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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium
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Après l'érosion, les tortues et leur appétit menacent l'île de Maratua L’île de Maratua, dans le département de Berau, à Kalimantan-Est, est de plus en plus grignotée par l’érosion des sols et la mangrove qui protège encore un peu l’île disparait progressivement dans les ventres des tortues vertes, la faune locale. Les côtes de l’île de Maratua ont reculé de près de 10 mètres en seulement 15 ans. Cette délocalisation de l’île est due au ressac sur ses plages, à la destruction des récifs coralliens et de la mangrove qui sert normalement à en freiner l’érosion. Le développement des habitations modernes est lourd pour l’environnement car leur construction se fait à partir des coraux concassés que les fabricants prennent sur le littoral. De plus, les mangroves plantées par les pêcheurs pour protéger l’île disparaissent peu à peu car les tortues vertes qui les grignotent régulièrement ne leur laissent pas le temps de repousser. Les spécialistes alertent ainsi que si l’on ne construit pas au plus vite une digue pour protéger Maratua, l’érosion va continuer à gagner du terrain, comme le souligne le chef du canton, Kudarat cité par le Courrier International. De quoi inquiéter les habitants de l’île mais également toute l’Indonésie car elle constitue une frontière maritime pour le pays constitué de 13.466 îles. Si l’une de ces îles disparait, cela aurait de sérieuses conséquences sur la superficie territoriale de l’Indonésie et surtout sur la biodiversité qu’elle abrite. Source
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Les grenouilles à nouveau exposées au Musée d'Estavayer-le-Lac
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Les grenouilles à nouveau exposées au Musée d'Estavayer-le-Lac La restauration des grenouilles naturalisées de la maison de la dîme à Estavayer-le-Lac (FR) est terminée. Le conservateur du musée se montre très content du résultat: 107 des 108 batraciens ont retrouvé une seconde jeunesse sous les doigts experts de la conservatrice Magali Stoller. "Au départ, on pensait en perdre une trentaine", a déclaré à l'ats Denis Monnerat, conservateur du musée, revenant sur un article paru dans "La Liberté" samedi. Ces étranges grenouilles sont nées sous les mains passionnées d'un officier de la garde de Napoléon, qui les a évidées et remplies de sable, explique le conservateur. Depuis 1850, elles racontent les scènes de la vie quotidienne. Le temps et de mauvaises conditions de conservation ont altéré l'aspect des 108 grenouilles. "Leur peau était devenue craquelée, elles perdaient du sable et leur pigmentation", décrit Denis Monnerat. Après avoir nettoyé "les bestioles", il a fallu réparer les fissures, puis les remplir à nouveau de sable. Enfin, elles ont retrouvé des couleurs grâce à la repigmentation. Secrets révélés Ce travail a également permis de comprendre quelques secrets: "Les grenouilles sont maintenues en position grâce à du fil-de-fer", enfilé par la bouche des batraciens et qui rejoint leurs extrémités, raconte M. Monnerat. Au final, une seule grenouille n'a pas pu être sauvée. Elle sera quand même exposée afin de montrer aux visiteurs le travail de restauration réalisé par Magali Stoller, explique le conservateur. Il a fallu dix mois de restauration pour arriver à ce résultat, "sans dépasser le budget" de 102'000 francs voté par la ville, précise-t-il. Les grenouilles bénéficieront bientôt de nouvelles vitrines climatisées afin d'améliorer leurs conditions de conservation, conclut Denis Monnerat. (ats / 03.03.2012 20h26) Source -
