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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium
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Les tortues aussi fêtent Noël Le Réseau Tortues Marines Guadeloupe remettra à l'eau les 18 et 22 décembre deux tortues soignées par l’association KARET, à l’Aquarium du Gosier. La première tortue marine a été découverte sur la plage par une élève de l’école primaire de Cayenne à Capesterre Belle-Eau. C'est donc là que cette jeune tortue de près de 30 cm retrouvera la mer le 18 décembre prochain à 10 heures. La seconde tortue, quant à elle, regagnera le grand large sur la plage de la Datcha au Gosier, le 22 décembre à 10 heures. Retrouvée blessée sur cette plage il y a quelques mois, cette tortue a été soignée au centre de soins Karet de l'Aquarium et a depuis retrouvé la forme ! Pour assister à ce grand moment d'émotion à l'approche des fêtes, contactez le 0690 84 64 51 ou kapnatirel@tortuesmarinesguadeloupe.org Source
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La grenouille arboricole chante au crépuscule Arrivée incognito de Guyane, la grenouille arboricole a prospéré pendant dix ans à l'abri des visites, au Jardin des plantes. Telle une fraîche salonarde, la rainette reçoit maintenant sur rendez-vous. Grande comme l'ongle, elle chante comme un colibri dans les hauteurs de la serre tropicale du jardin des Plantes. Une batterie de radiateurs cacochymes y maintient une atmosphère de forêt tropicale humide. Par les frimas les plus perçants, la grenouille fait cependant les frileuses. Moins exubérante que de coutume, mais bien chez elle, elle pousse son chant étrange : difficile d'appeler coassement cette modulation aérienne, ce tui-tui qui tombe du plus haut des feuillages. Là où naissent, vivent et dorment les batraciens volants. Le monde à l'envers Car les serres du Jardin des Plantes, c'est un peu le monde à l'envers : ici, les plantes poussent d'abord et envoient ensuite leurs racines vers le sol, à toute vitesse. Telle autre gonfle ses racines de sorte qu'elles se transforment en fourmilière, qui lui servira de garde-manger. Ne parlons pas de cette plante qui se donne l'air d'avoir été déjà mâchée par un bovin, pour être épargnée. Là, cette fougère qui pousse dans un pot bizarre se l'est fabriquée elle-même, c'est plus sûr. Tiens donc, les racines de cette orchidée montent au lieu de descendre ? C'est pour mieux vous empaler, mes chères petites feuilles mortes. Cette orchidée avec de gros bulbes ? Ce sont ses réserves d'eau, dans lesquelles se nourrissent ses racines. Et là, cette plante qui ressemble à s'y méprendre à une plante verte, en cinq fois plus grosse ? C'est une plante verte, en effet. Pas rétrécie par la vie d'appartement, mais prenant ses aises dans l'atmosphère qui lui convient. La vie, la vraie, quoi. On comprend qu'avec tout ça, la grenouille arboricole ne touche plus terre. Il y a dix ans « Elles sont arrivées il y a dix ans, explique Romaric Perrocheau, directeur du Jardin des Plantes. Personne n'y a d'abord fait attention. On pense qu'elles sont entrées ici sous forme d'oeuf, à l'intérieur de plantes en provenance de Guyane. » À l'époque, les visites publiques nocturnes ne se pratiquaient guère. Les petites rainettes ont prospéré à l'aise, se reproduisant tranquillement dans l'hygrométrie élevée (80°) des serres centenaires. Dix ans qu'elles chantent et se multiplient dans un milieu pas si éloigné de leur forêt humide et chaude. Dix ans d'art lyrique sans contrainte, ça vous monte à la tête. Elles se promènent dans les grosses fleurs rouges qui poussent sur les troncs d'arbres, vrais ou reconstitués (avec de la tourbe). Invisibles, elles coassent quand ça leur chante, à la tombée de la nuit. Heureux visiteur qui peut en apercevoir, verte, minuscule. Même ne pas les voir, c'est quelque chose à vivre. Le rêve de Romaric Perrocheau : « En acclimater de nouvelles, très colorées. » Rêve pervers, renseignement pris : ces grenouilles aux couleurs acides, métalliques, sont appelées poison dart frog. La grenouille-flèche empoisonnée. Du curare sur pattes, en quelque sorte. Des rainettes comme vous aimerez en présenter à votre cousine un soir, juste pour la surprendre. Source
