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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Une nouvelle espèce de grenouille à New-York Une nouvelle espèce d'amphibien, reconnaissable à son coassement bien particulier, a été découverte au cœur de New York. «Nous ne sommes pas le premier avril?» s'inquiète un chercheur un peu interloqué par la nouvelle… Il est vrai que l'information a quelque peu surpris la communauté scientifique: une nouvelle espèce de grenouille a été découverte non pas au fin fond de l'Amazonie mais au cœur de la ville de New York. C'est ce que vient d'annoncer la National Science Foundation (NSF), l'agence fédérale de recherche américaine. Il s'agit d'une nouvelle grenouille léopard. Elle n'avait sans doute pas été identifiée auparavant car elle ressemble beaucoup à d'autres espèces. «Pour identifier les espèces on s'appuie sur leur chant et aujourd'hui sur les tests ADN qui nous permettent de distinguer deux grenouilles impossibles à différencier à l'œil nu» explique Annemarie Ohler, professeur au Muséum national d'Histoire naturel. C'est effectivement un coassement bien particulier, confirmé par des analyses ADN, qui ont permis d'identifier le batracien new yorkais dont le principal terrain de jeu est le stade des Yankees dans le Bronx. On la trouve également sur Staten Island et dans le nord du New Jersey. «Qu'une nouvelle espèce soit passée inaperçue dans ce secteur est incroyable» souligne Brad Shaffer, biologiste d'UCLA (université de Californie). Cette grenouille qui n'a pas encore reçu de nom devait vivre auparavant à Manhattan. Les grenouilles au cœur des villes ne sont pas si rares. Au Jardin des plantes au centre de Paris, on recense quatre espèces différentes. Aussi réjouissante que soit cette nouvelle, elle ne doit pas occulter le fait que les grenouilles «sont très menacées» rappelle Annemarie Ohler. «Elles dépendent beaucoup de l'eau pour vivre. Or la pollution, la disparition des zones humides et la création de barrages sont autant de raisons de leur disparition aujourd'hui dans le monde, sans oublier les maladies dont une provoquée par un champignon». Source
  2. Thouars - La famille et le serpent échappent aux flammes Un incendie s’est déclaré ce vendredi vers 17h30 au 65, avenue Victor-Leclerc, en plein centre de Thouars. Un couple d’une trentaine d’années et ses trois enfants, âgés de 5 mois à 8 ans, ont dû appeler les pompiers et quitter précipitamment leur domicile après que le sèche-linge a commencé à brûler. Le feu s’est répandu dans toute la cuisine, mais l’intervention rapide des pompiers de Thouars a permis d’empêcher la propagation au reste de la maison. En raison des dégâts liés à la fumée, celle-ci va cependant rester inhabitable pendant un certain temps. Le couple et ses enfants vont donc être rélogés durant quelques temps dans leur famille. Une fois les lieux sécurisés, les pompiers ont également pu sortir sain et sauf de la maison le serpent domestique du père de famille, un magnifique elaphe guttata, connu aussi sous le nom de serpent des blés, dont le terrarium s’était brisé sous l’effet de la chaleur. Plus d’infos dans la Nouvelle République du samedi 17 mars. Source
  3. Disparition inquiétante de deux espèces de lézards communs aux îles Hawaii Les extinctions des espèces spectaculaires par leur taille, leur biologie ou leur endémisme sont largement médiatisées. Mais curieusement, bien que l'intérêt biologique et écologique soit considérable, l'extinction d'espèces communes et à très large répartition semble passer le plus souvent inaperçue. Une équipe franco-américaine composée de deux chercheurs, Ivan Ineich du Laboratoire « Origine, Structure et Evolution de la Biodiversité » (Muséum national d'Histoire naturelle/CNRS, Paris) et Robert Fisher (US Geological Survey, San Diego), a montré l'extinction aux îles Hawaii de deux espèces de petits lézards scincidés très communs et largement répartis dans le Pacifique Sud tropical. Les résultats de cette étude sont publiés cette semaine dans la revue Oryx. Présentes dans tout le Pacifique - depuis la Nouvelle-Guinée jusqu'à l'atoll de Clipperton et aux îles Hawaii, y compris en Polynésie française et à Wallis et Futuna - les deux espèces ont longtemps été confondues. Ce n'est qu'en 1987, dans ses travaux de thèse, que Ivan Ineich a montré que Emoia cyanura était, en fait, composée de deux espèces qui cohabitent le plus souvent : le « vrai » Emoia cyanura et Emoia impar . L'examen par les deux chercheurs de tous les spécimens des îles Hawaii conservés dans de nombreux muséums européens et américains, ainsi que leur analyse bibliographique et leurs prospections récentes sur les îles Hawaii, ont permis de mettre en évidence la chronologie de l'extinction des deux espèces : E. impar, pourtant commune et abondante ailleurs dans le Pacifique tropical, a disparu après 1900 aux îles Hawaii, et l'introduction très récente de la seconde espèce