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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Tu m'encourageais tout de même à les prendre
  2. Bon gorezone va encore dire que je ramasse n'importe quoi mais j'aime ça ces petites bêtes là moi. J'ai deux nouvelles femelles geckos à crête depuis quelques jours. Mon assistante au travail les a nommé Gertrude et Germaine. On peut plaindre ses futurs enfants dont elle va choisir leur nom. Voici quelques photos!
  3. Max|mum-leterrarium

    Tsunami!

    C'est plus facile l'été dans certains centre du jardin.
  4. Tu peux les mettre dans des contenant de petites tailles avec le rongeur décongelé en laissant passer le temps. Souvent ça fonctionne! Sinon, tu peux tenter de couper le bout du museau de la souris.
  5. Le monde animal est toujours remplit de fascination que l'on découvre de jour en jour
  6. Max|mum-leterrarium

    Tsunami!

    Une belle grosse Trachemys! Pour les plantes, peu importe la sorte, la tortue risque de les manger. Sinon, elle va probablement s'amuser à foutre le bordel en les déterrant et les laisser flotter. Finalement, des plantes flottantes sont le mieux car c'est là que va se retrouver les autres.
  7. Fréquence Grenouille à Saint-Léger-la-Montagne “Fréquence Grenouille” est une opération nationale de découverte et sensibilisation aux zones humides. Son lancement aura lieu en Haute-Vienne, jeudi 1er mars, à la Tourbière des Dauges, village de Sauvagnac de la commune de Saint-Léger-la-Montagne. Au programme : 9?h?30, présentation de l’opération par Christophe Lépine, secrétaire général de la Fédération des Conservatoires d’Espaces Naturels (co-organisatrice avec les Réserves Naturelles de France)?; 9?h?45, visite de la tourbière?; 11?h?30, discours à la mairie de Saint-Léger. Cette mâtinée est gratuite. Source
  8. Une tortue à deux têtes et six pattes exposée Agence France-Presse Kiev Une tortue des steppes siamoise à deux têtes et six pattes est exposée au musée des sciences naturelles à Kiev où les visiteurs pourront observer pendant deux mois le reptile dont la survie s'apparente à un miracle. Cette tortue âgée de cinq ans a une carapace en forme de coeur, large d'une douzaine de centimètres, a constaté vendredi un journaliste de l'AFP. «Ce n'est pas vraiment une tortue à deux têtes au sens strict du terme, mais plutôt deux tortues siamoises», a expliqué à l'AFP Iouri Jouravliov, un zoologue de la société Ekzoland, qui a organisé l'exposition. «Cette femelle a deux têtes, deux coeurs, quatre pattes avant, mais deux arrière et un seul intestin», a-t-il raconté. Les deux têtes ont des caractères différents même dans leurs préférences alimentaires. Celle à gauche, dominante et plus active, «préfère la nourriture verte, l'autre, des produits aux couleurs plus chaudes: carottes, fleurs de pissenlit», a décrit le zoologue. Cette tortue des steppes, espèce répandue en Asie centrale et qui peut vivre jusqu'à 50, voire 60 ans, a été acquise à un Ukrainien qui l'avait gardée chez lui depuis sa naissance, selon M. Jouravliov. «Les animaux avec ce genre de pathologie naissent rarement, ils ne survivent pas dans les conditions naturelles», a-t-il ajouté. L'été dernier, un zoo privé a exposé un serpent roi de Californie à deux têtes à Yalta, dans le sud de l'Ukraine. Source
  9. Jean Lemire à la découverte de la biodiversité Après avoir documenté les changements climatiques en Arctique et en Antarctique, le biologiste québécois Jean Lemire s'apprête à sillonner le vaste monde afin de rendre compte de la diversité et de la fragilité de la vie qu'il recèle. Baptisée «1000 Jours pour la planète», cette nouvelle expédition à bord du voilier océanique Sedna IV entraînera le scientifique et son équipe aux quatre coins du globe durant trois ans. L'objectif de cet ambitieux projet est de témoigner de l'état de la biodiversité mondiale, menacée par la destruction des habitats naturels et par la surexploitation des ressources. «Ce voyage est la suite logique des