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La tortue cistude peut compter sur l'homme Depuis deux jours, Bellebouche accueille quelque soixante-cinq spécialistes en France, Suisse et Espagne, de tortues cistudes, dans le cadre de journées techniques. « On échange ainsi les connaissances sur l'animal et sa protection », résume Jacques Trotignon, directeur de la réserve naturelle de Chérine. Parmi les communications, celle consacrée au bilan de quatre années de suivi sur la réserve a éveillé l'attention. Un travail réalisé par Zoey Owen-Jones et financé (180.000 €) par l'Europe, l'État, la Région, le Département, le WWF et les Fondations Nicolas Hulot et EDF. « On voulait avoir une idée du nombre de tortues à Chérine, comprendre comment elles utilisent l'espace, si elles ont besoin de terres périphériques et quelles sont les solutions pour les protéger ». Au total, pas moins de 1.624 cistudes d'Europe ont été recensées dans une vingtaine d'étangs (600 hectares). « C'est énorme, estime Jacques Trotignon. On pense qu'il y a en Brenne au moins 50.000 tortues, la population la plus importante de France. » L'objectif est de les protéger ici comme ailleurs. Une préoccupation qui rejoint les plans nationaux d'actions pour les espèces menacées mis en place par le ministère de l'Environnement, suite au Grenelle. L'un d'eux concerne évidemment la cistude. L'étude de l'espèce, la gestion et la communication, sont les trois axes de travail. « Ça peut passer, par exemple, par l'installation de panneaux routiers avertissant des traversées de cistudes. » Source
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Une tortue à deux têtes découverte en Turquie ! Les visiteurs d'un parc naturel en Turquie ont eu la chance de découvrir récemment une petite tortue à deux têtes. Lire la suite l'article Dans un parc naturel près d'Izmir, dans l'est de la Turquie, les visiteurs ont découvert une tortue à deux têtes ! Le spécimen a été trouvé dans le jardin d'une maison à Manisa, et a été immédiatement amené au parc naturel. Il s'agit en fait de jumeaux fusionnés suite à une anomalie rare qui apparaît lorsque la séparation de deux embryons jumeaux n'a pas lieu assez rapidement et demeure incomplète. Ces frères siamois, puisqu'il s'agit de mâles, cohabitent donc dans la même carapace depuis leur naissance. Ils appartiennent à l'espèce des tortues mauresque. Les spécimens de cette dernière peuvent vivre jusqu'à 75 ans, selon les gérant du parc naturel. Ils auront donc tout intérêt à bien cohabiter. Source
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Loire-Atlantique : un python mort retrouvé à Pont-Saint-Martin
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Loire-Atlantique : un python mort retrouvé à Pont-Saint-Martin Une information relevée sur le site de Ouest France nous apprend que des chasseurs ont fait une bien étrange découverte sur un terrain vague de Pont-Saint-Martin, commune située au sud de Nantes : un python mort. Mesurant plus de 3m50, le reptile va être transporté au muséum d’histoires naturelles de Nantes pour y être étudié. La gendarmerie est en train de mener une enquête pour comprendre comment ce serpent a pu se retrouver sur ce terrain vague et pour déterminer à qui il peut bien appartenir. Source -
RDC: un guide attaqué par un crocodile Un guide sud-africain expérimenté qui accompagnait deux touristes américains, est porté disparu depuis mardi après avoir été attaqué par un crocodile dans une rivière du sud-est de la République démocratique du Congo, a-t-on appris aujourd'hui auprès d'une autorité locale. Johness Hendik, âgé de 35 ans, n'est plus réapparu après avoir happé par un reptile sur la rivière Lukuga, à Nyunzu, à plus 1000 km de Lubumbashi, capitale de la province du Katanga (sud-est), a précisé à l'AFP l'administrateur de territoire de Nyunzu, Jean Bula-Bula. Le guide naviguait avec deux Américains, chacun était dans un canoë, lors d'une mission d'exploration qui devait longer cette rivière, à l'entrée du lac Tanganyika, jusqu'à Kisangani (nord-est), capitale de la Province orientale (nord-est), lorsque que le crocodile l'a arraché à son embarcation, a-t-il ajouté. Le corps de la victime n'avait pas été retrouvé. Les deux Américains, qui n'ont pas été attaqués, sont sains et saufs. Des autorités locales avaient interdit au guide de tenter cette "aventure", selon la même source. "Johness Hendik était un expert. Il avait déjà fait l'exploration de Kindu (capitale de la province de Maniema, est) jusqu'à Matadi (Bas-Congo, ouest)", a ajouté M. Bula-Bula. Il est la 46e victime de crocodile recensée dans cette région. Hier, dans la province du Bandundu (ouest), sur une autre rivière, un homme d'une trentaine d'années a survécu à l'attaque d'un crocodile qui lui a mordu le bras gauche, selon l'ONG Caritas. Il y a deux semaines au même endroit, une femme enceinte a disparu après avoir été attaquée par un reptile alors qu'elle puisait de l'eau dans la rivière, selon l'ONG. Source
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Le collectionneur d'animaux sauvages tué par son serpent ?
