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Max|mum-leterrarium

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  1. Hydro-Québec devra protéger 134 couleuvres brunes (98,5 fm)- Pour mener à terme un important projet de modernisation de ses installations dans l'arrondissement Rivière-des-Prairies-Pointe-aux-Trembles, Hydro-Québec devra d'abord s'occuper d'une colonie de couleuvres brunes. C'est ce que le 98,5 FM a appris. L'information, qui figure dans un décret gouvernemental, a été rendue publique au début du mois de février. Il y est précisé que pour obtenir un certificat d'autorisation du ministère de l'Environnement, la société d'État devra évaluer la superficie d'habitat de l'espèce, compenser pour les pertes et relocaliser les 134 spécimens recensés. Hydro-Québec n'est pas en mesure pour l'instant de chiffrer le coût de l'opération. La société d'État dispose d'un délai de deux ans pour proposer des mesures compensatoires. La couleuvre brune est une espèce vivant principalement en milieu urbain. Surveillée et considérée comme vulnérable au Québec, elle ne fait l'objet d'aucune protection particulière aux États-Unis ou en Ontario. Selon un spécialiste interrogé, les couleuvres brunes reviennent souvent à leur lieu de capture. Il pourrait donc s'avérer inutile de les déplacer. Le problème rencontré par Hydro-Québec s'avère courant sur le territoire montréalais. Les projets du Faubourg Contrecoeur et de l'échangeur Turcot ont aussi été retardés par la présence de couleuvres brunes sur leur chantier. Le projet de modernisation du poste Henri-Bourassa est évalué à 82,5 millions de dollars. (Un texte de Mathew McKinnon / 98,5 fm) Source
  2. Le cri de cette grenouille fait le buzz sur le web Cette grenouille des sables du Namaqualand produit un son tout à fait étonnant qui fascine et amuse les internautes. Cette grenouille des sables du Namaqualand produit un son tout à fait étonnant qui fascine et amuse les internautes. Le cri de cette grenouille des sables est tellement original que les internautes sont totalement fascinés par cet amphibien. Cette grenouille du Namaqualand, en Afrique du Sud a été repéré par un photographe animalier. Ce dernier aurait alors postée la vidéo de l'animal en ironisant sur son cri. Pour lui, il ne peut s'agir là que du cri d'un puissant guerrier. Mais quand on écoute le son que produit cette bête, on est bien loin du cri terrifiant auquel on pourrait s'attendre. L'animal pousse plutôt un léger cri plaintif. En effet, un vulgaire jouet en plastique ne ferait pas un autre son. Source
  3. De drôles de dragons à Notre-Dame-de-Bliquetuit ! NOTRE-DAME-DE-BLIQUETUIT.Le Parc fait appel aux citoyens pour recenser les amphibiens de notre région. Le Parc naturel régional des Boucles de la Seine normande, en partenariat avec la Crea et les Départements de la Seine-Maritime et de l'Eure, invite les habitants à participer à l'opération « Un dragon dans mon jardin ». Vous observez un amphibien ou un reptile dans votre jardin ou à l'occasion d'une promenade ? Photographiez-le et envoyez la photo par voie électronique ou postale au Parc, en précisant le lieu et la date. Vous participerez ainsi à l'amélioration des connaissances naturalistes et à la protection de la faune régionale. Cette action citoyenne permettra d'aider l'Observatoire des amphibiens et des reptiles de France à élaborer un inventaire écologique de ces espèces. Une espèce protégée Les amphibiens, protégés au niveau national, sont représentés par les tritons, salamandres, crapauds, rainettes et grenouilles. Les reptiles regroupent lézards, serpents et tortues. Ces animaux, dont certains ont des allures de petits dragons, sont utiles à l'équilibre des écosystèmes et sont de précieux indicateurs de la qualité de l'environnement. En effet, ils réagissent précocement aux modifications de l'environnement. En France, une espèce de reptiles et d'amphibiens sur cinq risque de disparaître à cause de l'assèchement des zones humides, la pollution des milieux aquatiques, la destruction des prairies et des haies. Or, depuis les années 1980, 32 % des espèces sont menacées d'extinction dans le monde. Le territoire du Parc héberge encore quatorze espèces d'amphibiens, mais cette richesse spécifique reste vulnérable. Envoyez vos photos par mail à johann.launay@pnr-seine-normande.com Source
  4. Véronique de chez Life-time gecko avait apporté un gecko à crête pour faire tirer à l'exposition Espace reptiles de Québec. C'est mon nom qui en est sorti lors du tirage. J'ai offert le gecko à ma copine dont c'est elle qui a prise les photos. Je vous les partage.
