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Max|mum-leterrarium

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  1. Nom scientifique : Coenobita perlatus Nom français : Bernard l'hermite terrestre "fraise" Nom anglais : Strawberry crab Origine : Rivages de la région indo-pacifique, de Madagascar à la Polynésie Biotope : Humide Température : 26-32°C Hygrométrie : supérieure à 80 % Moeurs : Terrestre et nocturne Taille adulte : Moyenne 80 mm de longueur Longévité : 25-30 ans à l'état sauvage, en captivité c'est beaucoup plus court Nourriture : Détrivores Photo emprunté sur http://coenobita.e-monsite.com/pages/especes-et-biotopes/coenobita-perlatus.html On me demande tout un défi : vous parlez d'une espèce avec laquelle je suis moins à l'aise. Je vais vous parler d'un petit crabe que certains appellent le Bernard l'Hermite terrestre fraise. Son nom scientifique est Coenobita perlatus. On en retrouve un peu partout à travers les régions Atlantiques. Il fréquente les plages et les dunes de bord de mer et se maintient toujours à une distance accessible de l'eau salée, où il peut restaurer l'humidité de son corps. Il mesure, à l'âge adulte, en moyenne 80 millimètres de longueur. Il est spécifiquement reconnaissable par sa carapace parsemée de petites granulations et sa coloration rouge. Les Coenobita perlatus vivent en bandes de quelques dizaines d'espèces, voire de centaines, et possèdent une vie sociale apparemment assez élaborée. C'est un agent très efficace du maintien de la propreté des plages, car son régime est principalement détritivore, mais il ne néglige pas de s'attaquer à quelques proies vivantes, telles que les jeunes tortues marines après l'éclosion. L'espèce est ramassée pour faire l'objet d'un commerce international d'animaux de compagnie. Certains négociants les conditionnent avec des coquilles synthétiques peintes en couleurs vives pour les vendre comme "Bernard l'Hermite Pokémon".
  2. Nom scientifique : Epicrates cenchria cenchria Nom français : Boa arc-en-ciel brézilien Nom anglais : Brazilian rainbow boa Origine : Argentine, Bolivie, Guyana, Guyane Française, Paraguay, Pérou, Venezuela. Biotope : Humide Température : 28°C - 32°C Hygrométrie : 70 à 80% Moeurs : Terrestre et nocturne Taille adulte : 20 cm Longévité : 20 à 25 ans. Nourriture : Rongeurs Je vais vous parler de l'un des plus beaux serpents aux couleurs flamboyantes. Son nom : Epicrates cenchria cenchria. L'Epicrates cenchria cenchria porte le nom français de boa arc-en-ciel brézilien. Ce nom est dût à ses écailles luisantes qui lui donnent un aspect mouillé et multicolore. Sa coloration est brillante et ses écailles sont iriséesé La coloration de fond est d'un rouge orangé avec des cercles noir profond sur le dos et les flancs. Ce boa de taille moyenne dépasse rarement les deux mètres. Le diamètre de son corps, quant à lui, fait de 6 à 10 cm. Le boa arc-en-ciel brézilien est l'Epicrates le plus populaire en terrariophilie, probablement grâce à ses couleurs flamboyantes. Par contre, l'espèce demande une certaine expérience en terrariophilie, non seulement à cause de son besoin élevé en humidité, mais aussi parce qu'il est un puissant constricteur ayant une réputation d'être quelque peu agressif. L'aire de répartition est assez vaste pour l'espèce. Par contre, il n'est pas moins largement vu dans la nature. Le boa arc-en-ciel brézilien est protégé depuis le 12 avril 1977. Il apparaît à l'annexe II de la CITES. L'Epicrates cenchria cenchria est tout de même vu dans plusieurs pays, dont le sud du Vénézuela, le Surinam, le Costa Rica, le Panama, la Guyane Française, la Colombie, le Pérou, le Brésil, la Bolivie, le Paraguay et l'Argentine. Il est aussi couramment aperçu tout au long du bassin amazonien.
  3. Du chien au caméléon La 13e édition du salon Animalia se tiendra au parc des expos de Metz, ce premier week-end de janvier. Avec environ 600 chiots, des chatons de race et les maintenant traditionnels nouveaux animaux de compagnie (Nac). Ces derniers font maintenant partie intégrante du monde des animaux de compagnie. L’organisateur promet la présence de « serpents, de caméléons, de tortues et de lézards ». Au total, une quarantaine d’éleveurs seront sur place, ainsi qu’une cinquantaine d’exposants et animateurs. Samedi et dimanche, 10h à 18h30 au parc des expos de Metz Métropole. Gratuit pour les - 10 ans; 5 € pour les - 18 ans; 7 € pour les adultes. Source
  4. Le manque de vigilance a causé la fuite d'un Lampropeltis splendida qui a trouvé appétissant un berber skink. Le Lampro vivait dans un bac temporairement le temps de recevoir le nouveau terrarium. Malheureusement, je n'avais pas couvercle sur le terrarium de mon berber... Je vous laisse deviner la suite...
