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Max|mum-leterrarium

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  1. 1/2, il faut quand même surveiller pour éviter l'obésité!
  2. Dordogne : des lézards protégés empêchent certains projets d'avancer La présence de lézards ocellés, une espèce protégée, empêche certains projets d'avancer, notamment sur la zone d'activités économiques. Pourtant, avec le soleil de lundi matin, les coupables auraient dû sortir le bout de leur museau… Même pas. Les lézards qui créent la polémique depuis quelques semaines se la jouent discrets, sur les terres de la Borne 120, sur la route de Saint-Geniès. « Personnellement, je n'y suis pas allé voir, mais j'ai des personnes de la mairie qui se sont déplacées, et elles n'en ont vu aucun. Je vous conseille de taper dans Google si vous voulez avoir une photo de ces fameux lézards, dont je ne connais même pas le nom exact », s'excuse le maire Jean-Jacques de Peretti. Ce sont des lézards ocellés (lire ci-contre) et ce que sait surtout le maire, c'est que cette espèce en voie de disparition est aujourd'hui protégée et interdite à la capture. « Nous avons appris son existence il y a environ deux mois, reprend-t-il, alors que nous avions demandé des enquêtes d'impacts. » Le plus grand lézard d'Europe Le lézard ocellé (timon lepidus) est une espèce de lézard endémique du sud-ouest de l'Europe de la famille des lacertidae, considéré comme le plus grand d'Europe. Il vit dans les pelouses sèches et milieux ouverts légèrement embroussaillés, habitats typiques du milieu méditerranéen. Un plan national d'action (PNA) est dédié au lézard ocellé depuis l'an passé, et ce jusqu'à 2015. Besoin de terrains Il y a quinze jours, lors du Conseil communautaire de Vézac, le maire n'avait pas caché son agacement face à ces petites bêtes « arrivées par hasard lors du défrichement », et qui retardent les projets nourris pour cette zone d'activités économiques (ZAE) : « Nous en avons chez nous, alors que la ZAE du Salignacois, juste à côté, n'en a pas. C'est scandaleux. » Jean-Jacques de Peretti et son équipe comptaient beaucoup sur ce site pour trouver des terrains devant permettre à des entreprises de s'implanter. Car, du côté de Vialard ou de Madrazès, les places sont déjà prises. « Nous avons effectivement quelques demandes, mais je ne peux dire lesquelles, ajoute le maire. Il peut s'agir de petites entreprises artisanales qui se développent et qui veulent venir ici pour bénéficier de notre main-d'œuvre qualifiée dans certains secteurs, ou d'autres, déjà présentes, qui cherchent à s'agrandir, comme Suturex qui a doublé sa surface. » En attendant, Jean-Jacques de Peretti donne rendez-vous après le 15 mars, puisqu'une réunion aura lieu avec la direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement (Dreal). « Dans de tels cas, il est prévu que des mesures compensatoires soient prises. Nous verrons bien. » Sarlat-la-Canéda · Jean-Jacques de Peretti · environnement · Saint-Geniès · insolite Source
  3. Japon: des tambours pour réveiller l'appétit sexuel d'alligators alanguis Un zoo du nord du Japon croit avoir trouvé la solution pour réveiller l'appétit sexuel de Susu et Yoyo, deux alligators chinois à la libido défaillante: un concert de tambours. Les gardiens du zoo Maruyama de Sapporo comptent sur le battement sourd des grands tambours japonais "taiko" pour encourager les reptiles à s'accoupler en raison de la similitude de cette sonorité basse avec les cris poussés par cette espèce avant le coït. "Après avoir entendu le son des tambours, la femelle Susu a poussé plusieurs cris, mais le mâle Yoyo n'a pas semblé intéressé", a dit Hideaki Yamamoto, un des responsables du zoo. "Nous pensons que les tambours ont fait leur effet. Nous espérons faire un nouvel essai pendant la saison des amours des alligators qui dure de février à mars", a-t-il ajouté. Le zoo avait réussi dans le passé à faire se reproduire les reptiles en frappant sur la vitre de leur enclos, mais ce n'est plus possible depuis les travaux de rénovation. "Le nouvel enclos construit l'an dernier est doté d'un écran épais en acrylique qui n'émet pas le son voulu", a expliqué M. Yamamoto. "Le fait d'avoir migré dans un nouvel environnement peut avoir stressé les alligators, et coupé au mâle l'envie de s'accoupler", selon lui. Le zoo a réussi à donner naissance à trois alligators en 2001, un en 2008 et 16 en 2009. Source
  4. Tu peux acheter seulement ce que tu as besoin. Ça mange 2-3 grillons chaque par jour. Tu peux nourrir moins fréquemment avec des plus grandes quantités. Personnellement, je nourris 2 fois semaine.
