Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Max|mum-leterrarium

Membres
  • Compteur de contenus

    12 143
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Un homme castré par un crocodile Un septuagénaire zimbabwéen s'est fait mordre les testicules par un crocodile en traversant une rivière. Jonah Maturure, 70 ans, a eu beaucoup de chance finalement. L'homme a bien failli perdre la vie lors de cette rencontre violente avec ce crocodile. L'homme rentrait chez lui après avoir fait ses courses dans un supermarché local. Pour gagner du temps, il a décidé de traverser la rivière, une boîte de tomates sur la tête. "A peine arrivé au milieu de la rivière, j'ai été attaqué par un crocodile", explique ce père de quatre enfants qui s'estime heureux d'avoir survécu à cette violente attaque. "Il a commencé par me mordre les fesses avant de s'attaquer à ma virilité et déchirer mes testicules". Jonah Maturure s'est alors battu pour sauver sa peau. "J'ai introduit mon pouce dans sa bouche pour essayer de l'étouffer", explique-t-il. "Mais il a attrapé ma main et je pouvais entendre mes os craquer". Finalement, l'homme ne doit la vie sauve qu'à sa boîte de tomates. Celle-ci est tombée dans l'eau et a distrait le crocodile qui a fini par lâcher sa proie. "A cet instant, le crocodile a lâché ma main et s'est dirigé vers la caisse", dit-il. "Je me suis échappé". Ensanglanté, Jonah a rapidement compris que ses testicules avaient été arrachés. Il s'est ensuite rendu chez des voisins pour demander de l'aide. Ceux-ci l'ont transporté à l'hôpital de Bulawayo où il a été pris en charge. (CB) 21/02/12 14h52 Source
  2. Nouvelle attaque de crocodile en Papouasie-Nouvelle-Guinée PORT-MORESBY, mardi 21 février 2012 (Flash d’Océanie) – Un femme de la province papoue de Madang est portée disparue depuis jeudi 16 février après avoir été victime d’une attaque de crocodile alors qu’elle se baignait ans une rivière, non loin de son village d’Awar, rapporte mardi le quotidien papou The National. Selon les témoins, la villageoise, épouse d’un des dirigeants des services provinciaux de santé, a été vue pour la dernière alors qu’elle se dirigeait vers ce cours d’eau pour y prendre un bain, au petit matin. D’autres témoins déclarent avoir vu à peu près au même moment, sur les berges de la même rivière, un crocodile d’eau douce. Depuis, les efforts entrepris par la communauté afin de retrouver son corps se sont révélés infructueux. Les attaques de crocodiles ne sont pas rares dans toute la région mélanésienne, avec en tête des pays concernés la Papouasie-Nouvelle-Guinée, les îles Salomon et même le Nord de l’Australie, tout proche. Fin juillet 2011, aux îles Salomon, dans la rivière Mbokokimbo (Nord-est de l’île de Guadalcanal, l’île principale des Salomon), un homme avait été emporté par l’un de ces reptiles alors qu’il venait de le détourner de sa proie initiale, l’épouse de la victime. La jeune femme se baignait alors dans la rivière toute proche. Son mari s’était alors jeté à l’eau et était parvenu à détourner l’attention de la bête, qui s’apprêtait à happer sa première cible. La jeune femme sauvée a depuis été hospitalisée, où son état est jugé stable, malgré de profondes morsures. Son mari aurait été entraîné sous l’eau par le crocodile. Les opérations de recherches menées depuis par la police n’ont jusqu’ici pas permis de retrouver la trace ni du crocodile, ni de la victime présumée. Quelques jours auparavant, le ministère salomonais des pêches s’inquiétait de la prolifération des crocodiles dans cette région et annonçait son intention d’en discuter avec le ministère de l’environnement. Les autorités attribuent cette recrudescence à deux facteurs : l’interdiction du commerce de peaux de reptiles, au cours des années 1980, puis la mission de pacification menée depuis 2003 par la force d’intervention régionale RAMSI (sous commandement australien), avec pour objectif initial de mettre un terme à la guerre civile entre communautés de Guadalcanal et de Malaïta, entre 1998 et 2003. Cette intervention a aussi permis de réduire de manière significative le nombre d’armes à feu en circulation. En Papouasie-Nouvelle-Guinée toute proche, toujours fin juillet 2011, dans la province de Morobé, non loin de la ville de Lae (seconde ville du pays), deux jeunes frères, Ericson et Jeremiah Kime, âgés respectivement de 10 et 16 ans, avaient fait sensation en décidant de se séparer de ce qu’il décrivaient alors comme leur animal de compagnie : un crocodile de quatre ans, qu’ils déclaraient avoir domestiqué après l’avoir recueilli tout jeune. La bête avait déjà atteint une taille plus que respectable et était donc devenu par trop encombrant. Les deux frères ont décidé de vendre l’animal à une ferme spécialisée dans l’élevage de ce genre de reptiles. Les crocos mélanésiens particulièrement actifs Dans la grande Mélanésie, on observe ces dernières années une apparente recrudescence des accidents liés à ces crocodiles marins. Fin 2010, les autorités de la province insulaire de Nouvelle-Bretagne (Papouasie-Nouvelle-Guinée, toute proche de l’Australie) ont noté une sensible augmentation du nombre de ces crocodiles d’eau de mer. Quelques mois auparavant, mi-juin 2010, sur l’île de Nouvelle-Bretagne, une jeune femme de 23 ans, enceinte, qui se baignait dans la rivière Tulup à la tombée de la nuit, avait été emportée par l’un de ces reptiles. Elle aurait été happée et emportée par le saurien, sous les yeux de son petit cousin de sept ans, qui a ensuite alerté le village de Garmate. Un groupe s’était alors rapidement mis à la recherche de la jeune femme et avait retrouvé son corps, puis le crocodile qui fut ensuite capturé et tué. Principale motivation des villageois : récupérer les restes de la victime ainsi que le fœtus, afin de leur donner une sépulture. La précédente victime d’une attaque de l’un de ces reptiles