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La monstrueuse réputation des araignées
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Nouvelle
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La monstrueuse réputation des araignées Avant d’entrer dans le vif du sujet, précisons que les araignées n’appartiennent pas au même groupe (classe) que les insectes : ce sont des arachnides (classe qui inclut également les acariens, les scorpions, les tiques et plusieurs autres). Voici quelques mythes à propos de ces créatures méconnues. Les araignées piquent-elles? Il n’en est rien! Les araignées ne possèdent pas de dard. Elles ont toutefois des crochets (nommés chélicères) qu’elles utilisent pour paralyser leurs proies. La grande majorité des araignées mordent pour capturer ces dernières. Mais n’ayez crainte, nous ne sommes d’aucun intérêt à ce titre. D’ailleurs, même si elles sont souvent montrées du doigt à la moindre rougeur ou lésion cutanée suspecte, les spécialistes s’entendent pour dire que sans preuve, le scepticisme est de mise. Est-ce vrai qu’un humain avale huit araignées par année dans son sommeil ? Cette légende urbaine est coriace et existe sous plusieurs formes : certaines versions donnent des chiffres différents, alors que d’autres proposent un poids en araignées avalées au cours d’une vie (exemple : une livre). Sachez que la probabilité d’avaler une araignée au cours de votre vie dans votre sommeil est infime. Imaginez les chances que cela se produise huit fois par année! Même si vous dormez la bouche grande ouverte, les araignées, aussi petites soient-elles, ne s’y logeraient pas puisqu’il n’y a rien d’attrayant à cet endroit pour elles. Les tarentules sont-elles mortelles? Coupez! Contrairement à ce que suggèrent certains films d’horreur, les tarentules sont parmi les araignées les moins dangereuses du monde! D’ailleurs, le vrai nom de ces araignées est mygale. Le mot «tarentule» est un anglicisme très répandu qui vient du terme anglais tarentula. Le venin des araignées de cette famille (théraphosides), lorsqu’injecté, a un effet localisé. Qui plus est, lorsqu’elles mordent les humains (cas rares) le résultat est presque toujours une blessure sèche (sans venin). D’ailleurs, seulement une cinquantaine d’espèces d’araignées peuvent être considérées comme dangereuses pour les humains. Sur un total de 40 000, on est loin de la majorité! Les araignées du soleil (sun spiders) attaquent-elles les chameaux et les soldats dans le désert? Halte-là! Cette légende au sujet de ces arachnides (également appelés camel spiders) a vu le jour en 2004. Le tout a débuté avec une photo dont la prise de vue portait à confusion, laissant croire à un animal de la taille d’une jambe. La bestiole mordrait chameaux et soldats pendant leur sommeil en leur administrant un fort anesthésiant. La victime se réveillerait en constatant qu’il lui manque de gros morceaux de chair! Les solifuges, de leur vrai nom, mesurent rarement plus de huit centimètres et n’injectent aucune substance lorsqu’ils mordent! Ce sont de voraces prédateurs, mais ils ne s’attaquent qu’exceptionnellement à des proies plus grosses qu’eux. Ils émettent un cri strident lorsqu’ils se sentent menacés, ce qui peut en effrayer plus d’un. Malgré toutes les histoires qui courent à leur sujet, les solifuges ne représentent aucune menace pour les humains. Quelques faits Il existe 667 espèces d’araignées au Québec. De ce nombre, aucune n’est considérée comme dangereuse pour l’humain. Les poils spéciaux (trichobotries) sur les pattes des araignées réagissent aux courants d’air de 1 mm/s. Les araignées sont les carnivores terrestres les plus nombreux. Une vingtaine de types de venins d’araignée font l’objet d’études pour des applications en médecine comme antiépileptiques, analgésiques, traitements de la maladie d’Alzheimer et des AVC. En cas de danger, le premier réflexe des araignées est la fuite! Source
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Hyla versicolor : votre opinion?!?!