  5. Je leur ai testé des grillons 1/2 ici et elles ont été capable de les manger. Si c'est plus facile pour toi d'en trouver.
  6. haha Compte toi chanceuse, plusieurs se plaignent de ne jamais voir leurs grenouilles. Toi, tu as la chance de les voir!
  7. Ecologie d'une espèce d'amphibien dans les Pyrénées Description de l'annonce Type d'annonce: Offre de stage L’objectif de ce stage est de caractériser l’écologie d’une espèce d’amphibien endémique au travers d’une étude de l’utilisation de son habitat. En particulier, l’étude vise à déterminer les facteurs écologiques favorables à cette espèce dans des ruisseaux présentant une hétérogénéité spatiale. Elle consistera en des inventaires des populations lors de l'été 2012. La perspective de ce stage est à la fois fondamentale et appliquée. Fondamentale dans la compréhension des caractéristiques écologiques de l’espèce concernée et appliquée, en biologie de la conservation, en mettant l’accent sur des populations menacées. Le volet terrain de ce stage se déroule de début juillet à début septembre 2012 dans les Pyrénées espagnoles. Si besoin est, le stage peut-être plus long mais dans ce cas, la fin du stage se passe à l'Université de Liège (Belgique). Il est nécessaire de disposer d'un véhicule (du moins pour arriver sur place). Ce stage se déroule en parallèle à un autre stage de sorte que les sorties se font toujours au minimum en binôme. Contact : à qui et où envoyer les réponses ? Nom: Mathieu Denoël Adresse électronique: Mathieu.Denoel@ulg.ac.be Adresse postale: Unité de Biologie du Comportement, Université de Liège, 22 Quai van Beneden, B-4020 Liège, Belgique Téléphone: 003243665084 Site Internet: http://www.etho.ulg.ac.be/denoel/ Remarques / Instructions pour la réponse: Les étudiants intérressés peuvent contacter M. Denoel par email en présentant un CV détaillé ainsi qu'une lettre de motivation Source
  8. NATURE Fréquence Grenouille 08/03/2012 05:23 (0) NATURE Fréquence Grenouille Le Comité départemental de la protection de la nature et de l'environnement de Loir-et-Cher participe à l'opération nationale Fréquence Grenouille. Elle a pour but de promouvoir les zones humides et la faune qui y est associée. Le CDPNE propose de partir sur les traces des amphibiens qui peuplent le lavoir de Huisseau-sur-Cosson. Si petits, si discrets, si mystérieux, venez découvrir la vie étonnante des grenouilles, crapauds et autres tritons. Gabriel Michelin, chargé d'études faune et Héloïse Varlet, animatrice, vous proposerons de découvrir à la fois, la biologie et le cycle de vie particuliers de ces batraciens, mais aussi les contes et légendes liés à ces animaux méconnus. Lampe de poche, bottes et tenues chaudes sont fortement recommandées. Rendez-vous vendredi 16 mars, de 18 h à 21 h 30, place de la maire de Huisseau-sur-Cosson. Ouvert à tous. Gratuit. Réservation indispensable auprès du CDPNE, tél. 02.54.51.56.70. Source
  9. Ça fait plaisir, je suis content que tu les aimes! Tu as fais un bon boulot pour le terrarium. Elles aiment se cacher dans la végétation donc si tu tiens à ajouter des choses, ajoutes des plantes pour qu'elles se cachent. Si tu veux plus d'amis, je t'organiserai ça