  5. Os fossilisés : des dents de lézard rendues visibles aux rayons X ! Nouveau souffle pour la paléontologie ! Le développement d’une nouvelle technique d’analyse aux rayons X révèle l’ossature de fossiles pourtant invisible à l’œil nu. Des milliers de fossiles pourraient bien être réétudiés… Comment retrace-t-on l’évolution des organismes ? Les paléontologues utilisent les os, les plumes ou la peau fossilisés pour reconstruire entièrement les animaux et interpréter ainsi leur évolution. En fin de compte, ils utilisent tous les éléments qu’ils voient. Pourtant, les analyses chimiques détaillées des tissus fossiles peuvent elles aussi s’avérer extrêmement intéressantes. Elles pourraient permettre d’identifier la composition chimique des os et les structures des tissus conservés. Cela donnerait, par exemple, des indications sur l’adaptation de l’individu à son environnement. Mais les techniques d’analyses chimiques classiques, telles que le microscope électronique ou le spectromètre de masse, ont des compétences souvent bien limitées. Le principal problème est que ces méthodes utilisent des spectres de longueurs d’onde trop restreints. Elles impliquent en outre la destruction du fossile. Toutefois, les chercheurs du Stanford Synchrotron Radiation Lightsource (SSRL) ont récemment développé une technique d’analyse aux rayons X, la Synchrotron Rapid Scanning X-ray Fluorescence (SRS-XRF), grâce à laquelle les paléontologues ont fait d’étonnantes découvertes. Les rayons X ont fait apparaître les dents d’un fossile de lézard sur ce qui était jusqu’alors considéré comme un fossile de résidus de peau. Sur ce fossile, il est facile de voir les restes de la peau, mais à l’œil nu, aucun reste osseux n’est visible. Cette incroyable découverte suggère qu’une grande quantité de fossiles pourraient bien contenir des résidus osseux qui, s’étant presque complètement dissous, sont invisibles pour l’œil humain ! L'image de gauche montre le lézard fossilisé retrouvé dans la formation de la Green River (États-Unis). Lorsque les chercheurs ont envoyé des rayons X sur le fossile de peau de lézard, ils ont découvert des taches avec des concentrations élevées de phosphore (points blancs, en haut à droite) qu'ils interprètent comme les vestiges chimiques de dents (les dents des deux mâchoires sont présentées respectivement en rouge et en bleu, en bas à droite). Edwards et al., Applied Physics A: Materials Science & Processing Les dents du lézard révélées aux rayons X La longueur d’onde des rayons X varie entre 5 pm (un picomètre, pm, vaut 10-12 m) et 10 nm. À certaines longueurs d’onde, les rayons X provoquent la fluorescence du soufre et du cuivre, et révèlent ainsi les détails des restes de la peau avec un degré de détail incroyable. Mais à une autre longueur d’onde, le phosphore rougeoie, révélant alors une certaine quantité de taches dans la tête du lézard. Leur arrangement a incité les chercheurs à interpréter ces traces de phosphore comme les restes chimiques des dents de l’animal. Leurs résultats sont décrits dans un article de la revue Applied Physics A: Materials Science & Processing. Ce lézard fossilisé de 50 millions d'années a été découvert dans les années 1980. C’est l’un des deux seuls exemples connus de peau de reptile déterrée à la formation de la Green River dans l’ouest des États-Unis. C’est une couche datant de l’Éocène qui résulte de dépôts sédimentaires dans un groupe de lacs de montagnes. La formation de la Green River est connue pour sa richesse en poissons fossiles extrêmement bien conservés. L’état de conservation suggère que la carcasse du reptile, lavée par l’eau, aurait rapidement fini au fond du lac. La faible oxygénation de ce milieu expliquerait la conservation de la peau. Les eaux étaient semble-t-il très acides, puisque les os se sont rapidement dissous. S’il reste des traces de dents, c’est parce que l’émail est peu concentré en matière organique. Cette découverte pourrait bien révolutionner les recherches en paléontologie. Il y a quantité de fossiles encore mieux préservés que celui-ci, pour lesquelles on ne soupçonnait pas jusqu’alors la présence de squelette. Pour Gregory Erickson, paléontologue à la Florida State University (Tallahassee, États-Unis), « cette technique demandera aux paléontologues de réviser un grand nombre de fossiles ! Qui sait à côté de quoi nous sommes passés durant les 150 premières années de la paléontologie ? » Source
  6. Pour un court laps de temps non. Par contre, si ça dure durant des mois...
  7. Ne pas consommer de viande de tortue au réveillon ! L’Info de l’île de La Réunion du 27 décembre 2012 rapporte « 3 morts suite à une intoxication alimentaire aux Comores » « Plusieurs cas d’intoxication alimentaire à la viande de tortue ont été signalés à Ndrondroni, dans le Sud de Comores depuis samedi dernier. Les autorités locales annoncent 3 décès et plus d’une trentaine d’hospitalisations. Les viandes de tortue marine ont commencé à faire des ravages le samedi 22 Décembre. Ces cas d’intoxication alimentaire collective font suite à la consommation de viande de tortue marine, très prisée dans la localité de Mwali. A entendre certaine source, comme le relate le journal Al Watwan, il s’agirait d’une tortue de sexe mâle qui « ne serait pas du tout comestible ». Depuis des années, les autorités comoriennes ont déjà décrété l’interdiction totale de consommation de viande de tortue et des œufs. » Source
