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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Max|mum-leterrarium

    hyper sympa

    Ton terrarium me semble un peu petit pour accueillir ce genre de lézard non?
  2. Je vois qu'un choix avec ces réponses là, Opheodrys.
  3. Max|mum-leterrarium

    mon ami

    /t1272-aide-de-choix-de-serpents
  4. Effevctivement mais dans ce cas ci on parlait de nourrir un serpent avec des souris
  5. Le vivant est un autre problème que ça apporte bien souvent. Si le serpent n'a pas faim, la souris ou le rat peut mordre le serpent, le blesser, même gravement qui peut occasionner des infections et même tuer le serpent.
  6. Max|mum-leterrarium

    hyper sympa

    Ça va être pour mettre quoi?
  7. La cours des petites créances peut t'aider pour 50$ environ
  8. Max|mum-leterrarium

    mon ami

    Effectivement, ça existe! Pour mieux l'aider, voici un questionnaire.
  9. VENDRE LA PEAU DU CROCODILE DE MORELET POUR MIEUX LE SAUVER Cette ferme élève des crocodile de Morelet au Mexique, elle participe à la préservation de l'espèce dans son milieu naturel. En effet, le Mexique interdit l'exploitation des spécimens sauvages à des fins commerciales, afin de faciliter le commerce des peaux en provenance de fermes d’élevage. Source
  10. Tortue de Floride : le ninja des eaux douces Poursuite aujourd'hui de notre série sur les espèces invasives dans le département. Aujourd'hui, les tortues de Floride dont les lâchers dans la nature s'avère catastrophiques. Elles sont mignonnes ces tortues «toutirikiki» (mais susceptibles de devenir «maousse costaud») prenant un bain de soleil tout ce qu'il y a d'artificiel, dans l'aquarium ou le vivarium de service. Sauf que ce qui peut être vrai aujourd'hui ne l'est pas forcément demain ! Car en grandissant, elles occupent de plus en plus de place, doivent donc changer de local et surtout ne bénéficient plus de cette sympathie qu'inspire les miniatures. «Bébé ninja» a fait place à «Tortue ninja» ne boxant pas tout à fait dans la même catégorie ! Mise en liberté catastrophique Lassé de ces ex-charmantes bestioles, le propriétaire sensible, loin de vouloir les tuer, préfère «les rendre à la nature» en les lâchant dans le premier milieu aquatique venu, généralement un lac ou un étang, le canal latéral voire des cours d'eau lents où «Bouton» et «Pression» pourront couler une existence heureuse. En oubliant la faculté d'adaptation de ce type d'espèce aussi bien au plan alimentaire que reproducteur tout en étant peu regardant sur le contexte environnemental dans lequel elles baignent désormais. D'où une occupation de l'espace optimisée, une appropriation des places d'insolation (vitales pour les tortues aquatiques) comme des territoires de pontes. La catastrophe écologique commence à se dessiner car dans ce type de milieu vit généralement une petite tortue aquatique bien de chez nous, la cistude d'Europe pour laquelle un Plan national d'actions a été lancé par le ministère en charge de l'écologie. «Personne n'a vraiment idée, parmi nos décideurs, de l'importance de ces populations férales (revenues à l'état sauvage NDLR) ce qui ne fait qu'aggraver le problème. Or il suffit de se promener avec une paire de jumelles pour commencer à appréhender l'ampleur du problème qui d'ores et déjà se pose tout en affichant, chaque année davantage, une acuité insoupçonnée».Pour Nicolas Pinczon Du Sel, l'un des responsables du Pôle «inventaires et suivis faune» de la SEPANLOG «il serait temps de prendre les mesures qui s'imposent avant de se retrouver dans une impasse». Tryonix épineux Mais il y a encore pire en matière de mise en liberté de tortues aquatiques dites exogènes (qui n'appartiennent pas à notre faune) comme en témoigne l'aventure peu banale à laquelle s'est trouvé confronté voici quelques années un pêcheur venu sur les bords du Lot «faire l'ouverture au carnassier». Il retira, face à la plage, un Tryonix épineux, tortue aquatique américaine particulièrement agressive, de 8 kilogrammes des eaux de la rivière! L'émotion de sa vie : «Je croyais avoir ferré un brochet et un beau. Mais quand j'ai vu cet engin, je me suis demandé ce que cette tortue «foutait» (sic) là !». à quelques kilomètres en amont (plage de Clairac), ce fut une tortue serpentine qui fut retirée des eaux du Lot à l'épuisette. Une charmante bestiole capable d'exploser un stylo en fermant simplement sa gueule. Si vous avez un NAC (nom donné à ces «nouveaux animaux de compagnie») ne le lâchez jamais dans la nature au mieux vous le condamnez à mort (dans ce cas mieux vaut le faire euthanasier), au pire vous risquez de perturber de manière durable l'ensemble de notre patrimoine vivant. Source
  11. Tortue : "Lonesome George" n'était peut-être pas le dernier descendant de son espèce La tortue "Lonesome George" considérée comme dernier spécimen de son espèce a trouvé la mort cet été sans laisser d'héritier. Toutefois, son patrimoine génétique a été retrouvé dans d'autres espèces hybrides.