aux îles Hawaii, E. cyanura, juste avant 1970, a été suivie par son extinction rapide après 1990. Ce travail analyse les facteurs qui expliqueraient l'extinction de lézards communs aux Îles Hawaii : la cause la plus probable retenue par les auteurs est la fourmi à grosse tête, Pheidole megacephala. Sa date d'introduction concorde avec celle de l'extinction de E. impar, mais aussi de nombreuses autres espèces de vertébrés, notamment des oiseaux endémiques des îles Hawaii. Ce travail ouvre une nouvelle porte à la Biologie de la Conservation en attirant l'attention sur l'intérêt des collections historiques (qui permettent d'apprécier l'évolution temporelle des peuplements). « Les collections sont des livres dont seules quelques pages sont lisibles actuellement », souligne Ivan Ineich, également responsable des collections de reptiles au Muséum national d'Histoire naturelle depuis 1988. Ces recherches montrent la nécessité de la systématique (décrire, classer, nommer) et l'importance d'étudier les espèces communes, trop souvent jugées sans intérêt. Ce travail pointe également l'extrême sensibilité des « grosses bêtes » vis-à-vis des « petites bêtes » introduites (surtout les virus, bactéries, champignons et arthropodes), dont l'impact autrefois négligé et pourtant si destructeur pour les vertébrés doit être reconsidéré. Les extinctions de ces deux espèces communes sont une alarme et des travaux complémentaires devront les expliquer mais aussi éviter qu'elles ne se renouvellent pour d'autres espèces, s'il n'est pas déjà trop tard ! Source
  4. Avec mon horaire chargé et l'horaire de l'animalerie, je n'aurai probablement pas le temps avant mercredi malheureusement.
  5. Oui mais je n'arrive pas à prendre de belles photos de lui pour le moment. Je vais vous le montrer sous peu. Je suis en vacance depuis 17h même si mon horaire est très chargé. Je devrais trouver le temps de faire ça.
  6. La saison des amours, celle de tous les dangers pour les crapauds BIODIVERSITE - A la saison des amours, les crapauds prennent tous les risques pour se reproduire. Y compris celui de se faire écraser... Pour les crapauds, le printemps est la saison de tous les dangers. Dès la fin février, les amphibiens quittent leur vie terrestre, dans les forêts, pour rejoindre leur vie aquatique dans les mares et les étangs, où ils pondent leurs œufs. Si entre les deux passe une route, c’est le carnage. Plusieurs associations se mobilisent pour aider les crapauds à vivre leurs amours sans risque. Des bâches et des seaux pour la sécurité des crapauds Samedi 10 mars, 10h du matin, sur une route communale d’Ormoy-la-Rivière dans l’Essonne. Une petite dizaine de bénévoles s’active pour installer une bâche d’une trentaine de centimètres de hauteur sur 700m le long de la route. Tous les dix mètres, des seaux sont enterrés dans le sol: «Les crapauds descendent de la forêt pour aller vers l’étang de l’autre côté de la route, explique Patrice Raveneau, de la Fondation Nicolas Hulot. Ils sont arrêtés par la bâche et la longent jusqu’à tomber dans le seau. Le matin, nous faisons traverser les seaux avec les crapauds dedans.» C’est une voisine qui a alerté sur le nombre de crapauds écrasés sur cette route : «On a limité la casse depuis deux ans, avant on voyait plein de crapauds écrasés», se souvient Odile. Faute de crapauduc souterrain, les «crapaudromes» restent le meilleur moyen de faire traverser les amphibiens en toute sécurité: sur cette petite route, l’an dernier, les bénévoles ont fait passer 3.500 crapauds, mais 500 y ont laissé la vie. «Quand elles ne les écrasent pas, les voitures les retournent par leur vitesse et la peau du crapaud, très collante, reste scotchée au bitume. C’est la mort assurée», explique Daniel Prugne, de l’Association intercommunale des naturalistes du Val d’Orge (AINVO). «Au-delà d’une voiture par minute, les crapauds n’ont aucune chance.» Plusieurs associations se sont rassemblées pour construire le crapaudrome: les CPN (Connaître et protéger la nature), l’AINVO et même la maison familiale rurale de l’Essonne verte dont les élèves de troisième et de terminale ont creusé les sillons. Le Conseil général a fourni le matériel: «C’est une manière de traiter les trames vertes et bleues et de favoriser le passage de la faune, explique Jean-Marc Lestrat, chef d’équipe Etudes et aménagement des sites et itinéraires départementaux au Conseil général de l’Essonne. C’est aussi une question de sécurité routière.» Risques de «crapauplanning» Car le dévouement pour les crapauds n’est pas sans risque: les bénévoles doivent venir ramasser les seaux tôt le matin, par temps pluvieux, risquant eux aussi de se faire renverser. Pour éviter un accident, la mairie a limité la vitesse à 30km/h sur ce tronçon de route, mais les associations en demandent la fermeture de 19h à 22h en mars et avril. «Nous avons étudié le problème mais ce n’est pas possible car il faudrait mettre en place une