  8. CHATILLON Sortie de route à cause... d'une araignée Hier, dans l'après midi un automobiliste a fait une sortie de route spectaculaire, mais finalement sans gravité, route de Saint-Flovier. Cause de l'accident : une araignée. En effet la passagère du véhicule ayant repéré dans l'habitacle une « énorme araignée », a soudainement décidé de l'écraser sur le plafond de la voiture. L'infortunée araignée a succombé et est tombée sur le conducteur. Surpris ou épouvanté, on ne sait pas, celui-ci a perdu le contrôle de sa voiture et finit sa course dans le fossé. Appelés sur les lieux de l'accident, les secours, pompiers et gendarmes ont constaté qu'il n'y avait aucun dégât. Sauf pour l'araignée. Source
  9. Découvrir la biodiversité à Besançon En famille Inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco, la citadelle de Besançon, construite au XVIIe siècle par Vauban, abrite un muséum où l’on peut admirer la diversité du monde animal. « Une mygale, une mygale ! Regardez, elle est là, elle est horrible ! », claironne un garçonnet d’à peine 10 ans. Aussitôt, un groupe d’enfants accourt et s’agglutine devant la paroi du vivarium. À l’intérieur, une araignée se laisse admirer placidement par les jeunes curieux qui piaillent, excités par la découverte de la ténébreuse bestiole. En retrait, deux mères de famille font la grimace. « Maman, tu as peur ? », interroge une petite fille en prenant sa mère par la main. Difficile de rester de marbre dans le plus grand insectarium de France qu’héberge la citadelle de Besançon. Passé les mygales et autres arachnides, on y découvre une faune étrange, fourmis rouges, termites, criquets, phasmes, cétoines, blattes… DES MILLIERS D’INSECTES ET AUTRES ARTHROPODES Au total, des milliers d’insectes et autres arthropodes – près de 100 espèces – sont présentés dans des vivariums. Passé certaines idées reçues, on ne peut que s’émerveiller devant la diversité et les couleurs éclatantes de certaines variétés à la carapace lustrée qui ressemblent à de vrais bijoux. À quelques pas de là, un groupe d’enfants s’amuse à glisser la tête dans une bulle transparente aménagée au milieu d’une fourmilière. « Regardez, je suis une fourmi géante ! », s’amuse une fillette. Une autre s’extasie devant une minuscule et surprenante grenouille bleue, prédateur d’insectes, « on dirait une grenouille schtroumpfe ! ». L’UNE DES PLUS BELLES CITADELLES FRANÇAISES Moyennement attiré par les petites bêtes ? La citadelle de Besançon, premier site touristique comtois avec près de 260 000 visiteurs par an, ne manque pas d’offres alternatives. Le lieu en lui-même justifie la visite. L’histoire de cette forteresse est intimement liée à celle de son architecte, Vauban. Cette place forte militaire, qui surplombe le Doubs, est inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco depuis juillet 2008. Considérée comme l’une des plus belles citadelles françaises, elle abrite derrière ses murailles le Muséum de Besançon, où se côtoient, présentées au sein de cinq espaces, d’innombrables espèces animales. On peut les admirer dans le jardin zoologique, l’aquarium, le noctarium et le parcours de l’évolution. DU MULOT DES CHAMPS AU TIGRE DE SIBÉRIE La présence animale s’étend du mulot des champs au tigre de Sibérie, en passant par l’écrevisse et l’apron du Rhône ! Largement suffisant pour y passer une journée entière. D’autant que ce muséum d’histoire naturelle dépoussière l’image que l’on pourrait avoir d’un tel lieu, grâce à une présentation inventive. « J’ai beaucoup aimé les scorpions, les mygales, mais aussi le bassin des poissons placé à l’extérieur », raconte Benjamin, 10 ans. « Cet été, on avait le droit de plonger la main dans le bassin et de les toucher. C’est très doux, un poisson ! Un animateur est venu et on les a nourris. Ils se sont tous précipités vers moi ! » Les familles urbaines avec de très jeunes enfants apprécient aussi la « p’tite ferme », espace peuplé d’animaux domestiques de petite taille parmi lesquels on circule en toute liberté, et qui arrachent des cris émerveillés aux plus petits, ravis de découvrir une poule, une chèvre naine et un dindon « pour de vrai ». OUISTITIS, TAMARINS, SINGES HURLEURS Dans le jardin zoologique, les plus grands – notamment les adolescents – plébiscitent le secteur des primates, qui abrite plus de vingt espèces – ouistitis, tamarins, singes hurleurs ou gibbons aux longs bras – dont le faciès et les acrobaties arrachent les rires et commentaires les plus féroces, y compris aux plus réfractaires aux sorties en famille… Quant au noctarium, il mettra à l’épreuve les nerfs de ceux qui frissonnent à la simple vue d’une souris. L’expérience peut cependant les réconcilier avec le monde des rongeurs. Dans un local plongé dans la pénombre, après quelques minutes d’adaptation à l’obscurité, on découvre, dans des décors qui leur sont familiers, la vie nocturne des petits mammifères des villes (rats d’égouts, rats noirs…) et des champs (campagnols, grand hamster…). Les enfants peuvent utiliser leurs cinq sens et comparer leurs facultés à celles des animaux qu’ils découvrent, grâce à des activités qui jalonnent le parcours. Une façon intelligente pour tous d’apprivoiser ses frayeurs. ------------------------------------ Comment s’y rendre La citadelle est ouverte sept jours sur sept, sauf le 25 décembre et durant la première quinzaine de janvier. Les musées sont fermés les mardis, de la Toussaint à Pâques, sauf durant les vacances scolaires. Un billet unique donne accès à tous les musées, expositions temporaires, espaces animaliers, etc. Adulte : 9,20 €. Réduit : 7,70 €. Enfant (4-17 ans) 6,10 €. Moins de 4 ans : gratuit. Possibilité de restauration sur place. Visiter la citadelle bisontine peut également être prétexte à un week-end prolongé ou à un séjour dans la capitale franc-comtoise, connue comme la première ville verte de France. Pour plus de renseignements : www.besancon-tourisme.com MARIE AUFFRET-PERICONE Source