avait été signalée début mai 2010. Il s’agissait d’un villageois de la tribu Mungo, emporté par un crocodile alors qu’il se baignait dans la rivière Lark toute proche. Tout près du chef-lieu de cette province, la ville de Rabaul, au pied d’un des deux célèbres volcans qui flanquent la ville, le Vulcain, se trouve un lac, lui aussi infesté de crocodiles. Tout proche de ce lac : le village des Karavia, dans le district de la Gazelle. Selon cet agent, plusieurs personnes ont déjà signalé la perte d’animaux de taille très respectables, comme des chiens et des cochons, happés par des crocodiles. Encore plus proche de la ville, sur l’une de ses plages, un autre crocodile a été découvert peu avant, suscitant un avis des autorités appelant la population et surtout les enfants à la plus grande prudence, surtout lorsqu’ils s’adonnent à des activités de pêche, de collecte de coquillages et de baignade. « Tout comme sur l’île de Manus et celle de Nouvelle-Irlande, les crocodiles de mer de la Nouvelle-Bretagne orientale sont agressifs, surtout lorsqu’ils protègent leurs petits », avait alors rappelé l’agent gouvernemental, qui précisait toutefois que ces huit dernières années, non seulement de nombreux animaux mais aussi douze personnes avaient été attaquées dans cette même région et qu’au moins deux d’entre elles n’y avaient pas survécu. Les crocodiles de mer sont aussi aperçus à intervalles régulier plus au Sud de la Papouasie-Nouvelle-Guinée, dans la partie Nord de l’Australie, aux îles Salomon et jusqu’au Nord de l’archipel voisin de Vanuatu où leur chasse a longtemps alimenté un commerce florissant de cuir désormais interdit. Nombre record de prises de crocodiles dans le Nord de l’Australie Dans toute la région, les crocodiles sont présents, jusqu’en Australie et ses régions les plus tropicales, comme le territoire du Nord (tout proche de la Papouasie-Nouvelle-Guinée). Les autorités de l’État australien du territoire du Nord ont ainsi enregistré en 2010 un nombre record de prises de crocodiles d’eau douce dans les rivières de la région : 305, dont le plus long mesurait quatre mètres soixante. Le chiffre de 2010 bat un précédent record établi six ans auparavant, avec 274 sauriens capturés dans les rivières de cet État, rapporte la radio nationale publique. Les des récentes et énormes inondations de décembre 2010, dans l’État voisin du Queensland, les autorités avaient là aussi lancé une alerte aux crocodiles, qui profitent de la montée du niveau des rivières pour pénétrer plus en avant vers l’intérieur des terres. Mi-septembre 2010, dans la région de Darwin, les passagères d’une pirogue participant à un concours local de pêche, dans la petite localité de Corroboree (une centaine de kilomètres à l’Est de Darwin, extrême Nord de l’Australie) ont eu la peur de leur vie lorsqu’elles ont été attaquées par un crocodile qui s’est littéralement jeté sur la barque dans le but apparent de la faire chavirer. L’une des rescapées, Toni Flouse, encore choquée, a ensuite déclaré que les femmes avaient eu la mauvaise idée de tenter de récupérer ce qui semblait être un vieux leurre, qui flottait au milieu du plan d’eau douce, au milieu d’une surface recouverte de nénuphars. « Moi j’ai dit tout de suite avant que ce n’était pas une bonne idée, il y a Monsieur le crocodile qui pourrait bien sortir d’un seul coup. Mais je pensais faire une plaisanterie », avait-elle déclaré. Quelques secondes après, les pêcheuses effarées ont ensuite vu surgir de l’eau un crocodile de trois mètres qui s’est rué sur l’une des extrémités du canot. Les passagères ont alors été suffisamment rapides pour se regrouper de l’autre côté de la barque, juste avant l’impact. Toutes accroupies, aucune d’entre elles n’a perdu l’équilibre et personne n’a donc été précipité dans l’eau. Entre-temps le saurien semblait avoir renoncé à l’idée d’un second assaut. Personne n’a été blessé. En Australie, les crocodiles sont les plus répandus dans les régions tropicales du pays, à commencer par le Nord. Le Nord infesté de crocodiles Mais ils sont également présents dans l’État australien du Queensland (Nord-est du pays), où leur population, ces dernières années, semble toutefois ne pas avoir augmenté de manière significative, selon une étude menée récemment publiée par le département de l’environnement de cet État. Cette étude, dont les résultats ont été publiés fin juin 2010, a été menée entre septembre 2009 et février 2010 sur une zone côtière s’étendant sur une bande de plus de sept cent kilomètres de cette région, et incluant quarante huit rivières et leurs estuaires. Pendant la durée de cette enquête, 293 reptiles marins ont été observés, dont la grande majorité (258) appartient à la famille des crocodiles d’estuaires (d’eau de mer), le reste (35) étant des crocodiles d’eau de rivières. La taille des spécimens trouvés variait de trente centimètres à près de quatre mètres de long. Cette étude a été menée dans le cadre d’un processus de surveillance des effets de l’interdiction de la chasse au crocodile, imposée dans cet État il y a plus de trente cinq ans pour empêcher une extinction annoncée de ces reptiles. Crocodiles surfeurs Un éventuel lien entre une montée du niveau des océans et donc des marées plus fortes, voire des inondations, autant de facteurs permettant une remontée plus facile à l’intérieur des estuaires, a tout récemment été appuyée par une enquête menée sur une vingtaine de ces crocodiles de mer, qui ont été appareillés de balises émettrices. Il est alors ressorti de cette étude, en substance, que les crocodiles d’eau de mer, pourtant réputés pour être de modestes nageurs, avaient la faculté de tirer le maximum de profit des courants et donc de « surfer », en économisant leur énergie et en pouvant de cette manière parcourir sans peine des milliers de kilomètres. pad Source