déviation et seule cette route mène au pont accessible aux poids lourds», argue Jean-Claude Reveau, le maire d’Ormoy-la-Rivière. En attendant, les automobilistes aussi prennent des risques: dérapages, freinages, ou «crapauplanning», comme l’appelle Marc Giraud, vice-président de l’Association pour la protection des animaux sauvages (Aspas), qui essaye de rassembler toutes les associations agissant pour les crapauds et d’inciter chacun à prendre un crapaud par la main. «Les crapauds sont utiles car quand ils sont têtards, ils mangent les larves de moustiques, et adultes ils mangent les limaces et les escargots, c’est une aide pour les jardiniers», explique Marc Giraud. Malheureusement, leur population diminue malgré une libido très développée: «Les crapauds sont totalement obsédés, au printemps ils s’accrochent à tout ce qui bouge, poursuit Marc Giraud. Dans les mares, les femelles ont parfois six ou sept mâles en même temps sur le dos. Mais quand ils se font écraser avant de s’être reproduits, on estime qu’on perd un tiers des effectifs chaque année.» Si le Conseil général de l’Essonne participe à l’installation de bâches le long des routes départementales, l’engagement des pouvoirs publics reste encore très timide. Seules les associations se mobilisent et tentent de trouver des moyens de sensibiliser le public: l’Aspas vend ainsi des panneaux «Attention, traversée de crapauds» à installer sur le bord des routes. Audrey Chauvet Source
  7. Les Seychelles de moins en moins le paradis des tortues et autres perroquets Orages de plus en plus violents, longues saisons sèches: les Seychelles n'ont plus rien de paradisiaque pour plusieurs espèces rares, comme la tortue géante, menacées par le dérèglement climatique, mettent en garde les experts. "Les saisons tendent à se confondre. Il y a davantage de pluie, mais de façon plus intense, et de plus longues saison sèches. Le climat bouleverse les modes d'alimentation et de reproduction" de nombreux animaux, s'inquiète Rolph Payet, spécialiste seychellois des questions climatiques. Le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) a accordé cette année 8,7 millions de dollars (6,6 M EUR) pour aider les Seychelles à s'adapter aux changements climatiques. Une partie de l'enveloppe doit permettre à la population seychelloise -- 85.000 habitants répartis sur cet archipel de 115 îles -- de mieux faire face aux sécheresses récurrentes. Mais le reste doit permettre d'aider, aussi, les animaux. "Il y a ici toute une série d'animaux en danger, depuis des espèces rares de tortues qui viennent pondre sur nos plages, jusqu'aux crapauds des montagnes et à certains oiseaux comme le perroquet noir, une espèce endémique aux Seychelles", relève M. Payet. Sur l'atoll d'Aldabra, un site classé par l'Unesco situé à plus de 1.100 km de la principale île des Seychelles, Mahé, plus de 100.000 tortues géantes Aldabra profitent, immobiles, du soleil. La tortue Aldabra, une des plus grosses au monde, est menacée d'extinction selon l'Union internationale pour la conservation de la nature, un risque accru par les dérèglements climatiques. "Le changement climatique provoque une multiplication des orages, des marées plus fortes, autant de phénomènes qui érodent nos côtes. Le réchauffement de la mer détruit également les barrières de corail, qui assurent de la nourriture aux poissons mais qui protègent également les côtes des vagues", relève M. Payet. L'atoll d'Aldabra ne s'élève que de quelques mètres au dessus du niveau des eaux turquoises de l'Océan indien, au risque qu'il soit un jour submergé, et avec lui les tortues qui y trouvent aujourd'hui refuge. "Il n'y a pas que les tortues Aldabra qui soient en péril", ajoute David Rowat, de l'association de protection de la vie marine des Seychelles, qui mène un programme de marquage et de suivi d'une autre espèce de tortues, les Hawksbill, sur les plages de Mahé. "On chasse depuis toujours les tortues Hawksbill pour faire des bijoux à partir de leur carapace. Elles ne sont pas nombreuses, mais leur population ici est la cinquième plus importante au monde, et nous devons les protéger", plaide M. Rowat. Or le changement climatique ajoute un nouveau danger pour cette tortue, qui a la particularité de ne donner naissance en grande majorité qu'à des femelles si les oeufs sont trop exposés au soleil, menaçant ainsi la reproduction de l'espèce. "Le réchauffement entraîne également une fréquence accrue d'orages violents. Les tortues pondent dans le sable, mais un orage particulièrement puissant peut emporter tout un pan de sable, et avec lui une portée entière de tortues", relève M. Rowat. "Nous plaçons les oeufs que nous trouvons au dessus du niveau de la marée haute, mais cela ne suffit pas forcèment à les protéger en cas de brusque montée des eaux", ajoute-t-il. Les subventions onusiennes devraient permettre des solutions à plus long terme. "Parmi les pistes auxquelles nous pensons, figurent