  5. Voici les photos de l'exposition! Des membres du forum sont passés!
  6. Reptile volant Une nouvelle espèce de ptérosaure a été découverte en Roumanie. Le ptérosaure est un dinosaure volant apparu il y a 230 millions d’années et disparu il y a 65 millions d’années, au Crétacé supérieur. Cette nouvelle espèce, les paléontologues l’ont baptisée Eurazhdarcho. Des fouilles en Transylvanie ont permis de mettre au jour des ossements. Ce dinosaure pouvait marcher à quatre pattes et voler grâce à deux ailes de 3 mètres d’envergure pesant moins de 10 kilos. “C’est l’un des squelettes les plus complets qui ait été découvert en Europe”, explique le paléontologue Matei Vremir. “Il date du Crétacé supérieur. Parce que les os sont creux, ils sont difficilement préservés dans les roches géologiques. Ces os ont des parois très fines et risquent de casser à tout instant. Ce squelette partiel est le mieux préservé”. Cette découverte permet aux paléontologues de mieux connaître le mode de vie des ptérosaures. Ils auraient vécu dans les forêts, à l’affût de petites proies sur lesquels ils auraient pu fondre comme des rapaces. Source
  7. Près d'un reptile sur 5 menacé d'extinction Selon la première étude globale sur l'état de conservation des serpents, lézards, tortues, crocodiles et autres reptiles, 1.500 reptiles de toutes les régions du monde risquent l'extinction. La menace est bien différente selon les espèces. Quelque 19% des reptiles de la planète seraient menacés d'extinction, d'après une étude présentée vendredi par l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Parue dans la revue Biological Conservation, cette étude est la première analyse globale sur l'état de conservation des serpents, lézards, tortues, crocodiles et autres reptiles, selon l'IUCN. "Plus de 200 experts de renommée mondiale ont évalué le risque d'extinction de 1.500 reptiles de toutes les régions du monde sélectionnés de façon aléatoire", soit un échantillon représentant 16% des espèces connues, explique l'organisation, associée à cette étude de la Société zoologique de Londres. Les reptiles considérés comme menacés sont classés pour 12% d'entre eux en "danger critique d'extinction", le degré de menace le plus élevé, pour 41% d'entre eux en "danger" et pour 47% en "vulnérable". "Les résultats sonnent l'alarme sur l'état de ces espèces et les menaces croissantes auxquelles elles sont confrontées", estime Philip Bowles, coordinateur de la Liste rouge pour les sauriens et les ophidiens de la Commission de la sauvegarde des espèces de l'UICN. La menace est bien différente selon les espèces, les tortues d'eau douce, par exemple, apparaissant comme bien plus menacées que les reptiles terrestres. "L'étude estime que 30% des reptiles d'eau douce sont proches de l'extinction. Ce pourcentage atteint 50% pour les tortues, car elles sont aussi touchées par le commerce national et international", explique l'UICN. Globalement, pour l'ensemble des reptiles, la menace est particulièrement forte dans les régions tropicales, surtout en raison de la conversion d'habitats naturels à des usages agricoles et de l'exploitation forestière. Trois espèces classées en "danger critique" pourraient même déjà être éteintes, dont le lézard coureur Ameiva vittata, observée seulement dans une région de la Bolivie, précise l'IUCN, qui rappelle que de "nombreuses espèces sont très spécialisées quant à l'usage de leurs habitats et aux conditions climatiques dont elles ont besoin pour leur vie quotidienne". Source
  8. Surprise lors de la dissection d'un alligator Lors d'une dissection faite pour la chaîne National Geographic, Brandon Moore de l'Université Tech de Louisiane touche le nerf pelvien de l'alligator. Source
  9. Champsecret. Les habitants invités à photographier les « dragons » de leur jardin Il s’agit de réaliser un inventaire des amphibiens et reptiles présents dans la région. Vendredi soir, une vingtaine d’habitants de Champsecret participait, dans le cadre des actions de sensibilisation sur la biodiversité, à une soirée sur le monde des amphibiens. Antoine Deguines, chargé d’étude au Centre permanent d’initiative pour l’environnement (CPIE) en profitait pour leur proposer de participer à l’opération « Un dragon dans mon jardin ». Il s’agit de photographier un amphibien ou un reptile dans son jardin et d’envoyer la photo au CPIE collines normandes en précisant le lieu et la date de la prise de vue. Antoine Deguines précise que « ces amphibiens sont représentés sur notre secteur par les tritons, salamandres, crapauds, rainettes et grenouilles. Les reptiles regroupent les lézards, serpents et tortues. Ces animaux, dont certains ont des allures de petits dragons sont utiles à l’équilibre des écosystèmes et sont de précieux indicateurs de la qualité de l’environnement ». Cet inventaire des amphibiens de notre région fait partie des objectifs du CPIE sachant qu’il y a environ 4 000 espèces d’amphibiens dans le monde dont 17 espèces en Normandie et que ces espèces risquent de disparaître. Contact pour envoyer les photos : CPIE collines normandes, tél. 02 33 96 79 70 ou etudes@cpie61.fr Source