 Lorsque Lonesome George a disparu l'été dernier, il a emporté avec lui l’existence entière des Chelonoidis abingdonii, une des dix espèces de tortues géantes endémiques de l’archipel équatorien des îles Galapagos. En effet, Lonesome George, nommée d'après l'acteur américain George Gobel, était depuis 1972, l’hôte du Parc national de la région. Malgré toutes les initiatives visant à l’accoupler avec des femelles d’une sous-espèce génétiquement proche à la sienne, la tortue est morte à l’âge de cent ans sans laisser le moindre héritier. Elle est ainsi devenue un symbole de la lutte pour la protection et la conservation d’un écosystème fragile dont chacun est responsable. Toutefois, il semblerait que le destin des Chelonoidis abingdonii, rangés depuis peu au rang des organismes éteints, ait récemment connu un revirement de situation. Des chercheurs de l’Université de Yale affirment en effet avoir découvert de potentiels "descendants" de Lonesome George. Pour en arriver à une telle conclusion, l’équipe a analysé des échantillons d’ADN prélevés auprès d’une population de 1.667 tortues, située sur l’île Isabela de l’archipel dans la région du volcan Wolf. La région encore très primitive est, à bien des égards, encore très peu connue. Des potentiels descendants de Lonesome George Les résultats, publiés dans la revue Biological Conservation, mettent en évidence l’existence de dix-sept spécimens hybrides dont le patrimoine génétique serait l’héritage d’un ancêtre appartenant à l’espèce des Chelonoidis abingdonii. Parmi ceux-ci, trois sont des mâles, neuf sont des femelles et cinq sont des jeunes. La présence d’organismes juvéniles est ainsi un réel espoir pour les spécialistes qui soupçonnent la présence sur l’île d’un éventuel spécimen appartenant à part entière à l’espèce. "Les parents de certains adultes peuvent également être encore en vie aujourd'hui" assure Danielle Edwards, chercheur à l’Université de Yale. Ces spécimens de tortues géantes peuvent en effet vivre jusqu’à deux cent ans permettant ainsi la co-existence de plusieurs générations. La zone dans laquelle ont été identifiés les hybrides s’étend sur un rayon d’environ cinquante kilomètres. Selon les scientifiques, ce sont les courants océaniques qui auraient porté les Chelonoidis abingdonii à s’étendre au delà de leur région d’origine : l’île de Pinta. Encore plus probables, les navires de chasse et de guerre du 19e siècle auraient pu transporter avec leur équipage des tortues vivantes avant de les abandonner sur d’autres territoires. Ces spécimens, capables de survivre jusqu'à 12 mois sans eau ni nourriture, étaient à l’époque pour les marins une source de viande utile pour éviter le scorbut sur les ​​longs voyages en mer. Toutefois, au cours de conflits entre deux flottes, les tortues géantes lourdes entre 90 et 270 kilogrammes étaient souvent jetées à la mer pour alléger la charge des navires. Une nouvelle vie après l’extinction ? La nouvelle découverte représente un véritable espoir de sauver l’espèce de Lonesome George. Grâce à une subvention délivrée par le Comité pour la recherche et la conservation du National Geographic Society, les chercheurs envisagent de revenir au printemps afin de recueillir les individus hybrides et commencer un programme d’élevage visant à réintroduire les Chelonoidis abingdonii. "Le mot 'Extinction' signifie généralement le point de non retour" écrit dans un communiqué Adalgisa Caccone, auteur principale de l’étude. Elle conclut "Pourtant, les nouvelles technologies peuvent parfois donner de l’espoir en contestant le caractère irrévocable de ce concept". Source
  12. Et l'argent aussi... Dans ce cas-ci, ça semble être un coup d'argent à faire en premier lieu.
  13. Saisie de 600 cobras entrés clandestinement en Thaïlande Les douanes ont mis la main sur un chargement de 600 cobras vivants cachés dans une voiture en provenance de Malaisie et destinés aux restaurants d’un pays tiers. D’après les explications lors d’une conférence de presse de Benja Louichareon, le directeur-général du département des taxes cité par le Bangkok Post du 13 novembre, la valeur de la cargaison est estimée à 500.000 bahts (12.820 euros). La saisie a eu lieu dans le district de Pranburi, dans la province de Prachuap Khiri Khan, dans le sud de la Thaïlande. Les autorités avaient été averties au préalable grâce à une dénonciation. Les douaniers ont utilisé des rayons X pour scanner les véhicules suspects et ont trouvé les serpents cachés à l’intérieur d’un pick-up Nissan. Le chauffeur a avoué qu’il transportait les cobras de Malaisie jusqu’à la province de Nakhon Ratchasima, dans le nord-est de la Thaïlande, et qu’il avait fait de nombreux voyages semblables pour lesquels il était payé 10.000 bahts (256 euros) à chaque fois. Les douanes pensent qu’ils étaient destinés à un pays tiers, où ce serpent est considéré comme un mets possédant des vertus aphrodisiaques. Le chauffeur a été inculpé de violation de la loi sur la protection et la préservation de la vie sauvage. Les cobras saisis ont été confiés aux bons soins du Département des parcs nationaux, de la vie sauvage et de la protection des plantes. Source