l'érection de poteaux de bois pour protéger la côte, la plantation d'arbres pour lutter contre l'érosion, la réimplantation de corail, ou la transplantation d'un corail plus résistant", énumère M. Payet. La Fondation des îles des Seychelles veille pour sa part à la protection d'espèces rares dans la Vallée de Mai, un parc national sur l'île Praslin qui abrite entre autres l'oiseau Bulbul, le renard volant à tête grise, une espèce rare de chauve-souris, ou encore le gecko des Seychelles. Au dessus des palmiers volent des perroquets noirs. "On ne les trouvent que sur l'île de Praslin. C'est un oiseau splendide, mais il est également menacé car le bouleversement des saisons peut amener à une raréfaction de sa nourriture", relève M. Payet. (AFP) Source
  8. Le changement climatique, une menace de plus en plus grande pour de nombreuses espèces rares aux Seychelles Orages de plus en plus violents, longues saisons sèches, érosion des côtes, destruction de la barrière de corail : les Seychelles ne sont plus un paradis pour plusieurs espèces rares, et en particulier la tortue Aldabra, la plus grosse tortue terrestre au monde, et aussi les tortues Hawksbill, menacées par le dérèglement climatique. En danger aussi, l'oiseau Bulbul, le renard volant à tête grise, une espèce rare de chauve-souris,le gecko des Seychelles ou encore le perroquet noir, le bouleversement des saisons entrainant une raréfaction de la nourriture. L'alerte est lancée ! Source
  9. Des chercheurs découvrent d'incroyables fossiles "gigognes" Des chercheurs allemands ont décrit leur récente découverte : celle du fossile d’un gros poisson tenant dans sa gueule les restes également fossilisés d’un petit reptile volant, dont le gosier contenait enfin les restes d’un petit poisson… Une scène de prédation figée depuis 120 millions d'années. C’est lors de fouilles réalisées en Bavière que l’équipe d’Eberhard Frey, paléontologue au Muséum d'histoire naturelle de Karlsruhe (Allemagne) a mis au jour un ensemble fossile exceptionnel, vieux d’environ 120 millions. Il s’agit des restes d’un aspidorhynchus, un poisson carnivore cuirassé de 63,5 centimètres de longueur, dont la gueule (et les environs de celle-ci) contenaient les restes également fossilisés d’un petit ptérosaure, un reptile volant d’une envergure de 68,5 centimètres, apparemment happé par les ailes. Mais la surprise ne s'arrête pas là... car dans le gosier de ce dernier se trouvaient les restes non totalement digérés d’un leptolepides, un poisson de petite taille. Selon les scientifiques cités par le magazine Live Science, le ptérosaure ne figurait certainement pas au menu habituel de l’aspidorhynchusa, qui a vraisemblablement attrapé le reptile pêcheur par erreur : une tendance qu’ont aujourd’hui encore certains poissons à gober des ‘proies’ indigestes. "Apparemment, la rencontre a été fatale pour eux deux. Les poissons, parfois, ne prennent pas garde à ce qu'ils mangent. Parfois, on trouve des poissons morts d’avoir mangé un autre poisson trop gros pour être ingéré, et la même chose est arrivée ici, avec ce ptérosaure", a expliqué Eberhard Frey. Source
  10. La biodiversité nocturne racontée aux amateurs Dans le cadre de la campagne « Un dragon dans mon jardin ? » et du programme d'animation 2012, le CPIE Seignanx et Adour organisait, vendredi soir, une sortie nature à la rencontre des grenouilles, tritons et salamandres. Les présentations de ces amphibiens ont d'abord été faites avec un diapo résumant les espèces landaises. La soirée a continué avec une sortie nocturne. Les participants ont ainsi pu découvrir qu'un simple fossé recèle une riche biodiversité cachée vivant la nuit. Tritons et salamandres Enfants et adultes ont donc fait connaissance de la grenouille agile et ses futurs enfants les pontes, du triton palmé, friand de ces grenouilles en devenir, et de la salamandre, cet animal aux pastilles dorées. Pour tous ceux qui souhaitent participer à cette campagne de recherche d'amphibiens, les informations sont sur le site de l'Union régionale d'Aquitaine des CPIE : www.urcpie-aquitaine.eu Source
  11. LA NUIT DES AMPHIBIENS Le printemps arrive: grenouilles et tritons vont migrer vers les étangs pour y pondre. La nuit du 17 MARS, le Jardin botanique de Neuchâtel vous invite à les prendre sur le fait. Par Mireille Monnier - Mis en ligne le 13.03.2012 La grenouille rousse ouvre toujours le bal. Dès que la température passe la barre des 10 °C, elle sort de sa léthargie, rabat la couverture de feuilles sous laquelle elle a hiberné en forêt et fonce vers le premier étang accueillant pour s’y accoupler. La fièvre amoureuse se propage ensuite à tous les amphibiens du cru. D’abord le crapaud commun et les tritons, alpestre et palmé, puis les grenouilles, verte, rieuse et Lessona; enfin, dans les rares sites où il survit, le crapaud accoucheur au chant flûté ferme la marche, en avril. SAUVE QUI POND! Niché dans le vallon de l’Ermitage, juste