précédents», affirme M. Lemire en entrevue téléphonique avec La Presse Canadienne. «La biodiversité est le plus grand enjeu environnemental actuellement et nous allons vérifier sur le terrain ce qu'il en est.» Même si le constat risque d'être alarmant, l'explorateur assure que les nombreux documentaires qui seront tirés de son périple et diffusés sur les différentes plateformes de Radio-Canada ne se concentreront pas que sur ce qui va mal. «Il commence à y avoir une certaine mobilisation. Partout dans le monde, des gens dédient leur vie pour sauver des espèces, sauvegarder des écosystèmes et dénoncer les abus», explique le biologiste. Il cite l'exemple d'un scientifique britannique ayant consacré 15 ans de son existence à l'iguane bleu, un reptile des îles Caïman qui était pratiquement disparu avant son intervention. «Quand il est arrivé, il n'en restait plus que 12. Aujourd'hui, 670 iguanes ont été relâchés dans la nature», raconte l'explorateur. Cette histoire et celles d'autres héros du même genre seront relatées dans une série documentaire en 13 épisodes intitulée «Le Sedna autour du monde: L'aventure humaine» qui, comme son nom l'indique, mettra l'accent sur les hommes et les femmes qui s'échinent à protéger la nature. Celle-ci sera présentée sur les ondes de la télévision d'État en 2013, tout comme les trois grands documentaires réunis sous le titre «Mission biodiversité», qui feront partie de la programmation de l'émission «Découverte». Jean Lemire compte aussi profiter de ces 1000 jours autour de la terre pour réaliser un film résolument différent de tout ce qu'il a fait auparavant: «Requiem en bleu majeur». «Ce sera un long-métrage sans parole, entre fiction et documentaire, qui sera structuré comme une grande symphonie avec sept mouvements reprenant les sept jours de la création», révèle-t-il, manifestement très emballé. «Avec ce projet, je sors vraiment de ma zone de confort, j'ose le risque et la différence.» En plus de tous ces documentaires, Jean Lemire proposera également au public de suivre les péripéties du Sedna IV sur le Web grâce au site radio-canada.ca/sedna. Les internautes auront notamment accès à une carte interactive permettant de voir l'itinéraire du bateau ainsi qu'à des vidéos exclusives et à du contenu scientifique. L'expédition comprendra aussi un important volet éducatif, dont au moins 10 vidéoconférences retransmises en direct dans des écoles, de même qu'une exposition au tout nouveau Centre sur la biodiversité de l'Université de Montréal qui offrira aussi des échanges avec l'équipage en temps réel. «Nous offrions déjà ce type d'activités il y a six ans lors de notre voyage en Antarctique, mais nous ne disposions pas d'un équipement aussi avancé que maintenant», note M. Lemire. «Avec notre nouveau système de retransmission par satellite, nous pouvons donner des présentations en qualité HD.» C'est là l'une des nombreuses améliorations apportées au Sedna IV en prévision du voyage qu'il amorcera quelque part au printemps après trois ans de préparation. En exploitant toutes les possibilités de rejoindre le public et de le sensibiliser au sort de la biodiversité en lui montrant toute sa beauté, Jean Lemire espère créer une vague de citoyens engagés prêts à se battre pour préserver la nature. «Si nous arrivons à faire rêver les gens, surtout les jeunes, alors peut-être pourrons-nous les inciter à agir», conclut-il. Source