  10. Un scorpion se promène dans un avion de JetBlue Airways Orlando (Floride/USA) - Un avion de la compagnie aérienne américaine JetBlue Airways a été retiré du service après qu'un scorpion ait été découvert sur l'un des sièges de l'appareil durant un vol à destination de l'aéroport international de Orlando (Floride) et n'ait pas réussi à être attrapé. L'avion, un Airbus A320, vol B6-748, qui effectuait la liaison entre l'aéroport international Juan Munoz Marin de San Juan (Porto Rico) et l'aéroport international de Orlando avec un nombre de passagers qui n'a pas été indiqué, était en vol lorsqu'une passagère s'est brutalement levée en se mettant à hurler. Elle venait de trouver un scorpion, entre ses cuisses, sur le fauteuil, qui venait à l'instant d'y grimper. L'animal s'est aussitôt enfui et a disparu sans qu'ils soit possible de le retrouver. L'appareil étant proche de l'arrivée, les pilotes n'ont pu que continuer jusqu'à destination. L'avion s'est posé sans autre incident et les passagers n'en ont été quittes que pour une frayeur durant le temps de vol restant. Le scorpion serait, d'après la description, un 'bark scorpion', un 'Centruroides Vittatus' de 4 centimètres de long que l'on rencontre habituellement dans les états du sud des Etats-Unis ou en Amérique Centrale. Sa piqure n'est pas mortelle mais extrêmement douloureuse. Malgré les recherches au sol, il n'a pas été retrouvé et la compagnie aérienne va devoir utiliser le principe de remplir la cabine d'un gaz inerte afin de le faire mourir. Source
  11. Une tortue caouanne s'installe au Nausicaà Depuis fin janvier, une invitée d'honneur nage dans les eaux du Nausicaà, à Boulogne-sur-Mer (France): une tortue caouanne est observable dans l'espace d'exposition "Escales en Méditerranée". Cette nouvelle pensionnaire, née dans l'aquarium du Marineland à Antibes, fait partie d'un programme de reproduction et devrait être relâchée dans quelques mois dans son milieu naturel munie d'une balise. L'Aquarium de La Rochelle, le Nausicaá, l'Océanopolis de Brest, le Seaquarium du Grau du Roi accueillent les petites tortues naissant au Marineland le temps de leur croissance. L'occasion pour les visiteurs de découvrir ces tortues et les sensibiliser à la préservation d'une espèce essentielle à l'équilibre marin. Pour rappel, la tortue caouanne est une espèce en danger inscrite sur la liste rouge de l'UICN. Cette tortue marine est l'espèce emblématique de la Méditerranée où elle vit et se reproduit. Elle évolue dans les eaux tempérées, tropicales et subtropicales, mais elle est la seule tortue nidifiant hors des tropiques. Elle se nourrit de méduses et est capable de parcourir des distances considérables en mer. Depuis 1980, le déclin et la diminution des populations de cette espèce font craindre le pire. Les menaces sont nombreuses: dégradations des plages de pontes, pillage des nids, chasse pour la nourriture, la peau, l'huile et la carapace, capture accidentelle par les chaluts et les filets de pêche, pollution marine provoquée par le pétrole, les sacs plastiques et les détritus. Source
  12. Des bâches et des seaux pour sauver les crapauds - Saint-Laurent L'initiative Pour rejoindre leur site de ponte à l'étang du Poirier, les amphibiens en provenance des zones humides en aval (côté Landebaëron) doivent traverser la route et des centaines se font écraser. Mardi soir, à la mairie, le projet Les crapauds dans les seaux a été présenté aux Amis de la vallée du Perrier par Patrice Quistinic, animateur nature de l'association War Dro An Natur et Marie-Céline Buchy, biologiste, riveraine et membre de l'association des Amis de la vallée. Selon Marie-Céline Buchy : « Les objectifs sont de chercher ensemble comment aménager les abords de la vallée aussi bien pour les amphibiens que pour les randonneurs, mobiliser les bénévoles pour la suite