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Batraciens
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Serpents, lézards et tortues géantes sont à quai Au pied du Vieux-Mans, un chapiteau accueille près de 200 animaux à sang froid. Dont d'exceptionnelles tortues géantes des Seychelles. Oubliez la petite tortue, planquée dans le jardin, sur laquelle vous n'arriviez pas à remettre la main ! Les tortues géantes des Seychelles prennent un peu plus de place. Par exemple Poséidon, 80 ans au compteur, 200 kg sur la balance et une carapace dans laquelle pourrait se cacher un enfant de 3 ans... Poséidon et ses copines ont posé leurs valises sur le quai Louis-Blanc pour quinze jours, en compagnie d'une impressionnante ménagerie à sang-froid : serpents, lézards, iguanes... Cela fait maintenant 40 ans que la famille Durand se balade avec ses reptiles, en France, mais aussi en Espagne, en Allemagne, en Suisse... Affectueux « Mon grand-père avait un zoo et mon père s'est très vite passionné pour les reptiles. Et moi, je suis née là-dedans », sourit Bénédicte Durand. Pas franchement les mêmes relations qu'avec un chien ou un cheval, non ? « Les tortues et les lézards aiment bien le contact avec l'homme, ils aiment bien se faire caresser. Avec les serpents, en revanche, c'est vrai, il n'y a pas de relation. » Quel plaisir à faire ainsi la route, à la tête de six semi-remorques, qui transportent matériel et animaux ? « J'ai toujours vécu avec des reptiles. Je ne pourrais pas m'en passer. J'ai essayé, et je n'ai pas pu. Et j'aime le regard des enfants, qui brillent, quand ils viennent ici. » Des visiteurs, il en faut pour faire tourner une boutique qui réclame, en cette période, pas moins de 500 litres de fioul par jour pour le confort des bestioles à sang froid. Sans compter les douze caisses de batavia, les quatre caisses de bananes et les trois caisses de pommes qu'engloutissent les tortues en moins de trois jours. Isolés pour éviterles bagarres Pour le python réticuclé et l'anaconda, qui affichent 8 m sous la toise, c'est plutôt deux ou trois gros lapins d'un coup, pour tenir environ trois semaines. Ames sensibles, sachez que les animaux ne sont pas nourris en public, hormis les tortues végétariennes. « Trop compliqué d'ouvrir les cages avec le public et puis il faut isoler chaque animal pour éviter les bagarres, relate le soigneur Claude Cujean. » Plutôt bien faite, l'exposition se veut pédagogique. Des panneaux renseignent sur les us et coutumes des pensionnaires. Sans compter que Bénédicte ou Claude sont toujours prêts à éclairer le public. Jusqu'au dimanche 6 mars, tous les jours, de 10 h à 12 h et de 14 h à 19 h, quai Louis-Blanc, au pied du Vieux-Mans. Le week-end de 10 h à 19 h. Tarifs adultes : 10 €. Enfants de 3 à 12 ans : 6 €. Source
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Hyla versicolor : votre opinion?!?!
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Batraciens
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Hyla versicolor : votre opinion?!?!