  10. Seule personne que j'ai connu qui avait eu ça a dut la faire importer.
  11. France : des serpents envahissent un immeuble ! Grâce à un trou dans leur cage, des serpents en ont profité pour s'évader et visiter l'intérieur d'un immeuble HLM dans le département de la Haute-Saône, en Franche-Comté. Pour le plus grand effroi des habitants. C'est la panique à la résidence HLM Petitguillaume à Faverney, un village d'un millier d'habitants situé au Nord de Vesoul (Haute-Saône). Plusieurs serpents ont investi un immeuble HLM depuis jeudi dernier. Il s'agit de couleuvres, non venimeuses, qui mesurent tout de même 1,5 mètre de long et dont la morsure, bien que non toxique, peut s'avérer très douloureuse. Selon Le Parisien, c'est à cause de la maladresse d'un nouveau locataire qui a cassé la cage de ces reptiles au cours de l'emménagement il y a une quinzaine de jours que les animaux ont pu s'échapper. Ce dernier avait alors simplement colmaté la brèche avec du scotch. Autant dire qu'à partir de cette réparation de fortune, cela a été "journée portes ouvertes" pour les serpents. Un serpent retrouvé, deux autres en liberté ! Trois d'entre eux en ont profité pour s'évader jeudi dernier et un seul de ces sympathiques animaux a été retrouvé. Ce dernier a tout de même trouvé le temps d'effrayer toute une famille. "Nous étions en train de diner lorsque notre fils de huit ans est allé chercher du fromage dans le réfrigérateur. Il a hurlé qu'il y avait un serpent dans la bouche d'aération juste au-dessus de lui. Au début, on ne l'a pas cru mais quand on est arrivé dans la cuisine et qu'on a vu la bestiole ramper sur les tuyaux du gaz, notre sang n'a fait qu'un tour. Dix minutes plus tard, on avait ramassé quelques habits, les affaires des enfants et nous étions dehors", relate Stéphanie, la mère, relayée par le journal francilien. Depuis cette malheureuse trouvaille, cette famille vit quelques kilomètres plus loin chez des amis en attendant une offre de relogement. Pourtant, le propriétaire est venu récupérer depuis le reptile fugitif mais rien n'y fait. Il faut dire que deux autres couleuvres squattent encore l'immeuble, et on ignore pour l'instant où elles se trouvent. Pas de quoi rassurer les résidents d'autant plus que le spécialiste animalier, sollicité par la gendarmerie, a expliqué que toute installation de piège est inutile et que le mieux est d'attendre que ces serpents refassent leur apparition. source gentside Mercredi 29 Février 2012 - 17:48 Source
  12. La mâchoire du T-rex est bien la plus puissante de toutes Publiant leur étude mercredi 29 février dans Biology Letters, des chercheurs britanniques ont montré, à partir de modélisations informatiques, que les mâchoires du tyrannosaure avaient jusqu’à plus de 5 tonnes de pression par dent, ce qui font d'elles les plus puissantes de tous les animaux terrestres ayant jamais vécu. 3,5 tonnes au minimum : c’est la pression exercée à la pointe de chaque dent par une morsure de Tyrannosaurus rex, selon les estimations du Dr Karl Bates, biologiste à l'Université de Liverpool. À partir de données musculo-squelettiques provenant de fossiles de T-rex et d’autres animaux anciens, ainsi que de crânes de prédateurs actuels et même de données humaines, son équipe a étudié, modélisé sur ordinateur et comparé les performances biomécaniques de la morsure de chacune de ces créatures. Résultats : l’homme, avec 70 à 100 kilogrammes de pression par dent, est un piètre ‘mordeur’ comparé à son contemporain, l’alligator d'Amérique (Alligator mississippiensis), lequel affiche lui-même un score 8 à 10 fois inférieur à celui du tyrannosaure, champion toutes catégories, qui développe de 3,5 à 5,7 tonnes par dent ! Avec son poids de 6 tonnes et du haut de ses 12 m, ce dernier était donc bien, semble-t-il, le plus formidable prédateur terrestre. Une découverte qui tord le cou aux hypothèses qui faisait de lui un charognard presque exclusif, certains paléontologues mettant en évidence – un peu vite - sa mâchoire ‘trop faible’… Source