  10. Les grenouilles rieuses ne font pas rire tout le monde à Roullet-Saint-Estèphe Ne vous fiez pas à leur nom: les grenouilles rieuses ne font pas rire tout le monde. Le maire de Roullet, Jean-Paul Kerjean, n'a pas esquissé de sourire lorsque ces amphibiens, surnommés ainsi à cause de leurs chants bruyants, ont été découverts dans la zone industrielle de sa commune. «Tout a commencé il y a un an lorsque deux écologistes bordelais ont suivi le tracé de la future Ligne à grande vitesse qui passera par Roullet-Saint-Estèphe. Ils sont tombés sur une flaque d'eau où deux grenouilles pataugeaient.» Manque de chance, le petit animal sauteur qui a pris ses quartiers dans la zone d'activité du Plessis, est une espèce protégée. Il aurait profité d'un trou laissé béant à la suite d'un chantier pour s'installer et aurait bien pu en menacer un autre: celui de la LGV. Mais que les amoureux de la nature se rassurent, Marion Vidal, ingénieur en terrassement chez Coséa, l'assure: «Toutes les mesures ont été mises en place pour respecter cette espèce.» Les grenouilles rieuses termineront donc leur période d'hibernation en toute tranquillité. Avant de reprendre leurs chants dès le printemps. Source
  11. Une nouvelle espèce de lézard arc-en-ciel découverte Une nouvelle espèce de lézard à la peau arc-en-ciel, à la longue queue et aux très petites pattes a été découverte dans la forêt vierge du nord-est du Cambodge, ont indiqué mercredi des défenseurs de l'environnement. Les scientifiques ont nommé le reptile Lygosoma veunsaiensis en référence à la réserve de Veun Sai-Siem Pang, dans la province de Rattanakiri, où il a été trouvé, a indiqué Conservation International (CI) dans un communiqué. Il avait été identifié en 2010 dans une zone isolée lors de recherches menées par Fauna et Flora international (FFI), en partenariat avec CI. « Nous avons été chanceux » «Ces créatures sont difficiles à trouver parce qu'elles passent beaucoup de temps sous terre», a explique Neang Thy, spécialiste des reptiles pour FFI. «Des espèces similaires ne sont connues que sur la base de quelques individus. Nous avons été très chanceux de découvrir celle-là». Ce lézard est inhabituel parce que ses pattes sont particulièrement courtes et sa queue plus longue que son corps. La couleur de sa peau semble changer de couleur selon la lumière et l'angle sous lequel on la regarde, créant un effet arc-en-ciel. Il devient la troisième nouvelle espèce découverte dans la réserve de Veun Sai ces deux dernières années, après une chauve-souris et un gibbon. Source
  12. Des analyses ADN pour condamner les trafiquants de venin de serpent en Inde Le trafic de venin serait en hausse dans le pays, selon les autorités indiennes dans le Kerala. La substance rapporte gros mais elle est prélevée en majorité chez les espèces en voie de disparition comme le cobra. "Le braconnage et le commerce illégal de serpents et autres reptiles est un énorme problème dans l’Asie du sud. Ce sont des animaux convoités pour leur viande et leur peau, et qui sont utilisées dans la médecine traditionnelle", a expliqué Richard Thomas de l’organisation Trafic. Une fois prélevé, le venin est alors revendu au marché noir comme drogue. Ainsi, les autorités indiennes ont saisi il y a peu 600 grammes de venin d’une valeur de 300.000 euros. La substance provenait d'un naja, une espèce de cobra chez qui il est particulièrement difficile d'extraire le venin. D'où le prix. Selon Bill Haast, ancien directeur du Serpentarium de Miami cité par Good-planet.info, il faut 69.000 prélèvements de venin pour remplir une pinte. Face à l'ampleur qu'a pris le phénomène, les autorités ont donc décidé d'agir mais il est difficile de condamner les trafiquants quand on ignore si le venin vient ou non d'une espèce protégée. Du moins, c'était le cas jusqu'à ce que les scientifiques ne fournissent un coup de pouce. En effet, ceux-ci peuvent déterminer si le venin prélevé provient d’une espèce protégée ou non en comparant les ADN présents dans les échantillons. Ainsi, des prélèvements de venin ont été récemment envoyés au Centre pour la biologie cellulaire et moléculaire d'Hyderabad et ont permis de démontrer que la substance provenait bien d'un cobra indien, espèce protégée. Les contrebandiers mis en cause dans l'affaire ont été accusés de chasse illégale et de trafic d'animal protégé. Ils risquent jusqu’à trois ans de prison. Source