  3. L'Hirondelle invite à passer un mois avec les amphibiens - Pornic L'association nature Hirondelle, de concert avec le golf de Pornic, fera vivre un mois d'animation avec les amphibiens. Les amoureux et les curieux de la vie des grenouilles, crapauds, tritons et autres salamandres seront comblés. Sortant des contes de fées et des préjugés des spécialistes, au cours de cette grande fête de la grenouille, ils les éclaireront sur la vie et les moeurs de ces animaux qui participent parfaitement à l'équilibre de l'environnement. Ces animaux et particulièrement les crapauds sont très fragilisés par l'urbanisation, au moment où ils doivent franchir les chaussées, à la période de leur reproduction et la production de leurs oeufs, le frai. Ceci est très sensible sur la route qui partage le terrain du golf de Pornic. Tous les ans à la fin de l'hiver, les crapauds traversent la route pour rejoindre les mares du golf, là où les têtards peuvent vivre. Chaque fois, ils risquent d'être écrasés au cours de cette migration. Pour empêcher cette issue fatale, les membres de l'association Hirondelle, des enfants et des adultes fabriquent 15 « crapauducs » sur une longueur de 100 m : une toile tendue interdit le passage et les crapauds tombent dans un seau enfoui qui joue le rôle de piège. Un ramassage est effectué tous les matins et les prises sont transportées sur les greens du golf. Programme Exposition. Du 28 février au 30 mars, de 9 h à 17 h, dans le hall du golf, exposition « Entre terre et eau... les amphibiens ». Conférence. Vendredi 2 mars, à 18 h 30, au golf, conférence « amphibiens, un monde fascinant et fragile » par Philippe Evrard spécialiste (entrée libre). Sortie nature. Vendredi 23 mars, à 18 h 30, rendez-vous à Pornic pour une sortie gratuite (sur inscription), à la découverte des tritons en Brière, avec Didier Montfort, spécialiste. Cinéma. Dimanche 25 mars, à 18 h, au cinéma Saint-Joseph : projection du film La clé des champs, produit par les réalisateurs de Microcosmos. Contact : Hirondelle, bourg du Clion, tél. 02 51 74 02 62. Source
  4. Bibite tombe en amour avec tous les animaux sans exception de toute façon! Mais Mélanie, tu me déçois d'avoir acheté là-bas voyons. hahaha Des farces, tu le sais bien. Tu l'as enfin ton Uroplatus et ne dis plus que c'est à cause de moi c'est faux
  5. Bonne chance à tous! Personnellement, je ne participerai pas mais ne vous gênez pas pour envoyer vos photos.
  6. C'est dont bien particulier. Je n'ai jamais entendu parler de ce type de comportement avant.
  7. Gabon / Insolite : Après sa mort les serpents mystérieux sortent de la maison… C’est une histoire incroyable. Alors que R.M, un homme d’une soixantaine d’année, domicilié à Belle-Vue II, en plein cœur de Libreville, venait de perdre E.M., son épouse, vingt-sept serpents d’espèces différentes dont une vipère, un naja, deux mambas vert et noir, sont sortis, à tour de rôles, de son habitation. Les reptiles vivaient en bonne tranquillité dans la maisonnée. Aucune morsure n’a été déplorée, malgré la dangerosité des fameuses bêtes. Selon les témoins oculaires, une vipère géante aurait été découverte sous un siège au salon, dès l’annonce du décès de l’épouse du maitre des lieux. Toute chose qui a déclenché une grande panique au quartier. « A l’annonce du décès, des membres de la famille se sont mis à enlever les fauteuils du salon, dans la perspectives de recevoir du monde. Quand nous avons soulevé une chaise, nous avons découvert une grosse vipère recroquevillée », a déclaré un voisin, qui a requis l’anonymat. « D’autres serpents d’espèces différentes sont sortis par la suite, les heures et jours suivants. Nous étions débordés. Pendant qu’on tuait un serpent ici, l’autre apparaissait là-bas. Je n’avais jamais vu une scène pareille », a témoigné la même source. Au total, vingt-sept serpents auraient été tués dans la maison depuis la disparition de l’épouse de R.M, le 5 février 2012. Le dernier reptile aurait été mis hors d’état de nuire jeudi dernier. Selon une source digne de foi, E.M. était diaconesse dans une église de la place ou officiait son fils ainé. RM., lui et au- delà, est de savoir à qui appartenaient ces serpents. De même, nombreux se demandent pourquoi les reptiles sont-ils apparus en si grand nombre juste après le décès de l’épouse du maitre des lieux. Dans une société marquée par la superstition, l’apparition des ces serpents n’est pas dénuée d’arrières- pensées. Nombreux pensent que ce sont des signes extérieure d’un esprit maléfique communément appelé ‘’arc-en-ciel’’ ou encore le ‘’Mboumba’’. « Ce ne sont pas des serpents naturels. Il s’agit soit d’un totem, soit d’un esprit maléfique bien entretenu. Les serpents naturels ne peuvent pas apparaitre en si grand nombre au même endroit. C’et un signe révélateur de quelque chose », a estimé un maitre spirituel vivant non loin du théâtre. Comme il fallait s’y attendre, la sortie en grand nombre de serpent a sérieusement troublé les riverains. Nombre de résidents disent ne plus s’y sentir en sécurité depuis l’avènement de ce mystère. « j’ai décidé de partir. J’ai pris ma dose. J’ai commencé à faire mes bagages et chercher une autre maison loin d’ici. Je ne peux plus rester dans un endroit ou les serpents apparaissent à tout instant, surtout que j’ai des enfants à bas âge, qui jouent souvent dans le cette cour », a déclaré une locataire. Source
  8. Mais souvent, nous on ressent le besoin de les manipuler
  9. Ça demande quand beaucoup de temps versus un reptile! Quoi que je passe plus de temps que je devrais dans cette pièce là mais bon
