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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Thaïlande : elle se suicide en s’offrant aux crocodiles Une femme, souffrant de dépression, se serait laissée dévorer par les crocodiles d’un parc animalier. Il y a quelques jours, la femme de 36 ans avait prévenu son mari qu’elle irait consulter un médecin, avant de se rendre à la ferme aux crocodiles de Samut Prakan, au sud-est de Bangkok. Il ne l’a plus jamais revue, si ce n’est sur la vidéo de surveillance consultée par la police et sur laquelle on verrait clairement son épouse entrer dans le parc d’attraction, raconte le Daily Mail. Les responsables de la ferme aux crocodiles démentent néanmoins tout drame de la sorte. Le mari a, de son côté, mené sa propre enquête. Un des employés lui aurait assuré qu’une femme s’était jetée délibérément dans l’une des fosses remplie de crocodiles. Un autre homme, disant l’appeler au nom de la ferme, lui aurait aussi proposé de conclure un accord, sans doute pour ne pas ébruiter l’affaire. Quoi qu’il en soit, l’époux ne semble pas surpris outre mesure de la décision de sa conjointe, qui souffrait de dépression depuis longtemps et connaissait des soucis d’argent. «Il est possible qu’elle se soit suicidée afin d’échapper à ses problèmes», a déclaré le mari. Selon le Bangkok Post, il n’a pas l’intention d’engager des poursuites contre la ferme aux crocodiles mais tient à connaitre la vérité pour pouvoir entamer son deuil. Source
  2. Signy: naissance de quatre bébés tortues A Signy, un couple de tortues d'Hermann a donné vie à quatre tortues. Qui sont devenues l'attraction du quartier. Avis de naissance un peu particulier à Signy, un couple de tortues d'Hermann a donné naissance à quatre petits. Un phénomène plutôt rare. Depuis trois ans, Marianne et Olivier, les heureux propriétaires tentent de faire éclore les oeufs. Sans succès. Les oeufs de la femme Bianca ne sont pas viables, contrairement à ceux d'une seconde seconde tortue femelle donnée cette année à la famille. La naissance de bébés tortues demande un long travail. Au mois de juin, la femelle a enfoui ses oeufs dans la terre, qui ont été enterrés pour être mis en couveuse à 28° pendant au mois 60 jours. Patience. Au bout du 77e jour, une première tortue a cassé sa coquille avec son bec, ses trois frères (ou soeurs) ont attendu le lendemain pour voir le jour. Les petits se portent bien et grandissent. Selon Marianne et Olivier, ils passeront la première (voire même la deuxième) année de leur vie dans un terrarium, avant de rejoindre leurs parents dans le parc extérieur. Quant aux parents, ils sont entrés en hibernation. Tortues d’Hermann C’est la seule tortue terrestre de France vivant dans la nature. Considérée en voie d’extinction, elle est protégée. Les tortues adultes mesurent entre 18 et 20 cm et pèsent entre 1 et 2 kg, les bébés mesurent 5cm et pèsent 7 grammes. Elles sont de couleur brune avec des taches jaunes et des bandes noires. En liberté elles vivent 40 ans mais en captivité elles peuvent devenir centenaire! C’est un animal à sang froid qui doit s’adapter à la température ambiante c’est-à-dire que lorsqu’il fait froid elle se met dans du foin pour se réchauffer et lorsqu’il fait trop chaud (en été à midi) elle se met à l’ombre. Les femelles ont la particularité de pouvoir garder le sperme du mâle pendant 4 à 5 ans ainsi si les conditions de ponte ne sont pas optimum elle peut pondre l’année suivante seulement. Le sexe du bébé dépend de la chaleur d’incubation. Source
  3. Je dois avouer que j'étais indifférent lorsque tu m'as dis par email que tu élevais ça. Je pensais à un collectionneur d'insecte qui les agraffe sur du styromousse comme on voit par ici. C'est la première fois que je vois ou entend parler de quelqu'un qui en garde en captivité. Je dois avouer être fortement intrigué maintenant