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Batraciens
Eh bien, pour vous répondre, je les ai finalement garé jusqu'à mort sans suit. Je suis devenu fan de cette espèce qui a fait que j'ai créé un bassin de reproduction dans une zone protégé avec deux autres personnes. J'observe de plus en plus cette espèce dans son milieu naturel. En fait mago_one, voyant d'où tu viens, je suis originaire de ton coin. Il y en a beaucoup dans ce secteur. -
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Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Général
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Grenouille étrangement agitée le soir
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de mago_one dans Batraciens
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Le salon où l’on cherche la petite bête Près de 500 chiots, quelques chats, des rongeurs et, nouveauté cette année, des reptiles, sont réunis ce week-end au Parc-Expo de Mulhouse pour la 8 e édition du salon Animalia. « Magnifique ! », s’exclamait hier matin cette visiteuse devant les terrariums abondamment et joliment végétalisés du Colmarien Jean-Paul Ochem, le fondateur de l’enseigne Amazone Reptiles, un cadre de verdure où se fondent caméléons, lézards, tortues… La présence — remarquée et appréciée — de ces reptiles, c’est la principale nouveauté de la 8 e édition du salon Animalia, qui a débuté hier matin et se poursuivra ce dimanche au Parc-Expo de Mulhouse. Jean-Paul Ochem, 39 ans, s’est passionné au départ — dès l’adolescence — pour les araignées. Il présente d’ailleurs sur son stand une theraphosa leblondi, « la plus grosse mygale du monde à l’heure actuelle, qui ne vit qu’en Guyane française », explique-t-il. Mensurations de la miss (qui n’est pas à vendre : le commerce et la détention de ce type de bébête sont strictement réglementés, souligne M. Ochem) toutes pattes étirées : 18 à 20 cm de diamètre. Après les araignées, un jour, le Colmarien s’est acheté un caméléon, et il s’est découvert une nouvelle passion. À tel point qu’il a quitté son emploi chez Liebherr pour ouvrir Amazone Reptiles (www.amazone-reptiles.com). « Je ne propose aucun animal d’importation. Je privilégie tout ce qui est né en captivité en Europe », précise-t-il. Et il fait lui-même de l’élevage, principalement de caméléons. Ce qu’il en coûte pour s’offrir un spécimen ? « Un caméléon commun calyptratus, que je conseille aux débutants, c’est 65 €. Un caméléon panthère, plus difficile à reproduire, 150 €». Mais ne perdons pas de vue les stars habituelles d’Animalia : les chiots. Pas loin de 500 d’entre eux sont proposés ce week-end par une bonne trentaine d’éleveurs (le cahier des charges du salon exclut revendeurs et importateurs) venus de toute la France. Une cinquantaine de races sont représentées. Et tous ces petits toutous « ont été examinés vendredi ou ce matin (ndlr : hier) par un vétérinaire indépendant du salon », ajoute Jean-Marie Girardeau, de la société jurassienne Orfosa, organisatrice de la manifestation. Dès hier, un public nombreux et souvent familial est venu s’attendrir devant les jolis minois de ce petit monde canin. Et certains sont déjà repartis avec un compagnon à quatre pattes, comme Valérie Larger. Cette habitante de Wittelsheim, mère de trois enfants, a acquis hier un berger allemand mâle âgé de 10 semaines, Febus, sur le stand du Fossé des Pandours, l’élevage familial des Meyer à Saverne. « J’avais déjà un berger allemand, une femelle. J’ai une petite basse-cour et c’est elle qui protège mes lapins et mes poules des renards, martres, fouines… Mais elle n’est plus toute jeune et je voulais un 2 e berger allemand », explique Mme Larger, qui voit de multiples qualités aux chiens de cette race : « Ce sont de très bons gardiens. Ils obéissent très bien. Ils aiment énormément les enfants. Le berger allemand, c’est vraiment l’ami de l’homme ». On peut aussi venir au salon Animalia pour prendre des conseils. Auprès des éleveurs, mais aussi auprès des deux comportementalistes animaliers ou de l’éducateur canin présents. Alain et Sonia, un couple du Bassin potassique, a par exemple soumis hier à la