Le propriétaire de l'iguane toujours recherché Les Nouveaux animaux de compagnie (Nac) peuvent vite se révéler encombrants. Ce n’est pas une raison pour les lâcher dans la nature. De mémoire de pompiers, c'est bien la première fois qu'un iguane de cette taille est retrouvé dans le département de l'Indre. Selon Alain Ygnace, commandant à la retraite, « nous avons déjà eu à faire à de gros pythons, des perroquets, voire des rats coincés dans des espaces privatifs, mais jamais d'iguane… Lorsque nous sommes alertés par une présence exogène, nous tentons généralement de nous déplacer avec un spécialiste qui saura avoir les bons gestes, les bonnes attitudes. » L'idée étant de recueillir l'animal en de bonnes conditions, puis de le conduire dans un lieu sécurisé. Chef du service départemental de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS), Yves Chastang précise que « les recherches pour retrouver le propriétaire de l'iguane se poursuivent, mais que les pistes sont bien minces. » L'animal qui a été retrouvé, lundi, mort dans la Creuse – au niveau du quartier Saint-Étienne – a fort bien pu être jeté loin de là. « Il a pu aussi ne pas supporter les récentes conditions climatiques hivernales et mourir de froid. » Autant de questions qui attendent des réponses. Obligatoirement déclaré Les animaux exotiques ne représentent pas la majorité des ventes de l'animalerie de Vive le Jardin. « Nous avons ouvert ce rayon il y a huit ans. C'est une niche qui correspond à une clientèle plutôt jeune, à la recherche d'animaux originaux, confirme le directeur, Emmanuel Denormandie. Contrairement aux chiens ou aux chats, les reptiles que nous vendons ne sont pas pucés. En revanche, nous sommes tenus de remplir un cahier, à la disposition de l'administration, avec les noms des nouveaux acquéreurs, qui doivent eux-mêmes déclarer leurs animaux. » Des bébêtes qui ne sont pas toutes inoffensives et qui doivent vivre dans un vivarium. Et des propriétaires qui doivent être conscients que certains iguanes mesurant 30 cm petits, peuvent atteindre 1,80 m adultes. Toutes les personnes ayant des informations sur cet iguane peuvent contacter l'ONCFS, tél. 02.54.24.58.12. Si vous voulez abandonner votre Nac : Refuge de l'Arche, tél. 02.43.07.24.38. Pour un reptile, contactez l'Aquarium de Trouville, tél. 02 31.88.46.04. Source
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En bref : le secret des araignées, des pattes antiadhésives
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
En bref : le secret des araignées, des pattes antiadhésives Les araignées tissent des toiles dans le but de capturer des proies. Le piège est redoutable car les fibres sont recouvertes d’une puissante colle biologique empêchant toute fuite. Mais comment font ces arachnides pour ne pas rester collées elles-mêmes ? Méticuleusement, elles posent sur le fil leurs pattes recouvertes de poils rigides et d’un revêtement antiadhésif. Encore une explication qui ne manque pas de piquant. Elles sont plus légères que le coton ou le nylon, mais aussi résistantes que l’acier. Qui sont-elles ? Les soies d’araignée bien sûr. Assemblées sous la forme d’une toile, elles permettent à ces arachnides de capturer leurs proies en plein vol. Par ailleurs, la puissance du piège est renforcée par le dépôt d’une colle biologique sur les fibres. Une question taraude alors de nombreux chercheurs. Comment font les araignées pour éviter de se faire prendre à leur propre piège ? Daniel Briceno, de l’université du Costa Rica, et William Eberhard, du Smithsonian Tropical Research Institute (STRI) à Panama, fournissent de nouveaux éléments de réponse dans la revue Naturwissenshaften. Le secret dépendrait entre autres de la nature de leurs pattes. Elles seraient recouvertes de poils rigides et d’un revêtement antiadhésif. Cette hypothèse a pu être vérifiée grâce à un enregistrement vidéo. On y voit une patte tirée vers le haut. La colle semble alors glisser le long des poils. Les scientifiques ont lavé de – vraies – pattes avec de l’eau et de l’hexane dans le but de retirer le revêtement protecteur. Sans surprise, elles sont alors restées collées sur les fils. Ces adaptations ne sont utiles qu’à une condition : les araignées doivent faire attention à la manière dont elles posent ou utilisent leurs pattes. Des comportements de tissage ont donc été observés chez deux espèces d’araignées tropicales : Nephila clavipes et Gasteracantha cancriformis. Lors de déplacements, leurs pattes se sont toujours posées de manière méticuleuse, en minimisant au mieux les forces d’adhérence. Un même soin est apporté aux mouvements exécutés durant le tissage des toiles. Source -
Une nouvelle espèce de tortue fossile découverte dans les Pyrénées