  14. Le réchauffement menace le lézard pyrénéen de Bonnal Les Pyrénées abritent trois espèces de lézards endémiques que le réchauffement climatique global met en péril. Menacées d'extinction, elles sont les sujets d'un plan national d'actions qui sera présenté dès le trimestre prochain. Zoom sur l'une d'elles : le lézard de Bonnal. C’est un petit lézard qui ne paie pas de mine. Plutôt gris brun, avec des petites nuances métallisées, or, bronze, platine, explique Gilles Pottier de l’association Nature Midi-Pyrénées. Il ressemble assez au lézard des murailles. Son corps mesure entre cinq et six centimètres, sa queue atteint le double. » De la tête à la queue, l’adulte atteint donc une longueur de quinze centimètres. Le lézard pyrénéen de Bonnal hiberne entre 6 à 7 mois S’il ressemble au lézard des murailles, le lézard de Bonnal n’a pas la même vie que son cousin des plaines. A son encontre, c’est un montagnard. L’espèce vit à l’étage alpin des Pyrénées, en haute et moyenne altitude. L'homme ne la connaît que depuis 1922, année où elle fut découverte par Jean-Louis Bonnal sur les rives du lac Bleu de Bigorre. C’est une espèce endémique du pic du Midi d’Ossau dans les Pyrénées-Atlantiques au massif des Encantats dans la province de Lleida en Catalogne. Si la plupart des populations de ce petit lézard vit au dessus de 2000 mètres, certaines prennent plus ou moins d’autres hauteurs. « Nous en trouvons au cirque de Gavarnie à 1550 mètres, mais ces populations restent anecdotiques. » Certains lézards de Bonnal ne s’effraient pas de franchir les 3000 mètres d’altitude. Ils se débrouillent pour ne point y geler. En fait l’hiver, les lézards pyrénéens hibernent. Entre six et sept mois d’ailleurs pour échapper aux températures glaciales, ils font le gros dos sous quelques mètres de neige qui les protègent du gel. Comme les autres reptiles, les batraciens ou les poissons, les lézards sont des animaux ectothermes ou plus simplement à sang froid. Leur température corporelle et leurs fonctions internes dépendent de la température extérieure. « Lorsque le froid s’installe sur le massif, ils se contentent de laisser leur température corporelle baisser, leurs fonctions vitales sont au ralenti. Ils dépensent très peu d’énergie pendant leur hibernation » explique Gilles Pottier. Le lézard pond entre entre trois et quatre œufs Le printemps sonne la course à la reproduction. Les lézards de Bonnal ont peu de temps pour assurer la survie de leur espèce. Au fur et à mesure que la neige fond sur les montagnes, les populations se réveillent. Et les individus partent à la recherche de leurs partenaires. La reproduction se déroule entre mai et juin. Les femelles pondent leurs œufs début juillet qui vont éclore en août. « Elles déposent leurs trois ou quatre œufs sous des pierres bien orientées, sur des sols bien drainés, poursuit Gilles Pottier. Le lieu de ponte ne doit pas être trop chaud, ou les œufs vont cuire pour devenir durs ! Ni trop humide où ils risquent de pourrir ! » Et l’herpétologue d’ajouter : « ces lézards seraient susceptibles de se reproduire à l’automne parfois. Mais faute de températures optimales pour l’incubation et la naissance, les femelles seraient capables de garder les spermatozoïdes en elles. Et la fécondation n’interviendrait qu’au printemps suivant. Comme la vipère aspic. » Les invertébrés pour toute nourriture A leur naissance, les petits lézards sont des adultes miniatures. Capables de se débrouiller seuls. Ils ont été élevés à bonne enseigne puisque ni leur père ni leur mère n’ont veillé à leur incubation. Les tout jeunes ne pèsent même pas un gramme, leur corps long de deux à trois centimètres. Prédateurs ils le sont aussitôt pour se nourrir. Mouches, criquets, guêpes, chenilles voire papillons, les lézards de Bonnal aiment les invertébrés. « Ils chassent un peu comme les félins. Ils s’approchent lentement de leurs proies avec une gestuelle un peu mécanique. Puis ils fondent sur elles dès qu’ils sont assez près. Ces reptiles sont très opportunistes : ils font des festins d’invertébrés quand ils le peuvent. Ectothermes, les lézards ont besoin de chaleur minimum pour que leurs fonctions physiologiques fonctionnent. Leur digestion aussi : s’il fait trop froid, ils ne pourront pas digérer leur proie et la vomiront. Autrement cette proie dans leur organisme va pourrir. » Le réchauffement climatique menace les trois espèces de lézards pyrénéens Comme le lézard du Val d’Aran et le lézard d’Aurelio, le lézard de Bonnal est une espèce à part entière. Toutes trois endémiques donc des Pyrénées, elles ne vivent nulle part ailleurs. Et toutes trois sont menacées. « D’abord par le réchauffement climatique global, se désole Gilles Pottier. Ces trois espèces sont apparues voilà quatre millions d’années environ. Elles ont déjà supporté des changements climatiques mais ces changements n’ont pas été aussi rapides que celui que nous connaissons aujourd’hui. » Pour échapper au réchauffement actuel de leurs habitats, certains lézards remontent. Jusqu’à se retrouver coincés à des sommets comme celui du Pic de Montaigu. Or si les animaux grimpent vers de plus hautes altitudes, la végétation aussi et le domaine alpin tend à disparaître. Trop vite peut-être pour que les lézards pyrénéens aient le temps de s’adapter à un nouvel écosystème. Les spécialistes craignent à terme leur extinction. Sans oublier que le réchauffement climatique va entraîner une pression plus importante des prédations et des agents pathogènes. : « Le lézard de Bonnal a une longue espérance de vie : jusqu’à 