comportementaliste Anne Trotzler les petits soucis qu’ils rencontrent avec leur chien, un Jack Russel de 15 mois qui, sans parler de sa fâcheuse habitude à faire sien le canapé du salon sans y être invité, aboie dès qu’il est dans le jardin. « Un chien ne fait jamais quelque chose pour rien. Il aboie probablement parce qu’il veut qu’on fasse attention à lui. Il faut clairement poser l’interdit et lui faire comprendre que c’est quand il est calme que vous ferez attention à lui », suggère la spécialiste. Alain et Sonia envisageaient par ailleurs d’acquérir hier un second chien, un pinscher, mais ils ont renoncé. « 800 €, ça dépasse notre budget », explique Alain. Sur le stand de la Savoyarde Martine Fetaud, qui tient la boutique en ligne www.madame-habillesonchien.fr et présente ses produits dans les salons, on trouve de multiples accessoires pour animaux : gamelles, colliers, produits vétérinaires, vêtements, etc. Et même du parfum pour chien (à la griffe Oh my dog) ! Parmi les musts du moment, il y a les paniers pour gros chiens en revêtement antiadhésif : « J’en vends beaucoup. C’est un coussin hyper robuste. Contrairement au tissu, quand le chien rentre mouillé, ça reste sec et il ne dormira pas dans l’humidité. Les poils ne collent pas. Ça se lave très facilement. C’est vraiment génial ! ». Quant aux vêtements canins, « c’est comme pour nous, il y a des modes », confie Mme Fetaud. Les tendances actuelles ? « Toutes les petites chaussures et bottines pour chien marchent bien, comme les petits pulls et manteaux en fourrure ». Des animaux qui portent des vêtements en fourrure, ça ne manque pas de sel, mais n’allez pas déranger Brigitte Bardot pour rien : on parle de fourrure synthétique ! Source
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Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Général
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15 février 2011 (Lampropeltis alterna)
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans L'espèce de la semaine
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Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Général
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Salon des reptiles de Montréal 2011
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Expositions et activités
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Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Général
Bonjour tout le monde, Je dois avouer que je commence à être pas mal découragé face à une demande qui revient sans cesse. Il s'agit encore de la couleur du forum. On a fait plusieurs tests. On a changé à quelques reprises, on a également changé la bannière. On me reparle encore que les couleurs du forum sont inadéquat. Je n'ai plus d'idée de couleur personnelllement alors je resors ce vieux post afin que vous alliez de vos suggestions. Bonne journée -
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Thaïlande : plus de 200 de varans saisis En Asie du sud-est, le trafic d'animaux sauvages n'est malheureusement pas chose rare. Ainsi, la semaine dernière, les autorités thaïlandaises avaient saisi des centaines de serpents, araignées et tortues parmi les plus rares au monde dans des valises à l'aéroport de Bangkok. Cette fois les trafiquants s'étaient attaqués à des animaux un peu plus imposants : des varans. Et l'un des plus importants trafiquants de ce lézard géant a été arrêté jeudi. La police indique avoir saisi plus de 200 de ces animaux destinés à être cuisinés en Chine. "C'est l'un des principaux braconniers" pour ces lézards géants protégés en Thaïlande, estime la police de répression des crimes environnementaux, ajoutant qu'il était certainement le "meilleur" pour les capturer. "Il est très professionnel". L'homme risque quatre ans de prison et 40.000 bahts d'amende (environ 1.000 euros) et aurait prévu d'exporter les varans vers la Chine, via le Laos, selon la police. La Chine et le Vietnam, où "ils mangent ces lézards", sont les deux principales destinations pour ces animaux, ajoute la police. Source