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Une nouvelle espèce de tortue fossile découverte dans les Pyrénées Publiant leurs travaux dans Cretaceous Research, des chercheurs espagnols ont découvert les fossiles d’une nouvelle espèce de tortue aquatique, qui vivait dans les Pyrénées il y a quelque 65 millions d’années, et se serait éteinte en même temps que les dinosaures. Polysternon isonae a été nommée d’après la municipalité de Isona I Conca Dellà (Catalogne, Espagne), où ses restes fossiles ont été découverts par les chercheurs de plusieurs universités et instituts espagnols au cours de deux campagnes estivales de fouilles en 2008 et 2009. Dénichés dans des grès très durs, le spécimen est une tortue aquatique qui vivait dans les Pyrénées il y a un peu plus de 65 millions d’années. Ces restes comprennent des dizaines de plaques isolées provenant de la fragmentation de carapaces au niveau de leurs points de suture, et - plus important - un fragment de la face ventrale d'une carapace ainsi qu’une carapace presque entière, aux caractéristiques morphologiques d’un grand intérêt pour les paléontologues. Adaptée aux eaux profondes des rivières et des lacs, Polysternon isonae possédait une carapace ovale, et mesurait environ 50 cm de longueur sur 40 de largeur. Les tortues du genre Polysternon, endémiques du sud de la France et de la Péninsule ibérique, ne semblent pas avoir survécu à la fin du Crétacé et se seraient éteintes avec les dinosaures. Source -
Un premier musée des crocodiles Le premier musée consacré aux crocodiles a récemment ouvert ses portes en Égypte. Depuis janvier dernier, la ville d'Assouan accueille une quarantaine de momies de crocodiles. Une collection de statues en bois et granit est également exposée dans ce musée surplombant le Nil. Les crocodiles étaient vénérés en Égypte ancienne. Ces grands reptiles étaient associés à Sobek, dieu de l'eau et de la fertilité à tête de crocodile. La présence de ces reptiles dans le Nil était un signe de bonne crue. Soulignons que dès la préhistoire, la plupart des animaux vivant dans l'Égypte antique étaient considérés comme des incarnations de divinités. Après trois années de construction, ce musée est désormais la grande attraction touristique de la Haute Égypte. L'inauguration officielle a coïncidé avec la Journée nationale de la ville d'Assouan, située à près de 843 km au sud du Caire. À Assouan, les voyageurs pourront compléter leur périple en visitant également le musée de la Nubie. Ce dernier recueille les vestiges d'une civilisation dont les terres ont été englouties par le lac Nasser. Source
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Les araignées sont toujours moins grosses qu'on ne croit
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Les araignées sont toujours moins grosses qu'on ne croit L’arachnophobie est un mal bien connu, qui frappe de nombreuses personnes prises de panique à la vue d’une araignée. Cette terreur paralysante, qui peut entraîner une vraie détresse personnelle, est l’objet de toutes les attentions de scientifiques qui ont tenté de percer son origine et son mystère. Une nouvelle avancée sur le sujet a peut-être fait progresser la recherche, comme le rapporte MSNBC, qui relaie une nouvelle enquête américaine. Que dit cette somme inédite de connaissances compilées par l’université de l’Ohio? Après avoir observé avec attention 57 personnes victimes de la phobie des araignées, les chercheurs ont conclu que les victimes de ce phénomène avaient toutes la particularité de voir les araignées plus grosses qu’elles ne le sont en réalité. Lors de trois sessions de travail étalées sur deux mois, les cobayes ont dû évaluer la taille de cinq différents types de tarentules derrière des vitres. En reproduisant ensuite sur le papier les araignées qu’ils venaient de voir, ils les ont systématiquement représentées dans des tailles plus grandes que la réalité. Michael Vasey, professeur de psychologie en charge de l’enquête, fait cette remarque: «Chez les personnes les plus effrayées par les araignées, les dessins étaient parfois trois plus grands que les araignées elles-mêmes.» Selon lui, les arachnophobes ne