  10. Responsables du parc volent des œufs alligator Un spectaculaire mais non moins dangereux rituel a eu lieu à l'Australian Reptile Parc à Somersby. Comme chaque année le parc a commencé son raid des nids, au cours duquel au moins trois gardiens du zoo font de leur mieux pour maîtriser un alligator femelle pendant que ses oeufs lui sont dérobés afin d'être utilisés dans un programme de d'élevage. Tim Faulkner, directeur des opérations de l' Australian Reptile Park : "Il ya un certain nombre de raisons qui nous poussent à enlever les oeufs. L'une est que les alligators sont des cannibales. D'autres crocodiles pourraient les manger." Cet infanticide peut élever le taux de mortalité des nouveau-nés jusqu'à 50% dans la nature, en dépit des efforts de la femelle pour défendre son nid. Tim Faulkner, directeur des opérations de l' Australian Reptile Park : "Les femelles sont très fortes, elles utilisent toutes leurs forces pour défendre leurs nids." Les experts de la faune ont dû retenir un grand mâle qui a émergé de la lagune alors que la collecte des œufs était en cours, il n'a pas apprécié ce geste et s'est jeter brusquement vers la caméra après avoir été libéré. Au total, 15 oeufs ont été prélevés et ils devraient éclore après 70 jours d'incubation dans un milieu sûr et chaleureux. Source
  11. Elle confond un serpent avec…une guirlande Quelques jours avant Noël 2011, une vieille dame appelle les sapeurs-pompiers de Paris en composant le 112, rapporte la préfecture de Police dans un communiqué relatant des petites anecdotes des fêtes de fin d'année : "je vous appelle, il y a un serpent dans mon salon…". Avant d’envoyer l’équipe cynotechnique chargée de récupérer les animaux dangereux, l’opérateur du centre opérationnel de la brigade de sapeurs-pompiers de Paris, dans le 17e arrondissement, demande quelques précisions : "madame, quelles sont la taille et la couleur de ce serpent ? Est-ce qu’il bouge ?.. ". La vieille dame de répondre : "je ne le distingue pas très bien, il me semble qu’il est jaune, il ne bouge pas, je suis incapable de vous donner sa taille...". A force de questions, il s’est avéré que ledit serpent n’était qu’une guirlande oubliée à terre par la fille de la vieille dame alors qu’elle décorait le sapin… Si vous êtes mordu de décoration faites attention qu’il ne vous pousse pas de crochets venimeux … Source
  12. Je me reconnais à la même âge sauf que nous n'avons rien de dangereux par ici
  13. Programme Fréquence Grenouille 2013 Description : OISE : Du jeudi 14 février au lundi 15 avril / Vieux-Moulin Ramassage des amphibiens aux Etangs Saint Pierre En collaboration avec l'ONF et en compagnie d'un autre bénévole référent, vous contribuerez à la sauvegarde des amphibiens aux Etangs de Saint-Pierre en forêt de Compiègne Rendez-vous à 8h30 au parking du Pavillon Eugénie Prévoir des Bottes Organisé par l’Office national des Forêts, dans le cadre de Fréquence Grenouille Inscription obligatoire auprès de Julien LEFEVRE au 06.21.50.79.69. Samedi 16 février et samedi 2 mars/ Choisy-au-Bac A la découverte des amphibiens Venez découvrir les amphibiens tout en participant à leur protection au niveau d'un barrage temporaire. Les sorties s'effectuent en fonction de la météo, en cas de gelées ou de températures inférieures à 8°C, les animaux ne sortent pas. Les sorties seront donc annulées. Prévoir des bottes Organisé par Picardie Nature dans le cadre de Fréquence Grenouille Rendez-vous à 9h devant l’ancienne Usine Continental Réservation conseillée, contactez Picardie Nature au 03.62.72.22.50 Vendredi 8 et samedi 16 mars / Chantilly A la découverte des grenouilles, crapauds et autres animaux nocturnes … Le Parc naturel régional Oise-Pays de France vous propose une sortie sur les traces des animaux nocturnes et plus particulièrement des amphibiens. La balade en forêt de Chantilly en direction des étangs de Comelles sera l’occasion d’observer les crapauds et les grenouilles lors de leur migration nocturne. Prévoir des chaussures de marche et une lampe torche Rendez-vous à 19h30 au parking de la table de Mongrésin (forêt de Chantilly) Réservation conseillée, contactez le Parc Naturel Régional Oise Pays-de-France au 03.44.63.65.65 Samedi 23 mars/ Buicourt A la découverte de la mare naturelle Vous pourrez participer à une sortie de terrain pour découvrir la richesse des zones humides naturelles, leur formation, leurs rôles, leurs habitants… L’après-midi se terminera par le goûter maison en toute convivialité... Prévoir des bottes Organisé par l’association Corrélation, dans le cadre de Fréquence Grenouille Rendez-vous à 14h au gîte du Pâty Réservation conseillée, contactez Michél Méline au 03.44.82.38.97 ou michelcorrelation@yahoo.fr Mercredi 17 avril, 24 avril, 15 mai, 22 mai, 29 mai/ Parc Chédeville, Mogneville Sortie nature : Animation " Fréquence Grenouille" Venez participer à une animation d'une petite heure autour des amphibiens de la mare pédagogique Prévoir des bottes Organisé par la Communauté de communes du Val Dorée, dans le cadre de Fréquence Grenouille Rendez-vous à 14h au Parc Chédeville, 92 rue de la Fontaine Réservation conseillée auprès de Céline HURE AU 03.44.24.90.85 AISNE : Samedi 16 février/ Beuvardes Sauvons les amphibiens Depuis 2008 est installé à Beuvardes, un barrage temporaire de mi-février à mi-avril pour permettre aux amphibiens de rejoindre leur lieu de reproduction sans se faire écrasé. Venez nous rejoindre pour installer ce dispositif ou relever le barrage temporaire! Prévoir des bottes, Gilet jaune et son pique-nique Organisé avec la commune