du projet, trouver des financements ». La vallée devrait aussi accueillir des animations et ateliers en relation avec la présence des amphibiens (fréquence grenouille, etc.) Chaque année, riverains, usagers de la route départementale qui va de Kermoroc'h à Saint-Laurent, et naturalistes de passage dénoncent ce massacre. Aucun recensement de la faune n'a encore été fait autour de l'étang du Poirier, mais dans les zones humides des vallées alentours, neuf espèces (grenouilles, crapauds, salamandre et tritons) ont été identifiées. « Tous les amphibiens sont protégés en France. Ce sont des prédateurs essentiels de moustiques, limaces, etc. » rappelle la biologiste. La zone concernée s'étend de Kerfichet en sortie de bourg de Kermoroc'h jusqu'à Tossen Hat, soit le bassin-versant du Perrier. Les migrations se font de janvier à avril, selon les espèces et les conditions météo. De nombreuses actions envisagées 2013 sera une année d'investissement bénévole, l'occasion de fédérer les bonnes volontés et de faire des visites régulières afin de définir les zones et conditions météo de traversée. Le comptage le matin des animaux écrasés a déjà mis en évidence la présence de grenouilles rousses et d'au moins deux espèces de tritons, en plus du crapaud commun. Suivant l'exemple d'opérations de sauvetage mises en place ailleurs, il s'agit d'abord d'empêcher les amphibiens de traverser la route, en barrant l'accès avec des bâches tendues de chaque côté. Les animaux sont collectés dans des seaux, que des bénévoles recensent et vident de l'autre côté de la voie le matin et le soir. Pour sauvegarder les populations d'amphibiens à long terme, sont envisagées la création d'un « crapauduc » ou de mares de l'autre côté de la route. Source
  13. Le crocodile du Siam Présentation : Le crocodile du Siam ou encore « Crocodylus siamensis » est une espèce de crocodiliens de la famille des Crocodylidae. En 1992, celui-ci a été déclaré quasiment éteint dans la nature. Heureusement, quelques spécimens ont été aperçus depuis. En 1996, l’IUCN (International Union for Conservation of Nature) déclare ce reptile comme étant en danger critique d’extinction. Aujourd’hui encore, la population de cet animal continue à régresser dangereusement… C’est un des crocodiles les plus menacé à l’état sauvage, bien qu’il soit largement élevé en captivité. Localisation : Il y a quelques temps, nous pouvions rencontrer le crocodile du Siam dans beaucoup de pays. Aujourd’hui, il ne reste que quelques lieux où rencontrer ce magnifique animal. Il réside principalement au Cambodge, en Indonésie, au Laos, en Thaïlande, au Vietnam et probablement encore en Malaisie et en Birmanie ou certaines zones restant inexplorées ne permettent pas d’être certains de leur présence. Nous savons aussi que l’espèce a été réintroduite au Vietnam au « Cat Tien National Park ». Suite à cela, des programmes ont été mis en place afin de faire croître la population de crocodile de Siam et d’élargir nos connaissances sur l’espèce. Menaces : De nombreuses menaces guettent l’espèce et la plupart d’entre elles proviennent de l’homme. La chasse arrive en tête. La peau de crocodile est très prisée et les braconniers persistent malgré les interdictions à chasser les crocodiles du Siam. Aussi, certains chasseurs collectionnent et empaillent ces animaux pour montrer leur supériorité ou satisfaire leur égo. De plus, il arrive que certaines personnes collectionnent illégalement des oeufs de crocodile (une des raisons majeures de la régression de l’espèce). La destruction de leur habitat est aussi l’une des causes de leur disparition. La transformation de l’environnement en terre agricole ou la mise en place de barrages a fait fuir les quelques populations de crocodile restantes. Ils sont souvent chassés dès lors que l’un d’eux est aperçu trop près des habitations ou des cultures… Enfin, il est possible qu’une hybridation entre deux espèces distinctes (« Crocodylus siamensis » et « Crocodylus porosus ») soit une nouvelle source de menace pour ce reptile. Effort de conservation : Les chercheurs estiment à moins de 5 000 individus la population de crocodile du Siam qui résiderait dans la nature. Cependant, il est bien difficile de donner un chiffre précis. Depuis la redécouverte du crocodile du Siam à l’état sauvage, de nombreuses recherches ont été effectuées. Cela a permis la mise en place de nouveaux programmes de sauvegarde. En effet, plusieurs parcs ont accueilli en captivité des couples de crocodile