  13. Au royaume des araignées, les myopes sont reines (Agence Science-Presse) Cette araignée sauteuse entraînerait les vendeurs de lunettes à la faillite : plus elle voit mal... et plus elle attrape de proies! On se demande bien comment elle fait puisque, pour faire un saut impeccable, elle doit être capable d’évaluer la distance —ce qui est pour le moins difficile avec une vision brouillée. Paradoxalement, viennent d’établir des biologistes japonais, c’est justement la façon dont elle fonctionne: c’est le contraste entre la partie de sa vision qui est brouillée et la partie qui l’est un peu moins, qui lui fournit les coordonnées dont elle a besoin. Avec des yeux comme ça, un humain trébucherait un peu partout, mais l’araignée sauteuse d’Adanson, elle, n’en manque pas une. Source
  14. Saisie de neuf mille œufs de tortue verte Les gendarmes de Saint-Laurent du Maroni ont découvert hier (mardi), vers 22 h 30, dans une pirogue qui venait d'accoster, neuf mille œufs de tortue verte conditionnés dans des sacs poubelle. La tortue verte est une espèce protégée. Les gendarmes continuent leur enquête pour retrouver le propriétaire de la pirogue et de la marchandise. Plus de détails dans l'édition de demain (jeudi) de France-Guyane Source
  15. Fréquence grenouille: pour aider les amphibiens et sensibiliser le public PARIS - Aider les grenouilles à échapper aux voitures et, au-delà, sensibiliser le grand public à la fragilité des mares, étangs, marécages ou roselières utiles aux amphibiens comme aux hommes: la 18e édition de la manifestation Fréquence grenouille débute jeudi pour trois mois. Plus de 400 manifestations sont prévues jusqu'au 31 mai dans toute la France au cours de cette opération dont le coup d'envoi est donné jeudi à la réserve naturelle de la Tourbière des Dauges, à Saint-Léger-la-Montagne (Haute-Vienne). Le grand public pourra participer à des opérations sauvetage de batraciens, par exemple à travers la construction de passages sous les routes (crapauducs). D'autres opérations consistent à piéger volontairement les amphibiens dans des seaux installés en bordure de route le soir puis à vider ces seaux de l'autre côté le lendemain pour éviter que les animaux ne meurent écrasés par des voitures. Avec le printemps, les grenouilles et crapauds quittent les zones boisées ou les haies où ils ont passé l'hiver pour migrer vers des points d'eau où ils vont se reproduire, explique Christophe Lépine, porte-parole de l'opération. Mais au-delà du sauvetage de milliers d'animaux, des conférences et des sorties diurnes ou nocturnes sont organisées dans toute la France pour sensibiliser le grand public à la fragilité des zones humides, terme générique englobant mares, étangs, marécages, roselières, tourbières, etc. L'idée, c'est de dire aux gens: +si vous trouvez ces animaux sympas, sachez qu'ils vivent dans des milieux fragiles, parfois à cause de l'homme qui détériore la qualité de l'eau ou les a supprimés par le drainage, mais aussi parfois parce que l'homme n'intervient pas assez pour les entretenir, souligne M. Lépine. Préserver les zones humides permet aussi de mieux prévenir les inondations et peut avoir des impacts sur le tourisme, rappelle-t-il. La dernière édition a réuni quelque 10.500 participants, selon le réseau des Conservatoires d'espaces naturels, qui regroupe des associations participant à la gestion de 130.000 hectares sur plus de 2.300 sites en métropole et en outre-mer. (AFP / 29 février 2012 13h55) Source
  16. La salamandre tachetée au Sermon : une espèce protégée. 24 février 2012 : un habitant de la commune nous signale la présence d'une magnifique salamandre tachetée dans une prairie, au Sermon. Accompagné de deux de mes enfants, nous nous rendons sur place pour une séance photo. Amphibien discret, hôte des massifs de moyenne montagne (le Massif Armoricain est une très vieille montagne) et habitant généralement les bois, aimant l'ombre, l'humidité, la salamandre tachetée fréquente aussi le bocage de nos campagnes bretonnes, où elle aime se loger à l'abri des vieilles souches, sous les feuilles mortes et l'humus. Terrestre, elle ne rejoint les points d'eau que pour pondre, en février-mars, du moins sous nos climats cléments. C'est d'ailleurs à cette époque qu'elle devient vulnérable, car elle n'hésite pas à sortir pour traverser prairies, chemins, routes. Comme elle se déplace lentement, ses proies sont principalement les limaces, les escargots, certains coléoptères, les mille-pattes, les lombrics et autres vers. On l'associait jadis au feu, car elle apparaissait souvent, comme par enchantement, des grosses bûches creuses livrées aux flammes de la cheminée. Certains, même, pensent l'avoir vue en train de téter le lait des vaches... Comme tous les amphibiens, rappelons qu'il est interdit de la déranger, de la transporter, et qu'elle est intégralement protégée, au titre des trop nombreuses espèces menacées. Source