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Le collectionneur d'animaux sauvages tué par son serpent ? Triste destin pour Christian Lindgaard, un Norvégien de 60 ans: son corps a été découvert nu et inanimé, le 02 décembre, dans une chambre d'hôtel à Pattaya en Thaïlande. Perplexes sur les causes de sa mort, les autorités n'ont trouvé aucune trace de violences sinon deux énormes brûlures sur les jambes de la victime. Les policiers ont découvert quelques minutes plus tard un cobra long d'un mètre qui se cachait sous le lit de la chambre. Visiblement, Lindgaard était un collectionneur d'animaux sauvages et aurait été piqué pendant son sommeil. D'après le personnel de l'hôtel qui l'hébergait, la victime aurait été piquée une première fois quelques jours plus tôt. Hospitalisé, il aurait rejoint son hôtel sans encombre. Une morsure prémonitoire qui aurait du l'avertir... Source -
Voici un vidéo démontrant bien que les lézards ne sont pas les bêtes féroces qui attaquent tout ce qu'il bouge comme plusieurs pensent. Je n'aime pas le vidéo puisqu'on entend le père derrière la caméra encourager le gamin dans son geste et la manière que le vidéo se termine, on voit très bien ce que le frère du petit allait faire en massacrant le lézard à coup de pied. Je veux juste qu'on voit la patience du lézard face à l'agression.
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Petit jeu d'araignée ou de serpent
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Général
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Un python de 1,20 m le mène au tribunal Tribunal correctionnel de Laon. - Ce passionné de serpents a voulu revendre son jeune python d'1,20 m sur leboncoin.fr. « C'était par mesure de sécurité car ma femme attendait un bébé », a-t-il expliqué à la barre du tribunal correctionnel de Laon. Mais pour détenir cette espèce, qui peut atteindre jusqu'à 6 mètres de long pour un diamètre de 20 centimètres à l'âge adulte, il faut détenir un certificat spécial. Et ce jeune homme ne l'a pas. Sa petite annonce, repérée par des enquêteurs, l'a donc mené tout droit devant le tribunal correctionnel de Laon jeudi. Il a été condamné à 250 euros d'amende. Une condamnation qui ne sera pas mentionnée sur son casier judiciaire, sa demande ayant été acceptée par le tribunal. « Je souhaite passer ce certificat plus tard, a-t-il expliqué. Pour l'instant je ne peux pas car c'est assez cher. De plus, ça ne se fait pas dans l'Aisne. » Source
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SENEGAL-SANTE-SERPENTS-MORSURES Plus de 1700 morsures de serpents répertoriées de 2004 à 2009 à Kédougou 06/12/2010 20:36 GMT Tambacounda, 6 déc (APS) - Plus de 1700 cas de morsures de serpent ont été enregistrés entre 2004 et 2009 à Kédougou, a révélé lundi le docteur Marième Mbaye Sène du Centre antipoison de Dakar, citant une enquête pilote d’épidémiologie descriptive des morsures de serpent, menée dans la région. La restitution des résultats de l’enquête menée à différents niveaux, a révélé la configuration suivante : au niveau des tradi-praticiens, 1250 cas ont été répertoriés, 125 cas au niveau des ménages et 239 cas au niveau des autorités locales, a noté le docteur Marième Mbaye Sène, lors de l’atelier de formation sur la prise en charge des envenimations par morsures de serpent. En outre, 122 cas ont été recensés auprès des professionnels de la santé, soit un chiffre global de 1.736 cas. Sur les 125 cas répertoriés parmi les 300 concessions enquêtées, 11 décès et 114 survivants ont été notés, a dit l’agent du Centre antipoison. Quelque 5 millions de personnes sont victimes de morsures de serpent chaque année dans le monde, là où au Sénégal, le taux de mortalité lié aux morsures de serpent est de 14%, a indiqué le docteur Marième Mbaye Sène. La majorité des victimes sont de sexe masculin et dépassent l’âge de 16 ans, a-t-elle précisé, relevant que, généralement, ces morsures ont lieu dans les champs. ‘’L’absence de stratégies de prévention des morsures de serpent, le déficit de formation du personnel, l’inaccessibilité du sérum antivenimeux, la pauvreté en données épidémiologiques, ont poussé les autorités à organiser cet atelier pour améliorer les conditions d’épidémiologie’’, a expliqué le docteur Sène. Marième Mbaye Sène a, toutefois, signalé que ‘’le nombre de cas pris en