17 ans pour certains. Parce qu’il vit dans un milieu alpin où la prédation et les agents pathogènes sont supportables. Mais une température plus haute, et il devra affronter une pression plus importante de ces deux facteurs. » Un plan national d'actions concerne les trois lézards endémiques des Pyrénées Enfin une autre menace plane sur les trois espèces pyrénéennes : la modification ou la destruction de leurs habitats liés aux activités humaines : routes ou pistes, urbanisation... Aussi pour conjurer ces mauvaises fortunes, la France concocte un plan national d’actions pour assurer la survie des trois espèces de lézards pyrénéens. Le projet de ce plan a été soumis à une consultation publique du 15 juillet au 15 septembre derniers. « Il devrait être finalisé d’ici le début de l’année prochaine, estime Jacques Hyppolite de la Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement (Dreal) Midi-Pyrénées qui pilote ce plan. Nous le présenterons à tous les acteurs concernés au cours du premier trimestre 2013. » « Contrairement à d’autres espèces, les lézards pyrénéens sont sédentaires. Ils ne se déplacent pas. Leurs populations restent isolées entre deux vallons rappelle Gilles Pottier. Ce plan sera un peu une vigie écologique. » Si une population de lézard de Bonnal s’éteint localement, elle sera perdue à jamais. Source
  15. Madagascar: Toliara - Viande de tortue toxique Le CHU de Toliara n’a observé, jusqu’ici, que des cas d’intoxications alimentaires d’origine bactérienne La consommation de tortues de mer est incriminée comme étant la cause des intoxications alimentaires enregistrées au CHU de Toliara. Le vrai responsable est le manque d'hygiène. La situation n'est pas encore alarmante sur les cas d'intoxications alimentaires que l'on observe actuellement à Toliara. Ils sont, pour le moment, d'origine bactérienne pour manquement aux règles d'hygiène sur les produits consommés. C'est donc de la toxi-infection alimentaire collective (Tiac) et non de l'intoxication par la consommation d'aliment marin (Icam), laquelle est d'origine toxique selon des responsables sanitaires. En effet, le centre hospitalier universitaire de Toliara a enregistré, depuis le mois de septembre, quelques cas d'intoxications alimentaires. Mais le dernier cas, le plus important, concerne plusieurs dizaines de personnes ayant consommé des tortues marines, ou « fano ». Depuis le samedi 3 novembre, après avoir reçu les premiers soins d'urgence et après avoir été gardées quelque temps sous observation médicale, elles ont rejoint leur domicile, selon le service des urgences. Interdiction Mais selon des témoins, deux cas mortels ont été constatés du côté de Mahavatsy. Leurs familles respectives incriminent tout particulièrement la tortue marine et des poissons qu'elles ont consommés. Toutefois, le Dr Jean Razafindramonjy , directeur de l'Agence de contrôle sanitaire et de qualité des denrées alimentaires au ministère de la Santé publique, de passage à Toliara, évoque que la base même de ces intoxications n'est autre que le manque de propreté, tant de la personne, que des produits consommés mis en vente sur le marché. En effet, selon toujours ce responsable, les symptômes observés chez les malades se traduisent par des signes cliniques à prédominance digestive (Tiac), contrairement à l'Icam qui est à prédominance neurologique due aux toxines absorbées. « La vente de poissons et de tortues de mer exposés à la poussière, pollués et trimbalés à travers la ville, constitue l'une des principales causes de ces intoxications alimentaires », a précisé le Dr Soanirina Louisette, inspecteur d'hygiène et des salubrités des aliments à Toliara. Pour sa part, le directeur régional de la Pêche, Gilbert François a pris des dispositions idoines concernant ce problème. « Depuis le début de cette semaine, nos équipes ont pris de nouvelles dispositions pour renforcer l'interdiction de la commercialisation et de la vente de tortues marines sur le marché, allant jusqu'à la confiscation de ces produits », a-t-il précisé. Source
  16. Le Verdon (33) : une troisième tortue luth s'échoue sur le littoral En l'espace de trois jours, trois cadavres de tortues luth ont été retrouvés sur les côtes de la région. Dans le détail, on en recense deux en Gironde, au Verdon et sur la plage du Truc Vert (Lège-Cap-Ferret), et une sur la plage de Saint-Georges-d'Oléron, en Charente-Maritime. Selon Florence Dell'Amico, biologiste marine en charge du Centre d'études et de soins pour les tortues marines à La Rochelle, « cette série d'échouages n'est pas vraiment un phénomène inhabituel. Dans la période d'octobre à décembre, c'est même plutôt fréquent ». Le vent et les vagues Les dépressions au large et les fortes marées contribueraient à ramener ces tortues marines vers le rivage. En tout cas, celles qui sont mal en point. « Nous effectuons des autopsies et des prélèvements pour comprendre ce qui a pu arriver. Il peut s'agir d'un animal en fin de vie. Dans 50 % des analyses réalisées, nous retrouvons aussi du plastique et du fil de Nylon dans le tube digestif. Ce qui peut provoquer une occlusion intestinale. » Dans 9 % des cas, un « accident » de pêche est identifié. « La tortue se retrouve prise au piège dans des filets ou des morceaux à la dérive », précise encore la biologiste. En 2011, entre les côtes du Morbihan et celles des Landes, 