’a aucun sens. C’est l’inverse. Le virus est un élément formel et structurel contenant un fragment de séquence génique, ADN ou ARN, capable de se répliquer mais seulement en utilisant le dispositif moléculaire des cellules hôtes. Parlons plutôt de patients adaptés pour résister et d’autres plus fragiles. La grippe saisonnière touche les sujets les plus fragiles, nourrissons et personnes âgées. La grippe A semble toucher des sujets jeunes. C’est à ce titre qu’elle inquiète car la grippe espagnole emportait également des jeunes adultes, tout en épargnant des personnes plus âgées. Sans doute immunisées en ayant été en contact avec des souches au cours de leur longue vie (selon une hypothèse des virologues) Qui sait si nous ne sommes pas touchés par des tas de virus ne causant aucune pathologie si bien qu’on ne les détecte pas. Enfin, un élément important, que l’on connaît très bien maintenant. La mortalité virale est souvent due à des surinfections. C’était le cas pour la grippe espagnole. Que de morts par pneumonies, en cette époque où on ne disposait pas d’antibiotiques, la pénicilline n’ayant été découverte qu’en 1929. Nous voilà donc dans la décennie de la grippe. Et qui sait si cette pathologie ne va pas être accompagnées de surprenantes découvertes scientifiques, comme ce fut le cas pour d’autres pathologies dans le passé. Certes, les infections virales sont connues depuis longtemps mais les virus recèlent encore une part de mystère que pourraient lever quelques Champollion de laboratoire capables de décrypter la logique du vivant. Et sans doute de son évolution. Qui sait si les grippes ne scandent pas quelques mutations au sein d’une espèce et notamment, l’humain. La génération de 1918 fut jugée comme différente (lire Zweig et le monde d’avant) Le mode de vie urbain a-t-il eu une influence ? Que de questions irrésolues. Source : http://www.agoravox.fr/tribune et http://journalduchien.com
  7. mary-toutou

    Canicross

    c'est super comme sport
  8. mary-toutou

    Comment t'a pu ?

    oui le post existe mais ou je sais plus
  9. bravos a vous deux beau travail et oui tu peu faire tout sauf du mordant
  10. merci pour les nouvelle et papouille a ta boule de poil
  11. Tous les ans, au Japon, 350 000 à 600 000 chiens et chats sont abandonnés dans les rues de Tokyo et des grandes villes du pays. Ils sont ramassés par les services spécialisés qui les envoient dans des refuges. Tous ceux qui au bout de 5 jours n’ont pas été adoptés ou remis à leurs propriétaires, sont supprimés. C’est la dure loi nippone. Dans la banlieue de Tokyo, un refuge a installé une chambre à gaz, la dream box (boîte à rêve), pour tuer en trois à quatre minutes, une dizaine de chiens au dioxyde de carbone. Avant de s’écrouler les pauvres bêtes aboient, tremblent et suffoquent. Ils sont ensuite incinérés en groupe. “C’est plus rapide. Un vrai progrès”, a confié un des responsables du centre au correspondant de Libération à Tokyo. Triste progrès! Chaque ville a ses méthodes. A Yokohama, les chats et les chiens qui ne peuvent pas être gardés, reçoivent, eux, des injections létales. Yuko Ogura, le propriétaire d’un pet shop (boutique d’animaux de compagnie) explique les raisons qui poussent les Japonais à se débarrasser de leurs toutous ou matous. “Un déménagement, la plupart des résidences interdisent chiens et chats dans les logements, une séparation dans un couple, un chien qui aboie trop…Ceux qui habitent en province et ont un gros chien n’ont parfois aucun scrupule. Ces maîtres ne réalisent pas qu’en agissant ainsi, ils programment la mort de l’animal.” Les Pet shops aussi n’hésitent pas à abandonner les boules de poils qu’ils n’ont pas vendues. Plus un animal grandit moins il a de chances d’être adopté. Il faut savoir que le pet business génère des milliards de yens. Le prix d’un chien de race rare peut atteindre 5000 euros et un chaton siamois ou angora 2000 euros. La mafia nippone a mis la main sur ce marché juteux et contrôle les animaleries qui sont sur leur territoire. Les célibataires, les couples qui ne veulent pas d’enfants adoptent un animal pour ne plus être seuls ou bien louent pour 5 euros de l’heure un petit compagnon. C’est la nouvelle tendance à Tokyo. Il n’empêche. Des milliers de chiens et de chats sont gazés ou euthanasiés, puis incinérés chaque semaine. C’est la douloureuse réalité de nos amis les bêtes au pays du Soleil levant! Source : Libération http://www.liberation.fr/
  12. Oklahoma, États-Unis – Un couple a été arrêté pour cruauté envers un animal pour avoir tué un chien et s'être servi de sa peau pour en faire une ceinture. Krystal Lynn Lewis, 23 ans, a été accusée d’avoir dépecé son chiot afin d’utiliser sa peau pour en faire une ceinture. Elle aurait voulu se débarrasser de l'animal, car il s'agissait d'un cadeau de l' ex petite-amie de son compagnon. Elle aurait ainsi obligé Austin Michael Mullins, son petit ami de 26 ans à tirer 10 coups de revolver sur l’animal. Le chiot aurait ensuite été dépecé et Krystal Lynn Lewis aurait étendu la peau de l'animal afin de la faire sécher et de la monter en ceinture. Les deux amants ont été inculpés pour crime avec cruauté envers les animaux, et leur caution est fixée à 17800€. source: http://journalduchien.com
  13. moi je comprend pas sur dailymotion sa passe
  14. pffffffffff depuis hier j'essai de lire lez vidéos sur youtube sa marche pas, je comprend c'est depuis que j'ai vista
  15. merci pour les tofs suplémentaires elles sont belles
  16. Oui, les avis sont partagés. Certains diront avant les 1ères chaleurs et d'autres diront aprés faudrez que certains reviennent à la fac
  17. ralf a était castré a 14 mois jamais avant laissé ces pauvre chiens se développer
  18. encore quelle saloperie ça
  19. oui je suis d'accord avec toi , mais bon nombres déleveurs le préfère a lui pourquoi ?
  20. et oui il a pas u la chance de naitre dans une race qui est bien vue pffffffffffffff
  21. c'est clair sa devient quoi au fichier, ha oui maô mon furet a la puce plus implant et aucune agraffe et c'est un tout petit n'animal
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