au-dessus de la ville, le Jardin botanique de Neuchâtel offre trois pièces d’eau à ses hôtes coassants. Mais c’est hors du jardin que l’étang tout proche de Combacervey accueille la plus grande diversité d’amphibiens. Equipé d’une lampe de poche et guidé par le codirecteur du Jardin botanique, Blaise Mulhauser, vous pourrez découvrir les étonnantes stratégies adoptées par chacun pour assurer la survie de l’espèce. La grenouille rousse et le crapaud commun misent sur la quantité: la femelle largue des œufs par milliers, que le mâle féconde ensuite. Le triton, lui, incite la femelle à passer au-dessus de l’endroit où il a déposé son sperme, qu’elle va absorber dans son cloaque; quelques jours plus tard, celle-ci pond parcimonieusement un œuf par-ci, par-là, à l’abri dans une feuille qu’elle replie. Chez les crapauds accoucheurs, c’est le mâle qui s’y colle: il enroule le cordon d’œufs autour de son ventre et en prend soin jusqu’à l’éclosion. Quant à la grenouille verte, qui a la particularité d’être un hybride provenant du croisement entre les grenouilles Lessona et rieuse, elle ne peut se reproduire qu’en fricotant avec une Lessona. La nuit des amphibiens samedi 17 mars dès 18 h, Jardin botanique de Neuchâtel, entrée libre. Munissez- vous d’une lampe de poche, de bottes caoutchouc et de vêtements chauds. Rendez-vous à la maison des jardiniers. Source
  12. La Ferme Tropicale, une étonnante animalerie spécialisée dans les reptiles à Paris Cette grande animalerie propose à la vente serpents, lézards, tortues et autres grenouilles. Les spécialistes des reptiles y trouveront leur bonheur et les curieux pourraient bien se plaire à visiter cet endroit insolite ! Au cœur du XIIIe arrondissement, une faune sauvage s’ébat paisiblement. Nous sommes à la Ferme Tropicale, non loin du boulevard de l’Hôpital. Sur plusieurs centaines de mètres², deux étages et des dizaines de vivariums, on vend des spécimens de reptiles en tout genre. Véritable petit zoo urbain, la Ferme Tropicale est la grande animalerie parisienne uniquement spécialisée dans l’élevage reptilien et batracien. En plus de vendre des serpents ou des tortues, la magasin propose à sa clientèle tout le matériel utile à la possession de ces animaux sauvages et singuliers. L’élevage de reptiles reste une activité méconnue mais qui semble faire de plus en plus d’adeptes. Entrons dans l’animalerie. Depuis son vaste bac, un iguane (Iguana iguana) long d’1’70 mètres vous souhaite la bienvenue. Véritable mascotte de la Ferme Tropicale, il n’est pas à vendre. La direction du magasin a souhaité montrer que la détention d’un tel reptile nécessitait beaucoup d’espace. L’achat d’animal sauvage ne peut être un acte anodin. L’enseigne met donc à la vente des vivariums de toutes dimensions. Comptez 179 euros pour un bac de bonne taille. Rassurez-vous, des petits iguanes sont à la vente, plus loin dans le magasin, moyennant 29 euros. Le milieu dans lequel évolue votre reptile est décisif pour la réussite de votre élevage. Il vous faudra recréer un environnement naturel. Cela demande patience, application et savoir-faire. La Ferme Tropicale vend tout le nécessaire pour organiser votre vivarium. On trouve des lianes à 35 euros. Le magasin permet aux clients de parfaire leurs connaissances en proposant des stages de formation qui ont lieux sur place. Vous y trouverez des informations sur la terrariophilie, les règlements de détention ou les maladies qui touchent les reptiles. Après avoir salué l’iguane, il s’agit d’avancer plus profondément dans la Ferme Tropicale. Sur la gauche, vous serez immédiatement charmés par d’amusants caméléons. Curieux, ils semblent intrigués par les clients. Les petits caméléons casqués (Chamaeleo calyptratus) sont parmi les plus faciles à élever. Ils sont conseillés pour les débutants. Le vivarium du dessous est celui des caméléons de Jackson. Ils semblent tout droit sortis de la préhistoire avec leurs trois cornes. Eux, demandent une grande attention. Pour les élever, il vous faudra reproduire avec précision leur environnement naturel. Un caméléon pour initiés donc ! Il vous en coûtera 225 euros. Un peu plus loin se fait entendre le coassement des grenouilles. Celles-ci ne sont pas les grenouilles vertes ou autres rainettes que nous connaissons. L’animalerie met à la vente des batraciens venus d’Afrique, d’Asie ou d’Amazonie. Le prix de la plus belle revient à la Dendrobates azureus. Comme son nom l’indique, elle est d’un bleu clair séduisant. C’est la vedette du rayon ! De plus, elle est facile à élever. En revanche, son prix – 119 euros pour une grenouille si petite – laisse un peu songeur. Ceux qui préfèrent s’orienter vers le crapaud commun d’Afrique (Bufo regularis) feront quelques économies. Moins gracieux que la grenouille dentrobate, il est aussi moins onéreux (24 euros pièce). Un peu de lenteur : nous arrivons au rayon des tortues ! Il s’agit ici de distinguer tortues terrestres et