15 échouages ont été recensés. Et grâce à ses observateurs, le Centre de recherche sur les mammifères marins de l'université de La Rochelle a pu faire état de 50 tortues luth vues vivantes au large de ces mêmes côtes. Les chiffres « en cours » pour l'année 2012 « parlent » de 14 échouages et de 45 observations. Depuis les Caraïbes La tortue luth, « la plus grande de toutes les tortues », pouvant peser jusqu'à 500 kilos et mesurer 2 mètres, est une solitaire. Elle est fréquente dans tous les océans de la planète. Sa « zone » de ponte est principalement située sur les plages des Caraïbes et en Guyane. Alors que les mâles ne s'éloignent pas trop des côtes américaines, la femelle est une grande migratrice. Ses « escapades » peuvent ainsi durer deux à trois ans. Et elle parcourt des milliers de kilomètres dans les océans. « Si elle se rapproche de notre façade atlantique, c'est pour la nourriture. La tortue luth est friande des grosses méduses que nous pouvons voir l'été sur nos plages », explique Florence Dell'Amico. Une espèce menacée S'il semble que les tortues luth soient plus en sécurité dans l'Atlantique Nord que dans le Pacifique, où les pêches industrielles exercent une forte pression, l'espèce est considérée partout « en danger critique d'extinction », relève la biologiste du Centre d'études et de soins de La Rochelle. C'est la raison pour laquelle « tous les signalements d'échouages et les analyses qui peuvent être faites sur les cadavres sont importants. Nous avons besoin d'informations », argumente la spécialiste. Au Verdon, la tortue luth qui a été retrouvée mardi dernier devrait être récupérée par un équarrisseur. Celle qui s'est échouée en Charente-Maritime a livré son secret. Du plastique a été retrouvé dans son tube digestif. Pour celle de Lège-Cap-Ferret, un prélèvement de peau a été effectué. Selon des données officielles, il ne resterait que 100 000 tortues luth dans le monde. La principale raison de ce déclin serait « la pollution des eaux ». Source
  17. Colonie d'émydes lépreuses, tortues en voie de disparition, découverte dans le Têt. Des tortues d'eau douce, - tortugas de rierol en catalan -, endémiques, en voie de disparition, une station composée d'une douzaine d'individus de l'espèce Mauremys leprosa, ou « émyde lépreuse », déjà répertoriée dans les pays du Maghreb, la péninsule ibérique et le département des Pyrénées-Orientales, - dont leur existence n’est avérée que sur les cours d’eau de La Baillaury, du Tech et en partie basse de l’Agly -, ont été identifiées sur la partie basse du fleuve La Têt. Son habitat, rives couvertes d'une végétation dense, herbacée et arborée offrant protection contre les prédateurs terrestres et contre le soleil trop vif, est centré, sur la surface aquatique, entre Bompas et Villelongue de la Salanque. L'émyde lépreuse découverte en Salanque est de couleur verte, jaune et orange. Principalement carnivore opportuniste, omnivore par défaut, elle semble avoir trouvé, dans les zones d'eau stagnante de la Têt, une alimentation assortie, de jour comme de nuit, sur terre et dans l’eau, de têtards, de jeunes anoures, de tritons, de mollusques, de vers, d'insectes, de poissons, de cadavres de vertébrés, - mammifères et oiseaux -, d’invertébrés , d'amphibiens et de leurs larves, et de plantes aquatiques. Alors que les mensurations des mâles, peuplant la colonie, ne dépassent pas 19 centimètres, pour un poids de 750 grammes, certains spécimens femelles atteignant une taille de 25 centimètres de long et pèsent jusqu'à 1,5 kilogramme. L'émyde lépreuse L'émyde lépreuse est un reptile pourvu d’une carapace dorsale, - la dossière -, de couleur ocre-brun à verdâtre, à l'état adulte, carénée sur les écailles costales et vertébrales et marron tachée de rougeâtre ou jaunâtre, chez les juvéniles, et d’une carapace ventrale, - le plastron -, osseuses. Leur plastron jaunâtre qui n'est pas articulé, est orné d'une bande noire centrale irrégulière qui s'estompe avec l'âge. Leur tête, - présentant une tache orangée derrière l’œil chez les jeunes qui peut entraîner des risques de confusion avec les tortues américaines exotiques -, leur cou, leurs membres et leur queue sont striés de traits longitudinaux jaunes. L’émyde lépreuse, tortue aquatique, vivant dans ou à proximité immédiate de l'eau douce, est présente, du niveau de la mer jusqu'à 1.250 mètres d'altitude, dans la majorité des pays du Grand Maghreb, - Nord-Ouest de la Lybie, Tunisie, Algérie, Maroc, Mauritanie et Mali -, ainsi que dans la péninsule Ibérique, - Sud-Ouest, Sud, Centre et Est de l'Espagne et Nord-Est, Nord-Ouest et Sud du Portugal -. En France, elle se rencontre à l'état naturel, avec des populations conséquentes, dans certains ruisseaux des environs de Banyuls sur Mer, et les cours d’eau de La Baillaury, - ayant migré, par leur propres moyens, du Rio Orlina sur le versant espagnol, car la Baillaury est le seul cours d'eau, situé près de la frontière, qui possède de l’eau toute l’année -, du Tech, de la Têt et en partie basse de l’Agly - Pyrénées-Orientales –, et des observations éparses en Languedoc, - Aude, Hérault et Gard où des preuves archéologiques, dans la grotte de la Salpêtrière, à Remoulin, attestent sa présence dès l’Holocène, au Chalcolithique, vers 4.000 ans avant J.C. - Des constatations isolées, en Pyrénées-Atlantiques et en Aquitaine, sur des cours