  4. Le lézard "iguane" qui envahit la Réunion Vous habitez l'Ouest et sa dégaine de reptiles sortis du fin fond des âges n'a pas manqué de vous effrayer. L'agame des colons est bien parti pour envahir la Réunion. La lutte contre sa progression semble perdue d'avance. Sa rencontre avec les espèces endémiques de l'île inquiète les passionnés. "Dire qu'ils sont quelques milliers ne serait pas exagéré". C'est en estimant le nombre de lézards de type "agame des colons" que l'on se rend compte de la grande vulnérabilité de l'île face aux espèces invasives. Ce n'est pas une surprise, c'est du côté de l'Ouest que sa population a été détectée pour la première fois, informe Mickaël Sanchez, chargé de mission au sein de l'association Nature Océan Indien. "Cet agame aurait été introduit involontairement à la Capitainerie du Port Est vers 1995, sans doute arrivé avec des bateaux en provenance d’Afrique", précise-t-il. L'agame est en effet naturellement présent depuis le Sud-Ouest du Sahara au Nord, jusqu'à l'Angola au Sud, et l'Ouganda à l'Est. A la Réunion, les premiers témoignages sont en effet remontés de dockers ayant exercé dans les années 1994, 1995. Depuis, l'espèce n'a eu de cesse de s'étendre. On le retrouve en limite Sud jusqu'à Saint Paul. En hauteur, on en a signalé récemment à Plateau Caillou. En limite Nord, c'est à la Grande Chaloupe que l'on peut retrouver ses représentants. Quelques poches existeraient également dans le Nord vers la Rivière des Pluies. Là encore, ce sont encore les transports de marchandises du Port vers ces destinations qui sont mis en cause. Le reptile ne passe pas inaperçu. Pas étonnant d'ailleurs que les premiers réunionnais en contact avec cette espèce lui aient donné un ti' nom révélateur : "l'iguane". Evidemment, on en n'est pas à de telles familles de reptiles que l'on rangerait facilement dans la catégorie des nouveaux animaux de compagnie mais toujours est-il que sa forme impressionne. L'agame de taille moyenne atteint une longueur de 40 cm. Pour comparaison, le lézard gris habituel des cours réunionnaises (dit "caméléon" par erreur) n'en fait que 30. "Il détale au dernier moment" Son allure en impose : "il est d’aspect massif impressionnant", reconnaît Mickaël Sanchez. Pas de doute possible : l'agame des colons est reconnaissable d'entre tous. Le mâle possède une coloration brune, parfois bleutée, avec deux marques rouges, l’une enveloppant la tête et l’autre au milieu de la queue. La femelle est brune teintée de gris avec les flancs marqués d’une bande orangée. Notre lézard gris (ou "agame arlequin") n'est pas directement menacé. "Ils se tolèrent", explique le spécialiste. Mais il n'en sera pas de même pour les deux espèces de geckos endémiques. "Il ne vit pas encore sur les zones du gecko de Manapany et des forêts. Une fois dans ces espaces, il pourra prédater les geckos et venir en concurrence avec son habitat", s'inquiète Mickaël Sanchez. L'agame des colons ne fait effectivement pas dans la dentelle : il peut s’alimenter d’animaux comme les oiseaux, les invertébrés et même de cousins lézards. Son estimation incertaine est la preuve d'une lutte presque perdue. "Il n'est plus irradicable même si pour freiner sa progression, on peut quand même lutter sur certaines zones", précise le spécialiste. Dernier détail : ce lézard n'est pas très impressionné par la présence de l'homme. "Il détale au dernier moment", assure Mickaël Sanchez. La cohabitation s'annonce difficile pour les herpétophobes. --------- La NOI récolte vos signalements à cette adresse : natureoceanindien@gmail.com Source
  5. Le vent... Pas tout à fait d'accord. Je dirais plus de l'aération. Sans l'aération, plus de chance de moisissure. Les points importants sont l'humidité et la température. Souvent on va gérer la température avec un tapis chauffant, câble chauffant ou lampe chauffante. La lampe est à idéalement éviter dans ce cas-ci étant donné que c'est un milieu humide et la lampe assèche l'air. Pour l'humidité, il faut vaporiser. J'utilise personnellement un pulvérisateur mais certaines personnes vont utiliser un fogger (désolé, je ne connais pas le nom français).