tortues d’eau. La sympathique tortue grecque – la plus fameuse des tortues terrestres – vous coûtera 239 euros pour un mâle. La tortue étoilée d’Inde (Geochelone elegans) – qui coûte 355 euros – attendrira les passants avec sa petite carapace ronde. Du côté des aquariums, nagent les tortues d’eau. La petite Kinosteron bauri , originaire de Floride, est une bonne nageuse (79 euros par spécimen). Les jolies couleurs vertes et jaunes de la Mauremys caspica – 59 euros – pourraient bien vous séduire. Montons l’escalier. L’étage est celui de tout les frissons : c’est là que se trouvent les vivariums à serpents ! Retenons les plus impressionnants : Le Boa constrictor imperator est un classique chez les terrariophiles. Sa tête allongée, en forme de V, très caractéristique, en fait une figure de proue du monde reptilien. Rassurez-vous, son apparente hostilité cache une docilité qui favorise grandement son élevage ! On trouvera des spécimens à 295 euros. Autre serpent fameux, le python brongersmai, étonnera par sa robe aux motifs parfaitement dessinés. Les prix varient selon l’âge et le sexe : comptez 490 euros pour un mâle déjà adulte ; 1750 euros pour une jeune femelle, dont vous pourrez suivre la croissance. Tout ce petit monde, il va falloir le nourrir ! La Ferme Tropicale dispose de rayons garnis de boîtes d’insectes vivants – grillons, criquets, vers - prêts à être consommés. Il vous faudra dépenser 3 euros pour une boîte de grillons noirs. Un gros serpent ne saurait être satisfait par quelques insectes : un réfrigérateur en libre accès est rempli de petit rongeurs, prêts à être dégustés ! Gerbilles ou hamsters vous coûteront 4 euros pièce. Le souriceau est à 1 euro. Pour vos boas et pythons, il faut un met de choix : comptez 5 euros pour un rat, 400 euros les 100. Assurément, cette enseigne mérite le coup d’œil. Pour les parisiens qui souhaitent se lancer dans l’élevage de reptiles, la Ferme Tropicale constitue sans doute la meilleure adresse ! lafermetropicale.com Source
  13. Je fais un petit message pour souhaiter la bienvenue à o0bibitte0o parmi l'équipe de modérateur du forum! Elle sera dans la section batracien. Bienvenue o0bibitte0o!
  14. Un élevage de reptiles en pleine forêt amazonienne C’est un Aveyronnais, Jean-Pierre Austruy, qui élève, au beau milieu de la forêt amazonienne et avec les moyens du bord, des centaines de reptiles. On y retrouve des caïmans, des boas, des tortues et, en prime, un jaguar. Impossible de trouver la maison de Jean-Pierre Austruy, en plein forêt amazonienne, sans y être conduit. Cet Aveyronnais de 57 ans habite une propriété de 6 hectares située à une trentaine de kilomètres de Cayenne, sur la route de Kourou. Mais l'homme n'y habite pas seul... Le premier animal que l’on rencontre, après avoir grimpé une longue piste rocailleuse menant chez lui, c’est Choupetto, l'imposant jaguar mâle de 11 ans. La cage qui le retient, bien que vétuste, tient le choc. M. Austruy habite un peu plus haut, dans une maison elle aussi branlante où s’engouffrent le vent et la pluie. Torse nu, cheveux en bataille et moustache blanche, un cigarillo coincé à la commissure des lèvres, apparaît l’homme, qui vit ici depuis plus de trente ans avec sa compagne Véronique. "Bienvenue à Nigricollis Parc", lance-t-il chaleureusement en présentant sa ferme, du nom du plus gros cobra cracheur. Ancien boulanger-pâtissier, Jean-Pierre Austruy est depuis toujours passionné par les serpents, batraciens, lézards, et leurs grands frères caïmans. Avec très peu de moyens (les 580 RSA), il tient ainsi une impressionnante ménagerie. A la surface d'un grand bassin, l’eau, couverte de végétation aquatique, frémit. Un monstre colossal de 6 mètres apparaît : un caïman noir, le plus gros qui existe. "J'ai ici les quatre espèces de Guyane, explique M. Austruy : le noir, le rouge, le gris et celui à lunettes". En tout, quelques 90 sauriens de toutes tailles, répartis en différents bassins. Il y a là aussi plus de 250 tortues terriennes, carnivores et omnivores, que l'on voit déchiqueter en quelques instants, comme des piranhas, un morceau de viande. Dans plusieurs vivariums s'enroulent et se déroulent les quatre espèces de boas de Guyane : l'énorme constrictor de 3 mètres, le superbe émeraude, l'arc-en-ciel et celui de Cook. Un projet de "ferme pédagogique" Jean-Pierre Austruy nourrit ses animaux avec la viande périmée qu’il récupère auprès de grands distributeurs. Mais on ne lui facilite pas la tâche. Cité par l'AFP, il explique : "on m'a mis tous les bâtons dans les roues, saisi des animaux, empêché l'ouverture au public, poursuivi en justice.... Mais j'ai maintenant toutes les autorisations officielles de détention et d'élevage... Je vais présenter un projet de création de "ferme pédagogique" pour obtenir des fonds européens...Je ne capitulerai jamais...". Mu par une volonté sans faille, il conclut : "sans mes animaux, je n'aurais plus de raison de vivre !". Source