de Beuvardes et le propriétaire privé, dans le cadre de Fréquence Grenouille Rendez-vous à 10h à la mairie Inscription obligatoire auprès de Clémence LAMBERT au 03.22.89.84.29/06.07.30.41.61. ou c.lambert@conservatoirepicardie.org Du jeudi 28 février au mercredi 10 avril / Corcy et Fleury Installation ou relevé du crapauduc Aux Etangs de la Ramée, en plein cœur de la forêt de Retz, venez découvrir et protéger les amphibiens lors de leur migration de printemps Prévoir des bottes Organisé par l’Office national des Forêts, dans le cadre de Fréquence Grenouille Rendez-vous à 9h au parking de l’Etang de la Grande Ramée Inscription obligatoire auprès de Jérôme Jaminon au 03.23.96.00.95. Samedi 23 mars/ Corcy et Fleury Sortie nature aux Etangs de la Ramée Encadré par un naturaliste de l'ONF, venez découvrir l'univers des amphibiens et la flore vernale dans un site exceptionnel, niché au cœur de la forêt domaniale de RETZ Prévoir des bottes Organisé par l’Office national des Forêts, dans le cadre de Fréquence Grenouille Rendez-vous à 14h au parking de l’Etang de la Grande Ramée Inscription obligatoire auprès de Jérôme Jaminon au 03.23.96.00.95. Vendredi 29 mars / Merlieux-et-Fouquerolles Quel est cet amphibien ? Venez découvrir lors d'une petite conférence en salle les différentes espèces d'amphibiens, suite à cette présentation, une balade crépusculaire vous sera proposée. Organisé en collaboration avec Géodomia et le CPIE Vallée de Somme, dans le cadre de Fréquence Grenouille Prévoir des bottes Rendez-vous à 20h à Géodomia Inscription obligatoire, contactez Géodomia au 03.23.80.32.20. Samedi 6 avril / Vaux Andigny Découverte de la biodiversité d'une mare et de carrières de sables Que trouve-t-on dans une mare ? Des batraciens, des mollusques, des insectes... ? Comment reconnaître les différentes familles et espèces d’amphibiens (photographies, fiches pédagogiques…) ? L’animation se déroulera sur un des sites les plus riches en amphibiens de cette partie de la Thiérache. Elle débutera autour d’une mare prairiale au sein de l’exploitation agricole de Monsieur Frédéric LEVREZ et se poursuivra avec l’exploration de la zone humide en bordure de forêt ou de la « Sablière » pour rechercher des rainettes et des crapauds Prévoir des bottes Organisé par la Communauté de communes de la Thierache d’Aumale et le CPIE des Pays de l’Aisne, dans le cadre de Fréquence Grenouille Rendez-vous à 14h au Hameau d'Andigny les Fermes, sur la place Réservation conseillée auprès de Virginie Puche au 03.65.65.60.43 ou v.puchetta@orange.fr Samedi 6 avril / Rouvroy Les Batraciens des Marais d'Isle Après une petite conférence de présentation, dès la nuit tombée nous irons explorer les rives des marais d'Isle pour dénombrer grenouilles, tritons et autres crapauds. Prévoir des bottes et une lampe torche Organisé par la Communauté d’agglomération de Saint Quentin, dans le cadre de Fréquence Grenouille Rendez-vous à 20h à la salle des associations - rue Louis Planchon Réservation conseillée auprès de la Communauté d’agglomération de Saint Quentin au 03.23.05.06.50 SOMME : Dimanche 17 février/ Loeuilly Chantier d'installation de barrage temporaire pour amphibiens Avant le moment de la migration des amphibiens (crapauds, tritons...) à la fin de l'hiver, participez à l'installation d'un barrage temporaire pour éviter l'écrasement des animaux sur les routes pendant leur voyage vers leur lieu de reproduction Prévoir des bottes Organisé par Picardie Nature, dans le cadre de Fréquence Grenouille Rendez-vous à 9h devant l’ancienne gare de Loeuilly Réservation conseillée, contactez Picardie Nature au 03.62.72.22.50 Samedi 2 mars / Blangy-Tronville Entretien de fossé et prairie naturelle Venez nous aider à arracher l'Elodée du canada, qui envahit le marais et entretenir les prairies humides naturelles. Prévoir des bottes et son pique-nique Organisé avec la commune de Blangy Tronville et Concordia, dans le cadre de Fréquence Grenouille Rendez-vous à 9h à la mairie Gouter offert par la BIOCOOP Berche du bio Dury Inscription obligatoire auprès de Clémence LAMBERT au 03.22.89.84.29/06.07.30.41.61. ou c.lambert@conservatoirepicardie.org Dimanche 10 mars/ Loeuilly A la découverte des amphibiens Venez découvrir les amphibiens tout en participant à leur protection au niveau d'un barrage temporaire. Les sorties s'effectuent en fonction de la météo, en cas de gelées ou de températures inférieures à 8°C, les animaux ne sortent pas. Les sorties seront donc annulées. Prévoir des bottes Organisé par Picardie Nature, dans le cadre de Fréquence Grenouille Rendez-vous à 9h devant l’ancienne gare de Loeuilly Réservation conseillée, contactez Picardie Nature au 03.62.72.22.50 Samedi 16 mars et Mardi 19 mars/ Loeuilly A la découverte des amphibiens Venez découvrir les amphibiens tout en participant à leur protection au niveau d'un barrage temporaire. Les sorties s'effectuent en fonction de la météo, en cas de gelées ou de températures inférieures à 8°C, les animaux ne sortent pas. Les sorties seront donc annulées. Prévoir des bottes Organisé par Picardie Nature, dans le cadre de Fréquence Grenouille Rendez-vous à 21h devant l’ancienne gare de Loeuilly Réservation conseillée, contactez Picardie Nature au 03.62.72.22.50 Vendredi 12 avril / La Chaussée Tirancourt Les amphibiens au crépuscule Venez observer les amphibiens et écouter leur chant mélodieux, au crépuscule… Prévoir des bottes et une lampe torche Organisé avec la commune de la Chaussée Tirancourt et Picardie Nature, dans le cadre de Fréquence Grenouille Rendez-vous à 20h30 au parking de Samara Réservation conseillée auprès de Clémence LAMBERT au 03.22.89.84.29/06.07.30.41.61. ou