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Un serpent de quatre mètres dans ma maison Une jolie femelle Python blessée et capturée par des chasseurs traditionnels est arrivée dans ma maison en début de semaine : elle se nomme Pya. Pya est un python de seba, un serpent géant africain dont la longueur maximale est de sept mètres et la longueur moyenne d'environ quatre mètres. Amoureux des grands espaces, de l'eau et des...antilopes, ce reptile n'apprécie guère la présence de l'homme. C'est par le plus grand des hasards que j'ai découvert Pya au fond d'un grand sac de toile qui reposait sur le sol d'une case. Alors que je discutais avec le maître des lieux, mon attention fut attiré par les mouvements et les ondulations du sac. Avec la permission de son propriétaire je l'ouvris prudemment et découvris à l'intérieur le gros serpent. Pour sortir Pya de sa prison de toile, il m'a fallu la saisir fermement par la tête afin d'éviter les morsures très douloureuses avec ce genre de serpent, et tirer lentement l'animal hors du sac. Aussitôt elle s'enroula autour de mon bras puis à force de contorsions elle enserra mes jambes et mon torse. Trois hommes furent nécessaires pour lui faire lâcher prise et me permettre de respirer à nouveau. Les Pythons s'enroulent autour de leurs proies et brisent la cage thoracique grâce à la force phénoménale de leurs anneaux. Cette puissance n'effraie pourtant pas certains chasseurs traditionnels qui apprécient leurs chairs et fabriquent des objets avec leurs peaux. Dans certains pays, ils enroulent autour de leur jambe un tissu imprégné de l'odeur d'un gibier et se glisse dans les terriers qu'utilisent ce grand serpent. Dés que le serpent a mordu le tissu et a commencé à avaler la jambe, l'appât humain est tiré par ses comparses jusqu'à ce que la bête apparaisse et soit capturée ou tuée. Les Pythons sont des serpents primitifs présents dans les zones tropicales d'Afrique. Ils ne sont pas tous des géants comme le seba, et la plupart ne dépassent pas 1,80 mètres. En revanche tous enroulent leurs anneaux autour de leurs victimes qu'ils étreignent jusqu'à la mort. Ces proies sont généralement des petits mammifères ou des oiseaux. L'Homme n'est pas une proie naturelle des serpents géants, même si parfois ils peuvent attaquer un jeune enfant. La digestion se fait lentement sur une période de quinze jours. Certains serpents peuvent rester des mois sans rien manger, vivants uniquement de leurs réserves. Pya est une femelle gravide, c'est à dire sur le point de pondre des oeufs. En touchant son ventre on peut sentir parfaitement leurs formes et leurs présences. Les pythons seba ne sont pas rares, mais ils commencent à être menacés par la présence humaine sur leurs habitats d'où l'importance de sauvegarder l'espèce. Bien que très agressifs, ces animaux sont reproduits en captivité et figurent parmis les nouveaux animaux de compagnie. Après un rapide examen, je trouve le serpent en bonne santé même si quelques blessures dûes aux feux de brousse et à des coups de machette lors de sa capture parsèment son corps. Mon hôte accepte sans rechigner de me céder l'animal sachant pertinemment qu'il n'avait pas le droit de capturer ce reptile qui est protégé par la convention de la Cites dont le Togo est un pays adhérent. Pya se remet de sa mésaventure dans mes locaux. Elle a été soignée, vermifugée et libérée des nombreuses tiques qui s'étaient fixées sur elle. Elle ne se nourrira pas jusqu'à la ponte qui devrait intervenir courant mai. Elle sera ensuite relâchée sous la supervision des agents forestiers dans une aire protégée pendant que ses oeufs seront placés en couveuses jusqu'à l'éclosion. Sa progéniture retournera également à la vie sauvage après la première mûe. Et vous, aimez-vous les serpents ? Source
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Les animaux vont bien, merci !
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Nouvelle