  15. haha question de savoir si les noms que tu as donné sont appropriés
  16. Non, ce n'est pas un truc assez fiable. Le chant ne ment pas lui.
  17. Scarlett Johansson : incollable sur les serpents ! La jolie blonde n'a rien d'une trouillarde et elle a assuré sur son dernier tournage. Depuis qu'elle a tourné dans le film Nouveau départ (We bought a zoo) qui sortira en France le 18 avril et dans lequel elle jouait une gardienne de zoo, Scarlett Johansson a acquis de nouvelles compétences en matière d'animaux... et plus particulièrement à propos des serpents ! Là où certains seraient morts de peur, l'actrice de 27 ans a relativisé cette expérience potentiellement effrayante :"Dans une scène, nous devions récupérer un arrivage de serpents exotiques, comme des pythons où des anacondas. C'est sûr que vous n'allez pas sur une tournage en sachant que vous allez remettre 70 serpents dans un seau et en pensant que c'est un job normal. Mais vous le faîtes, vous y allez." a-t-elle expliqué dans une interview au magazine You. Et elle a même ajouté : "Je ne m'approchais pas trop près avant d'avoir identifier de quelle espèce il s'agissait. Mais s'il n'était pas vénimeux, je pouvais m'en sortir. Franchement, un serpent, ce n'est qu'un gros muscle." Waouh, peur de rien, Scarlett ! M.G Source
  18. J'espère qu'au moins ça peut t'aider!
  19. Etat des lieux sur le Lézard ocellé en Camargue Durée et type de contrat : Stage Niveau d'études : BAC+3 Thématique : Espaces naturels, faune, flore Ville : ARLES Type d'offre : Stage indemnisé Date de début du contrat : 02/04/2012 Date limite de réponse : 23/03/2012 Date de publication : 09/03/2012 Durée de la mission (mois) : 0 DESCRIPTION DE L'OFFRE Organisme recruteur : Parc Naturel Régional de Camargue Quelques populations relictuelles de Lézard ocellé sont identifiées sur le domaine de la Tour du Valat depuis 2002. L’objectif du projet est de cerner la répartition du Lézard ocellé dans deux espaces naturels protégés de Camargue (Tour du Valat et terrains du Conservatoire du Littoral), de nombreuses zones favorable à cette espèce n’ayant pas été prospectées ou de façon inadéquate. Cet inventaire sera réalisé dans la perspective de la mise en place d’un suivi sur le long terme, l’élaboration et le test d’un protocole de suivi standardisé est donc essentiel. MISSION 1. Réaliser un inventaire des données historiques d’observations de Lézard ocellé - récolte d’informations auprès de particuliers 2 Elaborer et mettre en place un protocole de suivi standardisé 3 Cartographie des habitats et suivi des observations (Mapinfo / Qgis & Base de donnée ACCESS) 4 Test du protocole standardisé et test des différents outils de détection pour le Lézard ocellé : Jumelles / à vue / sous plaques / caméra-gîte / fèces / traces sur zones sableuses / Photo-automatique 5 Analyse des données (R) et rédaction Le stage devra principalement assurer la mission 4, les mois d’avril et mai y seront entièrement consacrés. PROFIL CANDIDAT/E Niveau d’étude : Etudiant en licence professionnelle Motivation certaine pour le terrain Connaissances en herpétologie préférables Autonomie et capacité d’initiatives Rigueur dans la collecte & la saisie des données de terrain Titulaire du permis B et véhicule personnel indispensable Niveau d'études : BAC+3 SALAIRE OU INDEMNISATION Salaire/Indemnisation : Indemnisation légale : 12,5 % du plafond horaire de la Sécurité sociale (soit 417 € pour un temps complet de 151,67 heures mensuel), équivalent à 30 % du Smic CONDITIONS DE TRAVAIL De nombreux déplacements sont à prévoir Mise à disposition d’un véhicule de terrain Les horaires de travail sur le terrain seront ajustées aux conditions météo (disponibilité en début de matinée et fin d'après-midi indispensable) Bureau : locaux PNR Camargue CONTACT Civilité : Monsieur Prénom : Damien Nom : Cohez Fonction/Service : Conservateur de la Réserve Naturelle Régionale Téléphone : 04 90 97 20 13 Télécopie : 04 90 97 20 19 Email : cohez@tourduvalat.org ENTREPRISE Nom de l'entreprise : Tour du Valat Thématique : Espaces naturels, faune, flore Adresse : Le Sambuc Code postal : 13200 Ville : ARLES Activité de l'entreprise : centre de recherche pour la conservation des zones humides méditerranéennes Taille de l'entreprise (nbre de personnes) : 20-100 Site web : www.tourduvalat.fr Source