c.lambert@conservatoirepicardie.org Samedi 20 avril et Dimanche 21 avril / Pont-et-Marais(76) et Long(80) Tous au marais A Long, venez préserver le marais et éviter la prolifération du saule, en coupant les rejets. Le samedi aura lieu à Pont-et-Marais (76), le chantier de coupe d'aulnes. Il est possible de participer aux deux jours de chantiers ou uniquement au dimanche. Prévoir des bottes Organisé avec les communes de Pont-et-Marais, Long et l’association Les Blongios la nature en chantier, le Conservatoire d’espaces naturels de Haute Normandie, dans le cadre de Fréquence Grenouille et du Festival de l’Oiseau Pour connaitre le lieu de rendez-vous des deux jours, inscription obligatoire auprès de Jean François DUFAUX (CEN Haute Normandie) au 02.35.65.47.15/06.86.57.15.84. Si participation unique au chantier du dimanche, rendez-vous à 9h30 à la mairie, inscription obligatoire pour le barbecue auprès de Clémence LAMBERT au 03.22.89.84.29/06.07.30.41.61 ou c.lambert@conservatoirepicardie.org Samedi 27 avril / Cayeux-sur-Mer Découverte crépusculaire des amphibiens du Hâble d'Ault Partez à la découverte crépusculaire des crapauds et grenouilles peuplant le Hâble d'Ault la nuit. Venez observer le fascinant Crapaud Calamite et écouter la sonore Rainette Verte ! Prévoir des bottes et une lampe torche Organisé par le CPIE Vallée de Somme, dans le cadre de Fréquence Grenouille Rendez-vous à 20h au Boulevard du Général Sizaire, à côté de l'usine des galets Réservation conseillée auprès du CPIE Vallée de Somme au 03.22.33.24.27 Source
  14. Nom scientifique : Rhinella marina Nom français : Crapaud buffle ou crapaud marin Nom anglais : Cane toad, giant neotropical toad ou marine toad Origine : Amérique centrale et Amérique du Sud, mais a été introduite sur diverses îles d'Océanie et des Caraïbes Biotope : Humide Température : 26-28°C Hygrométrie : 70 à 80% Moeurs : Terrestre et nocturne Taille adulte : 20 cm Longévité : Environ 10 ans. Nourriture : Insectes et rongeurs Photo emprunté au site http://travel.mongabay.com Le Crapaud buffle est un crapaud de grande taille. On observe que les femelles sont significativement plus grandes que les mâles, atteignant une taille moyenne de 10 à 15 cm. « Prinsen », un crapaud gardé comme animal domestique en Suède, est enregistré dans le livre Guinness des records comme le plus gros spécimen jamais rencontré. Il pesait alors 2,65 kg pour 38 cm de long, et 54 cm en extension. Les plus gros crapauds se rencontrent dans les zones où la population est la moins dense. Leur espérance de vie est de 10 à 15 ans à l'état sauvage, mais ils peuvent vivre beaucoup plus longtemps en captivité, et un spécimen a vécu durant 35 ans. L’espèce a été longtemps connu dans le genre Bufo. En 2007, le groupe Chaparro, Pramuk et Gluesenkamp ont réétudié le genre reclassant ainsi le crapaud buffle sous le genre Rhinella.
  15. Nom scientifique : Goniurosaurus lichtenfelderi Nom français : Gecko vietnamien des cavernes Nom anglais : Vietnamese cave gecko Origine : Viêt Nam, au Guangxi et à Hainan en Chine Biotope : Humide Température : 24 à 28°C Hygrométrie : 75 à 85% Moeurs : Terrestre et nocturne Taille adulte : Moyenne de 18 cm Longévité : environ 10 ans. Nourriture : Insectivore Cette espèce est nommée en l'honneur de Charles Lichtenfelder qui n’a rien à voir avec les reptiles mais qui était plutôt un architecte chef de service de première classe en Extrême-Orient. La sous-espèce Goniurosaurus lichtenfelderi hainanensis a été élevée au rang d'espèce. Goniurosaurus murphyi décrite en 1999 a été placé en synonymie avec Goniurosaurus lichtenfelderi par Grismer, 2000.
  16. Max|mum-leterrarium

    L'autotomie

    L’autotomie est la capacité qu’ont certains animaux de perdre une partie de leur corps volontairement. Comme le site parle de reptiles, je vais m’arrêter sur ce phénomène relié qu’aux reptiles. Il s’agit d’une stratégie de défense consistant à abandonner une partie non vitale de leur corps afin d’échapper à un prédateur. Généralement, on parle de la queue, mais on peut parler d’un membre ou même de la peau dans certains cas. La perte se produit soit lorsque la partie du corps est déjà prise par le prédateur, il s’agit alors de se libérer pour fuir, soit avant une attaque afin de créer une diversion. En général, le membre abandonné reste agité de mouvements réflexes, donnant une illusion de vie et occupant le prédateur durant que la victime prend la fuite. Le membre se sépare en général à des endroits pré-établis de l’anatomie de l’animal. Ce sont la plupart du temps des articulations de la queue ou des membres. Une pression assez forte pour exciter des récepteurs tégumentaires. La rupture résulte d’une contraction musculaire rapide qui brise l’organe en une zone de moindre résistance. La queue du lézard est traversée à intervalles réguliers par des « plan d’autotomie », des septums concaves vers l’avant coupant toutes les parties molles et le milieu des vertèbres. Devant chaque « plan d’autotomie », l’artère caudale porte un sphincter et la veine caudale présente une constriction, ce qui évite la perte de fluides corporels, en particulier le sang. Chez certaines espèces de lézards, l’autotomie est suivie de régénération. Cette capacité n’est toutefois pas toujours parfaite et les membres repoussés sont souvent inférieurs aux originaux, couleurs différentes, taille réduite, mobilité plus faible, queue dédoublée, etc... De plus, la capacité à repousser se dégrade avec le nombre de repousses. Dans certains cas, la régénération détruit les conditions anatomiques locales dont dépend l’autotomie, elle ne se produit alors qu’une fois.