d’eau des Landes, ainsi qu’en Gironde, concernent, très certainement, des tortues échappées de captivité ou des individus probablement relâchés volontairement par l’Homme. Bien que l'espèce, de la famille des tortues d'eau douce cryptodires, - les Geoemydidae -, tende à préférer des eaux peu profondes à faible courant avec une végétation dense, il n'est pas exclus de la rencontrer dans des habitats aquatiques variés, - bras morts, canaux, fossés, étangs, mares, fonds vaseux, amoncellements de détritus végétaux, rivières, fleuves et marais littoraux -, et il est très commun de la trouver dans des rivières permanentes et dans n'importe quel réservoir. Sa plasticité écologique importante lui permet de coloniser n’importe quel type d’écosystème aquatique y compris ceux pollués. L'espèce, hivernant de Décembre à Mars, dans une retraite plus au moins profonde, - tas de débris végétaux, terrier, souches, tas de pierres... -, est surtout active, principalement de jour ou au crépuscule par les grandes chaleurs d’été, de Mars à Octobre, mais certains individus, surtout des mâles, peuvent l'être durant les jours chauds et ensoleillés d'automne et d'hiver. La maturité sexuelle de l'émyde lépreuse apparaît vers les 7 ou 8 ans pour les femelles, - longueur de la dossière environ 110 millimètres -, les 4 ou 5 ans pour les mâles, - longueur de la dossière environ 90 millimètres -, l’accouplement s’effectue dans l’eau au printemps. À l’aide de ses pattes arrières, la femelle creuse un trou d’une dizaine de centimètres à terre, le plus souvent en début de soirée, durant les mois de mai et juin. La femelle va pondre des œufs blancs à coquille dure, d’Avril à fin Août, entre 3 et 12, voire jusqu’à 22, plus communément entre 3 et 14 demandant une incubation de 60 à 90 jours selon les conditions météorologiques, une seconde ponte pouvant être déposée en automne. Le trou rebouché, le soleil assure la bonne incubation des œufs. Les jeunes tortues sortent de terre en Septembre ou au printemps suivant, si les conditions, - absence ou retard des pluies -, ne sont pas favorables. À leur naissance, leur dimension varie de 22,7 à 26 millimètres de long pour un poids de 5 grammes. Leur queue atteint 20 millimètres de long. A part l'homme qui agit directement, - captures, destructions volontaires -, ou indirectement, - modification des milieux -, les prédateurs principaux des émydes lépreuses sont les mustidés, - fouines, blaireaux, loutres... -, et les oiseaux, - rapaces, corvidés... -, qui s'attaquent aux nouveaux-nés et aux juvéniles ainsi qu'aux œufs. Protection de l'espèce, Mauremys leprosa. Au niveau international, l’espèce est inscrite à l’annexe II, espèce de faune strictement protégée, de la Convention de « la vie sauvage et du milieu naturel » de l’Europe, - Berne 1979 -. En France, l’espèce est strictement protégée ainsi que son habitat. L’émyde lépreuse est en effet visée par l’article 2 de l’arrêté du 19 novembre 2007 qui fixe les listes des amphibiens et des reptiles protégés sur l’ensemble du territoire et les modalités de leur protection, en application des articles L411-1 et 2 et R.411-1 à 14 du code de l’environnement. De plus, l’espèce est citée à l’arrêté du 9 juillet 1999 fixant la liste des espèces de vertébrés protégées menacées d’extinction en France. Ceci a pour conséquence le fait que les dérogations à la loi de stricte protection des espèces prévus à l’article L411-2 du code de l’environnement sont octroyées, non par les préfets, mais par le ministre en charge de l’environnement. Source
  18. A la recherche d'un réseau, elle chute dans un nid de serpents INSOLITE - Une Californienne a coincé son pied par mégarde dans un nid de serpents à sonnette. Elle était occupée à rechercher le réseau avec son téléphone. Après la chute depuis sa fenêtre, la chute dans un nid de serpents à sonnette. En octobre dernier, une Mentonnaise se blessait suite à une défenestration. Elle avait basculé dans le vide en cherchant un signal WiFi. Ce mois-ci c'est une Californienne de 16 ans qui a fait les frais de son étourderie. Mordue six fois par un serpent adulte En cherchant elle aussi un signal réseau, l'adolescente a coincé son pied dans un nid de serpents à sonnette. Elle a été mordue au total six fois par un serpent adulte, mais aussi par cinq jeunes serpents. "Sur une échelle de douleur de 1 à 10, je devais être à 42", a-t-elle déclaré à la chaine de télévision américaine ABC. Conduite à l'hôpital, elle a passé pas moins de quatre heures en soins intensifs. "On m'a donné 24 doses d'anti-venin pour me soigner", précise-t-elle. Pas sûr que cette fois-ci SFR fasse une campagne de publicité en référence à l'incident comme l'opérateur l'avait fait avec l'accident depuis la fenêtre. La pub SFR en question : Source
