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Montréal reptiles expo
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Sauvegarde des écosystèmes : avez-vous vu la tortue des bois?
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Sauvegarde des écosystèmes : avez-vous vu la tortue des bois? (Granby) La nature reprend ses droits avec le retour du printemps. La Fondation pour la sauvegarde des écosystèmes de la Haute-Yamaska (SÉTHY) profite de l'occasion pour lancer un avis de recherche afin de répertorier, dans la région, la présence de la tortue des bois, une espèce au statut vulnérable. Cet appel à tous s'inscrit dans le cadre du projet de conservation volontaire mené par la fondation SÉTHY, en collaboration avec Nature-Action Québec. Baptisé Le corridor bleu et vert de la Haute-Yamaska Nord, ce projet vise à faciliter la protection des espèces rares ou en danger de disparition et des milieux fragiles, en impliquant les propriétaires de terrains privés. Neuf spécimens de tortues de bois ont été identifiés dans la région depuis 2009, souligne Jean-François Ostiguy, technicien de la faune et administrateur de la fondation SÉTHY. Les tortues ont toutes été aperçues dans le même secteur, dit-il. Mais l'endroit n'est pas précisé, notamment pour éviter le braconnage. La tortue des bois est assez facile à identifier: elle a le cou orange vif et les pattes écailleuses. Attention de ne pas la confondre avec la tortue peinte, une espèce très commune dans la région, dont la tête est rayée jaune, tandis que le cou, les pattes et la queue sont rayés rouges. Si vous aimez vous promener le soir près d'un cours d'eau ou sur la piste cyclable ou bien, si vous faites du canot dans la région, vous risquez d'apercevoir une tortue des bois. Selon Jean-François Ostiguy, le mercure actuellement à la hausse pourrait les inciter à sortir de leur hibernation vers la mi-avril cette année. Protection Si vous apercevez l'une de ces tortues, vous êtes invités à transmettre vos données par courriel à M. Ostiguy à: jf.ostiguyhotmail.com. La Fondation informera par la suite les propriétaires du secteur afin de voir avec eux ce qu'ils peuvent faire pour assurer la protection de ce reptile menacé. Il est également recommandé de communiquer vos observations à l'Atlas des amphibiens et reptiles du Québec pour aider aux futures recherches. Source -
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L'exposition de Saint-Jean, organisée par l'AHM, DIMANCHE LE 18 MARS
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Grenouilles tomates
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SALON DES REPTILES / BESTIOLES
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Titanoboa, le plus gros serpent de tous les temps
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Titanoboa, le plus gros serpent de tous les temps On parle souvent du Mégalodon, ce squale géant de la préhistoire qui mangeait des grands requins blancs au petit déjeuner. En revanche, le Titanoboa, le plus gros serpent de tous les temps nous est moins familier. Il pourrait devenir mieux connu du grand public : l'an prochain, une reproduction grandeur nature du titanoboa sera mise à disposition des musées américains, et un film en images de synthèse sera diffusé à la télévision. Ce monstre pesait près de 14 mètres, alors que les plus gros pythons actuels dépassent rarement les 6 mètres, et il pesait plus d’une tonne. Au point le plus épais de son corps, le Titanoboa faisait un mètre de diamètre. Il était si gros que lorsqu’ils on trouvé le premier fossile d’un Titanoboa dans une mine colombienne, les paléontologues ont cru être tombés sur un crocodile. C’était évidemment un serpent constricteur qui étouffait ses proies et qui ne possédait probablement pas de venin. Les plus gros serpents du monde vivent dans les régions les plus chaudes du globe, alors que ceux des régions plus froides atteignent des tailles plus modestes. Aujourd’hui, en Colombie, la température moyenne est de 28 degrés. A l’époque du Tinoboa, elle était située entre 30 et 33 degrés. Le réchauffement de la planète va-t-il entraîner le retour des serpents géants ? Pas de panique, nous ne verrons pas de telles créatures de notre vivant, mais il sera possible de voir une reproduction grandeur nature du Titanoboa, à disposition de musées d’histoire naturelle américains à partir d’automne 2013. Source -