  17. Deux nouvelles espèces de lézards multicolores découverts en Australie Publiant leurs travaux dans la revue Zootaxa, des chercheurs australiens ont identifié dans leur pays deux nouvelles espèces de scinques, un groupe de petits lézards très diversifié. Des biologistes ont découvert en Australie deux nouvelles espèces de lézards du groupe des scinques, qu’ils ont baptisées Carlia decora et Carlia rubigo et qui se remarquent grâce aux magnifiques couleurs qu'elles arborent. "Les deux espèces appartiennent au genre Carlia, un groupe diversifié de scinques (des petits lézards) d’Australie tropicale. Les noms d'espèces font référence aux couleurs vives arborées par les mâles reproducteurs de chaque espèce : "decora" signifie "magnifique" en latin, car les mâles sont marqués d'orange vif et de bleu, tandis que "rubigo" se traduit par "rouille", en référence à leur couleur rouille", a déclaré le Dr Conrad Hoskin, de l'école de biologie marine et tropicale de l'Université James Cook, co-auteur de l’étude. Le premier a été trouvé dans les forêts de la région de Townsville. "C’est l'un des scinques les plus communs des jardins de Townsville, et il devrait être familier à de nombreux résidents de cette ville. Le second se trouve dans les zones arides de l'est et du centre du Queensland, préférant les forêts ouvertes et les zones rocheuses. Il ne vit pas à Townsville même, mais sur les plages rocheuses près de cette localité", a précisé le Dr Hoskin cité par Sci-News. Dans cette étude, les scientifiques ont également ramené au rang d’espèce un troisième scinque, Carlia inconnexa, considéré jusqu’alors comme une simple sous-espèce rattachée à une espèce déjà connue. "inconnexa" signifie "séparé", en référence à l’isolement géographique de l’animal, qui vit sur des îles. Source
  18. 10 choses que vous ignorez à propos du caméléon ! En effet, nous connaissons très peu ce petit lézard multicolore qu’est le caméléon. Saviez-vous que les plus petits d’entre eux ne sont pas plus large que l’ongle de votre pouce ? Arrêtons-nous sur dix caractéristiques étonnantes, en image bien sur ! Plus de la moitié des espèces de caméléons vivent à Madagascar Avec 59 espèces vivant exclusivement sur l’île, cela fait environ 160 espèces dans le monde. On les trouve néanmoins de l’Afrique à l’Europe du Nord, ainsi qu’à travers l’Asie du sud et le Sri Lanka. L’ Un pouvoir qui ne manque pas de couleur Nous connaissons tous les caméléons de par la faculté de certaines espèces à changer rapidement la couleur de leur peau (moins de 20 secondes !). Cette capacité est due à la présence de cellules de peau un peu particulières dotées de pigments : les chromatophores. Il en existe par ailleurs quatre types : des noires, des bleues, rouges et des jaunes. Le changement de couleur s’effectue sous l’action d’hormones qui activent ou non certains pigments. Notez que contrairement à certaines idées reçues, le caméléon n’utiliserait pas cette fonction principalement pour se camoufler, mais pour communiquer avec ses congénères et notamment exprimer ses émotions. Le camouflage n’interviendrait que de manière secondaire. Le caméléon peut voir à 360° et dans deux directions différentes Parmi les reptiles, ils possèdent la vision la plus précise. Ils n’ont pas de paupières (enfin si, mais elles sont jointes) et l’orifice est juste assez large pour la pupille. Leurs yeux peuvent tourner dans toutes les directions, de manière indépendante, ce qui leur permet de se concentrer sur plusieurs objets à la fois. Évidemment lorsqu’une proie est repérée, leurs deux yeux se focalisent dessus, offrant une précision stéréoscopique et de profondeur hors norme. Ainsi, les caméléons peuvent repérer les plus petits insectes jusqu’à 10 mètres de distance ! Une taille des plus variées Avec une taille maximale de 15 millimètres pour le mâle Brookesia micra (un des plus petits reptiles au monde) à 68,5 centimètres pour le mâle Furcifer oustaleti. Leur langue proactile mesure jusqu’à deux fois leur corps ! Vous imaginez si on disposait d’un truc pareil ?! Elle leur permet entre autres de capturer leurs proies à distance, avec une grande précision, car le bout de celle-ci est couverte d’un mucus gluant… Il a été récemment découvert que les plus petits caméléons disposent d’une langue proportionnellement plus grosse que leur homologues plus grands. Cette fameuse langue permet au caméléon de capturer ses proies en 0.07 secondes, avec une accélération supérieure à 41G ! Une vraie boule de muscles… Happy feet Les pattes du caméléons sont évidemment hautement étudiées pour les déplacements en milieu arboricole. Sur chaque patte, on trouve cinq doigts regroupés en deux sections aplaties : une de deux doigts et une de trois doigts. Du coup, leurs pattes ressemblent un peu à des pinces, sans oublier les griffes au bout de chaque doigt, pour grimper quasiment partout ! Les mâles disposent de motifs plus élaborés Et oui mesdames, les mâles sont généralement les plus beaux parmi les caméléons. Ornementations sur le visage ou la tête, voire le corps entier, crêtes, cornes, proéminences nasales… Les variantes ne manquent pas. Ils sont presque sourds Comme pour les serpents, les caméléons ne sont pas capables d’entendre des hautes et moyennes fréquences sonores car ils n’ont ni oreilles, ni tympans. Toutefois, ils peuvent détecter des fréquences allant de 200 à 600 Hertz (30 à 20 000Hz pour les meilleures oreilles humaines). Mais voient plus de couleurs que nous En plus du spectre visible pour l’Homme, le caméléon perçoit les ultraviolets. Leur exposition aux UV joue d’ailleurs sur leur état d’esprit. Un caméléon sous UV sera plus enclin à se prélasser, se nourrir ou se reproduire. Le caméléon américain n’est pas un caméléon Anolis carolinensis n’est pas un caméléon, mais un lézard de la famille des iguanes présent dans le sud-est des USA et capable de changer de couleur. D’où la confusion. Alors, plus étonnant comme bestiole non ? Source