  6. Capture d'un crocodile qui semait la terreur à Gaza GAZA (Territoires palestiniens) - Un crocodile qui écumait le système d'égouts du nord de la bande de Gaza a été capturé, ont annoncé lundi soir les autorités du Hamas, au pouvoir dans le territoire palestinien. Les forces de police palestiniennes sont parvenues, au moyen d'un bateau de pêche, à attraper un crocodile qui se cachait dans le système d'égouts dans la municipalité de Beit Lahiya, dans le nord de la bande de Gaza, a indiqué dans un communiqué le ministère de l'Intérieur du gouvernement du Hamas. Le crocodile d'une longueur de 170 cm a été capturé vivant au terme de tentatives intenses et pénibles, après qu'un certain nombre d'habitants eurent découvert qu'un crocodile vivait dans les égouts, mettant leur vie en danger, selon le texte. Le crocodile va être transféré au zoo de Gaza, a indiqué une source locale. Le directeur de la station de traitement des eaux usées de Beit Lahiya, la principale de la bande de Gaza, Rajab al-Naqah, a affirmé que le crocodile s'était échappé il y a deux ans, alors qu'il n'avait pas atteint l'âge adulte, d'un petit zoo à proximité pour élire domicile dans un bassin de récupération des eaux usées, représentant un danger pour les habitants. Selon des témoins, le crocodile avait attaqué des bêtes qui broutaient à proximité. Le système d'égouts de Gaza a connu une nette dégradation en raison du blocus israélien puis de la dévastatrice offensive de décembre 2008/janvier 2009 contre le territoire palestinien. Source
  7. Un serpent provoque la panique dans une école de Dakar Selon Libération, c'était la frayeur, hier à l'école élémentaire de Derklé3 où un serpent a provoqué la panique des enseignants. Mais plus de peur que mal car le reptile a été tué. Le directeur a ainsi lancé un vibrant appel à la municipalité aux fins de désherbage urgent de l'école pour éviter aux enfants toute déconvenue inutile. Source
  8. Un Américain a tabassé sa compagne avec un python Un résident de l'État américain du Massachusetts a battu sa compagne avec un python, qui était son animal domestique. Un conflit a eu lieu entre Keith Paro âgé de 34 ans et sa petite amie, l'homme a sorti le python de sa cage, frappant avec l'animal la jeune femme à plusieurs reprises, qui prenait un bain chaud. Ensuite Paro a jeté le serpent dans l'eau. A la suite de ce qui s'est passé, le python a succombé à ses blessures. La femme a subi quelques contusions. L'homme est accusé de l'attaque, de la menace physique, de la destruction intentionnelle de biens et de la cruauté envers les animaux. Source
  9. A la découverte des araignées des parcs et jardins La Royal Society for the Protection of Birds (RSPB) tente actuellement de combattre les craintes et les répulsions des citadins envers les araignées en les invitant à aller les admirer. L’automne s’étant désormais bien installé, la Royal Society for the Protection of Birds (RSPB) invite les Britanniques à enfiler leurs bottes et partir à la découverte des araignées qui peuplent jardins et parcs. Avec leurs longues pattes velues, et leurs grosses mandibules, ces arachnides provoquent chez la plupart des citadins la crainte et la répulsion. Pourtant, ces petites bêtes sont pour la grande majorité inoffensives et méritent même qu’on s’y intéresse. Selon la RSPB, il existerait en Grande-Bretagne plus d’un demi million d’araignées pour chaque habitant. "Il y a plus de 650 espèces d'araignées de tailles considérablement différentes" explique dans un communiqué l’expert Ian Dawson. Le Sud-Est du pays regroupe une densité particulièrement grande d’arachnides en raison du climat de la région, plus sec et plus chaud. "En règle générale, ces conditions sont plus favorables aux grandes araignées" ajoute le spécialiste. Pour les naturalistes, l’automne est la saison qui se prête le plus à l’observation. La plupart des araignées des jardins atteignent leur maturité à la fin de l’été et il est ainsi possible de les distinguer plus facilement à cette période de l’année. Par ailleurs, les gouttelettes d’eau du brouillard et de la brume permettent de mettre en évidence la complexité des toiles que tissent les arachnides. Source