afin de reproduire l’espèce, et de mieux l’étudier. Au Vietnam, la réintroduction de l’espèce fut un succès. Des lois ont été mises en place afin d’interdire définitivement la chasse et la collection du reptile. Aussi, dans les parcs, des patrouilles ont été instaurées afin de traquer les braconniers. Les recherches précisent le côté inoffensif de l’animal et cela facilite sa réintroduction et son élevage dans certaines fermes ou certains parcs. Aujourd’hui, malgré la régression de l’espèce à l’état sauvage, on remarque que l’élevage en captivité progresse et que les populations locales sont de plus en plus informées sur la situation du crocodile du Siam. Il reste encore beaucoup à faire mais les recherches continuent d’avancer, et de nombreuses zones doivent encore être observées. En savoir plus : Le crocodile du Siam est principalement piscivore (il se nourrit essentiellement de poissons). Il lui arrive parfois de manger des petits reptiles, des mammifères, des invertébrés, des charognes, certains oiseaux ainsi que des amphibiens. Cependant, nous avons peu de données sur les préférences alimentaires de cet animal lorsqu’il est à l’état sauvage. Les informations ont été recueillies sur des crocodiles vivant en captivité. « Crocodylus siamensis » est une espèce de taille moyenne, dont la plupart des individus n’atteignent pas plus de 3.5 mètres. Il a un museau relativement large et lisse et est doté d’une crête osseuse élevée derrière chaque œil. Sa mâchoire est composée de plus de 64 dents ce qui lui permette de manger tous types d’espèces animales. Sa peau est vert foncé, parsemée de tâches noires. Sa face ventrale quant à elle varie entre le blanc et le jaune. La durée de vie du crocodile du Siam peut atteindre les 30 ans. (Pour des crocodiles en captivité) Reproduction : Nous savons que la période idéale de reproduction pour le crocodile du Siam est située entre avril et mai (durant la saison humide). La femelle construit un nid grâce à un mélange de débris, de plantes, et de boue qu’elle regroupe en monticule. Sa ponte variera entre 20 et 50 œufs. La période d’incubation quant à elle prendra plus de 80 jours, cela permettra aux œux de se développer normalement. Enfin, après cette période, la femelle portera les petits crocodiles à l’eau. Il est très difficile d’étudier des crocodiles du Siam à l’état sauvage. C’est pourquoi nous avons eu ces précieuses informations grâce à des crocodiles élevés en captivité. Source
  14. Vic-en-Bigorre. Aider la traversée des amphibiens Lancée en 2011 par Philippe Bricualt, enseignant forestier au lycée d'enseignement agricole Jean-Monnet, l'action de protection des amphibiens (crapauds, grenouilles, rainettes, tritons…), lors de leur migration saisonnière de janvier à juin vers les étangs de l'établissement, sur la route Montaner, a redémarré le 31 janvier dernier. Avec la pose d'un filet de 110 m le long de la route, barrière complétée par 11 seaux régulièrement enterrés, le peuple amphibien est préservé d'une fin «laminée» sur le bitume ; piégés pour leur bien dans ces seaux relevés tous les jours, ils sont transportés de l'autre côté de la route. Les étudiants de BTS gestion et protection de la nature ou du Club nature ont été rejoints par des volontaires, curieux et amoureux de la nature. À noter qu'au 18 février, pas moins de 300 crapauds, grenouilles agiles, tritons palmés et marbrés ont déjà «bénéficié» du dispositif ! Philippe Bricault invite à une séance publique de relevage des seaux, la traversée de la D61 Vic-Montaner, suivies d'une visite aux étangs, ce samedi 23 février. Rendez-vous à 9 h 20, devant le lycée agricole, pour covoiturage ou directement aux étangs, à 9 h 30, près du château de la Barthe. Renseignements : P. Bricault, tél. 05.62.33.96.58 ou (philippe.bricault@educagri.fr) Source