  13. Mi-serpent mi-vers de terre, de nouveaux amphibiens découverts En Inde, des scientifiques viennent de découvrir une nouvelle espèce, d’un genre totalement inconnu de la science. Ces animaux ont une apparence à mi-chemin entre celle d’un vers de terre et d’un serpent, même s’ils ne sont ni l’un ni l’autre, mais des amphibiens. Une photo prise dans le nord-est de l’Inde montre ces animaux, qui n’ont pas encore de nom, en train de garder une couvée d'œufs. Ils appartiendraient à un mystérieux groupe d’animaux, dont les cousins les plus proches, les Chikila, vivraient à 11.000 kilomètres, dans la forêt tropicale africaine. Source
  14. Le chant nuptial des crapauds perturbé par les résidus de contraceptifs ANIMAUX - Une étude démontre que le comportement sexuel des crapauds est troublé par les médicaments qui polluent les eaux... Les crapauds n’ont plus la cote avec les femelles depuis qu’ils ne leur chantent plus la sérénade. Selon une étude parue dans la revue scientifique Plos One, le comportement sexuel des crapauds pâtit des résidus de contraceptifs humains dans les eaux usées. Après la «féminisation» des poissons, ce sont maintenant les crapauds qui perdent leur voix, mettant en danger la reproduction de l’espèce. Selon les scientifiques allemands de l’université de Berlin, les œstrogènes de synthèse perturbent le système nerveux des crapauds et notamment leur manière de «parler»: au lieu d’un chant viril pour séduire la femelle, ils émettent des sons suggérant qu’ils ne sont pas intéressés par le sexe… Seule une enzyme peut venir à bout des œstrogènes Des quantités faibles d’œstrogènes suffisent pour déranger les mœurs des crapauds: le EE2 (ou éthinylestradiol) est l’œstrogène le plus prescrit au monde mais il a l’inconvénient d’être excrété dans les urines. Et une fois la chasse d’eau tirée, la molécule voyage bien souvent jusque dans les rivières où vivent les crapauds, sans se biodégrader. Seule solution pour résoudre ce problème, introduire une enzyme spéciale capable de détruire les œstrogènes dans les systèmes de traitement des eaux. En mai 2011, la France a lancé un plan national pour limiter la dispersion des résidus médicamenteux dans l’eau: un quart des échantillons d'eau potable analysés dans le cadre de ce plan ont révélé la présence de résidus de médicaments, principalement de la caféine, des antiépileptiques et des anxiolytiques, provenant essentiellement des urines humaines et des déjections des animaux d’élevage. Audrey Chauvet Source
  15. Déménagement inutile de couleuvres? MONTRÉAL – Le déplacement des couleuvres brunes sur le site des travaux de l'échangeur Turcot pourrait s'avérer inutile, ont avoué le ministère des Transports (MTQ) et l'organisme Amphibia-Nature. Amphibia-Nature a déjà trouvé, capturé, marqué et déménagé 37 femelles et 34 mâles dans le secteur des travaux du pont d'étagement Sainte-Anne-de-Bellevue, à l'extrémité ouest de l'échangeur. Or, les individus sauvés des bulldozers ont été amenés dans la falaise Saint-Jacques, un riche écosystème situé tout près et qui s'étend sur environ 3 km vers l'échangeur Turcot. Une fois les travaux de l'échangeur terminés, soit d'ici 2018, la falaise sera bordée par un nouveau tronçon de l'autoroute 20. Une simple zone boisée de 30 m séparera la falaise Saint-Jacques du nouveau tronçon, selon les informations disponibles sur le site web du MTQ. Une espèce menacée Patrick Galois d'Amphibia-Nature n'est lui-même pas persuadé de la viabilité de ce projet de migration forcée. «Le déplacement moyen d'un individu est d'environ 40 mètres sur un an, a-t-il expliqué. Le bord de la route est tout de même intéressant pour elles, puisqu'elles ont tendance à descendre de la falaise en été, pour profiter du soleil.» Cette information est corroborée par Nathalie Tessier, biologiste au ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF). «Les couleuvres en général ont tendance à revenir à leur lieu de capture, après délocalisation.» «On ne sait pas si le déplacement sera favorable à leur survie, a renchéri M. Galois. Sinon on devra trouver un autre endroit. Ce sera des décisions, à savoir si on sacrifie la population en toute connaissance de cause ou si on continue