Une tortue marine relâchée en mer L'office d'exploitation et de protection des ressources aquatiques de Bac Lieu, en collaboration avec les autorités locales et des habitants, a relâché le 21 mars une tortue de plus de 15 kg au large de la ville de Bac Lieu (Sud). D'après les experts, il s'agit d'une tortue Caouanne ( Caretta Caretta ), une espèce rare et menacée de disparition. Cet animal peut être observé partout au Vietnam, notamment autour des îles de Bach Long Vi et de Cat Ba à Hai Phong (Nord-Est). - AVI Source
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Gironde : il gardait un python royal au foyer Un jeune placé en foyer comptait garder le reptile chez lui. L'animal a fait sensation. Mardi en fin d'après-midi, un adolescent de 14 ans placé en foyer à Eysines a exhibé sa dernière « acquisition » à des camarades : un petit python royal. Pour faire envie et pour faire peur. Un éducateur en a eu vent et a exigé du jeune qu'il ouvre son sac. Effectivement, dans une trousse se trouvait le petit reptile. L'animal a été confié aux bons soins de la fourrière départementale par les policiers du Bouscat intervenus pour constater l'infraction. Dans une animalerie Car le reptile avait été volé par ce jeune passionné qui entendait le ramener chez lui lors d'un prochain séjour au domicile de ses parents et le garder en attendant. C'est ce qu'il a admis le lendemain lors de son audition par les policiers d'Eysines. L'après-midi même, il avait pris le bus jusqu'à Bordeaux, s'était rendu dans une animalerie déjà repérée. Pendant que le vendeur était occupé ailleurs, il s'était approché du vivarium, avait saisi le python royal et l'avait glissé dans la poche de son survêtement. Une fois dehors, il l'avait « transféré » dans sa trousse de collégien. Source
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Avez-vous déjà aidé un crapaud en rut à traverser la route?
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Avez-vous déjà aidé un crapaud en rut à traverser la route? C'est la saison des amours pour les crapauds. De mi-février à mi-avril environ, les amphibiens sortent à la nuit tombée des zones boisées où ils vivent habituellement pour aller se reproduire dans la mare ou l'étang où ils sont nés. Puis ils font le chemin inverse. Le hic, c'est que ces crapauds, grenouilles et autres tritons doivent souvent traverser une route dans leur migration. Au risque de se faire écraser par les voitures. "Le matin, on retrouve parfois des centaines de cadavres dans une même zone", déplore Madline Reynaud, directrice de l'Aspas, l'Association pour la protection des animaux sauvages. "En France, tous les amphibiens sont protégés", précise-t-elle. Parmi les menaces qui pèsent sur eux: la destruction de leur habitat (assèchement des marais, remblaiement des mares...), la pollution de l'air, des sols et des eaux ou encore l'écrasement sur les routes, selon l'association, qui a lancé une campagne de protection. Celle-ci est parrainée par Laurent Baffie. Chaque printemps depuis 10 ans, l'animateur, qui est également humoriste et auteur, "fait les crapauds", comme il l'a récemment raconté sur 20Minutes.fr: il les ramasse par centaines pour les amener dans un étang à 2 kilomètres de chez lui. "Je suis hors la loi car on n'a pas le droit de toucher ou de déplacer une espèce protégée. Je m'en fous complètement", dit-il. Gare au 'crapaudplanning' Il n'est pas le seul à donner de son temps pour faire traverser les crapauds. Le soir, des bénévoles se regroupent dans certains villages pour les porter, explique Madline Reynaud à BazikPress. A d'autres endroits, des bâches ont été installées le long des routes pour empêcher les amphibiens de traverser. Ils tombent dans des seaux enterrés dans le sol, et chaque matin des bénévoles viennent les recueillir. Et certaines collectivités locales acceptent de fermer, pendant par exemple une heure le soir, telle ou telle route très fréquentée par les crapauds en rut. "La meilleure solution reste le crapauduc", ajoute toutefois Madline Reynaud. Ce sont des tunnels qui permettent aux amphibiens de passer sous la route, sans aucune aide. Pour les collectivités qui ne peuvent financer un tel investissement, l'Aspas propose aussi des panneaux de signalisation: ils indiquent aux automobilistes que la zone est traversée la nuit par des amphibiens et leur demandent de ralentir. "Les crapauds qui débarquent en masse sur les routes représentent aussi un danger pour les voitures, qui peuvent être victimes de 'crapaudplanning'", souligne-t-elle encore, car les crapauds glissent... Vous, qu'en pensez-vous? Plus d'infos: www.aspas-nature.org Source -