voient pas seulement les araignées plus énormes qu’elles sont: en conséquence, ils exagèrent aussi la dimension de la peur qui les saisit en les voyant ou donnent plus d’importance à des espèces inoffensives pour la plupart. L’étude a été d’autant plus concluante qu’il a parfois fallu moins de deux heures aux personnes terrifiées pour voir s’envoler leurs frayeurs après une thérapie auprès des équipes de Michael Vasey. Dans un dossier sur la peur des araignées, Psychologies.com avait récemment interrogé le psychanalyste Jean-Pierre Winter, auteur de Dieu, l'amour et la psychanalyse (Bayard, 2011). Selon lui, l’araignée cristalliserait symboliquement «l’angoisse devant le féminin». Ses pattes velues renverraient au souvenir archaïque de la chevelure maternelle; son abdomen, au visage; et la bête entière évoquerait une femme cannibale menaçant son enfant de le «manger» de baisers. Quant à sa tendance à s’éclipser aussitôt aperçue, elle rappellerait la peur que tout adulte a pu ressentir nourrisson: celle de la disparition définitive de la mère. «La toile, inconsciemment associée à l’hymen, susciterait la crainte de le déchirer ou d’être pris dedans», ajoute le psychiatre, qui indique que les arachnophobes doivent prendre en charge leur souffrance par le biais d'une consultation qui remonterait à la source de cette terreur souvent hors de proportion. Pour que ces petites bêtes cessent de pourrir la vie de milliers de gens... Source -
Des cordes de violons tissées en toiles d'araignées
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Des cordes de violons tissées en toiles d'araignées Un chercheur japonais a réussi à tisser des cordes de violon avec des soies produites par 300 araignées. Le son produit est «doux et profond», d'après l'inventeur. Le professeur Shigeyoshi Osaki de l'université de médecine de Nara dans le sud du Japon n'est peut-être pas encore un très bon violoniste, mais c'est en tout cas un virtuose pour extraire les fils de toiles d'araignées et en faire des usages innovants. Après plusieurs années d'expérimentation, et de nombreux échecs, il a fini par réussir à filer des fils assez homogènes et assez résistants pour en faire des cordes de violon. Une première qui ouvre la porte à d'autres utilisation des propriétés exceptionnelles des soies d'araignées. D'après le chercheur, des analyses spectrales montrent que ces cordes ont un timbre «plus doux et plus profond» que les cordes traditionnelles naturelles ou métalliques. Il a expliqué sa méthode de production dans une publication à paraître dans la revue Physical Review Letters, rapporte le site BBC News. Les soies d'araignées sont particulièrement recherchées pour leurs propriétés mécaniques exceptionnelles, à la fois très légères, souples et plus résistantes à la fracture (à diamètre équivalent) que les câbles en acier. Mais tous les essais pour domestiquer les araignées de la même manière que les vers à soie ont échoué, et certains chercheurs se penchent sur la production d'improbables chimères génétiques, comme des chèvres génétiquement modifiées pour produire les protéines des toiles d'araignées dans leur lait. Apprendre à communiquer avec les araignées «Cela fait plus de 35 ans que je travaille sur les propriétés des fils d'araignées», explique au Figaro le professeur Shigeyoshi Osaki. La grande difficulté c'est de tirer les soies, car les araignées coupent souvent le fil quand on tire dessus. J'ai donc dû apprendre à communiquer avec elles, à comprendre les habitudes de chacune pour collecter de longs fils de toiles.» Le journal Japan Times racontait en 2011 comment le chercheur réussit à inciter les arachnides à produire les fils en leur tapotant gentiment sur l'abdomen avec une brindille. En 2006, il prouve la solidité de ses fibres en s'accrochant dans un hamac retenu par un petit bout de fils d'araignées de 13 cm de long, composé de 190.000 brins individuels. Grâce à la méthode qu'il a mis en place, et avec près de 300 araignées femelles de type Nephila maculata, le scientifique japonais a produit assez de soies pour tresser des cordes de violon. «J'ai appris à jouer du violon» Ses premiers essais il y a quelques années furent des échecs. «Les