d'essayer, si ça marche.» Ce reptile, dont la population québécoise se trouve exclusivement dans le Grand Montréal, est «susceptible d'être désigné espèce menacée ou vulnérable», selon le MRNF. «La protection de cette population découle d'un décret adopté par Québec en 2010, a expliqué Guillaume Paradis, de la direction des communications au MTQ. Nous avons octroyé un mandat de 24 765 $ à Amphibia-Nature pour différentes tâches et pour le suivi.» Un peu moins de 10 000 $ ont déjà été déboursés depuis le début des travaux. Le projet-pilote de protection de la couleuvre brune devrait se poursuivre pour encore un an environ. «Quand elles sont capturées, on les marque. L'an prochain, on va aller voir sur leur nouveau site pour vérifier si tout va bien. Rien n'est laissé au hasard», a ajouté M. Paradis. Source
  16. Le Groupe naturaliste du Ternois peine à recruter de jeunes adhérents | HESDIN | Le Groupe naturaliste du Ternois (GNT), association créée en 1984 avec pour fondateurs, entre autres Michel Dubois et Philippe Domé, ... a son siège social au 43, avenue de Sainte-Austreberthe à Hesdin. Présidée depuis 1994 par Raoul Cadart, l'association a pour but de sensibiliser aux richesses naturelles de notre région. Avec une trentaine de membres, qui paient une cotisation individuelle de 11 euros ou familiale de 15 euros, l'effectif des adhérents reste stable, mais l'âge moyen de ceux-ci est élevé. Les jeunes ne semblent pas concernés par la démarche du GNT. Comme l'a signalé Raoul Cadart, qui va céder sa place en 2013, tout en restant au bureau, « un effort de prospection auprès des familles serait à faire, tout comme l'absence de références écrites ou photographiques des activités qu'il faudrait combler ». Autre inquiétude, l'insuffisance de guides par rapport à l'augmentation et à la diversité grandissante des visites organisées. Par bonheur, elle est compensée par des partenariats avec le Conservatoire des espaces naturels, la Société mycologique du nord de la France et le centre permanent d'initiation à l'environnement (CPIE) du Val d'Authie. Calendrier de 2012 Le 29 février : chantier nature débroussaillage. Mars : le 10, la Coupole d'Helfaut le 17, découverte de la vipère péliade le 24, la citadelle d'Arras suivie d'une balade le 31, Boubers-sur-Canche. Avril : le 7, la commanderie du bois Saint-Jean (Wamin) et la forêt d'Hesdin le 14, le marais du Haut Pont à Douriez le 21, Azincourt. Mai : le 5, la pâture à 1 000 trous (Auxi-le-Château) le 19, le marais de Brimeux le 26, visite d'un rucher. Juin : le 2, Rebreuve-sur-Canche le 9, la flore de Waligny le 16, le bois de la Louvière (Lapugnoy) le 23, les lichens de la citadelle de Montreuil le 24, les oiseaux nicheurs du bois (Villers-au-Bois) le 30, balade nocturne (Auxi-le-Château). Juillet : le 7, les libellules du marais de Roussent le 21, la baie d'Authie. Le 25 août, nuit de la chauve-souris (Hesdin). Septembre : le 8, le château de Regnière-Écluse (80) le 22, exposition Les carrosses de Versailles (Arras) le 29, forum des associations de l'Hesdinois. Octobre : le 7, sortie mycologique en forêt d'Hesdin le 17, les libellules (Auxi-le-Château). • Bureau : président, Raoul Cadart trésorier, Michel Dubois secrétaire, Céline Fontaine. Contact : Raoul Cadart, 15, impasse du Raidillon à Roëllecourt. Tél : 03 21 03 27 79. E-mail : cadart.raoul@wanadoo.fr Source
  17. Ouverture d'un nouveau pôle animalier sur le toit-terrasse du Musée Le Président de la République du Mali a offert cinq tortues sillonnées à S.A.S. Le Prince Albert II de Monaco.Le Souverain a souhaité confier ces tortues au Musée océanographique de Monaco, qui les accueillera dans un endroit spécialement aménagé sur le toit-terrasse Ouest du Musée. Vous pourrez découvrir ces tortues sillonnées (Centrochelys sulcata) originaires d’Afrique subsaharienne, au sein d’un espace qui leur est totalement dédié. Et ainsi accéder à toutes les informations sur la préservation et les moyens mis en oeuvre pour protéger cette espèce, mais également, les tortues marines et plus particulièrement les tortues de Méditerranée. Agées de 5 à 30 ans et pesant une quarantaine de kilos les cinq tortues sillonnées (c'est la 3ème plus grosse tortue terrestre au monde après la tortue des Galápagos et la tortue géante des Seychelles) seront visibles à partir du mois de mai. News Press 2012 Source