  15. Grenouille dans l'assiette : les clients veulent porter plainte contre Buffalo Grill Les clients qui ont découvert samedi une grenouille dans une salade qui leur a été servie au Buffalo Grill de Lomme veulent porter plainte contre l'enseigne pour "malveillance, négligence sanitaire et tromperie". Philippe Vercamer ne décolère pas. Samedi dernier, alors qu'il déjeunait en famille au Buffalo Grill de Lomme, son épouse, Nadège, a découvert une grenouille dans la salade "Big Mountain" qui lui avait été servie. Après avoir révélé l'affaire hier à la presse, le couple annonce aujourd'hui qu'il entend porter plainte contre l'enseigne pour "malveillance, négligence sanitaire et tromperie". "La moindre des choses, ce serait qu'ils reviennent vers nous", nous a expliqué Philippe Vercamer, qui s'était plaint de cette mésaventure par e-mail auprès du service client de Buffalo Grill. "Ils n'ont même pas pris contact, on n'a pas eu de réponse directe. C'est pour cela que j'ai contacté mon avocat". Avec son épouse, il n'a pas apprécié non plus que le personnel du restaurant se soit contenté, en guise d'excuse, de leur offrir des bons pour des cocktails gratuits, "valables qu'à condition de payer le prochain repas". Buffalo Grill ne leur a répondu pour le moment que par communiqué de presse interposé. La direction de la chaîne a exprimé hier "ses sincères regrets concernant cet événement inadmissible et incompréhensible au regard de l’ensemble des dispositifs de contrôle sanitaire et de qualité existants au sein de ses restaurants". Elle dit avoir "immédiatement lancé une enquête en interne et auprès du fournisseur pour déterminer l’origine et les circonstances de cet événement". Un batracien très rare dans la région Le batracien retrouvé dans l'assiette et photographié par Séverine, la fille du couple, est une rainette méridionale, une espèce extrêmement rare dans le Nord Pas-de-Calais. "Nous sommes tout à fait en dehors de son aire de distribution", nous a confirmé José Godin, président du Groupe Ornithologique et naturaliste du Nord. "L'atlas des amphibiens et reptiles de France métropolitaine récemment sorti montre qu'il s'agit d'une espèce du sud de la France et situe sa limite nord dans le marais poitevin, au sud de la Vendée. On connaît quelques observations d'individus isolés, en dehors de son aire de distribution "connue", parmi lesquelles une dans le Nord de la France, en mai 2006 dans la "carrière des plombs" à Abscon. Cette observation "anecdotique" correspondant à une introduction volontaire ou involontaire n'a pas été reprise dans l'atlas national. C'est à ma connaissance, avant la "Rainette de la salade" la seule observation relatée en région". La rainette reste cependant un batracien apprécié des collectionneurs. Un internaute nous signalait ainsi que plusieurs personnes, dans la région, en vendaient sur le site internet leboncoin.fr. Un acte de malveillance ? Philippe Vercamer, lui, assure qu'il ne collectionne pas les batraciens et regrette que certains mettent en doute son récit. "C'est vrai qu'on peut se poser la question", admet-il. "Tout ce que je peux dire à ceux qui doutent, c’est que je ne souhaite pas que ça leur arrive". Le fait que le batracien retrouvé dans l'assiette soit une espèce rare dans la région pourrait accréditer l'idée que cette rainette ait pu "voyager" avec la salade depuis le producteur. Mais à la DGCCRF, en charge de la répression des fraudes et du contrôle de l'hygiène des aliments, on trouve cette hypothèse peu probable, en raison du nombre de personnes censées manipuler le produit, depuis le producteur jusqu'à l'assiette servie au restaurant. S'agit-il alors d'un acte de malveillance ? C'est l'une des pistes que Buffalo Grill ne manquera pas d'explorer au cours de son enquête interne. Source
  16. Une grenouille nichée dans une salade Buffalo Grill La chaîne de restaurants n'a pas réagi officiellement pour l'instant à cette mauvaise surprise. Après de la viande de cheval dans vos lasagnes, une grenouille dans votre assiette ? C’est qui est arrivé à Nadège Vercamer, une cliente du restaurant Buffalo Grill de Lomme (Nord), comme le rapporte France 3 Nord-Pas-de-Calais. "Au départ, ma femme voulait prendre une brochette de viande, mais la serveuse lui a recommandé une salade bien consistante, avec une grosse pomme de terre au four", raconte son mari Philippe. "C'est quand elle a commencé à pêcher dans les premières feuilles de salade qu'elle a trouvé la grenouille. C'est étonnant que personne ne l'ait vu car c'était une grenouille plutôt imposante. Ma femme a crié. Elle a eu du mal à manger jusqu'au lendemain". La direction du restaurant a bien tenté un petit geste d'apaisement, mais il n’a pas convaincu ces clients malchanceux : "Ils se sont excusés en donnant des bons cadeaux pour des cocktails gratuits, mais qui ne sont valables qu'à condition de payer le prochain repas... Ils nous ont conseillé de déposer un mail dans la rubrique clients mécontents. Mais on n'a toujours pas de réponse". Nadège, Philippe et leurs deux enfants sont partis sans payer leur repas. Et Buffalo Grill, pour l’heure, n'a pas réagi officiellement. Source