charge par les professionnels de santé composés de médecins et d’infirmiers, augmente en ce sens qu’il va de 15 à 38 de 2004 à 2009’’. Même si le traitement est ‘’divers et varié’’ - il va de l’administration d’anti-inflammatoires aux sérums antitétaniques, en passant par les antivenimeux -, le traitement ambulatoire est la prise en charge ‘’la plus fréquemment rencontrée’’, a-t-elle relevé. Les régions de Tambacounda et Kédougou constituent une zone de prédilection des serpents, a indiqué le directeur de cabinet du ministre de la Santé et de la Prévention, Abdou Khoudoss Niang qui procédait à l’ouverture de l’atelier. Il a expliqué que cet état de fait justifie le choix porté sur Tambacounda pour abriter cet atelier de formation sur la prise en charge des envenimations par morsures de serpent. ‘’C’est une question centrale. Cet atelier prépare en réalité la 4-ème conférence sur les envenimations par morsure de serpent qui doit se tenir à Dakar au courant du 2-ème trimestre de l’année prochaine’’, a-t-il renseigné. ‘’ Nous avons pensé (nous) déplacer et venir à Tambacounda qui reflète également la physionomie de la sous-région du point de vue des prédispositions à ce phénomène’’, a ajouté M. Niang. Il a dit que cet atelier sera l’occasion d’échanger sur la question, aux fins d’une ‘’meilleure prise en charge des envenimations par morsure de serpent’’. ‘’Les anti-venins qui sont utilisés sont certes efficaces, mais à l’instar d’autres pays, il est possible de trouver des anti-venins beaucoup plus adaptés pour prendre en charge ces morsures’’, a dit l’officiel. Abdou Khoudoss Niang a annoncé que ‘’du matériel sophistiqué a été récemment réceptionné par le ministère de la Santé pour renforcer le plateau technique, les équipements pour une meilleure prise en charge’’. BC/ADI/ASG Source
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Il envoyait des mygales par la poste Un Allemand a été arrêté par les autorités américaines pour avoir introduit frauduleusement, via des colis, des centaines de mygales et autres araignées dans le pays, à la suite d'une opération consistant à lui tendre un piège. Sven Koppler, 36 ans, a été arrêté jeudi à son arrivée à Los Angeles où il devait rencontrer un associé, après une filature de neuf mois baptisée "Operation Spiderman", selon le bureau du procureur de la ville. L'enquête avait démarré en mars, après la découverte par les agents américains des douanes de 300 mygales vivantes au cours d'une fouille de routine dans un colis. Les agents de l'Agence américaine des pêches et de la faune ont ensuite intercepté un second colis contenant près de 350 mygales vivantes et 22 tarentules mexicaines à genoux rouges. Les enquêteurs ont alors patiemment tissé leur toile pour piéger Koppler, en lui passant commande d'araignées supplémentaires. Celui-ci leur a envoyé un paquet contenant 70 mygales vivantes. L'homme, originaire de Wachtberg, dans l'ouest de l'Allemagne, aurait gagné quelque 300.000 dollars grâce à la vente de ces animaux à des arachnophiles d'une dizaine de pays. Selon les documents de l'accusation, plusieurs envois contenaient des araignées protégées par la Convention internationale sur le commerce des espèces sauvages menacées (CITES). S'il est reconnu coupable, il risque 20 ans de prison et une amende de 250.000 dollars. Dans des courriels échangés avec un agent américain agissant sous couverture, il aurait expliqué qu'"envoyer des mygales dans des paquets petits et légers est le meilleur moyen d'échapper aux douanes à travers le monde". [url=Source]http://actualites.ca.msn.com/insolite/afp-article.aspx?cp-documentid=26620444[/url]
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Des reptiles très exotiques à Marsac (24) A plumes, à poils ou à écailles, pas moins de 2000 animaux sont rassemblés depuis hier et jusqu'à ce soir au Parc des expositions de Marsac-sur-l'Isle (1). Sur 3 000 m2, chiens, chats, pigeons, abeilles, oiseaux sont exposés et, parfois, proposés à la vente. L'occasion de dénicher un animal de compagnie, bien sûr, mais aussi de bavarder avec des passionnés. Parmi ces derniers, les Compagnons des tortues et autres reptiles de Guyenne sont sans doute ceux qui remportent le plus vif succès. Leurs lézards, serpents et tortues d'ici et d'ailleurs attirent en effet le regard des visiteurs et suscitent