  20. La Theloderma asperum est une espèce d'amphibien de la famille des Rhacophoridae. Les Rhacophoridae forment une famille d'amphibiens. La plupart des espèces de cette famille sont arboricoles. La Theloderma asperum est plus petite grenouille du genre, pour atteindre un maximum de 3 centimètres de long. Elle est surnommée "grenouille caca d'oiseaux" à cause de sa couleur. Son dos et son ventre sont noirs ; de petits points blancs sont présents sur le dessus et sa gorge est marbrée de blanc. La couleur principale de la grenouille est rouge-brun. Les côtés de la grenouille sont dans des teintes de blanc avec des taches rouges. La grenouille a les yeux rouges foncé. Il n'y a peu d'information biologique connu de cette grenouille, comme aucun adulte ont été capturés et seulement 20 jeunes ont été capturés qui sont morts en captivité. Cette espèce se rencontre jusqu'à 1 400 m d'altitude : en Birmanie, au Cambodge, en Chine (Xizang, Yunnan et Guangxi), en Inde (Arunachal Pradesh, Assam et Nagaland), en Indonesie, sur l'île de Sumatra, au Laos, en Malaisie péninsulaire, en Thaïlande et au Viêt Nam. Elle est particulièrement difficile à observer dans la nature car elle fait moins de 3 cm et dispose d'un camouflage efficace. Elle vit essentiellement dans les arbres, sur les branches qui lui ressemblent. Les Theloderma asperum sont des imitations d’écorce d’arbre, ce qui leur permet de se camoufler facilement. On les trouve généralement dans des trous d’arbre remplis d’eau, à l’intérieur des bâtons de bambous ou d’objets artificiel tel que des tuyaux de métal. Ils habitent surtout dans les plaines ou les forêts montagneuses. Elles ont un mode de vie arboricole, principalement la nuit et aquatique le jours. La Theloderma asperum est vraiment simple à maintenir en captivité T. asperum est vraiment simple à maintenir en captivité. Elles sont vraiment robustes. Elles peuvent être maintenues à des températures, je dirais entre 29°C-32°C pour l'air ambiant, j'estimerais la température de l'eau du paludarium utilisé à 22°C-25°C, ceci le jour. La nuit ça devrait chuter à 20°C-22°C, donc l'espèce est très tolérante, comme les corticale. Les variations de températures ne les dérangent pas plus que cela apparemment. La Theloderma asperum n'a vraiment pas besoin de beaucoup d'eau. Vous pouvez maintenir votre groupe d’individus dans un terrarium style exo-terra (12''x12'x18'') et y insérer une section d'eau consistant en un bac en plastique de 5''x5''. Elles passent leur vie autour de ce bac d'eau comme des enfants au bord d'une piscine style, une petite baignade, un peu de repos, un peu d'Apnée.... autant le jours que la nuit. Aussi, vous pouvez mettre des branches au dessus de l'eau sur lesquelles elles pondent régulièrement. Les mâles sont quasi tout le temps dans l'eau ou a proximité. Les femelles se situe plus dans les hauteurs du terra bien dissimulée. Comme substrat, personnellement, j’utilise du plantation soil avec de la mousse de sphaigne. Il est important de toujours garder la mousse humide. Un taux d’humidité de 80% sera bien apprécié par vos locataires. Le mâle qui tentera de séduire ces dames chantera assez fort. Certains disent que le chant ressemble à celui d’un serin. Personnellement, je le décris plutôt comme une chaise berçante qui grinche. Si vous avez la chance d’obtenir des œufs, voici ce qu’il vous attend. L'évolution des oeufs dure environ 8-10 jours (estimation). Le cycle de vie des têtard durent de 56-70 jours (estimation). Vous pourrez nourrir la progéniture de micro proie tel que drosophile, micro grillons, blattes, teignes, etc...
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