  10. Les dragons de Komodo laissent leurs femelles se tuer à la tâche Les dragons de Komodo femelles vivent deux fois moins longtemps que les mâles. En cause, l'énorme effort nécessaire à ces dames pour creuser un nid à l’échelle des plus gros lézards de la planète, ainsi que les longs mois de privation qu'impliquent la garde des œufs. Cette perte d'énergie explique aussi pourquoi les mâles sont plus imposants. Le dragon de Komodo n’a jamais eu l’air particulièrement sympathique, et ce n’est pas les révélations sur sa vie conjugale qui vont améliorer les choses. Une équipe de l’université de Melbourne a en effet publié dans le journal PLoS ONE l’atrocité vérité : les femelles vivent deux fois moins longtemps que les mâles, épuisées qu’elles sont par les tâches "ménagères". Les femelles dragons de Komodo doivent en effet creuser d’importants terriers pour abriter les œufs et garder ces derniers pendant les six mois d’incubation nécessaires. Quand on sait que ces animaux peuvent atteindre trois mètres de long et peser 90 kilos, on imagine l’étendue des travaux que ces dames doivent réaliser à elles seules. Pour arriver à cette conclusion, l’équipe a étudié pendant huit ans une population de 400 dragons répartis sur quatre iles de l’est de l’Indonésie, leur seul habitat naturel. Elle s’est particulièrement intéressée à la croissance et à la longévité des reptiles qu’elle a marqués. Il faut dire que ces animaux continuent de croitre jusqu’à leur mort, même si généralement ils ne grandissent plus beaucoup passé trente ans. Les chercheurs sont alors tombés sur un résultat édifiant. Les mâles vivent en moyenne une soixantaine d’années contre seulement 32 ans pour les femelles. Une découverte qui soulève des inquiétudes pour cette espèce menacée. Mais les mâles se sont aussi avérés plus imposants avec une longueur moyenne de 1,60 mètre et un poids de 65 kilos, contre 1,20 mètre et 22 kilos pour les femelles. Un choix stratégique "Les différences basées sur le sexe en matière de taille semblent être liées à l’énorme quantité d’énergie que les femelles dépensent pour produire des œufs ainsi que pour construire et défendre leurs nids, explique Tim Jessop du département de zoologie de l’université de Melbourne. Ces phénomènes peuvent durer jusqu’à six mois pendant lesquelles les femelles sont réduites à jeûner, ce qui leur fait perdre beaucoup de poids et détériore leur santé. Mâles et femelles ont la même taille à la naissance et ce jusqu’à ce qu’ils atteignent leur maturité sexuelle vers sept ans. A partir de là les femelles grandissent plus lentement, deviennent plus petites que les mâles et meurent plus jeunes." Ces résultats peuvent sembler étranges pour l’homme quand l’espérance de vie des hommes et celle des femmes en Australie ne diffèrent que de cinq ans. Mais chaque espèce a différentes stratégies pour transmettre leurs gènes. Par exemple, l’homme investi beaucoup d‘énergie pour peu d’enfants car c’est très exigeant. Les insectes par contre produisent des milliers d’enfants dont ils ne s’occupent pas", ajoute le chercheur. Source
  11. Et si on remplaçait le chat par un caméléon ? Marre des poils partout dans le salon, des miaulements au milieu de la nuit, et des odeurs prenantes de la litière ? Et si vous optiez pour un serpent ou un lézard ? Un serpent, un lézard, une tortue .... les reptiles peuvent aussi être des animaux de compagnie. On les appelle les "NAC", "nouveaux animaux de compagnie", par opposition aux traditionnels chiens et chats. Ils connaissent un succès grandissant depuis une quinzaine d'années. Parmi les NAC, on trouve aussi les oiseaux et les rongeurs, les micro-mammifères. Mais ceux qui exercent la plus grande fascination sont ces animaux à sang froid que finalement on connaît mal. Saviez-vous qu'un serpent aime être carressé délicatement ? Que sa peau n'a rien de visqueux ? Tous ne piquent pas, et beaucoup sont inoffensifs. Jusqu'à 1,50 mètre, ce sont des animaux "accessibles" et qui ne présentent pas de danger pour l'homme. Il y aussi les autres reptiles : tortues, lézards, caméléons. A Cherbourg, les NAC sont ce week-end les vedettes de la Foire. L'occasion de les découvrir, les approcher, les toucher. Mais attention à l'achat "coup de coeur" ! Les NAC sont, comme tous les animaux, des êtres dont il faut prendre soin. Mieux vaut être bien renseigné et conseillé avant de se lancer, d'autant que les vétérinaires pour NAC ne sont pas nombreux en Basse-Normandie. Source
  12. Mel Gibson sauve la vie de huit personnes Mel Gibson a fait un acte de bravoure en neutralisant un serpent mortel. L'acteur était en retraite spirituelle dans l'Arizona. Mel Gibson a dû faire preuve de bien du courage. L’acteur a récemment sauvé un groupe de personnes d’un serpent mortel. Récemment séparé de sa petite amie Oksana Grigorieva, la star souhaitait faire le point, en passant quelques temps au Miraval Resort & Spa en Arizona. « Mel était en retraite spirituelle… à huit mille mètres dans des montagnes désertiques, en compagnie de huit autres personnes, raconte une source au National Enquirer. Tout d’un coup, il entendit un bruit inquiétant qu’il connaissait pour avoir vécu sur les hauteurs de Malibu. Une seconde plus tard, un serpent venimeux s’est faufilé, alors prêt à attaquer. Mel a tenu les trois femmes contre lui, leur criant " Éloignez-vous ". » Le serpent, qui faisait près de deux mètres de long, a tout de suite été identifié comme dangereux par l’acteur. Ses partenaires auraient quant à eux été terrifiés par ce récent incident. « Mel a pris le serpent, hurlant à pleins poumons, et l’éloignant de ses collègues. Il le surveilla tandis que les personnes présentes s’éloignaient. Lorsqu’ils furent tous hors de danger, le groupe le remercia chaudement. » Source