  18. Aux petits soins des amphibiens Constituer un inventaire du naturel à partir des photos et observations du public : un travail assez considérable, certes, mais tout à fait réalisable dans le temps. L'idée est venue des nombreux contacts qu'entretient le Muséum d'histoire naturelle de Blois avec les associations naturalistes du Loir-et-Cher. « Nous remarquons régulièrement que certains visiteurs, photographes amateurs, sont impliqués par passion dans cette démarche », souligne Jean-Louis Pointal, directeur du muséum. « Pourquoi ne pas aller plus loin et leur proposer d'enrichir les données que nous avons en témoignant de ce qu'ils observent sur le terrain. Nous profiterons de l'image du muséum pour collecter toutes ces données et les mettre par la suite à la disposition des associations. » Les premiers travaux débuteront par les amphibiens, « qui comptent un petit nombre d'espèces, en partie déjà recensées par les associations », ajoute Pascal Girondon, animateur. La seconde raison de ce choix est que les amphibiens sont aussi en péril, pratiquement partout sur le territoire et localement. « Par ses activités et le développement de ses infrastructures, l'homme fait disparaître leurs habitats que sont les zones humides. » La campagne lancée aujourd'hui 21 février se clôturera le 15 avril, le mois de mars étant la meilleure période d'observation. Parallèlement, des animations sur ce thème pour les 7-9 ans sont proposées avec l'exposition « Connaître et protéger les amphibiens » montée au Muséum avec la collaboration de l'association pour la protection des animaux sauvages. Des sorties sont également prévues pour des observations sur le terrain (renseignements et inscriptions au 02.54.90.21.03.) Pour ceux et celles intéressés par ce projet, des fiches d'observations sont à retirer au Muséum ou à télécharger sur www.blois.fr rubrique culture et tourisme. Durant les vacances d'hiver, le Muséum programme des ateliers pour les plus petits. Tous les matins, du mardi au vendredi du 28 février au 9 mars, le « labo » du Muséum pour manipuler, jouer et découvrir en famille (inclus dans le prix d'entrée). Les 1er et 2 mars, ainsi que les 8 et 9 mars, de 14 h 30 à 16 h 30, sorties à la découverte des amphibiens (4 euros par enfant). Source
  19. Matt Damon effrayé de jouer avec des serpents Matt Damon avoue avoir été effrayé en tournant certaines scènes de son nouveau film, We Bought a Zoo, alors qu’il a été forcé de tenir des serpents et de faire face à un grizzly, rapporte Starpulse. L’acteur incarne le rôle d’un père qui dirige un refuge pour animaux en Californie dans ce film, qui met également en vedette l’actrice Scarlett Johansson. Il admet avoir été terrifié par ses collègues animaux. Il déclare : « Scarlett adorait les serpents. J’étais totalement terrifié par eux au départ, alors que je n’avais jamais pris un serpent auparavant. J’avais une crainte enfantine d’être mordu, mais on m’a assuré qu’ils n’étaient pas venimeux. Ils étaient plutôt amicaux. On peut simplement les enrouler autour de nous ». Damon ajoute avoir également été terrifié de devoir tourner une scène avec un énorme ours, même s’il était en sécurité dans une voiture durant le tournage. Il raconte : « L’ours mesurait 12 pieds, il était énorme, et il s’est retrouvé très près lorsque j’étais dans la voiture pour une scène… Il aurait pu passer sa tête à travers la fenêtre. Il y a quelque chose d’étrange qui se produit lorsqu’on se retrouve près de ces animaux, on réalise à un niveau très profond que nous sommes quelque part au milieu de la chaîne alimentaire ». Source
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