  17. Le chêne se vend dans certaines épiceries me semble
  18. J'adore les phasmes! Fais toi des réserves de feuilles de chênes!
  19. Découvrez les photos de la salamandre à deux têtes recueillie en Allemagne Une salamandre bicéphale, dont un éleveur s'était occupé tant bien que mal, a été confiée après sa mort, à une université allemande. En Europe, il n'est pas rare de croiser lors d'une balade en forêt une salamandre tachetée, espèce d'urodèle très répandue sur le continent. En revanche, il y a peu de chance de tomber sur une salamandre… à deux têtes ! C'est pourtant bel et bien une telle créature qui vient d'être confiée à la Martin Luther King University, dans la ville de Halle, en Allemagne. Malheureusement, le spécimen était déjà décédé. En effet, cette salamandre bicéphale n'a vécu que six mois dans la collection d'un éleveur, qui a tenté de la nourrir à travers ses deux bouches. Habituellement, une salamandre tachetée peut vivre pendant de nombreuses années. Un spécimen a même vécu jusqu'à cinquante ans au Musée Alexander Koenig en Allemagne. Mais l'anomalie dont cet individu souffrait a condamné son existence. Il est même étonnant que l'animal ait survécu pendant plusieurs mois. Les animaux bicéphales possèdent deux cerveaux pour un seul corps à diriger et rencontrent donc notamment de grandes difficultés à se déplacer. Ils leur arrivent donc souvent de se déplacer de façon désorientée, avec chaque encéphale indiquant des directions différentes et amenant les individus à zigzaguer. Chez les serpents bicéphales, il n'est même pas rare que l'une des têtes tentent de s'attaquer à l'autre en la mordant. D'ailleurs, en 2011, un serpent roi de Californie présentant la même anomalie a été recueilli dans un zoo privé dans le Sud de l'Ukraine pendant deux mois. Source
  20. Suivi population amphibien – Tarn Stage de 3 mois dans le département du Tarn – CPIE des pays Tarnais Durée et type de contrat : stage 3 mois Niveau d’études : BAC+2 à BAC +5 Thématique : suivi de population d’amphibiens Région : Midi-Pyrénées Ville : Castres (81). Type d’offre : stage Date de début du contrat : mars à mai inclus 2013 DESCRIPTION DE L’OFFRE Au sein du CPIE des pays Tarnais, vous accompagnerez une chargée de mission, pour réaliser des inventaires de population d’amphibiens sur le Parc Naturel Régional du Haut Languedoc. Vous l’accompagnerez aussi pour réaliser des animations scolaires. MISSION - Inventaires naturalistes et suivi de population d’amphibiens suivant le protocole M.A.R.E. - Analyse et traitement des données de terrain - Évaluation et hiérarchisation des enjeux - Restitution des études et expertises aux clients et aux acteurs de l’environnement - réalisation d’animations scolaires PROFIL CANDIDAT/E •Bac +2 à Bac + 5 •Disponibilité sur Castres tous les jours de la semaine/ disponibilité la nuit (sortie nocturne en fonction des conditions climatiques = modification des plannings de sorties fréquente) •Bonnes connaissances et expériences des méthodes d’inventaires ; •Bonne connaissance des amphibiens •Maîtrise des outils informatiques (Word, Excel…) indispensable ; •Connaissances des habitats et zones humides appréciées ; •Bonne connaissance du réseau des acteurs de l’environnement ; •Capacité d’analyse, de rédaction et de synthèse ; •Rigueur, autonomie, organisation et esprit d’équipe ; •Aptitude en expression orale, sens du contact, dela négociation ; •Titulaire du Permis B Modalités de recrutement Le dossier de candidature, comprenant obligatoirement une lettre de motivation et un curriculum vitae détaillé, fera apparaître les compétences et les expériences du candidat dans les domaines d’activités visés et les motivations du candidat pour le poste. Les dossiers de candidature devront être adressés à l’attention de : Mlle WAUTHIER uniquement par mail à m.wauthier@cpie81.fr Les candidat(e)s retenu(e)s pour un entretien seront averti(e)s après la date limite de dépôt des candidatures et convoqué(e)s à un entretien. CONTACT Civilité : Mademoiselle Prénom : Morgane Nom : Wauthier Fonction/Service : chargée de mission Téléphone : 05.63.59.44.33 Email : m.wauthier@cpie81.fr ENTREPRISE Nom de l’entreprise : CPIE des pays Tarnais Thématique : Environnement Adresse : 76 Avenue du Sidobre Code postal : 81100 Ville : Castres Source