immanquablement la curiosité des plus jeunes. Des tortues d'ici ou du Maroc Alric, 25 ans, se fera un plaisir de sortir son python royal de son vivarium tout en vous contant son mode de vie. « Il s'appelle Sanka, il a deux ans et demi et se nourrit une fois par semaine de rats ou de souris », explique-t-il en laissant s'enrouler le reptile autour de son bras. « Il apprécie la chaleur, mais ne comptez pas sur lui pour vous donner de l'affection. Ce n'est pas un chien, il n'apprécie pas les caresses. » À ses côtés Doonsday, le caméléon panthère se perche en haut d'une branche. « Lui, souligne Romaric, 28 ans, vit dans les régions tropicales et recherche l'humidité. S'il n'est pas vraiment affectueux, il apprécie de se promener sur les épaules de son maître. » René propose quant à lui d'acquérir des tortues d'ici ou du Maroc. « Les gens apprécient cet animal mais pensent qu'il est interdit d'en posséder. C'est inexact, il faut en revanche le déclarer à la préfecture ou aux services vétérinaires.» Des reptiles qu'il est possible d'acquérir à partir d'une trentaine d'euros, mais qui nécessitent tous des soins réguliers parfois très contraignants. (1) De 9heures à 19 heures au Parc des expositions. Entrée 5 €n gratuité pour les moins de 16 ans Source
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La faune a son conservatoire C'est une première au niveau national : le Nord - Pas-de-Calais s'est doté d'un conservatoire faunistique régional (CFR). Pour protéger, observer, recréer du lien entre les habitants et les espèces animales. Nous avions déjà, dans la région, le conservatoire des sites naturels, celui du littoral, l'observatoire de la biodiversité et, l'avant-dernier-né, le conservatoire botanique, à Bailleul. Voici donc son petit frère et complément, le conservatoire faunistique régional, qui sera, lui, installé à Lillers. Le but ? « Bénéficier d'une vraie structure régionale de sauvegarde de la biodiversité, sur notre territoire qui en a vraiment besoin », commentait hier, jour du lancement du CFR, Emmanuel Cau, vice-président du conseil régional. Le Nord - Pas-de-Calais perd, comme toutes les régions, ses espèces. Le dernier aigle royal a ainsi été observé dans les Flandres avant la Seconde Guerre mondiale. Le castor ou la loutre doivent être réintroduits par la main de l'homme... Tandis que nous devons sûrement faire attention à ne pas perdre « notre » mygale... Eh oui, sur les sols calcaires de nos côtes, une petite mygale caracole. Très peu de Nordistes le savent. Justement, Emmanuel Cau pointe le doigt sur cette faille : « Il s'agit d'une biodiversité dont on a perdu la mémoire. » Lui, rêve de « refaire le lien entre l'homme et la nature » en intégrant les citoyens dans le fonctionnement du conservatoire. Une structure qui, déjà, « regroupe plusieurs associations, ornithologiques, entomologiques, mammatologiques... », détaille José Godin, président du CFR. Toutes ces assos réuniront leurs données. Pour déterminer « les espèces sur lesquelles il faut travailler ». D'abord connaître. Puis protéger et restaurer. Source
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Faune sauvage - Soutien de la Fondation à la Ligue de Protection des tortues La Fondation 30 Millions d’Amis a décidé d’allouer une aide financière à la LPT pour soutenir cette jeune association dans son combat contre la détention illégale de tortues. Plus de 300 espèces de tortues dans le monde, dont plus de 40 % en danger d’extinction selon la Cites*. Un constat dramatique qui concerne également la France, puisque la tortue d’Hermann, seule espèce terrestre vivant sur notre sol, est aujourd’hui menacée de disparition. Victimes d’un « effet de mode » et des divers trafics qui en découle, les populations vivant à l’état sauvage ont peu à peu décliné, jusqu’à atteindre aujourd’hui un stade critique. C’est pour enrayer ce phénomène que la Ligue pour la Protection des Tortues (LPT), basée dans les Bouches-du-Rhône, a été créée. 