  13. Invasion de serpents à la Cité de la mer Il charme les serpents et les enfants, un peu moins les parents. Julien Malidin, 29 ans, fait sensation dans les allées de la foire-expo de Cherbourg. Depuis l'arrivée des premiers visiteurs, jeudi matin, son stand de reptiles fait le plein. « Les gens me demandent souvent la même chose. D'où viennent-ils ? Que mangent-ils ? » Mais les curieux ne sont pas forcément les plus courageux. « Je crois que la question qui revient le plus souvent, c'est: sont-ils dangereux ? ». Éleveur à La Roche-sur-Yon depuis plusieurs années, Julien Malidin est un passionné. Un romantique, aussi. « S'occuper d'un animal, c'est avant tout l'aimer, le connaître. » Oui, mais pourquoi les serpents ? « Je ne sais pas. J'ai commencé par avoir un dragon d'eau à l'âge de 14 ans. Depuis, j'ai toujours eu des reptiles. En Allemagne, en Belgique, aux Pays-Bas ou encore aux États-Unis, c'est très courant. En France, beaucoup moins. Mais petit à petit, cela se développe. » Le marché reste très réglementé. Impossible pour le grand public d'acheter un serpent susceptible de mesurer plus de trois mètres de long. Pas de cobra, donc, à la foire de Cherbourg. Mais des couleuvres, des pythons et des boas. « Je crois que les gens en ont assez d'avoir des chats, des chiens et des lapins, assure Julien Malidin. Ils veulent autre chose. En ce moment, la grande mode c'est le pogona, un lézard australien. C'est affectueux et, surtout, cela demande très peu d'occupation. » Voilà une idée originale pour les cadeaux de Noël. Source
  14. Le tout semble très bien. Les caméléons ont besoin de beaucoup de ventilation. La porte est bel et bien grillagé comme sur l'image?
  15. Une tortue marine observée à Cu Lao Cham Une tortue marine, animal menacé d’extinction, a été observée mercredi dans la Réserve mondiale de biosphère de Cu Lao Cham, province de Quang Nam (Centre). Cet animal de 5 kg a été capturé et marqué avec le numéro VN1251, puis relâché par la Comité de gestion de la Réserve maritime de Cu Lao Cham. Le Vietnam abrite cinq des sept espèces de tortues de mer à protéger du monde. -AVI Source
  16. Un cimetière de tortue du Jurassique retrouvé en Chine Plus de 1.800 squelettes de tortues du Jurassique ont été retrouvés en Chine. La découverte devrait permettre aux paléontologues de recueillir des données précieuses permettant de caractériser la diversité des spécimens au sein de cette espèce. Un "cimetière" de tortues datant de l’ère du Jurassique a été mis au jour en Chine, au nord-ouest de la province du Xinjiang. Au total, plus de 1.800 squelettes ont été retrouvés empilés les uns sur les autres. Selon les paléontologues, la mort des reptiles remonte à près de 160 millions d’années. La cause de ce décès de masse serait liée principalement à une période de grosse sécheresse durant laquelle les tortues se seraient rassemblées sur les derniers points d’eau en attendant la pluie. L’averse n’arrivant pas, la terre se serait petit à petit asséchée provoquant la mort des reptiles. C’est alors peu après leur trépas que des ondées se seraient finalement manifestées, inondant la zone et entrainant les cadavres vers un point recouvert de sédiments avec le temps. La découverte annoncée dans la dernière édition de la revue allemande Naturwissenschaften, fait part d’une concentration du nombre de squelette allant jusqu’à 36 spécimens par mètre carré. "La découverte de ce site augmente considérablement le nombre de tortues du Jurassique répertoriées à ce jour" explique à LiveScience Walter Joyce, spécialiste des tortues fossiles à l'Université de Tübingen en Allemagne. Ce nouvel échantillon offre aux chercheurs une occasion rare d’étudier les variations entre les individus d’une même espèce fossile. "Nous savons au regard des organismes vivants que les individus de certaines espèces se ressemblent beaucoup, alors que les individus d'autres espèces montrent une grande variation" explique le spécialiste. Celui-ci ajoute : "En tant que paléontologue, il est donc toujours difficile d'évaluer si votre fossile est différent des autres parce qu’il s'agit d'une nouvelle espèce, ou parce qu'il fait partie d'une déjà connue composé de spécimens variables". Il conclut : "Grâce aux données récoltées sur le nouveau site, nous allons enfin être en mesure d’évaluer plus rigoureusement les schémas de diversité de tortues vivant en Asie durant le Jurassique". Source