  10. GECKSKIN, UN INCROYABLE ADHÉSIF INSPIRÉ PAR LE LÉZARD GECKO La communauté scientifique se penche depuis plusieurs années déja sur les caractéristiques physiques qui donnent aux pattes d’un petit lézard appelé Gecko des propriétés adhésives hors normes. Aujourd’hui, les chercheurs de l’Université du Massachusetts dont les travaux sont une fois de plus financés par la DARPA viennent de démontrer les capacités de la dernière génération d’un scotch ultra puissant conçu sur la base de ces recherches. Les pattes de l’étonnant petit lézard qui pèse en moyenne 140 grammes lui permettent en effet de supporter jusqu’à 4 kilogrammes sans décoller des surface verticales sur lesquelles ils se colle soit plus de 28 fois son propre poids! Contrairement à ce que les chercheurs pensaient jusqu’à présent, les poils microscopiques qui recouvrent les pattes du Gecko ne sont pas les seuls éléments à lui conférer son incroyable faculté. La nature de sa peau, de ses tendons et de ses os ont également été pris en compte dans l’élaboration de cet adhésif. Résultat de près de vingt années de recherches, la dernière génération de bande adhésive conçue par cette équipe composée de scientifiques et biologistes a de quoi impressionner. A titre d’exemple, un morceau d’adhésif GeckSkin de 40cm2 collée sur une surface lisse verticale est capable de supporter pas moins de 317Kg! De plus et comme un scotch qu’il serait impossible de décoller après utilisation serait bien inutile, le GeckSkin peut être facilement retiré de la surface sur laquelle il a été collé et qui plus est peut être réutiliser un grand nombre de fois. NEEED!!! Source
  11. Le crocodile sacré du Gange se reproduit au Népal Un long museau très fin et des crocs acérés : le crocodile gavial du Gange est certes effrayant mais ne représente aucun danger pour l’homme. Menacé d’extinction à cause du braconnage, il a trouvé refuge au parc national de Chitwan, au Népal, où un centre d’élevage veille à sa reproduction. Le crocodile gavial du Gange est une espèce rare et menacée d’extinction, selon l’Union internationale pour la conservation de la nature. Le braconnage et la surpêche ont mis en danger sa reproduction. Ce crocodile, sans réel danger pour l'homme, est pourtant un animal sacré en Inde. On le trouve également dans les jungles marécageuses du Népal. Au parc national de Chitwan au Népal, au pied de l'Himalaya, le personnel s’occupe de la reproduction des crocodiles. Leurs crocs sont brossés régulièrement, pour éviter toutes proliférations de champignons. Depuis 1973, le parc national de Chitwan se bat pour la sauvegarde des espèces animales en danger d’extinction. Inscrit sur la liste du patrimoine mondial en 1984, il abrite plusieurs espèces menacées, dont le tigre du Bengale. Le parc national vient de remettre en liberté 40 crocodiles du Gange après un travail de près de six ans. Source
  12. Ils découvrent un serpent dans leur volière ETANG-SALE. Belle frayeur pour un couple de l’Etang-Salé, hier matin. Alors qu’ils nettoyaient la cage de leurs oiseaux, Thierry et Marie-Thérèse sont tombés nez à nez avec un serpent. Ce dernier venait de passer la nuit dans la volière, dévorant au passage deux volatiles. Récupérer par les pompiers, le reptile attend désormais que son propriétaire se manifeste. ’"Il était 6 h, j’étais encore un peu endormi. Mais après l’avoir vu, j’étais bien réveillé". Hilare quand il raconte son histoire, Thierry avoue ne pas avoir joué au fier sur le coup. En nettoyant la cage de ses oiseaux, hier matin, cet habitant de l’Etang-Salé est tombé nez à nez avec un serpent. Loin d’être un monstre, il mesure 80 centimètres environ, ce spécimen a de quoi susciter une belle frayeur. Avec ses couleurs orangées et ses yeux rouges, il n’a rien d’une banale couleuvre de nos campagnes. "Il était dans un coin de la cage, caché en dessous de la mangeoire, poursuivent Thierry et sa femme Marie-Thérèse, qui a également assisté à l’insolite découverte. Quand je suis arrivé, je me disais bien que les oiseaux étaient bizarres. Ils étaient nerveux et se tenaient en haut de la cage, à l’opposé de l’endroit où se trouvait le serpent". Récupéré par les pompiers Et le reptile avait de quoi jouer au terreur. Après s’être introduit dans la volière, il a dévoré deux petits oiseaux. "Il a mangé un bec rouge et un mandarin, témoigne le couple, qui détient une vingtaine de volatiles. Quand on l’a trouvé, il avait le ventre gonflé. D’ailleurs, il était bloqué dans la cage à cause de ça, il ne passait plus entre les barreaux. Déjà que je me demande comment il a fait pour passer dans un trou si petit le ventre vide..." Pour les Etang-Saléens, l’intrus est arrivé vers 1 h du matin. "Les oiseaux ont fait du bruit", relate Marie-Thérèse. Thierry s’est alors levé pour aller jeter un œil. "La nuit, je mets une nappe sur la cage pour empêcher les chats d’aller effrayer les oiseaux, indique l’homme. J’ai soulevé le tissu mais je n’ai rien vu. Je suis reparti me coucher". Le prédateur a alors pu s’adonner au festin. Découvert repu au petit matin, ce serpent a ensuite été l’attraction du quartier. "On a appelé nos voisins", indique ces habitants de l’allée des Géraniums, dans la cité "La Forêt". Les pompiers, dont la caserne se trouve à deux pas de là, sont également alertés. Ils ont ensuite attrapé le reptile avec toutes les précautions qui s’imposaient. "Désormais, on est formé à prendre en charge ces Nouveaux animaux de compagnie (Nac). Il y en a de plus en plus", indique le sergent-chef Dominique Grondin. Parfaitement inoffensif En pension dans un carton au centre de secours, ce serpent devait être récupéré par un vétérinaire hier soir. Il sera ensuite remis à son propriétaire, s’il se manifeste. Par correction, ce dernier pourra dédommager Thierry et Marie-Thérèse, dont les oiseaux coûtaient 15 euros pièce. Si le reptile n’est pas réclamé, il sera remis à une animalerie. Comme à l’enseigne Koi Réunion, qui dispose de magasins au Tampon et à Saint-Louis, dont le patron nous a livré son expertise. À la vue la photo, Nicolas Pillons n’a pas hésité une seule seconde : "Il s’agit d’un serpent des blés ou Elaphe guttata. C’est une espèce de la famille des couleuvres, originaire des États-Unis et parfaitement inoffensive. Comme le sont d’ailleurs tous les serpents importés légalement en France. Ce serpent peut mesurer jusqu’à 1,20 m, il est très courant en terrarium car facile à élever. Là, il s’agit d’un adulte qui a dû s’échapper". Une escapade qui aura mis en émoi tout un quartier et les pompiers de l’Etang-Salé. Etienne Mvé Source