0,2 % des détenteurs de tortues... en conformité avec la loi Créée par une équipe de passionnés, la LPT se dote actuellement d’un espace de 6 000 m² afin d’accueillir les tortues abandonnées ou saisies par les autorités. Opérationnel fin 2011, ce refuge viendra en aide aux tortues en détresse : « On estime à 500 000 le nombre de détenteurs de tortues en région Paca [Provence-Alpes-Côte d'Azur, NDLR], précise Alain Domenge, président de l’association. Seul un millier d’entre eux, soit 0,2 %, ont rempli les formalités nécessaires à leur détention ! » Les 99,8 % restantes seraient détenues dans l’illégalité la plus complète, dont la majorité souffriraient de conditions de vie totalement inadaptées à leurs besoins. Des tortues arrachées à leur milieu naturel L’une des missions de la LPT sera, outre l’accueil et les soins prodigués à ces petits animaux, de sensibiliser les touristes aux dangers qui menacent les tortues à leur arrivée en France, et ainsi de réduire le nombre des espèces vulnérables arrachées à leur milieu naturel. « 200 tortues Graeca arrivent chaque jour à l’aéroport de Marseille en provenance de Tunisie ou du Maroc, poursuit Alain Domenge. En situation de stress, elles développent une maladie appelée herpèsvirus. Si elles ne sont pas immédiatement prises en charge par des spécialistes, c’est la mort.» La Fondation 30 Millions d’Amis, qui mène chaque année de nombreuses actions en faveur des animaux sauvages, a souhaité aider, à hauteur de 2 000 euros, la Ligue pour la Protection des Tortues afin de l’aider à acquérir de nouveaux terrariums et aquariums qui lui permettront d’accueillir le plus d’animaux possible dès l’ouverture du site. En savoir plus sur la réglementation relative à la détention des tortues * Cites : Convention sur le commerce international des espèces sauvages menacées d'extinction, appelée également Convention de Washington. Source
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Voici ce qu'un quotidien a répondu face à ça. Tortues : quel pillage ? En réponse au courrier des lecteurs du 1e décembre et aux images de collecte d’œufs de tortues qui circulent sur le net depuis plusieurs mois. Voici quelques précisions pour que chacun puisse se faire une opinion du sujet de ce reportage photo et de son traitement. Ces images sont prises à Ostional au Costa Rica sur un site où un système de gestion des tortue marines a été mis en place depuis plusieurs année, en s’appuyant sur les caractéristiques biologiques des tortues qui viennent s’y reproduire. Il s’agit de tortues olivâtre (Lepidochelys olivacea) qui se reproduisent en masse (plusieurs dizaines voire plusieurs centaines de milliers) durant quelques jours sur ces plages. Ce phénomène est appelé « Arribada ». C’est une stratégie de reproduction unique chez les tortues marines, qui s’observe également en Inde sur certaines plage de la province d’Orissa. Les études menées au Costa Rica ont montré que durant ce phénomène de ponte en masse, un pourcentage important des œufs était naturellement perdu (prédation et destruction des premiers nids par les tortues elle-même). Il a donc été décidé, en accord avec les communautés locales, en 1985, que celles-ci puissent collecter et commercialiser un quota d’œufs collectés durant les premiers jours de l’Arribada (36 premières heures). Ensuite, les plages sont surveillées pour empêcher tout braconnage et préserver les tortues et les nids. C’est un exemple de gestion durable d’une ressource naturelle locale, qui prend en compte le contexte socio-culturel local. L’université du Costa Rica réalise un suivi permanent de ces plages et des tortues qui y pondent. La collecte des œufs est contrôlée par l’administration du Costa Rica. N’ayant jamais été sur place, je ne peux m’exprimer sur la réalité de terrain, mais ces photos ont été diffusées il y a quelques jours sur le réseau GTMF (Groupe tortue marine France). Internet est un media qui permet une large diffusion d’information. Mais au-delà des buzz qui sont fréquents, il faut prendre le temps de croiser les informations pour avoir une idée plus juste de certains événements. Après quoi, chacun est libre de ses opinions et de prendre position. Source
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Petit jeu d'araignée ou de serpent
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Général
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Patrick Dempsey : son nouveau coup de coeur a la carapace dure
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Nouvelle
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Patrick Dempsey : son nouveau coup de coeur a la carapace dure
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Nouvelle