  19. Des crocodiles menacés par des crapauds venimeux Des crapauds venimeux sont à l'origine en Australie d'une importante mortalité de crocodiles d'eau douce, au point de mettre l'espèce en danger, ont indiqué mardi des experts. Les crapauds dits de canne à sucre (Bufo Marinus), dont la tête est grêlée de petites poches de venin, ont entraîné la disparition de plus de la moitié des crocodiles dans certaines rivières des Territoires du nord, a déclaré le professeur Keith Christian de l'université Charles Darwin. «Une récente étude sur la rivière Victoria a révélé qu'en un an, 77% des crocodiles étaient morts après avoir ingéré des crapauds de canne à sucre», a-t-il indiqué. Le taux de mortalité des crocodiles a des répercussions inquiétantes pour l'avenir de l'espèce, a-t-il averti. Cette espèce de crapaud, originaire d'Amérique centrale et d'Amérique du sud a été introduite en 1935 en Australie pour éradiquer les coléoptères qui dévastaient les champs de canne à sucre des côtes de cet État tropical. Les crapauds ont cependant proliféré au point d'atteindre une population de plusieurs millions d'individus menaçant la faune et la flore. Les amphibiens disposent derrière leur tête de petits réservoirs contenant un venin si puissant qu'il peut provoquer en l'espace de quelques minutes la mort des crocodiles, des serpents et autres prédateurs. L'an dernier, une mairie avait lancé une campagne pour que les gens jouent au golf avec les crapauds afin de s'en débarrasser. L'initiative avait déclenché la colère des associations de protection des animaux qui recommandent de mettre les amphibiens dans un congélateur pour les euthanasier sans douleurs. Source
  20. Des tortues soumises à un test de paternité SCIENCES - Les tortues ont une sexualité particulière : elles s'accouplent à de multiples partenaires et peuvent conserver leur sperme pendant des années avant de l'utiliser. Pour déterminer comment la semence de l'un prédomine sur celle de l'autre, des scientifiques ont soumis des bébés tortue à des tests de paternité. Leurs recherche sont détaillées dans une étude publiée vendredi 9 novembre dans la revue Behavioral Ecology and Sociobiology (étude en anglais). Les scientifiques pensaient auparavant l'ordre dans lequel leur sperme était utilisé était inverse à celui dans lequel il s'étaient accouplés à la femelle : autrement dit, le dernier à s'accoupler serait le premier à devenir papa. Les tests sur des specimens issus de 16 groupes d'oeufs différents, suggèrent une logique différente : au contraire, les femelles pourraient utiliser en priorité le sperme qui se "périmerait" le plus vite explique les chercheurs à la BBC (article en anglais). La capacité à stocker le sperme des partenaires est lié à la faible densité de l'espèce sur un territoire donné, pensent les chercheurs. Ainsi, les tortues de Hermann, sur lesquelles ont été effectués les tests, sont très dispersées sur leur territoire d'origine. Pour elles, "ce n'est pas facile de trouver un partenaire", résume le docteur Sara Fratini, auteur de l'étude. Source
  21. La tortue de jardin revient en force (AFP) - Des milliers de tortues vendues dans les animaleries dont beaucoup produites par des élevages d'Europe de l'Est : ce reptile à carapace, plus sympathique que le lézard et moins contraignant qu'un chien, fait un retour en force dans les familles. A la Ferme Tropicale à Paris, Karim Daoues, spécialiste des reptiles, a vendu cette année près de 300 tortues de jardin à des particuliers et plus de 2.000 à des animaleries spécialisées. Une tortue de deux ans coûte entre 100 et 150 euros. Adulte, elle mesurera 30 cm. "Des fermes d'élevages en Europe de l'Est, comme en République de Macédoine, produisent des milliers de ces animaux qui alimentent le marché", explique-t-il. Jean vit avec ses tortues dans un appartement parisien, au grand plaisir de sa fille, Manon. "J'ai construit un terrarium équipé de lampes chauffantes où mes tortues passent une grande partie de leur temps. Elles se promènent aussi dans la maison. L'été, elles vont sur le balcon prendre un bain de soleil", raconte-t-il. Caroline et Franklin, des tortues de jardin ou Hermann, ont besoin d'une ration quotidienne de luzerne, pissenlit, trèfle, cresson ou endives, une dose de calcium et des aliments secs, granulés ou os de seiche. Chez Jean, les reptiles, qui cohabitent avec les chats, font l'objet de toutes les attentions. "Franklin a une rhinite. Le vétérinaire l'a mis sous antibiotique", commente-t-il. Lionel Schilliger, vétérinaire spécialisé en reptiles, soigne chaque jour une vingtaine de tortues Hermann (Testudo hermanni). "Elle jouit d'un facteur sympathie et les enfants l'adorent. Probablement parce qu'elle est plus docile qu'un serpent ou un lézard", note-t-il. Tondeuse à gazon Interdite à la vente dans les années 1980, sa commercialisation est de nouveau autorisée depuis septembre 2006. Il faut cependant demander une autorisation de détention d'animaux d'espèces non domestiques et disposer d'un certificat intra-communautaire individuel avec photos, joint à la facture d'achat. Comme le chien ou le chat, la tortue doit être identifiée avec une micro-puce introduite dans la patte arrière-gauche. Si la tortue s'adapte en appartement, les professionnels conseillent d'en adopter une de préférence si l'on vit dans une maison. "Dans un jardin, son alimentation est plus diversifiée, elle se nourrit de pissenlits, de plantain mais aussi de limaces et d'escargots", explique M. Schilliger. Contrairement aux idées reçues, la tortue est solitaire, marche vite et a besoin de beaucoup d'espace. Il lui faut donc un grand enclos avec des cachettes et des zones d'ombres. Mais la vie au grand air a aussi ses risques. La vétérinaire Véronique Mentré, installée dans le Val-d'Oise, doit fréquemment réparer les carapaces des tortues blessées par les tondeuses électriques. "Il faut peindre sa carapace pour éviter de rouler dessus mais aussi faire attention aux chiens qui les mordillent pour jouer", suggère-t-elle. "J'ai obtenu mon autorisation d'élevage d'agrément à la préfecture puis j'ai acheté trois tortues en début d'année", raconte Corinne Gravier, chauffeur de taxi dans l'Oise. "J'adore les observer dans son jardin et leur gratter le cou quand elles viennent réclamer à manger". Sauf accident ou grave maladie, la tortue peut comme le perroquet vivre jusqu'à 80 ans. "J'ai prévenu mes enfants, ils hériteront des tortues et leurs enfants aussi !", ironise-t-elle. Source