  13. Mordu par un serpent vénimeux lors d'une pause pipi Un touriste britannique a finalement eu la vie sauve après une rencontre douloureuse et embarrassante avec l'un des serpents les plus mortels d'Australie. Scott Jackson, 29 ans, voyageait en Tasmanie lorsque, lors d'un séjour dans une ferme, il s'est enfoncé dans la nuit noire afin de soulager un besoin naturel. C'est à ce moment-là que le serpent l'a surpris en le mordant au niveau des testicules. "Je suis allé dans le jardin vers quatre heures du matin, on avait passé la soirée au bar et j'avais une envie pressante. J'ai préféré ne pas aller aux toilettes car l'eau est précieuse dans cette région. Juste quand j'ai eu fini, le serpent m'a sauté dessus et m'a mordu". Paniqué et pris de douleurs, il a couru dans la chambre de son meilleur ami pour appeler à l'aide. Il a alors été conduit à l'hôpital afin de recevoir l'anti-venin. Finalement, le jeune homme a eu beaucoup de chance, mais il se souviendra longtemps de son aventure dans l'"outback" australien. (ca) 16/02/12 14h40 Source
  14. Comment la pilule contraceptive perturbe la vie sexuelle des crapauds Les femmes n'y pensent sans doute pas en prenant leur pilule quotidienne mais leur organisme n'est pas le seul exposé aux hormones qu'elles contiennent. La faune marine est bien involontairement touchée. Une étude de deux biologistes allemands publiée mercredi 15 février dans la revue PLoS montre que l'exposition à l'un des œstrogènes présents dans de nombreuses pilules perturbe l'activité sexuelle de certains crapauds. C'est via les urines et autres rejets qu'une partie de ce type de composants, présents dans les eaux usées, se retrouve dans l'écosystème marin. Car les stations d'épuration ne les filtrent pas. Frauke Hoffmann, de l'institut Leibniz d'écologie marine en eau douce, et Werner Kloas, de l'institut de biologie de l'université Humboldt de Berlin, ont étudié l'impact d'un œstrogène sur un crapaud d'Afrique australe, le xénope du Cap. Les deux chercheurs ont constaté que les amphibiens mâles exposés poussaient moins de cris susceptibles d'attirer les femelles, échouant ainsi à trouver une partenaire. Une abstinence bien involontaire qui "pourrait réduire le succès reproductif des animaux". Selon les scientifiques, ces effets pourraient ainsi "contribuer au problème global de déclin de la population amphibienne". La pilule, pas la seule fautive L'impact des contraceptifs sur l'environnement fait depuis longtemps débat : il a même été invoqué en 2009 par le Vatican pour souligner les effets néfastes de la contraception. Il faut cependant le mettre en perspective : le problème est davantage celui des rejets hormonaux en général que des contraceptifs, comme le rappelait en 2009 le journaliste scientifique Denis Delbecq, citant une étude d'Environmental Science and Technology : "Une partie sont des molécules rejetées naturellement par tous les individus, les hommes comme les femmes. D’autres proviennent de sources médicamenteuses. (...) [Mais] il ne faut pas oublier non plus les produits vétérinaires, qui mettent en jeu huit fois plus d’hormones que les contraceptifs oraux, et les hormones rejetées naturellement par les animaux d’élevage…" Source
  15. A Cuppulata refuge pour cinq tortues de Madagascar Les tortues étoilées, en voie de disparition dans leur pays d’origine, sont arrivées en Corse après un incroyable périple autour du monde depuis Hong-Kong L'arrivée de cinq tortues à l'aéroport d'Ajaccio est-il un événement ? Il semble bien que oui. Mercredi soir, cinq tortues de Madagascar ont achevé à Campo dell'Oro un incroyable périple entamé au moment de leur saisie à Hong-Kong. Cet animal est sans doute l'une des plus belles tortues terrestres du monde. Il est, aujourd'hui, menacé d'extinction. La tortue étoilée de Madagascar fascine en raison des motifs de sa carapace. Elle est régulièrement braconnée pour être envoyée dans divers pays comme animal de compagnie. Mais surtout, dans l'île de Madagascar, elle est chassée de manière intensive en raison de la famine qui règne depuis plusieurs années. Il y a quelques semaines, ce sont 200 de ces animaux qui ont été saisis par la douane chinoise, à Hong-Kong. Immédiatement, ils ont été envoyés à Rotterdam, car l'île de Madagascar n'avait pas les moyens de les prendre en charge. C'est dans cette ville des Pays-Bas que la répartition des tortues sur les différents parcs animaliers a été effectuée. Une partie des reptiles a été envoyée vers des parcs animaliers, des États-Unis et d'Asie. Soixante-treize tortues étoilées restent en Europe. Technicité reconnue internationalement « Certaines sont parties en Pologne, en Allemagne, en Grande-Bretagne,détaille Pierre Moisson du parc A Cuppulata.En France, le seul parc à avoir été sélectionné est le nôtre »,poursuit-il. En fait, A Cuppulata bénéficie d'une renommée internationale en matière d'élevage et de préservation des tortues exotiques. Le parc animalier de Vero a fait ses preuves au fil des années. « Nous avons déjà une soixantaine de tortues de Madagascar », souligne Pierre Moisson. Une partie d'entre elles sont nées àA Cuppulata, en captivité »,ajoute-t-il. Quarantaine Les cinq tortues saisies à Hong-Kong viennent d'arriver, après avoir traversé une bonne partie de la planète. Et avoir voyagé dans la soute de divers avions entre la Chine, Copenhague et Nice avant d'arriver jusqu'à l'aéroport d'Ajaccio, mercredi soir par le dernier avion. « Elles ont voyagé dans une soute pressurisée et chauffée »,précise Pierre Moisson. La prochaine étape sera de les faire vivre le mieux possible dans un environnement protégé. Mais pour l'heure, elles ont été placées à l'écart. D'une part, pour récupérer du stress du voyage. D'autre part, par mesures de sécurité pour les autres tortues du parc. Il n'est jamais exclu que des animaux soient porteurs de maladies lorsqu'ils ont été saisis de cette manière. Les tortues malgaches seront donc en quarantaine durant quelques jours. Avant de rejoindre leurs homologues corses… Source