  17. Les employés de la SPA formés pour manipuler des serpents Devant faire face à toutes sortes d’espèces animales, les employés de la Société protectrice des animaux (SPA) des Cantons-de-l’Est seront formés, ce vendredi, par une équipe du Zoo de Granby pour manipuler des… serpents! Sujets : Zoo de Granby , Ministère des Ressources naturelles , SPA , Jean Le besoin de suivre une telle formation date du mois de juillet dernier alors que la SPA a été appelée pour capturer un crotale des bois du côté de Frelighsburg, un serpent à sonnettes hautement venimeux. «On a flippé. Nous n’étions pas capables de rejoindre les gens de la Faune», raconte Carl Girard, directeur de la SPA. Entre temps, l’équipe avait mis au point un plan de capture avec les moyens du bord, mais les agents du ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF) ont finalement été joints. À ce moment, la superviseure de la SPA a communiqué avec les gens du Zoo de Granby pour savoir si une formation sur les serpents était disponible, ce à quoi ils ont répondu par l’affirmative. «Ils vont amener des serpents à la SPA. Ils vont montrer à mes employés comment bien les manipuler et nous vendre les outils spécifiques. Le but de la formation, c’est d’éviter de se faire mordre et d’être le plus sécuritaire possible», ajoute M. Girard. Le cours, d’une durée de quatre heures, comporte un volet théorique et pratique. Carl Girard croit fermement que cette formation – offerte gratuitement par le Zoo de Granby – sera utile à ses employés. «On a déjà reçu deux serpents directement à la SPA, on est déjà allé chercher deux serpents sur des saisies et on a eu au moins quatre ou cinq appels auxquels c’est la faune qui a répondu parce que nous n’étions pas formés. Je juge qu’on a de très bonnes chances de s’en servir!» Plus de formation La formation spécifique, c’est une tangente que souhaite prendre Carl Girard. «Je veux axer sur la formation avec des domaines spécifiques. Je pense, entre autres, à Jean Cardinal, de Ciné-Zoo à Sainte-Anne-de-La-Rochelle. Il a des loups, des tigres. Il pourrait montrer l’instinct d’un animal sauvage.» Certains des employés de la SPA suivent également une formation à distance sur les chiens, les chats et les reptiles. «Moi, c’est comme ça que j’ai appris. J’ai suivi ma formation de base de 600 heures et je me suis ensuite spécialisé. J’ai beaucoup plus appris comme ça que dans ma formation de base. Et tu es mieux d’avoir appris 30 méthodes qu’une seule, parce qu’un animal sauvage, ça réagit par instinct», conclut-il. Source
  18. Ctenotus ora, le nouveau lézard découvert près de Perth (Australie) On apprend jour la découverte d'une nouvelle espèce de scinque en Australie ... Lundi 29 octobre 2012 On apprend la découverte d'un scinque marron et blanc en Australie près de Perth. Voir article complet et photographies : Ctenotus ora, le nouveau lézard découvert près de Perth (Australie) Malheureusement comme très souvent lors de la découverte d'une espèce celle -ci est déjà menacée par l'urbanisation humaine. Source
  19. Envoi d'un python vivant par la poste JOHANNESBURG (Reuters) - Panique au bureau de poste sud-africain de Sabie, à environ 300 km au nord-est de Johannesburg - un python blanc s'est échappé d'un sac postal que les employés étaient en train de vider. Le reptile, d'un mètre de long, a pu être par la suite capturé par un responsable des Eaux et Forêts. Le destinataire du colis a été inculpé de transport illégal d'animaux par voie postale. Jon Herskovitz, Jean-Loup Fiévet pour le service français Source