  17. Le lézard à langue bleue sauvé de l'envahisseur... par un envahisseur Qui pourra sauver le lézard à langue bleue du crapaud buffle, un envahisseur toxique ? Réponse : une plante, elle aussi toxique et invasive ! De ce ménage à trois australien, c'est le lézard qui sort gagnant et la nature qui montre qu'elle se gère mieux seule. L’histoire écologique de l’Australie est truffée d’introductions incontrôlées d’animaux. Certaines d’entre elles ont posé des problèmes écologiques puis économiques importants. C’est le cas de celle du crapaud buffle (Rhinella marina ou Bufo marinus), introduit dans les années 1930 et devenu un vrai désastre environnemental. Mais ironiquement, une espèce de plante, invasive elle aussi, pourrait résoudre le problème. C’est afin de lutter contre un coléoptère ravageur des plantations de canne à sucre, Dermolepida albohirtum, que le crapaud buffle a été importé en Australie. Il y a rapidement proliféré et représente maintenant un danger pour les espèces natives de l’île qui s’en nourrissent. Ce batracien sécrète en effet des toxines appelées bufadiénolides. Une plante invasive pour sauver les lézards à langue bleue Les lézards du genre Tiliqua, que l’on appelle également lézards à langue bleue, font partie de ces prédateurs. Les populations de Tiliqua scincoides ont fortement chuté dans le nord du pays, où le crapaud invasif est présent. Mais depuis peu, les chercheurs de l’université de Sydney ont noté que certaines populations, qui n’avaient pourtant jamais été en contact avec les batraciens toxiques auparavant, étaient moins sensibles aux toxines que d’autres congénères. Les résultats sont parus dans The American Naturalist. Quel est leur secret ? Une plante… invasive. Les populations qui vivent à côté des espèces du genre Bryophyllum – normalement endémiques de Madagascar – et qui s’en nourrissent ont en effet acquis une forme de résistance à la toxine de ces plantes, similaire à celle des crapauds buffles mais sensiblement moins puissante. Les introductions ratées en Australie Ces plantes ont exercé une pression de sélection sur les populations de lézards et seuls les individus les plus résistants ont été sélectionnés. Lorsque les crapauds sont arrivés dans ces zones, leurs prédateurs étaient déjà préparés... L'histoire pourrait plutôt bien se terminer pour les lézards à langue bleue et du même coup pour le gouvernement australien qui dépensait des millions de dollars dans la lutte contre les batraciens. Les Australiens sont d’ailleurs les champions de l’introduction ratée. À leur palmarès, on compte par exemple celle des lapins de garenne (Oryctolagus cuniculus) en 1859 pour la chasse récréative. Elle fut un tel désastre – 60 millions d’individus s’attaquant aux cultures en 1950 – que les autorités durent importer le virus de la myxomatose, face auquel certains lapins commencent à développer une résistance. Dans les années 1840, les dromadaires ont été importés pour le transport mais ils sont devenus inutiles avec l’arrivée des voitures et pullulent maintenant tout en dévastant la flore locale. Malgré tous ces échecs, des chercheurs ont émis l’idée d’introduire des éléphants d'Afrique afin de se débarrasser des hautes herbes de la savane australienne… On n’apprend pas toujours de ses erreurs. Par Bruno Scala, Futura-Sciences Source