  16. À Escaudoeuvres, des animaux de compagnie bien particuliers à découvrir ce dimanche | • LE VISAGE DE L'ACTUALITÉJAMES PATTEPASSION | Les erpétophobes sont des personnes ayant une peur irraisonnée des reptiles... Si vous en êtes, ne traînez pas vos guêtres, ce dimanche, du côté de la salle polyvalente d'Escaudoeuvres. Dans le cas contraire, et même si vous ne débordez pas de passion pour ces animaux, ne manquez pas le 2e Salon international terrariophile : un déplacement qui intéressera autant les parents que les enfants. PAR BRUNO DEMEULENAERE cambrai@lavoixdunord.fr James Patte est membre de l'association scaldobrigienne Espace nature et animalier, qui organise ce salon. Y sera présenté tout ce qui a trait au terrarium, « emplacement destiné à l'élevage des batraciens et des reptiles », entendez par là les grenouilles d'une part, et les serpents, tortues et lézards d'autre part. Les lézards, c'est justement ce qui passionne désormais ce Cambrésien de 35 ans, qui s'est pourtant d'abord intéressé aux serpents. « Le premier, c'est mon grand-père qui me l'a offert, il y a vingt ans ». L'ado était alors féru de tout ce qui touche aux animaux. « J'en ai eu plusieurs par la suite, mais je suis passé aux lézards : c'est plus sympathique, plus vivant que les serpents ». Aujourd'hui, quiconque ou presque peut s'offrir de tels animaux, mis à part les espèces protégées qui nécessitent certaines capacités et autorisations officielles. « On trouve désormais des reptiles, ainsi que le matériel et la nourriture correspondants, dans bien des animaleries », indique l'organisateur du salon, qui ne se réjouit pas de cet état de fait. « L'objectif de notre association, en proposant ce salon, est de montrer nos animaux au grand public, mais surtout de discuter avec les visiteurs ». Une quarantaine de stands seront déployés, dimanche, dans la salle polyvalente. Bien sûr, il y aura des vendeurs, mais ce n'est pas la priorité des organisateurs. « Sincèrement, si on pouvait faire autrement, on le ferait ! Nous désirons faire connaître aux jeunes ce qu'est un reptile, lui transmettre notre passion, mais l'inviter à se méfier : il faut se documenter ». Et de relater l'histoire de ce petit serpent de 20 cm, devenu, une fois adulte, long d'1,3 m ! « Et il faut éviter les erreurs car on n'a pas justement de marge d'erreur : chaque espèce a besoin d'une chaleur, d'une alimentation, d'une humidité particulières... » Plus de 2 000 visiteurs ont poussé la porte de la salle polyvalente d'Escaudoeuvres l'an passé. « Cette année, nous avons des éleveurs de Belgique, de Hollande, d'Espagne », annonce l'organisateur, qui voit dans cette participation l'occasion de présenter de nouvelles espèces. Les enfants pourront découvrir toutes sortes de serpents multicolores, de tortues, de lézards : il n'y a guère que les crocodiles qui manqueront pour que toute la grande famille des reptiles soit présente. Il y aura aussi des grenouilles et quelques insectes. De quoi réaliser un beau petit safari photo aux portes de chez soi. • 2e Salon international terrariophile, ce dimanche 19 février, de 10 h à 18 h, à la salle polyvalente (rue des Violettes) d'Escaudoeuvres. Tarif : 3 E (1,50 E pour les 6 à 12 ans). Possibilité de petite restauration sur place. Renseignements : Tél : 09 61 60 45 13 ou courriel : espacenatureetanimalier@orange.fr Source
  17. Opération salamandre pour mieux protéger cet amphibien Opération salamandre pour mieux protéger cet amphibien urodèle La salamandre est un amphibien urodèle, elle garde sa queue à l'âge adulte à la différence de la grenouille et du crapaud qui sont des amphibiens anoures. Avec les nuits douces et pluvieuses, les salamandres se baladent. Quand elles traversent les routes… Attention aux écrasements ! La Frapna invite à vous rendre sur deux sites sensibles de la commune de Chambéry à participer au sauvetage de salamandres et à l’observervation des mouvements de populations pour mieux les connaître et les préserver à l’avenir. A quels endroits ? A Chambéry le Vieux et à Bissy, sur la commune de Chambéry Comment cela se passe t-il ? Bien équipés de gilets fluorescents et de lampes torches nous irons avec des seaux récupérer, en début de soirée/nuit, les salamandres aux abords des routes pour les déposer en lieux plus sûrs. Nous porterons une attention particulière à noter sur une carte les points précis des salamandres récupérées et écrasées. Quels sont les objectifs de l’opération ? Etablir une cartographie des mouvements de populations de salamandres sur les 2 sites. Sauver quelques individus. A quel moment ? En soirée douce et pluvieuse (vers 19h). Les premières « opérations salamandres » vont débuter au cours du mois de mars. Vous serez prévenu, en fonction de la météo, deux ou trois jours avant l’opération. Comment y participer ? Inscrivez-vous au groupe « opération salamandre » et précisez le site sur lequel vous souhaitez intervenir (Bissy ou Chambéry le vieux). N’oubliez pas de laisser vos coordonnées pour pouvoir vous contacter facilement. Pour plus d’information et inscription : Contactez victor.hausard@frapna.org ou téléphonez au 04 79 85 31 79 ou 06 83 93 69 43 Source
  18. Bienvenue Véro! Content de te voir parmi nous!
  19. Belle petite famille! Tu disais que j'avais beaucoup de reptiles mais chez moi c'est sûrement moins d'entretien que chez toi en bout de ligne!