  22. La tortue : l’animal de compagnie tendance Des milliers de tortues vendues dans les animaleries dont beaucoup produites par des élevages d’Europe de l’Est : ce reptile à carapace, plus sympathique que le lézard et moins contraignant qu’un chien, fait un retour en force dans les familles. Une tortue de deux ans coûte entre 100 et 150 euros. Adulte, elle mesurera 30 cm. Sauf accident ou grave maladie, elle peut vivre jusqu’à 80 ans. Interdite à la vente dans les années 1980, sa commercialisation est de nouveau autorisée depuis septembre 2006. Il faut cependant demander une autorisation de détention d’animaux d’espèces non domestiques et disposer d’un certificat intra-communautaire individuel avec photos, joint à la facture d’achat. Si la tortue s’adapte en appartement, les professionnels conseillent d’en adopter une de préférence si l’on vit dans une maison. Source
  23. En Australie, un crocodile a attaqué un enfant La police australienne a rapporté la mort d'une fillette âgée de sept ans, qui a été attaquée par un crocodile. L'incident s'est produit quand elle se baignait dans un petit étang. Des crocodiles marins, mesurant généralement jusqu'à trois mètres de longueur, appartiennent à une espèce protégée en Australie. Récemment, leur nombre augmente. Source
  24. Mygale des Monts d’Or et méduse de Miribel, l’étonnant bestiaire lyonnais Les résidents des Monts d’Or seront ravis de l’apprendre. Leur secteur, sans doute l’un des plus agréables de l’agglomération lyonnaise, sert également de refuge à une rare araignée de la famille des… Mygales. Voila pour le frisson. Pour la raison, ajoutons que la bestiole en question, bien moins volumineuse que sa cousine exotique, est parfaitement inoffensive. Sauf pour les insectes, les acariens et les petits crustacés terrestres, genre cloportes. Et, surtout, qu’elle n’est qu’une araignée parmi les nombreuses autres qui ont fait du Grand Lyon leur territoire de prédilection et transformé en un habitat confortable - et surtout en terrain de chasse - nos toits, nos rebords de fenêtres, les rambardes de nos ponts et passerelles, sans oublier nos égouts, notamment. Ajoutons, aussi, que cette petite mygale n’est pas non plus le seul animal incongru a s’être fixé ici. Ainsi, il est intéressant de savoir que les plans d’eau de Miribel-Jonage servent de vivier à une méduse, joliment nommée Craspedacusta sowerbyi, laquelle est originaire de rien de moins que le Yang Tsé Kiang. Toute petite, toute aussi inoffensive que notre mygale des Mont d’Or, cette méduse d’eau douce arrivée dans la région aux alentours de 1890, est de surcroît remarquablement discrète. Elle n’apparaît que durant les étés chauds pour ensuite s’effacer parfois pendant des années. Du côté des poissons, on découvre aussi des raretés, telle cette épinochette ( Pungitius pungitius), petite chose grande de seulement quelques centimètres, rarissime dans nos contrées, qui a trouvé refuge dans les anciennes cressonnières de Vaise. Lieu de villégiature idéal pour un poisson qui ne se plaît qu’au plus près des sources. Vous en redemandez ? Pas de souci, il vous suffit pour satisfaire votre goût de la découverte de vous reporter au précieux ouvrage que vient d’éditer le Grand Lyon en collaboration avec la Société linnéenne de Lyon (voir ci-dessous). Ouvrage qui fait également le point sur des espèces moins rares mais qui ont néanmoins fait de la ville et de ses espaces verts leur habitat. Tel ce hibou moyen duc (Asio otus), bien moins connu que les faucons pèlerins ( Falco peregrinus) de la raffinerie de Feyzin, qui mène une existence paisible et rangée au cœur du parc de Parilly. Voire sur ces jolies chauves-souris de Kulh ( Pipistrelli kuhli) qui ont adopté comme refuge ces bardages de bois dont raffolent aujourd’hui les architectes. Pour conclure, un dernier avertissement, une fois encore destiné aux résidents des Mont d’Or. Au moment de vous asseoir, faites attention tout de même. Source
  25. Une tortue géante retrouvée sur une plage du Verdon-sur-Mer (33) Le cadavre d'une tortue luth, la plus grosse tortue marine au monde, a été retrouvé lundi sur les rivages girondins Étrange rencontre sur la plage médocaine du Verdon-sur-Mer : lundi 12 novembre, vers 16 heures, Maryse et Christian Sinsout, qui se promenaient sur la plage des Cantines, sont tombés sur une tortue luth d’environ 2 mètres de longueur en état de décomposition avancée. La mairie et les services vétérinaires ont été alertés pour enlever et autopsier la carcasse de cet animal qui fréquente tous les océans de la planète. Classée espèce en voie de disparition (du fait de braconnage, des filets de pêche, de la pollution et de l'urbanisation du littoral), la tortue luth est la plus grosse tortue marine au monde. Source
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