premières cordes que je préparais cassaient trop facilement», avoue-t-il. «Pour produire des fibres avec une forte résistance mécanique, j'ai alors pensé qu'il fallait que je comprenne comment fonctionne une corde de violon. J'ai donc appris à jouer de cet instrument.» Cet apprentissage musical a porté ses fruits, et Shigeyoshi Osaki a trouvé une technique de tissage avec une torsion très contrôlée qui réduit presque totalement les espaces vides entre les fibres, et donne à l'assemblage une souplesse et une résistance bien supérieure à ce qu'il obtenait auparavant. Autre avantage, ce tissage plus compact nécessite bien moins de brins que lors de sa petite démonstration en hamac il y a six ans. Il ne faut plus que 3000 à 5000 brins de soie individuels pour une corde de violon. Le scientifique affirme que ces cordes ont une tonalité nouvelles, qui intéressent grandement des violonistes professionnels européens qui veulent les essayer. «Malheureusement», rapporte le Japan Times qui a assisté à une démonstration des nouvelles cordes de violon, «les talents musicaux du professeur Osaki ne sont pas à la hauteur de ses prouesses avec les araignées, et il est difficile de dire si son interprétation légèrement fausse d'une chanson traditionnelle japonaise peut prouver la supériorité de son violon sur un stradivarius à cordes traditionnelles.» «Ma découverte pour le violon avec le tissage dense de fils d'araignée a des propriétés uniques, et il y aura donc bien d'autres applications possibles», promet le scientifique japonais. Source -
Un serpent de mer épineux découvert en Australie Les eaux chaudes de l’Océan Indien abritent l’une des biodiversités les plus riches de la planète. Pas étonnant donc qu’on y découdre régulièrement de nouvelles espèces. Bryan Fry, l’un des plus grands spécialistes mondiaux des serpents de mer vient de découvrir une espèce de reptile inconnue du monde scientifique, dans le golfe de Carpentarie, au nord de l’Australie. Inhabituel pour un serpent de mer, l’animal est recouvert d’écailles épineuses, de la tête à la queue. Certains serpents de mer ont des écailles épineuses sur le ventre, mais aucune des espèces répertoriées jusqu’à ce jour n’en avait le corps entièrement recouvert. Neuf spécimens ont été pêchés lors de cette expédition scientifique. Ils ont tous été trouvés dans des zones ou les fonds marins sont rocailleux, ce qui pourrait expliquer la présence de ces écailles particulières sur leurs corps. Comme la plupart des serpents de mer, cette nouvelle espèce est dotée d’un venin potentiellement dangereux pour l’homme. Rappelons néanmoins qu’en dépit de leur nature curieuse, les serpents de mer ne sont généralement pas agressifs. Pour l’instant, les scientifiques n’en savent pas plus sur ce serpent. Il faut dire que le milieu n’est pas des plus propices aux observations à l’état naturel. Les eaux du golfe de Carpentarie sont infestées de requins bouledogue, de crocodiles marins et de méduses tueuses. « Si on essayait de plonger ici, notre espérance de vie se chiffrerait en minutes. La seule question serait de savoir quel animal nous tuerait en premier. Je mets un billet sur le requin bouledogue », plaisante Fry, chercheur à l’Université du Queensland, qui n’est pourtant pas le dernier pour manipuler des animaux mortels. Gros plan sur ses écailles si particulières : Source
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SOCIÉTÉ. POSSÉDER UN REPTILE N’EST PLUS RÉSERVÉ À QUELQUES “ORIGINAUX”. L’heure du serpent a sonné Deux couleuvres se sont échappées de leur vivarium la semaine dernière en Haute-Saône, semant la panique dans l’immeuble. L’occasion de faire le point sur un véritable phénomène. Boas constrictor, pythons… À Tropicalis, magasin spécialisé dans les espèces animales rares, au nord de Dijon, on trouve près de trois cents reptiles, insectes, batraciens, lézards, serpents ou autres tortues… Au total, une quarantaine d’espèces sont représentées. « Nous ne vendons pas d’animaux dangereux, c’est interdit dans les lieux publics », indique le responsable, Tony Chambonnier. « Avec ces espèces, il n’y a aucun danger, à part une morsure plus ou moins douloureuse mais qui ne nécessite pas de