  20. Je la trouvais plus ou moins belle mais maintenant je la trouve belle. Je songe à trouver un mâle maintenant.
  21. SEXUALITÉ: Œstrogènes et phéromones, les serpents révèlent les secrets de l’attraction Cette étude montre que l'augmentation des niveaux d'œstrogènes chez des couleuvres mâles les amène à sécréter des phéromones identiques à celles que les femmes utilisent pour attirer leurs prétendants et parvient à rendre les mâles si « sexy » qu’ils attirent d’autres mâles avides de s'accoupler. Cette expérience menée dans les célèbres cavernes à couleuvres du Manitoba (Canada) et publiée dans l’édition de mars 2012 du Journal of Experimental Biology est l’une des premières à quantifier les effets des œstrogènes comme stimulants des phéromones. Les hormones œstrogènes, expliquent les chercheurs, ont la même composition chimique chez de nombreuses espèces animales, des serpents aux amphibiens, poissons, mammifères et jusqu’aux humains. Les phéromones sont des signaux chimiques qui peuvent transmettre toute une série d'informations et elles jouent un rôle crucial dans l'attraction sexuelle et la reproduction. Les serpents sont un bon modèle pour les étudier, expliquent les chercheurs, car leur processus de reproduction est totalement dépendants des phéromones. Cette recherche qui confirme le rôle biologique de premier plan joué par les œstrogènes, met en exergue la légitimité des préoccupations actuelles sur l'impact environnemental de composés qui miment l'effet des œstrogènes, tels que les pesticides, par exemple. Œstrogènes, phéromones et accouplement : Dans cette étude, les serpents mâles ont reçu en implant, une petite capsule qui a augmenté leur niveau d'œstrogènes au niveau de celui des serpents femelles. Après un an de cette supplémentation d'œstrogènes, les serpents mâles dégageaient une phéromone qui a induit chez d'autres mâles des contorsions d'accouplement typiques chez cette espèce de couleuvres. Et tout comme la production de phéromones peut être stimulée, par l’augmentation des œstrogènes, elle peut aussi être réduite, expliquent les scientifiques. Un an après l’arrêt de la supplémentation, les mâles reprennent un comportement normal. « Nous nous sommes surpris par des résultats aussi convaincants », commente Robert Mason, professeur de zoologie et l'un des plus grands experts mondiaux sur les phéromones reptiliens. « La quantité d'œstrogènes reçue par les serpents mâles n’avait rien d'inhabituel et était au niveau habituel produit par la femelle ». Ce n’était pas une expérience de laboratoire, précise le chercheur, « ces serpents ont tenté de s'accoupler dans un environnement naturel, persuadés qu'ils avaient identifié un serpent femelle ». L’attirance et l’identification des femelles dans cette race de couleuvres dépend totalement des phéromones de la femelle, perçue par léchage de la femelle d’un petit coup rapide de langue. Les signaux chimiques sont si puissants qu’en quelques secondes, d’un simple coup de langue, le mâle est capable de déterminer l’espèce, le sexe, la saison, les capacités de reproduction, la taille et l'âge de sa partenaire possible. Les serpents utilisent le voméronasal, un organe en haut du palais, un récepteur des phéromones qui joue un rôle clé dans ce processus de détection. La capacité de détection d'autres animaux, tels que les chiens, sollicite également cet organe. Les humains ont toujours cet organe, mais on ne sait pas quel rôle il joue aujourd’hui dans notre capacité sensorielle, explique l’auteur. Source
  22. Réunion : Les évasions de serpents se multiplient Un python royal dans la nature saint-joséphoise depuis hier matin, un serpent des blés récupéré par les pompiers ce week-end à l’Etang-Salé, un python vert retrouvé à la Rivière Saint-Louis en septembre dernier... Considérés comme des nouveaux animaux de compagnie, les serpents et autres reptiles font de plus en plus parler d’eux à la Réunion. Une mode face à laquelle les autorités et les pompiers ont dû s’adapter. On les appelle les Nouveaux animaux de compagnie (Nac). Depuis quelques années, les pythons, lézards, iguanes, mygales et autres scorpions connaissent un véritable engouement. La Réunion n’est pas épargnée par ce phénomène de mode, ce qui n’est pas sans poser quelques problèmes. Compte tenu de son climat, l’île connaît une réglementation spécifique qui interdit notamment l’introduction d’espèces venimeuses (lire par ailleurs). Ce qui n’empêche pas les serpents de faire beaucoup parler d’eux ces derniers temps. En quelques semaines, notre île a déjà connu trois évasions dans le Sud. Depuis hier, c’est un python royal d’1,20 m qui s’est fait la malle à Saint-Joseph. Samedi dernier, un serpent des blés - une couleuvre originaire des Etats-Unis - était découvert dans une cage à oiseaux à l’Etang-Salé. Sans oublier le python vert retrouvé dans la rue à la Rivière Saint-Louis en septembre dernier. Ces spécimens ne présentent pas de danger pour l’homme. Ce qui ne les empêche pas de susciter un certain émoi dans la population. Des chiens spécialement formés Du côté des pompiers, ces Nac sont aussi pris au sérieux. "Nous devons nous adapter à cette recrudescence. Les interventions autour du sauvetage ou de la récupération des animaux font partie de nos missions", confirme le colonel Dominique Fontaine, chef du groupement de gestion des secours au Sdis 974. Habitués aux chats et chiens, les secours sont désormais sensibilisés à ces nouveaux animaux de compagnie. Ensuite, la