  20. L’ancien site d’épuration de Feigères recolonisé par la nature On en sait un peu plus sur le devenir du lagunage de Feigères, cet ancien site d’épuration des eaux usées. Les conclusions d’une étude diligentée par la Communauté de communes du Pays de Gex (CCPG) pour le compte du contrat de rivières viennent en effet d’être rendues par le cabinet CIDEE. Et si elles apportent de bonnes nouvelles environnementales, elles laissent aussi un goût amer aux pêcheurs (lire par ailleurs). Ils ne verront en effet pas l’aménagement d’un bassin piscicole pour établir une école de pêche souhaitée par les pêcheurs du canton de Collonges. Il s’agissait pourtant d’un objectif clairement affiché par le contrat de rivières dans les scénarios de réhabilitation de la lagune de Feigères. Ce n’était pas le seul. L’aménagement vise également à écrêter les pics de crues du ruisseau de Chanvières et ainsi protéger le hameau de Greny. Il s’agit également de soutenir les débits d’étiage de ce même cours d’eau. Bref, si les pêcheurs sont laissés pour compte, en revanche le lagunage de Feigères affiche une belle santé biologique. Trois espèces d’amphibiens recensées Après analyse, il apparaît que le site possède des habitats naturels dans un excellent état de conservation avec des systèmes patrimoniaux reconnus d’intérêt communautaire abritant des espèces rares et protégées. Depuis 2001, la lagune a été recolonisée par la végétation aquatique, constituant un habitat de vie pour les amphibiens. Trois espèces ont été recensées dont une patrimoniale, à savoir le crapaud commun (bufo bufo) qui possède un statut de conservation classé en “quasi menacé” à l’échelle régionale. Le secteur de Feigères est aussi inventorié comme un site d’écrasements d’amphibiens entre la forêt et les lagunes. Deux intéressants scénarios de gestion ont été présentés et chiffrés. Mais rien pour les pêcheurs ! Source
  21. Maurice : Réintroduction de 60 boas d'une espèce en voie de disparition PORT-LOUIS (Xinhua) - Soixante boas d'une espèce en voie de disparition ont été réintroduits à la fin du mois d’octobre sur l'île du Coin de Mire à la pointe nord de Maurice, a annoncé le Service national des parcs et de la conservation (NPCS) de Maurice. Les boas de l'espèce Cassea dussiemerii sont originaires de l’île Ronde, une autre île mauricienne située un peu plus au nord. Le boa de l'île Ronde, à l'instar de nombreux reptiles à Maurice, est menacé d'extinction. Il est le seul membre survivant de la Bolyeridae, une famille de serpents uniques à Maurice. La réintroduction de ce reptile dans un de leurs anciens habitats naturels au Coin de Mire se fait après plus de 150 ans, indique le NPCS, un organisme opérant sous l'égide du ministère de l'Agro-Industrie. C'est la première fois dans la région des Mascareignes, que des serpents sont relogés pour assurer leur survie, ajoute cet organisme de conservation. Les boas sauvages ont été capturés à la main par une équipe de spécialistes du NPCS, de la Mauritian Wildlife Foundation (MWF) et du Durell Wildlife Conservation Trust (DWCT) du Royaume-Uni. Une sélection a été opérée d'abord parmi les individus capturés pour exclure les risques potentiels liés à la maladie lors d'une délocalisation. Les reptiles ont été mis sous observation dans des unités de détention spécialement conçues sur l'île Ronde pour une durée de quatre jours maximum. Une équipe travaillant sur l'île Coin de Mire est ensuite venus les récupérer avant de les y relâcher la nuit. Les serpents sont surveillés en utilisant un équipement de vision de nuit. Ce projet fait partie du Mauritius Reptile Conservation Project lancé en 2006 pour restaurer la communauté des reptiles dans les îlots autour de Maurice. Source
  22. Neuf nouvelles espèces de tarentules découvertes au Brésil Des tarentules arboricoles mal connues ont eu le droit à un nouveau coup de loupe de la part des chercheurs et neuf nouvelles espèces ont ainsi été découvertes. Si elles sont toutes brésiliennes, certaines vivent sur de hauts plateaux en dehors de l'Amazonie. L’Amazonie semble être l’endroit idéal pour trouver de nouvelles araignées et la plus grande forêt du monde n’a pas failli à sa réputation. Rogério Bertani de l’institut Butantan de São Paulo est parti étudier les tarentules de son pays avec la nette impression que beaucoup d’espèces manquaient toujours à l’appel. Résultat, il est revenu avec pas moins de neuf nouvelles espèces et une foule d’informations sur celles déjà connues. Le who’s who des nouveaux arachnides a été publié dans la revue Zookeys et comprend typhochlaena costae, typhochlaena amma, iridopelma katiae, typhochlaena curumim, typhochlaena paschoali, pachistopelma bromelicola, iridopelma marcoi, iridopelma oliveirai et iridopelma vanini. Elles appartiennent toutes à la famille des tarentules arboricoles que l’on retrouve également en Afrique et en Asie. Elles sont en général plus légères et élancées que leurs cousines terrestres et sont des grimpeuses hors pair. Une véritable résurrection "Au lieu des sept espèces connues jusque-là dans la région, nous en avons maintenant seize, s’enthousiasme Rogério Bertani. Un genre, dont on ne connaissait qu’une seule espèce mystérieuse découverte en 1841, a vécu une véritable résurrection et comprend à présent cinq espèces. Il s’agit des plus petites tarentules arboricoles