soins. » Sont considérés comme dangereux les mygales, serpents venimeux, scorpions, les boidae (une famille de serpents) de plus de trois mètres à l’âge adulte… « Rien n’est interdit mais tout est réglementé », résume le professionnel. « N’importe qui peut acheter un animal ici, je lui fournirai alors une facture prouvant son origine. Pour le confort de ce dernier, il faudra investir dans un terrarium, un chauffage, certaines lampes particulières pour les lézards et un thermostat. Cela reste des installations très simples ! » « Les évasions restent rares » Voilà qui explique sans doute l’engouement récent pour ces espèces. « La majorité de mes clients sont des néophytes qui viennent prendre un premier contact, se renseigner sur les risques… Aujourd’hui, il y a beaucoup de personnes qui possèdent des reptiles. Selon moi, on a passé l’effet de mode, c’est entré dans les mœurs. » Les quelques passionnés qui possèdent des animaux venimeux ou dangereux doivent, en revanche, remplir un certain nombre d’obligations. « Ce sont des terrarios avertis qui doivent avoir l’autorisation de la direction départementale de la protection des populations (DDPP). Ils ont été visités, ont un sas chez eux et ont suivi des formations. Le risque est vraiment minime », estime Tony Chambonnier. Qui conclut : « Quant aux évasions, elles restent rares. Sur Dijon, à ma connaissance, les pompiers sont intervenus une fois pour une couleuvre américaine dans une cage d’escalier… » Source
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Une nouveaux maitre de gecko a crete
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de tetania dans Gekkonidés
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Une route à Urzy sera fermée jusqu'au 1er avril pour laisser traverser les amphibiens Alors que le printemps pour les amphibiens est la pleine période de reproduction, on ne compte plus les pertes sur les routes. Pour stopper l’hécatombe, la circulation est suspendue entre Chantemerle et Niffond. Une première en Bourgogne. Ca va mal pour les amphibiens. La saison des amours ne rime pas vraiment entre bonheur et roucoulements. Au contraire, c’est là que l’on déplore le plus de pertes parmi les espèces, lorsque ces messieurs dames doivent traverser les routes, empruntées par les automobilistes, afin de rejoindre les zones humides, lieux propices à leur reproduction. Depuis 2009, que les membres de la Mela se sont penchés sur le problème, ces derniers ont décidé de prendre les grands moyens. Première étape : une rencontre avec les élus d’Urzy. « Dans les différentes propositions, c’est la fermeture provisoire de la route, qui est ressortie. Lors d’une surveillance nocturne, on a relevé jusqu’à 600 amphibiens écrasés » précise Daniel Gauthé, président de la Mela. Ensuite, il a fallu sensibiliser les populations. Une opération qui s’est concrétisée lors d’une réunion ainsi qu’auprès des automobilistes, en soirées, lors de comptages. De suite, l’équipe de la Mela a senti un engouement pour le projet. « C’est bien perçu. Nous allons aussi faire de la sensibilisation auprès des plus jeunes, dans les écoles » remarque Julien Hubert. Un projet qui ne va pas en rester là. En effet, dans la foulée, les bambins des écoles vont être amenés à poursuivre la collaboration. Comment?? Aux côtés de l’équipe de la Mela, les bouts de choux vont apprendre tout un tas de renseignements sur ce qu’est un amphibien et pourquoi le préserver. « On a trouvé une ancienne mare à proximité de l’école. On va essayer de la restaurer avec les enfants » ajoute Julien Hubert. Autant d’actions, qui, à terme, devraient permettre de relever les populations amphibiennes aujourd’hui en danger. Pratique. Pour toutes informations, il est possible de contacter la mairie d’Urzy, au 03.86.38.52.78, mairieurzy@wanadoo.fr ou la Mela, au 03.86.57.75.34, mela58@sfr.fr Gwénola Champalaune gwenola.champalaune@centrefrance.com Source
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Une nouveaux maitre de gecko a crete
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Une nouveaux maitre de gecko a crete