procédure d’intervention reste la même. "On se base tout d’abord sur l’alerte, poursuit le colonel. Si c’est le propriétaire qui nous prévient (comme le python royal de Saint-Joseph), on lui demande si son animal est potentiellement dangereux. En revanche, si on est appelé par une tierce personne, les pompiers analysent la situation sur place". Dans le cas du serpent des blés de l’Etang-Salé, dont on ne connaissait pas l’origine, le reptile en cavale venait de manger deux oiseaux et était manifestement dans la torpeur de la digestion. Les secouristes ont donc décidé de le capturer immédiatement. "De nombreux centres disposaient déjà de filets et de cages. Désormais, il y a aussi des pinces pour les serpents. Mais en cas de doutes, on ne prend aucun risque, souligne l’officier. Nous faisons appel à un vétérinaire, M. Rèche de la Possession, qui est également pompier volontaire. En attendant, un périmètre de sécurité est mis en place". En cas de recherches, les secours peuvent aussi compter sur l’équipe cynotechnique. "Ces six chiens sauveteurs sont également formés à détecter ces Nac qui ne sont pas toujours faciles à repérer", décrit Dominique Fontaine. Au final, les pompiers sont donc prêts à opérer face à ces animaux. "Cependant, ce type d’intervention reste exceptionnel. En fait, on est toujours surpris de tomber sur ces animaux, on se demande d’où ça vient, conclut le colonel. L’idéal serait qu’on soit informés de leur présence, notamment quand ils sont dangereux". Pour l’heure, aucune règle n’oblige un propriétaire de reptile à se faire connaître Etienne Mvé et Ludovic Robert (Source : Le Journal de l’île de la Réunion) Source
  23. Kaha, un python royal s’est enfui Depuis qu’il a constaté sa disparition, hier vers 6 h 30 du matin, Eric Elisabeth multiplie les démarches pour retrouver son protégé. Kaha, son python royal d’1,20 m, s’est enfui de son terrarium à Saint-Joseph. Son propriétaire a alerté les pompiers et mène des recherches aux alentours de sa maison de la cité des Cent-Marches. "Ce serpent n’est pas du tout agressif, précise Eric Elisabeth. D’ailleurs, dès qu’il voit quelqu’un ou qu’il sent la moindre vibration, il se met directement en boule pour se protéger. Il n’y a rien à craindre". Ce Saint-Joséphois en appelle aux habitants de son secteur pour qu’ils le préviennent s’ils aperçoivent son serpent. "J’y tiens beaucoup", confie l’homme qui ne cache pas son affection pour son animal âgé de 2 ans et demi : "Ce python est comme un membre de ma famille. Auparavant, je me faisais beaucoup de préjugés sur les serpents, ça a été un coup de foudre. J’ai eu une sensation incroyable en touchant l’un d’entre eux. C’est devenu une passion". Et d’ajouter : "J’ai un numéro de matricule au cas où l’on me demande des papiers. Je ne suis pas de ceux qui agissent sans réfléchir et qui achètent un Nac serpent pour le relâcher n’importe où". Pour tout renseignement sur ce serpent, contacter le 06 92 86 74 25 ou les pompiers. Source
  24. Quatre mygales saisies par les gendarmes Troyes - Trois mygalons dans une voiture, une mygale dans un bocal et un propriétaire désinvolte... Velus à souhait, mygales et mygalons étaient conservés dans des bocaux en verre. Des terrariums improvisés par un jeune homme décidé à détourner la loi pour assouvir son désir de voir évoluer ces petites bêtes. C'était sans compter sur les investigations menées au quotidien par les agents de l'ONCFS (office national de la chasse et de la faune sauvage). Lorsqu'ils découvrent ce risque d'élevage sauvage d'une espèce protégée, ils transmettent l'information au parquet. « L'opération mygales » est alors orchestrée par les gendarmes attachés à la brigade de recherche de Troyes. Une journée peu ordinaire pour ces hommes et femmes rodés à la lutte contre toutes les formes de délinquance. Direction Troyes et le logement du principal intéressé. Dans une cage en verre, la mygale a fait son trou. Difficile de l'apercevoir tant elle fuit les regards indiscrets : sous la terre, elle se laisse désirer. Son propriétaire livre alors les autres sans grande difficulté. Sur un parking de La Chapelle-Saint-Luc, les bocaux sont dangereusement entassés dans une voiture. Quelques heures de plus et les mygalons n'auraient pas résisté. Une bonne opération pour l'ONCFS. « Toutes les espèces de mygales sont protégées par la Convention de Washington, précise Grégoire Tremblay, adjoint au chef du service départemental. Les propriétaires doivent disposer d'un certificat de capacité délivré par une commission, d'une autorisation d'ouverture d'établissement et justifier de la provenance des animaux. Les mygales sont considérées comme des espèces dangereuses ». Enquête pour déterminer l'origine des mygales… Autant d'éléments que le jeune homme ne peut produire. « Ce n'est pas si fréquent de découvrir ce type d'espèce », précise Olivier Matton. Cet agent technique de l'environnement est aussi correspondant « Convention de Washington ». Avec ses collègues, il traque la moindre entorse « pour tous ces animaux soumis à une réglementation très précise ». Hier, les mygales ont élu domicile pour un temps dans les locaux de la brigade de recherche. Dans les prochains jours, les enquêteurs vont poursuivre leurs investigations afin de déterminer l'origine des mygales. Ils s'intéresseront aussi au propriétaire. et plus précisément aux motivations qui l'ont amené à se procurer ces animaux, et peut-être d'autres aussi. Source
×
×
  • Créer...