  19. Canet-en-Roussillon. Qui a vu le crocodile ? Deux fonctionnaires de la direction de la chasse et de la faune sauvage planchent sur la présence possible d'un crocodile d'âge adulte dans les eaux du réseau fluvial de Canet-en-Roussillon. Deux élèves du lycée Rosa Luxembourg affirment en effet avoir vu le fameux saurien, large et bien proportionné, d'une longueur de 2 mètres, «avec une grande gueule» sur l'une des berges d'un bassin de rétention jouxtant une zone commerciale. Ils avaient réussi à filmer le crocodile nageant dans les eaux troubles pour étayer leurs observations. Mais la petite vidéo prise avec un smartphone pour établir la vérité et éblouir les camarades de la cour de récréation, a été jugée peu convaincante par les internautes comme par les gendarmes. Surtout les spécialistes de la faune sauvage ont relevé une température de l'eau à 6°, qui théoriquement interdit la survie d'un saurien. Les lycéens ont toutefois maintenu leur point de vue. Cinq ans plus tôt, les habitants de Canet avaient une première fois été confrontés à une rumeur de crocodile. Un habitant disait avoir vu, en pleine nuit, à peu près dans le même secteur, un petit crocodile. Est-ce le même qui a grossi ? Mystère. Source
  20. Pour tromper ses prédateurs, cette araignée fabrique... une fausse araignée Dans l'Amazonie péruvienne, des chercheurs ont découvert une nouvelle espèce d'araignée appartenant au genre Cyclosa. Elle ne mesure pas plus de 5 millimètres mais montre une stratégie inattendue pour éloigner les prédateurs : elle fabrique une fausse araignée. N'ayez pas peur, ceci n'est pas une vraie araignée ! C'est juste un leurre fabriqué par une araignée qui elle, est bien réelle. C'est à proximité du Tambopata Research Center en pleine Amazonie péruvienne que l'étonnante découverte a été faite. En se promenant dans la forêt, des chercheurs sont tombés sur cet arachnide de taille moyenne fixé sur une toile. Au vu de son aspect, ils ont alors pensé qu'il était peut-être mort et s'était desséché là. Mais en s'approchant, ils ont constaté que celui-ci bougeait un petit peu et était donc bien vivant. Du moins c'est ce qu'ils ont cru jusqu'à qu'ils s'approchent encore davantage. Là, ils ont vu que l'araignée était tout sauf réelle : il s'agissait en fait d'un corps fabriqué à l'aide de morceaux de feuilles, de débris et d'insectes morts. Qui avait bien pu construire ce leurre ? Les chercheurs n'ont pas tardé à le découvrir. Tout proche de la fausse araignée, ils ont trouvé l'auteur de la construction : une véritable araignée mesurant pas plus de 5 millimètres. En l'observant et en comparant son aspect avec d'autres, ils ont alors conclu qu'ils étaient en présence d'une espèce encore inconnue appartenant au genre Cyclosa. Les araignées de ce genre sont déjà connues pour utiliser des débris dans leur toile dans le but d'attirer leurs proies voire de tromper tout ce qui pourrait essayer de les attaquer. Néanmoins, le talent de ce petit arachnide n'avait encore jamais été observé. En effet, la fausse araignée fabriquée est d'une fidélité et d'une complexité inédite : avec ses pattes, elle ressemble vraiment à une plus grande version de la nouvelle espèce découverte. Prochaine étape : décrire la nouvelle espèce "Après avoir interrogé d'autres experts, je n'ai pas semblé trouver d'autres exemples d'un animal créant une plus grande version de lui-même pour échapper à la prédation, rendant cette espèce non seulement intéressante pour les taxonomistes qui vont nommer la nouvelle espèce mais aussi pour ceux qui étudient le comportement animal", explique le biologiste Phil Torres sur le blog de Perunature.com. Après trois jours de recherche, ce scientifique et ses collègues ont trouvé pas moins de 25 araignées de cette espèce dans la zone entourant le Tambopata Research Center, mais pas au-delà. La prochaine étape consiste donc à en savoir plus ces petites araignées, leur distribution, leurs caractéristiques ainsi que leur comportement. Ces facteurs seront ensuite comparés à ceux des autres spécimens du même genre pour savoir en quoi celles-ci sont différentes. Ce n'est alors qu'une fois l'araignée décrite et les conclusions publiées qu'elle pourra recevoir son nom.
  21. Quand une araignée danse la rumba BUZZ — Vous vous souvenez de la chorégraphie délirante du film «The Mask», sur l’air de «Sancho de Cuba». Voici la version à multiples pattes! «Voici ce pour quoi Internet a été inventé». Le commentaire d’un internaute, sous la vidéo de cette araignée «cubaine» ne manque pas de pertinence. Un utilisateur de YouTube passionné d’effets spéciaux s’est amusé à faire danser, l’espace de vingt secondes, une petite bête poilue au son de «Cuban Pete», de Desi Arnaz, la chanson rendue immortelle par une célèbre scène délirante du film «The Mask». Le créateur de la vidéo a gardé cette pépite rien que pour lui durant des mois, jusqu’à ce que cette vidéo finisse par faire le buzz sur reddit et autres sites spécialisés. Et réjouissons-nous, depuis, certains demandent désormais une version d’une heure… (Le Matin) Source
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