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Les araignées ? Même pas peur ! Pour sa 2e édition, le festival Téciverdi, qui se tient à Niort du 29 juin au 1er juillet 2012, accueillera la spécialiste française des araignées, l'aranéologue Christine Rollard. Agée d'une cinquantaine d'années, Christine Rollard, est maître de conférence au Muséum d'histoire naturelle à Paris, section arthropodes. Elle a publié une étude sur les araignées sauteuses de Chine, un autre sur celles de Guinée. Elle est aussi l'auteur d'une étude consacrée aux araignées de haute altitude des montagnes Nimba en Guinée et de Arachna, les voyages d'une femme araignée chez Belin. Rencontre. Dans quel pays doit se rendre un arachnophobe pour être tranquille ? Christine Rollard : "Aux Pôles Nord ou Sud. Sinon, elles sont absolument partout, du sol jusqu'à très haut dans les arbres. On en trouve même à 6700 mètres d'altitude sous la neige !" Les araignées géantes existent-elles ? Christine Rollard : "Bien sûr... au cinéma ! Sinon je peux précisément vous dire leur vraie taille : de 0,3 millimètre à 15 cm de corps. " On dit que l'être humain ne peut être mordu par une araignée ? Christine Rollard : "C'est faux... mais très rare. Parmi les 1600 espèces recensées en France, 1200 en sont parfaitement incapables, elles doivent avoir une taille de corps de 1 à 3 cm, se sentir agressées, agir sur une zone de peau fine. Mais la plupart du temps, le bouton du matin est dû à un acarien, une punaise, un moustique. " Peut-on mourir d’une morsure d’araignée ? Christine Rollard : "Il y a un à cinq décès annuels dans le monde et encore, sur des sujets fragiles ou allergiques. Sur les 42000 espèces recensées, aucune n'est mortelle. Même pour la plus dangereuse de toute, l’atrax robustus qu'on trouve en Australie, il y a un sérum. " Qu'est-ce qui vous a séduite dans le festival Téciverdi ? Christine Rollard : "Pour moi, il est toujours important de diffuser les connaissances. J'aime combattre les idées reçues. Je resterai pendant toute la durée du festival Téciverdi pour participer à des tables rondes, animer des ateliers sur le monde des araignées pour les plus jeunes, montrer les techniques d'observation et de capture et, pourquoi pas, organiser une sortie sur le terrain. " Comment s'appelle l'exposition dont vous êtes commissaire à Paris ? Christine Rollard : « Au fil des araignées ». Elle est visible au Muséum d’histoire naturelle jusqu'au 2 juillet 2012. On a voulu tordre le coup aux idées reçues, avec de la poésie, des couleurs, etc. On fait aussi découvrir les contes, les légendes, le fait que dans certains pays, elles soient vénérées. L’expo est destinée à un public familial, avec quelques animaux vivants. " Propos recueillis par Jacques Brinaire (Le 27 février 2012) Source
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Des couleuvres s'échappent, panique dans l'immeuble
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Des couleuvres s'échappent, panique dans l'immeuble Deux couleuvres américaines échappées de leur vivarium perturbent sérieusement la tranquillité des habitants d'un petit immeuble de la commune de Faverney, en Haute-Saône. Un collectionneur maladroit, qui possédait cinq couleuvres américaines, pouvant mesurer jusqu'à 1,50 mètre de long, a laissé s'échapper ses reptiles vendredi, dans un petit immeuble de la commune de Faverney (Haute-Saône) Il a pu en rattraper deux mais les trois autres ont disparu dans les gaines d'aération de ce petit immeuble qui compte huit appartements, selon les pompiers qui ont confirmé une information de l'Est Républicain. L'une des trois fuyardes a pu être rattrapée samedi mais deux étaient encore en fuite dimanche matin, ce qui ne manquait pas d'inquiéter les habitants de cette tranquille bourgade d'un millier d'habitants. "L'ensemble des locataires ont été avertis et rassurés, et le maire a fait appel à un piégeur de serpents professionnel", ont précisé les pompiers. "Ce sont des animaux en vente libre dans les animaleries, ils sont plutôt destinés aux débutants qui souhaitent s'initier aux reptiles", ont expliqué les gendarmes, ajoutant: "A priori les deux couleuvres sont encore dans l'immeuble: elles aiment plutôt la chaleur et vu le temps qu'il fait elles ne sont sans doute pas sorties". Le propriétaire était en règle et les reptiles "ne présentent un danger que pour les personnes phobiques", qui auraient très peur des serpents. Selon l'Est Républicain, plusieurs locataires ont préféré quitter les lieux pour aller passer une nuit plus tranquille chez des parents. Source -