  18. Rencontrez l’araignée qui mange… des serpents Araignées, serpents. Plus d’un sont terrorisés par ces bestioles et en cauchemardent la nuit. A tous ces phobiques des serpents et les arachnophobes en tout genre, laissez-moi vous présenter votre pire cauchemar : l’araignée qui mange des serpents. Quelle ne fut pas la surprise de cette réceptionniste de bureau sud-africaine lorsqu’elle découvrit un serpent pris dans la toile d’une araignée de la famille des veuves noires. Tania Robertson a découvert le serpent pris dans la toile, juste à côté de son bureau. Mais Les sud-africains sont visiblement plus habitués aux araignées que les français. Alors que n’importe quel bon hexagonal aurait matraqué la veuve à coups de pelle pendant une minute pour s'assurer de sa mort, voir appelé les pompiers pour se débarrasser du couple araignée/serpent mort, les employés ont décidé de laisser l’insecte en paix pour voir comment il allait gérer ce plat gargantuesque. D’après les témoins, l’araignée aurait passé deux jours à tisser une toile autour du serpent, le hissant peu à peu complètement du sol, tout en dévorant régulièrement le reptile. Faites de beaux rêves. Source
  19. Saint-Joseph : le python Kaha de retour à la maison Ses propriétaires n’en reviennent pas. "Quand je me suis levé, ce matin vers 4 h 20, elle était sur le meuble où se se trouve son terrarium habituellement. Soit à l’endroit d’où elle avait disparu", raconte Eric Elisabeth. Ce Saint-Joséphois ne cache pas sa joie. Après 15 jours dans la nature, son python royal, une femelle nommée Kaha, est revenue à la maison. Ce serpent d’1,20 m, inoffensif, était recherché depuis le 13 février. "En y réfléchissant, c’est à se demander si elle est vraiment sortie de notre cour. On a cherché là, bien sûr, mais il y a tellement de cachettes que le serpent aurait pu se dissimuler, poursuit l’habitant du quartier des Cent-Marches. Je suis vraiment soulagé. Après 15 jours, on commençait à désespérer, on pensait même la retrouver morte. Mais elle est en bonne santé". Dès cet après-midi, Kaha aura droit à sa petite souris de bienvenue. "Elle doit avoir faim, souligne son protecteur, passionné. Habituellement, je la nourris une fois par semaine". Mais pas de quoi paniquer non plus, un python royal peut jeuner pendant un an dans la nature... Source
  20. Les serpents constricteurs, un fléau en Floride À la suite de l’invasion du parc des Everglades par des serpents constricteurs exotiques, le gouvernement américain a interdit l’importation de quatre espèces. Sujets : Agence Science-Presse , Floride , Sibérie , Fleuve Kolyma De nos jours, l’anaconda jaune et le python de Birmanie pullulent dans les parcs naturels de Floride. Depuis leur arrivée dans la région en 1979, les pythons se comptent par dizaines de milliers! On croit que les premiers individus proviendraient d’élevages d’animaux de compagnie exotiques. Ces populations de serpents sont difficiles à contrôler, car ils vivent longtemps, se reproduisent vite et n’ont pas de prédateurs. Leur appétit vorace a un grave impact sur la faune locale (reptiles, oiseaux, mammifères). Depuis l’an 2000, on a constaté la quasi-disparition des ratons laveurs, des opossums, des chevreuils et des lynx dans les secteurs infestés par le ce serpent. Les propriétaires des espèces de serpents touchées par cette loi pourront conserver leurs « petits protégés » si l’État dans lequel ils habitent les y autorise. Cependant, ils n’auront pas le droit de transporter ou de vendre ces reptiles hors de leur État de résidence. La fleur de 30 000 ans (Agence Science-Presse) – Voilà un écureuil, ou un de ses cousins, qui avait le don de faire des réserves de longue durée : des graines qu’il a entreposées il y a 30 000 ans... ont donné des fleurs! Des scientifiques russes ont trouvé les graines en question en 2007, emprisonnées dans la glace, en Sibérie. Non seulement fleurissent-elles, mais elles produisent à leur tour des graines qui donneront naissance à d’autres fleurs : la famille de ces Silene stenophylla, interrompue pendant 30 000 ans, a donc repris comme si rien ne s’était passé. Avec un peu d’aide du climat : non seulement les graines, entreposées près du fleuve Kolyma, ont-elles été emprisonnées sous de multiples couches de glace, dans un sol gelé en permanence, mais en plus, le temps passant, leur cachette s’est fossilisée — avec les graines à l’intérieur, du coup parfaitement protégées de l’humidité. Les scientifiques les ont trouvées à 38 mètres de profondeur. Personne dans la famille de l’écureuil ne les a réclamées pour l’instant. Source