Pour vous mettre en contexte : Etalée à l'autre bout de la planète et tue quand elle est à nos portes, la misère est partout. À Rochefort, elle se cachait au 68, de la rue Peltier, dans un appartement occupé par un couple à la dérive depuis quelques années. Au départ, et cela depuis 1994, Annick, 50 ans actuellement, vit seule et loue l'appartement, avec une allocation logement. Pour les propriétaires, Guy Collard et Jean-Louis Voleau, tout va bien. « C'était propre, payé, sans difficulté. » Odeur, crasse et crotte Pourtant, fin 2009, ils ne reconnaissent plus leur appartement : « C'était dans un état innommable, sens dessus dessous, rempli de crasse et d'excréments, à l'odeur pestilentielle, avec dix chats, deux lapins, dix-sept cochons d'Inde, deux perruches et des tortues ! » La bascule se situe aux alentours de juin 2009, quand Annick a rencontré Joël, un homme sous curatelle, aujourd'hui âgé de 52 ans, qui s'adonne à la boisson. Les services d'hygiène de la Ville dressent un rapport. Bailleurs et voisins font des signalements pour des problèmes d'hygiène et de violences, tandis que la police intervient plusieurs fois. Un jugement d'expulsion tombe en juillet 2010. Les propriétaires pensent pouvoir récupérer leur bien. Il faudra pourtant attendre jusqu'au 22 janvier. Une fois de plus Annick vient d'être frappée par Joël. Elle est prostrée dans l'escalier et on l'emmène à l'hôpital. Le 28 janvier, c'est au tour de Joël lui-même. Hagard, il est retrouvé couvert de plaques purulentes, baignant dans ses excréments, après que la police a forcé sa porte à la demande des services sociaux. 2 300 euros de nettoyage Aujourd'hui, les propriétaires, ont récupéré le logement puisqu'Annick a renoncé à son bail et que le couple est toujours à l'hôpital. Tout en se demandant qui va payer le nettoyage évalué à 2 300 euros, ils dénoncent « l'inaction des services. Il faut attendre le pire pour que ça bouge alors que tout le monde sait. Pourquoi ? » Le CCAS n'est pourtant pas resté les deux pieds dans le même sabot. « Au printemps 2010, les propriétaires nous ont saisis et j'ai appelé Annick qui m'avait promis de sortir ses animaux. Mais je ne pouvais rien lui imposer d'autant que le CCAS agissait par conviction et non par obligation », précise Claudine Legendre, adjointe aux affaires sociales. En revanche, après le jugement d'expulsion, le CCAS a bien été saisi par le sous-préfet. Mais là encore, son pouvoir est maigre. « Dans le cadre de la procédure, j'ai invité Annick à se présenter par deux fois. Elle n'est pas venue. Nous avons frappé à sa porte, elle était absente ou elle a refusé d'ouvrir. Car, il faut savoir que les services sociaux n'ont pas le droit d'entrer chez les gens contre leur gré ! » Au nom de la liberté Même son de cloche du côté de la curatrice de Joël, Michèle Barillec. « J'ai rencontré Annick à plusieurs reprises en lui conseillant de se protéger, mais les femmes battues ont souvent peur. Quant à Joël, mon protégé depuis un an, il était bien au début, sentait bon. Quand le propriétaire m'a appelée pour la première fois, le jour où Annick a été hospitalisée, j'ai été choquée quand j'ai vu leur état à tous les deux. Ce genre de situation est très complexe car juridiquement, je ne peux rien imposer, ni entrer dans le logement de force. Il en va de la liberté individuelle. » Aujourd'hui, Michèle Barillec cherche une solution pour le nettoyage du logement. « Je n'ai pas dit non, mais je vais voir avec Joël s'il veut payer sur ses économies. » Et elle ajoute à l'attention des propriétaires : « ils peuvent être contents, ça ne s'est pas trop mal passé, parfois les actions d'expulsion durent dix ans ! » Si les tracas matériels vont prendre fin pour les bailleurs, cette affaire met surtout en lumière un drame humain. Aujourd'hui, Joël et Annick, qui sombrent dans la dépression, sont toujours à l'hôpital, mais séparés l'un de l'autre. Et ils ne savent pas de quoi demain sera fait. Rochefort · Charente-Maritime · Faits divers Source -