du monde et les analyses indiquent que nous avons à faire à un genre très ancien. On peut les considérer comme des reliques d’un vieux taxon jadis plus répandu." Mais Rogério Bertani a également poussé ses recherches en dehors de l’Amazonie et a découvert de nouvelles espèces sur de hauts plateaux rocheux où les arbres sont rares. Les tarentules vivent alors surtout sur des broméliacées qui leur fournissent de l’eau et un abri des rayons du soleil. Ces plantes à fleurs forment souvent des sortes de buissons, les ananas en font par exemple partie. Mais même si ces lieux sont difficiles d’accès, le chercheur s’inquiète que les couleurs vives de certaines tarentules n’incitent des braconniers à les attraper pour les vendre comme animaux de compagnie. Source
  23. Une petite grenouille à trois doigts découverte dans le sud du Brésil GUARAQUECABA (Brésil) - En pleine randonnée dans une réserve protégée de la forêt tropicale atlantique, dans le sud du Brésil, le biologiste Michel Garey se remémore la chance qu'il a eue le jour de son anniversaire, lorsqu'il a trouvé une nouvelle espèce de grenouille à trois doigts. On était avec deux amis au sommet d'une colline de la réserve quand on a vu cette petite grenouille à trois doigts seulement, raconte-t-il à des journalistes qui l'accompagnent dans cette visite de Salto Morato, une réserve naturelle de l'Etat du Parana et propriété du numéro un des cosmétiques brésiliens O Boticario. C'était le 14 février 2007, le jour de mon anniversaire. Quel cadeau!, se souvient-il. Mais ce n'est qu'en juin dernier que la découverte de cette nouvelle espèce - baptisée Brachycephalus tridactylus - a été officiellement établie et publiée dans la revue internationale Herpertologica. A l'époque, je faisais une étude sur l'environnement et je me suis dit que cela pouvait attendre, puisque aucun expert en grenouilles n'aurait accès à la réserve, explique le biologiste brésilien. Depuis le début 2011, j'ai mis 18 mois à collecter sept de ces nouvelles grenouilles, à aller dans des musées et à les comparer avec d'autres espèces, à confirmer qu'elles étaient nouvelles et à rédiger mon article. La petite Brachycephalus tridactylus a été découverte à 900 mètres au-dessus du niveau de la mer. Sa principale caractéristique est l'absence d'un quatrième doigt aux pattes arrières, que le biologiste attribue à un processus évolutif. Elle est presque entièrement orange et mesure moins de 1,5 cm avec des petites taches rondes olivâtres. M. Garey affirme que le mâle émet quelque 30 cris par jour en période de reproduction. Il ignore encore qu'elle est la population de ces amphibiens dans la réserve. Cela fera l'objet d'une prochaine recherche. La nouvelle grenouille fait partie des 43 espèces d'amphibiens trouvés dans cette réserve de 2.253 hectares à Guaraqueçaba, la ville la plus à l'est de l'Etat du Parana. On recense 950 espèces d'amphibiens - grenouilles, crapauds , salamandres - au Brésil, contre quelque 6.700 dans le monde. Les amphibiens, animaux à sang froid, sont de plus en plus menacés par la pollution et l'apparition d'une maladie fongicide infectieuse liée au changement climatique. Un tiers des 6.700 espèces connues sont menacées de disparition, selon les experts, et depuis 1980, plus de 120 espèces ont complètement disparu. La vie complexe des grenouilles Comprendre le cycle complexe de la vie des grenouilles, qui passent une partie de leur vie dans l'eau et l'autre sur terre, est crucial parce que cela peut servir de bio indicateur de la qualité de l'environnement, affirme M. Garey, qui est capable de reconnaître les différentes espèces simplement en écoutant le cri du mâle. Elles ont la peau perméable, ce qui les rend plus sensibles aux rayons ultra-violets et leur température corporelle change avec l'environnement, explique-t-il. Quand elles sont au stade de têtards dans l'eau, elles s'alimentent de plusieurs organismes comme des algues et à l'âge adulte, elles mangent des insectes. Les têtards sont dévorés par des poissons alors que les adultes sont la proie de reptiles et de divers mammifères, précise-t-il, évoquant leur impact en cascade dans la chaîne alimentaire. Salto Morato, créée en 1994, protège une partie significative de la Forêt atlantique, l'écosystème le plus dévasté du Brésil. La Forêt atlantique recouvrait 15% de tout le territoire brésilien et aujourd'hui, elle a déjà disparu à près de 93%. Il n'en reste que 28.600 km2, la plupart dans des réserves forestières, selon la Fondation SOS Mata Atlantica. Cet écosystème a été déclaré patrimoine naturel par l'Unesco en 1999. Source
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