  21. Une petite araignée tisse sa toile avec de longs, longs fils... Les chercheurs ont souvent démontré que la soie des araignées, indépendamment de l'espèce, est dotée d'excellentes propriétés mécaniques. Toutefois, les propriétés de la soie des tiges d'oeufs de l'araignée troglophile Meta menardi n'avaient jamais été étudiées. Ainsi, une équipe de chercheurs d'Italie et des États-Unis a mis sous les feux des projecteurs l'araignée européenne de l'année 2012 de la société européenne d'arachnologie. L'étude a récemment été publiée dans la revue PLoS ONE. Les scientifiques, sous la direction du laboratoire de bionanomécanique du Politecnico di Torino ont prélevé des fils à soie de plusieurs grottes d'Italie. En utilisant la microscopie électronique à balayage (FESEM), l'équipe a produit des images montrant que ces amas de soie étaient composés de longs fils, atteignant une longueur 7,5 fois plus longue que la longueur initiale de leurs fibres. Les araignées européennes troglophiles produisent de la soie pour fabriquer des sacs d'oeufs dans le but de protéger leurs petits. Les chercheurs ont également utilisé une machine de test de traction pour tenter d'évaluer le point de rupture des fils de soie. La majorité des espèces sécrètent sept ou huit types de soie selon les besoins. Par exemple, les fils de soie d'appui permettent aux araignées de s'accrocher aux surfaces, tandis qu'un autre type de soie est utilisé pour construire la toile dans laquelle l'araignée emprisonne ses proies. La femelle araignée troglophile produit des sacs d'oeufs en forme de goutte que l'on peut retrouver aux emplacements sombres et humides des grottes. Ces sacs pendent en petits amas formés de soie tubuliforme. Ces fibres sont revêtues d'une substance collante qui les tient en amas. Les données montrent que les fibres des tiges de sacs d'oeufs peuvent se dérouler sur plusieurs longueurs. «Les formes de ces courbes soumises à la pression ont la même forme que les amas de nanotubes de carbone», commentent les auteurs. «Ces courbes présentent une série de boucles qui indiquent les accros internes lorsqu'un amas est poussé dans une direction parallèle à son axe. Comme nous le confirment nos données, il s'y trouve également une série de boucles qui indiquent que ces accrocs au niveau des amas, une fois complètement chargé, proviennent de la fracture des petits sacs individuels. Bien que nos courbes soient similaires aux amas de nanotubes de carbone, elles sont complètement différentes de celles que l'on retrouve dans les amas de soie de fils d'appui et dans la soie des tiges de sacs d'oeufs. En comparant nos résultats aux leurs, nous voyons que leur tension et robustesse sont plus fortes. De façon étonnante, les pressions que subissent nos fibres sont plus élevées: certaines tiges ont été étirées à plus de 200%, atteignant même des valeurs de 721 à 751%, ce qui n'a jamais été vu sur un ensemble de fils de soie d'araignée. Ces élongations indiquent un mécanisme d'enroulement de l'amas.» Le professeur Nicola Pugno du laboratoire italien bénéficie d'une subvention de démarrage du CER d'une valeur d'un million d'euros au titre du septième programme-cadre (7e PC). Le projet BIHSNAM («Bio-inspired hierarchical super nanomaterials») a été lancé en début d'année et soutient la recherche associée à ces résultats. Pour de plus amples informations, consulter: PLoS ONE: http://www.plosone.org/home.action Politecnico di Torino: http://www.polito.it/ Source
  22. Vic-en-Bigorre. Migration de reproduction des amphibiens À l'initiative de Philippe Bricault, enseignant forestier au lycée agricole Jean-Monnet, dans le cadre du club nature, une action de protection des amphibiens lors de leur migration vers les étangs de l'établissement, situés route de Montaner, est reconduite depuis l'hiver 2010. D'abord, une opération destinée aux automobilistes avec la pose de panneaux de signalisation indiquant la traversée de grenouilles, durant la période de migration, pour la reproduction vers les étangs ; puis, cette année, une action plus directement ciblée vers la population des amphibiens avec la réalisation d'un dispositif avec barrière et seaux pour stopper leur voyage ; seaux relevés chaque matin pour le comptage des animaux avant de leur faire faire une traversée sécurisée. En 2011, la migration avait commencé le 13 février ; cette année, en raison des conditions météorologiques (froid notamment), les premiers à engager le voyage (2 grenouilles et 1 triton) l'ont fait dans la nuit du lundi 21 au mardi 22 ; la véritable migration ayant réellement démarré dans la nuit du samedi 25 au dimanche 26, avec un premier comptage de 38 crapauds, 2 grenouilles, 4 tritons palmés. Et, déjà, des pontes ont été notées. Source