Les animaux vont bien, merci ! Une belle chaîne de solidarité s'est mise en place suite à l'hospitalisation d'Annick et Joël L'article paru samedi dernier et intitulé « Il a fallu forcer leur porte pour découvrir le drame », aura suscité bien des questions de nos lecteurs. Il portait, rappelons-le, sur la descente aux enfers d'Annick, Joël et leurs animaux, dans leur appartement de la rue Peltier. Aujourd'hui, voici des précisions sur le sort des chats, chinchilla, lapins, tortues, perruches et autres cochons d'Inde. Les chats soignés Au moment de l'hospitalisation de Joël, voilà une quinzaine de jours, une voisine, Isabelle Enard, secrétaire de l'association Le chat libre de Fouras, est venue, avec la sœur d'un des bailleurs, récupérer trois chats. Tandis que le refuge oléronnais, présidé par Marie-Claire Penot, qui est aussi enquêtrice pour la fondation Brigitte-Bardot, récupérait les sept autres chats. Dans un cas comme dans l'autre, ces associations, qui vivent de dons et qui fonctionnent grâce à leurs bénévoles, se sont chargées de soigner et nourrir les dix chats. Tous souffrent de rhumes, diarrhées et gingivite, sans oublier les puces et les vers. Maigres et déshydratés, ils suivent des soins vétérinaires quotidiens. Ils sont en familles d'accueil en attendant de se refaire une santé, d'être vaccinés, tatoués et stérilisés. Après, ils pourront être adoptés. Outre les chats, il y avait aussi deux lapins. Seuls leurs cadavres ont été retrouvés. Quant au chinchilla et aux perruches, nul n'en a retrouvé trace. Si une tortue terrestre n'a pas reparu, l'autre a bien été retrouvée sous les immondices, la carapace cassée. Elle va être adoptée sous peu. Enfin, les quatre cochons d'Inde ont été placés chez une particulière, famille d'accueil de ce genre d'espèces, avant d'être à adopter. Là encore, c'est cette dame qui paie les soins et la nourriture sur ses propres deniers. « Annick rassurée » Pour ce qui est d'Annick, elle est toujours hospitalisée. « Nous l'avons appelée pour lui donner des nouvelles des animaux, elle était rassurée que l'on s'en occupe », raconte Isabelle Enard, du Chat libre de Fouras. En revanche, il semble que Joël, après plusieurs allers-retours entre son domicile de Saint-Laurent et l'hôpital, soit retourné chez lui. Source
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Sugar a retrouvé la mer en pleine forme Remise à l'eau d'une tortue verte. Sugar est une jeune et jolie tortue verte d'une vingtaine de centimètres. Samedi matin, plage de Cayenne, à Capesterre-Belle-Eau, juste sortie de sa baignoire, elle jette un coup d'oeil périphérique, comme pour dire merci et au revoir à la cinquantaine d'admirateurs et bienfaiteurs qui sont venus lui souhaiter bonne chance, et Sugar se met en route direction la mer. Elle avance doucement : une bonne dizaine de minutes pour franchir directement les dix mètres qui la séparent de l'eau, arrosée encore par ses derniers soigneurs. Dernières photos et la star plonge dans la vague... « Voilà, il n'y a plus qu'à attendre une quinzaine d'années pour qu'elle revienne pondre ici, si tout se passe bien » , conclut Éric Delcroix, coordinateur du plan de restauration des tortues marines en Guadeloupe, à l'initiative de cette remise à l'eau en compagnie des associations Karet et Kap'Natirel. Celles-ci sont membres du Réseau Tortues marines. Sauvée grâce aux bons reflexes des riverains Cinq mois plus tôt, le 27 août, en début de soirée, des riverains de la plage de Cayenne signalent aux pompiers la découverte d'une tortue en difficulté sur la plage. Aussitôt prévenu, le coordinateur fait un premier bilan par téléphone. Au regard de l'état de la tortue et de l'heure tardive, il est demandé de la maintenir dans une bassine avec un fond d'eau de mer en maintenant sa tête hors de l'eau, à l'aide d'une cale. Une équipe est dépêchée sur les lieux le lendemain matin afin de faire un bilan plus précis. Il s'agit d'une jeune tortue verte montrant un état d'épuisement avancé, il est décidé de l'apporter rapidement au vétérinaire. Ce dernier diagnostique une infection bactérienne avancée, liée à l'épuisement de la tortue, ainsi que de sérieux signes d'affaiblissement. Les premiers traitements effectués, la tortue est amenée au centre de soin. Quelques jours après, elle a pu être alimentée à l'aide d'une sonde. La tortue est prise en charge, elle est baptisée pour l'occasion Sugar et va être soignée, bichonnée au centre de soins de l'Aquarium. Sa remise en forme va durer cinq mois jusqu'à la remise à l'eau, ce samedi matin, à l'endroit même où elle s'était échouée. Source