  21. Une espèce de reptile sur cinq menacée d’extinction Près d’une espèce de reptile sur cinq parmi les 10000 recensées sur la planète serait menacée d’extinction. De ces espèces, plus de 12% seraient en danger critique d’extinction, 41% en danger et 47% seraient classées "vulnérables" selon une nouvelle étude publiée par la Zoological Society of London et l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UCIN). Les tortues d’eau douce seraient particulièrement concernées puisque que près de 50 % d'entre elles seraient proches de l’extinction. En cause, la déforestation et le changement d’utilisation des terres qui détruit l’habitat souvent fragile de ces espèces. Selon Philip Bowles de l’IUCN, « ces chiffres devraient sonner l’alarme sur l’état de conservation de ces espèces et les menaces de plus en plus importantes qui pèsent sur elle », rapporte le Guardian. Source
  22. 68 pythons birmans capturés et tués dans les Everglades Une vaste chasse au redoutable python birman, organisée pendant un mois dans le parc national des Everglades en Floride, a permis de capturer et de tuer 68 de ces reptiles qui menacent l'écosystème de la région, ont annoncé samedi les organisateurs. Le plus long python capturé mesurait plus de 4,30 mètres, et il a rapporté à son chasseur un prix de 1.000 dollars (750 euros), a précisé la Commission de conservation de la faune et de la flore de Floride (FWC). Plus de 600 participants venus de 38 Etats américains, et même du Canada, ont pris part à cette vaste chasse au python birman, organisée entre le 10 janvier et le 10 février. Les experts pensent que les premiers pythons birmans arrivés dans les Everglades étaient en fait des animaux de compagnie, qui ont été relâchés par leur propriétaire ou se sont évadés lors de l'ouragan Andrew en 1992. Ils se reproduisent rapidement et sont désormais plus nombreux en Floride que les espèces locales. Leur prolifération expliquerait la chute du nombre de petits mammifères, comme les belettes, lapins, ratons-laveurs et autres rats sauvages, dans les Everglades, selon les scientifiques. Au terme d'un mois de traque, 68 pythons ont été capturés et tués. "Il s'agit d'un nombre sans précédent de spécimens, ce qui va nous aider à répondre à certaines questions sur les pythons et à nous rendre plus efficaces pour les éliminer de notre environnement", a expliqué le porte-parole de la FWC, Nick Wiley. Les serpents morts vont être envoyés à l'université de Floride qui va les étudier. Source
  23. ANTIBIOTIQUES: La peau du batracien fait de bons antibactériens Ces scientifiques tirent profit d’une vieille croyance russe qui consistait à mettre une grenouille dans le pot pour éviter que le lait ne tourne. Mais comment ? En identifiant une multitude de nouvelles substances antibiotiques dans la peau de la grenouille rousse appelée Rana temporaria. Leur étude publiée dans le Journal of Proteome Research, une revue de l’American Chemical Society, ajoute aux découvertes de peptides aux propriétés curatives chez les serpents, araignées, escargots de mer, et autres drôles d’animaux. À Lebedev et ses collègues expliquent que les amphibiens sécrètent des peptides antimicrobiens par l’intermédiaire de leur peau. Ces composés rentrent dans la composition des sécrétions de la peau et vont être ainsi leur première ligne de défense contre les bactéries et autres micro-organismes qui se développent dans les endroits humides. L’équipe a utilisé une technique de laboratoire suffisamment sensible pour isoler ces substances sur la peau des grenouilles et a pu ainsi identifier 76 substances de ce type. Les chercheurs ont testé les différentes substances découvertes, décrivent les résultats de leurs tests et démontrent une efficacité de ces substances contre les salmonelles, staphylocoques…similaire à celle d’antibiotiques couramment utilisés. "Des peptides potentiellement utiles pour la prévention des infections et pour lutter contre les souches bactériennes résistantes aux antibiotiques, concluent ces scientifiques. Source
  24. La grenouille sort du sac... de céleri SHERBROOKE – Daniel Drouin, un résident de Sherbrooke, a eu toute une surprise mardi soir dernier, alors qu'il s'affairait à préparer son souper. Une petite grenouille verte a bondi d'un sac de céleri. Le sac en question avait été acheté quelques jours plutôt au Super C du Carrefour de l'Estrie. La petite grenouille s'apparente à une espèce de rainette. Elle est actuellement gardée dans un vivarium à l'école Mitchell-Montcalm de Sherbrooke. M. Drouin a contacté le ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation (MAPAQ) afin de savoir si cette grenouille pourrait être dangereuse pour la santé Source
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