  23. Une couleuvre joue toujours à cache-cache dans l'appartement Les habitants de la dizaine d’appartements de l’immeuble Petitguillaume de Faverney (Haute-Saône) ne sont toujours pas tranquilles. Ils partagent toujours, semble-t-il, le toit d’un serpent exotique. Il y a une semaine trois couleuvres américaines se sont échappées du vivarium d’un collectionneur habitant l’immeuble. L’un des serpents a rapidement été attrapé. L’Office HLM de Haute-Saône assurait qu’un deuxième reptile avait également pu être remis dans son vivarium hier. Reste qu’une couleuvre se cache toujours quelque part dans cette ancienne caserne aménagée en immeuble d’habitation. Des serpents non dangereux Encore trop pour Stéphanie Vignault. Cette mère de deux enfants a préféré quitter les lieux après que son fils de 8 ans a découvert l’une des couleuvres dans la cuisine. « Je ne reviendrai pas tant qu’il reste la possibilité de retomber sur un serpent. Les enfants ont eu très peur et ce n’est pas la peine de les traumatiser. » Stéphanie, son compagnon et leurs enfants ont pu trouver provisoirement un autre logement dans la famille. Un problème que l’on comprend aux HLM de Haute-Saône. « Nous avons fait à cette famille quatre propositions de relogement. Certaines ont été refusées, nous attendons les réponses pour les autres. Rappelons que ces serpents ne sont pas dangereux et que leur détention est autorisée. Cette famille est d’ailleurs la seule à avoir voulu quitter l’immeuble. » «On aimerait quand même bien qu’ils retrouvent le serpent, assurait hier un voisin. Je n’aimerais pas le voir passer près de moi quand je suis au lit.» « En tout cas, cela fait beaucoup parler dans la commune, ajoutait François Laurent, le maire de la petite cité. On peut quand même s’interroger sur ces nouveaux comportements qu’ont certains avec les animaux exotiques. Est-ce bien leur place dans un appartement de Faverney ? » Source
  24. Un musée albertain trouve un fossile rare DRUMHELLER, Alta. - Imaginez le dauphin Flipper, mais en beaucoup plus gros et muni de dents vraiment menaçantes. C'est essentiellement l'allure qu'avait un reptile marin qui hantait les mers anciennes de l'Alberta, selon un fossile vieux de 75 millions d'années récemment découvert dans le sud de la province. Des paléontologues du Royal Tyrrell Museum de l'Alberta ont trouvé ce fossile de mosasaure à la mine Korite, près de Lethbridge. Une équipe dirigée par le docteur Donald Henderson s'affaire actuellement à le récupérer. Les chercheurs croyaient tout d'abord n'avoir trouvé que la queue, mais ils savent maintenant être en présence d'un spécimen complet, long de six ou sept mètres. Le crâne, bien préservé, est muni de dents impressionnantes. Il s'agit d'un des fossiles de mosasaure les mieux préservés jamais découverts en Alberta. Le muséum d'histoire naturelle a expliqué que la mine Korite produit de l'ammolite, une pierre précieuse ressemblant à l'opale qui est formée par la fossilisation de créatures marines appelées ammonites. Ces dernières cohabitaient avec les mosasaures et d'autres reptiles marins dans les eaux de la mer Bearpaw, qui recouvrait l'Alberta il y a des millions d'années. C'est à ce même endroit que le muséum avait découvert, en 2007, le fossile d'une nouvelle espèce d'élasmosaure. Ce fossile sera au coeur d'une nouvelle exposition qui prendra l'affiche à compter du mois de mai. Il faudra environ cinq jours pour récupérer le fossile du mosasaure. Il sera ensuite transporté au muséum Tyrrell pour y être étudié. Source
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