Une tortue sauvée par les agents du parc Les engins de pêche constituent souvent des pièges mortels pour la faune protégée. Une tortue vient d'en faire les frais. Ça s'est passé le dimanche 12. Deux agents du Parc national, Olivier Oeddly et Alain Le Bout, sont en patrouille en mer : ils participent aux recherches visant à secourir une baleine à bosse, enchevêtrée dans des filins (notre édition du 17 février). Au cours de ce périple, Olivier Oettly aperçoit un objet flottant non identifié (Ofni) d'une taille respectable et s'en approche. « Il s'agit d'un filet de pêche abandonné et enroulé sur lui-même avec quelques petits flotteurs maintenant le tout en surface. » DES ENGINS DE PÊCHE DÉRIVANT Rien de bien intéressant, si ce n'est qu'une malheureuse tortue verte est piégée dans cet amas. « Sa nageoire avant droite est coincée dans le filet. Heureusement, les flotteurs l'ont maintenue en surface, empêchant la noyade. » La tortue, manifestement captive depuis un bon moment, est néanmoins dans un sale état : le filet a constitué un garrot à la base de sa nageoire, entraînant une nécrose. Quand les agents la récupèrent, elle n'a plus qu'un moignon. Le reptile est cependant encore vivace. Olivier Oeddly et Alain Le Bout décident donc de l'emmener au centre de soins, basé à l'aquarium. « En chemin, nous avons croisé une vedette de la gendarmerie. Les militaires avaient, eux aussi, découvert une tortue verte, très affaiblie. Ils nous l'ont confiée, et ce sont donc deux spécimens que nous avons déposés au centre de soins. » Aux dernières nouvelles, le vétérinaire et les soigneurs sont optimistes. Les tortues récupèrent bien et devraient pouvoir être rendues à leur milieu naturel. Ce 12 février donc, deux spécimens d'espèces protégées - une tortue verte et une baleine à bosse - ont été sauvés d'une mort quasi certaine par l'intervention des hommes. Mais leur état était également dû, à la base, à une intervention humaine. Songez-y. Quand vous voyez des engins de pêche dérivant, ramassez-les... À ce propos, des contacts sont en cours entre le réseau tortues et les pêcheurs afin de développer un protocole de sauvetage des tortues. En savoir plus : http ://www.tortues-marinesguadeloupe.org Source
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Un invertébré vivant à... 2 kilomètres sous terre
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Un invertébré vivant à... 2 kilomètres sous terre Publiant leurs travaux dans Terrestrial Arthropod Reviews, des chercheurs ibériques ont récemment découvert une nouvelle espèce d’arthropode vivant au fond de la plus profonde faille continentale du monde, à près de 2.000 mètres sous terre : un record pour un animal terrestre. Voilà un animal qui ne risque pas de connaitre de problèmes de voisinage. Plutomurus ortobalaganensis vit en effet jusqu'à 1.980 mètres sous terre ! C’est dans le gouffre de Krubeja-Voronja (Géorgie) - la cavité naturelle la plus profonde du monde - que des scientifiques du Musée d’Histoire naturelle de Valence (Espagne) et de l’Université d’Aveiro (Portugal) ont découvert cette nouvelle espèce. Celui-ci est un arthropode de la classe des collemboles lesquels étaient anciennement classés parmi les insectes. Or, si le ver nématode Halicephalobus mephisto, déjà connu, vit dans un habitat encore plus profond (à -3.600 mètres, en Afrique de Sud), il s’agit d’un invertébré aquatique. P. ortobalaganensis, le nouveau venu dans la zoologie officielle, est donc bien le détenteur du record de vie en profondeur pour les animaux terrestres. Au-delà de cet aspect anecdotique, cette découverte est importante puisqu’elle met en évidence les adaptations de ces créatures extrêmophiles dépourvues d’yeux à l’obscurité totale, mais aussi aux températures supérieures et à l’oxygène raréfié qui caractérisent cet habitat. Source -
Rhacodactylus auriculatus
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Gekkonidés