Australie: entouré de crocodiles, il trouve refuge sur une table de billard Un Australien de 65 ans a attendu des secours pendant trois jours dans un contexte plutôt hostile. Terry Donovan effectuait l'entretien d'une cabine sur pilotis louée aux pêcheurs, dans le Queensland (nord), lorsque l'eau a commencé à monter, isolant la maisonnette, sans moyen pour lui de repartir, a-t-il raconté au Cairns Post. L'homme a aussi et surtout dû composer avec la présence de crocodiles, auxquels il a échappé en s'installant sur une table de billard. «Le premier (crocodile) que j'ai vu était derrière la véranda, dans une trentaine de centimètres d'eau, peut-être un peu plus», a-t-il témoigné. «Je me suis dit "il faut que je fasse attention, il y a un crocodile. S'il y en a un, il y en a forcément deux ou trois autres, voire plus"». Effectivement. Terry Donovan aperçoit ensuite par la fenêtre un deuxième crocodile, placé sous la cabine sur pilotis. C'est alors qu'il décide d'emmener toutes ses provisions sur une table de billard, où il s'installe alors que l'eau continue de monter. L'eau «ne cessait de monter et elle est arrivée au-dessus des filets où sont collectés les boules de billard sur les côtés de la table», a poursuivi Terry Donovan, qui a finalement été secouru par un pêcheur parti à sa recherche, à la demande des autorités. Les crocodiles marins (appelés «salties») sont fréquents dans les régions tropicales et sauvages du nord de l'Australie. Ils tuent en moyenne deux personnes par an. Source
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Du venin d’araignée comme insecticide naturel La technique est encore à l’étude, mais le venin de plusieurs espèces d’araignées pourrait être utilisé comme insecticide naturel. Agriculteurs et jardiniers mènent un combat sans merci contre les insectes ravageurs. Et ce sont les araignées qui pourraient bien devenir de solides alliés pour nombre de fermiers. Des chercheurs de l’Institut pour la bioscience moléculaire de l’Université du Queensland (Australie) ont en effet identifié des centaines de protéines naturelles dans le venin de plusieurs espèces, protéines qui permettraient de tuer les insectes nuisibles proliférant dans les cultures, rapporte le site d’informations The Australian. L’araignée à toile entonnoir, la tarentule et l’araignée orbe seraient les producteurs de ces insecticides naturels, et d’après les scientifiques elles pourraient aussi servir à contrôler la propagation de parasites, en supprimant par exemple les moustiques, vecteurs de maladies. D’après Glenn King, responsable de l’équipe de scientifiques, les insecticides les plus efficaces ont été trouvés chez les espèces d’araignées primitives qui tuent leurs proies en sautant dessus avant de les mordre avec leurs crocs, sans même attendre qu’elles se retrouvent piégées dans leur toile. Le venin de l’araignée à toile entonnoir contiendrait quant à lui jusqu’à 500 « protéines insecticides » différentes, chacune possédant sa propre puissance et son espèce cible. Chaque protéine pourrait en théorie être « fabriquée » par les scientifiques, lesquels utiliseraient alors des bactéries pour produire des quantités suffisantes et commercialisables d’insecticides naturels. Si la recherche est toujours en cours – d’après M. King, il faudra encore de 5 à 7 ans pour que la technique soit au point -, le venin d’araignée pourrait constituer une alternative intéressante aux produits chimiques, auxquels ont recours beaucoup d’agriculteurs. En Australie comme ailleurs. Source
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SALON DES REPTILES / BESTIOLES
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